Trait
d’Union
101 JUILLET NOVEMBRE 2009
taire franco-française, braquant les flingues idéologiques sur le rejet de l'autre, inspiré de l'hydre sécuritaire des années les plus sombres de l'affaire Dreyfus ou du gouvernement de Vichy, alors que la crise du capitalisme, source de tous les maux, n'en finit plus de faire des ravages. Les discours présidentiels tonitruants n'y feront rien. La crise économique, loin de susciter les remises en cause nécessaires, sert de prétexte à une entreprise de démolition sans précédent de nos services publiques, de la spécificité sociale française, basée sur le droit à tout individu, quelles que soient ses origines, d'accéder à l'emploi, à la protection sociale, à l'éducation, à la culture, à la santé, au logement, au transport :
que de
murs
Wittelsheim
le magnifique chant de la cigogne
HUBERT STRAUEL
Après Lure, Cernay, Masevaux. Après SainteMarie-aux-Mines, encore une agence condamnée. Une de plus plus. Pourtant, la mobilisation était là, forte, déterminée. Une force grandiose, tous unis dans l'action, habitants du Bassin potassique, élus locaux, usagers et salariés du journal, élus FILPAC-CGT. Avec un cri, unanime: « Il faut sauver notre agence de Wittelsheim ». 350 participants au meeting, plus de 800 signatures au bas de la pétition. Rien n'y aura fait : la direction, le Crédit Mutuel, sont restés murés dans leur intransigeance, sourds à la colère de toute une population. Ce 15 octobre 2009, L'Alsace a raté une belle occasion de redorer son blason. Une faute grave. Les forces de l'argent sont impitoyables. Le respect de toute une population, la démocratie sont bien peu de choses pour les « décideurs ». Pour la postérité, nous publions
l'allocution du secrétaire du comité d'entreprise, prononcée lors du meeting du 15 octobre 2009. « Chers amis, nous sommes ici aujourd'hui, avec vous, pour faire comprendre à la direction de « L'Alsace » que le projet de fermeture ne souffre aucune discussion : il doit être purement et simplement annulé ! Il en va de la crédibilité de nos relations étroites et quasi fusionnelles que nous avons tissées, depuis de si longues années, entre le journal et la population du Bassin potassique, ses associations, ses élus, relations bâties sur des valeurs de respect mutuel et de fidélité réciproque. Votre présence, vos attentes prouvent que ces liens ne sont pas en passe de disparaître ! Le Bassin potassique connaît l'un des meilleurs taux de diffusion, non seulement de notre journal, mais également de toute la presse en France, et il est de notre devoir de veiller à ce
que cette réalité persiste. En soutenant l'action que le comité d'entreprise, ses élus, le syndicat FILPAC-CGT ont engagé, croyez bien que votre présence, nombreuse, nous conforte dans notre décision de ne pas laisser faire. Une telle marque d'estime et de soutien va, bien évidemment, droit au cœur de Violette et de Yolande, nos deux employées à l'accueil, qui ont assuré respectivement 31 et 27 années de présence, fidèles au poste, dans cette agence, ainsi que de Francis, notre inspecteur ! Comment en sommes-nous arrivé là?
HUBERT STRAUEL
Un mur est tombé. 20 ans plus tard, rien de changé, tout a empiré ! L'actualité médiatique nous sert actuellement de ces ragoûts maintes fois réchauffés dont on a du mal à saisir la pertinence. Ce qui donne lieu à d'obscures collusions entre la commémoration de ce que nous devrions considérer comme le clap de fin d'une utopie irréaliste, la mondialisation définitive de l'économie capitaliste et ce débat d'inspiration réactionnaire sur une soit-disant "identité française". Si identité française il y a, elle s'est exprimée tout au long de notre histoire par le combat pour le progrès social, la paix, la démocratie, les valeurs universelles de solidarité et de partage. Alors, quoi de plus pervers que d'en appeler à un prise de conscience identi-
à abattre
2
3 autant de cibles dans la ligne de mire des appétits féroces du marché dit "libre", pour qui ne comptent que les impératifs de rentabilité ! Posons une question essentielle: dans quel domaine constatons-nous une amélioration ? Le tableau est éloquent : 5 millions de privés d'emploi, explosion du nombre d'allocataires du RMI et du RSA, cette couverture minimaliste pour les pauvres, la précarité institutionnalisée, les " Restos du cœur" qui prospèrent, la pauvreté qui s'étend, la protection sociale et l'a ccès aux soins qui se réduit en peau de chagrin, les retraites laminées... Pas un jour sans l'annonce d'un nouveau plan social, d'une fermeture d'entreprise. La propagande gouvernementale et patronale, basée sur la diversion et la manipulation, ne doit pas
nous égarer. A force de privilégier les empires financiers et les grandes fortunes, on finit par tarir les ressources utiles à la société. France Télécom, qui a défrayé la chronique par son effroyable bilan social, reverse ainsi 87 % de son bénéfice net en dividende aux actionnaires! La finalité, le but de toute activité se réduirait donc à cela ? La souffrance, le mal-vivre au travail seront-ils inscrits définitivement dans nos gènes ? Et il faudrait se résigner à négocier l'accompagnement d'une telle gabegie ? Plus que jamais, il est nécessaire de conquérir des droits nouveaux d'intervention des salariés. Une entreprise n'est ni un champ de bataille pour actionnaires, ni une chasse gardée pour les directions. Cette exigence trouve toute sa perspicacité dans le contexte
actuel dans lequel évolue notre journal. Les relations sociales au journal " L'Alsace-Le Pays", que nous pouvons élargir à tout le groupe Ebra, basée sur le "Circulez, il n'y a rien à voir", a atteint un seuil critique. Si l'on en croit notre actionnaire, nous serions condamnés à négocier les futures plans sociaux et laisser le Crédit Mutuel faire tranquillement le ménage? Dans l'intérêt de tous les journaux, de nos lecteurs, des salariés et de nos emplois, exigeons que s'engagent de réelles négociations, à tous les niveaux (du groupe, de l'entreprise) sur notre avenir commun. Il est temps de dépasser la logique du "fait du prince". Pour faire valoir nos droits de salariés, il reste encore de nombreux murs à abattre. En s'y mettant tous ensemble, nous y parviendrons !
Face à la crise que traverse la presse et à la dégradation des résultats, notre actionnaire, le Crédit Mutuel a assuré une recapitalisation du groupe « L'Alsace », témoignage de son soutien au dynamisme des salariés. En contrepartie, la direction a engagé un vaste chantier de restructuration. Dans les faits, ce qui devait ressembler à une plan de relance, ne s'est traduit que par une amère potion pour le personnel : blocage des salaires, plan de départ volontaire, gel des embauches, avec l'objectif, au final, de dégager 3 millions d'économies de masse salariale. De plus, sont projetées les fermetures des agences de Sainte-Marie-aux-Mines et de Wittelsheim. Verdict brutal et sans appel : pas assez rentables ! Des projets qui interviennent quelques mois après la fermeture des agences de Cernay et de Masevaux. Cette fois la coupe était plus que pleine : cette situation a amené, courant juin, les élus du personnel a refuser unanimement ce plan. A l'appel de la FILPAC-CGT, les salariés ont observé une grève de 24 heures avec non-parution du titre daté du 13 juin. Pourtant, la direction de L'Alsace a décidé de persister dans ses choix en passant en
force, malgré le désavoeu exprimé par les élus et les salariés. Une donnée nouvelle est venue s'inviter dans le débat : l'intervention salutaire des habitants, des élus, des associations et autre Parti communiste français. De nombreuses lettres ont ainsi exprimé soit l'incompréhension, voire des critiques virulentes et acerbes. Une intervention qui a eu le don, à tout le moins, d'ébranler les dirigeants de L'Alsace dans leurs hautaines certitudes. Nous avons ainsi obtenu que l'agence de Wittelsheim ne serait pas fermée avant d'avoir toutes les garanties pour son personnel. Ce qui, pour l'heure, ne ressemble qu'à un sursis, pourrait bien se transformer en un abandon pur et simple si, tous ensemble, nous restons déterminés. L'agence de « L'Alsace » à Wittelsheim peut et doit vivre, c'est notre intime conviction. Pour le Comité d'entreprise, pour les élus, pour la FILPACCGT, la qualité du service aux lecteurs, notre faculté a être au plus près de nos abonnés, de nos annonceurs, doit primer sur des considérations de pure rentabilité et les froideurs comptables. On ne le dira jamais assez : un journal, ce n'est pas une marchandise comme une autre !
Une fois encore, nous vous remercions de votre présence, d'être venus, si nombreux, soutenir notre action. Nous vous invitons à signer la pétition exigeant le maintien d'une agence de L'Alsace à Wittelsheim. Tous ensemble, nous gagnerons ! Le comité d'entreprise se réunira mardi prochain, 20 octobre. A cette occasion, nous interpellerons notre direction. J'invite toutes celles et tous ceux d'entre vous qui voudraient témoigner à venir au micro. »
en
tous piste
NATHALIE SCHMITT
4 La journée des enfants s'est déroulée le mercredi 29 avril 2009. Après un petit-déjeuner pris chez Clemessy, où les enfants ont pu faire connaissance ou se retrouver pour certains, tout ce petit monde a été emmené à l'école de cirque Achille-Zavatta. Après une matinée d'initiation où chacun a pu s'essayer au monocycle, au trapèze, à l'équilibre, au diabolo, les apprentis du spectacle sont partis reprendre des forces dans un restaurant italien en vue de la préparation du spectacle du soir. En début d'après-midi, les saltimbanques en herbe ont pu choisir leur agrès préféré et mettre en forme un numéro de cirque encadrés par des professionnels de la piste, de l'atelier de cirque Achile-Zavatta. Vers 16h les parents ont été conviés à une représentation que leurs chérubins avaient préparée durant plusieurs heures. Comme pour les professionnels Monsieur Loyal a ouvert la piste aux étoiles et les enfants ont présenté leur numéro.
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au cœur de
mulhouse
OLIVIER CHAPELLE
Quand on arrive à la rédaction, c'est le sourire de Claire qui donne le ton.
La locale Mulhouse, pour nos lecteurs, c'est d'abord la boutique, au rez-de-chaussée. Là, Renée, Françoise et Béatrice se complètent pour répondre aux attentes de leurs visiteurs, que ce soit en matière d'abonnements, de vente ou d'annonces publicitaires. Moins nombreux sont ceux qui parcourent les quinze mètres qui les séparent de l'entrée rue Schlumberger pour monter au premier étage, à la rédaction, où le sourire de Claire les accueille. Avant même de rencontrer les journalistes, ils entendront, venant de derrière la vitre, les éclats
Renée et Béatrice
de rire ou coups de gueule de Magali et les conversations téléphoniques de Sabine. Les piliers du desk, Chantal et Christine, appuyées régulièrement par Magali, Julie ou Hélène, sont souvent dérangées par le téléphone, ce qui ne les empêche pas de corriger et de mettre en page avec attention la matière rédactionnelle qui leur parvient. A leur côté, Brigitte met méthodiquement à jour les centaines de communiqués gérés en permanence par la locale, bataillant avec les horaires des cultes ou les destinations de balades. En face d'elle, Marina se soucie des horaires de cinéma et peaufine les annonces des manifestations culturelles du jour qui prendront place dans la page « Loisirs aujourd'hui ». Le poste à la droite de Brigitte est le plus souvent déserté. Normal : Dom passe le plus clair de son temps sur le terrain, appareil photo ou caméra au poing, afin d'enrichir en images le journal ou le site web. Dans la seconde partie du plateau ouvert, on a aussi la bougeotte : les reporters n'ont-ils pas vocation à parcourir l'agglomération de près de 300 000 habitants pour en traiter l'actualité ? L'économie vous branche ? Parlez-en à François s'il n'est pas au tribunal ou, à son opposé géographique dans la pièce, Laurent, grand amateur d'automobile. Dans le dos de Magali, notre Miss qualité à nous, gardienne de l'orthographe et des plannings, Hélène et Julie se penchent avec constance sur la santé, le social ou les associations, quand les tâches de desk ne monopolisent pas leur attention Culture(s), au singulier ou au pluriel, pourrait être le surnom de Frédérique, tandis que l'esprit distancé d'Emmanuel penche plutôt pour la politique et le bon vin. Sabine a choisi, entre autres sujets sur l'emploi ou la médecine, de faire son miel avec le plan climat et l'environne-
ment. Notre deuxième François, qui vient d'arriver, cherche encore ses marques en attendant de rejoindre l'équipe des faits-diversiers : le doyen de la rédaction Jean-Marie, bientôt en partance, et son binôme Grégory, noceur repenti également chargé d'animer avec Laurent la page « Sortir ce weekend » lancée en septembre. Mais, au-delà de ces quelques thématiques, chacun est, évidemment, totalement polyvalent et vagabonde librement d'une thématique à l'autre. Nos lecteurs savent qu'à Mulhouse, on aime bien compter les friches issues de la crise. A la locale, il reste deux bureaux désespérément vides, malgré l'arrivée appréciée de notre second François, et l'on prévoit d'ores et déjà un troisième poste vacant d'ici quelques semaines, avec le départ de JeanMarie. J'oubliais presque : dans son aquarium à la porte toujours ouverte, près de l'entrée, votre serviteur essaie depuis quelques mois de faire évoluer cette petite troupe, dans la joie et la bonne humeur, vers toujours plus d'humain et de proximité.
L'espace paysager de la rédaction a ses avantages en termes de communication et ses inconvénients sonores, comme tous les aménagements de ce type.
6 Hugonin s’en est allé vers les douces joies d’une retraite bien méritée. Ce n’était même pas un poisson d’avril. Il avait déjà déserté les couloirs du service des sports depuis la fin du mois de janvier, « récups » et congés obligent. « Pierrot », malgré une infidélité de quelques années du côté de Saint-Louis, aura fait une brillante carrière au service des sports, où il a laissé libre cours à sa plume pour narrer toutes les petites (et les grandes) histoire du football alsacien et de la mêlée régionale, usant, à la fin, également quelques roues cyclistes. Il laissera l’image d’un élément toujours précieux d’un collectif, celui que ne rechigne jamais à accomplir les tâches ingrates, à mouiller le maillot, à se lancer sur des sujets sur lesquels d’autres se mettent tranquillement au fond du peloton, incognito. « Pierrot » ne pouvait pas partir comme cela. Le service des sports, élargi à ses plus proches collaborateurs, pigistes, correspondants, jeunes des résultats, lui a rendu un bel hommage en la soirée du lundi 6 avril, au club-house du Rugby-Club de Mulhouse, là où il passé tant de dimanches, et pas seulement pour l’apéro (mais aussi…). Une édition spéciale de « L’Alsace », un 4 pages collector, lui a même été confectionné à cette occasion. Depuis, il s’adonne aux douces joies de la retraite. Il est devenu un extraordinaire grand voyageur, que ce soit dans les belles régions françaises ou dans les parcs naturels d’Afrique du Sud ou du Botswana. Bien sûr, entre deux parties de pétanque, il n’oublie pas son petit apéro par-ci, sa petite sieste par-là… Et quand il n’est pas dans les travées de Gerland pour assister à un Lyon-Marseille d’anthologie, il nous fait même le plaisir de venir voir quelques matches au stade de l’Ill ou au Palais des sports. On ne se refait pas… Et pour plagier ses expressions favorites, « SALUT TOUA » et « J’TE DIS MERDE »…
christine
salut
pierrot
MARC WILB
Le 1er avril, date officielle, notre ami Pierre
photo, boulot, fou
MATHIEU LERCH
Christine Hart a pris sa retraite après 43 années de reportage photo à « L'Alsace-Le Pays ». Le 21 septembre dernier, Christine avait invité ses anciens collègues à boire un verre au siège de l'entreprise. Fidèle à son habitude, elle avait mis les petits plats dans les grands. La plupart de ses anciens collègues avaient répondu présents. Et ça fait du monde. Car Christine, qui a effectué toute sa carrière dans l'entreprise, en aura parcouru des kilomètres et rencontré des gens, durant toutes ces années passées sur le terrain. Christine a débuté sa carrière à L'Alsace en 1966, à l'âge de…15 ans, au poste de laboranti-
ne à Co reporte répond en 198 dévelo l'agenc prendr photog en 199
Du 6 x de film les app De l'ag à ce sa elle aur photo
urneaux
Christine, c'était la fille de la bande des photographes de « L'Alsace-Le Pays »
olmar, la ville où elle a grandi. Devenue er-photographe en 1974, elle a ensuite du présente lors du lancement du « Pays » 0. Ah ! le temps des pionniers, où l'on ppait ses films dans les toilettes de ce… Puis retour à Colmar en 1990 pour e la responsabilité de l'équipe des graphes. Et enfin au siège, rue de Thann, 8.
6 (pour les non initiés, c'est un format , vous savez le truc qu'on mettait dans pareils photo à une époque) aux pixels. randisseur (qu'elle maîtrisait à merveille) tané ordinateur qui n'en fait qu'à sa tête, ra connu toutes les évolutions de la de presse.
Parmi ses meilleurs souvenirs de reportages figurent en bonne place ses années de Foire aux vins à Colmar, sa découverte de la Franche-Comté (elle a consacré un livre de photos à la ville de Montbéliard), ou ses voyages au Japon. Et, à la fin de cette année, elle se souviendra de son périple, il y a 20 ans, sur les chemins de Roumanie, à la rencontre d'un peuple qui découvrait la liberté. Son dernier poste à «L'Alsace-Le Pays» lui aura permis de conjuguer avec bonheur le verbe savourer à tous les temps et tou(te)s les modes. Puisque, si vous l'ignorez c'est que vous avez passé les dix dernières années sur la planète Mars, après la photo, l'autre passion de Christine est l'art de bien manger. Et à ce titre, elle a brillamment tenu les fourneaux de la page savourer, depuis le lancement du cahier week-end en 2006. Depuis lors, elle a également compilé ses meilleures recettes dans des bouquins. Le prochain, consacré aux épices, ne va pas tarder à sortir. Et ce n'est sans doute pas terminé… La retraite de Christine sera donc, à n'en pas douter, bien remplie. A la quête du bon produit sur le marché, ou du bon petit restaurant de derrière les fagots, dont elle ne manque jamais de faire profiter ses potes. Et si de temps en temps elle cherche des cobayes pour tester ses dernières expériences culinaires, elle sait qu'elle peut compter sur ses anciens collègues !
discrète
Christine est, tous ceux qui ont croisé sa route pourront sans doute le confirmer, une sacrée personnalité. Et du caractère, il fallait en avoir pour faire sa place dans le milieu des photographes, réputé plutôt viril. Elle est parvenue à créer son style, sa marque, parce qu'elle n'a jamais renoncé à ce qu'elle était, c'est-à-dire Christine, une personne sensible, attachante et défendant ses convictions…avec énergie !
gudrun LES VOIX DE L'ALSACE
A travers ces quelques lignes, nous avons souhaité rendre hommage à ta patience légendaire ! Il serait bien sûr trop long de se remémorer tous les événements qui, de près ou de loin, ont dû mettre tes nerfs à rude épreuve sans rien en laisser paraître! Nous ne reviendrons donc ni sur les vives réactions des porteurs à réception des premières réclamations, ni sur le lancement du « Femina », ni sur la fin des encaissements par porteur. Tu as traversé les années en gardant ton sang-froid et ta curiosité face aux nombreuses évolutions technologiques : des manipulations de l'archaïque HP 3000 tu t'es facilement débarrassée, pour très vite t'adapter parfaitement au nouveau logiciel De Gamma et le maîtriser ! Internet et Outlook n'ont rapidement plus eu aucun secret pour toi ! Aucune nouveauté ne t'a jamais effrayée mais au contraire chacune d'entre elles a suscité ton intérêt et forcé notre respect devant tant de persévérance. Il ne s'agit pas aujourd'hui de faire ton éloge, car nous savons toutes combien tu es sensible, discrète et reservée et imaginons l'effet que ces quelques mots auront sur toi lors de leur lecture. Nous tenons simplement à te dire que ces années passées en ta compagnie ont été riches en rebondissements certes, mais quel plaisir de retrouver chaque matin une collègue souriante et avenante. Nous te souhaitons de tout cœur une excellente retraite. Tu as toute notre confiance ; nous savons que tu profiteras à fond de ceux que tu aimes.
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LUC MARCK
Pour une fois, c'était un 6. Encore qu'on puisse imaginer que, comme dans le gag classique de la comédie, le 9 ait basculé, pour blouser le calendrier ! C'était donc un 6 - le 6 octobre - et non le 9, que Daniel Verdant nous a fait officiellement, et festivement, ses adieux. Parce que, pour ce qui est du reste, c'est sous le signe du 9 que la carrière de notre Doubiste préféré semble avoir été placée : 1979, entrée au « Pays », qui s'appelait alors « L'Alsace » de Belfort ; 1989, arrivée à Colmar ; 1999, arrivée au siège, à Mulhouse et, enfin… 2009. Trente ans de carrière que ce battant avait préparés en roulant sa bosse, au Canada surtout, où il est resté le plus longtemps et où il a enchaîné toutes sortes de boulots, contrariant pour finir une vocation naissante de bûcheron et/ou de pêcheur de saumon, à la faveur d'un retour en France, en 1972. Finalement, il s'y est plu et a repris des études de commerce.
Bernard et
Richard
l'ami
daniel …
entre le Canada et la retraite
Les voyages, dit-on, forment la jeunesse ? Sans doute avait-il suffisamment rempli ses yeux des grands espaces et respiré l'air de la liberté pour plonger, toutes ces années durant, sans suffoquer, dans les profondeurs du taf à la mode de chez nous. Non qu'il s'en soit plaint, car Daniel ne se plaignait pas : juste, il bougonnait ou il vociférait, mais, le plus souvent, dans les tons justes et à partir d'une analyse lucide des choses et des gens. Les chiffres, c'était un peu, beaucoup, son truc. Et au moment de nous tirer sa révérence professionnelle, il a encore trouvé le moyen de calculer que, sur 763 mois d'existence, il venait de passer 363 mois dans l'entreprise. La moitié de sa vie, tout simplement. Il ne se plaignait pas, et même, comme il nous l'a raconté l'autre soir, il se rappelait, avec certaine fierté, ces années de défrichage, à Belfort, où avec d'aucuns, qui ont noms Parisot, Boeglin, Delpech, Mercier, Daudenhan, Nicolas et consorts, il a taillé des éclaircies dans cette terre de conquête, si stimulante parce que, au départ, hostile. Il nous a dit aussi tous les bons souvenirs (les meilleurs, penset-il), qui s'attachent à son passage à Colmar, avec Francis, Bernard, Monique ... Les dernières dix années seront les plus difficiles, nous a-t-il confié. Mais, peut-être parce qu'elles ne l'étaient pas plus, pour lui, que pour les autres, il y a découvert, en plus de nouveaux amis, une nouvelle façon de se battre, à la CFDT. Il a fait l'expérience, avec les journalistes notamment, qu'au sein d'un journal, et au-delà des catégories, chaque voix compte. Chaque coup de gueule aussi. Et pour ça, on pouvait compter sur lui. Sa révérence (même s'il n'avait pas son chapeau, ce soir-là), tirée le 6 octobre donc - et pas le 9 ne nous a pas déçus à cet égard. Salut Daniel, à la prochaine. Avec toute notre amitié et notre affection.
HUBERT STRAUEL Qu'ils se rassurent, s'il en était besoin : la relève est assurée. Ce n'est pas le cas partout, ce n'est le cas nulle part, pas même ailleurs. Ne vos inquiétez pas, Canal+ ne rentre pas dans le capital! Bref, Bernard, Richard, pas de quoi vous faire du mouron. Hervé, Stéphane, Céline & Céline, Claude, Mupi, Thierry, sans oublier Théo, Serge, Christian assurent la prod. Notre cher journal, que vous avez contribué à créer, jour après jour, pendant près de quarante ans, n'est pas près de connaître sa première absence de parution pour cause informatique. Croix de bois, croix de fer, si je mens je vais en enfer! Bernard Hoffart, typo puis photograveur, et Richard Foerry, ancien metteur en pages, ont épousé toutes les évolutions et s'y sont fondus avec délectation. Ils ont assumé des fonctions
Fasciné par le journalisme alors qu'il n'était encore qu'adolescent, Francis Claudel a quitté ses Vosges natales et sa locale de Remiremont, en ce rude hiver 73/74, pour entrer à la rédaction colmarienne de L'Alsace. Il a tout d'abord labouré consciencieusement la campagne du nord du département, formant les correspondants et réorganisant les pages, pour assurer ainsi une solide assise à notre titre. Ses qualités humaines et professionnelles l'ont tout naturellement porté à la direction de notre agence de Colmar, fonction qu'il a assumée à la perfection. Nombre de jeunes journalistes ont profité de ses conseils pour progresser dans leur métier et son équipe salue en lui un chef compétent, exigeant, mais surtout très chaleureux.
Sa passion pour la langue française et son souci de la rigueur en ont fait une référence pour l'ensemble de ses collègues. Toujours à l'écoute, serviable à l'extrême, mais ferme dans ses convictions, intransigeant sur la qualité du travail, mais enclin à de souriantes digressions, enthousiaste comme un adolescent, mais très réfléchi dans ses décisions, tel aura été Francis, qui, après avoir mené à bien sa mission à Colmar, a terminé sa carrière à la tête du service magazine. Sa famille, bien sûr, mais également l'astronomie, la mycologie, la pétanque ou encore la pêche, pourvoiront à son bonheur de retraité. Le journal gardera de lui bien plus que son souvenir, puisqu'il nous laisse sa fille Magali, journaliste à la locale de Mulhouse.
la passion de la rigueur
francis
d'encadrement avec un professionnalisme indéniable, soucieux de transmettre leur acquis professionnel à leurs collègues. Que de pages rectifiées, que de problèmes élucidés: vous étiez la providence rédactionnelle! Un dernier coup de chapeau à tous les deux. Comme beaucoup d'autres, énormément d'autres, vous avez contribuer à pérenniser ce qui fait la force de notre collectif de travail, le syndicat. Vous faites partie de ceux qui lèguent un héritage sans prix, en scellant votre modeste pierre à l'édifice CGT dans notre entreprise, conscients de la valeur des choses. Il me revient une citation d'Oscar Wilde: « Un cynique connaît le prix de tout et la valeur de rien ». Une nouvelle période d'une vie riche et intense commence. Le comité d'entreprise, la FILPACCGT, vous la souhaite longue, confortable, dynamique et prospère. Vous le valez bien !.
RAYMOND CLAUDEPIERRE
des cadres irremplaçables, ou presque!
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C'est beaucoup plus mignon de dire « Bonne retraite » en chanson.
Grand Or (40 ans) Marthe Violette JOHO. Porteuse à Colmar, elle est aussi abonnée… aux vendanges, qu'elle ne manquerait sous aucun prétexte. Par ailleurs, elle est membre de longue date de la chorale SaintJoseph, ce qui lui permet de donner libre cours à son plaisir de chanter, mais également de faire de beaux voyages en compagnie de ses amis choristes. Francis MARRER. Apprenti linotypiste en 1968, il a connu toutes les étapes de l'évolution technique du journal avant de rejoindre l'équipe rédactionnelle de Guebwiller. Reconverti au secrétariat d'édition, il procède au montage des pages locales. « Marrer » il le fait avec ses collègues auxquels il sert une blague par jour. Paul MULLER. Ce technicien est entré au service du journal il y a 41 ans, en qualité d'apprenti linotypiste. En 1992 il a rejoint l'équipe du mettage de nuit et, en 2005, il est devenu secrétaire d'édition. Il occupe à présent le poste de finition et se consacre essentiellement aux pages du weekend. Quand il ne jongle pas avec les blocs de textes et les pavés de photos, c'est dans les rochers des Dolomites qu'il prend son pied, qu'il a donc très montagnard. Avec, dans l'oreillette, un air de country qui sied bien aux randonnées sauvages. Patrick PARARD. Entré en qualité de typographe en 1988, il avait auparavant fait son apprentissage à l'Alsatia, puis travaillé à l'imprimerie Braun, avant de rejoindre nos équipes du mettage. Après le papier et l'écran, il a tâté du CTP. Préparateur de la forme imprimante en 2005, il a bénéficié du PMS en juillet 2008.
Or (35 ans) Madeleine BAUM. Entrée en 1973 en qualité de traductrice, elle est devenue journaliste en 1995 et a été nommée rédactrice, puis reporter et, enfin, secrétaire de rédaction. Elle a pris sa retraite au mois de mars dernier et la rédaction de Sélestat gardera d'elle le souvenir d'une excellente collègue. Elle pourra désormais se consacrer, à côté d'un mari passionné de musique, à ses loisirs favoris : la marche en montagne, le chant choral, les collages, sans parler de ce qui lui plaît le plus : s'occuper de ses deux petites-filles. Jacques BERTHO. Le jeune journaliste, entré au service de la rédaction de Mulhouse en 1974, est à présent… un jeune retraité. Sa carrière l'a mené de Mulhouse à Strasbourg où il a été un observateur attentif de la vie municipale, tout en traitant
par ailleurs de deux domaines qu'il affectionne particulièrement : le fait-divers et la justice. Il reste accro de romans policiers, une passion qu'il partage avec les lecteurs du journal à travers ses chroniques qui proposent une sélection des meilleures nouveautés. A la retraite depuis peu, il pourra cultiver son goût pour un art qu'il vient de découvrir, à savoir la peinture. Julien BINDLER. Entré en 1972 en qualité de mécanicien d'entretien, il a travaillé comme chauffeur mécanicien, aide-rotativiste en 1978, puis rotativiste en 1982, il est devenu chef d'équipe en 2004. Depuis le début de l’année, il savoure une retraite bien méritée, largement consacrée à de longues balades dans la nature et à de passionnants voyages. Christian ENTZ. Le knirps, comme le surnomment ses collègues, a débuté comme correspondant, avant d'intégrer la rédaction sportive où sa gentillesse et sa bonne humeur lui ont valu une adoption immédiate. Petit, certes, mais pas moins efficace pour autant, il a su gagner la confiance des acteurs du sport mulhousien et se trouver ainsi à la source des informations, une position privilégiée dont nos lecteurs sont quotidiennement les bénéficiaires. Bernard HOFFART. Entré à L'Alsace, il y a 36 ans, metteur en pages, puis photograveur, il a été nommé contremaître prépresse en 1999, avant d'être affecté, en 2005, au poste de finition du desk central. C'est aussi un fana de pêche, qui aime taper un tarot avec les copains. Jean-Marie JUNG. De la promotion 73, avec un apprentissage de la typographie pour finir par cette fameuse préparation de la forme imprimante en passant par le mettage jour, le prépresse publicité et la nomination, il y a deux ans, à la fonction de contremaître. Sa bécane préférée, son vélo, lui permet de se promener là où il se sent vraiment bien, à savoir en pleine nature, car il est viscéralement écolo. Michel MULLER. L'apprenti typographe de 1973 a fini, lui aussi, par devenir un préparateur de la forme imprimante au mettage, puis au prépresse publicité. Fidèle à son club, l'ASIM, où il a débuté poussin pour finir vétéran, il tape aussi des mains., en musique, sur une batterie ou, raquette de ping-pong au poing, dans une petite balle de celluloïd. Avec une double constante dans les deux cas : vitesse et acharnement. Jean-Louis PALAT. 36 années au service technique pour ce préparateur de la forme imprimante qui a vécu toute l'évolution de la fabrication du journal et conserve des souvenirs de plomb et
de morasses. Des souvenirs de… fer aussi. Sportif assidu, ancien triathlète, il a participé à un Ironman, (traduisez : homme de fer), court et nage peut-être moins depuis quelques années, mais reste un fervent amateur de la petite reine. Françoise SCHILLINGER. Fan du Football-Club de Sochaux Montbéliard, elle porte notre journal aux abonnés de Saulnot. Ses trois enfants lui ont donné… douze petits-enfants. De quoi former une équipe de foot, avec un arbitre en prime. De quoi occuper une mamy, au point de la priver, parfois, de faire sa grille de mots croisés. Mais sûrement pas de partir en voyage, son autre passion. Jean-Marie STOERKEL. Il est entré en journalisme par la petite porte, correspondant d'abord, employé de rédaction ensuite, tout en suivant une formation professionnelle par correspondance. Mais le métier, il l'a véritablement appris sur le tas, au fil d'innombrables enquêtes, dont certaines, aux ramifications internationales, ont abouti à des scoops et donné lieu à des livres. Il est LE fait-diversier, spécialité qui exige sérieux, rigueur, esprit critique, courage et, surtout, disponibilité. Anne-Marie TILLÉ. Discrète et efficace, consciencieuse et dévouée : c'est ainsi que la décrivent ses collègues, qui apprécient également sa grande gentillesse. Entrée comme traductrice à « L'Alsace » Colmar en 1973 elle est aujourd'hui secrétaire de rédaction en poste à Guebwiller. Elle parle cinq langues, dont le japonais (sans compter… le dialecte alsacien), ce qui lui est bien utile dans ses voyages à travers le monde entier.
Vermeil (30 ans) Dominique BANNWARTH. Il a débarqué comme stagiaire à la rédaction de Colmar en 1977, avant de travailler à Wittelsheim, puis d'assurer la rubrique éducation à la Région. En 1991 il a pris la responsabilité de la rédaction locale de Mulhouse, avant de rejoindre, en 2003, l'équipe de la direction de la rédaction au siège. Il est, depuis trois ans, responsable du développement des nouveaux médias et dirige le service multimédia. Christian BATTESTI. Entré comme journaliste stagiaire à la rédaction de « L'Alsace » à Colmar, il a fait un beau parcours qui l'a mené en FrancheComté, puis au siège, où il a été nommé secrétaire général de la rédaction. Féru d'art, en particulier de peinture, il partage également d'autres passions avec sa femme, en particulier la gastronomie. Le goût pour les voyages permet au cou-
lauréats
10
les 2009
ple d'effectuer de gourmandes comparaisons, y compris jusqu'en Chine. Mais sa destination préférée reste la Corse, parcourue à pied, en voiture et, surtout, à moto. Violette CIRILLO. Elle est le sourire et la mémoire de notre journal dans le Bassin potassique où sa gentillesse et son efficacité sont bien connues. Entrée en 1978 en qualité de sténodactylo, elle a été nommée employée administrative, puis employée d'agence polyvalente. Quand elle n'est pas au guichet, elle est sur le terrain, car depuis plus de vingt ans elle fait également partie de notre équipe de correspondants. Raymond COURAUD. Après avoir dirigé la locale de Mulhouse pendant une demi-douzaine d'années, il est revenu aux informations générales, où il a fait l'essentiel de sa carrière. Quand il n'écrit pas pour le journal, ce féru d'histoire contemporaine écrit des livres, traitant de sujets comme le débarquement de 1944 ou le corps militaire européen. Jean-Michel CUENOT. Il a travaillé comme rédacteur, puis comme reporter à Thann, puis a fait un crochet par Guebwiller, avant de revenir à Thann, sur un terrain qu'il parcourt en tant que localier, mais aussi, et bien au-delà du territoire de l'agence, en tant que journaliste sportif, car le ski, notamment, est l'une de ses spécialités. Sa gentillesse et son expérience sont très appréciées de ses collègues.
Carine DOPPLER. Entrée en 1989 en qualité de préparatrice de la forme d'impression, elle est devenue secrétaire d'édition avant de suivre une session de formation organisée en collaboration avec le Centre universitaire d'enseignement du journalisme de Strasbourg. Journaliste depuis août 2008, elle est à présent affectée au service multimédia. Nicole GADON. Entrée en 1982, en qualité de claviste, elle a rejoint la grande famille des préparateurs de la forme imprimante, pour exercer ses talents au service publicité. Elle aime les promenades à pied et les balades à vélo. Jeannine HEITZLER. Notre porteuse de Wittenheim accomplit cette tâche depuis plus de trente ans, avec la même rigueur et la même minutie qu'elle consacre à ses loisirs favoris, comme la cuisine ou encore le jardinage. Et, surtout, sa grande passion : les lotos. Hubert HIMBURG. Il a fait l'essentiel de sa carrière à Colmar, où il traite de toutes les disciplines sportives, tout en continuant d'en pratiquer deux : le ski et le foot. Il s'entraîne régulièrement, ce qui lui permet de garder la forme, fortement utile pour courir d'un stade à l'autre. Françoise LECOMTE. Entrée en qualité de guichetière à « L'Alsace Publicité » en 1978, elle est, depuis 1999, hôtesse de vente abonnement et publicité à notre agence de Mulhouse. Elle a deux passions, outre sa famille : la cuisine et le tricot.
11 la vente au numéro et du marketing, puis de franchir le pas vers « L'Alsace Publicité » en 1999. Ses loisirs, consacrés aux voyages, aux promenades dans les Vosges, aux concerts et aux expositions de peinture, lui permettent de cultiver ces contacts humains qui lui tiennent tant à cœur. Yolande WUNENBURGER. Employée à l’expédition de jour, cette aquariophile a également la main verte. Elle est incollable sur les carpes Koï et les petits secrets du potager.
Argent (20 ans) Anne BANNWARTH. Après avoir travaillé à la locale Mulhouse, elle est à présent affectée au service Région. Une passion pour la pâtisserie, une autre pour le jardinage et une troisième pour la décoration intérieure, son temps libre est bien occupé.
Elisabeth MULLER. Elle assure la distribution du journal dans sa commune de Grentzingen, ainsi que dans le village de Henflingen, et le sérieux de son travail fait l'unanimité. Passionnée de jardinage, elle invite volontiers qui le souhaite à une petite visite commentée de sa petite merveille de potager. Yvette PAESSCHEZOONE. Employée administrative, qui travaille au service des imprimés, elle a son truc pour garder la forme : la gymnastique, avec un zeste de promenade et de jardinage pour la détente et un brin de lecture pour la récupération. Catherine RUZYLA. Entrée à « L'Alsace Publicité » en qualité de vérificatrice facturière en 1978, elle a été nommée aide-comptable, puis agent principal en 1988, avant d'être promue comptable 2e échelon en 1993.
Sandrine BIRINGER. Entrée comme employée administrative du journal 1988, elle a été séduite par l'informatique. Opératrice système, puis assistante d'exploitation et technicienne de maintenance, elle a mis ses connaissances au service de la mise en page pour devenir, il y a trois ans, correctrice au prépresse pub. Sylvie CLERC. Ses abonnés sont un peu sa famille, tout comme Staffelfelden est son chezsoi. Porter le journal, tôt le matin quand tout est silencieux et quasiment désert, c'est certes un travail qu'il faut accomplir consciencieusement, mais c'est aussi un plaisir pour notre porteuse, car c'est son petit monde à elle, avant de retrouver sa famille et ses chats. Fernande DOREZ. Porteuse et postière, nos abonnés d'Ensisheim apprécient sa gentillesse et sa serviabilité. Mais les journaux, les lettres et sa grande famille ne l'empêchent pas d'avoir plaisir à se faire une séance de cinéma ou une grille de mots croisés.
Denis SOURD. Entré à « L'Alsace » en 1990 en qualité de prospecteur vendeur, il exerce aujourd'hui les fonctions d'adjoint au responsable de la vente abonnement. Calme et posé, il cède volontiers à son péché mignon : la dégustation d'un bon plat, arrosé d'un excellent bourgogne, son vin préféré.
Lysiane EHRET. Inspectrice du secteur de Sélestat et des Vosges du Nord, qui, entre deux périodes de travail, a pris un congé individuel de formation pour mener à bien un projet qui lui tenait à cœur : décrocher un DEUG de lettres. Elle a obtenu son diplôme avec la meilleure note de sa promo, avant de rejoindre notre service des ressources humaines, puis de retourner sur le terrain.
Monique THIRIET. Le contact avec les clients est certainement le point fort de notre souriante Monique, qui a débuté dans notre entreprise en qualité d'attachée au développement à Colmar, avant de devenir assistante des commerciaux, de
Sylviane FACCIN. Chargée de promotion, entrée au service de notre entreprise en 1993 en qualité d'attachée technico-commerciale du service de publicité, cette mère de famille aime les vieilles pierres et le bon vin.
Joseph FULHABER. Le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt, dit-on. Ce n'est pas notre porteur de Dessenheim qui nous contredira, car même avant de porter notre journal, il avait l'habitude de se lever tôt : quand on est agriculteur, on n'a guère le temps de faire la grasse matinée. Et une journée qui commence tôt permet de laisser un peu de place au loisir, après le travail. Comme, par exemple, faire de l'équitation, la passion de notre médaillé. Olivier GOELER. Il est entré à « L'Alsace » en 1995 pour faire partie de l'équipe technique, en qualité d'aide-rotativiste. A force de voir la bécane imprimer toutes les nuits des nouvelles du monde entier, il a sans doute voulu voir comment ça se passe sur place, d'où son goût pour les voyages. Ses collègues lui connaissent un autre péché mignon : il est très joueur. Mais rassurezvous : au travail, il est très sérieux et il fait… très bonne impression. Gérard HÉLIGON. Après avoir roulé sa bosse par monts et par vaux, du Nord au grand Sud, Gérard est entré au service de rédaction colmarienne de « L'Alsace », puis du « Pays » à Montbéliard, où il occupe les fonctions de secrétaire de rédaction. Le journaliste s'est donc sédentarisé, mais l'homme a toujours la bougeotte : c'est à vélo et en cyclotouriste accompli qu'il continue d'aller par monts et par vaux. Ferhat HELLAL. Notre porteur de Belfort connaît bien la cité du Lion pour y avoir travaillé une trentaine d'années durant dans l'hôtellerie et la restauration, notamment à l'hôtel du Lion et à l'hôtel de Paris. Père de six enfants et trois fois grand-père, il a su garder sa forme de jeune homme en pratiquant la marche et le vélo. Pascal LAINÉ. Le jeune stagiaire de 1988 a fait du chemin depuis son entrée au « Pays » à Besançon. Un chemin qui l'a mené à Belfort, puis à Altkirch, enfin à Montbéliard où il a passé dix ans avant de revenir à Belfort, il y a quatre ans, en qualité de chef d'agence. Son engagement professionnel ne l'empêche pas de se consacrer à d'autres passions, en particulier la restauration de voitures anciennes et le bateau. Mauricette LE ROUX.Cette porteuse adore le vélo et la marche, ce qui tombe bien, avouez-le. Elle est au service de nos abonnés de Bantzenheim où, par tous les temps, elle fait sa tournée quotidienne depuis plus de 20 ans. Charlotte LEDIG. Elle n'aura effectué que huit années au sein de notre entreprise, en qualité de manutentionnaire à l'expédition de jour avant de
partir à la retraite, mais c'était suffisant pour se faire apprécier de l'ensemble de ses collègues. Léon LÉVY. Entré en avril 1988, il a tout d'abord occupé un emploi de chauffeur au service expédition de jour, où il assurait la relivraison des journaux. Puis il a été affecté au service des achats et était au rendez-vous tous les mardis matin pour la distribution des fournitures de bureau. Depuis l'an dernier, il est opérateur CTP. Daniel LITZLER. En dehors de son travail d'inspecteur à Colmar et d'adjoint au responsable de l'inspection, cet Alsacien voue une véritable passion à l'Italie en général et à la Toscane en particulier. Visitez son site :www.toscart.com. Gudrun PALOMO. Vingt ans d'entreprise pour cette chargée de clientèle, au service du quotidien, comme du « Journal des enfants ». Elle est non seulement une briocoleuse-née, férue de décoration intérieure, mais également une adepte de la marche en montagne et du jardinage. Henryk PAWLACZYK. Homme de la technique, il est entré en 1993 en qualité de manutentionnaire, il s'est reconverti pour devenir nettoyeur en 2003, fonction à laquelle il a ajouté celle de cariste en 2008. Armand RAPP. Il a 21 ans d'ancienneté dans l'entreprise, puisqu'il est entré en qualité de chauffeur en 1988. Comme tant d'autres, il a opté pour une reconversion et exerce depuis septembre 2006 les fonctions d'opérateur CTP. Il partage ses loisirs entre l'eau et la piste : pêcheur chevronné, il est aussi un excellent danseur, avec une préférence pour la valse et le tango. Denis RITZENTHALER. Frais émoulu du Centre de journalisme, il est entré comme stagiaire à Colmar en 1988. Depuis, il a cultivé ses relations avec le monde rural, tout en traitant par ailleurs
de tous les aspects du métier de localier, à SainteMarie-aux-Mines, et à Sélestat, son pôle d'attache. Il ne cultive pas la vigne certes, mais son potager est un modèle du genre. Et pour compléter ses activités extra professionnelles, il a mis en pratique, en tant qu'élu, la démocratie participative. Bernadette SATTLER. Porteuse de Blotzheim, c’est une femme très occupée. Après avoir travaillé à l'hôpital de Sierentz puis élevé ses trois enfants, elle a pris, il y a vingt ans, un emploi de conductrice de machine. Elle trouve tout de même un moment pour lire un bon roman ou faire une longue promenade. Mireille STIMPFLIN. Encore une porteuse, frontalière celle-ci. Tous les matins en effet, Mireille apporte notre journal à nos abonnés à Mulhouse, puis elle se rend en Suisse, où elle travaille pour le compte d'une compagnie aérienne. C'est une femme dynamique, le moins qu'on puisse dire pour une fan de foot et de moto. Avec une petite touche artistique en prime, qu'elle exprime surtout quand elle s'adonne à son autre passion : la poterie. Martine WEISSER. Quand elle ne porte pas notre journal, tâche dont elle s'acquitte consciencieusement à Wittelsheim, chaque jour, depuis plus de vingt ans, elle surfe sur Internet, car elle a soif de connaissances. Elle s'adonne aussi à la peinture ou encore sert de guide aux visiteurs de l'écomusée. Elle consacre également de son temps à ses collègues, en s'impliquant dans l'action syndicale ou en œuvrant au sein du comité d'entreprise. Petra WISSON. Avec son sourire qui va de pair avec sa gentillesse, elle est entrée à la rédaction de notre journal en 1988, en qualité de traductrice. Rédactrice en 1995, elle a été nommée reporter en 2006 et fait partie de la petite équipe qui réalise quotidiennement un supplément en langue allemande.
Les sections sportives Le 2 février 2009 a eu lieu la réunion annuelle des présidents et trésoriers des sections sportives de « L'Alsace-Le Pays ».
bilan
Il est à noter quelques changements au niveau des équipes dirigeantes des sections. Alain WAMSTER arrive aux finances de la section Badminton comme trésorier. Laurent FALCK intègre la section Ski au poste de secrétaire. Les 3G, comme ils aiment se faire nommer, à savoir Gérard ZERAFA/Gilles SANTALUCIA/Gilles LEGEARD, occupent désormais la tête (du peloton bien sûr ;-) de la section Cyclo. L'infatigable Pierre THIRION, dit Titi, président de la section depuis de nombreuses années, n'en demeure pas moins proche consultant des 3G. Bravo à la section Football qui sort souvent victorieuse des tournois auxquels elle participe. Comme en témoigne la vitrine, débordante de coupes, placée devant le bureau du C.E. Dans l'ensemble, les équipes ont de très bons, voir d'excellents résultats en corpo comme le Tennis de table, le Tennis, l'Athlé. Plusieurs sections, le Badminton, l'Athlé, le Foot ont investi cette année dans de nouvelles tenues aux couleurs de notre journal. Allez les voir et les encourager sur les courts, les parcours ou dans les stades. N'oublions pas l'ARA, la section des retraités du journal, qui même si elle ne joue pas en corpo, est toujours aussi active. Ses 110 membres sont conviés à plusieurs sorties étalées sur toute l'année. Encore merci à l’ensemble des sections qui sans exception ont participé à l’élaboration du « Trait-d’Union » n°100 . TU dans lequel vous trouvez tous les renseignements sur leurs différentes activités. Alors n’hésitez pas : si une section vous intéresse, contactez-la.
2008 BILAN FINANCIER 2008 Compte social Compte Fonctionnement Section Athlétisme Section Tennis de Table Colmar Section Tennis de Table Mulhouse Section Volley Section Musculation Section Cyclotourisme Section Tennis Section Ski Section Pêche Section Ball-Trap Section Football Mulhouse Section Badminton Section ARA Section Vacances
Sous-total 16 700,71 € 15 027,83 € 2656,06 € 5060,02 € 477,58 € 369,69 € 1433,53 € 81,84 € 1258,31 € 256,45 € 89,75 € 295,59 € 100,70 € 1348,54 € -84,50 € 15 184,37 €
60 155,77 €
571,08 € 78,00 € 133,47 €
782,55 €
LAURENT BELTZUNG
Félicitations à tous pour leurs résultats, leur investissement et beaucoup d'encouragements pour la saison 2009/2010.
Caisse Social Caisse Fonctionnement Devises étrangères
Comptes d'exploitation 2008
Billetterie à encaisser Aide exceptionnelle
136,00 € 9420,00 €
9556,00 €
Livraison bleu association
45 465,53 €
45 465,53 €
Rubriques sociales : en plus des destinations habituelles (voir le désormais célébrissime TU 100), la section « vacances » a proposé cet été une destination en Toscane (Italie). Et toute l'année, en partenariat avec Adagio, des séjours en France, Berlin, Bruxelles, Rome ou encore Vienne. On peut se féliciter de la bonne fréquentation des locations vacances, de la billetterie, de la fête de Noël et des diverses sorties. Notamment la sortie des enfants qui a eu une affluence record. Il faut dire que la journée remplie de bowling, laser-game et cinéma a fait l'unanimité auprès de la cinquantaine de participants.
Billetterie stock ACTIF Renouvellement patrimoine A débiter sur Social A débiter sur Fonctionnement PASSIF SOLDE NET (actif - passif)
5823,30 €
prévisionnel 2009
12
5823,30 121 783,15 30 000,00 3133,82 - 1580,38 28 446,56
€ € € € € €
93 336,59 €
COMPTE D’EXPLOITA BUDGET SOCIAL Subvention 2008 Section Athlétisme Section Tennis de table Colmar Section Tennis de table Mulhouse Section Volley Section Randonnée Section Musculation Section Cyclotourisme Section Tennis Section Ski Section Pêche Section Ball-trap Section Football Mulhouse Section Badminton Section ARA Aide exceptionnelle Sortie Enfants Fête de Noël Bons d’achat Noël Bons d’achat vacances Retraités Colis de Noël Tickets restaurant Abonnements Sport / Loisirs / Culture Billets Sport / Loisirs / Culture Chèques achats Frais de personnel Divers Investissements Subvention Fonctionnement Compte d’exploitation social
BUDGET FONCTIONNEMENT Subvention 2008 Frais juridiques Frais de déplacement Frais de formations / études Frais affiliations organismes Rencontres CE Comission études-investissements Abonnements revues Frais assurances Trait d’Union Fournitures bureau Frais de fonctionnement Frais de personnel Compte d’exploitation fonctionnement
COMPTE D’EXPLOITATION 2008
13
ATION 2008 du 1er février 2008 au 31 janvier 2009
8
Subventions
Débit
2000,00 € 1000,00 € 1600,00 € 1500,00 € 800,00 € 1800,00 € 3700,00 € 3600,00 € 1 800,00 € 5000,00 € 800,00 € 600,00 € 2500,00 € 2000,00 € 0,00 € 2000,00 € 14 000,00 € 12 000,00 € 30 000,00 € 12 000,00 € 14 000,00 € 150,00 € 5000,00 € 0,00 € 12 000,00 € 5 000,00 € 18 000,00 € 152 850,00 €
2000,00 € 1000,00 € 1600,00 € 1500,00 € 0,00 € 1800,00 € 3700,00 € 3600,00 € 1800,00 € 4984,35 € 800,00 € 499,30 € 2500,00 € 2000,00 € 15 125,00 € 2602,28 € 16 889,77 € 11 388,00 € 29 250,00 € 13 200,00 € 20 641,90 € 0,00 € 45 586,46 € 18 000,00 € 10 647,06 € 18 171,79 € 19 165,25 € 40 000,00 € 288 451,16 €
Prévisionnel
Débit
100,00 € 4 000,00 € 2 500,00 € 900,00 € 4 000,00 € 1 300,00 € 500,00 € 2000,00 € 6800,00 € 2000,00 € 13 500,00 € 2 400,00 € 40 000,00 €
2525,23 € 5521,66 € 6250,00 € 787,68 € 3903,94 € 1268,60 € 299,00 € 2164,08 € 5910,70 € 1272,29 € 13 775,20 € 3020,88 € 46 699,26 €
Crédit 192 500,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 11 155,00 € 825,00 € 1280,00 € 592,50 € 1462,50 € 0,00 € 7249,48 € 0,00 € 44 646,40 € 12 827,00 € 200,26 € 10 984,67 € 1500,00 €
Solde 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 800,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 15,65 € 0,00 € 100,70 € 0,00 € 0,00 € -3970,00 € 222,72 € -1609,77 € 1204,50 € 2212,50 € -1200,00 € 607,58 € 150,00 € 4059,94 € -5173,00 € 1553,20 € -2187,12 € 334,75 €
285 222,81 €
-3228,35 €
Crédit 40 00,00 € 0,00 € 6,00 € 1250,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 226,13 € 0,00 € 0,00 € 888,88 € 973,00 € 43 344,01 €
Balance
335 150,42 € 328 566,82 €
-2425,23 € -1515,66 € -2500,00 € 112,32 € 96,06 € 31,40 € 201,00 € 62,05 € 889,30 € 727,71 € 613,68 € 352,12 €
Les investissements, entre autres l'étanchéité de la digue et la réalisation d'un parking à l'étang de pêche, la réfection de la façade à Port Bourgenay ainsi que la salle de bains à Avoriaz, ont été réalisés. Rubrique fonctionnement : des frais juridiques ont été engendrés par la perte du procès concernant les chocolats Confilor datant de 2005. Une formation économique a eu lieu pour plusieurs élus CE. Budget prévisionnel 2009 L'ensemble des rubriques, sortie des enfants, vacances, fête de Noël, cinéma, etc. sont reconduites. Après un an d’interruption, la sortie des retraités a été à nouveau à l’ordre du jour cette année. Un franc succès qui a eu lieu début octobre (voir page 18). La section Foot comprend désormais une section nouvelle : le foot en salle. Côté investissement, le mobil-home du camping de Vias va être remplacé. Rendons un petit hommage à cette grande caravane pour les uns, ou petite maison pour les autres qui, au cours de sa vie, a su accueillir sous sa carcasse en tôle plusieurs centaines de personnes de notre entreprise, aussi bien à Fréjus, où il était installé auparavant, qu'à Vias. Un modèle flambant neuf de la gamme IRM millésime 2010 va bientôt le remplacer. L'appartement d'Antibes devrait retrouver une seconde jeunesse, avec une salle de bains et des pièces repensées. La dotation pour l'année 2009 restera inchangée, à savoir 152 500 euros pour le social et 40 000 euros pour le fonctionnement.
COMMISSION VACANCES
Bilan 2008
ANTIBES ARDÈCHE AVORIAZ BALARUC MALBUISSON PORT-BOURGENAY VERDON VIAS
3398,59 € 1066,81 € 996,76 € -808,93 € -958,05 € -2638,18 € -1840,00 € 957,66 €
Déplacements Investissements Divers
-4404,22 € 964,54 € 5850,75 €
Résultats au 31/12/2008 Situation au 31/12/2008 Répartition
Livret dépôt Compte courant Espèces
2585,37 € 15 184,37 € 14 501,12 € 683,25 € 35,00 €
BUDGET PRÉVISIONNEL DU CE Section Athlétisme Section Tennis de table Colmar Section Tennis de table Mulhouse Section Volley Section Randonnée Section Musculation Section Cyclotourisme Section Tennis Section Ski Section Pêche Section Ball-trap Section Football Mulhouse Section Badminton Section ARA Sortie Enfants Fête de Noël Bons d’achat Noël Bons d’achat vacances Retraités Colis de Noël Retraités Sorties Tickets restaurant Abonnements Sport / Loisirs / Culture Billets Sport / Loisirs / Culture Frais de personnel Divers Investissements TOTAL BUDGET SOCIAL
2008 2000 € 1000 € 1600 € 1500 € 800 € 1800 € 3700 € 3600 € 1800 € 5000 € 800 € 600 € 2500 € 2000 € 2000 € 14 000 € 12 000 € 30 000 € 12 000 € 0€ 14 000 € 150 € 5000 € 12 000 € 5 000 € 18 000 € 152 850 €
2009 2000 € 1000 € 1600 € 1500 € 0€ 1800 € 3700 € 3 600 € 1800 € 5000 € 800 € 1000 € 2500 € 1700 € 2500 € 14 000 € 12 000 € 30 000 € 12 000 € 3000 € 14 000 € 150 € 5000 € 12 000 € 5 000 € 15 000 € 152 650 €
Frais juridiques Frais de déplacement Frais de formations / études Frais affiliations organismes Rencontres CE Comission études-investissements Abonnements revues Frais assurances Trait d’Union Fournitures bureau Frais de fonctionnement Frais de personnel TOTAL BUDGET FONCTIONNEMENT
100 € 4000 € 2500 € 900 € 4000 € 1300 € 500 € 2000 € 6800 € 2000 € 13 500 € 2400 € 40 000 €
100 € 4500 € 3000 € 0€ 4000 € 1300 € 500 € 2000 € 6500 € 2000 € 13 700 € 2400 € 40 000 €
TOTAL GÉNÉRAL
192 850 €
192 650 €
GILLES LEGEARD
« Jan » Sollier n'a pas peur d'emmener du braquet dans les montées
qui pleut!
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sauve
Jean-Louis ne se laisse pas impressionner par l'adversité
Après une sortie arrosée en 2008 dans la Chartreuse, l'escapade 2009 du mois de juin a mené les cyclos de « L’Alsace-Le Pays » en Autriche pour un autre sommet épique. Au Grossglockner, col le plus difficile d'Europe, les cyclos ont non seulement rencontré des pourcentages à se dresser sur leur machine, mais ils ont aussi traversé les nuages. Dans ces conditions, qui ne permettaient guère de discerner la route, si ce n'est à quelques mètres devant soi, l'avantage aura été de ne pas être repoussé par le vent. Mais ce calme avant la tempête n'aura pas empêché de lutter contre la pluie, le froid et bientôt le grésil sur les hauteurs, vers 2500 mètres d'altitude. Si les plus forts ont courageusement enchaîné une descente, où ils n'ont pas eu le loisir de sécher les larmes de douleur, les plus refroidis par l’interminable montée d’une trentaine de kilomètres ont rejoint la camionnette dès un premier sommet. Deux kilomètres plus loin, certains se sont arrêtés à la fin d’une descente, transis de froid. Il ne restait plus qu’une petite remontée de deux kilomètres, mais c’en était trop. D'autres ont poussé jusqu'à ce deuxième col au point d'en avoir les phalanges coupées de leur arrivée de sang. La solidarité a battu son plein dans la camionnette, où les corps dégageant de la chaleur ont servi la cause des plus refroidis. Le repas pris du côté de Linz, une cinquantaine de kilomètres en contreba, aura permis de transformer ce calvaire en récit épique. L'aventure humaine a pris le pas sur la douleur au bout de trois jours de vélo. La première journée avait vu les coureurs passer entre les gouttes pour se jouer des difficultés autrichien-
nes, au-delà des 130 kilomètres avec déjà un sommet à franchir, le Gerlospass à 1500 mètres d'altitude. Une mise en train, qui avait déjà permis d'établir la hiérarchie. Grâce à l'accueil chaleureux de l'hôtel Ritzenhof de Saalfelden, les jambes se sont reposées pour attaquer une deuxième étape de 80 kilomètres, très pittoresque avec une belle partie de manivelles le long d'un lac. Deux des plus fous, Daniel Fricker, gendre du regretté Roland Esslinger, et le « Randonneur », ont escaladé le Grossglockner pour un repérage. Et les échos rapportés ont noué certains estomacs à l'heure d'attaquer cet épouvantail. Plus que la difficulté, les conditions climatiques l'ont fait entrer dans la légende de cette dernière organisation pilotée par le président sortant, Pierrot Thirion. Le trésorier en exercice, Gilles Legeard, l'avait accompagné lors d'une reconnaissance un mois plus tôt pour doucement prendre le relais avec son président Gérard Zérafa vers le Tour du Haut-Rhin.
Il n'y a pas que le vélo dans la vie, il y a les paysages aussi
Pour Dany, l'effort reste un plaisir
GILLES LEGEARD
tour et détours La section Cyclo a réuni ses membres les plus valeureux pour un périple inédit les 28 et 29 septembre intitulé « Tour du Haut-Rhin » avec quelque 320 kilomètres au programme. Habitués à défier des reliefs éloignés, dix coureurs émérites se sont lancés à l’assaut de difficultés connues mais parfois oubliées : les contreforts du Jura suisse dans le Sundgau, le col du Hundsrück depuis Masevaux et le Markstein à partir du lac de Kruth-Wildenstein. Une pause à la bucolique aire de repos de Dannemarie, le long du canal, a permis de répartir la charge de pédalage. Le repos forcément mérité à l’hôtel Wolf a permis non seulement de se restaurer comme il se doit, mais également de se replonger pour certains dans leurs souvenirs d’enfance. A l’heure de l’école de ski, le revitalisant majeur était déjà une soupe digne de la potion magique. Et l’aigle de Nambsheim, notre président bien aimé Gérard Zerafa, a refait la course tant disputée au sommet.
du haut-rhin
715
C’est avec enthousiasme que les cyclos ragaillardis se sont lancés sur la route des Crêtes le lendemain, toujours sous un soleil permettant d’apprécier les lointains paysages avant de s’attaquer aux petites difficultés du jour, les cols du Louchbach et du Haut de Ribeauvillé. Au soleil, un pique-nique aura permis de digérer ces montées pour mieux avaler les kilomètres de plaine jusqu’à Mulhouse. Et il aura fallu freiner les ardeurs de la moto pfastattoise, Pierrot Thirion, pour que les moins entraînés ne restent en rade, la palme revenant au trésorier Gilles Legeard, la lanterne dornachoise. Heureusement, la solidarité légendaire des cyclos s’est manifestée, comme lors du passage à Sainte-Marie-aux-Mines, où le collectif a immortalisé sa sortie devant l’agence locale de « L’Alsace » fraîchement fermée, non sans un pincement au cœur. Et le dîner aura aussi permis de deviser sur d’autres tracasseries, beaucoup plus légères, de l’organisation devenue
Les cyclos ont pris de la hauteur au Markstein.
une réussite grâce aux conditions météorologiques exceptionnelles. Les marques prises par la nouvelle équipe dirigeante de la section Cyclo jalonneront d’autres échappées belles en 2010, parés d’une nouvelle tenue.
La lanterne dornachoise a finalement rallié Mulhouse
Une pause s'imposait à Sainte-Marie-auxMines devant l'agence fermée la veille
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trois de rangs
pour dédé L’équipe de Mulhouse au complet
Résultats du tournoi interne 2009 Quarts de finale : Théo Rittelmeyer-Michel Muller : 3-0 ; André Galli-René Marmillot : 3-1 ; Michel Schlienger-Michel Hantz : 3-1 ; Raymond Claudepierre-Yves Koenig : 2-3 Demi-finales : Théo Rittelmeyer-Michel Schlienger : 2-3 ; André Galli-Yves Koenig : 3-2. Finale : André Galli-Michel Schlienger : 3-1.
RAYMOND CLAUDEPIERRE
Grâce à son revers-éclair, André
Consolante. Quarts de finale :
Galli a remporté pour la troisième année
Jean-Claude Schmocker-Michel Muller : 0-3 ; René Marmillot-Michel Hantz : 3-0 ; Jean-Pierre Muller-Philippe Sengelin : 3-0. Demi-finales : Michel Muller-Raymond Claudepierre : 3-0 ; René Marmillot-Jean-Pierre Muller : 3-0. Finale : Michel Muller-René Marmillot : 3-1.
consécutive le tournoi interne de tennis de table. On peut le surnommer « Dédé la main leste », tant sa vitesse de poignet confère à son revers cette soudaineté qui surprend souvent l'adversaire. Au tournoi interne de tennis de table disputé début juin dans la salle du FCM à Mulhouse, André Galli a une fois de plus dominé ses adversaires, avec à la clé une troisième victoire de rang en l'espace de trois ans. La formule handicap a toutefois permis à Yves Koenig d'opposer une belle résistance au futur vainqueur, le contraignant à disputer une belle en demi-finale, un stade où deux vieilles connais-
sances ont également eu du mal à se départager, Théo Rittelmeyer s'inclinant de justesse devant Michel Schlienger. En finale, André Galli, avec un minimum de fautes directes, a pris le meilleur sur son camarade d'équipe Michel Schlienger Outre le beau parcours d'Yves Koenig, on notera les bonnes prestations de René Marmillot et, surtout, de Michel Muller, qui a remporté la consolante. Les parties terminées, les pongistes ont troqué la raquette contre la fourchette, quittant la table de compétition pour se retrouver autour d'une table de restaurant, afin de prolonger la soirée de la plus agréable des façons.
Classement des participants au terme de l'ensemble des rencontres : 1. André Galli ; 2. Michel Schlienger ; 3. Théo Rittelmeyer ; 4. Yves Koenig ; 5. Michel Muller ; 6. René Marmillot ; 7. Raymond Claudepierre; 8. Jean-Pierre Muller ; 9. Michel Hantz ; 10. Philippe Sengelin ; 11. Jean-Claude Schmocker.
rédaction colmarienne qu’incombe la vilaine mission d’annoncer ton départ. Tu es parti en ce laid soir du mardi 3 novembre à 33 ans. Tu jouais au badminton à Muhlbach où tu avais choisi d’habiter. Jamais avare d’un effort, toi le perfectionniste, tu auras voulu envoyer le volant plus loin, plus fort, plus vite. Et ce coeur, que tu avais si grand, t’a trahi. D’ailleurs tout était grand chez toi que j’ai pourtant osé affectueusement baptiser Yannosh. Grand le bonhomme, grande l’intelligence, grande la capacité de travail, grande la générosité, la disponibilité, la faculté d’écoute. Tu nous es arrivé à « L’Alsace » un jour de 1999. Il nous aura fallu peu de temps pour nous rendre compte que le très jeune colosse presque muet, empêtré dans sa timidité d’ado prolongé, cachait des trésors. Nous t’avons regardé franchir successivement tous les échelons. De l’humble correspondance de tes débuts à la flamboyante maîtrise que tu avais atteinte. Photo, écriture, mise en page, tu étais le journaliste le plus complet de la rédaction.
salut
yannosh
Ironie du sort, c’est à l’aînée de la
D’ailleurs s’il me fallait trouver un synonyme de polyvalent je dirais Yannick Bohn. Et s’il fallait en trouver un à droiture, je dirais Yannick Bohn. Tu as travaillé dur pour dompter ton extrême sensibilité et fait d’énormes pas vers la sérénité. Enfin, tu ne doutais plus. Enfin, tu avais déployé tes ailes de géant. Elles ne t’empêchaient plus de marcher. Évidemment nous allons continuer sans toi mais à jamais amputés d’un être d’exception. Nous ne sommes pas prêts d’oublier ce fichu soir de novembre qui t’a arraché à nous. Nous sommes tous meurtris, révoltés, impuissants. Toute la rédaction, toute l’agence de Colmar et toute L’Alsace s’inclinent profondément devant la douleur de tes parents, celle de ta soeur Armelle, notre collaboratrice, de Pascal et de tous les tiens. Salut Yannosh.
PATRICE BARRERE
NICOLE JAEG-LAYER
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Je t’ai connu, Yannick, il y a presque dix ans autour d’une table de ping-pong. Dans la joie. Aujourd’hui, dans la peine, je peux dire que je déteste le badminton. Même si nous avions parlé de jouer ensemble à ton nouveau sport. Dans la salle de sports de Muhlbach, tu as été terrassé par une crise cardiaque. C’est incroyablement injuste. À 33 ans. Il faut dire que des efforts et de l’énergie, tu en donnais. Dans tous les domaines. Et notamment dans ton métier. Quel professionnel tu étais ! Partir sur un reportage avec toi, c’était du bonheur. On savait que tes images seraient esthétiques, intelligentes et tendres. Tes photos avaient un sens. Tu avais l’oeil. Un don, évidemment. Tu aimais passionnément ton métier. D’aucuns diront un peu trop. Moi, je pense que tu étais tout simplement un vrai journaliste. J’aimais aussi partir avec toi dans ta voiture. Partager quelques kilomètres à tes côtés dans ta petite bombe japonaise. Petit chapeau stylé, t-shirts incroyables repérés sur internet, barbe de trois jours… Tu cultivais ces derniers temps un sacré petit look. Car tu allais bien. La vie semblait te sourire. Tu le méritais.
La traditionnelle chenille est menée avec brio par Jean Rohr.
vaillants
MARINA DELLA ROCCA
nos anciens !
18 Les retraités du journal « L'Alsace-Le Pays » se sont retrouvés, en octobre, à l'Auberge du Zoo à l'initiative de la commission sociale du comité d'entreprise. Il est vrai que l'année dernière la sortie n'avait pas eu lieu et beaucoup nous ont fait savoir qu'ils regrettaient ce moment de rencontre. Ils ont été entendus et nous voilà de retour. Plus d'une soixantaine de nos aînés étaient présents à ce déjeuner dansant. La journée était animée par Jean-Marie, qui a fait danser tout ce petit monde. Chacun a pu revoir ses anciens collègues et parler du bon vieux temps. Et une première cette année : certains de nos jeunes retraités sont venus se joindre aux habitués. Cette nouvelle formule de déjeuner dansant a ravi tout le monde, donc à l'année prochaine !
Au revoir ! Et à l'année prochaine !
Après un bon repas, les convives ont pu se défouler sur la piste de danse.
de la famille
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trespolo
l’illustre cabaret
Chaque membre du personnel ayant un enfant de 0 à 18 ans recevra un bon cadeau avec sa fiche de paie (à garder précieusement), qui lui permettra de retirer son cadeau, le jour de la fête. Pour le personnel dans l’incapacité d’être présent, le cadeau lui sera remis au CE, en échange du bon.
Trois cousins héritent du cabaret ambulant de leur grand-père... Une seule condition pour en profiter : travailler ensemble pour recréer le spectacle. L’équilibre précaire des relations entre ces trois grands enfants sera mis à rude épreuve dans la reconstruction du show familial. Dans la roulotte, cachée dans les malles, c’est toute l’histoire de la famille qui resurgit. Olivio, Alessandro et Miguel, trois personnages hauts en couleur, dans une comédie drôle et attachante, un show musical avec de véritables numéros de cabarets. Au programme : de la magie, des chansons, un show de ventriloque, du transformisme, des marionnettes des clochettes musicales, tout cela pour le plaisir des petits, mais aussi des grands... Mais où et quand ? Le 6 décembre 2009, à l’Espace 110 d’Illzach, à partir de 14 h pour la traditionnelle fête de Noël de notre personnel ! Tout a été prévu pour satisfaire petits et grands ! Les habitués retrouveront leurs maquilleuses chouchoutes qui, cette année encore, feront des merveilles sur les frimousses de nos charmants bambins. Les gourmands se feront plaisir avec le stand de crêpes et, bien sûr, la tombola ne manquera pas de combler les plus chanceux. Mais pour tout le monde, petits et grands, gourmands et chanceux, et les autres, le Père Noël nous gâtera tous, avec ses surprises !
MULHOUSE Cinéma Kinépolis ...................................... 6,20€ WITTENHEIM Salle Gérard-Philipe Réduction sur présentation de la carte du CE
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Du 28 novembre 2009 au 10 janvier 2010 Tarif unique à partir de 4 ans .................................................................................. 22 €
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Adulte : carnet de 10 ............................................................................ 17,85 Enfant/étudiant : carnet de 10 ........................................ 12,95€ Tarif réduit sur présentation de la carte CE
Pour les piscines hors de MULHOUSE 30% sur présentation du carnet ou abonnement
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Du lundi au vendredi .............................................................................. 6,30 Samedi, dimanche ou férié .......................................................... 7,00€
BILLETTERIE SPECTACLE Abonnement spectacle 20% sur présentation de l’abonnement
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Complexe CMCAS EdF/GdF à Zimmersheim InIndividuel « L’Alsace/Le Pays » ......................................................60€ Couple « L’Alsace/Le Pays » ................................................................100€ (inscription au même moment) Filiale (AP, Médiapost, CIME) ..........................................................100€ Extérieur......................................................................................................................................160€
BILLETTERIE SPORTIVE FOOT MULHOUSE / STRASBOURG / SOCHAUX 2 billets/an, 15€ maxi par personne Autres rencontres sportives 2 billets /an ou 20% sur présentation de l’abonnement rencontres sportives
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TICKETS RESTAURANTS Jusqu’à épuisement du budget, limité à 1 carnet/mois : valeur du chèque : 3,20€, avec participation du salarié de 50% par chèque. Conditions : uniquement personnel des agences. Cartes restaurant d’entreprise Clemessy disponibles au CE : équipes de jour, administration et personnel travaillant toute la journée.
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METRO EQUIPEMENT (Mulhouse) Se renseigner au CE.
MUSÉES et TOURISME ANIMALIER Prix de groupe sur présentation de la carte du CE ou 20% sur présentation du billet d’entrée.
REMBOURSEMENTS Vita Impex, Devianne, Bijouterie Delatour : 10% sur présentation de la carte CE.
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Point S : 5% sur présentation de la carte CE
Horaires CE Renseignements complémentaires : Gisèle Fawer 03 89 32 70 34 Lundi 8 h 30 à 11 h - Mardi 14 h 30 à 17 h 15 Jeudi 8 h 30 à 11 h - Vendredi 14 h 30 - 17 h
TU 101 sur la toile Retrouvez votre Trait d’Union sur le site : http://issuu.com/alsacece/docs/tu101
2,20€
Le CE est fermé le mercredi
Bulletin réalisé et confectionné par les travailleurs du Livre syndiqués du journal DEF - ABC
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18, rue de Thann, TSA 68001 68945 Mulhouse Cedex 9 sdh
Sport, loisirs, vacances, achats: le comité d’entreprise vous propose un large éventail de tarifs réduits. Certaines possibilités sont connues, d’autres moins. Voici une liste réactualisée des activités, spectacles, etc. bénéficiant d’une réduction. La billetterie marquée du signe est accessible aux retraités.