Numéro 137
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Quand Benkirane chante Oum Kalthoum ça donne ça ! (vidéo)
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ouveau partenariat entre Culturetoute.com la première revue de presse culturelle quotidienne digital au Maroc et Kamsyn.com, le Magazine Digital International VIP qui se concentre sur la Diplomatie, l’Art, la Culture et le Leadership au Levant du Liban. De facto culturetoute.com s’offre un lectorat de plus de 3,000 VIP Internationaux. Dans le cadre de ce partenariat culturetoute.com reproduira les articles
traitant de la culture et du monde artistique au Liban et qu’on apprécie largement dans notre pays vue les relations fraternelles qui unissent le Liban et le Maroc. Pour sa part culturetoute.com qui oeuvre inlassablement depuis sa création au développement de la culture et à la promotion de l’art et des événements artistiques aussi bien au Maroc et à l’étranger, n’aura de cesse de mettre en exergue la notoriété de l’art et de la culture du Maroc au Liban.
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Khalid Mhammedi
lecteurs VIP
Contributeur et chroniqueur, RP de Culturetoute. Rendez-vous avec Khalid Mhammedi tout les Lundi. Khalid Mhammedi, diplomé de l’ESC Toulouse, fondateur du Club ASSIET des épicuriens de Tanger, Past président du Rotary casa Corniche et responsable de la commission culture et du prix littéraire ROTARY MAROC, est désormais contributeur de culturetoute. com avec la chronique hebdomadaire 100% culture à ne pas rater.
Leila Slimani : Une nounou d’enfer.
PAR Khalid MHAMMEDI Il est des chances que Leila Slimani fasse une razzia sur les plus grands prix littéraires parisiens. Son deuxième roman, « Chanson douce», est en lice pour, tenez-vous bien, six prix littéraires majeurs dont le prestigieux Goncourt et le non moins prestigieux Renaudot. Il faut dire que Chanson Douce est un roman très abouti. Le pitch : un couple de bobos parisien absorbé par une ambition carriériste dévorante, s’attache les servicesd’unenounou bien sous tous rapports : Louise. Au début, tout se passe bien, la gouvernante est parfaite, les enfants l’adorent, les parents en sont gagas au point qu’elle est conviée à les accompagner en Grèce pour les vacances d’été. Or, Louise, personnage sombre, au passé trouble, est sujette à une dépression noire, gigogne. Bientôt, quelques
vexations du quotidien la transforment en monstre jusqu’à ce que l’irréparable se produise. On ne déflorera pas le finish époustouflant de ce livre-choc, suffit de dire que Leila Slimani a produit là un tour de force littéraire d’une facture admirable, d’une précision chirurgicale et d’un suspense haletant. Conseil à nos lecteurs : Achetez-le avant la rupture de stock. ©Culturetoute.com
Leïla Slimani est une journaliste et écrivain franco-marocaine, née à rabat le 3 octobre 1981..
Paris. Elle est engagée au magazine Jeune Afrique en 2008 et y traite des sujets touchant à l’Afrique du Nord.
Leïla Slimani grandit dans une famille de culture française (son père,Othman Slimani, est banquier ; sa mère est médecin ORL, mi-alsacienne, mialgérienne) . En 1999, elle vient à Paris pour ses études où elle est diplômée de l’Institut d’études politiques de Paris, elle s’essaie au métier de comédienne (Cours Florent), puis se forme aux médias à l’École supérieure de commerce de
En 2014, elle publie son premier roman chez Gallimard, «Dans le jardin de l’ogre». Le sujet (l’addiction sexuelle féminine) et l’écriture sont remarqués par la critique et l’ouvrage est proposé pour le Prix de Flore 2014 et remporte la 6éme édition du prix littéraire Mamounia. Suivra «Chanson douce» en 2016.
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#du Lundi 3 octobre 2016 Do n j a po n a i s d e p l u s d e 9 MDH pour l’équipement de la Bibliothèque nationale du Ro y a u m e
Le Japon a accordé au Maroc un don de 100 millions de yens japonais (environ 9,650 millions de dirhams), destiné à doter la
ADAM L O TFI , D e l’atlas au chemin de c o m po s t e l l e
... Lassé par la frénésie de la vie citadine moderne, poussé par une envie d’évasion et d’aventure, ce musulman pratiquant décide d’aller se ressourcer spirituellement à travers la marche...
Bibliothèque nationale du Royaume du Maroc (BNRM) d’équipements pour la numérisation de journaux et de microfilms archivés, rénover son auditorium et renforcer les équipements de son laboratoire de restauration. Ce don, qui a fait l’objet d’un échange de notes signé vendredi... Le 3 octobre 2016
L’auteur instaure d’emblée avec son lecteur un pacte de sincérité, affirmant que tout ce qu’il raconte dans ses deux récits de voyages est véridique. Lassé par la frénésie de la vie citadine moderne, poussé par une envie d’évasion et d’aventure, ce musulman pratiquant décide d’aller se ressourcer spirituellement à travers la marche. Au coeur du splendide paysage marocain d’abord, puis en France, le lecteur est entraîné à sa suite à travers villages et sentiers escarpés. Attachant autant d’intérêt aux beautés de la nature qu’aux monuments historiques, il décrit avec sensibilité et enthousiasme les étapes qui jalonnent son parcours.
Fa s h i o n W e e k d e Paris: La FrancoMarocaine Bouchra Jarrar o u v r e u n e nouvelle ère chez Lanvin
La créatrice franco-marocaine Bouchra Jarrar, nommée c h e z L a n v i n a p r è s l ’é v i c t i o n
Résumé Fin août 2012, partant de Marrakech, Adam Lofti entame son expédition dans les montagnes de l’Atlas. Sportif, il souhaite surtout faire « un pèlerinage pour son âme ». Après de longues heures de marche, il sympathise avec des compagnons de route. De refuge en auberge, le petit groupe s’agrandit au fil des rencontres. Il sait prendre le temps de savourer ces moments de bonheur en pleine nature. La fatigue est récompensée par une baignade dans un lac, le spectacle du lever du jour, la beauté du décor qui l’entoure. Il observe avec intérêt les moeurs dans les villages, si différents de ceux de la ville. À partir des notes prises durant son périple, il décide de composer un récit de voyage pour partager son expérience. Deux ans plus tard, il accompagne une amie française sur le chemin de Compostelle pour une nouvelle expédition remplie de belles rencontres dans des lieux chargés d’histoire.
tumultueuse d’Alber Elbaz, a ouvert, mercredi dernier, une nouvelle page de l’histoire de la plus vieille maison de couture parisienne en activité, avec une collection mêlant son goût pour l’épure à l’ADN raffiné de la griffe. Signe d’une nouvelle ère, le défilé n’était pas organisé en soirée comme son p ré d é c e ss e u r. . . ©libe.ma Le 1 octobre 2016
Réda Dalil, Entretien un sérial-winner. exclusivE
Réda Dalil : une plume qui fait le Job PAR
Khalid
M h amme d i
Après Le Job, prix littéraire de la Mamounia en 2014, Réda Dalil signe un deuxième roman Best-Seller récemment primé à Paris. Entretien un sérialwinner. Culturetoute.com : «Best-seller», titre plutôt original ! Comment vous est-il venu ? Dans le livre, il est question d’un écrivain Bachir Bachir dont le don d’écriture s’évapore brusquement. Quitté par sa muse, en proie à un vague à l’âme abyssal, endetté jusqu’au cou, plongé dans une dépression gigogne, il n’aura d’autre choix pour s’en sortir que d’écrire un roman à succès. C’est de cette obsession à produire un best-seller qu’est dérivé le titre du roman. Culturetoute.com : Votre premier roman «Le Job» est lauréat du «Prix littéraire de la Mamounia» en 2o14 et du prix «Gros Sel Belge du public». Best-Seller vient de recevoir la mention spéciale du jury de la littérature arabe. Comment expliquez-vous ce succès ?
S’il existait une formule expliquant le succès d’un livre et que j’en étais le dépositaire, je m’emploierai à l’exploiter dans toutes mes publications. Ou bien, je lancerai ma propre maison d’édition et deviendrai riche et fortuné en deux coups de cuillère à pot. Mais, plaisanterie à part, et pour être tout à fait sincère, je n’en ai aucune idée. Il me semble qu’un style simple, une intensité dramatique soutenue et des personnages plutôt crédibles, constituent un bon point de départ pour un roman dit «réussi». Là encore, je le répète, il n’existe pas de formule figée. Il faut se faire confiance et écrire le livre qu’on aimerait lire. Culturetoute.com : On dit que l’écriture de Best-Seller vous a été inspirée par, paradoxalement, un manque d’inspiration, ou plutôt un blocage. Vous confirmez ? En effet, la thématique centrale de Best-seller, à savoir, le syndrome de la page blanche, est inspirée d’un vécu. J’ai moi-même, après la parution de mon premier roman : Le Job, été victime d’un blocage aussi total qu’inexplicable. Il me semblait que tout ce que j’écrivais était d’une médiocrité crasse. J’impute cette situation assez insolite au plafond d’attente que j’avais créé avec le succès de Le Job. Cette exigence a tari mon verbe.
J’ai donc décidé d’en faire un livre. C’est ainsi que j’ai fait du personnage central de Best-Seller : Bachir Bachir, une sorte de double romanesque soumis aux mêmes contraintes d’écriture que moi. Très vite, en objectivant mon trouble de la sorte, j’ai réussi à lever le blocage. Mais ce ne fut pas de tout repos. Culturetoute.com : Comment Bachir Bachir arrive-til à vivre de sa plume au Maroc où on ne lit que deux minutes pas an ? Il y arrive grâce un mélange de roublardise et de bagout, en facturant des conférences, des passages télé, en tarifant sa présence dans des jurys diverset variés. Du reste, grâce à son premier roman : Le Jib, écoulé à 14.756 exemplaires, il a empoché une somme rondelette qui, on le verra dans le livre, ne résistera pas longtemps aux assauts d’un quotidien particulièrement onéreux. Culturetoute.com : Le livre plonge dans une crise latente depuis plusieurs années. Y-a-t-il un remède à cette impasse? La raison en est simple. Il n’y a tout simplement pas de marché. Lorsqu’on sait qu’un best-seller s’écoule à 1000 exemplaires, toute la chaîne, éditeurs, libraires, distributeurs, est frappée d’une démotivation terminale. Si l’on sait d’avance qu’en cas de réussite, on reste quand même dans l’échec relatif, cela n’est pas de nature à créer l’enthousiasme à l’origine de l’excellence. A l’exception d’un petite minorité, les marocains ne lisent pas, c’est un fait incontournable. Hélas, cette minorité de lecteurs ne peut à elle seule dynamiser toute une filière. On pense à tort qu’à partir de l’instant où le livre est en libraire, ou un acte d’achat est possible, qu’un écrivain gagne de l’argent. Pour l’écrivain, en réalité, l’écriture ne peut être qu’un hobby. Et c’est bien dommage car la scène compte des écrivains de talent lesquels, faute de temps, n’iront jamais au bout de leur potentiel. ©Culturetoute.com
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La Salle culturelle de l’ambassade du Japon à Rabat offre à voir, jusqu’au 12 octobre, une exposition des plus magnifiques où toute la tradition artisanale ancestrale en marqueterie japonaise est montrée pour le plus grand plaisir du large public de la capitale. © lematin.ma
Les larmes aux yeux, Gad Elmaleh s’exprime en darija (vidéo) ©lesiteinfo.com
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Ahmad Bouzoubaa, Fondateur et créatif de lamaisondesartistes.ma & culturetoute.com
La Maison des Artistes s’est fixée comme objectif de promouvoir l’art contemporain marocain. Notre agence également spécialisée dans la communication propose un concept original pour la décoration murale des bureaux et de l’intérieur des locaux. Notre agence se charge aussi de tous travaux de conception, d’édition ...
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