1 minute read

MARIA ERNESTAM Le Pianiste blessé

Next Article
CARLOS RUIZ ZAFÓN

CARLOS RUIZ ZAFÓN

Roman traduit du suédois par Anne Karila

Amies depuis l’enfance, Veronica, professeure de musique, est charismatique et envahissante tandis que Marieke, écrivaine, reste dans l’ombre. Elles ne se sont plus parlé depuis dix ans. La rupture remonte au voyage qu’elles effectuèrent à Langkawi en Malaisie puis à San Francisco, initié par Veronica à la mort de Klara, sa tante tant aimée, afin de découvrir qui était vraiment cette dernière : pourquoi s’y rendait-elle deux fois par an ? Quelle vie menait-elle là-bas ? Lorsque Marieke décide de reprendre contact, les souvenirs de ce moment qui a changé le cours de leur amitié affluent. Bien plus que les secrets de Klara, elles avaient alors fait face à ce qu’elles étaient devenues. Et la rencontre de James, énigmatique et séduisant pianiste, au bar de l’hôtel de Langkawi avait fini de bouleverser violemment leurs vies et fait vaciller leurs certitudes.

Subtil roman sur les émotions qui traversent une amitié, de la rencontre à la déchirure, Le Pianiste blessé invite aux pas de côté, à la guérison des blessures d’enfance, et à la liberté de vivre, parfois, “comme si personne ne nous regardait”.

Noter

“ Le Pianiste blessé est un roman libérateur, galvanisant, à la fois audacieux et envoûtant. Subtil et dense, il examine en profondeur les relations humaines et d’amitié, s’interroge sur la création, l’amour, la liberté et les limites qu’on pose. L’air de rien, très délicatement, il invite à une introspection personnelle réellement stimulante. Ce livre possède un vrai pouvoir révélateur.”

Cécile Pellerin, Actualitté u Des personnages tout en nuances, avec leur complexité, leurs blessures et leur cheminement u Un roman pudique sur les micro-changements intimes qui finissent par nous constituer u Les Oreilles de Buster : 53 000 ex. (dont 40 000 en Babel)

L’AUTRICE

Maria Ernestam est suédoise et vit à Stockholm. Artiste éclectique, elle est l’autrice de nombreux romans parmi lesquels on retrouve notamment Les Oreilles de Buster (Gaïa, 2011 ; Babel n° 1149, prix de littérature traduite du festival Lire en Poche), Patte de velours, œil de lynx (Gaïa, 2015 ; Babel n° 1619) et Jambes cassées, cœurs brisés (Gaïa, 2019 ; Babel n° 1794).

u Patte de velours, œil de lynx : 40 000 ex. (Gaïa + Babel) u Jambes cassées, cœurs brisés : 12 500 ex. (dont 8 500 en Babel)

This article is from: