Hold-Up spectacle Espérance

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I E DE UNE COMÉD T JEAN STUAR

ÈNE MISE EN SC IRARD CHANTAL G HUBER E N ET MARIAN G

DÉCORS HLI EORGES STÄ LUMIÈRES TI J.-C. CERUT

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Café - Restaurant - Bar Menu Théâtre CHF 45.Cuisine française - Poissons et crustacés Restauration de 18h30 à 23h Joaquim Dos Santos T 022 735 76 00 - F 022 797 08 09 10, rue de la Chapelle - 1207 Eaux-Vives www.lenvers-du-decor.ch lenvers@lenvers-du-decor.ch

Le mot de bienvenue

Madame, Monsieur, cher Public,

C

a y est !... Le théâtre de l’Espérance a rouvert ses portes. Il inaugure la saison 2019-2020 avec une pièce au titre quelque peu intrigant : Hold-up…

Aïe ! Va-t-on se retrouver témoins – involontaires bien sûr – d’actes que la morale réprouve, que la loi poursuit ?... Non, non, rassurez-vous : le théâtre de l’Espérance n’a jamais donné dans l’illégalité, et il n’y a aucun risque qu’il y donne aujourd’hui.

Entrez donc, cher Public, installez-vous, prenez vos aises ; nous sommes très heureux de vous accueillir ce soir. Nous n’allons pas déroger à notre réputation, ni à notre intention de vous offrir un moment de détente et de plaisir (je crois savoir que non seulement vous ne risquez rien mais que, bien au contraire, vous allez bien vous divertir).

Madame, Monsieur, cher Public, soyez les bienvenus ! Et à l’occasion de cette reprise théâtrale découvrez le nouveau restaurant «8 OAK» ouvert de midi à minuit !

Bonne soirée.

JM

Textes Chantal Girard [CG] | Jean Mermoud [JM] Photos Alexis Andres [AA] Création & publicité AA Actual Pub SA Avenue du Bois-de-la-Chapelle 105 1213 Onex | T 022 343 03 43 info@actualpub.ch | www.actualpub.ch

WWW. THEATREESPERANCE .CH PAGE 3

La pièce en quelques mots

Saurez-vous les reconnaître ?

Réponses en pages 12 et 13

A

uteur de romans policiers à succès, Patrick Villardier est marié depuis quinze ans et vit à Paris.

Ce week-end pourtant, il va s’éloigner de la capitale et rejoindre sa maison de campagne pour écrire. Cet exercice lui demande de la concentration et, pour cela, il a besoin de solitude. C’est ce qu’il dit à Noëlle, sa femme, mais ce n’est là qu’un prétexte pour qu’elle ne l’accompagne pas. La vraie raison de son PAGE 4

Jamais il n’aurait osé inventer un plan aussi rocambolesque dans l’un de ses bouquins, et pourtant…

seul ! Sa maîtresse ne va pas tarder à arriver, il a juste le temps nécessaire pour se préparer à l’accueillir. C’est ce qu’il croit…

Photo AA

Pendant ce laps de temps, des invités imprévus vont venir perturber quelque peu ses plans et contraindre notre écrivain de polars à regorger d’imagination pour sauver une situation devenue inextricable. Jamais il n’aurait osé inventer un plan aussi rocambolesque dans l’un de ses bouquins, et pourtant… La réalité dépasse souvent la fiction, c’est bien connu, non ? !

soi-disant besoin de solitude est tout autre ! Il va profiter de passer ce weekend en compagnie de Monique, sa nouvelle conquête !

Nous vous souhaitons de passer une excellente soirée dans cette maison de Normandie où, lorsque l’on est spectateur seulement, il fait bon rire !

Cependant arrivé sur place un petit problème se présente d’emblée : la bonne ne tient pas du tout à prendre le congé surprise que monsieur tient tellement à lui donner séance tenante. A force de persuasion - et à coup de billets de banque elle finit par accepter. Le voilà donc enfin

CG

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Le mot des metteurs en scène

Photo AA

PAGE 6

S

aviez-vous, mesdames, messieurs, qu’en venant ce soir au théâtre vous rencontreriez une récidiviste ? En effet - et pour une fois je ne parle qu’en mon nom ! - c’est la seconde fois que je participe activement à un hold-up.

La première fois, c’était en 1989… à l’époque où, jeune et belle, j’étais la maîtresse du gangster. Ah ! je m’en souviens comme si c’était hier… et j’ai pris 30 ans !

La seconde fois c’est aujourd’hui où, moins jeune et (un peu) moins belle, j’organise avec ma complice cette fois, le hold-up auquel vous avez décidé de participer puisque vous voici ici, avec nous !

Les protagonistes de l’histoire ont tous pris – comme moi ! – 30 ans mais tous n’ont pas accusé de la même façon le poids des ans… C’est vraiment trop injuste ! En effet pour m’accompagner sur ce coup-là* deux complices récidivent à mes côtés : la mère, Simone, qui dans un autre temps était… sa fille ! et le gangster qui, lui… est resté le gangster, le même ! ! Oui, oui, c’est bien ce que je vous disais : c’est vraiment trop injuste ! Quant à l’actuelle maîtresse - dudit gangster - elle est jeune et belle… mais avec le temps elle aussi** accumulera les printemps… cependant elle a (encore) le temps de voir venir !

Blague à part, c’est une expérience très intéressante de participer deux fois, même à trente ans d’écart ! à l’élaboration d’un même spectacle. La première

chose à souligner est que, étonnamment, les souvenirs étaient restés intacts dans ma mémoire lorsque j’ai replongé dans la brochure. Je me souvenais du décor, des répliques, des fous-rires, des déplacements, et cela malgré la distance qui sépare la première version de la seconde.

Seulement c’est bien joli tout ça mais il y a un gros inconvénient à cet atout ma fabuleuse mémoire ( !) – il faut faire abstraction de tous ces souvenirs pour éviter de faire un «copié-collé» tant côté décor que côté mise en scène. J’avoue qu’au début j’ai eu du mal… Impossible d’imaginer un autre décor que celui dans lequel j’avais évolué trois décennies plus tôt. Comment faire ? Tout simplement laisser carte blanche à notre décorateur pour qu’il nous concocte un décor original qui n’aurait rien à voir avec le précédent !

C’est ce que Georges Stähli a fait. Dès qu’il m’a remis le plan, j’ai découvert une tout autre «maison» et tout s’est mis en place comme si c’était la première fois !

La suite s’est parfaitement bien déroulée avec ma complice qui, elle, ne récidivait pas ! Peut-être mais elle a beaucoup fait travailler l’interprétation des personnages pour que vous y croyiez vraiment !

Prêts pour ce hold-up ? Alors c’est parti !

Chantal à la plume Marianne à l’encrier !

* sur ce coup-là : le poids des ans ! ** on se venge comme on peut du temps qui passe !

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L’auteur

M

algré les différentes sources consultées aucune information sur l’auteur n’apparaît nulle part, à croire qu’après avoir écrit «Hold-up» il s’est dépêché de filer sans laisser d’adresse ! Peut-être est-il allé rejoindre l’un de ces fameux paradis fiscaux où l’on peut, sans inquiétude, couler des jours heureux et profite-t-il, loin des tracas de la vie quotidienne, du fruit de son larcin…

siècle. Nous n’allons pas vous faire un

En totale incapacité de parler de Jean Stuart, il restait une possibilité : consulter le programme écrit pour la version précédente en 1989. Voilà ce qui était écrit :

Enfin «Hold-up» est la seule pièce qu’il a

« Avis de recherche concernant un certain Stuart…

Toute personne susceptible de me rendre le service de mettre la main au collet du Sieur Stuart aura pour toute récompense la possibilité de lire ce qui a été découvert par l’auteur des textes de ce programme…

Alors voilà un peu l’historique tel qu’on peut le trouver dans le dictionnaire… » Suit toute une liste de Stuart célèbres dans l’Histoire, dont les fameux Stuart d’Ecosse ducs et comtes depuis le XIVe

cours sur leurs descendants plus ou moins connus qui, d’ailleurs, n’ont rien à voir avec notre auteur !

Dans le cas présent, il semblerait que Jean Stuart soit un pseudonyme ! Il semblerait également que ce monsieur soit l’auteur des romans «L’homme qui valait des milliards» et «Un cave» qui furent tournés en film, respectivement en 1967 et 1972.

signée. Fort bien écrite, cette comédie de 1980 reste toujours d’actualité !

CG

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Souvenirs, souvenirs...

Hold-up, version 1989 Mise en scène

Jacques Séchaud

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Distribution Patrick Villardier Suzanne Morel Emile Saint-Sent Vicky Vallat Noëlle Villardier Simone Nestier Maxime Larain Angelo Bonnot Monique Morgan Inspecteur Dambier L’homme

Hubert Kammacher Marina Monge (Bornet) Pierre Magni Christine Minder Christiane Fiorina Denise Séchaud Richard Lion Thierry Meury Chantal Girard Roger Delez Jacques Séchaud

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Images d’archives

Distribution

p u d l o H UNE COMÉDIE DE JEAN STUART

DU 1ER AU 30 NOVEMBRE 2019

Distribution

En coulisses

par ordre d’entrée en scène

Patrick Villardier Furio Longhi

Mise en scène Chantal Girard et Marianne Huber

Suzanne Morel Héloïse Janin

Décors Georges Stähli

Emile Saint-Sent Dominique Huppi

Construction des décors Thomas Antonioli

Vicky Vallat Laurence Francisoz

Lumières Jean-Christophe Cerutti

Noëlle Villardier Graziella Della Luce

Régie Jean-Christophe Cerutti et Barthélémy Gallopin

Simone Nestier Christiane Fiorina Maxime Larain Richard Lion Angelo Bonnot Kevin Zufferay Monique Morgan Caroline Cherif-Fiorina Inspecteur Dambier Vahid Kaby L’homme Dominique Limat

1 Thierry Meury et Richard Lion 2 Christiane Fiorina et Denise Séchaud.

3 Marina Monge (Bornet), Christine Minder, Pierre Magni, Hubert Kammacher et Chantal Girard 4 Hubert Kammacher, Richard Lion et Chantal Girard 5 Hé oui! à l’époque, la promotion du spectacle ne se faisait pas encore sur Internet...

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Distribution

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De gauche à droite et de haut en bas. Photos AA Page de gauche Furio Longhi, Héloïse Janin, Dominique Huppi, Laurence Francisoz, Graziella Della Luce, Christiane Fiorina, Richard Lion.

Page de droite Kevin Zufferay, Caroline Cherif-Fiorina, Vahid Kaby, Dominique Limat, Chantal Girard, Marianne Huber.

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Autour de la pièce

Mon bourreau bien aimé...

L

e 23 août 1973, au matin, un évadé de prison, Jan Erik Olsson, pénètre dans la succursale de la Kreditbanken à Stockholm. A l’intérieur, il sort de son sac une mitraillette et tire plusieurs rafales en l’air. Des dizaines d’employés s’enfuient ou se jettent au sol. Au moment où les forces de l’ordre interviennent et cernent le bâtiment, Jan Erik Olsson se retranche dans la banque avec 4 employés, trois femmes et un homme. Il exige 3 millions de couronnes (300’000 francs), des armes, un gilet pare-balles et un avion pour s’enfuir. Il demande également, et obtient, la libération de son compagnon de cellule, l’un des criminels les plus dangereux du pays, Clark Olofsson, qui le rejoint.

Les deux hommes se barricadent avec leurs 4 otages dans la chambre forte de la banque. Ils y resteront 6 jours. Malgré le cloisonnement, la tension et la peur, otages et ravisseurs finissent par développer un sentiment mutuel d’estime et de sympathie. Le 28 août, la police perce des trous dans le plafond de la chambre forte et y introduit un gaz anesthésiant.

La prise d’otage se termine sans effusion de sang.

Au moment de la libération des otages, les policiers assistent à des scènes surréalistes : les employés refusent d’être secourus. Kristin, l’une des otages, sténographe dans la banque, exige que les

deux criminels passent devant elle, pour éviter qu’ils soient abattus par la police.

Avant de sortir de la chambre forte, criminels et otages se prennent dans les bras et se saluent chaleureusement. Lors du procès, les victimes refusent de témoigner contre les braqueurs et vont même jusqu’à se cotiser pour assurer les frais de la défense des deux hommes. Plus tard, ils leur rendront régulièrement visite en prison.

Cette propension des otages à développer un attachement affectif avec leurs ravisseurs, fondé sur des mécanismes complexes de survie, a fait depuis lors l’objet de nombreuses études scientifiques. C’est le fameux «syndrome de Stockholm».

Au terme du procès, Erik Olsson a été condamné à 10 ans de prison et libéré en 1980.

On a prétendu qu’il avait entretenu une liaison amoureuse avec Kristin, l’une des otages, voire qu’il l’aurait épousée. Faux : il ne s’agirait que d’une légende urbaine.

Mais peut-être que sur ce point controversé du syndrome de Stockholm, «Hold Up», la pièce que vous allez voir, pourrait apporter des éléments nouveaux...

Dominique Huppi

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Autour de la pièce

Quelques hold-up célèbres...

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décembre 1911, Paris.

Un employé de la banque «Société Générale» est attaqué par un groupe de malfaiteurs, jaillis d’une voiture, qui lui tirent dessus et s’emparent d’une sacoche sans nul doute très intéressante, puis s’engouffrent dans leur véhicule et disparaissent aussitôt. A l’époque où la police se déplaçait à cheval ou à vélo, Jules Bonnot et quelquesuns de ses comparses ont ainsi ouvert l’ère du banditisme automobile. Ce fut le premier hold-up motorisé de l’Histoire.

25 mars 1990, Genève. 31,4 millions de francs sont dérobés à l’UBS. Le butin n’a pas été retrouvé. L’enquête a démontré que les gangsters avaient disposé de complicité à l’intérieur de la banque.

10 février 2008, Zurich. Quatre tableaux sont volés au musée de la fondation Emil-G. Bührle. La valeur totale de ces toiles signées Cézanne, Degas, Van Gogh et Monet est estimée à 115 millions d’euros.

JM

8 août 1963, Ledburn. Quinze personnes attaquent le train postal GlasgowLondres. Considéré à l’époque comme «le casse du siècle». A la suite de l’enquête policière la plupart des braqueurs seront arrêtés mais l’argent, dans sa presque totalité, n’a jamais été retrouvé.

18 juillet 1976, Nice. Un gang pénètre dans la salle des coffres de la «Société Générale», en passant par les égouts et un tunnel de huit mètres de longueur entièrement creusé à la main. Les malfaiteurs fracturent 371 coffres et s’emparent d’un butin estimé à 50 millions de francs (environ 31 millions d’euros actuels). Le butin n’a jamais été retrouvé.

«Le garçon au gilet rouge» de Paul Cézanne, l’un des tableaux volés à Zurich, a été retrouvé en 2012, à Belgrade, grâce aux enquêteurs qui s’étaient fait passer pour des marchands d’art. Image tirée d’Internet.

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Autour de la pièce

On en apprend des choses !

H

old-up est un mot anglo-américain ; c’est un abrégé de l’expression «Hold up your hands» qu’on traduit par «haut les mains». Il désigne une «agression à mains armées en vue de dévaliser une banque, une bijouterie, un convoi…» Ce terme est aussi utilisé par des opposants à la politique économique d’un Etat ou de grandes entreprises.

Quelques mots plus ou moins synonymes de hold-up : braquage, cambriolage, casse, effraction, embuscade, guetapens**, pillage, rapt, traquenard. ** Au moyen-âge, existait l’expression «aguet pensé» qui s’est altéré en «guet apensé» et est devenue «guet-apens» au cours du XVe siècle. A l’époque «pensé » et «apensé» signifiait «prémédité».

Hold-up a aussi des sens figurés ; par exemple, on l’utilise quelquefois à la place de «arnaque, plagiat, usurpation,» etc. (Certains n’ont-ils pas qualifié l’élection d’Emmanuel Macron de «hold-up politique» ?...)

Une citation : «Le succès aujourd’hui, c’est plus proche du hold-up que de la fiche de paie». Jacques Dutronc Une autre : «Quand c’est le citoyen qui est victime de la banque, le hold-up n’est pas poursuivi par la loi». Philippe Geluck JM

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Vos prochaines pièces

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La presse est unanime

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RUE DE LA CHAPELLE 8 – EAUX-VIVES – 1207 GENÈVE

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Un critique réputé et redouté vit avec une comé-

Le soir du mariage de sa fille, Francis se fait

dienne qui fait son retour au cinéma. Elle lui fait

prendre la main dans le sac par sa femme

jurer d’être objectif s’il doit signer un papier sur

Rosalie, qui découvre ses nombreuses infidé-

son film : ce sera au-delà de ses espérances !

lités. Le divorce qui s’annonce semble perdu

Sa meilleure amie, son attaché de presse et son

d’avance pour Francis qui craint de se voir

secrétaire vont s’en mêler pour dénouer cette

dépouiller. Et puis, il aime toujours Rosalie.

crise (de rires) conjugale où s’entrechoquent

Alors pourquoi ne pas signer la paix ? Mais

amour et travail. Ce texte écrit tout en finesse

on ne rattrape pas un mensonge par un autre

et en subtilité par le trublion du PAF est une

mensonge. La maladresse et la mauvaise foi

garantie de rires du début à la fin.

de Francis vont provoquer les pires représailles

Distribution Marina Bornet, Laurence Juvy, Yan Le

de Rosalie. Deux ans après le succès de «Mon

Moal, Sophie Lorenzi, Septival, Benjamin Smadja.

meilleur copain», c’est avec bonheur que nous retrouvons la plume d’Éric Assous, ses répliques drôles et percutantes.

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