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ÉDITO
TRIBUNE SYNDICALE
EN DIRECT DU SIÈGE
DÉPARTS RETRAITE
COMMISSION VACANCES
A.R.A.
ATHLÉTISME
PÊCHE
MARCHE & SKI
CYCLO
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FÊTE DE NOËL
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S.S.T.
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PÊCHE
MARCHE SKI
du Comite d'Entreprise FÊTE DE NOËL
DEF
d’Union
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Trait
BULLETIN INTERNE
OCTOBRE 2015 à MARS 2016
- En cas de licenciement abusif, la loi prévoit de fixer par avance des règles visant à plafonner les indemnités prud’homales. - En cas de désaccord avec les syndicats, l’employeur pourra recourir au référendum d’entreprise. Le chantage à l’emploi fera le reste, pistolet sur la tempe et couteau sous la gorge ! Les derniers récalcitrants pourront être virés comme des malpropres… pour motif économique ! - L’indépendance de l’inspection du travail, de la médecine du travail, le rôle fondamental des élus du personnel seront attaqués. Soyons réalistes ! Contrairement à ce que les cercles libéraux martèlent, l’accroissement de la précarité et du chômage est garanti. A quoi sert de faciliter le licenciement ? A faciliter le licenciement ! A quoi sert de généraliser la précarité ? A avoir une main-d’œuvre corvéable et docile. Partant de là, comment croire que cette loi comporte des aspects positifs ? Il n’y a aucune corrélation entre restriction du droit des salariés et niveau de l’emploi. L’OIT en fait la démonstration : c’est dans les pays à faible protection des salariés que la précarité et le chômage sont les plus développés. Tout ça pour quoi, in fine ? Pour garantir l’enrichissement, ad vitam aeternam, d’une poignée de privilégiés. 1 % de la population mondiale détient 95 % du patrimoine, et 420 familles détiennent plus de richesses que la moitié de l’humanité. A l’heure des scandales à répétitions de l’évasion fiscale, il faudrait qu’on accepte de telles injustices sans broncher ? Soyons objectifs. Il est inconcevable qu’un tel arsenal de mesures répondant aux revendications patronales soit adopté. Ni négociable, ni amendable, cette loi doit être retirée, les déclarations abusives et mensongères de Madame El Khomri n’y changeront rien. Le doute n’est pas de mise. Tous ensemble, la mobilisation doit continuer jusqu’au retrait. Après des années de recul social, la victoire est à portée de main. Pour mettre un terme au bilan calamiteux de Hollande-Valls.
perspectives
Quand plus rien ne semble aller dans le bon sens et que les droits les plus élémentaires de tous les salariés sont à ce point en phase d’implosion, avons-nous vraiment le choix ? On peut invoquer tous les prétextes, aucun ne peut justifier de rester spectateur de ce qui se passe. Après les lois Macron et Rebsamen, la loi travail, dernier avatar de la frénésie antisociale d’un gouvernement férocement destructeur, a suscité une prise de conscience de la nécessité de lutter. Nous sommes objectivement à un tournant dans la construction d’un rapport de force plus favorable aux salariés. Mais la bataille est loin d’être gagnée. Tous les signaux convergent. A l’heure où ces lignes sont écrites, nul ne sait si les millions de manifestants qui se sont mobilisés dans la rue depuis près de deux mois auront eu gain de cause sur leur unique objectif : le retrait pur et simple du projet de loi, coécrite par le MEDEF. Il s’agit d’un enjeu majeur pour la défense de ce qui constitue le socle du droit social français : le Code du travail. Imaginons un seul instant que cette loi soit votée. Elle aura des conséquences catastrophiques dans tous les domaines : - Par le renversement de la hiérarchie des normes et du principe de faveur, elle donne un pouvoir absolu au patron, dans chaque entreprise. Depuis 1905, le Code du travail a vocation à protéger le salarié, quel que soit son contrat de travail, et lui assure des garanties collectives minimales, en matière de salaire, avec le SMIC, et de temps de travail, les 35 heures. La convention collective ne peut y déroger, et doit obligatoirement améliorer le Code du travail. Ce principe vaut également pour l’accord d’entreprise. En donnant la primauté à l’accord d’entreprise, le projet de loi torpille cette logique : chaque entreprise pourra définir ses propres règles, sans contrainte. - En cas de difficultés économiques, l’employeur pourra imposer tout autant la baisse des salaires et/ou l’allongement de la durée du travail, jusqu’à 60 h par semaine avec des journées de 12 h dans le cadre d’une annualisation du temps de travail.
bilanet Hubert STRAUEL
ÉDITO
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Extrapolons un peu. En tant que salariés de « L’Alsace », nous sommes concernés en premier chef. Imaginons les effets dévastateurs sur nos acquis si cette loi devait être adoptée ! D’autant que les élus du personnel et les syndicats sont régulièrement accusés de ne pas être conscients des difficultés de notre entreprise. Une affirmation parfaitement abusive, nous n’avons jamais nié cette réalité, ni cachée aux salariés. Pour ce qui nous concerne, il s’agit avant tout de rendre à César ce qui lui revient, et d’identifier les vrais responsables de cette situation. En aucun cas, les salariés de « L’Alsace » ne peuvent être considérés comme tels. Il ne saurait être question de leur faire porter le chapeau. En quatre ans de cure d’amaigrissement, les charges sont accablantes, le bilan accusateur. Dans tous les domaines, c’est la fuite en avant vers l’abîme. Des effectifs en repli permanent, des salaires bloqués,
Il s’agit d’une réelle alternative à la politique destructrice qui nous est infligée, basée sur la défense du pluralisme de la presse en Alsace. Ce projet doit permettre de définir de nouveaux objectifs pour développer et relancer l’activité. Ni catalogue fourre-tout, ni recette miracle, ce sera un outil pour engager le débat avec tous les salariés. Notre volonté est de créer une dynamique rassembleuse de toutes les catégories de personnel, journalistes, cadres, ouvriers, employés, en y associant également les correspondants et les porteurs de journaux. Tous les syndicats de l’entreprise seront les bienvenus dans la construction de l’activité. Même si des divergences existent, les derniers échanges sont porteurs de perspectives positives. La volonté de rencontrer le nouveau président du Crédit Mutuel va dans le bon sens et doit se
concrétiser. Le lancement de la campagne implique également de nous adresser à nos lecteurs, à nos annonceurs, ainsi qu’aux sociétaires du Crédit Mutuel. Nous avons pu établir des relations avec le syndicat CGT du Crédit Mutuel, qui sera notre relais auprès des salariés de la banque. Une telle démarche implique l’unité de tout le personnel et un soutien sans faille. Chacun y trouvera sa place. Car nous ne ferons rien sans vous, et rien ne se fera sans vous. C’est une condition indispensable pour donner un avenir à notre entreprise par la diversification des productions, au service de l’activité et de nos emplois.
FILPAC-CGT – JOURNAL « L’ALSACE » ÉLECTIONS PROFESSIONNELLES
et sept élus D.P. La répartition se fait en deux collèges : les ouvriers-employés et les journalistescadres. Un problème se pose : comment répartir un nombre impair d’élus, quand les deux collèges ont des effectifs quasi identiques, à quelques unités près ?
Ce qui porterait à 34 le nombre total d’élus du personnel, soit deux de plus qu’actuellement !
Totalement incompréhensible ! Mais à quel jeu joue la direction ? Les négociations relatives au protocole préélectoral tournent à la farce tragique. A moins que l’intransigeance affichée par M. Lehner ne cache des objectifs malsains et inavoués. Après cinq réunions de négociations, la direction de l’entreprise n’envisage nullement de trouver un accord acceptable, malgré la bonne volonté de toutes les organisations syndicales. Dans les faits, avec la baisse des effectifs, le nombre de délégués va connaître une évolution négative, qu’il ne s’agit pas de contester. Actuellement, le nombre de représentants du personnel est de huit en C.E. et huit D.P. Ce chiffre, selon la loi, devrait passer à cinq élus en C.E.,
A l’unanimité, les organisations syndicales ont fait une proposition apte à régler le problème, sans modifier le nombre global de délégués : il suffirait de rajouter un mandat en C.E., tout en en retranchant un autre en D.P. Avec six élus C.E. et six D.P., cette solution permet de régler définitivement le problème. Hors, M. Lehner ne l’entend pas de cette oreille. Pour lui, c’est la loi qui doit s’appliquer. Pire, pour la répartition, ce serait aux organisations syndicales de trouver une répartition équitable ! Enfin, comment comprendre une telle obstination quand la FILPAC-CGT envisage de faire appliquer l’avenant bleu régional qui prévoit l’élection de cinq D.P. supplémentaires pour la catégorie ouvriers ?
En campant sur une position invariable de rejet, la direction prend la lourde responsabilité de l’échec dans la recherche d’un compromis acceptable. Soit elle prend en compte les propositions des syndicats, soit elle prend le risque d’un recours en justice. Il devient évident que nous n’aurons pas le choix. Ce serait une première dans notre entreprise ! Ce bras de fer illustre la volonté de la direction et de d’actionnaire de casser le dialogue social, si nécessaire dans des relations civilisées. Que chacun prenne et assume ses responsabilités. Pour la FILPAC-CGT, le choix est fait : les élections doivent être organisées dans les délais les plus brefs ! Il est hors de question de sacrifier les droits des salariés. Ils sont légitimes à revendiquer une représentation équitable. Si la loi doit s’appliquer, ce ne sera rien que la loi, mais toute la loi.
ÉDITO
des investissements aux abonnés absents, un tableau de bord social apocalyptique. Comment s’étonner dès lors de l’accumulation de chiffres négatifs, en terme de diffusion, de publicité, de résultats économiques. Le chantage au financement de la trésorerie vient compléter cet enlisement vers le néant. Nous sommes entrés dans une nouvelle phase. La survie de notre entreprise est bel et bien à l’ordre du jour, et le comité d’entreprise décrète l’état d’urgence absolue. Il est indispensable de créer les conditions pour sauvegarder notre bien commun. C’est l’avenir de plus de 1000 salariés qui est en jeu. Nous en sommes convaincus, il n’est pas trop tard pour faire bouger les lignes. La FILPAC-CGT, majoritaire au comité d’entreprise, est à l’initiative d’un projet commun élaboré avec nos camarades des « DNA ».
TRIBUNE SYNDICALE
Hubert STRAUEL
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drôle d’endroit
que la planète
Gilles TIMPANO
Pour certains, c’est un milieu totalement hostile. Parce que oui, c’est un endroit où le bruit prédomine, où les imprévus sont fréquents, où la vigilance est de mise car le danger est bien présent… Pour les autres, c’est un monde impressionnant de par son environnement, son immensité et surtout un monde haut en couleurs. En tout cas, une chose est sûre, à peine entré dans le hall ROTO vous ne pouvez pas la rater, en plein milieu, c’est elle, la WIFAG. Une rotative de 33 mètres de long et d’une hauteur de 17 mètres. Malgré sa taille imposante, la WIFAG n’en reste pas une machine de précision considérée dans le milieu, à juste titre, comme la « Rolls » des rotatives (offset). Et pour choyer, approvisionner , régler ou encore piloter ce gros vaisseau qu’est la WIFAG, on dénombre pas moins de 36 personnes. Dans le détail cela donne : 18 rotativistes, 9 aidesrotativistes, 4 nettoyeurs, 3 opérateurs CTP (computer to plate), 1 cariste et 1 chef de service. Ce sont eux les fameux petits hommes verts du journal L’Alsace. Parce que chaque matin, les 4 nettoyeurs vont astiquer les cylindres, racler les dépôts d’encre accumulés la veille. Parce que le cariste va manutentionner chaque bobine en respectant les diverses laizes (largeurs de bande de papier) et différents grammages dans une chorégraphie ressemblant bien plus à Tétris qu’à Space Invaders. Parce que les copistes vont fournir plus de 300 plaques offset chaque nuit uniquement
Manny, opérateur CTP, charge les plaques vierges, à l’aide d’un éclairage jaune spécifique pour ne pas endommager la couche photosensible
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to Pierre, opérateur CTP, contrôlant le poinçonnage d’une plaque offset
pour la réalisation des 7 éditions de notre journal. Au quotidien c’est plus de 1000 plaques qui sortent des CTP tous produits confondus. Parce que les aides-rotativistes sont là pour alimenter en continu les 130 tonnes d’encre et les 7000 tonnes de papier qu’engloutit annuellement l’ogre qu’est la rotative. Parce que même à l’arrêt les deux rotatives WIFAG nécessitent une attention particulière. Les rotativistes se chargent des entretiens réguliers des unités d’impression impliquant des changements de rouleaux, de blanchets et également le réglage des différents groupes d’encrage. Parce qu’imprimer, n’est pas une mince affaire, il ne suffit pas d’appuyer de son seul index sur un bouton pour lancer une impression. Il faut être rapide, appliqué, avoir les bons réflexes, savoir doser encre et eau pour une alchimie parfaite que nécessite la bonne impression. Les rotativistes impriment le journal bien évidemment mais aussi les différents suppléments rédactionnels comme les cahiers « Immo » et « Pour sortir » ainsi qu’un bon nombre de commandes extérieures comme des encarts publicitaires ou la version strasbourgeoise du Direct Matin tirée cinq jours par semaine à 16 000 exemplaires. De plus la grande famille des MAG+ de la région Grand-Est est mise sous presse à Mulhouse pour un total d’environ 1 000 000 d’exemplaires tous les 15 jours. N’oublions pas le Journal des Enfants, imprimé à quasiment 13 000 exemplaires chaque semaine. Et surtout, parce que le travail d’équipe est essentiel ici. C’est donc grâce à tous ces astres, météorites et astéroïdes se côtoyant
EN DIRECT DU SIÈGE
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Pascal, notre cariste sur son fenwick
sur la planète ROTO que, de jour comme de nuit, Saturne, euh pardon, ça tourne ! Pour toutes ces raisons, nous vous invitons à pousser les portes d’entrée du vaisseau et à venir découvrir ou redécouvrir la machine, en rencontrant en chair et en os ces 36 êtres qui occupent cette planète Roto. Ils sauront, sans aucun doute, vous faire entrer dans leur univers complexe, tellement coloré et techniquement pointu, et assurément vous en sortirez avec des étoiles plein les yeux !
Manny réceptionne les plaques désormais insolées puis les classe suivant leur position sur la rotative
EN DIRECT DU SIÈGE
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Pascal et Henry, deux de nos quatre nettoyeurs, en pleine action
Daniel et Olivier manipulant, non sans difficultés, une bobine d’environ une tonne Yann, nettoyeur, devant la plieuse qu’il vient de faire briller
Steve, rotativiste de jour, tout sourire à coté de Laurent le chef d’atelier
Christophe, Michael et Pascal (de gauche à droite) en combinaison prêts à rentrer dans les entrailles d’un groupe d’impression pour en changer tous les rouleaux
EN DIRECT DU SIÈGE
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Pascal et Michael effectuant un changement de rouleau
Farid et Franck lors d’un changement de blanchet (caoutchouc permettant de transférer l’impression de la plaque au papier)
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8 Fabrice, aide rotativiste, mettant en place une bobine sur un dérouleur
Christophe, rotativiste de nuit, vérifiant le niveau d’encre d’un groupe d’impression, ici le rouge d’accompagnement du satellite 4/6
Fabrice prépare une bobine avant sa mise en place dans le dérouleur Daniel, rotativiste de nuit, prépare les plaques à caler pour la prochaine édition du journal
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José, rotativiste, notre rossignol de nuit, calant des plaques entre deux sifflements
Gilles, rotativiste de nuit, au pupitre de commande modifiant les encrages d’un supplément Mag
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Sébastien, rotativiste de nuit, ajustant les derniers réglages de la plieuse
Christian, rotativiste de nuit, enfile le papier dans les étages de la rotative, là où le papier prend des chemins différents suivant la pagination du journal
Au premier plan Gilles, puis Christian et Eric, contrôlant l’impression du journal. Il est environ 3 heures du matin
Vue d’un des étages de la rotative, d’où l’on peut apercevoir Christian et Gilles, affinant les réglages depuis les pupitres de commande
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Denise Séverine DEPOND-ROTH
DÉPART RETRAITE
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avec son mari d’alors, elle a 22 ans. Suivront quatre ans à Montpellier avant un retour dans l’Est, définitif cette fois, en août 1979. Avec, dans les bagages, Cédric et Julie, nés en 72 et 78. « On s’est installé à Mollau et le responsable du portage à L’Alsace est venu sonner à la maison un jour. Il cherchait un nouveau porteur pour Mollau et ne trouvait personne. J’ai commencé par refuser. Puis j’ai accepté. Mes enfants étaient petits, je pouvais travailler avant qu’ils ne se lèvent. Ma tournée prenait environ 50 minutes, à pied, entre 5 h et 6 h le matin, ce qui me faisait faire du sport en même temps ! ». En parallèle, Martine travaille la journée dans l’entreprise de son mari. Jusqu’au divorce. Elle cherche alors un nouvel emploi et se présente à l’agence de Thann où vient d’arriver le nouveau chef d’agence d’alors, Patrick Fluckiger. C’était en 1985 ou 86. D’abord pour 15 jours. « Il a trouvé que j’abattais beaucoup de boulot. Il m’a donc embauché comme vacataire, le statut de l’époque. » Les contrats s’enchainent, jusqu’à l’embauche en CDI. Martine Demolle est donc restée durant 30 ans à l’accueil de l’agence thannoise, au contact du public. Tout ce qu’elle aime. Et elle a appris l’alsacien sur le tas. « Ma grand-mère me parlait en flamand alors je n’ai pas été dépaysée. Les deux dialectes se ressemblent beaucoup. »
& Martine
Aventure épique à la locale de Thann : Denise et Martine, 25 ans de vie commune et un départ main dans la main. Leur vie professionnelle est étroitement liée. Et c’est ensemble que Martine et Denise ont quitté L’Alsace, officiellement fin février. Dans les faits, juste avant les vacances de Noël. Laissant un grand vide à l’accueil de l’agence de Thann où elles officiaient depuis 30 ans pour l’une, 25 ans pour l’autre. Honneur à l’aînée des deux nouvelles retraitées : Martine Demolle. Cette Lilloise est arrivée pour la première fois en Alsace, à Mulhouse, en 1972,
Denise Gelebart, sa compagne de bureau durant 25 ans, maitrise quant à elle parfaitement l’alsacien. Normal, pour une pure et dure. Car Denise vit toujours à Fellering (à quelques kilomètres de Mollau, dans la vallée de SaintAmarin…), là où elle est née il y a 62 ans de cela. Denise a aussi eu deux vies professionnelles. La première, avec son ex-mari aussi (les deux ne manquent pas de points communs…). Fille de commerçants (son père était le maréchal-ferrant et forgeron du village, sa mère tenait la boutique), elle a tenu plusieurs magasins avec son ancien époux. Trois quincailleries à Fellering, Saint-Amarin et Munster. Jusqu’à la vente des commerces, au divorce et au début d’une nouvelle vie, personnelle et professionnelle. Denise est arrivée à L’Alsace en 1991, comme vacataire aussi. Grâce à Martine ! « J’étais cliente chez elle. Quand j’ai vu qu’elle avait postulé auprès de Patrick Fluckiger, j’ai insisté pour qu’il la prenne. Il m’a dit qu’il me faisait confiance. Et voilà… » Denise a effectué plusieurs remplacements en agences, à Masevaux, Cernay et Guebwiller. Et elle est toujours restée à Thann, à l’accueil avec Martine. Au contact du public, tout ce qu’elle aime elle aussi. D’autant que comme Martine, elle connait tout le monde. Leur départ à la retraite, pas vraiment choisi ni voulu, est donc difficile. Pour elles deux, décidément liées jusqu’au bout, pour leurs collègues, mais aussi pour tous leurs habitués. « La retraite, c’est le vide » constatent les deux jeunes retraitées. « On ne cotoie plus le public au quotidien. Il faut se fixer de nouveaux objectifs. » Pour toutes les deux, il y a les petits-enfants : quatre pour Martine, cinq pour Denise. Et pour Denise, les sports de plein-air : marche et ski. Et de grandes maisons à entretenir pour toutes les deux. Une nouvelle vie qui commence, à occuper et à vivre.
Yolande et sa collègue de l’accueil d’Altkirch Véronique Wanner
Yolande et ses collègues de l’agence d’Altkirch et Saint-Louis
Laurence BEHR
la retraite pour Yolande Le 1er juillet 1974, à tout juste 18 ans, Yolande Habermacher fait son entrée au journal L’Alsace en qualité d’employée dactylographe au guichet d’Altkirch. Après 41 années passées à l’accueil de l’agence d’Altkirch, elle a fait valoir ses droits à la retraite. En 41 ans, elle a assuré le suivi de la clientèle, les annonces du carnet de famille, les petites annonces des particuliers, la comptabilité de l’agence, les relivraisons du journal dans tout le Sundgau, et la vente de voyages ! Mais pas que. Elle a aussi assuré l’archivage et le classement des photos et des articles pour la rédaction, et réalisé les décorations des vitrines. Yolande a accueilli les clients du journal avec professionnalisme et une énergie toujours débordante. Une nouvelle aventure commence à présent pour Yolande, maman de trois filles, puisqu’elle a désormais tout le loisir de s’occuper, en compagnie de son époux Christian, de sa petite fille Camille, née le 28 mars 2015 à Paris, mais aussi de s’adonner à sa grande passion pour le Raku. Yolande a fêté son départ à la retraite lors d’une réception qui a rassemblé ses collègues d’Altkirch et de Saint-Louis, à l’agence d’Altkirch. Toute l’équipe lui souhaite une très belle retraite !
Yolande et sa collègue Heidi Rousier
DÉPART RETRAITE
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le fidèle
Rémy BRUDER
« Mucky »
DÉPART RETRAITE
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Michel Muckensturm a fait valoir ses droits à la retraite le 1er janvier 2016. Mucky, le surnom qui lui a été donné par ceux qui l’ont connu et apprécié – et ils sont nombreux - dans notre entreprise, est un fidèle. Fidèle à notre titre. Il y a fait ses débuts de journaliste en 1973 à la rédaction de Sélestat et, si on excepte ses obligations militaires, il n’a jamais connu d’autres « patrons » que ceux qui ont successivement présidé aux destinées de L’Alsace. L’idylle aura duré 43 ans, durant lesquels il a mis ensuite son talent et sa plume – hautement appréciés – au service des informations régionales, puis sportives, et enfin générales. Fidèle à ses passions. Mucky, c’est aussi un personnage chez lequel cohabitent, depuis des décennies, des passions aussi profondes que variées comme la musique classique, les sports de combat et l’athlétisme. Ces passions ont entretenu le lien entre vie publique et vie privée : champion d’Alsace du triple saut chez les jeunes, ceinture noire de judo et co-auteur de « Judokas et dojos de Haute-Alsace, 60 ans d’histoire », Michel Muckensturm a également été notre spécialiste dans ses disciplines de prédilection, en même temps que notre envoyé spécial aux Jeux Olympiques à Atlanta et aux Mondiaux d’athlétisme à Athènes. Fidèle en amitiés. Le sens qu’il donne à la vie et la franchise qui l’anime lui valent de nombreux amis avec lesquels il partage les bons et les mauvais moments de l’existence. Naguère, cette complicité était un terrain fertile aux plaisanteries, jusqu’aux premières lueurs de l’aube. Aujourd’hui, le regard est toujours pétillant de malice. Bonne retraite, Mucky !
1970, deux espoirs de la section d’athletisme du SC Sélestat : J.-P. Gagnon et Michel Muckensturm (à droite)
Yolande HAFFNER
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Entrée le 28 juin 1971 en qualité d’employée de bureau au service vente et propagande, Martine Jud a enchainé divers postes au sein de l’entreprise, toujours en toute décontraction. Elle a gravi aisément différents échelons au fur et à mesure que les années passaient. Le 1er janvier 1972, elle est nommée sténodactylo débutante, puis employée administrative 2e échelon le 1er janvier 1974, puis au 1er juillet 1976 sténodactylo 2e échelon. En juillet 1987, elle est nommée employée d’exécution 1er échelon, puis au 1er janvier 1989 mécanographe et en janvier 1995 employée administrative 2e échelon. Après avoir fait ses premiers pas à L’Alsace en 1971, elle a été polyvalente et a su se faire apprécier par ses collègues à chacun de ses passages dans les différents services, pour enfin
Toute l’équipe du Centre Relation Client avec le sourire à l’image de Martine
DÉPART RETRAITE
Martine, au grand s urire !
C’était vraiment la fête au CRC
terminer sa carrière au service lecteurs. Durant toutes ces années au sein du service clientèle, devenu le centre relation client (CRC), Martine a égayé les après-midi de ses collègues. Son arrivée, toujours joyeuse et pleine de vie, redonnait le sourire pour continuer la journée. Ses fameux « mais, mais, mais, Monsieur... » avec les clients plus difficiles, faisaient partie du quotidien, ainsi que les fous rires. Le grand sourire de Martine, même s’il ne se voyait pas pour les clients au bout du fil, ce sourire
s’entendait. Que d’histoires et souvenirs pendant toutes ces années passées ensemble. Son départ à la retraite a été une fête. Tous ceux qui l’ont côtoyée, ont trouvé en elle, une collègue formidable et une amie. Avec son humour inégalable, elle a su apporté réconfort et soutien que ce soit sur le plan professionnel mais aussi personnel. Aujourd’hui, Martine peut s’adonner à sa grande passion « l’aloe vera », qu’elle a fait découvrir et apprécier à tout son entourage. Ses collègues sont unanimes : « quand nous pensons à toi Martine, tu peux voir un sourire se dessiner sur nos visages ! Nous te souhaitons une excellente retraite et te disons à bientôt ! ».
Une bien jolie Miss dont on a du mal à croire qu'elle a l'âge de la retraite !
vive la qu lle pour Maurice Maurice et son épouse Yvette
La très jolie Rosengart LR47
Fernand DA SILVA
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Et voilà Maurice le grand jour est arrivé, 1er février 2016 : la quille ! Après toute une vie de labeur voilà qu’une nouvelle carrière commence… métier : retraité. La carrière fut longue, débutée à 14 ans en apprentissage qui s’est soldé par un CAP en Dessin Industriel. Après avoir devancé l’appel pour l’armée et se retrouver prêt au grand saut dans le monde du travail, Maurice s’est mis à la recherche d’un emploi en tant que dessinateur. N’ayant pas trouvé au bout de quelques mois Maurice s’est vu proposer une place en tant que chauffeur au sein de notre journal. C’est en mai 1977 que la grande aventure commença avec les petits aléas de la route dont un accident en 78 à la sortie de Zillisheim
(qui lui a laissé des traces d’ailleurs) et un autre à Meyenheim en 79. En 1984 Maurice est passé conducteur de machine au service expédition et ce jusqu’à sa retraite. Pour ce qui est des machines à « l’expé » Maurice les a toutes connues et réglées de ses mains expertes, en commençant par les vieilles Muller Martini en passant par les Biliner, Sigma, Mosca et dernièrement Ferrag, plus aucune n’avait de secrets pour lui. Durant sa vie active il a connu deux centres d’impression, cinq rotatives, quatre salles d’expédition, sans oublier six directeurs et sept chefs de service. Enfin, on peut dire que sa carrière reflète un peu l’histoire du journal. Mais comme dans la vie il n’y a pas que le travail, Maurice a depuis longtemps un autre dada, pour ainsi dire, et pas des moindres car il affectionne les vieilles voitures (pas en modèle réduit), passion qui occupe la plupart de son temps libre, que ce soit pour la restauration ou les sorties et rencontres du Club Rosengart dont il fait partie de la direction. Sa première acquisition fût une 4 Chevaux (Renault) début des années 80 et une Traction (Citroën) un peu plus tard (voitures qu’il possède encore d’ailleurs). Voila qu’il s’est pris de passion pour une marque qui n’existe plus, mais bien
connue des amateurs et dont il est féru : la Rosengart. D’ailleurs, il en possède plusieurs modèles dont une LR45, une LR4N2, une LR64 et enfin il y a quelques années il a pu accomplir son rêve de 20 ans, s’acheter une Rosengart Supertraction LR539. Maurice voici enfin arrivé le grand moment que tu attendais tant, tu vas enfin pouvoir te dédier à 100 % à ton hobby, sans oublier Yvette bien sûr et les petits enfants qui aiment leur Papi. Bonne et longue retraite Maurice, bonne route dans ta nouvelle carrière !
L'incroyable Rosengart LR4N2
Com. VACANCES
nouveau
Après de longues années de bons et loyaux services et malgré toute l’attention et l’entretien effectués notamment par des salariés et retraités très impliqués dans sa préservation, le mobil-home placé au bord de l’agréable lac naturel de SaintPoint dans le camping Les Fuvettes à Malbuisson a dû être remplacé. Flambant neuf, son successeur, placé au même endroit que l’ancien, promet de beaux moments de détente. D’une surface de 32m², il possède trois chambres (un lit double - quatre lits simples) et peut donc accueillir jusqu’à 6 personnes. Il possède également une terrasse couverte et la TV. Au cœur du Jura, à 900 m d’altitude, entre eau et forêts, le camping Les Fuvettes vous offre toutes les joies de la pêche, de la baignade. Le bar/restaurant Le petit baigneur vous accueille pendant la belle saison, où vous pouvez profiter de la terrasse avec vue sur le lac, ou vous retrouver de manière conviviale dans les « carnotzets », petits cabanons en bois. Le bar/ restaurant vous propose une carte variée (cocktails, glaces, snacks, plats régionaux, etc.) et ses pizzas à emporter ! Egalement disponibles sur le camping : une belle piscine en demi-lune, avec 4 toboggans et une pataugeoire pour les plus petits; un mini-Club pour enfants de 5 à 12 ans encadré par un animateur, ouvert chaque matin, sauf le samedi en haute saison ; une ferme gonflable est montée tous les jours pour la plus grande joie des enfants ; des trampolines sont à disposition sur le camping ; un mini-golf de 12 trous (1,50€ par personne) ; tables de ping-pong ; aires de jeux pour enfants ; repas des animaux. Plusieurs animaux cohabitent dans un petit parc à l’entrée du camping (chèvres,
COMMISSION VACANCES
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à Malbuisson
alpagas, poneys, etc.) et vous pouvez assister à leur repas chaque matin en haute-saison. Le camping dispose également de plusieurs terrains de pétanque, de football et volley-ball. De nombreuses soirées à thème sont organisées dont l’incontournable soirée mousse et la soirée piscine pour profiter des plaisirs aquatiques à la tombée de la nuit.
NOUVEAUTÉ : location le week-end Désormais vous pouvez louer le mobil-home pour le weekend avec deux formules : V-S-D à 100 € ou S-D à 80 €, la priorité étant toutefois donnée à la location de semaine complète. Renseignez-vous auprès de la commission. Prenez l’air à moins de trois heures de Mulhouse dans un environnement privilégié. N’hésitez pas ! TARIFS DES LOCATIONS DU MOBIL-HOME À MALBUISSON Une semaine Une semaine Une semaine en juin ou en juillet en avril septembre ou août ou mai
220€
240€
200€
Week-end court
Week-end long
(sa., di.)
(ve., sa., di.)
80€
100€
Nos meilleurs voeux à Blanche.
Blanche pionnière de l’amicale à l’ho Bertrand SCHLEICHER
A.R.A.
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Nos meilleurs vœux à Blanche
Assemblée Générale
Une salsa endiablée
Le plaisir de la danse
Porte-toi bien Henri !
En effet, Blanche Glatz, à l’origine de la création de l’Amicale des Retraités du journal L’Alsace en 1985 et présidente de celle-ci jusqu’en 1999, qui est entrée en 2016 dans sa 90e année, a été honorée lors de l’assemblée générale qui s’est déroulée le jeudi 25 février 2016 à Hochstatt. Daniel Muller, secrétaire du comité d’entreprise depuis 1980 et ce jusqu’à sa retraite et donc compagnon de route puisque c’est sous sa houlette que l’ARA a été accueillie au sein des sections du journal, lui a remis un arrangement floral en présence d’une assistance nombreuse qui a entonné un « joyeux anniversaire Blanche » bien sympathique ! Henri Goetschy, pour ses 80 ans, a « subi » le même sort. Bonne continuation à eux deux. Par ailleurs, le 17 novembre passé, notre journée cochonnailles (re-visitées) Chez Julien nous a mené à Fouday. Auparavant, dans la matinée, nous avons visité à Châtenois la Maison du distillateur (nouveauté) premier espace muséographique avec un parcours visuel, didactique et... odorant (voir photos) consacré aux eaux-de-vie et au whisky en France gérée par la famille Meyer qui a créé un whisky 100 % alsacien, le Meyer’s, bien sûr dégusté et apprécié ainsi que d’autres essences de schnaps, de bredalas etc. «oups»!
A.R.A.
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onneur ! JournÊe cochonnailles
pour une équipe qui grandit
nouveaux maillots
ATHLÉTISME
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Mathieu LERCH
La section athlétisme de L’Alsace continue de se développer tranquillement, suivant la courbe de l’engouement populaire pour la course à pied, et renouvelle sa garde-robe. En 2015 la section a continué de recruter, intégrant notamment dans ses rangs, toujours plus de « runneuses ». Il a donc fallu équiper tout ce monde de nouveaux maillots, pour qu’il puisse montrer les couleurs de l’entreprise lors des courses disputées dans la région. Les anciennes tenues ont donc fait place à des T-shirts à manches courtes noirs, avec logo de L’Alsace dans le dos et sur la poitrine. Sobre et discret (trop, peut-être, en comparaison des maillots précédents), mais avec une nouveauté cette fois-ci : une coupe classique pour les boys, et une autre, spéciale, pour les girls. Le tout dans une matière dite « technique ». On ne sait pas trop ce que ça veut dire, mais ça fait chic. Non, sérieusement, c’est un textile qui évacue rapidement la transpiration (enfin, pour ceux qui transpirent), et qui évite de se cailler sur la ligne d’arrivée en attendant les suivants.
Et il y en a qui attendent longtemps… Les tenues sont arrivées pile-poil à temps pour le grand rendez-vous de la rentrée, le 2e trail urbain de Mulhouse. Les « L’Alsace » y ont bien figuré. Onze au départ, autant à l’arrivée et, pour la plupart, à des places pas ridicules du tout. Nos lecteurs ont ainsi pu voir qu’à L’Alsace on sait mouiller le maillot. Après cette mise en bouche automnale, nos runneurs ont embrayé avec le plat de résistance de leur saison : les cross corpo haut-rhinois. Six courses dans le froid, la boue ou la neige, parfois les trois en même temps. L’hiver était doux, la participation a donc battu des records cette année. Sur ces rendez-vous du samedi après-midi toujours très courus (400 à 500 participants sur la ligne de départ à chaque fois), nos maillots noirs étaient à chaque fois une dizaine en moyenne. Au total, les coureurs de L’Alsace ont été 16 à s’aligner sur une ou plusieurs courses. Deux d’entre eux, Martine Jeangeorge et Denis Sollier, ont même couru les six cross. Chapeau. Au challenge du nombre, les athlètes de L’Alsace se classent 16e sur 29 équipes. Au niveau du classement général par équipes, garçons et filles ont eu droit, cette année pour la première fois, à un classement séparé. Et la meilleure performance est à mettre à l’actif des filles du journal, qui terminent 8e. Les garçons, quant à eux, se classent à une honorable 17e place. Au niveau individuel, ce sont aussi les féminines qui ont brillé cet hiver. La jeune Camille Bihr est 1re junior, Martine Jeangeorge 7e en V2,
et Karine Rietsch 14e en V1. Marina Della Rocca (26e en V2), Hélène Poizat (48e en V1) et Delphine Dréan (58e en senior) n’ont pas démérité. Les garçons n’ont pas été aux avant-postes cette année, mais réalisent des performances homogènes. Denis Sollier et Laurent Gentilhomme se talonnent en V2 (respectivement 12e et 14e). Chez les V1, Arnaud Buffler (45e) mène la troupe devant Mathieu Lerch (58e), Thomas Hiltenbrand (95e) et Fabien Devaux (141e). Jérôme Gil est 102e senior. Et c’est chez les V3 que les garçons réalisent leur meilleure perf, avec les retraités Michel Conrad (6e) et Richard Schneider (10e), Jean-Marie Pascal se classant 80e. Les athlètes de L’Alsace ont ensuite rangé leurs chaussures à gros crampons et autres pointes pour enfiler les chaussures de route et de trail et se lancer sur le bitume et les sentiers de la région. Ils vont s’appliquer à continuer d’y faire briller leurs nouveaux maillots.
21 Jérôme Gil
Michel Conrad
Camille Bihr Hélène Poizat
Martine Jeangeorge
Thomas Hiltenbrand
Richard Schneider
Denis Sollier
Jean-Marie Pascal
Karine Rietsch
Arnaud Buffler
Laurent Gentilhomme
ATHLÉTISME
Mathieu Lerch
AG section pêche
L’assemblée générale de la section pêche du CE de L’Alsace s’est déroulée le 18 février 2016. 23 présents et 3 excusés. C’est par une minute de silence en mémoire des membres disparus que le président, Philippe Matter, a ouvert cette AG. 1. Rapport d’activités L’année 2015 s’est achevée comme la précédente avec un nombre de 70 membres, ce qui est un bilan plus qu’honorable par rapport au nombre de personnes employés au journal (350). Le décompte : 40 « L’Alsace », 21 ayants droit et 9 extérieurs. L‘année 2015 n’a pas été de tout repos. Canicule, fuites, portail, effraction, casse de matériels, arbres cassés, branches cassées, WC et autres. D’après nos constations la fréquentation des adhérents pêcheurs n’a jamais été aussi forte. A titre d’exemple, un mercredi a rassemblé près de 22 personnes autour de l’étang et cela dans une bonne ambiance de pêche. Suite au problème rencontré par rapport au prêt de la clé, le membre exclu n’a jamais donné suite à notre courrier et à aucun moment ne nous a retourné la clé. Mais nous avons eu dans l’ensemble un bon retour des anciennes clés et seules 7 personnes ont eu en retour les 15 euros de caution (ils n’ont pas repris la carte.)
Daniel MULLER
PÊCHE
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La première journée de travail a été très bien suivie nous étions 30 personnes, merci pour leur soutien et leur contribution. Le gros du chantier a été de sécuriser le saule pleureur en faisant appel à un bûcheron de métier, et, le soutien du CE sous forme de contribution exceptionnelle pour la location d’un camion nacelle, nous a permis de travailler en toute sécurité, et à financer les nouveaux barillets et clés. Le chantier du WC est arrivé à son terme avec la mise en place de la citerne sur les agglos, scellée par notre ami et ancien président Mickey. Le nettoyage du pourtour de l’étang s’effectue ainsi que le nettoyage des vieux bois et autres. Le dernier gros chantier a été de faire fonctionner la chasse d’eau. Cela a été assez délicat et là je dois remercier M. Fonne pour avoir trouvé le système vu le peu de pente que nous avons et si tout va bien la gouttière permettra de remplir la citerne. Elle sera en fonction en novembre. En attendant le président s’occupe de remplir la citerne avec l’aide d’une pompe et d’un groupe électrogène. Depuis le début des travaux ce chantier aura quand même duré 4 ans avant sa finalisation et le bon fonctionnement du WC. A ce jour, dans l’ensemble, la propreté du WC est respectée. Le problème de la clé a été solutionné par l’installation sur le mur d’un coffret dans lequel se trouve la clé. Le numéro est 0202. La deuxième journée de travail a elle aussi été bien suivie. Nous étions à nouveau 20 membres et du boulot il y en avait suite à la chute d’une partie du premier saule pleureur a l’entrée de l’étang, dégâts importants, grillage et autres petits arbres. Nous serons obligés d’abattre l’arbre dès que notre ami bûcheron aura l’occasion d’intervenir. La gouttière permettant de remplir la citerne d’eau pour les WC a été mise en place grâce au concours de Ossi qui, une fois de plus, à fait du très bon boulot. Il a repeint les WC, nous a préparé le terrain en y travaillant
le dimanche, avec le soutien de son fils et de Kevin. L’ancien WC a été démonté et transformé en réserve pour bois. Nettoyage des berges, ramassage du bois, on travaille aussi sur la petite cabane, nous avons changé la fenêtre et il reste à changer la porte d’entrée et à refaire l’habillage. La journée s’est terminée par un bon repas concocté par notre ami Dany. Et je remercie l’ensemble des membres qui nous ont soutenus sur la journée. Une armoire à Pharmacie a été installée dans les WC. Le contournement routier qui nous faisait craindre une gêne sonore et autres a été annulé et enterré ce qui permet de continuer d’être tranquille pour les années à venir. Pour la sécurité du poisson nous avons mis deux matelas de réception à la disposition des pêcheurs dans la grande cabane, surtout pour ceux qui pêchent sur le gravier et cela porte ses fruits. La nouvelle gestion piscicole a l’air de bien fonctionner, de plus beaux poissons surtout carpes se font prendre et il n’est pas rare de faire quelques poissons de plus de 5 voire 7 kilos en une journée. A ce jour nous déplorons un esturgeon mort, et 2 ou 3 disparus (bizarre). Nous avons eu très peu de perte. Je pense que cela est dû, entre autres, au nourrissage des poissons. Pour l’occupation exceptionnelle des lieux au titre de fête de famille et autres, il y a lieu de demander l’autorisation au président. Suite à la demande du CE, nous avons fait estimer l’étang et le terrain d’une superficie de 2,5 hectares avec le concours d’une agence immobilière il en ressort un prix entre 70 et 80 000 €. Nous ouvrirons au courant de l’année la réserve en totalité ou pas sur
23 8. Alevinage 2015 : 400 kg de carpes de + de 5 kg ; 50 kg de gardons ; 50 kg de brochets ; 30 kg de tanches. 2016 : 500 kg de carpes de + de 5 kg ; 50 kg de truites ; 50 kg de grosses truites ; 50 kg de brochets ; 75 kg de gardons et 40 kg de tanches, en prévisionnel et en fonction du budget.
3. Budget prévisionnel 2016 Subvention CE : 5000 €; rentrées cartes : 1750 € ; solde : 250 €. 4. Renouvellement du comité Président : Philippe Matter; secrétaire : Dany Muller ; trésorier : Sébastien Hell; trésorier-adjoint : Salva Costantino; Assesseurs : Albert Steinbach, JeanClaude Schmocker, Jacky Lindacher, Roger Karm.
une période plus ou moins longue, cela devra nous aider à vérifier le cheptel des grosses carpes qui y restent presque toute l’année. Nous avons dû racheter une débroussailleuse l’ancienne ayant rendu l’âme. 2. Compte rendu financier 2015 Présenté par Salva Costantino (trésorier) Recettes : 5000 € de subvention + 441 € d'aide exceptionnelle + Solde 2014 : 295,80 €. Entrée cartes : 1857,71 €. Soit un total de 7594,51 € Dépenses : Alevinage : 2968,78 € ; Frais de fonctionnement + divers : 3883,60 €; Entretien; Impôts : 485 €; solde : 257,13 € Soit un total de 7337,38 €.
5. Travaux prévus Le président après avoir remercié Jacky pour son investissement revient sur les principaux travaux à effectuer en 2016 (nettoyage, bois, entretien toilettes, grillage, entre autres). 6. Remise des cartes et mise à jour des adresses Pour mémoire : personnel du journal 20 €; ayant-droit 30 €; extérieur : 35 €. 7. Calendrier 2016 Fermeture du brochet dimanche 6 mars. A partir du 12 mars : ouverture truites. A partir du 20 mars : ouverture générale carpes. Le 15 octobre : journée de travail. Le 23 octobre : fermeture carpes. Du 24 au 28 octobre l’étang sera fermé cause alevinage brochets et grosses truites. Le 29 octobre : ouverture du carnassier.
9. Divers Les membres présents souhaitent être informés le plus rapidement possible du calendrier global d’activité ainsi que d’entrer en possession du rapport de l’AG. Le président proposa aux membres présents de lever le verre de l’amitié tout en leur souhaitant une excellente année halieutique.
PÊCHE
Du 5 novembre au 20 mars 2017 : pêche de la carpe en no kill.
bilan de la saison
2015-2016
JC. SCHMOCKER
MARCHE & SKI
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Avant le ski un copieux petit-déjeuner
Sortie à Engelberg
Sortie marche le 26 septembre 2015 du lac de Kruth à la ferme auberge Schafert 14 personnes pour la marche de deux heures sous le soleil et la bonne humeur ont été récompensées par un très bon repas servi à la ferme auberge Schafert. Le retour à pied jusqu’au lac pour les plus courageux, et en voiture pour les autres.
Sortie en suisse à Engelberg avec Cars Est le dimanche 28 février 2016 La méteo était moyenne avec une visibilité réduite le matin. Après un repas à midi dans un chalet en altitude, le soleil a montré le bout de son nez et a permis aux skieurs de profiter d’une bonne glisse. A noter l’annulation des sorties par Cars Est pour un manque de participants, à Grindelwald le 17 janvier et à Saanenmoser le 31 janvier.
Week-end à Châtel du 22 au 24 janvier 2016 Départ du centre d’impression des 12 personnes participantes à 14 heures le vendredi avec un mini bus et deux voitures. L’hôtel Castellan à Châtel nous a régalé durant tout le week-end par sa gastronomie et ses spécialités savoyardes. Les skieurs ont pu bénéficié de l’ensemble du domaine de ski des Portes du Soleil de Châtel à Avoriaz sous un soleil radieux et une excellente neige. Le retour s’est bien déroulé malgré un petit bouchon en Suisse près de Vevey.
Semaine de ski à la Plagne 2100 au Club Med Une première pour la section de ski de L’Alsace un séjour avec la section Skimine du 6 au 13 mars 2016. 42 participants dont 10 de la section de ski de L’Alsace. Voyage en bus et un repas de midi en france après la douane de Genève. Nous avons apprécié les belles chambres, la qualité des repas et la bonne animation du Club Med durant toute la semaine. Nous avons bénéficié d’un soleil radieux et d’une neige extra durant 5 jours sur les 6 passés et profité des conseils de Gabin le jeune moniteur de ski qui nous a encadré durant toute la semaine.
Week-end à Châ
Devant l’hôtel Le Castellan
Du soleil de la neige que du bonheur !
MARCHE & SKI
25 Une partie du groupe de L’Alsace et de Skimine
Semaine à La Plagne Dur dur la montée !
âtel C’est l’heure de redescendre !
Yves en piste
Très bon accueil à la ferme-auberge Schafert à Kruth Une petite pause s’impose
La petite troupe, avant le départ au lac de Kruth
Sortie marche au lac de Kruth Vive la jeunesse
ça r ule pour les cyclos !
Gilles LEGEARD
CYCLO
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Lors de sa traditionnelle assemblée générale, le vendredi 8 janvier à l’hôtel Mercure gare de Mulhouse, la santé des cyclos s’est avérée bonne. Sous l’impulsion du président Philippe Sengelin, les 25 présents se sont replongés dans les souvenirs de la saison écoulée, qui a eu en point d’orgue la sortie du mois de juin à Avoriaz. C’est avec ce même objectif de relever le défi des cols alpins, que les cyclos de L’Alsace répètent leurs gammes à l’entraînement. Les routes, qui seront empruntées du 8 au 10 juin, ne sont pas inconnues de certains, dont le capitaine de route Pierre Thirion. Les vélocipédistes se rendront en Italie, à Livigno, camp de base bien connu des cyclistes professionnels transalpins, mais aussi de feu le double vainqueur du Tour de France 1983 et 84, Laurent Fignon, qui appréciait les routes locales. Personne n’a la prétention de s’élever à ce niveau, bien que Daniel Fricker, gendre du regretté Roland Esslinger, montre toujours la voie en compétition. Ce capitaine de route, un externe qui contribue à la réussite de notre sortie annuelle avec le prêt d’une camionnette, devrait à nouveau emmener dans son sillage un beau petit peloton d’une vingtaine de coureurs, qui reste ouvert. Les inscriptions sont à effectuer auprès de Philippe Sengelin.
Les parcours ne sont pas à la carte, mais des variantes sont proposées pour que chacun roule selon ses propres moyens et surtout en fonction de ses périodes d’entraînement. Le premier jour, un premier groupe s’élancera de Schiers, dans les Grisons suisses, pour rallier Davos, où un second groupe prendra le relais à l’assaut du Fluelapass (2383 m) puis du Berninapass (2328 m) jusqu’à Livigno. En Italie, le 2e jour, en fonction de la récupération des efforts de la veille, les difficultés sont au choix, à moins qu’un repos ne s’impose. Au menu figure à minima le Passo di Gavia (2618 m), le mythique Passo di Foppa ou Mortirolo (1852 m) ou alors le Passo d’Eira (2208 m) et le Passo di Foscagno (2291 m). Le triptyque s’achèvera le lendemain en un seul peloton avec le Julierpass (2284 m), ou l’Abulapass suivant l’enneigement, pour rallier Chur avant le retour en bus à Mulhouse. Et si les efforts sont naturellement au rendez-vous, le réconfort ne manque pas non plus pour réparer les corps et entretenir la convivialité.
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sauveteur-secouriste
L’intervention rapide des secours améliore les chances de survie ou de meilleure réparation d’une blessure lorsqu’un accident se produit. Le sauveteur-secouriste du travail (SST) est le premier maillon irremplaçable de la chaîne des secours dans le monde du travail, il conduira le blessé du lieu de l’accident vers les secours spécialisés. - Il joue un rôle primordial lors d’un accident. - Il est sur place ou très proche du lieu de l’accident. - Il connaît les lieux, souvent dans le détail. - Il est souvent un camarade de la victime. - Il connait les risques particuliers de son atelier ou de l’entreprise. Tout cela en fait un témoin privilégié capable de faire cesser les risques ou de l’isoler pour éviter le surraccident, avant de porter secours. Son rôle est donc double : action et prévention. Le SST devra en moins de trois minutes, protéger, examiner, faire alerter ou alerter, secourir. Pour être efficace, le SST doit connaître, les risques spécifiques à l’entreprise, les moyens et procédures d’alerte, l’emplacement des organes de sécurité, les sorties de secours et les zones de sécurité. Protéger Cette action primordiale consiste à éviter qu’un nouvel accident ne se produise à la suite du premier. Tant le sauveteur que les témoins pourraient en être vitimes à leur tour. Examiner la victime Le SST recherche dans un ordre déterminé, les signes qui indiquent que la vie de la victime est menacée.
S.S.T.
du travail (SST)
Alerter Transmettre aux moyens et aux personnes prévus dans l’organisation des secours de l’entreprise, les informations nécessaires et sufisantes pour qu’ils puissent organiser leur intervention. Chaque salarié de l'entreprise peut suivre la formation de SST. Certains services en sont totalement dépourvus et cela peut être très dommageable. N'hésitez pas à envoyez votre demande à Laurence Burglen (DRH Formation) laurence.burglen@lalsace.fr N’oubliez pas Le secouriste du travail est le premier maillon de la chaine de secours qui conduira le blesse du lieu de l’accident vers les secours spécialisés. DE SIMPLES GESTES PEUVENT SAUVER DES VIES. Qui alerter Le 18 -> les sapeurs-pompiers Le 15 -> le Samu qui engage le SMUR Le 112 -> numéro unique d’urgence européen Que préciser dans le message d’alerte Le lieu de l’accident, l’adresse précise, la nature de l’accident, le nombre de victimes, l’état de la victime et surtout attendre que l’interlocuteur vous demande de raccrocher.
La formation SST est dispensée dans les locaux du journal, avec des mises en situation pour entraînement
28 FÊTE DE NOËL
Musique Édouard COUSIN
& Quiz à la fête de Noël
La fête de Noël du journal L’Alsace a rassemblé près de 200 personnes, début décembre, à l’Eden, à Sausheim. Temps fort de la journée : un quiz rigolo sur notre journal. Quelle est la date de parution du 1er exemplaire de L’Alsace ? Quelle est la marque de la flasheuse du CTP ? Combien y a-t-il de quais dans le hall de l’expé ? Un grand quiz a animé la fête de Noël du journal L’Alsace, le dimanche 6 décembre, à l’Eden. Si certaines questions n’étaient pas trop compliquées (quel est le nom du pronostiqueur hippique du journal, par exemple), d’autres, en revanche, étaient franchement plus ardues (en quelle année la diffusion des éditions françaises et bilingues a-t-elle été à l’équilibre ? Quelle est la longueur de la roto Wifag ?). Histoire de permettre à tout le monde de participer, les questions n’étaient pas uniquement consacrées au fonctionnement et à la vie de l’entreprise mais à des thèmes plus généraux, tels que sportifs ou culinaires. Après les grands, les enfants ont aussi eu droit à leur questionnaire, toujours sur le contrôle de « Mister Buzz ». Un exemple de question à choix multiple pour les plus jeunes : Quel est le chanteur de Petit papa Noël ? Tino Rossi, Maître Gims ou Kendji Girac ! L’équipe qui a remporté le quiz a gagné vingt entrées à Europapark. La deuxième équipe
est repartie avec vingt bons d’achats de 20 euros à Décathlon et la troisième a reçu vingt entrées à Kinépolis. Le tirage au sort de la tombola a ensuite permis de remettre de très nombreux autres cadeaux, dont des bons d’achats et des séjours pour deux en hôtel-spa. On a donc joué, début décembre, à l’Eden, mais pas seulement ! Toutes les générations, adultes et enfants confondus, ont également apprécié les airs joués par le « super groupe » Claudio Capéo et sa musique qualifiée d’« épatante » par Hubert Strauel, le secrétaire du CE. Ce dernier a accueilli l’assistance par son traditionnel discours de fin d’année. Il y a remercié le directeur de l’Eden, Pierre-Jean Ibba, ainsi que tous les services de L’Alsace qui ont contribué à l’organisation de cette journée. Le ton a été plus sérieux, voire grave, lorsqu’il s’est agi de parler de l’avenir du journal. « Nous espérons que cette fête de Noël ne sera pas la dernière (…) En Alsace, la fusion des deux journaux n’est pas la solution. Défendre le pluralisme est devenu notre boussole (…). Qu’on arrête de nous dire qu’il n’y a comme perspective que des reconversions dans des agences du Crédit Mutuel. (…) L’objectif du CE est clair : nous allons mettre en chantier un projet pour les deux journaux. »
Le directeur général, Jacques Romann, a ensuite pris la parole. « Je regrette que cette fête de Noël se transforme en tribune syndicale », a-t-il d’abord déclaré. Il a ensuite remercié les différents services de l’entreprise. « La rédaction, et en particulier les sports, qui ont raflé tous les prix. Merci à la pub qui a réussi l’exploit de maintenir son chiffre, merci au service développement, merci aux services techniques ». Et de conclure, par une formule rassurante : « Je vous confirme que l’on se reverra en 2016 ! ». Très bonne nouvelle pour la commission sociale du CE, qui mettra, comme à son habitude, tout en œuvre pour faire plaisir aux enfants et aux plus grands.
FÊTE DE NOËL
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Il fallait être concentré pour gagner !
Stéphane a animé de main de maître le quiz contocté par la commission sociale
L’atelier « fabrication d’un bracelet » a été très apprécié
Le challenge qui a départagé les trois meilleures équipes de la première manche
Le désormais très connu Claudio Capéo a chauffé la salle toute l’après-midi avec son groupe détonnant
Cécilia, notre maquilleuse, a fait des merveilles sur les bouilles de nos enfants
FÊTE DE NOËL
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Les enfants aussi étaient attentifs aux directives de Mister Buzz...
... pour finalement être tous récompensés d’avoir participé ! L’équipe gagnante du quiz 2015 !
Le tirage de la tombola avec la complicité de Claudio
La troisième équipe sur le podium du quiz
Laurent, trésorier du CE, annonçant les cadeaux des gagnants
Pierre-Jean donnant le tempo pour entonner la chanson magique qui fait apparaître...
...le père Noël !
FÊTE DE NOËL
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BILLETTERIE SPECTACLE
WITTENHEIM Salle Gérard-Philipe Réduction sur présentation de la carte du CE
MULHOUSE Le Palace.............................................................. 5€
EUROPAPARK *
À partir de 4 ans : du 19 mars au 6 novembre 2016
...........................................
36€
PISCINES carte de 10 entrées *
Piscines M2A
Valable dans toutes les piscines de la M2A (y compris Rixheim).......................................................................... 21€
PIERRE-CURIE MULHOUSE Carte bien-être
.....................................................................................
19€
Centre nautique RIXHEIM Vente uniquement sur place (présentation carte CE obligatoire) pour les habitants de la M2A Carte bien-être ...................................................................................... 66€ Remise en forme + piscine ...................................................... 86€
Pour les piscines hors de Mulhouse 30% sur présentation de la carte ou abonnement.
LAGUNA *
TICKETS RESTAURANTS
Du lundi au dimanche, férié y compris................... 9,50€
Tarif enfant journée complète compris................... 7,50€
omplexe CMCAS EdF/GDF à Rixheim C (limite Riedisheim) Chemin de Brunstatt (au-dessus du Gotha) Individuel « CE L’Alsace »............................................................. 60€ Couple « CE L’Alsace »................................................................. 100€ (inscription au même moment) Les inscriptions se font pour 12 mois.
BILLETTERIE SPORTIVE 2 billets/an, 15€ maxi par personne.
Conditions : uniquement personnel des agences ne bénéficiant pas de remboursement de frais de repas. Cartes restaurant d’entreprise Clemessy disponibles au CE : équipes de jour, administration et personnel travaillant toute la journée sans prime de panier.
2 billets/an (dans la limite de 15€ par billet) ou 20% sur présentation de l’abonnement rencontres sportives.
FOOT MULHOUSE / STRASBOURG / SOCHAUX Autres rencontres sportives
BONS DECATHLON *
Bons à 18€ (valeur 20€), 27€ (valeur 30€), 45€ (valeur 50€).
ZOOS *
MULHOUSE
Tarif réduit sur présentation de la carte du CE
BÂLE
TU 116 sur la toile
Retrouvez votre Trait d’Union sur le site : http://issuu.com/alsacece/docs/tu116
Adulte.................................................................................................................... 8€ Enfant (6 à 16 ans)................................................................................. 4€
PARTENARIATS *
10 % sur présentation de la carte CE.
Point S : 5 % sur présentation de la carte CE. Eden Espace Dollfus & Noack Sausheim : réductions sur présentation de la carte CE.
Hippopotamus : réductions sur présentation
MUSCULATION
Prix de groupe sur présentation de la carte du CE ou 20% sur présentation du billet d’entrée.
Jusqu’à épuisement du budget, limité à 1 carnet par mois : valeur du chèque : 4€, avec participation du salarié de 50% par chèque.
Vita Impex, Devianne, Bijouterie Delatour :
Tarif adulte journée complète
Du lundi au dimanche, férié y
2 0% sur présentation de l’abonnement ou 2 billets par an (dans la limite de 30 euros).
Horaires CE
Renseignements complémentaires : Gisèle Fawer 03 89 32 70 34
Lundi 8 h 30 à 11 h - Mardi 14 h 30 à 17 h 15 Jeudi 8 h 30 à 11 h - Vendredi 14 h 30 - 17 h
Le CE est fermé le mercredi 18, rue de Thann, TSA 68001 68945 Mulhouse Cedex 9
de la carte CE (Dornach, Illzach).
METRO * FRIBOURG (Allemagne) Achats en gros : se renseigner au CE.
METRO EQUIPEMENT (Mulhouse) Se renseigner au CE.
Sport, loisirs, vacances, achats: le comité d’entreprise vous propose un large éventail de tarifs réduits. Certaines possibilités sont connues, d’autres moins. Ci-dessus, la liste réactualisée des activités, spectacles, etc. bénéficiant d’une réduction. Uniquement la billetterie marquée du signe est accessible aux retraités. Ces tarifs sont donnés à titre indicatif, ils peuvent varier en fonction de l’augmentation des prestataires.
*
Bulletin réalisé et confectionné par les travailleurs du Livre syndiqués du journal DEF
MULHOUSE Cinéma Kinépolis........................... 6,30€
MUSÉES & TOURISME ANIMALIER *
d.plana
CINÉMAS *
sdh
BILLETTERIE
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