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Numéro 135
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Good News
N
ouveau partenariat entre Culturetoute.com la première revue de presse culturelle quotidienne digital au Maroc et Kamsyn.com, le Magazine Digital International VIP qui se concentre sur la Diplomatie, l’Art, la Culture et le Leadership au Levant du Liban. De facto culturetoute.com s’offre un lectorat de plus de 3,000 VIP Internationaux. Dans le cadre de ce partenariat culturetoute.com reproduira les articles
traitant de la culture et du monde artistique au Liban et qu’on apprécie largement dans notre pays vue les relations fraternelles qui unissent le Liban et le Maroc. Pour sa part culturetoute.com qui oeuvre inlassablement depuis sa création au développement de la culture et à la promotion de l’art et des événements artistiques aussi bien au Maroc et à l’étranger, n’aura de cesse de mettre en exergue la notoriété de l’art et de la culture du Maroc au Liban.
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+ àNE PAS RATER
Khalid Mhammedi
lecteurs VIP
Contributeur et chroniqueur, RP de Culturetoute. Rendez-vous avec Khalid Mhammedi tout les Lundi. Khalid Mhammedi, diplomé de l’ESC Toulouse, fondateur du Club ASSIET des épicuriens de Tanger, Past président du Rotary casa Corniche et responsable de la commission culture et du prix littéraire ROTARY MAROC, est désormais contributeur de culturetoute. com avec la chronique hebdomadaire 100% culture à ne pas rater.
Norman Thavaud en spectacle à Casablanca
...Le jeune homme qui compte aujourd’hui plus de 4 millions de fans sur Facebook, presque 5 millions sur Twitter et plus de 7,7 millions d’abonnés sur sa chaîne Youtube aborde dans son one man show une panoplie de sujets, notamment sa popularité grandissante, qui lui vaut parfois de se faire approcher de manière inopinée dans la rue. Il parle également de ses origines et de son bilinguisme ch’ti qu’il trouve loind’êtresexy,contrairement aux Français qui maîtrisent l’italien par exemple, et qu’il imite savoureusement d a n s u n m o m e n t t rè s comique du spectacle, explique nos confrères du «Huffingtonpost» qui ont pu assister au spectacle du jeune humoriste au Canada. ... © libe.ma
LA
#du Jeudi 29 septembre 2016 Le cinéma marocain à l’honneur au Festival du film arabe de Malmö
Le cinéma marocain est à l’honneur cette année au Festival du film arabe de Malmö en Suède qui se tient du 30 septembre au 5 octobre prochain. Selon les organisateurs, la 6ème édition du festival sera marquée par «un focus spécial sur le Maroc pour mettre en exergue la forte contribution et la diversité
Mohamed Nedali: « un simple baiser peut conduire en prison… »
Le romancier marocain, prix Grand Atlas en 2005 pour son roman Morceaux de choix – Les amours d’un apprenti boucher, vient de publier un dernier roman jubilatoire, Evelyne ou le Djihad? Il évoque pour LeSiteinfo sa carrière de romancier et nous livre la vision qui est la sienne de la société marocaine, entre esprit de facétie et désir d’affranchissement. Le 28 septembre 2016
La culture, une section bouche-trou dans les programmes électoraux?
... Le Maroc planchera-t-il enfin sur une politique culturelle apte à faire de ce secteur une industrie créatrice de richesse? Si l’on s’en tient aux programmes électoraux des différents partis, la culture pourrait connaître un regain d’intérêt aux yeux des politiques... Le 29 septembre 2016
du cinéma marocain des dernières années». Une série de longs et de courts métrages ainsi que de documentaires sont au programme outre une exposition d’affiches de vieux films marocains et un spectacle musical, indiquent les organisateurs de cet évènement qui verra la participation d’acteurs, réalisateurs et producteurs marocains. Le 29 septembre 2016
... Entre le PJD et sa “stratégie culturelle nationale”, le PAM et son souhait de “revaloriser le patrimoine”, le RNI qui promet 100.000 emplois directs et 500.000 indirects en cinq ans, l’Istiqlal qui veut éditer 5.000 livres en 2021 et l’USFP qui souhaite renforcer le rôle de la culture dans la lutte contre l’extrémisme, on serait presque tenté d’être optimiste. Mais la culture reste encore à l’image qui lui est consacrée dans les programmes électoraux: elle passe au dernier rang et remplit souvent les dernières pages. “Dans les programmes, c’est simple. On parle de culture parce qu’on est un peu obligé de le faire”, nous lance Aadel Essaadani, président de l’association Racines, qui milite pour la démocratisation de la culture au Maroc ... © huffpostmaghreb.com
Le film marocain “Before it’s too late” participe au concours mondial organisé par l’ONU sur le climat
I l s ’a g i t d ’ u n c o n c o u r s v i d é o mondial «Film4Climate», ouvert aux cinéastes âgés de 14 à 35 ans, les invitant à créer un court m é t r a g e s u r l ’a c t i o n p o u r l e climat, traité selon les sujets tels que la compétitivité verte, les politiques climatiques, les énergies renouvelables, l ’e f f i c a c i t é é n e r g é t i q u e , l a mobilité durable, l’agriculture et l’utilisation de l’eau intelligentes et la sécurité alimentaire. Ce concours, annoncé lors du dernier Festival de Cannes, sera présidé par un prestigieux jury composé de professionnels
dans les domaines du cinéma, de la communication et de l’environnement. Interprété par l’artiste Ferdaous aux côtés de Azzedine Elbakouchi et Mourad Harakat, «Before it ’s too late» est produit par la Fédération nationale des arts et de la culture «Fed’Arts» avec l’appui technique de «Cinétéléma» et «Preview». L’histoire se déroule dans un tribunal, mettant en scène 3 personnages : un juge qui symbolise l’humanité, un homme portant un habit sombre représentant le réchauffement
climatique et une femme/ abeille, porte- parole de la nature. L’a b e i l l e , d o n t o n c o n n a î t l e rôle capital dans la préservation des écosystèmes, est venue déposer contre le réchauffement climatique, principale menace c o n t r e l ’e n v i r o n n e m e n t e t interpelle l’humanité sur l’urgence d’agir et de trouver les bonnes solutions. ©libe.ma Le 29 septembre 2016
L»Before it ’s too late», écrit et réalisé par Ferdaous Abouhouari, participera au concours organisé par les Nations unies dans le cadre de «L’action pour le climat», 13ème des 17 objectifs de développement durable (ODD).
Réda Dalil, Entretien un sérial-winner. exclusivE
Réda Dalil : une plume qui fait le Job PAR
Khalid
M h amme d i
Après Le Job, prix littéraire de la Mamounia en 2014, Réda Dalil signe un deuxième roman Best-Seller récemment primé à Paris. Entretien un sérialwinner. Culturetoute.com : «Best-seller», titre plutôt original ! Comment vous est-il venu ? Dans le livre, il est question d’un écrivain Bachir Bachir dont le don d’écriture s’évapore brusquement. Quitté par sa muse, en proie à un vague à l’âme abyssal, endetté jusqu’au cou, plongé dans une dépression gigogne, il n’aura d’autre choix pour s’en sortir que d’écrire un roman à succès. C’est de cette obsession à produire un best-seller qu’est dérivé le titre du roman. Culturetoute.com : Votre premier roman «Le Job» est lauréat du «Prix littéraire de la Mamounia» en 2o14 et du prix «Gros Sel Belge du public». Best-Seller vient de recevoir la mention spéciale du jury de la littérature arabe. Comment expliquez-vous ce succès ?
S’il existait une formule expliquant le succès d’un livre et que j’en étais le dépositaire, je m’emploierai à l’exploiter dans toutes mes publications. Ou bien, je lancerai ma propre maison d’édition et deviendrai riche et fortuné en deux coups de cuillère à pot. Mais, plaisanterie à part, et pour être tout à fait sincère, je n’en ai aucune idée. Il me semble qu’un style simple, une intensité dramatique soutenue et des personnages plutôt crédibles, constituent un bon point de départ pour un roman dit «réussi». Là encore, je le répète, il n’existe pas de formule figée. Il faut se faire confiance et écrire le livre qu’on aimerait lire. Culturetoute.com : On dit que l’écriture de Best-Seller vous a été inspirée par, paradoxalement, un manque d’inspiration, ou plutôt un blocage. Vous confirmez ? En effet, la thématique centrale de Best-seller, à savoir, le syndrome de la page blanche, est inspirée d’un vécu. J’ai moi-même, après la parution de mon premier roman : Le Job, été victime d’un blocage aussi total qu’inexplicable. Il me semblait que tout ce que j’écrivais était d’une médiocrité crasse. J’impute cette situation assez insolite au plafond d’attente que j’avais créé avec le succès de Le Job. Cette exigence a tari mon verbe.
J’ai donc décidé d’en faire un livre. C’est ainsi que j’ai fait du personnage central de Best-Seller : Bachir Bachir, une sorte de double romanesque soumis aux mêmes contraintes d’écriture que moi. Très vite, en objectivant mon trouble de la sorte, j’ai réussi à lever le blocage. Mais ce ne fut pas de tout repos. Culturetoute.com : Comment Bachir Bachir arrive-til à vivre de sa plume au Maroc où on ne lit que deux minutes pas an ? Il y arrive grâce un mélange de roublardise et de bagout, en facturant des conférences, des passages télé, en tarifant sa présence dans des jurys diverset variés. Du reste, grâce à son premier roman : Le Jib, écoulé à 14.756 exemplaires, il a empoché une somme rondelette qui, on le verra dans le livre, ne résistera pas longtemps aux assauts d’un quotidien particulièrement onéreux. Culturetoute.com : Le livre plonge dans une crise latente depuis plusieurs années. Y-a-t-il un remède à cette impasse? La raison en est simple. Il n’y a tout simplement pas de marché. Lorsqu’on sait qu’un best-seller s’écoule à 1000 exemplaires, toute la chaîne, éditeurs, libraires, distributeurs, est frappée d’une démotivation terminale. Si l’on sait d’avance qu’en cas de réussite, on reste quand même dans l’échec relatif, cela n’est pas de nature à créer l’enthousiasme à l’origine de l’excellence. A l’exception d’un petite minorité, les marocains ne lisent pas, c’est un fait incontournable. Hélas, cette minorité de lecteurs ne peut à elle seule dynamiser toute une filière. On pense à tort qu’à partir de l’instant où le livre est en libraire, ou un acte d’achat est possible, qu’un écrivain gagne de l’argent. Pour l’écrivain, en réalité, l’écriture ne peut être qu’un hobby. Et c’est bien dommage car la scène compte des écrivains de talent lesquels, faute de temps, n’iront jamais au bout de leur potentiel. ©Culturetoute.com
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Spectacle Le Ballet Carmen revisité au Théâtre national Mohammed V Ce sera «Le Ballet Carmen», Let’s dance, modern jazz oriental et k-pop où les danseuses Gina, Nora et Wafaa s’évertueront à donner le meilleur d’elles-mêmes. © lematin.ma
« Femmes et climat », un road movie écologique pour la Cop22 (vidéo) ©lesiteinfo.com
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Ahmad Bouzoubaa, Fondateur et créatif de lamaisondesartistes.ma & culturetoute.com
La Maison des Artistes s’est fixée comme objectif de promouvoir l’art contemporain marocain. Notre agence également spécialisée dans la communication propose un concept original pour la décoration murale des bureaux et de l’intérieur des locaux. Notre agence se charge aussi de tous travaux de conception, d’édition ...
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