Trait d'Union n°113

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d’Union

Trait

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AVRIL à SEPTEMBRE 2014


prises. La boucle est bouclée, et M. Gattaz ne se prive pas de faire monter l’amère mayonnaise : supprimer deux jours fériés, mettre fin à toute loi fixant la durée légale du travail, légaliser le travail du dimanche, affaiblir le SMIC, effacer les seuils sociaux, créer un contrat de projet pour mieux supprimer le CDI, gérer une assurance chômage pour fabriquer des travailleurs pauvres, sanctuariser les baisses de cotisations patronales, etc. Face aux défis qui sont posés à la société toute entière, une telle allégeance aux intérêts des puissants relève, de fait, de l’acte de haute trahison. Les choix en œuvre, que nous retrouvons dans les projets de budget de la Sécurité sociale et de l’État, entraînent le pays dans une spirale de crise sans fin et sans issue. Le chômage, l’exclusion, la précarité, l’accroissement des inégalités sont devenus les marqueurs dominants de notre époque. Aujourd’hui, le pacte de compétitivité et ses 40 milliards d’euros

non la messe

n’est pas dite !

Hubert STRAUEL

dérive Hubert STRAUEL

Début septembre 2014, Université d’été du MEDEF. Manuel Valls, premier Ministre "socialiste" de la République, est accueilli triomphalement par l’élite économique et financière. "Moi, j’aime l’entreprise…", "ce sont les entreprises qui créent la valeur…", "il est absurde de parler de cadeaux aux patrons, une mesure favorable aux entreprises, c’est une mesure favorable au pays tout entier…." On ne saurait être plus clair ! Une "standing ovation" surréaliste clôture une journée faste qui marque – définitivement ? - l’enterrement en grande pompe de tout espoir de changement de politique, ou ce qu’il en subsistait. Pour mettre les actes en conformité avec la bible ultralibérale, comment s’étonner, alors, que la satisfaction aux revendications du patronat serve de boussole au pouvoir : amplification des exonérations fiscales et sociales, réforme territoriale, réforme du Code du travail, tout y passe au nom du soutien aux entre-

inacceptable

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Les annonces se suivent et se ressemblent. Pourtant, la sphère médiatique fait peu de cas de la situation dramatique que vivent la majorité des quotidiens. Le dossier de reprise du groupe Nice-Matin, qui sera jugé le 13 octobre, l’avenir de Midi-Libre, convoité par le groupe Centre-France, le redressement judiciaire du groupe France-Antilles, l’éclatement juridique du Monde S.A. sont les dossiers chauds de cette rentrée. Le tout sans que jamais ne soit abordé l’avenir de nos journaux sous l’angle de leur développement, du pluralisme, du droit d’accès de la population à une information réellement démocratique et diversifiée. Se pose alors la seule question qui vaille : mais pourquoi donc tout ce beau monde est prêt à investir dans une activité dont on ne cesse de clamer, en toute circonstance, le déclin irréversible ? Poser la question, c’est peut-être y répondre. Groupe de presse du Crédit Mutuel : être porteurs de nouvelles ambitions C’est dans ce contexte que les délégués FILPAC-CGT des journaux détenus par le Crédit Mutuel – L’EstRépublicain/Le Pays/Vosges-Matin, Le Républicain Lorrain, DNA, L’Alsace, Bien Public/JSL, Le Progrès/La Tribune, Le Dauphiné Libéré – se sont réunis le jeudi


3 de cadeaux aux entreprises, les 50 milliards d’économies sur le budget de l’État et des collectivités, sont présentés comme la solution miracle pour faire reculer le chômage et retrouver la croissance. Dans les faits, cela se traduit par un transfert massif de ressources financières des salariés, des familles pour satisfaire aux exigences du marché. Pour garantir la fortune et l’accroissement de la richesse de quelques-uns, on organise un véritable racket sur les maigres ressources de l’écrasante majorité ! Déjà, avec le CICE, ce sont 30 milliards d’euros, censés apporter des ressources supplémentaires pour soutenir l’économie et rendre les entreprises "compétitives", qui ont été financés sur le dos des consommateurs par l’augmentation de la TVA.Au final, nous retrouvons l’équivalent dans les dividendes versés aux actionnaires par les 50 premières sociétés cotées en Bourse. Au total, les diverses exonérations sociales et fiscales atteignent la somme astronomique de 230 milliards d’euros.

Les intérêts des emprunts pour financer la dette publique est le premier poste budgétaire de l’État, soit plus de 50 milliards d’euros. Ceux qui tirent profit d’une telle manne n’ont aucun intérêt à la voir baisser ou disparaître. Une véritable gabegie, un hold-up sur les finances publiques, sans aucune retombée positive sur l’activité économique, qui perdure depuis plus de 20 ans. Voilà les vraies explications à la persistance et à l’aggravation de la crise. Cette politique a des conséquences catastrophiques et met à mal tout l’édifice social et républicain. La protection sociale est malmenée, les services publics réduits à la portion congrue. Tous les droits fondamentaux (emploi, logement, éducation, culture) sont remis en cause. Tout ce qui va dans le sens d’une société harmonieuse, qui permet à chacun de vivre selon ses besoins, vole en éclat. Comment s’étonner, dans ces conditions, que les valeurs progressistes, de solidarité, soient en voie de marginalisation. C’est la recherche du bouc émissaire, du chômeur qui ne veut

pas travailler et qu’il faut contrôler, de l’autre qui est différent, qui est musulman, du fraudeur aux comptes sociaux, qui sert d’écran de fumée pour contourner le débat nécessaire sur la société que nous voulons construire. On comprend mieux pourquoi est tissé un voile pudique sur l’évasion et la fraude fiscale. Comment s’étonner alors du discrédit du pouvoir, et du recul des valeurs démocratiques. La politique menée par le duo Hollande-Valls a perdu toute crédibilité, et engendre colère et désespérance. Tous ceux qui ont une conscience aigüe du progrès social, des valeurs de solidarité, d’humanisme, ne peuvent qu’être horrifiés par ce qui nous est infligé. Il est encore temps de faire entendre la voix de la dignité, du respect, de la justice, de la fraternité. Comme le proclamait Saint-Just : "Le bonheur est toujours une idée neuve". Une autre société est toujours possible, loin du tapage incessant des élites médiatiques. Mais le temps presse.

18 septembre 2014, à Mulhouse. Ils ont échangé sur la situation sociale et les évolutions en cours dans leurs entreprises respectives. Ils constatent que les difficultés économiques, liées à la baisse tendancielle de la diffusion et à la crise des recettes publicitaires, est utilisée par l’actionnaire pour imposer, unilatéralement, des choix lourds de conséquences pour l’indépendance et le rayonnement des titres. Dans le domaine de l’emploi, toutes les directions d’entreprises se félicitent d’avoir un actionnaire qui exclue tout recours aux licenciements. Qu’en est-il vraiment ? Les chiffres sont parlants, et rétablissent crûment la vérité, avec une baisse sans précédent du nombre des salariés en activité. L’entrée en scène du Crédit Mutuel, en 2006, s’est soldé par le départ de près de 500 salariés, dans le cadre de l’accord PMS, sur la période 2006/2009. Depuis, cette évolution à la baisse se poursuit et s’approfondie. Sur la période 2010/2013, ce sont encore 476 emplois qui ont été supprimés. Plans de départs volontaires, ruptures conventionnelles du contrat de travail, recours à des licenciements individuels, clause de cession des journalistes, départs à la retraite non remplacés, tous les moyens sont bons pour imposer la baisse des effectifs. En 8 ans, plus de 20 % des emplois ont été liquidés ! De plus, ces chiffres

ne concernent que les entreprises éditrices de journaux. Ainsi, la restructuration du groupe L’Alsace s’est soldée par le démantèlement du groupe de gratuits d’annonces et le licenciement de 182 salariés. Cette politique, imposée par le Crédit Mutuel, se solde inévitablement par la recherche de synergie et de regroupement de moyens, permettant de réduire les coûts de production. Tous les services, de la rédaction aux services techniques, en passant par les services administratifs, sont concernés. Au nom de cette logique, est annoncée officiellement la fermeture du centre d’impression de Chatenoy-leRoyal, dédié à l’impression du JSL et du Bien-Public, avec des menaces sur 58 emplois, ainsi que la nomination d’un rédacteur en chef commun aux trois titres. Au nom de cette logique, est évoqué le rapprochement de L’Alsace et des DNA. Au nom de cette logique, le BIG (bureau des informations générales du groupe), est appelé à devenir une agence de presse, avec un changement de statut des journalistes à la clé. Au nom de cette logique sont déployés partout les mêmes outils informatiques. Faire sauter le verrou récessif Pour la FILPAC-CGT, ces choix sont néfastes et n’apportent aucune réponse positive aux attentes des salariés. Ils portent de graves préjudices à l’indépendance et la diversité édito-

riale des titres, à la capacité de chaque entreprise à assurer son développement. Tout ce qui pourrait contribuer à relancer l’activité, l’amélioration et la diversification des contenus, des modes de diffusion, se trouve compromis, et hypothèque l’avenir. Donner un avenir à nos entreprises, à nos publications, passe par une véritable politique d’investissement et de développement de la formation professionnelle, au service de l’emploi et des qualifications. Pour la FILPAC-CGT, la défense de l’emploi de tous est la priorité absolue. A ce titre, elle considère qu’il est urgent d’engager des négociations portant sur les conséquences sociales des modifications en cours, dans chaque entreprise, et à l’échelle du groupe. Elle revendique : des informations concrètes sur les orientations stratégiques des entreprises ; l’élaboration et la mise à disposition de la base de données unique ; la négociation d’un accord de GPEC, sur la base de l’accord de branche de la PQRD ; la négociation d’un accord portant sur l’évolution du statut des journalistes du BIG. La FILPAC-CGT considère que ces propositions sont à même de rassembler tous les salariés, dans toutes les entreprises, et doivent permettre d’apporter des réponses aux inquiétudes et aux interrogations. Elle appelle tous les salariés, journalistes, cadres, ouvriers, employés, à soutenir ces exigences légitimes.


deux pièces

LAureNt beLtZuNG

gris

en costume

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Dominique analyse le bon fonctionnement de l’un des régulateurs de vitesse « Minisemi » commandant un des 4 moteurs principaux de la rotative Wifag

Fabrice contrôle la bonne marche d’un automate ABB « AC-160 », qui gère l’une des 4 tours 8 couleurs de la rotative Wifag OF 970

Vous les avez déjà sûrement vu

au sein du siège du journal L’Alsace,

vous savez, ces hommes tout de gris vêtus, ben, ce sont eux les hommes de la maintenance industrielle. Et pourquoi « tout de gris vêtus » direz-vous ? Y’a une vieille blague (attention, niveau « Caramba r ») qui dit : Pourquoi les éléphants sont gris ? Réponse : pour ne pas les confondre avec les fraises des bois ! Donc voilà, en nous remettant plus sérieusement dans le contexte de notre centre d’impression, les gars de la maintenance industrielle sont historiquement habillés d’un costume gris deux pièces, pour ne pas les confondre avec les « verts » rotativistes, les « bleus » nettoyeurs ou encore avec les « rouges et noirs » de l’expédition. L’équipe « grise » forte de ses dix techniciens de maintenance tous qualifiés, dont la plupart ont le diplôme BTS électrotechnique ou BTS maintenance en poche, a des missions très précises. Explication. La maintenance, en générale, consiste à conserver des installations données, englobant l’ensemble d’un processus de fabrication, dans un état optimal, afin qu’elles répondent aux impératifs de fiabilité, de disponibilité et de qualité. En d’autres termes, et pour être plus clair, si vous comparez l’état de fonctionnement d’une machine à l’état de santé d’une personne, le professionnel de la maintenance a le même rôle qu’un médecin. Et plutôt que de soigner le mal, le but premier du professionnel de la médecine consiste à prévenir une éventuelle maladie, par des examens, des analyses périodiques et une connaissance détaillée du terrain, antécédents, causes et effets, pour ensuite prescrire des médicaments efficaces et une posologie adéquate.


5 Laurent à la manœuvre sur une cellule 20 000 Volts. Tabouret, gants et casque à visière, le tout estampillé 20 000 V, obligatoires. (Note : pour les besoins de la photo, la visière anti-UV est relevée)

Lionel R. fait le rigoureux préventif d’une des 45 luges que comporte l’encarteuse MSD Ferag

Au journal L’Alsace, en tant que véritables généralistes, les techniciens de maintenance industrielle opèrent sur tous les fronts. La polyvalence ici, est reine : tantôt graisseur, mécanicien, électricien, électronicien, informaticien ou encore gestionnaire de magasin, les hommes en gris sont de toutes les parties. Aussi bien sur les parties dites « basse tension », 5, 24, 48, 230 ou 400 volts que sur celles dites « haute tension » 20 000 volts, mais là, on ne rigole plus, les techniciens de maintenance sont obligatoirement titulaires d’une habilitation électrique, régulièrement renouvelée. Les salles d’opération sont nombreuses : hall rotative, hall dérouleurs, hall bobines, local plaques, salle d’expédition, quai d’expédition, local « haute-tension » ainsi que les différents locaux : encres, onduleurs, aspirations, surpresseurs, chaufferie, eau glacée ou encore compresseurs d’air. Les installations variées. Les techniciens opérèrent sur tous types de machine : CTP (computer to plate), développeuses, poinçonneuses, plieuses, rotatives offset, convoyeurs, enrouleurs, dérouleurs, encarteuses, mise sous film, margeurs, imprimantes, ordinateurs, empileurs, cercleuses, envoi postal, bandes de transport, poseuse de post-it et chariots automoteurs, entre autres.

Serge, le chef d’équipe, aux commandes du service, gère le personnel et planifie l’ensemble des tâches

Et de toutes tailles. Que ce soit sur une cercleuse de paquets « Strapex », petite machine de 1mètre sur 1mètre 50, ou sur notre vaisseau amiral, la bien-nommée « rotative Wifag », qui a tout d’une grande, aux mensurations plus que généreuses, longueur 30 mètres - hauteur 17 mètres, les hommes en gris, régulièrement, interviennent.

Lionel B. vérifie la bonne qualité des plaques offset sortant d’une des lignes CTP Agfa Advantage, le tout sous lumière filtrée jaune

Brahim contrôle l’état et les réglages des complexes rouages d’une des 8 unités d’impression des rotatives OF 9.2.


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Philippe fait le préventif minutieux d’une des plieuses de la rotative Wifag OF 9.2

William contrôle et règle l’un des margeur de la machine d’envoi postal Sitma

Les technologies sont multiples et complexes : automates programmables, bus et réseaux d’informations, lecteurs lasers, régulateurs de vitesse, boucles d’asservissements, displays de commande, impressions jet d’encre, etc. Côté mécanique, les réglages demandent une infime précision, de l’ordre du 100e de mm selon l’installation. Pour le graissage, qu’il soit manuel ou automatique, les techniciens utilisent pas moins d’une vingtaine d’huiles et de graisses différentes. Concernant les pièces de rechange, le service gère entièrement ses commandes et son stock. Les horaires, eux aussi sont multiples : matin, après-midi, journée ou nuit. Le service occupe la place, en l’occurrence le centre d’impression, du matin 7 h 30 au soir 20 h 30 la semaine, et assure également une permanence le samedi matin. Et la nuit, le service est omniprésent 7 nuits sur 7, avec un roulement qui essaye tant bien que mal d’être bien huilé. La tâche est ardue mais les hommes sont dévoués.

Plus précisément, la fonction du service maintenance industrielle comprend plusieurs formes d’interventions. Le curatif : autrement dit le dépannage. Analyse, recherche, réparation et réglage de la panne, le tout dans un délai respectable pour ne pas entraver les impératifs de production. Le préventif : réalisé hors production, il consiste en une révision des installations à intervalles réguliers, plus ou moins rapprochés selon la nature de l’installation. Echange des éléments usés, contrôles, mesures et réglages, le tout ayant pour but d’éviter les éventuelles pannes. Au sein du service, trône une imposante bibliothèque, pas à la hauteur de la Bibliothèque Nationale de France et ses millions de références, mais conséquente quand même. Classeurs mécaniques et techniques en tout genre concernant les multiples réglages de bases, schémas pneumatiques, électriques et électroniques, plans et croquis des pièces détachées, catalogues des fournisseurs et classeurs de formation. Bref, du gros volume nécessaire à un travail efficace et rigoureux, un travail de pro. Insolite : la « maintenance industrielle » peut également s’enorgueillir d’être un des seuls services a posséder un mini-musée, dans lequel est amassé pèle-mêle tout un tas de pièces, qui sont soient, tordues, fondues, cisaillées, brulées ou même explosées, bref un mini-musée du foutu et du HS (Hors Service). Entrée gratuite :)

Yves échange un disque dur de la tour de gestion informatique PRA-PC/ IDS à l’expédition


rAYMOND CLAuDePIerre

Christelle

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du tournoi

Pour la première fois de son histoire,

le tournoi interne de tennis de table a été remporté par une représentante du sexe dit faible. Christelle Didierjean a en effet damé le pion aux treize concurrents masculins engagés dans cette amicale compétition. Une édition 2014 qui aura été dominée par les pongistes colmariens, puisque trois de leur quatre représentants ont atteint les demi-finales et que la victoire s’est disputée entre Christelle et Théo.

Une belle finale, remportée à l’arraché, sur une belle à 12-10. Les organisateurs de l’épreuve, Yves Koenig en tête, ont reconduit la formule qui avait fait ses preuves les années précédentes, en associant tennis de table, déjeuner et pétanque. La journée, qui s’est déroulée le mardi 20 mai, sur le site de la salle du FCM à Mulhouse où les pongistes de L’Alsace ont coutume de se retrouver tout au long de la saison, a bénéficié d’un temps splendide, permettant de déguster au soleil une succulente paella préparée par Jean-Jacques Herth et Jean-Claude Galli. Les matches ont débuté à 9h, les concurrents étant répartis en quatre poules, formule handicap, dont les deux premiers étaient qualifiés pour les demifinales, les autres disputant la consolante. La poule C voyait la participation de Jean-Claude Galli, ancien champion d’Alsace, venu faire quelques balles en invité, avant de se consacrer à la préparation de la paella... Dès les premières rencontres, Christelle, pilier de l’équipe de L’Alsace Colmar, également membre de l’équipe féminine de la MJC de Colmar, apparaissait comme la joueuse à battre. Première de sa poule devant son coéquipier colmarien Sébastien Korn, elle disposait de René Marmillot en quarts de finale, puis de Michel Muller en demi-finale, avant de remporter la finale en cinq sets très serrés, aux dépens de son coéquipier (et ami) Théo Rittelmeyer. Ce dernier a pris sa revanche dans l’après-midi en dominant outrageusement le tournoi de pétanque, associé à Yves Koenig et André Galli.

Cette triplette n’a en effet laissé aucune chance à ses concurrents, au terme d’une journée placée sous le signe de l’amitié et de la bonne humeur. Une journée qui laissera à ses participants le meilleur des souvenirs.

Résultats du tournoi de tennis de table : Quarts de finales : Michel Muller-Jean-Jacques Herth : 2-0 ; Théo Rittelmeyer-Florian Muller : 2-0 ; Christelle Didierjean-René Marmillot : 2-1 ; André Galli-Sébastien Korn : 1-2 Demi-finales : Michel Muller-Christelle Didierjean : 0-2 ; Théo Rittelmeyer-Sébastien Korn : 2-1. Finale : Christelle Didierjean-Théo Rittemeyer : 3-2 (11/7 ; 9/11; 9/11 ; 11/6 ; 12/10) Consolante : 1. Yves Koenig ; 2. Raymond Claudepierre ; 3. Dany Schwartzmann.

Classement général du tournoi 2014 : 1. Christelle Didierjean ; 2. Théo Rittelmeyer ; 3. Michel Muller ; 4. Sébastien Korn ; 5. André Galli ; 6. Jean-Jacques Herth ; 7. Florian Muller ; 8. René Marmillot ; 9. Yves Koenig ; 10. Raymond Claudepierre ; 11. Daniel Schwartzmann ; 12. Jean-Pierre Muller ; 13. Jean- Claude Schmocker ; 14. Roland Ast.


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l’équipe des

grenouilles

NS - Lb - SD

Journée nature et découverte

ludique de la vie des petites bêtes

journée

au Moulin à Lutterbach. Par rapport à la sortie Europapark de l’an dernier, la commission sociale de L’Alsace a joué de surprise avec à la clé une très belle journée pour les enfants. Le 23 avril ce sont 34 enfants accompagnés des membres de la commission ainsi que deux mamans gentiment disponibles, qui sont partis à l’aventure. Et la première était le tram-train à Dornach qui a permis de se rendre très rapidement à Lutterbach au fameux Moulin. Le moment pour les copains de se retrouver, d’en rencontrer des nouveaux et de se rendre compte pour nous les adultes, que nos bambins grandissent vraiment vite ! Petit débriefing et présentation du site par Frédéric et déjà les trois groupes se formaient sous le nom de leur bestiole fétiche du jour : «les grenouilles» pour les 7-9 ans, «les castors» pour les 9-10 ans et «les abeilles» pour les 11-17 ans, et chacun pu rejoindre son animateur assisté des accompagnateurs.


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Pour les Grenouilles, c’est Stéphanie qui allait guider la journée. Equipés d’épuisettes, passoires et accessoires en tout genre, la première mission des enfants a été d’observer les abords de la mare pour détecter les petites bestioles qui s’y nichaient... Tout en respectant la nature, étant délicat avec les proies capturées et surtout en étant attentif et observateur. Et là : surprise ! « J’ai attrapé un scorpion !» «Moi j’ai un gros truc je ne sais pas ce que c’est, mais c’est très gros ! » Les plus craintives se sont également laissées aller à mettre les doigts « dans des trucs gluants tout bizarre... ». La vase et les roseaux regorgeaient en effet d’une multitudes d’animaux en tous genres et dont Stéphanie allait lever les mystères. Recueillis dans des grands bacs, il fallait les trier en les isolants par famille et sélectionner les plus beaux spécimens que les enfants allaient observer dans leur boîte d’explorateur. Punaises aquatiques, coléoptères et autres larves, chaque petite bête fut appelée par son nom et Stéphanie joua son rôle de « maîtresse du jour » à la perfection. Un petit jeu de devinette de l’animal accroché dans son dos, et déjà c’était l’heure du repas. Les pizzas « faites maison » cuisinées par Laurent, ainsi que les crudités ont été dévorées par les enfants, même les plus récalcitrants aux légumes ! Au grand étonnement des parents qui n’en croyaient pas leurs oreilles le soir...

le moment cabane L’après-midi était dédiée à la découverte des petites bêtes amies du jardin et du jardinier. Les enfants s’en sont donné à cœur joie ! Gratouiller la terre, en sortir délicatement les vers, les fourmis, les doryphores et toute leurs familles... Explorer le dessous des pierres, les tas de bois ou le compost végétal... que de mines d’or pour nos chercheurs en herbe. Une fois de plus, Stéphanie fit le « ménage » et pris grand soin d’expliquer aux enfants le cycle de vie de ces petites bêtes, indispensables à l’éco-système du jardin.

le repas

le goûter


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l’équipe des

castors

Côté « Castors », la journée allait s’avérer « humide ». Bottes aux pieds et bassine à la main, le petit groupe, guidé par Benjamin, est parti à la découverte de la rivière et de ses habitants. Tels des scientifiques, ils ont observé les petits et gros insectes qui peuplent la Doller. Les petites boîtes loupe se sont avérées très utiles pour les observer de plus près et se rendre compte qu’un insecte minuscule est doté de bien d’atouts qui permettent de vivre. Après la pause déjeuner bien méritée, nos petits détectives sont partis à la recherche du fameux castor le long de la rivière. Une longue, très longue marche plus tard, toujours pas de castor en vue... Il avait décidé de se cacher. Heureusement certaines traces ne laissaient aucun doute quant à son passage. Benjamin a expliqué aux enfants qu’avec l’aide de ses dents le castor était un grand bâtisseur. Grâce à ses incisives qui sont aussi aiguisées qu’un bon ciseau à bois, il peut couper des arbres assez épais, et ainsi construire sa hutte. Les enfants ont également appris que sa queue plate lui est très utile sous l’eau, dans les courants, ou lorsqu’il doit positionner les branches de son barrage, qui lui sert à retenir l’eau et à créer ainsi des zones dans lesquelles il peut se déplacer en toute sécurité. Toutes ces explications étaient passionnantes, mais toujours pas l’ombre d’un petit castor en vue. Heureusement les enfants ont pu ramener dans leur sac à dos des bouts de bois marqués de ses incisives. A défaut d’en voir un. Nul doute qu’une deuxième visite s’imposera au Moulin pour essayer d’en débusquer un !


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l’équipe des

abeilles

Pour les « Abeilles » la matinée débuta par des leçons de choses, savamment animées et distillées par l’animateur du jour Frédéric : les différentes sortes d’abeilles, leurs constitutions, leurs fonctionnements et bien sûr leur habitat : la ruche. Le tout agrémenté de multiples outils pédagogiques et ludiques : cartes, grand tableau, microscopes, éléments de ruches, ainsi que les différents outils et accessoires touchant au monde de l’apiculture. Avec aussi, et sans doute le plus apprécié, l’atelier de « goûtage » : les différents miels de sapin et de tilleul, ainsi que les grains de pollen. Les leçons étant dites, il était l’heure de revêtir l’impressionnante combinaison de l’apiculteur, car les enfants avaient rendez- vous avec la reine … la reine de la ruche … et ses sujets. Apres quelques conseils de précautions d’usage, l’équipe impatiente a pu pénétrer dans le village inconnu où trônait une demi-douzaine de ruches. D’une main experte, Frédéric entrouvrit l’une d’elle. Devant les yeux ébahis, des dizaines de milliers d’abeilles s’affairaient à leurs tâches : construction des alvéoles, fabrication du miel, dépose de la nourriture aux larves, ventilation de la ruche avec leurs ailes, etc. Chacune sa tâche, le tout régit dans un ordre rigoureux, qui peut paraître, à nous humain, un véritable désordre. Et là, au détour d’un rayon, au milieu d’un cadre, Elle était là, plus grande que toutes les autres, avec sa couronne faite d’un point de couleur rouge… la reine. Pour tous, ce fût un grand moment d’émotion et de respect ! Après le repas, tous ont eu droit à la récréation : construction de cabanes en bois, ou simili-cabanes (c’est vrai que les formes n’y étaient pas toujours : ) au milieu d’un magnifique bosquet d’arbres. L’après-midi, c’était l’heure de la chasse. « Vous prenez chacun un filet, une boite-loupe, et en avant, pas seulement à la chasse aux papillons, mais pour attraper tous ce qui vole ». Frédéric venait de motiver les troupes. Après une petite séance d’apprentissage

et de technique au maniement dudit filet, les lépidoptéristes en herbe étaient prêts pour une longue battue. Et là se fût découverte sur découverte. Les filets se remplissaient de toutes sortes d’insectes volants que nous avons identifié plus tard : mouches, moucherons, abeilles solitaires, punaises, syrphe, guêpes, bourdons, pour ne citer que les plus connus, et bien sûr des papillons. De retour de ce long périple, et après un petit bricolage, la construction d’une habitation pour abeilles et guêpes solitaires faite d’une natte de roseau enroulée et tenue par de la ficelle, se fût l’heure du goûter bien mérité. Composé de tartines surprenantes, à la confiture de courge spaghettis (oui oui !), de menthe ou de pastèque en buvant du sirop de bouillon blanc ou de groseille, les enfants finissaient la journée par un jeu « attrape-moi » avec des « poules - renard serpent ». De quoi les épuiser avant le retour... Eh bien non ! C’est presque frais, mais surtout avec plein d’anecdotes à raconter sur la journée, que les enfants rejoignaient leurs parents au siège du journal en fin d’après-midi. Eh oui... Une journée au grand frais, dans la nature à barboter ou à gratouiller, à chasser dans les airs ou observer la rivière, à manger des légumes et boire de l’eau, ce n’était finalement pas une si mauvaise idée que ça ;-) Rendez-vous l’an prochain pour de nouvelles aventures !


rAYMOND COurAuD

la dernière

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de PLC

Le mot fin est tombé sur le long métrage intitulé « Pierre-Louis Cereja et L’Alsace ». Notre critique a partagé sa passion avec les lecteurs pendant tant d’années que le cinéma devrait lui donner un César pour l’ensemble de son œuvre. Être critique, c’est aimer ou détester. Bref, être humain. Il a sûrement contribué à remplir bien des salles obscures, comme il a sans doute fait le désespoir de ceux dont il descendait les productions. Tout cela n’était jamais vraiment méchant. Quand on aime s’installer dans un fauteuil et se plonger dans un film, c’est qu’on aime les gens. Que d’émotions nous a-t-il offert ! Cet enfant du quartier Wolff à Mulhouse a grandi avec le cinoche, les westerns ou le néoréalisme italien.

Ce n’étaient pas ses seuls loisirs. Gamin d’un quartier populaire, il tapait dans un ballon avec ses copains. On peut même vous le dire : son cœur bat quasiment autant pour un but en or que pour une palme du même métal. Ceux qui le croisaient arborant un maillot de rugby comprenaient que la mêlée ou le drop n’ont point de secrets pour lui. Pierrot a également joué au volley, avec l’équipe de L’Alsace. Être corpo s’est être ouvert aux autres et ses copains de filet appréciaient sa science sportive. Ecrire un tel papier n’a rien de simple. L’ami Pierrot le lira en pensant que je me suis rôdé façon nécrologie. Horrible sensation. Il est bien vivant notre Monsieur Cinéma. Il a envie de croquer la vie. Ses projets sont nombreux. Il pourra les partager avec son épouse, Emmanuelle tout aussi passionnée que lui par les images mouvantes et émouvantes. Gageons que la Croisette ne restera pas longtemps orpheline de ses passages.

Chaque printemps pendant une trentaine d’années, il migrait vers Cannes. Il en revenait aussi blanc qu’un lavabo. C’était le signe qu’il avait dédaigné le sable pour l’obscurité bienfaisante d’une salle de projection. Tout le monde l’enviait un peu. Normal, il approchait nos fantasmes. Pas bégueule, il nous les a fait partager. Le magazine du week-end fut une autre aventure de sa vie. Le cinéma ou l’art contemporain y trouvaient leur compte. Mais Pierre-Louis veillait à ce que les fêtes des rues ou la rubrique jardinage ne soit point oubliée. Il y eut également la radio. Il a fait partie des pionniers de Radio Bollwerk, devenue Europe 2 etc. Il y parlait de cinéma. Ses auditeurs ont pu vérifier que sa science se conjuguait à une forte dose d’humour. La dernière séance est venue. Il s’est levé et nous a laissés un peu orphelins. Quand on regarde son bureau, on pense à ces vieux cinoches de quartier qui deviendront « garage, building supermarché » comme le chante Monsieur Eddy. Le Vox, le Corso ou le Rio font partie de la mémoire des amoureux de cinéma. Pierre-Louis aussi. C’est l’occasion de lever un verre de Juliénas à sa santé. Ça aussi c’est une autre facette de cet amoureux des grandes et belles bouffes. Au fait, Pierre-Louis c’est PLC. Trois lettres en forme de label.


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, un pétillant retraité rAYMOND CLAuDePIerre

le

A force de le voir chaque jour ou

presque, on le croyait faisant partie des

meubles. Mais tout arrive : Théo Rittelmeyer a pris sa retraite. Incroyable mais vrai. «Es gibt Badische und Unsym...badische» Théo, Alsacien d’adoption et Badois d’origine, se classe de toute évidence parmi les premiers -et non les seconds- en dépit de ses coups de sang (et de gueule) ponctuant un envoi de texte trop tardif, une pub mal indiquée, un renvoi sur une mauvaise page ou encore.... un set perdu, raquette en main. Après son service au grade de lieutenant de la Bundeswehr, il se destine à être prof de géo et d’anglais quand L’Alsace publie une annonce pour recruter un traducteur. En cette année 1977, ils sont... 77 à se présenter. Théo est retenu, ce qui tombe bien : sa femme Françoise vient d’obtenir un poste d’enseignante à Altkirch. Notre coriace Teuton débute au service bilingue des IG, avant de passer à la rédaction de nuit,

au plan et enfin au desk central. Pour faire bonne mesure, il est aussi permanent le dimanche, pour la région d’abord, le sport ensuite. Mais la bilingue n’est jamais loin : Théo est là pour boucher les trous des vacances et des congés de maladie des collègues, afin d’assurer la parution du supplément quotidien en allemand. Enfin, il y a son dada. Ou plutôt ses dadas : les courses hippiques. Comme doublure d’Erik Ruf, puis jouant cavalier seul depuis 1994, il gère la page « Courses » et délivre ses précieux pronostics aux parieurs. Accessoirement, pour occuper ses journées de récupération, il file à Strasbourg ou à Fribourg pour asséner les principes de la mise en page à des étudiants en journalisme. Tout comme il va se faire un plaisir de coacher les stagiaires accueillis au sein de la rédaction bilingue. Autant de fils qui vont le relier au journal, matin et soir, jour après jour, semaine après semaine (oubliez les 35 heures), mois après mois, année après année. Au point que personne ne pouvait imaginer le journal sans Théo, ni que Théo ne pouvait s’imaginer sans le journal. Pourtant, il a fini par se faire une raison : le temps passe, même pour un Badois marié à L’Alsace, et l’heure de la retraite sonne pour lui ce 30 septembre. L’omniprésent, consciencieux et dur à la tâche, fera donc place au pétillant retraité.

Un retraité gonflé à bloc après la quatrième étoile de sa chère Mannschaft et qui pourra vaquer sereinement dans sa belle propriété, s’entraîner plus régulièrement le mardi avec ses copains pongistes et prendre soin des siens. En particulier d’un premier petit-fils, un bout d’chou qui a déjà obtenu de son papy ce que personne n’avait réussi à lui imposer auparavant : arrêter de fumer, pour vapoter sans danger.


14 Tout sourire les cyclos de L’Alsace avant de partir pour le Stelvio

aincu

le Stelvio !

Le cyclo de L’Alsace ne laisse rien au hasard. Et surtout pas sa

GILLeS SANtALuCIA

ils ont

préparation à ses traditionnels trois jours de juin. Un véritable pèlerinage annuel pour prendre conscience de l’évolution de son coup de pédale et constater, surtout (voire en priorité) que convivialité, bonne chère et efforts peuvent se mêler sans aucun problème. Préparer ce périple, cette année, c’était donc avant tout glisser un œil averti sur la carte et la topographie de ces montagnes qui, de Nauders l’Autrichienne, au Stelvio italien laissaient entrevoir, outre quelques grosses gouttes de sueur sur le front, un jarret particulièrement mis à l’épreuve. Voilà pourquoi, dans ce bus sorti de Mulhouse au tout petit matin, tout le monde attendait avec impatience de découvrir de visu le programme concocté de main de maître par Pierrot, passé de président à ce statut de guide, certainement l’un des grades les plus importants dans la hiérarchie des cyclos. Un Pierrot Thirion, nullement déboussolé quand cette diablesse de Silvretta, première grosse difficulté affichée au menu, se déroba pour « travaux ». Qu’importe, l’Arlberg se dressait là, à gauche, et conduisait à Nauders,

via Sankt Anton. En avant. Pourtant, brume et pluie s’invitant, qu’allait-il advenir de ce séjour ? C’était sans compter sur la qualité de l’organisation et le pacte passé avec le ciel. Une fois l’Arlbeg franchi, Nauders se découvrit sous un soleil écartant peu à peu les nuages en signe de bienvenue. C’était parti. Une bonne bière réparatrice, un repas s’éloignant très légèrement des critères de diététique conseillés pour les sportifs, le président Philippe Sengelin et ses fidèles accompagnateurs s’autorisaient même quelques calories supplémentaires, bien compréhensibles dans le bien-être de ce cocon autrichien qu’est l’hôtel Naudererhof. A ce moment-là personne ne songeait encore aux efforts du lendemain, et c’était tant mieux. Ce Stelvio, véritable monument avec ces 1800 m de dénivelé sur 26 km, et toute cette légende bâtie par le Giro. Dur, difficile, pis que ça même parfois, et pourtant, à son sommet des visages réjouis d’avoir vaincu cette difficulté, à l’image d’un Dany Schnoebelen, plus affûté que jamais et prompt à lancer tous les défis, même aux plus jeunes, comme Arnaud Buffler. Sauna, hammam avant de repartir autour de cette bonne table autrichienne, les cyclos trouvèrent là toute les raisons de savourer ce moment de vie, ce pur bonheur. L’ultime étape

avec un retour par l’Arlberg se fit avec un coup de pédale à peine plus lourd mais avec le cœur léger. Ce cœur oxygéné par trois jours de plaisir intense à se libérer de toute contrainte, à ne songer qu’à pédaler et bien vivre. Un label largement entretenu par les cyclos de L’Alsace qui, déjà, sont curieux de savoir où le président Sengelin et Pierrot le guide, choisiront de les conduire en 2015. « Tout va bien » dis Arnaud Buffler. On peut le croire


15 Hé oui, la neige dans la descente du Stelvio au mois de juin !

Le casse–croûte…intermédiaire. A ne pas manquer !

Le sourire ou la grimace dans le Stelvio ?

Le ravitaillement est terminé place aux coups de pédale

Pierrot toujours placé en embuscade aux avants postes

Le président au sommet attend ses troupes La brigade d’intervention de L’Alsace avant de partir en mission


En parcourant le règlement intérieur de la section de pêche du comité d’entreprise du journal L’Alsace quelques

passages me semblent être méconnus de certains « usagers »

il est la propriété de tous... mais...

DANIeL MuLLer

16

Pour mémoire : « L’étang étant la propriété du comité d’entreprise du journal L’Alsace, seules les personnes travaillant dans l’entreprise, les retraités, les ayants-droits peuvent faire partie de la section. Des demandes spécifiques pour les membres extérieurs (sous forme de parrainage) pourront être accordées sous réserve de validation par le comité ». «... Tout manquement à un quelconque paragraphe du règlement intérieur de l’APL sera sanctionné par l’exclusion immédiate et sans recours du membre invité payant. Les membres extérieurs sont tenus aux mêmes obligations que les membres titulaires. » Et un peu plus loin : « L’étang étant sous la responsabilité de la section de pêche, il est à entretenir constamment au point de vue de la propreté. Pour le bien de tous, chaque membre gardera son emplacement propre et en quittant les lieux, ramassera ses papiers et autres détritus éventuels. »

« …Les membres invitant des personnes, dans la limite du raisonnable, pour pique-niquer ou faire un barbecue, doivent respecter le règlement intérieur, le site et en aucun cas gêner l’action des pêcheurs se trouvant au bord de l’étang. Des tables sont mises à disposition tout autour de l’étang dans ce but. » Je m’en arrêterai là. Pourquoi ce rappel ? Parce que certains « usagers » non seulement utilisent le bois à volonté, alors qu’il est mis à disposition pour dépanner, mais « oublient » des détritus, de nettoyer le barbecue si ce n’est de laisser des restes alimentaires sur la grille... Triste. Heureusement qu’ils ne sont pas légion, ses amis de la nature. Le simple respect d’autrui est non seulement élémentaire pour une saine cohabitation entre pêcheurs et pique-niqueurs mais permettra également de continuer à maintenir ce havre de paix et de tranquillité dans l’état que chacun d’entre nous souhaite le trouver : propre, accueillant, reposant. Le président et son comité y veilleront quitte à prendre des mesures appropriées.

75 membres La section de pêche, sous la houlette de Philippe Matter, infatigable et dévoué président, est forte de 75 membres. Les journées de travail sont

bien suivies (23 présents) ce qui se doit d’être souligné. Bancs, barbecues, tables, élagage des arbres, nettoyage des abords, embellissement, mise en place de toilettes, la liste est longue et le résultat visible. Bref, le travail ne manque pas.

Repeuplement annuel en poissons Bon an mal an le repeuplement en poissons tourne autour de 550 kg de carpes, 100 kg de gardons, 50 kg de tanches, 60 kg de brochets, 50 kg de grosses truites, 50 kg de truites portions, 20 kg de brochetons et 10 kg d’esturgeons le tout pour un montant de 4000 euros.

Et demain ? L’évolution économique et stratégique du journal n’est pas absente de la réflexion à court et moyen terme que mène le comité. L’embauche n’est, apparemment, pas d’actualité et même si être à la retraite est, pour la plupart, un plaisir (plus que mérité), force est de reconnaitre que ce n’est pas un gage de pérennité pour la section… Mais à chaque jour suffit sa peine. Alors profitons, protégeons et respectons ce magnifique lieu de pêche et de… pique-nique qui, comme vous le savez, se trouve à Ballersdorf, dans le Sundgau.


bertrAND SCHLeICHer

l’A.R.A. à un

tournant

En effet, après avoir présidé efficacement les destinées de l’amicale durant quinze ans, Annemarie Jolicor a souhaité passer la main! Hommage lui a été rendu lors de notre assemblée générale en février, en témoignent les photos. Pour que l’amicale perdure, un nouveau comité a été mis en place. Il se compose comme suit : président : Bertrand Schleicher ; viceprésident : Richard Foerry ; secrétaire : Gaby Challande ; trésorier : Roland Simonin ; trésorière adjointe : Nicole Heckmann ; contact membres + organisation loisirs : Anne-marie Schleicher ; assesseur : Roland Jolicor ; présidente d’honneur : Annemarie Jolicor qui assiste aux réunions du comité et œuvre avec celui-ci. L’ARA fêtera en 2015 son 30e anniversaire. Nous sommes actuellement 109 membres. Nous organisons six manifestations par an : un repas de nouvel an, une AG avec déjeuner dansant, une journée à thème, un voyage, le barbecue-loto, les cochonnailles et une nouveauté : la Martinsganz. Ces différentes journées sont régulièrement suivies par un nombre de fidèles sur qui le comité peut compter, mais qu’il faudrait étoffer, le poids des ans se faisant sentir malgré tout ! L’ARA est un bel outil avec sa convivialité, la chaleur des anciens, les amitiés liées, les souvenirs, etc. Aussi le comité et moi-même souhaitons être bientôt rejoints par de jeunes retraités qui prendront la relève pour que l’amicale ait encore de belles années devant elle !

17 Annemarie Jolicor et son époux, très appréciés et chaleureusement remerciés

Sérieux, les commissaires aux comptes

AG et passation de pouvoirs

Retrouvailles chaleureuses L’après-midi dansant toujours apprécié Visite d’une poterie

Dégustation d’asperges

Les asperges poussent ainsi....

Le comité tout sourire

Sourires et décontraction Pas belle la vie André ?

La journée loto à l’étang Les souriants animateurs du loto

Concentration extrême


18 LAureNt beLtZuNG

Le 4 février 2013 a eu lieu la réunion annuelle des présidents et trésoriers des sections sportives de L’Alsace. Il est à noter plusieurs changements au niveau des équipes dirigeantes des sections. Matthieu Lerch remplace Laurent Gentilhomme à la présidence de la section Athlé. Stéphane Weiher quand à lui devient président de la section Badminton en remplacement de Alain Wamster. La section Cyclo quant à elle, change de secrétaire, Gilles Santalucia est remplacé par Matthieu Lerch. Jérôme Gil remplace Daniel Riffel comme trésorier de la section Tennis. Et enfin changement de présidence au sein de l’A.R.A., Bernard Schleicher remplace Annemarie Jolicor et Roland Simonin remplace Nicole Heckmann à la trésorerie. Le Comité d’entreprise, tient à remercier l’ensemble des « partants » pour leur dévouement, durant ses nombreuses années au sein de leur section. Merci Annemarie, merci Nicole, merci Daniel, merci Gilles, merci Alain, merci Laurent. Et aux nouveaux arrivants, « soyez les bienvenues », recevez nos encouragements sportifs pour la saison 2014/2015. Pour de plus amples renseignements concernant les différentes sections sportives, vous pouvez vous adresser au CE. Que ce soit en loisirs ou en corpo, vous trouverez votre bonheur entre de l’athlétisme, du tennis de table, de la marche, du ski, du volley, du badminton, de la musculation, du cyclotourisme, du tennis, du football, ou encore de la pêche, etc. Comptes d’exploitation 2013 Rubriques sociales : une bonne représentativité du journal L’Alsace dans le milieu corpo, grâce aux sections sportives, une forte affluence en billetterie, des sites de vacances bien remplis, une fête de Noël arrivée à maturité, une sortie enfants mémorable au parc de loisirs Europa Park (90 participants), ont égayé l’année 2013. Plusieurs travaux entrepris sur les sites, entre autres, élagages et plantations à l’étang de pêche de Ballersdorf, réfection d’Antibes, une climatisation en Ardèche, chaudière et toiture à Balaruc-les-Bains, isolement extérieur à Malbuisson et réfection de joints à Port-Bourgenay. Entretiens indispensables, pour garantir une pérennité de nos différents sites et une prestation de qualité à un prix plus que maîtrisé, le tout pour la plus grande satisfaction du personnel du journal. Rubrique fonctionnement : budget bien réparti et maîtrisé, entre la formation, les réunions d’étude, les commissions, les rencontres CE, la communication, comme par exemple le Trait d’union que vous tenez entres les mains, les incontournables frais d’assurances, le matériel de bureau, et la permanence du CE.

bilan BILAN FINANCIER 2013

2013 prévisionnel

Compte social Compte Fonctionnement Section Athlétisme Section Tennis de Table Colmar Section Tennis de Table Mulhouse Section Volley Section Musculation Section Cyclotourisme Section Tennis Section Ski Section Pêche Section Football Mulhouse Section Badminton Section ARA Section Vacances Caisse Social Caisse Fonctionnement Chèques à encaisser Billetterie à encaisser Divers commandes à encaisser Aide exceptionnelle

2375,40 e 517,15 e 4006,78 e 537,99 e 423,41 e 7,88 e 1504,32 e 48,38 e 1141,50 e 245,32 e 220,00 e 604,50 e 3859,23 e 58,06 e 2193,96 e 744,29 e 100 e 161,90 e 845,45 e 0,00 e 16 800,00 e

Livret Bleu Social

49 456,42 e

Livret Bleu Fonctionnement

11 669,02 e

Billetterie stock

9682,00 e

ACTIF Renouvellement immobilier A débiter sur Social A débiter sur Fonctionnement PASSIF SOLDE NET (actif - passif)

COMPTE D’EXPLOITATI

2014

Les sections sportives

Sous-total

19 961,44 e 844,29 e

17 807,35 e

109 420,52 20 000,00 5586,16 908,27 26 494,43 82 926,09

e e e e e e

BUDGET SOCIAL Subvention 2012 Section Athlétisme Section Tennis de table Colmar Section Tennis de table Mulhouse Section Volley Section Marche Section Musculation Section Cyclotourisme Section Tennis Section Ski Section Pêche Section Football Mulhouse Section Badminton Section ARA Commission Vacances Aide exceptionnelle Sortie Enfants Fête de Noël Bons d’achat Noël Bons d’achat vacances Retraités Colis de Noël Tickets restaurant Billets Sport / Loisirs / Culture Frais de personnel Divers Investissements Subvention Fonctionnement Compte d’exploitation social

BUDGET FONCTIONNEMENT Subvention 2012 Frais juridiques Frais de déplacement Frais de formations Rencontres CE Commission études-investissements Abonnements revues Frais assurances Trait d’Union Fournitures bureau Frais de fonctionnement Divers Frais de personnel Compte d’exploitation fonctionnement

COMPTE D’EXPLOITATION 2013


19

ION 2013 Subventions 1000,00 e 1200,00 e 1800,00 e 1200,00 e 1000,00 e 1800,00 e 3300,00 e 3400,00 e 2200,00 e 5000,00 e 1000,00 e 3000,00 e 1400,00 e 12 000,00 e 0,00 e 4000,00 e 21 000,00 e 20 000,00 e 28 000,00 e 12 000,00 e 14 000,00 e 6000,00 e 13 000,00 e 6000,00 e 12 250,00 e

du 1er février 2013 au 31 janvier 2014 Débit

175 550,00 e

0,00 e 0,00 e 1800,00 e 421,10 e 500,00 e 1800,00 e 3300,00 e 2000,00 e 2200,00 e 5000,00 e 395,50 e 3000,00 e 1400,00 e 12 000,00 e 14 900,00 e 4857,12 e 19 989,46 e 19 178,95 e 25 898,25 e 9200,00 e 24 229,04 e 48 143,47 e 13 662,36 e 2142,17 e 0,00 e 40 000,00 e 256 017,42 e

Prévisionnel

Débit

100,00 e 5000,00 e 3000,00 e 4000,00 e 1 300,00 e 500,00 e 2100,00 e 6000,00 e 2500,00 e 13 000,00 e 0,00 e 2500,00 e 40 000,00 e

0,00 e 5964,77 e 1909,10 e 3987,45 e 1068,44 e 357,00 e 2246,34 e 5893,16 e 938,68 e 13 658,48 e 3492,40 e 1137,14 e 40 652,96 e

Crédit 216 000,00 e 0,00 e 0,00 e 0,00 e 0,00 e 0,00 e 0,00 e 0,00 e 0,00 e 0,00 e 0,00 e 0,00 e 0,00 e 0,00 e 0,00 e 12 950,00 e 690,00 e 0,00 e 0,00 e 0,00 e 0,00 e 10 070,94 e 41 997,40 e 576,09 e 1143,56 e 0,00 e

Solde 1000,00 e 1200,00 e 0,00 e 778,90 e 500,00 e 0,00 e 0,00 e 1400,00 e 0,00 e 0,00 e 604,50 e 0,00 e 0,00 e 0,00 e -1950,00 e -167,12 e 1010,54 e 821,05 e 2101,75 e 2800,00 e -158,10 e -146,07 e -86,27 e 5001,39 e 12 250,00 e

283 427,99 e Crédit 40 000,00 e 0,00 e 911,43 e 0,00 e 0,00 e 0,00 e 0,00 e 243,94 e 0,00 e 0,00 e 493,24 e 3492,40 e 0,00 e 45 141,01 e

296 670,38 e 328 569,00 e

Solde 100,00 e -53,34 e 1090,90 e 12,55 e 231,56 e 143,00 e 97,60 e 106,84 e 1561,32 e -165,24 e 0,00 e 1362,86 e

Budget prévisionnel 2014 Une âpre discussion a eu lieu lors de la réunion du Comité d’Entreprise du 24 avril 2014. Une discussion portant sur le montant de la subvention 2014. La direction d’un côté voulant littéralement « trancher dans le lard », une première ! Les élus de l’autre côté voulant garder intact le dit « bout de lard », avec des prestations à un niveau équivalent. Il faut bien entendu prendre en compte la baisse des effectifs, certes, mais la masse salariale, sur laquelle est basé le montant de la subvention, fort heureusement ne subit pas la même érosion, et les besoins des salariés, eux, ne baissent pas, au contraire. Après débats et négociations, il est convenu que le budget fonctionnement (rappel : 0,2% de la masse salariale) passera logiquement à 38 000 euros (-2000 euros) et le montant des œuvres sociales passera à 208 000 (-8000 euros), dont 12 000 euros de dotation exceptionnelle intégrant les travaux prévus sur le site d’Avoriaz. L’ensemble des rubriques, billetteries, sortie enfants, sites de vacances, fête de Noël, cinéma, bons vacances, bons Noël, etc., sont bien entendu reconduites. A noter que cette année la superbe sortie enfants avait pris de la couleur, verte, comme Nature verte (voir résumé en page 8). Concernant les sites de vacances, pour pallier à la fermeture du site du Verdon, la commission Vacances a proposé cette année en juillet et août, un linéaire en Normandie, à Port-en-Bessin en partenariat avec Pierre-etVacances. Côté investissements, cette année c’est l’appartement d’Avoriaz qui aura droit à son lifting. Et concernant les sections sportives, le Ski intègre désormais la section Marche qui n’existe plus en tant que telle. Merci encore à Béa et Patricia pour cette bien belle aventure, merci d’avoir accompagné, pendant plusieurs années, avec beaucoup de dévouements, la section Marche vers les sommets !

COMMISSION VACANCES

Bilan 2013

ANTIBES · 22 semaines de location ARDÈCHE · 19 semaines de location AVORIAZ · 14 semaines de location BALARUC · 17 semaines de location MALBUISSON · 7 semaines de location PORT-BOURGENAY · 11 semaines de location VIAS · 9 semaines de location

2984,85 e 1795,00 e 1913,89 e -222,27 e -1188,03 e 771,00 e -282,49 e

Déplacements Investissements Divers

-1309,96 e -4581,48 e 5153,49 e

Résultats au 31/12/2013 Situation au 31/12/2013 Répartition

Livret dépôt Compte courant Espèces

5034,00 e 2193,96 e 1615,45 e 558,51 e 20,00 e

BUDGET PRÉVISIONNEL DU CE Section Athlétisme Section Tennis de table Colmar Section Tennis de table Mulhouse Section Volley Section Marche Section Musculation Section Cyclotourisme Section Tennis Section Ski Section Pêche Section Football Mulhouse Section Badminton Section ARA Sortie Enfants Fête de Noël Bons d’achat Noël Bons d’achat vacances Commission vacances Retraités Colis de Noël Tickets restaurant Billets Sport / Loisirs / Culture Frais de personnel Divers Investissements TOTAL BUDGET SOCIAL Frais juridiques Frais de déplacement Frais de formations / études Rencontres CE Commission études-investissements Abonnements revues Frais assurances Trait d’Union Fournitures bureau Frais de fonctionnement Frais de personnel TOTAL BUDGET FONCTIONNEMENT TOTAL GÉNÉRAL

2013

2014

1000 e 1200 e 1800 e 1200 e 1000 e 1800 e 3300 e 3400 e 2200 e 5000 e 1000 e 3000 e 1400 e 4000 e 21 000 e 20 000 e 28 000 e 12 000 e 12 000 e 14 000 e 6000 e 13 000 e 6000 e 12 500 e

1000 e 1200 e 1800 e 1000 e 0e 1800 e 3300 e 3600 e 3200 e 5000 e 1000 e 3000 e 1400 e 4000 e 20 000 e 20 000 e 26 000 e 12 000 e 10 000 e 14 000 e 6000 e 13 000 e 6000 e 12 000 e

175 800 e

170 300 e

100 e 5000 e 3000 e 4000 e 1300 e 500 e 2100 e 6000 e 2500 e 13 000 e 2500 e

100 e 5000 e 3000 e 4000 e 1300 e 500 e 2100 e 5000 e 2500 e 12 000 e 2500 e

40 000 e

38 000 e

215 800 e 208 300 e


20

les

lauréats

2014

GRAND’OR > 40

ans de service

Monsieur Christian ENTZ.

Le « Globe-trotter » de la rédaction sportive. Ses rubriques savamment choisies (natation, volley essentiellement féminin, beach-volley, etc.) font de lui un journaliste très occupé, souvent en déplacement et surtout très envié par quelquesuns de ses collègues. Doyen du service, le petit homme (grand par le talent et le sens de l’humour) est une véritable machine à souvenirs et à anecdotes. Une mémoire vivante dont le service ne peut définitivement pas se passer.

Monsieur Jean-Pierre FLORY.

Après avoir effectué son apprentissage d’électricien, de 1972 à 1975, il a travaillé chez Peugeot, où il procédait au contrôle des voitures. C’est en 1990 qu’il a rejoint nos équipes techniques, en qualité de nettoyeur roto. Depuis l’an dernier, il a ajouté à ses fonctions de nettoyeur/cariste celle d’aide rotativiste. Il est également très joueur et ne loupe pas une seule grosse cagnotte du loto, en espérant tirer le gros-lot tous les week-ends.

Madame Nicole JAEG - LAYER.

Nicole Jaeg est journaliste depuis 1972. Mais c’est bien avant qu’elle a entamé sa carrière aux DNA à Colmar comme employée de rédaction. Puis, après cinq années dans le commerce, elle rejoint Radio 100, toujours dans la cité de Bartholdi, jusqu’en 1996. La même année Nicole Jaeg rejoint la rédaction locale colmarienne de L’Alsace où elle deviendra rapidement un pilier du desk. Lecture, cinéma et gastronomie occupent ses temps libres, sauf au mois de janvier où sa passion pour les fèves prend le dessus. Fabophile assumée, elle ne rate aucune galette.

sur une batterie. Ou, raquette de ping-pong au poing, dans une petite balle de celluloïd. Avec une double constante dans les deux cas : vitesse et acharnement.

Monsieur Jean-Louis PALAT.

40 · 35 · 30 · 2 0

Monsieur Jean-Marie JUNG.

Encore un technicien de la promotion 1973. Avec un parcours classique qui a débuté par l’apprentissage de la typographie pour finir par cette fameuse préparation de la forme imprimante en passant, pour ce qui concerne notre médaillé grand’or, par le mettage jour, le prépresse publicité et la nomination, il y a sept ans, à la fonction de contremaître. Sa bécane préférée n’est pas la rotative, mais son vélo, qui lui permet de se promener là où il se sent vraiment bien, à savoir en pleine nature, car il est viscéralement écolo. Il n’accepte pas le travail bâclé, surtout les oublis d’espaces « fines ». Il vient à vélo quand le temps le permet, hiver comme été.

Madame Doria MICHELINI.

Assistante commerciale au service clientèle du siège depuis 2005, elle était entrée au service du journal en qualité d’employée de bureau en 1973. Intégration du Pôle Comptabilité Abonnement du CRC avec une grande réussite et un grand plaisir à suivre les règlements de nos clients. Après une journée passée au bureau, pour se changer un peu les idées, il y a la lecture, mais surtout les sorties entre amis pour aller voir des courses ou des démonstrations de sport mécanique !! Elle a également une nouvelle passion, une petite boule de poile noire qui lui en fait voir de toutes les couleurs. Le nom de son petit compagnon n’est autre que le nom d’un chat célèbre mais aussi celui du logiciel qu’elle utilise toute la journée… GERI.

Monsieur Michel MULLER.

L’apprenti-typographe de 1973 a fini, lui aussi par devenir un préparateur de la forme imprimante, non sans avoir accompli auparavant le parcours classique, qui l’a mené au mettage, puis au prépresse publicité. Et quand il ne tape pas des pieds, il tape des mains. En musique,

40 années d’entreprise et autant d’années de service technique pour ce préparateur de la forme imprimante qui est entré au service dessin avant de travailler sur écran et, a bien entendu, vécu toute l’évolution de la fabrication du journal. Ce technicien est aussi un sportif assidu. Ancien triathlète, il a participé à un Ironman, (traduisez : homme de fer) une épreuve d’endurance… de la pire espèce. Il court et nage peut-être moins depuis quelques années, mais reste un fervent amateur de la petite reine, en participant régulièrement aux sorties de la section cyclotouriste de notre journal.

Monsieur Philippe ROHR.

Fils d’un illustre personnage qui a formé des bataillons de typographes, il entre en apprentissage en septembre 1968. Il accède au service prépresse comme linotypiste en 1972 puis comme claviste. Longtemps réfractaire à la voiture, c’est à vélo qu’il effectuait le trajet domicile-travail. Epris de culture et de littérature, après avoir malmené les claviers, il se mit à user les dictionnaires et les stylos rouges en tant que correcteur. Maintenant qu’il a fait valoir ses droits à la retraite, Philippe Rohr en profite pour voyager en compagnie de son épouse Jacqueline.

Madame Anne-Marie TILLE.

Elle est entrée comme traductrice à L’Alsace à Colmar en 1973 et est aujourd’hui journaliste secrétaire de rédaction en poste à Mulhouse, au desk Sud. Sa grande passion : les voyages. Avec une envie qui la taraude depuis longtemps : aller au Japon. Par ailleurs, Anne-Marie aime beaucoup la randonnée ainsi que la Zumba !

Madame Nicole TOUCAS.

Nicole Grentzinger est une épicurienne : elle est fine gastronome, fine cuisinière aussi, n’hésitant pas à s’atteler à des recettes difficiles, y compris en pâtisserie, ce qui demande une grande précision. Elle aime recevoir, elle aime aussi découvrir des bonnes tables. Elle a du mérite à venir tous les jours de Rouffach, jusqu’à SaintLouis, traversant la moitié du département. Mais cela lui permet aussi, à l’occasion, de profiter de la situation géographique … Elle s’aventure volontiers à Bâle, par-delà la frontière.

Monsieur Edouard ZIMMERMANN.

Edouard est entré à l’agence de Colmar le 27 février 1983 en qualité de chauffeur. Mais avant, il a débuté sa vie active en 1972 aux Editions Alsatia à Colmar. Cynophile confirmé, il est plusieurs fois champion en France et dans les pays limitrophes. Il possède de nombreuses coupes. Amateur éclairé et passionné d’informatique, il s’informe sur les nouvelles technologies. Il est aussi à ses heures, bricoleur et touche à tout.

OR > 35

ans de service

Monsieur Dominique BANNWARTH.

Il entre dans l’entreprise le 1er juin 1978 comme reporter à la rédaction de Wittelsheim. En 1983, il rejoint les Informations régionales où il est chargé de la culture et de l’éducation. Dans la même période, il participe également au lancement du JDE avant d’être nommé adjoint de JeanGeorges Samacoïtz en 1987 à la rédaction locale de Mulhouse, dont il sera le responsable à partir de 1991. Nommé rédacteur en chef adjoint en 2002, il est depuis 2009 responsable du pôle multimédia. Dominique Bannwarth est aussi très impliqué dans la vie associative puisqu’il a été successivement co-fondateur de la Maison du Mineur à Wittelsheim, cofondateur et président du club de la presse des Trois Frontières, président de la Maison de la Céramique et viceprésident de l’association des Rencontres de la Décapole à Mulhouse. La culture ne le quitte pas, encore moins l’art contemporain qu’il veut rendre accessible à tous.

Monsieur Christian BATTESTI.

Il intègre la rédaction à Colmar en 1978. Secrétaire de rédaction à Montbéliard à partir de 1981, il participe au lancement du Pays où il est responsable du service de nuit, puis de la rédaction franc-comtoise, en 1989. En 1992, il est nommé chef des informations régionales à Mulhouse, puis du desk central en 2005, avant de succéder à Louis Wadel au poste de secrétaire général de la rédaction en 2008. Depuis le 1er avril 2013, il est le patron de la rédaction. Ce n’est pas un poisson d’avril puisque l’information n’a pas été démentie depuis. Ses passions sont multiples : il aime la bonne table, les bons vins en provenance directe des caves du Vaucluse, les chats, la lecture, la moto, et les voyages, avec un attirance particulière pour le continent asiatique, notamment la Chine qu’il a visitée à plusieurs reprises.

Madame Violette CIRILLO.

Entrée en 1978 en qualité de sténodactylo, elle a été nommée employée administrative, puis employée d’agence polyvalente, puis chargée de relation clientèle, puis secrétaire à la rédaction de Thann. Depuis plus de vingt ans Violette fait également partie de notre équipe de correspondants : rencontrer les gens et écrire des textes plein de gentillesse et de gaieté. Même dans ses loisirs, Violette aime le contact humain. Son activité favorite sont les marches populaires avec des amis et aussi faire de nouvelles rencontres. Pour se reposer un peu, elle aime également la lecture et surtout prendre soin de sa famille et de ses amis lors de diner et de sortie. Sa famille va d’ailleurs s’agrandir d’une petite fille, pour le plus grand plaisir de cette toute nouvelle dynamique grand-mère.

Monsieur Raymond COURAUD.

Il fait ses classes à partir de 1977 aux Informations générales et cinq ans plus tard, il participe à la grande aventure des radios libres en étant un des pionniers de Radio Bollwerk. Il est de retour aux Informations générales en 1988, se consacre aux questions de la défense et effectue plusieurs reportages à l’étranger, au Liban, au Libéria, en Algérie, en Israël, en Bosnie, au Vietnam. En 2003, il est nommé responsable de la rédaction locale de Mulhouse avant de revenir à ses premières amours, les IG, en 2009. Il porte aujourd’hui non pas deux casques, mais deux casquettes puisqu’il est responsable des magazines et en même temps un de nos principaux éditorialistes. Grand amateur d’histoire, avec un grand H, il est aussi incollable dans l’histoire de la bande dessinée.

Monsieur Jean-Michel CUENOT.

Jeune sexagénaire, il est le fringant sportif de L’Alsace à Thann. Il court toujours comme un lapin dans la forêt de Leimbach, avant de venir


21 plaisir des salariés de l’entreprise. Denis Sourd est également un fin gastronome… il apprécie les bons petits plats, et le Bourgogne, son vin préféré.

Monsieur Max TORIBIO.

au bureau. Aux beaux jours, il enfourche sa vespa et en hiver chausse ses skis pour descendre les pistes du Markstein ou du Grand Ballon.

Madame Carine DOPPLER.

Voici l’exemple d’une reconversion réussie. Entrée en 1989 en qualité de préparatrice de la forme imprimante, Carine Doppler est devenue secrétaire d’édition avant de suivre une session de formation organisée en collaboration avec le Centre universitaire d’enseignement du journalisme à Strasbourg. Son rêve est devenu réalité lorsque, en août 2008, elle obtient sa carte de presse et est affectée au service multimédia. En 2010, Carine rejoint la rédaction de Guebwiller. Journaliste passionnée, elle couvre avec beaucoup d’intérêt toute l’actualité du territoire, avec une prédilection pour les événements qui se déroulent à l’Ecomusée, au cinéma Le Florival et sur les scènes du théâtre alsacien. Malgré son emploi du temps plus que chargé, cette femme active sait toujours se rendre disponible pour sa famille.

Madame Nicole GADON.

Il n’y avait déjà plus de linotypistes en 1982, c’est donc en qualité de claviste qu’elle est entrée dans nos services techniques, avant de rejoindre la grande famille des préparateurs de la forme imprimante et plus récemment le service « correction ». Nicole est très nature, alors beaucoup de ballades à pieds avec son mari, jeune retraité, ainsi que le dernier membre de la famille… un magnifique Border Collie. Elle affectionne également la Bretagne où elle passe ses vacances en famille dans leur petite maison fraîchement rénovée.

Madame Françoise LECOMTE.

Entrée en qualité de guichetière à L’Alsace Publicité en 1978, elle est, depuis 1999, hôtesse de vente abonnement et publicité à notre

agence de Mulhouse. Mariée et mère de deux grandes filles, Françoise travaille à 70% depuis le départ en retraite de sa collègue Renée Schlund. Françoise est une grande passionnée de cuisine et teste volontiers de nouvelles recettes. Puis elle se dépense en prenant des cours de rock à Illzach. Depuis environ 5 ans elle parcourt à moto les routes d’Alsace avec son mari lorsque le temps le leur permet.

Monsieur Luc MARCK.

Entré au journal en octobre 1979 au service des Informations Générales, Luc Marck est aujourd’hui reporter 3e échelon au service des Informations Régionales où a plus particulièrement en charge la rubrique éducation. A ce titre, il est très actif pour les opérations « Journal au collège » et « Journaliste d’un jour ». Il a été récemment élu à Soultz.

Madame Elisabeth SCHULTHESS.

Madame Elisabeth SCHULTHESS est entrée au journal en janvier 1983 comme journaliste à l’agence de Saint-Louis. Après un passage par l’agence d’Altkirch, Elisabeth SCHULTHESS est actuellement secrétaire de rédaction 2e échelon au service des Informations Régionales.

Monsieur Denis SOURD. Denis Sourd est entré à L’Alsace en 1990 en

qualité de prospecteur vendeur. En 2009, il exerce les fonctions d’adjoint au responsable de la vente abonnement. En 2011, il a en charge la vente abonnement et la vente au numéro sur Mulhouse et sud Haut-Rhin. Depuis octobre 2013, il est responsable de la planification des actions commerciales en coordination avec les responsables de la vente abonnement Marc Schmitt et la vente au numéro Gabriella Romano. Secrétaire du CHSCT, il œuvre également dans le domaine du loisir, des locations et entretiens des appartements et mobil-homes pour le

Attention, si vous voyez passer une superbe Triumph TR4 des années soixante, décapotable blanche, aux chromes rutilants, faites un petit salut de la main, il s’agit certainement de Max Toribio. Le célèbre roi de la soupape, vient de partir à la retraite après 30 ans de carrière au sein du journal L’Alsace. Entré en juillet 1983 comme mécanicien automobile, il est sorti en tant que chef du garage. Belle progression, pour Max, qui avoue n’avoir pas vu passer ces 30 ans, toujours entouré de personnes sympathiques. Maintenant que Max est à la retraite, en plus de l’entretien de sa belle Anglaise cinquantenaire, il s’occupe ardûment d’une maquette de train.

Madame Brigitte TORRES.

Elle aime voyager et a un véritable don pour dénicher des « bons plans » de week-end en France ou à l’étranger. Des séjours qui sont, pour elle et son mari, synonymes de découverte, mais aussi de gastronomie puisque Brigitte ne pose jamais ses valises très loin de bonnes tables.

VERMEIL > 30

ans de service

Monsieur Brahim BOUCHAREB.

Tel le célèbre alsacien Robert Wurtz, il a l’œil averti ; il a la rigueur infaillible ; il a le coup... de sifflet implacable. Il aurait pu aisément faire valoir son savoir cet été dans les stades brésiliens. Bref, c’est un arbitre hors pair et très apprécié au sein de la ligue de football d’Alsace et d’Allemagne. Sportif, il court aussi bien à pied, qu’en « petite reine » et s’octroie même de temps en temps des séances de musculation. L’œil vif, il l’a aussi derrière son objectif Canon. Il maîtrise aussi bien la profondeur de champs que l’exposition. Ses photos sportives sont de grande qualité et très appréciées ! Avec ses enfants, père dévoué, il fréquente assidûment aussi bien les tatamis de dojo que les salles de musique. A l’écoute de tous, dévoué dans ses missions, il a le cœur sur la main. Le process d’impression et d’expédition n’a aucun secret pour ce technicien de maintenance de qualité, entré au sein du journal L’Alsace voici déjà plus de 30 ans.

Monsieur Marc SCHMITT.

Marc est entré le 9 juin 1986 comme prospecteur vendeur. Ses compétences dans ce domaine l’ont fait nommer adjoint au responsable des

ventes en 1994, responsable des ventes sur Mulhouse et Belfort en 1995 puis responsable vente abonnement en 1996. Marc Schmitt a poursuivi sa carrière au sein du service lecteurs, il a également occupé le poste de responsable des partenariats avant de revenir en 2011 sur la vente à Colmar en gérant à la fois l’abonnement et la vente au numéro. Depuis octobre 2013, il a en charge la vente abonnement pour toute notre zone de diffusion. En dehors du travail, Marc Schmitt est un sportif « né » en pratiquant la natation, le badminton, la course à pied. Il apprécie les balades, voyages et un bon film au cinéma. Il aime également la lecture de magazines économiques, etc. C’est un bon vivant, il n’est pas indifférent aux plaisirs de la table… mais sans excès !

Monsieur Franco TARTAGLIA. Il est entré au journal L’Alsace en 1995 comme

chauffeur puis est devenu préparateur de la forme imprimante au service CTP (computer to plate). Il a connu toutes les évolutions du service avec en premier avec les films, ensuite les premiers CTP et depuis cette année la dernière génération de plaque. Cet ancien boxeur aime tenter sa chance au tiercé quand il ne joue pas au poker. Il aime également faire de longue marche pour garder la forme.

Monsieur Christian WEIBEL.

Christian a commencé sa carrière de journaliste dans différents médias en tant que pigiste, puis a été engagé aux DNA en 1983. Après un bref passage à Paris, il est revenu dans son Alsace natale pour rejoindre la rédaction sportive de L’Alsace. En poste à Mulhouse, puis à Sélestat, il est devenu le référent sportif de tous les clubs d’Alsace centrale. Inlassablement il assure avec rigueur l’annonce de toutes les compétitions ainsi que les résultats et commentaires pour un territoire fort d’une centaine de communes. A la gare de Sélestat il est connu pour arriver de justesse, vers minuit le dimanche soir, afin de sauter dans le dernier train en direction de Strasbourg. Epuisé, mais heureux d’offrir un journal du lundi complet pour les lecteurs des pages sportives. Passionné de lecture, il apprécie le sport en général, mais surtout le basket et le foot américain. Il aime les voyages, la cuisine gastronomique, le bon vin, la musique.

ARGENT > 20

ans de service

Madame Estelle GUNTZ.

Secrétaire du service des sports depuis plus de dix ans, Estelle est un peu comme la SNCF.

Avec elle, tout est possible : trouver un hôtel en rase-campagne, un billet d’avion en dernière minute pour une contrée inconnue, dénicher un correspondant à l’autre bout du pays. Elle est le maillon indispensable au bon fonctionnement du service. Demandes de correspondances, comptabilité, lien avec les pigistes et les jeunes travaillant pour l’équipe durant le week-end, ses missions sont nombreuses et variées. Mais le sourire ne quitte jamais son visage.

Madame Françoise ITAMARD.

Françoise Itamard est entrée dans l’entreprise comme correspondante au JDE, le 1er mai 1985. Elle devient le 1er juillet 1986 attachée au JDE, puis journaliste stagiaire en 1988, rédacteur spécialisé en 1992, et à partir du 1er décembre 1993, journaliste au JDE. De 1994 à 2000, elle poursuit sa carrière aux Antilles, avant de revenir en Alsace où elle reprendra son poste au JDE. Elle est depuis le 1er janvier 2004, reporter à l’agence d’Altkirch. Elle y assure notamment le suivi des informations économiques et réalise chaque vendredi la page Sundgau éco de l’édition d’Altkirch, très attendue des lecteurs. Françoise est aussi cinéphile et fait partie de l’association altkirchoise Grand écran. Elle s’est depuis quelques temps lancée un nouveau défi, puisqu’elle passe une partie de ses loisirs à se perfectionner aux différentes techniques de «swing» ou de «putting» sur les greens des golfs de la région.

Monsieur Fabrice WYBRECHT. Après avoir commencé sa carrière comme automaticien, c’est en 1994 qu’il est entré au journal L’Alsace. Apprécié pour son savoir, sa dextérité et sa rigueur. Fan de Xavier Bogg, comme lui, creux et bosses ne lui font pas peur. Equipé d’un casque et de hautes bottes, les deux mains gantées, il est de tous les terrains. Au guidon de sa japonaise il sait trouver l’adhérence pour établir des temps au scratch. Bref sa passion, qu’il partage avec son fils, c’est le motocross. Sa passion pour les motos, l’a fait aller en Angleterre, trouver la perle rare, une ancienne moto anglaise qu’il retape et bichonne assidument. Mais dès que la neige recouvre les sommets Vosgien, c’est en sportif accomplit, équipé de sa planche de Snow, qu’il se transforme en roi de la glisse. Aventurier, les grands voyages ne lui font pas peur. On peut aussi bien le croiser dans la région de Khon Kaen en Thaïlande qu’au bord d’un des nombreux lacs de Suède. Bricoleur de talent, il connait les matériaux et sait comment les façonner. Il vous transformera une masure en résidence « 3 étoiles ».


SANDrA SCHMOCKer

22

ski

La section ski du comité d’entreprise vous propose

ses activités pour la nouvelle saison. Comme par l’an passé, des «Dimanches de neige en Suisse» seront organisés et présentés au fur et à mesure des propositions validées par la section. Nouveauté pour 2015 Pour répondre aux demandes, un week-end entier en Autriche à St-Anton-am-Arlberg est proposé, du vendredi 16 au dimanche 18 janvier 2015. Tarifs pour les salariés de L’Alsace : adultes : 240 euros ; enfants : 120 euros ; marcheurs (sans le forfait ski) : 170 euros. Tarifs pour les externes : adultes : 300 euros ; enfants : 160 euros ; marcheurs (sans le forfait ski) : 210 euros. Les tarifs comprennent deux nuits en demi-pension (deux petits-déjeuners et deux dîners) et le forfait ski pour deux jours. Le transport s’effectue en voiture personnelle. Ne sont pas compris les repas du samedi et dimanche midi. Club Med Au pied des pistes « Les Arcs », à 2000 m d’altitude, face au Mont Blanc, la section ski du CE vous propose un séjour tout compris en pension complète, avec possibilité de bénéficier d’un moniteur. Hébergement à l’hôtel Olympia à Pettneu. Du dimanche 8 au dimanche 15 mars 2015.

Tarifs pour les salariés de L’Alsace : adultes : 960 euros ; enfants (de 4 à 12 ans) : 762 euros. Tarifs pour les externes : adultes : 1020 euros ; enfants (de 6 à 12 ans) : 822 euros . Renseignements et inscriptions auprès de Gisèle Fawer au CE poste 7034, Sandra Schmocker 03.89.31.66.65, Jean-Claude Schmocker 06.63.81.77.89 ou Christophe Weiss, rotative jour.

10

%

de remise

sur l’entretien, la location et les achats à « La clinique du Ski » 34 rue de Guebwiller 68260 KINGERSHEIM sur présentation de la carte du CE


23

pour Noël

cirque et féerie 1 9 4 4 2 0 1 4

La traditionnelle fête de Noël du comité d’entreprise se tiendra

le dimanche 7 décembre à 14h00 à l’espace Dollfus & Noack de Sausheim. C’est sous le double signe de la féerie de Noël et du cirque que s’annonce cette nouvelle édition. Après le succès de l’an passé et ses 250 convives, place à l’année 2014 qui marque le 70e anniversaire du journal L’Alsace pour une fête de l’amitié, de l’unité et de la fierté. Au programme de cette après-midi résolument magique : une multitude d’animations et de moments gourmands pour petits et grands. Nouveauté pour 2015 Dès 14 h, les tables seront dressées pour vous accueillir sous le crépitement des flashes. Boissons et plaisirs sucrés vous attendent avant le lancement d’un spectacle de cirque de toute beauté. Attention : émerveillement garanti. Un atelier de fabrication de bougies sera également ouvert pour les enfants. Enfin, princesses et super-héros auront rendez-vous pour une séance de maquillage créatif ! Vous l’aurez compris, l’heure est à l’audace et à l’imagination !

70 ans, 70 bougies ! Evénement cette année : le grand gâteau d’anniversaire accompagné de ses bulles festives et de ses 70 bougies que nous soufflerons tous ensemble. L’Alsace fête en effet cette année son 70e anniversaire avec et pour ses collaborateurs qui ont contribué, à travers les décennies, à son succès et son ancrage au cœur des territoires alsaciens ! Très attendue, la traditionnelle tombola se tiendra quant à elle en milieu d’après-midi. Comme l’an passé et pour le plaisir de tous, de nombreux cadeaux seront à gagner. Que les plus jeunes et les plus gourmands se préparent : le Père Noël fera son entrée pour distribuer bonbons et chocolats. Des cadeaux pour parents et enfants Fin de journée, enfants et parents recevront un cadeau aux couleurs de notre journal. Tous les participants à cette après-midi, résolument conviviale, seront gâtés. Plus que jamais, l’esprit de Noël animera notre fête annuelle et nous rappellera les valeurs qui nous animent : passion, fierté et bonne humeur ! Réservez dès à présent la date du dimanche 7 décembre dans vos agendas ! La commission sociale du Comité d’entreprise associée, pour l’occasion, à la direction du journal compte sur votre présence et celle de votre famille pour célébrer collectivement Noël et notre 70e anniversaire.


n MULHOUSE Cinéma Kinépolis..................................... 6,30E n WITTENHEIM Salle Gérard-Philipe Réduction sur présentation de la carte du CE

n MULHOUSE Le Palace ........................................................................................... 5E

u EUROPAPARK

u

Hiver : du 22 novembre 2014 au 11 janvier 2015 Été : du 28 mars au 8 novembre 2015

.....................

...........................................................

u PISCINES carte de dix entrées

28 E 34 E u

n PISCINES M2A

Valable dans toutes les piscines de la M2A (y compris Rixheim) ........................................................................................... 21E

n PIERRE-CURIE MULHOUSE Carte bien-être

.............................................................................................................

19E

n Centre nautique RIXHEIM

Vente uniquement sur place (présentation carte CE obligatoire) pour les habitants de la M2A Carte bien-être ............................................................................................................ 66E Remise en forme + piscine ............................................................... 86E

n Pour les piscines hors de MULHOUSE

30% sur présentation de la carte ou abonnement

u LAGUNA

u

n 3 heures

Adulte ................................................................................................................................... 8,00E Enfant ...................................................................................................................................... 6,00E

n Adulte journée

Du lundi au vendredi ............................................................................... 8,40E Samedi, dimanche ou férié ......................................................... 9,10E

n Enfant journée

Du lundi au vendredi ............................................................................. 6,30E Samedi, dimanche ou férié ......................................................... 7,00E

@

u BILLETTERIE SPECTACLE

u ZOOS n MULHOUSE

n 20% sur présentation de l’abonnement ou 2 billets par an (dans la limite de 30 euros)

n Complexe CMCAS EdF/GdF à Zimmersheim Individuel « L’Alsace/Le Pays » .........................................................60E Couple « L’Alsace/Le Pays » ............................................................. 100E (inscription au même moment) Filiale (AP, Médiapost, CIME) ......................................................... 100E Extérieur....................................................................................................................................160<

n FOOT MULHOUSE / STRASBOURG / SOCHAUX 2 billets/an, 15E maxi par personne n Autres rencontres sportives 2 billets /an ou 20% sur présentation de l’abonnement rencontres sportives

n FRIBOURG (Allemagne)

Achats en gros : se renseigner au CE.

n METRO EQUIPEMENT (Mulhouse) Se renseigner au CE.

Prix de groupe sur présentation de la carte du CE ou 20% sur présentation du billet d’entrée.

u PARTENARIATS

u

10 % sur présentation de la carte CE. n Point S : 5 % sur présentation de la carte CE

n Eden Espace Dollfus & Noack Sausheim : réductions sur présentation de la carte CE

Jusqu’à épuisement du budget, limité à 1 carnet/mois : valeur du chèque : 4E, avec participation du salarié de 50% par chèque.

n Hippopotamus : réductions sur présentation de la carte CE (Dornach, Illzach).

Conditions : uniquement personnel des agences. Cartes restaurant d’entreprise Clemessy disponibles au CE : équipes de jour, administration et personnel travaillant toute la journée.

Retrouvez votre Trait d’Union sur le site : http://issuu.com/alsacece/docs/tu113

u

n Vita Impex, Devianne, Bijouterie Delatour :

u TICKETS RESTAURANTS

TU 113 sur la toile

u METRO

u MUSÉES et TOURISME ANIMALIER

u BILLETTERIE SPORTIVE

Bons à 18 E (valeur 20 E), 27 E (valeur 30E), 45E (valeur 50E)

Tarif réduit sur présentation de la carte du CE

n BÂLE

Adulte ..................................................................................................................................................... 8E Enfant (6 à 12 ans) ........................................................................................................ 4E

u MUSCULATION

u BONS DECATHLON

u

u SKI LA BRESSE

u

Possibilité de forfaits, renseignements au CE.

u

Horaires CE Renseignements complémentaires : Gisèle Fawer 03 89 32 70 34 Lundi 8 h 30 à 11 h - Mardi 14 h 30 à 17 h 15 Jeudi 8 h 30 à 11 h - Vendredi 14 h 30 - 17 h

Le CE est fermé le mercredi 18, rue de Thann, TSA 68001 68945 MULHOUSE Cedex 9

Bulletin réalisé et confectionné par les travailleurs du Livre syndiqués du journal DEF - ABC

u

d.plana

Ces tarifs sont donnés à titre indicatif, ils peuvent varier en fonction de l’augmentation des prestataires.

u CINÉMAS

sdh

Sport, loisirs, vacances, achats: le comité d’entreprise vous propose un large éventail de tarifs réduits. Certaines possibilités sont connues, d’autres moins. Voici une liste réactualisée des activités, spectacles, etc. bénéficiant d’une réduction. La billetterie marquée du signe u est accessible aux retraités.


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