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TABLE DES MATIÈRES
from IC LE MAG #21
by 656 Editions
AVEC DIX CANAUX DE COULEURS CONFIGURABLES, LA KUDU DE SWISSQPRINT VEUT LIBÉRER LA CRÉATION
Quelques mois seulement après le lancement de sa quatrième génération de machines, swissQprint innove de nouveau avec l’annonce d’un nouveau modèle : la Kudu. Cette imprimante haut de gamme, disponible en 3,2 x 2 mètres, multiplie les options pour permettre aux imprimeurs de gagner en réactivité, agilité et performances. Côté créativité, elle coche toutes les cases, avec pas moins de dix canaux de couleurs configurables.
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Avec une résolution pouvant aller jusqu’à 1350 dpi, la Nyala 4 de swissQprint, lancée il y a seulement quelques mois, redéfinissait déjà l’impression haut de gamme. La nouvelle Kudu, présentée en juin, repousse encore plus loin les limites. Imprimante haut de gamme, disponible en 3,2 x 2 mètres, la Kudu multiplie les options pour permettre aux imprimeurs de gagner en réactivité, agilité et performances.
UNE CONFIGURATION CMJN + 6 COULEURS
Comme sur chaque modèle d’imprimantes swissQprint – Nyala, Impala et Oryx – les canaux d’encre de la Kudu sont configurables librement. La différence se fait sur le nombre de couleurs disponibles. En complément des couleurs CMJN, l’imprimeur équipé d’une Kudu disposera de six autres canaux pouvant être complétés au fil de ses besoins : couleurs light, couleurs fluorescentes, orange, blanc, vernis ou primaire.
UNE BASE SOLIDE POUR UNE PRÉCISION EXTRÊME
De conception suisse, comme les modèles précédents, la Kudu repose sur un châssis massif entièrement repensé qui, associé aux têtes d’impression et aux moteurs linéaires de la machine, permet de garantir un positionnement extrêmement précis des gouttes d’encre.
Tous visuels © Bertrand Genevi
Grâce à son système d’aspiration Tip Switch, subdivisé en 260 canaux (contre 256 pour les autres modèles de la gamme), elle offre à l’opérateur un contrôle simple de l’aspiration : l’adhérence des supports est parfaitement maîtrisée. Une nouvelle version du logiciel d’édition Lory, développé en interne, permet également à l’imprimeur de rester agile à toutes les étapes de l’impression, avec la possibilité d’effectuer de nouveaux réglages sans devoir repasser par le RIP.
UN MODÈLE HYBRIDE
Médias transparents, bâches, maille, la Kudu imprime pratiquement tous types de matières souples, jusqu’à 180 kg. Grâce à sa solution de séchage LED, elle peut également prendre en charge les supports sensibles à la chaleur. Son option double rouleau lui permet de gérer simultanément deux laizes, jusqu’à 60 pouces. Productivité garantie.
© swissQprint France
TROIS QUESTIONS À...
Alain GREINER, président de swissQprint France
Quelles sont les différences majeures entre la Kudu et la Nyala ?
La place occupée au sol est peu ou prou identique entre les deux solutions. Mais le châssis diffère considérablement, pour pouvoir accueillir un moteur linéaire haute vitesse, dont le chariot d’impression pèse 150 kg. Il se déplace avec fluidité et s’arrête net à chaque extrémité de la machine, sans ralentissement, pour redémarrer aussi sec. Ce moteur, couplé à un dixième canal d’encrage et à une tête de plus sur chaque canal, permet de multiplier la vitesse de production par trois entre une Kudu et une Nyala. Le tout en totale sécurité, grâce à un carénage complet installé sur notre dernier modèle. Ce verrouillage d’accès est important, notamment dans l’industrie, un marché que nous attaquons avec la Kudu.
En quoi la Kudu fait date chez swissQprint ?
Ce modèle inaugure une nouvelle façon d’appréhender la conception des produits au sein de la marque. La Kudu possède en effet un châssis modulaire, une caractéristique qui lui donne toute latitude pour évoluer dans les mois qui viennent. Historiquement, swissQprint offrait une certaine flexibilité sur ses imprimantes, notamment avec des possibilités d’upgrade. Mais avec la Kudu, cela va plus loin, car même le format de la machine n’est pas définitif. Cela laisse la porte ouverte pour nous adapter, si besoin, à l’évolution du marché et aux futures attentes de nos clients.
Vous fêtez cette année les 10 ans de swissQprint France. Quel regard portez-vous sur l’évolution de votre structure ?
Nous avons fondé l’entreprise en 2012, en compagnie de Rodolphe Lecoq, avec le désir d’accompagner au plus près chaque projet d’investissement, des prémices au service après-vente. Dix ans plus tard, forts d’une équipe qui compte désormais 16 personnes et d’un chiffre d’affaires de 15 millions d’euros, l’objectif est toujours le même. Notre valeur ajoutée tient dans la proximité de notre service client et dans la compréhension de l’évolution du secteur. Nos solutions techniques sont adaptées aux besoins spécifiques de chacun, et ce pour les 300 imprimantes swissQprint que nous avons installées en France. Les deux premières Kudu vendues dans le monde seront livrées par nos soins d’ici la fin de l’année. C’est une belle façon de fêter nos 10 ans !
Propos recueillis par Bertrand Genevi
« Si les rêves s’accomplissent en mer, les révolutions, elles, se mènent sur terre ». Pour le skipper Roland Jourdain, double vainqueur de la Route du Rhum et fondateur de Kaïros Environnement, un bureau d’études dédié à la R&D, au prototypage et à l’industrialisation de biomatériaux composites, il est devenu urgent d’imaginer des alternatives propres et durables aux matériaux conventionnels pétrosourcés. Dans sa table des matières : le Kairlin. Par Cécile Jarry
LE KAIRLIN
PREND LE LARGE
Écoconception, réutilisation, upcycling, biomatériaux, etc. L’adaptation du monde de la communication aux enjeux de la transition écologique passe aujourd’hui par une sérieuse remise en question des matériaux utilisés. Traçabilité des matières, recyclabilité des supports : les questions se font plus précises et les attentes plus grandes. Du côté des distributeurs, on se documente pour mieux accompagner ses clients. On met en place des systèmes de notation pour évaluer l’impact sur l’environnement des matériaux que l’on propose et préconiser les bons usages. Du côté des fabricants, on développe des matières alternatives et on imagine de nouvelles solutions de collecte et de recyclage. Dans le domaine de la recherche enfin, on s’active pour concevoir les matériaux de demain.
Tous visuels © Kaïros Environnement
Le Kairlin a été utilisé pour l’aménagement intérieur du bateau We Explore de Roland Jourdain. Pour la coque en revanche, impossible d’utiliser ce matériau, du fait de sa compostabilité. L’option choisie : des biocomposites thermodurcissables, constitués de résine époxy partiellement biosourcée et de fibres de lin.
LE SAVIEZ-VOUS ?
La France est le premier producteur de lin au monde. Et c’est en Normandie que l’activité est aujourd’hui la plus développée, la région assurant à elle seule plus de 50 % de la production mondiale de fibres de lin de qualité. Pour fabriquer son Kairlin, Kairos utilise du lin de Normandie et du chanvre de Champagne.
C’est ainsi qu’est né Kaïros Environnement, un bureau d’études dédié à la R&D, au prototypage et à l’industrialisation de nouveaux matériaux composites moins impactants pour l’environnement. « Pour enfin trouver des alternatives durables aux matériaux pétrosourcés et notamment aux plastiques ». Kaïros, c’est le nom de l’écurie de course du skipper Roland Jourdain, double vainqueur de la Route du Rhum. C’est lui qui a fondé l’entreprise. « Être skipper, sillonner les océans, c’est apprendre à faire avec la nature et non pas à lutter contre. C’est prendre conscience des enjeux de préservation de la planète. Mais se contenter de dire que ça va mal, ça ne suffit pas. Il faut faire. Faire bien, faire mieux et montrer que c’est possible. » En alliant convictions environnementales et connaissances techniques des biomatériaux dans leur composition, leur utilisation et leur gestion de fin de vie, Kaïros Environnement a développé et breveté le Kairlin : une alternative propre et durable aux matériaux conventionnels. « Le Kairlin a été imaginé en suivant une analyse de cycle de vie qui permet de limiter l’empreinte environnementale du produit à chaque étape de son existence : conception, fabrication, utilisation et fin de vie », explique Xavier Baris, responsable de la commercialisation du Kairlin.
DU CHANVRE, DU LIN ET DES COMPOSANTS 100 % NATURELS
Concrètement, le Kairlin est un matériau biosourcé conçu à partir de fibres de lin ou de chanvre, et de composants 100 % naturels. Il est produit en Normandie en circuit court, près des champs où le lin est cultivé. Durant sa transformation et son utilisation, le Kairlin ne produit pas d’émanations toxiques. Il est entièrement recyclable et compostable en compost industriel.
LE KAIRLIN PREND LE LARGE
Si théoriquement beaucoup de matériaux sont recyclables en laboratoire, on sait aussi que ce sont l’existence et la taille des filières de recyclage qui définissent si un matériau peut réellement être recyclé. « C’est pourquoi Kaïros Environnement développe sa propre filière en interne et a déjà produit ses premiers panneaux recyclés. Le Kairlin conserve 95% de ses propriétés mécaniques après recyclage », répond Xavier Baris.
USINABLE, THERMOFORMABLE ET IMPRIMABLE
Usinable, thermoformable et imprimable en sérigraphie comme en numérique, le Kairlin permet de multiples applications. « Sa surface poli miroir (rugosité Ra < 0,8µm) permet les impressions, les marquages à chaud et le contre-collage directement sur la matière », indique Xavier Baris. Léger et rigide à la fois, le matériau séduit aujourd’hui d’autres secteurs que celui de l’imprimerie et de la communication, à commencer par les designers et les architectes qui explorent ses possibilités créatives. En mai dernier, le Kairlin a obtenu le JEC Composites Innovation Award, dans la catégorie « Design & Ameublement ». Une référence en matière de projet innovant.
© Kaïros Environnement © Kaïros Environnement
© Loire Impression
VOS QUESTIONS
Passionné de print, Guillaume DE SOUSA, milite, au sein de Loire Impression (49), pour une communication plus responsable. Il a voulu en savoir plus sur le Kairlin. Xavier BARIS lui répond.
Le Kairlin est un matériau biosourcé conçu à partir de fibres de lin ou de chanvre, et de composants 100 % naturels ». Mais encore ?
Le Kairlin est exclusivement composé de fibres de lin ou de chanvre et d’acide polylactique (PLA) qui est un biopolymère compostable en compost industriel issu d’amidon de maïs et/ou manioc et/ou betterave et/ou canne à sucre. Des colorant sont rajoutés pour les références teintées. Le certificat de compostabilité industrielle du Kairlin est en cours d'obtention, mais l'ensemble des tests préliminaires ont déjà été validés.
Pourquoi ne pas attendre que la filière de recyclage soit complètement finalisée avant de commercialiser le matériau ?
Le Kairlin est déjà recyclé à très petite échelle. Pour recycler à plus grande échelle, il faut un gisement de déchets plus important, lequel ne peut exister que si le matériau est commercialisé. Une filière conventionnelle nécessite un minimum de 10 000 tonnes annuelle de déchets et des investissements financiers lourds. Autrement dit, quelque chose d'imaginable uniquement pour des structures multinationales. C'est pourquoi nous développons dès le lancement du produit et la mise en place de notre ligne de production, notre propre filière dans le cadre d'un programme cofinancé avec l'ADEME. La filière de recyclage est construite par itération et proportionnellement à la quantité de Kairlin produite.
© Guyenne Papier
GUYENNE PAPIER
FAIT BARRIÈRE AU PLASTIQUE
C’est le résultat de quatre années de recherche. Le spécialiste en enduction lance une nouvelle gamme de papiers destinés au secteur de l’emballage, garantis sans plastique, ni matières controversées. Par Cécile Jarry
Une enduction sans substances controversées ni matières plastiques, qui convient à de multiples applications et qui permet au papier qu’elle transcende de conserver toutes ses vertus de recyclabilité ? Ce qui semblait impossible il y a encore quelques années ne l’est plus aujourd’hui. Le service R&D de Guyenne Papier, qui planchait sur le sujet depuis près de quatre ans, vient de mettre au point une nouvelle gamme de papiers capables de remplacer les films plastiques présents dans les emballages.
TO BEE OR NOT TO BEE ?
UniversalBee, GreenBee et LadyBee : les trois références de la nouvelle gamme SunniBarrier n’ont rien à envier à leurs équivalents plastique, bien au contraire. Elles en possèdent les mêmes propriétés – barrière à l’eau, barrière aux graisses, barrière à la vapeur –, sont thermoscellables et surtout recyclables, à 95 %. « Le papier est une matière cellulosique poreuse. Tout l’enjeu était de réussir à lui apporter de hautes propriétés techniques sans annihiler un de ses principaux atouts qui est sa recyclabilité. Et nous y sommes parvenus », se félicite Céline Procop, Pdg de Guyenne Papier. « Avec cette gamme, Guyenne Papier conforte également son engagement à ne pas utiliser de substances controversées dans la composition de ses produits, comme par exemple les résines fluorées dont les propriétés barrières à la graisse sont tout à fait remarquables, mais qui sont décriées depuis plusieurs années pour leur rôle néfaste sur la santé. Certains pays comme le Danemark les ont déjà bannies. C’est aussi la voie que Guyenne Papier a choisi de suivre, même si ce n’est pas la plus facile », précise la dirigeante, dont les produits sont également sans dérivés chlorés (PVdC), sans alcool polyvinylique (PVA), sans polyéthylène (PE), ni polyéthylène téréphtalate (PET).
UNE PREMIÈRE APPLICATION CONCRÈTE
La gamme SunniBarrier a séduit une entreprise située en Nouvelle Aquitaine qui fabrique des emballages de sachets de thé en papier 100 % biosourcé. Elle a choisi pour sa production un papier barrière aux graisses et thermoscellable, tout en étant sans plastique, recyclable et biodégradable. D’autres pistes sont sur la table. Guyenne Papier apporte aujourd’hui son expertise et sa technicité pour fabriquer des produits concrets, qui arrivent directement entre les mains des consommateurs, tels que les emballages de sachets de salades prêtes à l'emploi, les barquettes de boucherie et de poissonnerie, les emballages de céréales ou encore les sachets de visserie.
LA PRESSION MONTE
Il faut dire que le contexte est favorable à l’avènement de telles solutions. Entrées en vigueur en janvier 2021, les premières mesures de la loi Anti-Gaspillage pour une Économie Circulaire (AGEC) ont envoyé un signal très clair à l’industrie agroalimentaire et au secteur de l’emballage. Depuis le 1er janvier 2022, l’utilisation d’emballages plastiques pour les fruits et les légumes, ainsi que pour les sachets de thé, est interdite. Plus largement, la loi impose la réduction de 50 % des plastiques d’ici 2025 pour tous les emballages alimentaires, l’objectif étant d’atteindre les 100 % d’ici 2040.
UNE NOUVELLE DYNAMIQUE À CONSTRUIRE
« Le moment est venu pour les industriels qui souhaitent entamer cette transformation de leur activité de réévaluer leurs besoins. Le plastique a longtemps été une matière miracle dotée de beaucoup de vertus. Mais toutes, aujourd’hui, ne sont pas forcément nécessaires. On stocke moins, on produit davantage à la demande. À nous d’accompagner les fabricants dans cette nouvelle dynamique environnementale en les aidant à se poser les bonnes questions », conclut Céline Procop.
© Guyenne Papier
UN ENJEU PRIORITAIRE
En amont de son édition 2022 qui se tiendra en novembre prochain, le salon ALL4PACK Emballage Paris a interrogé plus de 200 fournisseurs d’emballage (40 %) et industries utilisatrices (60 %), tous secteurs confondus, pour connaître leur vision sur l’évolution des matériaux d’emballage. Les résultats montrent que la révolution durable est en marche. L’ensemble du panel a déclaré être conscient de la nécessité d’une transition écologique : 88 % estiment même comme enjeu prioritaire l’utilisation d’emballages plus respectueux de l’environnement. Les principales raisons motivant cette transition sont les attentes des consommateurs (69 %), les bénéfices en termes d’image (56 %) et les changements de législation (49 %). À contrario, les freins exprimés sont sans surprise le coût à l’utilisation de ces matériaux (63 %), leur disponibilité (43 %), et leur qualité (37 %), freins davantage perçus par les industries utilisatrices (43 %) que les fournisseurs (27 %).
INTERNALISATION
En investissant dans une imprimante HP Stitch et une calandre Klieverik, PRINT.COM opte pour l’internalisation de ses productions grand format par sublimation. « L’exigence en termes de qualité, la réduction des délais d’acheminement, l’impression en petite quantité et les prix bas qui caractérisent désormais notre marché ne peuvent être atteints que par une capacité de production interne suffisante ». C’est par ces mots que Marco Aarnik, fondateur et directeur de Print.com, a justifié l’intégration au sein de sa ligne de production de deux solutions destinées à l’impression grand format par sublimation. Une première sur ce segment pour le spécialiste néerlandais du web-to-print.
USINAGE GRANDE VITESSE
Le concepteur et fabricant de systèmes laser TROTEC propose un nouveau système de reconnaissance par caméra pour sa solution Speedy 360. Baptisé « Vision Design & Position », le système transmet, en temps réel, une image couleur de 12 mégapixels de l’ensemble de la zone de travail au poste d’exploitation. Il n’est donc plus nécessaire de positionner manuellement le pointeur laser et d’enregistrer les données de position dans le logiciel, ce qui rend la préparation des travaux laser plus rapide et plus aisée.
UN CLIC, UNE IMPRESSION, DEUX FINITIONS
Une finition mate veloutée ou luxueusement brillante, avec un seul jeu d’encres : c’est aujourd’hui possible avec la nouvelle technologie FLXfinish+ proposée par CANON pour ses imprimantes Colorado, équipées de la technologie UVgel. Grâce à ce module, l’imprimeur n’a plus besoin d’un canal supplémentaire avec vernis pour réaliser des impressions à forte valeur ajoutée. La solution est disponible en standard sur toutes les Colorado 1650.
TEXTILE MADE IN EUROPE
Depuis cet été, SPRINTER, la plateforme d’achat de matières dédiée à l’impression numérique grand format, propose une référence de textile sublimable : le BlackBack. Ce produit imprimable en sublimation directe, transfert, UV et Latex, est un textile tricoté blanc avec dos noir, produit à base de fils fabriqués dans l’Union Européenne. À suivre d’ici la fin de l’année : trois nouvelles références.
DES ENCRES POUR DEMAIN
MUTOH EUROPE annonce le lancement d'une nouvelle génération d'encres CMJN, la série MS51, pour les secteurs de la signalétique et de l'affichage. Compatibles avec une large sélection de médias, y compris les plus sensibles à la chaleur, elles sont garanties 3 ans en extérieur et sont résistantes à l'abrasion et aux produits chimiques. Elles sont également à l’épreuve du futur car elles ne nécessitent aucun pictogramme de danger ou de risque, et ne contiennent pas de gBL (gamma-Butyrolactone1).
Le constructeur japonais renforce sa position de leader sur le marché des imprimantes à sublimation avec le lancement de deux nouveaux modèles 44 pouces (111,76 cm), dont un en 6 couleurs. Une bonne nouvelle pour les secteurs de la mode, du linge de maison, du vêtement de sport, de la signalétique souple et des articles promotionnels, à qui cette nouvelle solution apporte des possibilités créatives étendues.
IMPRESSION TEXTILE : EPSON ÉTOFFE SA GAMME ET AJOUTE DE LA COULEUR
Conçus pour de petites et moyennes séries d’impression, les nouveaux modèles SureColor SC-F6400 4 couleurs et SureColor SC-F6400H 6 couleurs d’Epson lancés cet automne ont été conçus pour la production textile, les produits personnalisés et la reproduction de photos haut de gamme.
UNE PRODUCTIVITÉ ACCRUE
Reposant sur la technologie PrecisionCore Micro TFP du constructeur, conçue pour délivrer une qualité d’image exceptionnelle, ces deux imprimantes offrent des avantages différents, en fonction des besoins de l’utilisateur. La SC-F6400 augmente la productivité de 20 % par rapport à la SC-F6300, qui l’a précédée. La SC-F6400H offre un espace colorimétrique étendu en utilisant du CMJN et en ajoutant, au choix, du rose fluo et du jaune fluo, du cyan clair et du magenta clair ou de l’orange et du violet.
1 MACHINE, 6 COULEURS, DES MILLIERS DE POSSIBILITÉS
Première imprimante à sublimation 6 couleurs 44 pouces d’Epson, la SC-F6400H ouvre la voie à une gamme d’applications potentielles bien plus large pour le textile et les supports rigides. Une bonne nouvelle pour les secteurs de la mode, du linge de maison, du vêtement de sport, de la signalétique souple et des articles promotionnels, à qui cette nouvelle solution apporte des possibilités créatives étendues. Pour ces deux produits, Epson propose une solution complète comprenant matériel, logiciel, tête d’impression, encre, papiers pour sublimation et garantie. La SC-F6400H comprend, en plus, un enrouleur automatique en standard.
© Epson
© Richard Quinn
Le créateur anglais Richard QUINN a équipé son atelier de machines de sublimation Epson, qui lui offrent une grande liberté créative (motifs sur produits complets, impression sur coutures et à l’intérieur des pièces) et lui permettent d’être réactif face aux demandes du marché et de créer des produits sur-mesure avec rapidité.