Trait d'Union n°117

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PAROLE AUX SECRÉTAIRES

EN DIRECT DU SIÈGE

SORTIE ENFANTS

DÉPARTS RETRAITE

BUDGET

FOOT

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TENNIS DE TABLE

CYCLO

TENNIS

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36 BILLETTERIE

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FÊTE DE NOËL

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MÉDAILLÉS

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SORTIE ENFANTS CYCLO

du Comite d'Entreprise

DEF

d’Union

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Trait

BULLETIN INTERNE

AVRIL à SEPTEMBRE 2016

A l’heure de la passation officielle de témoin dans la responsabilité de secrétaire du C.E., Trait d’Union donne la parole à Hubert Strauel et Sandrine Debenath, respectivement ancien et nouvelle secrétaire du comité d’entreprise. Entretien croisé pour marquer la continuité dans une démarche syndicale appropriée à l’avenir de notre entreprise.

Sandrine Debenath : Hubert, 43 années passées à L’Alsace, ça doit compter dans une vie ? Peux-tu nous relater quelques faits marquants de ta carrière professionnelle ?

Hubert Strauel : J’ai commencé mon apprentissage de compositeurtypographe le 13 septembre 1973. Un choix judicieux, au vu de la longévité de ma carrière au journal. Je remercie aujourd’hui encore ceux qui m’ont conseillé d’entrer dans la filière graphique, en premier lieu mon grand-père, qui était relieur. D’autant qu’il s’agissait de la dernière année où L’Alsace a embauché et formé des apprentis typos.

Après mon apprentissage, je suis resté au secteur de production labeur, avant qu’il ne disparaisse totalement, fin des années 1980.

C’est à ce moment que j’ai été affecté à la production du journal, d’abord au mettage jour, qui montait des pages des éditions locales.

Par la suite, j’ai travaillé en alternance en équipe de jour et de nuit.

Une nouvelle évolution a coïncidé avec l’accord que nous avons signé en 2002, avec la fabrication des pages dans les rédactions et en agence. Je faisais partie de l’équipe de volants qui tournait pour remplacer les PFI en congés ou en récupération. Il faut avouer que ce n’était pas simple à gérer, entre ma famille et mes engagements syndicaux. Mais je garde un excellent souvenir de cette époque. Plus tard, j’ai été affecté à la fabrication de la publicité.

S.D. : Tu as connu toutes les évolutions importantes de ton métier.

Comment as-tu vécu ces mutations ?

H.S. : En effet, je suis passé de la composition plomb, à la mise en page sur papier, avant l’irruption du numérique et le travail sur ordinateur. Avec le recul, toutes ces évolutions ont été gérées avec une très grande rigueur. Le travail syndical qui a été réalisé sur la formation professionnelle et l’évolution des métiers, a permis d’appréhender ces évolutions avec sérénité. Un réel effort a été fait dans notre entreprise, en parallèle avec la modernisation des outils de production.

S.D. : Comment es-tu arrivé au syndicalisme ?

H.S. : La conjonction de plusieurs éléments. Dès mon adolescence, j’ai toujours été sensible aux injustices, aux inégalités, au racisme sous toutes ses formes. Ce sont des choses qui me révoltent, qui ont forgé ma

conscience. Les bases étaient donc bien vivaces. Un autre fait marquant a été ma convocation à un entretien préalable à un éventuel licenciement. C’était en 1976, et j’avais fait une boulette. J’ai été assisté par un délégué de la FFTL. L’entretien s’est bien passé, et je n’ai pas été sanctionné. Du coup, tous les apprentis ont voulu se syndiquer, mais le chef d’apprentissage a décrété qu’un apprenti n’avait pas le droit de se syndiquer. Ce qui était totalement faux au demeurant ! Il faut dire que la CGT avait une réelle puissance, après être devenue majoritaire en 1972, suite à la reprise de L’Alsace par le Crédit Mutuel.

Par la suite, j’ai intégré le collectif syndical en 1984, avec un premier mandat de délégué du personnel. J’ai été nommé délégué syndical par mon syndicat, le 1er mai 1988, élu au C.E. en 2002, avant d’assumer la responsabilité de secrétaire en 2007. Je suis également secrétaire du syndicat du Livre de Mulhouse et secrétaire régional de la FILPACCGT Alsace. J’ai également été membre du collectif de négociation fédéral PQR de 2007 à 2012. Je voudrais rajouter que le syndicalisme a réellement transformé mon existence et a contribué à mon épanouissement personnel.

S.D. : A l’heure de ton départ, un message aux salariés ?

H.S. : Nous vivons une des périodes les plus difficiles dans l’histoire de notre journal, et de la presse en général. Les signaux positifs ne sont pas nombreux, de surcroît quand les acquis sociaux sont violemment attaqués. Mais il ne faut jamais perdre la boussole, ne pas avoir peur, ça ne sert à rien. Ce dont je suis convaincu, c’est que le syndicalisme a une responsabilité considérable. La construction du rapport de force et l’unité des salariés sont primordiales. Il faut dépasser les clivages entre syndicats et entre catégories de salariés. La FILPAC-CGT a fait la preuve de son utilité et de son engagement permanent au service des salariés, pour défendre leurs intérêts. Mais elle a aussi su développer des propositions novatrices pour donner un avenir à notre entreprise.

Ce point est crucial face aux défis qui nous sont posés. L’heure n’est ni à l’immobilisme, ni à la défense du pré-carré et au repli sur soi, mais à l’innovation et à l’audace, pour donner un avenir à notre entreprise.

Nous avons tous les atouts pour y parvenir.

S.D. : Et ton avenir personnel ?

H.S. : Je vais pouvoir me consacrer un peu plus à tout ce qui me passionne, particulièrement les activités culturelles et sportives.

Et m’investir plus pleinement pour mes chers enfants, qui sont adorables. Ce qui est certain, c’est que je continuerais de militer.

Quand on a le virus du militantisme, il ne vous lâche plus !

parole aux

secrétaires

PAROLE AUX SECRÉTAIRES

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Sandrine Debenath est arrivée au journal en l’an 2000, après la vague des contrats en alternance, négociés en 1995 dans le cadre de l’accord de retraite progressive, qui fut une bouffée d’oxygène et un rajeunissement bienvenu dans un contexte de baisse sensible des effectifs techniques. Seize ans plus tard, que de chemin parcouru…

H.D. : Sandrine, comment as-tu vécu ton embauche à L’Alsace ?

S.D. : J’étais très contente d’avoir passé l’entretien d’embauche, à l’époque avec M. Diesel, avec succès. J’avais 23 ans et je m’en souviens comme si c’était hier. Impressionnant et tellement motivant d’entrer dans le monde de la presse. Un enjeu professionnel considérable à l’époque, la renommée de L’Alsace étant incontournable. Surtout après mes années d’expériences dans le labeur. J’ai été apprentie en BEP et Bac pro PFI à l’imprimerie Art Réal à Guebwiller de 1992 à 1996 et enchaîné deux emplois dans des imprimeries de la région en tant que PFI. Difficile d’entrer dans le monde du travail à 15 ans, mais avec le recul je ne regrette pas du tout. C’était très formateur et m’a permis de voir d’autres horizons avant d’entrer dans l’univers des ouvriers du Livre. « La quatrième dimension par rapport à ce qu’on a vécu »

m’avait prévenue à l’époque mon amie Delphine avec laquelle j’avais partagé trois années de conditions sociales terribles dans les imprimeries successives. L’univers de production d’un journal a été une découverte pour moi et je me suis vite fondue dans le moule. Claviste au siège, puis à l’agence de Colmar, j’ai rejoint à mon retour de congé maternité en 2005 le service prépresse publicité dans lequel je suis bien installée depuis. L’importance du poids des luttes syndicales à L’Alsace a paru rapidement comme une évidence pour moi : les acquis sociaux dans tous les domaines, temps de travail, salaire, congés payés, RTT, etc. étaient totalement inconnus pour une salariée issue de structures dans lesquelles rien que le mot syndicat était tabou. Bien sûr la FILPAC-CGT était inéluctable.

H.S. : Justement, je me rappelle d’une anecdote. Dès votre arrivée, la FILPAC-CGT vous a proposée l’adhésion. Il a fallu réunir tout un groupe pour donner des explications sur le rôle du syndicat et la nécessité d’adhérer.

S.D. : Je m’en rappelle très bien, et comme je te l’ai dit, pour moi c’était une découverte le syndicalisme, c’était important d’en connaître les tenants et les aboutissants. Surtout de comprendre le rôle pour nous, jeunes arrivants dans l’entreprise, que nous avions à tenir dans ce syndicat. Forcément la CGT, seul syndicat revendicatif pour les ouvriers, s’est imposée dans notre décision à tous. Quinze ans après, avec bien sûr des hauts et « débats » je sais que j’ai fait le bon choix.

H.S. : Tu as relativement rapidement été élue du personnel, c’était en 2002, si je me souviens bien. Comment as-tu vécu cette évolution ?

S.D. : C’était assez impressionnant au début. N’ayant aucune expérience j’ai dû vraiment tout apprendre du rôle d’un délégué. Et parfois on est loin d’imaginer tout ce que cela englobe. Mais d’œuvrer dans le collectif FILPAC-CGT de L’Alsace et plus largement, avec des militants de valeur, m’a facilité les choses. L’esprit de camaraderie et de fraternité qui règne à la CGT n’est pas une légende. J’ai été épaulée, encadrée et très bien guidée, particulièrement ces dernières années.

H.S. : En même temps, concilier activité professionnelle, syndicale et vie familiale n’est pas forcément simple.

S.D. : C’est une réalité et j’avoue que ça n’a pas été de tout repos, surtout avec des enfants en bas âge au début de mon mandat. Ivan et Lisa ont grandi avec une maman engagée sur beaucoup de fronts et j’ai toujours pu compter sur le soutien indéfectible de mon mari.

C’est essentiel pour tenir le coup. Il m’a fallu un peu de temps pour trouver un équilibre entre toutes ces casquettes à conjuguer et malgré des périodes un peu difficiles, je pense l’avoir enfin trouvé. Mais rien n’est jamais acquis. Je le garde précieusement à l’esprit.

H.S. : La FILPAC-CGT a toujours eu le souci de rajeunir sa force militante. Tu as pris rapidement des responsabilités. Déléguée du personnel, élue au C.E., déléguée syndicale, membre du bureau du syndicat et de la direction régionale. A présent, secrétaire du comité d’entreprise : une ascension fulgurante, pourrait-on dire ?

S.D. : La confiance qui m’a été témoignée par les élus est un honneur, que j’ai à cœur de respecter. Je n’ai pas du tout l’impression d’avoir effectué une ascension. Pour moi c’est une continuité logique.

L’engagement au quotidien m’a poussé à prendre ta suite pour continuer à porter la voix des salariés et être force de proposition face aux projections patronales. En même temps, militer dans un syndicat est exaltant et c’est vraiment une expérience enrichissante. J’ai bien l’impression qu’on ne peut pas s’arrêter. Dans mes moments de doutes, mon mari m’encourageait en me disant que j’avais cela dans les tripes, que je ne pouvais aller à l’encontre de mes convictions et tout arrêter. Quand on milite, l’existence prend une autre dimension, on a une autre approche de la vie et on voit les choses sous un autre angle.

Difficile de stagner, il faut toujours avancer. Je profite aussi de cet échange pour te remercier Hubert, toi qui au long de ces années a été comme tu le qualifie si bien « mon poteau (pour me défouler) et mon totem (auquel m'accrocher) ». Egalement tous les membres du collectif FILPAC-CGT sans lesquels il me serait impossible de m’investir autant, surtout ma « garde rapprochée bienveillante » sur laquelle je peux compter quoi qu’il arrive. Je n’en oublie pas certains autres élus, d’autres syndicats, dont l’ouverture d’esprit dépasse les clivages et avec lesquels nous travaillons en très bonne intelligence.

H.S. : Dans l’activité syndicale, qu’est-ce qui te motive le plus ?

S.D. : Ma plus grande motivation, c’est d’être utile aux salariés. C’est vraiment ce qui me permet d’avancer. La revalorisation de la grille des commerciaux en 2012 à la pub a été vraiment un booster pour moi. Je me suis rendue compte qu’en négociant en bonne intelligence, des deux côtés de la table, on peut arriver à quelque chose de gagnant-gagnant et c’est bon pour tous. Les derniers acquis l’ont été par la grève et ce n’est pas la même réussite. L’injustice vis-à-vis d’un salarié me révolte aussi. Comme dernièrement, quand la direction a décidé de licencier

un journaliste pigiste. Une sanction inacceptable qui me reste en travers de la gorge car elle augure bien de nouvelles méthodes jusque-là non pratiquées au journal. Chacun doit en prendre conscience et se mobiliser pour faire front.

H.S. : Sur ce point, comment analyses-tu l’évolution du rapport de force ?

S.D. : Tu as raison de l’évoquer. Aujourd’hui, il est difficile de mobiliser les salariés. On est dans une spirale négative et le repli sur soi devient la règle. On l’a bien vu avec la loi travail. La prise de conscience des salariés n’a pas été à la hauteur de l’attaque et nous allons en faire les frais. Pas question pour autant de baisser les bras. Les événements de ces trois dernières années au journal tendent bien à prouver qu’il n’a jamais été aussi important d’être unis et force de proposition. Et c’est ce que fera la FILPAC-CGT en comptant sur l’adhésion des salariés.

La pérennité de nos emplois est en jeux.

H.S. : Justement, notre entreprise connaît une période difficile.

Comment agir dans ce contexte ?

S.D. : L’avenir de L’Alsace est incertain. La presse subit une crise structurelle intense et il faut adapter l’activité du syndicat à cet enjeu.

Notre premier devoir est de sortir des constats et de réfléchir à des propositions alternatives. Il est particulièrement navrant d'être confrontés à une direction qui n'a aucun projet affiché, qui avance à tâtons en laissant les salariés essuyer les plâtres et le plus alarmant, qui n'a aucune ambition forte de développement du journal. On ne peut pas espérer une amélioration de la situation économique en agissant uniquement sur les coûts. J’ai pour habitude de dire que « si on a le frigo vide, il ne faut pas faire du régime, mais aller chercher du boulot ». Il est sûr que dans notre situation économique - le ventre vide - il est compliqué de trouver de nouvelles ressources, mais ce n’est pas impossible. Pour la FILPAC-CGT l’analyse est claire : L’Alsace a encore des atouts indéniables : une implantation locale forte et des lecteurs fidèles, les compétences des salariés qui ne demandent qu’à évoluer pour la pérennité de leurs emplois, des outils permettant de répondre aux nouvelles technologies, l’appartenance à un groupe de presse qui permet de rayonner sur quasiment un tiers de la France, etc. Tous ces éléments adossés à un projet clairement exposé dans lequel chaque salarié s’identifiera ne peut être que porteur pour notre futur. Nous devons l’exiger tous ensemble. Unis et mobilisés. C’est le souhait que je fais pour nous, pour notre journal, pour notre avenir.

PAROLE AUX SECRÉTAIRES

3

4 EN DIRECT DU SIÈGE

CARLOS • CAROLE • LOSSIF

Deux équipes se relayent au service expédition du journal, au milieu du béton, des machines et du bruit, « charbonnant » jour et nuit, de 7 h à 5 h 06, dans un seul et unique but : satisfaire nos fidèles lecteurs, quoi qu’il arrive. Et il peut en arriver des péripéties sur 22 h de production...

Laurent

Chaque jour une nouvelle épreuve attend les équipes.

Celui qui remporte le jeu de la production gagne une RTT ! Celui qui remporte le « Totem L’Alsace » gagne un point supplémentaire pour la retraite ! Mais au final, pas de perdant, tous des gagnants, car leur devise c’est : « Un pour tous, et tous pour un… journal ».

Alors que tout le monde est bien tranquille chez soi, l’équipe nuit de l’expédition « La Lune » est en pleine effervescence.

Il est 22 h 30 et le service est prêt à entrer en action !

22 h 30. Laurent Meyer (capitaine de l’équipe et grand stratège, et grand amateur de courses de chevaux et de bricolage en tout genre) prépare la production du jour et imprime les différents documents nécessaires.

em L'Alsa

23 h 45. Les premiers journaux arrivent dans la salle d’expédition et sont enroulés dans des bobines appelées DTR. 23 h 52. Christine Niedergang (architecte et spécialiste en construction de cabane et en aménagement d’intérieur, avec elle le campement sera un nid cosy) aux commandes de son Stöklin, déplace les bobines aux stations de déroulement.

ace!

EN DIRECT DU SIÈGE

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23 h 58. L’encartage du journal est lancé. Le MSD (tambour d’encartage) encarte les magazines ou les encarts publicitaires dans le journal (jusqu’à cinq encarts différents) sous l’œil avisé de Laurent Falck (notre bûcheron et fournisseur de bois, grand amateur de sports d’hiver et sports de glisse en général).

Fabienne Steiner (la cuisinière de l’équipe, toujours bien disposée à amener quelques gourmandises aux collègues) quant à elle encarte manuellement les encarts de moins de 30 grammes.

Les journaux traversent toute la salle à une vitesse de près de 45 000 exemplaires à l’heure !

Laurent

Christine

Fabienne

6 EN DIRECT DU SIÈGE

Carlito

Kathy

00 h 03. Carlito Gil (co-capitaine, le globe-trotter et latino de l’équipe, spécialiste en civilisations antiques et en adaptation en milieu hostile) veille au grain, édition après édition et programme l’ordre de fabrication des colis.

01 h 08. Alors que les colis sortent, Kathy Haas (la gardienne du feu, serviable et toujours prête à rigoler en toutes occasions) a des difficultés avec un lien qui est coincé.

01 h 47. Serge Basso (pêcheur de l’équipe avec son équipement au top, sa réputation n’étant plus à faire, avec lui on aura de quoi manger !) quant à lui prépare une bobine de film.

02 h 12. Alors que la production était bien avancée, un bourrage se produit et bloque toute la ligne.

Il en faudra plus pour décourager Thierry Rapp (le grand sportif et champion des épreuves de confort, il saura insuffler l’esprit de compétition aux autres joueurs) qui monte sur l’échelle régler le problème.

02 h 20. La production reprend et les journaux quittent la salle d’expédition coiffés, filmés et ficelés.

Direction le routage ou ils seront mis à disposition des différents chauffeurs.

03 h 07. Mais comment présenter l’équipe « Lune » sans vous parler de notre vétéran : Fernand Da Silva, le doyen du service. Il en a connu des machines et elles n’ont plus de secret pour lui ! C’est le joker du service. Il s’occupe d’ailleurs ce soir de la dépose de Mémo Stick sur la première page du journal.

Thierry Serge

Fernand

EN DIRECT DU SIÈGE

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03 h 35. À la SITMA (station de production de journaux destinés à nos abonnés livrés par la poste), Philippe Nickel (spécialiste en animaux sauvages et passionné de tatouages et piercing) est aux commandes et Blandine Basso (l’intendante du campement, petite par sa taille mais grande par son professionnalisme) à la réception et au tri.

Ces journaux seront livrés par facteur dans toute la France ainsi qu’en Suisse, Allemagne, Luxembourg et même en Italie !

03 h 58. Ça y est la production est finie. On souffle les machines. David Schaller (l’ingénieur expert en fabrication d’objets en tout genre, grand passionné de maquettes et de drones) et Patricia Christen (la secouriste, toujours prête à dépanner et toujours une histoire à raconter sur ses chats) s’en occupent.

Il est temps de se reposer pour l’épreuve d’immunité !

Philippe

Patricia et David

Blandine

EN DIRECT DU SIÈGE

8 7 h. L’équipe de jour « Soleil » prend le relais et l’équipe « Lune » est déjà dans les bras de Morphée.

Ses missions sont différentes de celles de l’équipe de nuit. L’équipe « Soleil » palettise, enroule, déroule, charge, décharge, règle et confectionne.

Elle a pour mission de préparer les productions à intégrer au journal la nuit. C’est-à-dire qu’à la réception des prospectus publicitaires, du TV Hebdo et du Femina (qui sont conditionnés sur palette) l’équipe jour utilise ses deux stations d’enroulement pour mettre ces produits sur bobines. Ceci afin que l’équipe nuit ait le moins de manutention possible pour optimiser la production du journal.

Outre le fait de préparer les enroulements, l’équipe jour réalise aussi la confection des colis pubs pour les non-abonnés.

Elle réceptionne en sortie de rotative tous les suppléments (PSO, IMMO, Habitat, Altkirch traditions, etc.) qui sont enroulés directement sur bobines.

L’expé jour traite aussi tous les MAG (68 Mag, 54 Mag, 57 Mag, 21 Mag, 25 Mag, BHM Mag, 88 Mag, 55 Mag, 70 Mag et 71 Mag). Les Mag sont d’abord mis sur bobines pour être déroulés à une vitesse de 45 000 exemplaires à l’heure, puis sont palettisés et chargés dans le véhicule qui les acheminera aux clients.

L’équipe jour imprime les « affichettes » (celles que l’on aperçoit sur les présentoirs des bureaux de tabac) et les met à disposition des chauffeurs des différentes tournées.

Et pour finir, elle traite entièrement le JDE sur la SITMA puisqu’il s’agit là d’abonnés postaux.

Pour traiter ces différentes missions, l’équipe « Soleil » est composée de vaillants partenaires.

Lahcene Brik alias Khaled.

Sa devise : rien ne sert de courir, on arrive toujours à temps ! Lentement mais sûrement, il répond toujours présent.

Lahcene

Jean-Sébastien

Georges Grondin alias Francky des îles. C’est notre réchauffement climatique, notre rayon de soleil.

Il chante tout le temps. A lui tout seul c’est un karaoké des années 70. Comme la bonne humeur est contagieuse, il tape des mains en chantant les refrains.

Yolande Wunenburger alias Wonder Woman.

C’est la spécialiste de l’enroulement. Aucun produit ne lui résiste. Pour elle, c’est du p’tit lait.

Farouk Bouamama alias Monsieur Cinéma.

C’est notre acteur aux multi-facettes. Quand on lui demande de faire quelque chose, avec lui ça donne cela : d’abord c’est « Toute une histoire », ensuite c’est « Ça se discute » et au final c’est « Tous ensemble ».

Quoiqu’il en soit, c’est « L’As des As » de la SITMA. Avec lui tout passe, rien ne trépasse.

Jean-Sébastien Hell alias Daddy Cool. Une seule devise : la zen attitude !

Sa nonchalance, sa gentillesse et son rire sont ses marques de fabrique.

Avec lui le travail c’est : avant l’heure ce n’est pas l’heure et après l’heure c’est plus l’heure ! Et entre les deux : on a le temps.

Mais toujours fait à temps !

Georges et Yolande

Farouk

EN DIRECT DU SIÈGE

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Michel Schmitt alias Speedy Gonzales. Il tire plus vite que son ombre. Sa devise : le travail c’est la santé, tout faire c’est la conserver.

Jean-Luc Pascal alias Titeuf, c’est pô juste.

Il tatoue son corps de têtes de mort pour se rendre plus fort, mais au fond de lui sommeille un « Titi » au cœur fragile.

Denise Fischesser alias Betty Boop. Un petit bout de femme au grand cœur. Toujours dévouée et serviable. C’est la petite qu’on ne voit pas, mais grande voix elle a !!! Si vous entendez « Hopla geiss ou Kopfertecki » c’est Denisala !

Michel

Jean-Luc

Denise

Long Seumsack alias Shangui l’œil du tigre.

Le labeur ne fait pas peur à notre samouraï !

Bien au contraire ! Avec lui, quand il n’y en a plus hé ben… il y en a encore.

Il voit tout, il pense à tout, même pour nous ! Car ce fou du boulot est aussi un homme au grand cœur.

Léon Levy alias Le vagabond.

Avant d’atterrir parmi nous, il a fait tellement de services que l’entreprise n’a plus aucun secret pour lui !

Bien qu’il « kiffe » ses nouveaux collègues, son objectif est de se retrouver dans l’un de ses anciens services, comme on lui a promis. En attendant ce jour, il part au pas de course quotidiennement pour parier sur ses chevaux préférés !

10 EN DIRECT DU SIÈGE

Véronique

Catherine

Nathalie Pallaoro alias Cœur de Pirate. Elle est aussi bien irrésistible qu’indomptable ! Sous ses airs de « Reine des neiges » se cache une diablesse.

Cette rebelle au cœur de velours a sû s’imposer au milieu des « Boys Band » grâce à sa détermination et à son professionnalisme.

Véronique Martz alias Peace & Love.

Véro c’est la force tranquille. Tantôt discrète, tantôt extravagante, c’est une personne attachante et étonnante.

Carole Ulmschneider alias Julie Lescaut.

Elle est capable de concilier son travail, sa vie de famille ainsi que la vie de famille et les problèmes de tous ses collègues de travail. Carole possède toutes les qualités mais aussi tous les défauts.

Elle peut être rieuse ou râleuse, dévouée ou égoïste, sociable ou exécrable (tout dépend de la lune). Mais au final, c’est une valeur sûre au sein de l’équipe.

Farid Boudjoghra alias Mac Gyver.

Ses mots d’ordre : solution, action et réaction !

Avec lui c’est : « Un travail presque parfait » mais aussi « Un dîner presque parfait ». Il est le Masterchef du sandwich-merguez. On l’apprécie aussi pour sa gentillesse et sa disponibilité envers ses collègues.

Nathalie

Carole

Farid

Lossif

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L'EXPÉDITION CÔTÉ TECHNIQUE Dernier maillon de la chaîne de production, l’expédition est équipée depuis 2004 d’une technologie FERAG pour mieux répondre aux besoins de nos clients.

Elle dispose d’une encarteuse qui permet de produire 45 000 exemplaires par heure à une vitesse maximale.

Cette installation propose cinq postes d’encartage (trois pour les encarts supérieurs à 30 grammes et deux pour les encarts inférieurs à 30 grammes) avec une mécanisation et des automatismes performants.

L’encartage est l’insertion dans le journal des encarts publicitaires tels TV Hebdo, Femina et cahiers froids (PSO, IMMO). De plus, il est possible de faire déposer des mémosticks sur la Une du journal.

Jean-Marie

Pour coatcher l’équipe « Soleil » dans ses combats journaliers, deux co-capitaines, se relayent : Catherine Charitas alias Google. Elle est à la fois « Windows XP » et « Joséphine Ange gardien » !

C’est le KGB des fichiers TRANSAT. De sa tour de contrôle, rien ne lui échappe. C’est aussi notre ange gardien, elle est compréhensive, indulgente et serviable.

Lossif Idir alias Mentalist. C’est notre dévoué psychologue. Tantôt Jean-Luc Delarue, puisqu’avec Lossif « Tout se discute ». Tantôt Sophie Davant, on lui raconte toutes nos histoires. Tantôt Dr House puisqu’à lui seul il est l’annuaire des spécialistes de tous les bobos en tout genre. Sa gentillesse nous met tous de bonne humeur.

Pour accompagner les deux équipes dans leurs missions, surveiller les épreuves et arbitrer si nécessaire

On trouve aussi dans cet atelier, la SITMA. Elle permet la mise sous film, l’impression par jet d’encre des adresses pour tous nos abonnés postaux.

Le tri postal est effectué en interne afin de permettre à la Poste de distribuer directement nos journaux.

le service expédition peut compter sur son fameux : Jean-Marie Pascal alias Shérif Walker. Pendant des années on l’appelait « Walker », depuis le 30 juin 2016, c’est « Shérif Walker ». Il fait ses yeux révolvers pour paraître méchant, mais finalement il ne tire que des balles à blanc.

De jour comme de nuit, que ce soit « La Lune » ou « Le Soleil », le service expédition répond d’un seul homme à la satisfaction des lecteurs.

Bienvenue dans Kho Lanta em L’Alsace la réunification !

L'EXPÉDITION EN CHIFFRES Tirage journal (OJD 2015) : 80 871 exemplaires/jour Prospectus publicitaires encartés en 2015 : 17 300 000 exemplaires Prospectus publicitaires petits colis en 2015 : 3 700 000 exemplaires TV Hebdo encartés en 2015 : 4 559 000 exemplaires Femina encartés en 2015 : 3 392 000 exemplaires

sortie sous la

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sortie réussie ;-)

Compliqué de contenter une cinquantaine de bambins et le double de parents qui sont très attentifs aux retours après l’expédition, quand il s’agit d’organiser une sortie...

Sandrine DEBENATH

Ainsi chaque année, la commission sociale du CE se plie en quatre (certains membres n’étant pas trop souple, c’est vraiment très sportif) pour faire plaisir aux enfants des salariés par le biais de la journée qui leur est dédiée.

Pour ce mercredi 13 avril 2016 (on a évité le vendredi 13 ;-), tout avait été méticuleusement prévu, calculé, étudié, préparé pour passer une journée de détente au Steinwassen Park de l’autre côté de la frontière.

Un appel à des traducteurs très calés en allemand pour éviter de manger du sanglier bouilli à midi,

une négociation de haut vol pour restreindre les coûts, l’élaboration d’une charte de bonne conduite avec nos amis les bêtes (en allemand aussi), sans oublier la formation de la vaillante équipe de parents accompagnateurs motivés et presque indéfectibles.

Tout était calé. Tout... sauf les imprévus !

Et nous n’avons pas été épargné !

Mardi 23 h : un accompagnateur « gonflé » aux urgences... Déclaré forfait.

Réveil le lendemain matin sous de gros nuages : malgré les incantations et les danses du soleil, la pluie s’est copieusement imposée pour débuter cette journée. Heureusement les k-ways faisaient partis du paquetage obligatoire. Au passage, quelques malheureux, victimes de gastro et de manque de documents officiels nécessaires pour passer la frontière ont dû rester à quai.

Mais il en fallait plus pour démotiver la troupe.

C’est donc un bus plein, 46 enfants et dix accompagnateurs qui prenait le chemin de l’aventure... et c’était peut dire...

L’ascension de la Forêt Noire sous une pluie battante fut épique. Devions-nous lâcher du lest pour permettre au bus d’avancer ? N’arrivant pas à se déterminer sur qui devait se sacrifier des enfants ou des accompagnateurs, nous fîmes confiance au chauffeur, qui, en fond de deuxième, parvint à nous hisser non sans mal à bon port.

Toujours sous la pluie !

Pas question de perdre la bonne humeur, malgré (il faut l’avouer) les doutes dans les yeux de certains (dont les organisateurs). « Mais non, mais non, on va bien s’amuser quand même ». Le temps d’un goûter, les émotions ayant creusé les estomacs, et déjà les groupes se lançaient à la découverte de ce parc intriguant car méconnu avec l’impression que les nuages commençaient à se faire plus légers.

Débusquer les animaux dans leur habitat naturel, les lynx, les marmottes, les chamois ou les bouquetins, sans compter les sangliers ainsi que les cerfs et les daims à nourrir, devint vite un jeu pour les petits comme les grands.

Bien sûr les attractions furent prises d’assaut, à en donner le tournis aux accompagnateurs. « Encore un tour, encore un, on ne sort pas du wagon, ya personne ! ».

Quel plaisir de voir le soleil pointer le bout de son nez après le repas pour que tous puissent profiter au mieux de l’après-midi !

La taille familiale du parc permit aux plus grands de « faire leur life » sous l’oeil attentif des adultes tout

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de même et aux plus petits de s’amuser sur les aires de jeux tranquillement.

Et quand on dit que tout était bien calculé : 17 h 15, les gouttes commençaient à tomber à nouveau, juste le temps de rentrer dans le bus.

En descente, pas de problème de traction, nous en avons même profité en alourdissant la charge avec un animal en peluche, souvenir du parc, pour chaque enfant.

La plus belle satisfaction pour les organisateurs a été le grand sourire des enfants sur le retour, qui finalement n’ont pas autant « psychotés » quant au fait d’être mouillés et qui n’avaient qu’une hâte c’était de retourner avec leurs parents « dans ce parc très chouette ». « Tu donneras l’adresse à papa hein, tu oublies pas, promis !» ;-)

SORTIE ENFANTS

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SORTIE ENFANTS

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SORTIE ENFANTS

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Un grand merci aux pa Aude, Béa, Jean-Claude, Seb, G qui chaque année prennent du t pour permettre la réussite de cett

arents accompagnants: Gilles, Denis et les trois Laurent, temps et beaucoup de patience, te journée, malgré les imprévus !

SORTIE ENFANTS

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Fidèle « homme qui sait tout faire » Serge n’a jamais ménagé sa peine pour donner des coups de main à la section Vacances

Pipo

Béatrice LIENHART

ABSDLV

*

DÉPART RETRAITE

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1984, remise de prix lors d’un concours de pêche.

Serge est alors président de la section

* Comprenez : à bientôt si dieu le veut. Serge adressait quotidiennement un joyeux « ADSDLV » (à demain si dieu le veut) en quittant ses collègues après son service ;-)

Ce n’était pas un poisson d’avril, Serge a bien pris sa retraite le 1er avril 2016, après une longue carrière au sein du journal.

En effet, il est entré le 14 septembre 1972, en tant qu’apprenti compositeur-typographe. Serge ou plutôt « Pipo » comme le surnommait ses camarades de l’atelier a, par la force des choses, vécu les différentes mutations du métier. Il a connu l’époque où notre quotidien se confectionnait au plomb et fut claviste de nombreuses années (pas caviste, mais cela aurait été possible car il apprécie beaucoup les bons vins). Puis de fil en aiguille, l’informatique faisait son apparition, il a été affecté au prépresse à la confection des publicités, des décès, des légales et a été également sollicité pour une mission de « Maître Capello » se faisant un devoir de relire et corriger si nécessaire, non sans une petite boutade de-ci de-là, les travaux de ses acolytes.

Sa gentillesse, son savoir-faire, son sens de l’organisation très carré, même ses petits coups de gueule, nous font grandement défaut, tant il était apprécié de tous. Ne doutons pas que Serge ne s’ennuie nullement pendant sa retraite que nous lui souhaitons longue et joyeuse, puisqu’il a plusieurs cordes à son arc. Il est un sacré chasseur de champignons. Lorsque c’est la saison, rien ne lui échappe dans ses balades en forêt, ils n’ont qu’à mieux se cacher s’ils ne veulent pas finir dans la poêle ou dans un bon civet, qu’il se fera un plaisir de préparer pour titiller les papilles de sa famille ou de ses convives. Serge aime également faire des virées au guidon de sa rutilante BMW avec ses compagnons du club des Sabots d’Hirtzbach dont il fait partie. Maintenant il n’aura plus de soucis pour

les accompagner lors de leurs escapades sauf si son nouveau patron ne lui accorde pas les congés !

Il a pris un virage à 90 degrés avec son départ dans le monde serein des joyeux retraités et en a profité pour se lancer dans un nouveau projet juste avant la fin de sa carrière, une nouvelle maison et pourra mettre en exergue ses talents de bricoleur pour qu’elle soit au top ! Et, lorsque ses travaux seront achevés ou bien entre deux petits coups de marteau ou de pinceaux, le bédéphile qu’il est, pourra se replonger dans les aventures d’Astérix, Boule et Bill, Lucky Luke et bien d’autres quand il ne sera pas « de garde » avec ses amours de petitsenfants.

L’ami « Pipo » nous te souhaitons bon vent sur ton nouveau voilier nommer « Zénitude » !

Serge et sa petite sœur Béa, la famille « Lienhart-augrand-cœur » du service prépresse

Yolande HAFFNER

Michèle Rouso venant de la société Filest (groupe Cime) entrée à L’Alsace le 1er juillet 2005 a fait valoir ses droits à la retraite au 1er juillet 2016. « Mimi », le surnom qui lui a été donné par ceux qui l’ont connue et appréciée - et ils sont nombreux dans notre entreprise - a terminé sa carrière au CRC (Centre de la Relation Clients).

Michèle était entrée comme employée administrative et au 1er janvier 2007 elle a été nommée chargée de la relation clientèle. Son départ a été une très belle fête chargée d’émotion, de rires et même de quelques pleurs.

Tous ceux qui l’ont côtoyée, ont trouvé en elle, une collègue, une amie qui a su apporter son soutien et sa gentillesse.

Aujourd’hui, Michèle peut s’occuper pleinement de sa famille et surtout de sa petite-fille Eve. Elle qui aime fleurir son balcon et en prendre grand soin va dorénavant pouvoir y consacrer plus de temps ainsi qu’à ses amis.

En effet, en bonne vivante qu’elle est, elle ne dit jamais non à un bon petit repas au « resto » avec ses copines. Et elle a bien raison !

Ses collègues lui souhaitent une longue et très heureuse retraite.

DÉPART RETRAITE

bonne retraite Mimi

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Francis

bonne retraite Francis Marrer a fait valoir ses droits à la retraite après 48 années de bons et loyaux services au sein du journal L’Alsace

Anne THIEBAUT

DÉPART RETRAITE

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Collègues, correspondants, amis et membres de la famille étaient réunis autour de Francis pour fêter son départ à la retraite

Après 48 années passées au sein du journal L’Alsace, Francis Marrer a décidé de faire valoir ses droits à la retraite le 30 juin. Rires et anecdotes fusaient à l’agence de Guebwiller où ses collègues, ses amis et son épouse Dany étaient réunis pour fêter l’évènement.

Le tout jeune Francis est entré à L’Alsace le 23 septembre 1968, en qualité d’apprenti compositeur typographe. Son brevet de compagnon en poche, Francis devient un lynotipiste au caractère bien trempé.

Avec professionnalisme et rigueur, ce perfectionniste s’est toujours adapté aux nouvelles technologies. Du plomb au clavier, de la bande perforée à Méthode, Francis a toujours prouvé qu’il savait rester à la page. Devenu préparateur de la forme imprimante (PFI) début 2000, Francis a intégré la rédaction de Guebwiller. En 2004, il est nommé secrétaire d’édition (SE) puis est affecté à l’agence de Colmar avant de retrouver l’équipe guebwilleroise en 2005.

Curieux, réactif, soucieux de la qualité de son travail, Francis a toujours été un collègue sur lequel nous pouvions compter. Et ce jusqu’à son dernier jour de travail au sein de notre entreprise. Franc, jovial, faiseur de mots, épicurien, fervent défenseur de L’Alsace et de l’Alsace, joueur, un brin provocateur : tels sont les adjectifs qui viennent spontanément à l’esprit de ses collègues pour le décrire. Forcément, avec une telle personnalité, il va beaucoup nous manquer !

Mais Dany avait tranché : l’heure était venue pour lui de tourner la page pour en écrire de nouvelles à ses côtés.

Euro 2016, Tour de France, JO de Rio, le jeune retraité, grand amateur de sport, a enchaîné les compétitions internationales cet été.

Voyageur infatigable, il s’envolera au mois de janvier avec Dany pour l’Afrique du Sud.

Cher Francis, nous te remercions et te souhaitons une bonne et très longue retraite !

Francis et son épouse Dany ont de nombreux projets dont celui de s’envoler bientôt pour l’Afrique du Sud

Jean-Marie Nick, Stéphanie Freedman et Anne Thiébaut, anciens et actuel chefs d’agences à Guebwiller, étaient réunis pour souhaiter à Francis une excellente retraite

Rémy BRUDER

Eh non, la signature de Raymond Couraud n’apparaît plus au pied de l’éditorial qui, tous les jours, constitue un des socles de notre journal.

A 62 ans, il a mis au placard ce poil à gratter avec lequel il « caressait » les grands et petits de ce monde, ces formules bien senties qui ont fait le bonheur quotidien de nos lecteurs.

En juin dernier, Raymond Couraud a mis un terme à sa carrière, longue de 39 ans, qui a révélé un journaliste aux multiples facettes.

Entré aux Informations générales en 1977, il a été ensuite, de 1983 à 1988, la voix de Radio Bollwerk.

C’était l’époque dorée des radios libres, libres comme la parole d’un Raymond Couraud qui s’en donnait à cœur joie. Un nouveau séjour aux informations générales, entre 1988 et 2003, lui a donné l’occasion de consolider sa réputation de fin connaisseur

DÉPART RETRAITE

Raymond Couraud, quelle histoire !

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C’est le champ’ du départ !

Présentation de son livre Omaha

de l’Histoire – avec un grand H -, et de mettre en valeur ses connaissances en matière de Défense - avec un grand D -.

Des grands reportages réalisés à l’étranger, notamment en Algérie où il est né, et au Japon, Raymond Couraud est passé ensuite aux sujets de proximité quand, entre 2003 et 2009, il a dirigé la rédaction locale de Mulhouse.

Jamais deux sans trois : Raymond a fait une nouvelle escale aux IG en 2009, avant d’animer l’équipe dédiée aux magazines et au supplément Pour Sortir.

Aujourd’hui, Raymond Couraud coule des jours heureux dans un village de la Manche, haut lieu du débarquement des Alliés en juin 1944. « L’historien » a rejoint l’Histoire. Avec un grand H.

Raymond Couraud est aussi, à ses heures, un grand amateur de bandes dessinées.

Il a donc été très sensible à ce cadeau du personnel du journal : une réplique, à l’échelle 1/20e, de la voiture de Spirou et Fantasio

Raymond, odyssée de l’été 2001

Laurent BELTZUNG

DÉPART RETRAITE

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Pace e salute Jean-Pierre de l’équipe de maintenance au sein de l’entreprise Illbruck, fabrication de mousses cellulaires pour l’automobile, à Illzach.

Et enfin au Journal L’Alsace à partir de 1991, embauché tout d’abord comme technicien de maintenance, Jean-Pierre est nommé responsable de la Maintenance Industrielle en 1999. En 2005 il devient responsable du service Expédition jusqu’à son départ à la retraite, ce récent mois de juillet 2016.

Alors Jean-Pierre, que retenir de ce long et brillant parcours ? « Aucun mauvais souvenir,

Plantez une graine en Corse, bichonnez-là durant six années, puis ramenez-là en Alsace pour la faire, avec amour, pousser et mûrir.

Vous obtiendrez ainsi un charmant fruit, fort bien sympathique au doux nom de Jean-Pierre, de la famille des Mannarini.

A la tête bien faite : un Bac F2 Electronique obtenu à Nancy et un BTS Electrotechnique brillamment acquis à Rochefort au centre de formation technique de l’armée de l’air.

De surcroît, travailleur responsable et consciencieux. Un début de carrière avec déjà un poste de responsable de la centrale électrique et servitudes sur les avions Mirage F1 à la base aérienne 132 de Colmar-Meyenheim.

Avec à la clé, une année de service en Polynésie Française et au Tchad. Puis responsable

que des bons ! Et en général, le plaisir et la chance d’avoir pu côtoyer, tous services confondus, des personnes de valeur. Et je tiens à remercier les personnes, qui successivement m’ont accordé leur confiance et m’ont nommé aux différents postes de responsabilité.

Remerciements également, bien entendu, à l’ensemble des contremaîtres, techniciens, conducteurs et agents de conditionnements qui ont permis d’assurer, grâce à leurs compétences et à leur dévouement, la bonne marche de ces services durant toutes ces années. » (Ndlr : ayant été sous sa responsabilité un bon moment, donc de source sûre ;), je peux affirmer : tout au long de sa carrière, Jean-Pierre a été reconnu pour ses compétences, sa rigueur, sa disponibilité, sa gentillesse, sa droiture et son sens inné de diplomate, tout en restant simple et modeste.

Autrement dit : un « super chef » quoi ;))

Et maintenant Jean-Pierre, ta retraite va rimer avec… ? « Tout d’abord, la famille, ma femme,

mes deux filles et occupations garanties avec trois petits-enfants adorables. Et bien entendu le bricolage et le jardinage. » C’est vrai, Jean-Pierre le jardinier (y’a pas que Jean-Paul qui jardine :) sait faire pousser dans son jardin, en Alsace s’il vous plait, aussi bien les kiwis, les figues, les kakis et autres jujubes.

Mais attention, pour la tonte du gazon, c’est exclusivement... en tracteur ;)

« Bien entendu, je vais pouvoir consacrer un peu plus de temps à mes hobbys qui restent le tir, la chasse, le cinéma essentiellement d’aventure et le fantastique. Et surtout tout ce qui touche en général à l’aviation. » Concernant le tir et la chasse, attention, quand il s’agit d’y jouer, comme au Laser-Game, je ne vous souhaite pas Jean-Pierre comme adversaire, il sait être votre « pire-ennemi » ;)

« Et ensuite, côté culture et culinaire, j’ai sérieusement l’intention de m’améliorer en langue Corse et en art culinaire corse, avec en particulier les salaisons, et le travail des saucissons et des olives. » Effectivement, ceux qui ont eu la chance de côtoyer Jean-Pierre, autour d’une table, pas de réunion, mais de restaurant ;), connaissent son inéluctable attrait pour la bonne chair et les bons vins.

Une autre qualité de ce joli fruit planté sur l’île de Beauté et mûri au pays du bretzel, c’est qu’il a deux cœurs. Un bien posé en Alsace et l’autre solidement ancré en Corse.

Jean-Pie

et l’été e Corse, a autreme des rand

En effet qu’il est Vecchio dans les des ran de gran du nord Un dern

conclure se retrou qu’elle n moi, le s besoin,

Et quan voilà qu d'Pensio simplem Jean-Pie

en Alsace et le printemps et l’automne en avec un projet : une " bergerie" en Corse, ent dit, une chambre d’hôte pour l’accueil donneurs du GR20 ».

t son cœur corse, c’est du côté de Conca t solidement ancré. Situé près de Portoo, ce petit village solidement accroché s montagnes est le point d'arrivée ndonneurs du célèbre GR20. (Le sentier nde randonnée qui traverse la Corse d au sud) nier mot Jean-Pierre ? « Je vais juste

e par une invitation : si une personne uve perdu dans le maquis du côté de Conca, ne s’en fasse pas. Elle trouvera toujours chez saucisson, le fromage et le verre de vin. Et si aussi "l’eau de source"».

nd c’est au rédacteur de conclure, ue j’hésite entre « Alles Beschte fuer onet » et « Ritirati cuntenti », ou plus ment : agréable retraite à toi erre !

Mieux vaut ne pas être dans la ligne de mire de Jean-Pierre quand il joue !

Une partie du service expédition venu fêter le départ à la retraite de Jean-Pierre

Discrète et efficace

C’est une heureuse retraitée, en pleine forme, ayant l’impression d’être en grandes vacances, qui a quitté le journal fin mai 2016.

Pour Fernande, les journées passent vitesse grand V. Dès que le soleil pointe le bout de son nez, elle retrouve l’air frais de son jardin ou les promenades en montagne, sans oublier la halte obligatoire dans une ferme-auberge pour un bon repas bien mérité.

Quand le temps est mauvais, aucun problème, elle s’occupe devant la télé, un bon bouquin ou avec sa « drogue » : les mots croisés, tout en faisant la causette avec sa première passion : les chats.

Vous serez surpris d’apprendre que Fernande apprécie également la musique et pas n’importe laquelle : le hard-rock s’il vous plaît. Et si on rajoute à cela le moto-ball, dont elle est adepte en tant que spectatrice, vous vous demanderez si nous parlons bien de la même personne.

Oui oui, c’est bien Fernande Muller, entrée chez Havas Publicité en 1987, en qualité de facturière qui a terminé sa carrière en tant que codifieur à L’Alsace. Discrète et réservée, elle assurait parfaitement ses tâches à la comptabilité, qui exigeaient une attention sans faille, car pour elle, la satisfaction de l’annonceur était une priorité absolue.

Une autre tâche lui avait été confiée, et non des moindres ! La gestion informatique des factures adressées aux tribunaux, sur le site de l’administration publique Chorus.

Mission qu’elle a su relever avec le sérieux qu’on lui connait.

C’est ainsi que Fernande est partie à la retraite, à pas de souris, comme lorsqu’elle longeait les couloirs pour déposer son indémodable pochette bleue le soir au poste de garde…

Bonne retraite Fernande !

DÉPART RETRAITE

Catherine RUZYLA

Jean-Pierre bien entouré par ses collègues du service maintenance industrielle

Fernande

erre a tranché : « Le compromis sera l’hiver

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Compte d’exploita

Comptes d’exploitation 2015

Les investissements, entre autres, l’aménagement et l’entretien de l’étang de pêche et l’achat d’un nouveau mobil-home, à Malbuisson dans le Doubs, au camping « Les Fuvettes », idéalement situé sur le bord du lac de Saint-Point ont été réalisés.

Toujours du côté de la commission Vacances, en plus de nos différents sites traditionnellement proposés, le linéaire prit en Ardèche en juillet/aout, a fait le plein.

Le budget social est légèrement négatif de 3839 €.

Rubrique fonctionnement : le budget est légèrement excédentaire de 3199 €.

BILAN FINANCIER 2015 Compte Social Compte Fonctionnement Section Athlétisme Section Tennis de Table Colmar Section Tennis de Table Mulhouse Section Volley Section Badminton Section Musculation Section Cyclotourisme Section Tennis Section Ski Section Pêche Section Football Mulhouse Section ARA Section vacances

Sous-total

3 617,02 € 345,88 € 1 398,89 € 223,12 € 565,56 € 334,03 € 4 077,62 € 1 254,75 € 192,67 € 4 507,95 € 1 283,08 € 257,13 € 693,20 € 88,70 € 1 959,25 €

16 028,03 €

591,91 € 100,00 €

691,91 €

Chèques à encaisser Billetterie à encaisser Diverses commandes à encaisser Aides exceptionnelles

88,20 € 1 256,45 0,00 € 27 129,48 €

28 474,13 €

Livret Bleu Social

27 831,98 €

Livret Bleu Fonctionnement

15 809,89 €

Caisse Social Caisse Fonctionnement

Billetterie (stock)

9 048,70 €

ACTIF Renouvellement immobilier Reste à débiter sur Social Reste à débiter sur Fonctionnement

97 884,64 € 20 000,00 € 25 762,20€ 284,04€

PASSIF

46 046,24 €

SOLDE NET (actif - passif)

51 838,40 €

2015 prévisionnel

Rubriques sociales : très bonne affluence et participations à la journée enfants, Europa Park. Même constat pour la fête de Noël, une superbe après-midi récréative, avec comme spectacle, un mémorable Quizz maison et comme accompagnement musical et concert, le devenu célèbre, groupe « Claudio Capéo ».

bilan

La réunion des présidents et trésoriers des sections sportives du journal L’Alsace s’est déroulé le 1er février 2016.

Quelques changements en 2015 au sein des équipes dirigeantes.

A noter les nominations de Stéphane Weiher comme président et d’Emmanuelle Ritter au poste de trésorière de la section Badminton en remplacement respectifs de Carlos Gil et d’Aude Wespisser. Nomination également de Sébastien Hell comme trésorier de la section Pêche, en remplacement de Salva Constantino. Chaleureux remerciements aux partants, qui ont su durant de nombreuses années être engagés et responsables et donc aux nouveaux arrivants « soyez les bienvenus ; ) ».

Côté activités, l’ensemble des sections dites « raquette », Tennis de Table Mulhouse, Tennis de Table Colmar, Tennis, et Badminton concoure toujours, avec plusieurs équipes masculines et féminines, en corpo (le sport corporatif : la pratique sportive dans des associations créées au sein des entreprises, avec des compétitions opposant différentes entreprises industrielles, commerciales, d’administrations ou des professions libérales) avec des résultats, plus que respectable.

Egalement bien impliquée, dans le sport corpo, la section Athlétisme dotée de nouvelles tenues, sait mouiller le short et le maillot lors des quelques six cross annuels auxquels elle participe.

Alors allez les voir, toutes ces sections, allez les encourager sur les courts, les parcours ou dans les stades et pourquoi pas franchir le pas, devenir un membre actif et sportif d’une section.

La section Ski quant à elle a organisé des sorties, notamment à Châtel, en Autriche et en Suisse, en plus d’une sortie d’une semaine à La Plagne. De même, la section ski organise également chaque année une sortie marche dans les Vosges. Concernant la section Cyclos, en plus des parcours alsaciens, elle pédale et pédale encore à travers la Suisse, les Alpes (Morzine) et l’Italie du nord (Les Dolomites). La section Football, boostée par ses nouveaux dirigeants, remonte en activité et en qualité en multipliant les rencontres, avec comme but, et à la clé quelques succès dans leurs filets. Côté bucolique, l’étang de pêche s’embelli de plus en plus, dû à une section Pêche très active. Pour ceux qui ne connaissent pas encore ce joli étang au doux nom de Fuerstenweiher, il se situe entre Dannemarie et Ballersdorf et vaut le détour.

Enfin, en complément d’une activité sportive, pour le maintien d’une bonne tonicité musculaire, c’est vers la section Musculation qu’il faut se tourner. Les exercices de musculation sont effectués dans des positions stables, avec des mouvements bien contrôlés, et à un rythme individualisé. Pour les intéressés, c’est au Complexe Sportif EDF de Rixheim que cela se passe.

N’oublions pas l’ARA, la section des retraités du journal, qui même si elle ne joue pas en corpo, est toujours aussi active. Ses plus de cent membres sont conviés à plusieurs sorties étalées sur toute l’année.

Côté budget : le montant de l’enveloppe globale dédiée aux sections sportives reste équivalent à l’année précédente.

Et pour conclure : « L’activité physique favorise la libération d’endorphine.

Cette substance est un « tranquillisant naturel » qui permet de diminuer le stress. ». Alors « vive la libération d’endorphine ; ) »

Laurent BELTZUNG

BUDGET

Les sections sportives

2016

BUDGET SOCIAL Subvention 2015 Section Athlétisme Section Tennis de table Colmar Section Tennis de table Mulhouse Section Volley Section Musculation Section Cyclotourisme Section Tennis Section Ski Section Pêche Section Football Mulhouse Section Badminton Section ARA Commission Vacances Aide exceptionnelle Sortie Enfants Fête de Noël Bons d'achat Noël Bons d'achat Vacances Retraités Colis de Noël Tickets restaurant Billets Sports/Loisirs/Culture Frais de personnel Divers Investissements Subventions Fonctionnement Compte d'exploitation Social

BUDGET FONCTIONNEMENT Subvention 2015 Frais Expert comptable Frais de déplacement Frais de formations Rencontres C.E. Commission études-investissemen Abonnements revues Frais assurances Trait d'Union Matériel de bureau Frais de fonctionnement Divers Frais de personnel Compte d'exploitation Fonctionn Compte d'exploitation 2015 Dotation 2015 Budget prévisionnel 2015 Solde 2015

25

e

ents

nement

du 1er février 2015 au 31 janvier 2016

Subventions

Débit

1 000,00 € 1 200,00 € 1 800,00 € 500,00 € 1 800,00 € 3 300,00 € 3 600,00 € 3 200,00 € 5 000,00 € 1 000,00 € 3 000,00 € 1 600,00 € 12 000,00 € 0,00 € 4 000,00 € 20 000,00 € 22 000,00 € 22 000,00 € 9 500,00 € 12 500,00 € 6 000,00 € 13 000,00 € 5 000,00 € 12 000,00 € 165 000,00 € Etat

0,00 € 1 200,00 € 1 800,00 € 241,00 € 1 800,00 € 3 300,00 € 3 600,00 € 3 200,00 € 5 000,00 € 0,00 € 3 000,00 € 1 600,00 € 11 592,00 € 12 800,00 € 2 218,66 € 23 244,48 € 18 866,25 € 22 188,75 € 10 568,00 € 17 974,00 € 58 188,72 € 10 955,48 € 6 522,70 € 33 300,74 € 37 000,00 € 290 160,78 € -3 839,62 €

Prévisionnel

Débit

3 000,00 € 4 000,00 € 3 000,00 € 3 500,00 € 1 300,00 € 500,00 € 2 100,00 € 5 000,00 € 2 000,00 € 11 000,00 € 0,00 € 2 500,00 € 37 900,00 € Etat

0,00 € 4 572,38 € 2 542,30 € 2 976,85 € 950,15 € 527,11 € 2 320,90 € 5 163,18 € 1 582,46 € 11 382,24 € 1 786,10 € 1 640,83 € 35 444,50 € 3 199,24 €

Etat général

325 605,28 -640,38

202 900,00 €

Crédit 195 000,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 10 282,72 € 620,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 8 206,40 € 43 006,20 € 138,42 € 1 067,42 € 28 000,00 €

Solde 1 000,00 € 0,00 € 0,00 € 259,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 408,00 € -2 517,28 € 2 401,34 € -3 244,48 € 3 133,75 € -188,75 € -1 068,00 € 2 732,40 € -9 182,52 € 2 182,94 € -455,28 € 6 699,26 €

286 321,16 € Crédit 37 000,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 247,57 € 0,00 € 0,00 € 0,00 € 1 396,17 € 0,00 € 38 643,74 € 324 964,90 € 195 000,00 € -7 900,00 €

Balance 3 000,00 € -572,38 € 457,70 € 523,15 € 349,85 € -27,11 € 26,67 € -163,18 € 417,54 € -382,24 € -389,93 € 859,17 €

Budget prévisionnel du CE

Budget prévisionnel 2016 L’ensemble des rubriques, sortie enfants, fête de Noël, cinéma, etc. sont reconduites. Avec en prévision 2016, une sortie pour les enfants estampillée « Steinwasen Park ». Un parc en Allemagne dédié à la jeunesse qui est à la fois un jardin zoologique et un parc de loisirs. Une « success sortie » qui a eu lieu le 13 avril 2016, voir page 12. Une fête de Noël formule spectacle mélangeant savamment musiques, chants et comédies programmée le 4 décembre 2016, voir page 35. À noter également aucun changement tarifaire concernant l’ensemble de la billetterie.

Côté sites de vacances, à re-noter la finalisation du nouveau mobil-home à Malbuisson dans le Doubs disponible dorénavant aussi en location le week-end (voir TU n°116 page 17). Au niveau entretien des sites, de lourds investissements de réfections et d’isolations des façades extérieures sont en cours ou à venir sur les sites d’Avoriaz, d’Antibes et de Port-Bourgenay.

Investissements incontournables pour la valorisation de nos biens.

La dotation pour l’année 2016 est en baisse de 2000 € pour le fonctionnement et 8000 € pour le social. La part fonctionnement étant indexée sur la masse salariale (0.2%), il n’y a pas de contestations de notre part. Mais par contre un profond différent avec notre direction subsiste concernant le calcul de la part sociale (part entièrement consacrée aux œuvres sociales).

Affaire à suivre donc …

COMMISSION VACANCES

Bilan 2015

ANTIBES (14 semaines de location) ARDÈCHE (15 semaines de location) AVORIAZ (14 semaines de location) BALARUC (11 semaines de location) MALBUISSON (13 semaines de location) BOURGENAY (13 semaines de location) VIAS (6 semaines de location) TOTAL : 86 semaines louées

1627,45 € 1929,44 € 2675,29 € 628,87 € -2025,78 € 2457,52 € -2166,72 €

Déplacements Investissements Divers

-2131,78 € -1494,68 € -1145,44 €

Résultats au 31/12/2015 Situation au 31/12/2015

351,30 € 1959,25€

Répartition Livret dépôt Compte courant Espèces

531,93 € 1407,32 € 20,00 €

Section Athlétisme Section Tennis de Table Colmar Section Tennis de Table Mulhouse Section Volley Section Musculation Section Cyclotourisme Section Tennis Section Ski Section Peche Section Football Mulhouse Section Badminton Section Ara Aides Exceptionnelles Sortie Enfants Fete De Noel Bons D'achat Noel Bons D'achat Vacances Commission Vacances Retraités Colis De Noel Tickets Restaurant Billets Sports/Loisirs/Culture Frais De Personnel Divers Investissements Total Budget Social Frais Expert Comptable Frais De Déplacement Frais De Formations Rencontres C.E. Commission Etudes-Investissements Abonnements Revues Frais Assurances Trait D'union Fournitures Bureau Frais De Fonctionnement Frais De Personnel Total Budget Fonctionnement Total Général

1 000,00 € 1 200,00 € 1 800,00 € 500,00 € 1 800,00 € 3 300,00 € 3 600,00 € 3 200,00 € 5 000,00 € 1 000,00 € 3 000,00 € 1 600,00 € 0,00 € 4 000,00 € 20 000,00 € 22 000,00 € 22 000,00 € 12 000,00 € 9 500,00 € 12 500,00 € 6 000,00 € 13 000,00 € 5 000,00 € 12 000,00 €

1 000,00 € 1 200,00 € 1 800,00 € 500,00 € 1 800,00 € 3 300,00 € 3 600,00 € 3 200,00 € 5 000,00 € 1 000,00 € 3 000,00 € 1 600,00 € 0,00 € 4 000,00 € 20 000,00 € 20 000,00 € 20 000,00 € 12 000,00 € 9 500,00 € 9 000,00 € 6 000,00 € 13 000,00 € 5 000,00 € 12 000,00 €

165 000,00 € 157 500,00 € 3 000,00 €

3 000,00 €

4 000,00 € 3 000,00 € 3 500,00 € 1 300,00 € 500,00 € 2 100,00 € 5 000,00 € 2 000,00 € 11 000,00 € 2 500,00 €

4 000,00 € 3 000,00 € 3 000,00 € 1 000,00 € 500,00 € 2 100,00 € 5 000,00 € 2 000,00 € 11 000,00 € 2 500,00 €

37 900,00 € 37 100,00 € 202 900,00 € 194 600,00 €

BUDGET

ation 2014

retour

en grâce !

Yves RIGONI

FOOT

26

Un an après avoir affrontée l’AS Guewenheim, la section foot avait pris date et souhaitait à nouveau se frotter à son hôte du jour.

Tous les joueurs de la section ont répondu présent et avait hâte de se retrouver tous ensemble pour passer une soirée sportive sur le terrain et très conviviale autour d’un repas dont le cuisinier local à le secret.

Après une entame de match équilibrée, entre deux équipes composées essentiellement de vétérans, le journal L’Alsace s’est très vite détaché pour faire cavalier seul dans une rencontre où le seul vainqueur est le plaisir de s’amuser. Mais l’esprit de gagnant étant toujours en nous, nous avions à cœur de prendre notre « revanche » sur l’année précédente. Et de quelle manière !

Nos attaquants étaient au top de leur forme

et le match se soldait sur une cinglante victoire sur le score de 9-3 !!!

Quel match ! Bravo !

Pas rancunier pour ce revers, l’AS Guewenheim nous à concocté un excellent repas dans une superbe ambiance et une soirée qui se prolongea tard dans la nuit. Que c’est agréable de partager de tels moments.

Merci encore à L’AS Guewenheim de nous avoir accueillis.

Une prochaine rencontre est prévue pour le mois de septembre contre l’entreprise Superba de Mulhouse. Cette rencontre aura lieu sur le terrain du FC Riedisheim.

Vive le sport et vive la section Foot !

27 Grand succès pour notre journée carpes frites

ARA

nos activités

Le majestueux lac d'Annecy

Escapade dans les Alpes

Les mouchoirs tournicotent dans une super ambiance

Notre guide multi talents Christophe Essey

Non, la voiture rouge devant notre hotel n'est pas celle du president de l'ARA

Bertrand SCHLEICHER

Présentation des produits d'une fromagerie alpine

Pour sa journée à thème du samedi 16 avril, l'amicale s'est retrouvée au chalet de l'étang de Frœningen pour y déguster les carpes frites préparées par le président de l'association de pêche et son équipe, carpes toujours appréciées dans une ambiance conviviale où le plaisir de se retrouver se lit sur les visages!

Puis notre DJ maison, Jean-Claude, a assuré une animation digestive qui a ravi les amateurs(trices) des différentes danses proposées!

Au mois de mai, une superbe escapade de deux jours dans les Alpes s'est déroulée à la grande satisfaction d'un bus bien rempli.

Il y avait de quoi.

A notre arrivée à Manigold, l’accueil par le fils de la maison, à l’hôtel Les Sapins (magnifique 4*) fût digne des belles voitures garées devant. Ces deux jours semblaient prometteurs.

Après le déjeuner, descente vers Annecy, le tour du lac en bateau, visite de la ville puis remontée vers Manigod où notre guide Christophe nous a invités en sa belle église dotée d'un magnifique orgue ! Démonstration de son talent sur les claviers et les explications très techniques de celle-ci devant un auditoire épaté!

On s'est retrouvé pour un excellent dîner suivi par une soirée dansante animée par le jeune virtuose du piano à bretelles, Christophe bien sûr !

Au réveil, surprise, un manteau neigeux nous a ravis, un 23 mai !

La matinée fut consacrée à la visite d'une fromagerie artisanale avec démonstration de leur savoir-faire suivi d'une dégustation fort prisée de leurs produits! Après le déjeuner pris à l'hôtel, le retour s'effectua sereinement pour des membres satisfaits, on le serait à moins.

Pour la journée paëlla/loto à l'étang de Morschwiller-le-Bas, 71 participants ont répondu à l'invitation du comité et ceci dans une joyeuse ambiance !

La déco espagnole, une paëlla succulente très appréciée suivie dans l'après-midi du loto animés par Jean-Claude et Annemarie a fait des heureux parmi les gagnants de lots !

Journée pluvieuse ce jour, mais journée heureuse !

Journée carpe frite

En piste pour le madison

Journée Paëlla Préau décoré aux couleurs espagnoles

On s'installe dans un agréable cadre verdoyant Miam cette paëlla va réjouir nos papilles !

Nicole toute souriante et ravie

Michel Schlienger

de retour !

Raymond CLAUDEPIERRE

TENNIS DE TABLE

28

L'édition 2016 du tournoi interne de tennis de table a connu une participation moins importante que les précédentes, mais n'en a pas été moins disputée pour autant. C'est un habitué de cette confrontation, déjà vainqueur par le passé, qui a remporté l'épreuve, à savoir Michel Schlienger.

Organisé et supervisé par Martial Boulanger, le tournoi s'est déroulé début mai dans la salle du FCM à Mulhouse où les pongistes de L’Alsace ont coutume de se retrouver tout au long de la saison. Bonne humeur et convivialité étaient de

mise pour ces retrouvailles annuelles qui se déroulaient comme de coutume sur deux types de tables : celles du sport et celles du déjeuner, l'intendance étant assurée par Yves Koenig.

En raison de la météo, la troisième composante, à savoir la pétanque, a dû être déprogrammée.

Le tournoi proprement dit a débuté à 9 h, selon la formule du handicap, en quatre poules, dont les deux premiers étaient qualifiés pour la suite tandis que les autres disputaient la consolante.

La victoire est revenue en toute logique à Michel

Schlienger, très régulier tout au long de l'épreuve, face à Jean-Jacques Herth qui a opéré un beau rétablissement pour accéder en finale puisque battu par Théo Rittelmeyer en match de poule, il a pris sa revanche sur le pongiste colmarien en demifinale. Décisif dans ses attaques, surtout du coup droit, le vainqueur du jour a dominé son adversaire, ne lui abandonnant qu'un set, pour conclure à 3-1.

Entre les grillades et les desserts, les joueurs ont eu tout loisir de développer leurs commentaires des matches, avant de reprendre leurs raquettes

dans l'ap en remp par la p Moins d plus de où la do Schmoc dans le

près-midi pour un tournoi par équipes, placement de la pétanque, condamnée pluie. de concentration mais largement rigolade au cours de ces matches oublette Michel Muller - Jean-Pierre cker a fait très fort registre comique.

29

Mumu à l'accordéon, pour le plaisir de tous

Poules : René Marmillot - Jean-Claude Schmocker : 3-0 ; Michel Muller René Marmillot : 2-1 ; Michel Muller - Jean-Claude Schmocker : 3-0 ; Yves Koenig - Jean-Pierre Muller : 3-0 ; André Galli - Yves Koenig : 2-1 ; André Galli-Jean - Pierre Muller : 3-0 ; Claude Boulanger Sandrine Debenath : 3-0, Michel Schlienger - Claude Boulanger : 3-0 ; Michel Schlienger - Sandrine Debenath : 3-0 ; Théo Rittelmeyer Raymond Claudepierre : 2-1 ; Théo Rittelmeyer - Jean-Jacques Herth : 2-1 ; Jean-Jacques Herth - Raymond Claudepierre : 2-1.

Quarts de finale : Michel Muller - Claude Boulanger : 2-1 ; Michel Schlienger - René Marmillot : 2-0 ; André Galli - Jean-Jacques Herth : 1-2 ; Théo Rittelmeyer - Yves Koenig : 2-0.

Demi-finales : Michel Muller - Michel Schlienger : 0-3 ; Jean-Jacques Herth - Théo Rittelmeyer : 3-1 Match pour le 3e place : Michel Muller - Théo Rittelmeyer : 3-1.

Finale : Michel Schlienger-Jean-Jacques Herth : 3-1.

Classement final : 1. Michel Schlienger ; 2. Jean-Jacques Herth ; 3. Michel Muller ; 4. Théo Rittelmeyer ; 5. Claude Boulanger ; 6. André Galli ; 7. René Marmillot ; 8. Yves Koenig Consolante : 1. Jean Claude Schmocker ; 2. Jean-Pierre Muller ; 3. Sandrine Debenath.

Double : 1. Martial Boulanger - Jean-Pierre Muller ; 2. Michel Schlienger - Yves Koenig ; 3. Florian Muller - Dany Schwartzmann ; 4. Claude Boulanger - André Galli ; 5. Michel Muller - Jean-Claude Schmocker ; 6. René Marmillot - Jean-Jacques Herth.

TENNIS DE TABLE

Tournoi 2016

les cyclos bravent les et les intempéries

Gilles LEGEARD

CYCLO

30

Dans la station italienne de Livigno (1693 m d’altitude), les cyclos de L’Alsace ont assurément pris de la hauteur. Profitant des services hôteliers à la hauteur de leurs efforts, les vélocipédistes ont d’abord pris leur courage à deux mollets pour s’élancer lors de la première étape au départ de Davos. La brume sur les cimes, la température fraîche et la pluie n’ont pas entamé la volonté de passer entre les gouttes. Et c’est ce qui est arrivé au passage des cols de la Fluela (2383 m d’altitude) et de la Bernina (2328 m) pour basculer avec les jambes déjà lourdes.

Quand les cyclistes altkirchois emmenés par Daniel Fricker ont pris la poudre d’escampette le deuxième jour pour escalader, entre autres, le col de Gavia (2621 m), le second groupe a pris un bon rythme sous l’impulsion de Pierrot Thirion dans le col d’Eira avant de partir en quête des lacs de Cancano vantés pour leur beauté par l’hôtelier, un ancien cycliste.

Pour apprécier la beauté du site, les cyclos n’ont pas ménagé leurs efforts, au gré des lacets d’une ascension aux pourcentages fort sévères.

Le refuge était le bienvenu pour laisser passer de nouveaux nuages.

Accrochés à la montagne, ils se sont délestés d’une averse réfrigérante, qui a contraint quelques pensionnaires à un abandon, proche du but,

au sommet du passo di Foscagno, déjà abordé dans l’autre sens à l’aller. Les spécialités italiennes ont vite effacé cet épisode.

La dernière étape a vu toutes les forces vives se rassembler pour former un peloton en direction de la Suisse. Freinés par Forcola di Livigno puis le Bernina, les cyclos de L’Alsace ont pu s’employer sous les rayons de soleil. Et c’est portés par le vent que ces vaillants cyclistes ont abordé l’Albulapass, terrible par les pourcentages de ses premières pentes. Mais tous ont rallié ce col à la croisée des chemins pour une pause avant de prendre la direction de Lenzerheide et enfin de Coire (Chur). Et après deux jours sans bronzer, les corps ont cette fois-ci affiché une vive couleur rouge, sur le côté gauche de préférence, là où le soleil a littéralement frappé.

Ce nouveau périple, bouclé par les cyclos de L’Alsace, du président Philippe Sengelin a laissé des traces. Mais après la récupération, nul doute que les cyclos de L’Alsace repartiront vers d’autres sommets.

Les cyclos de L'Alsace, toujours heureux de se retrouver pour leur escapade annuelle

31 CYCLO

Hubert ne lâche rien

Denis et Arnaud, toujours souriants

Oui oui, ils y étaient vraiment !

Pour les deux Gilles, tout va bien !

La fidèle équipe d'accompagnateurs : Gilbert, Jean-Paul, Hervé et Jean-Claude, eux aussi au sommet !

Pierre et Daniel, nos retraités en grande forme

le Witz

du tennis est en lui

Jérôme ARNOUX

TENNIS

32

Christophe Witz aurait-il déniché quelque-part la très convoitée recette de la potion magique de Panoramix ?

Mais comme Christophe et ses coéquipiers se bonifient d’année en année, peut-être l’avenir leur sourira-t-il…

Depuis qu’il a franchi les 50 ans, l’an dernier, notre collègue du service des imprimés – désormais rattaché au Groupe républicain lorrain imprimeries (GRLI), n’en finit pas de faire des prouesses raquette à la main.

Le mardi, c’est tennis !

Multiple champion du Haut-Rhin de tennis entreprise depuis les années 1990 (il était encore finaliste cette année), Christophe est toujours classé 15/2, tout près de son meilleur niveau (15), atteint quand il avait une vingtaine d’année. Et au printemps dernier, il a ajouté deux titres inédits à son joli palmarès : ceux de champion du Haut-Rhin et de champion d’Alsace des plus de 50 ans ! Une superbe double performance, qui mérite d’être saluée.

Cerise sur le gâteau, le titre de champion d’Alsace était qualificatif pour les championnats de France, qui d’habitude se jouent dans le stade mythique de Roland-Garros. Cette année toutefois, pour cause de travaux, c’est au Stade français que s’est déroulée cette épreuve, à la fin du mois d’août. Christophe a passé le 1er tour, mais a dû s’incliner au second (lire encadré). A noter que la finale a été remportée par un autre cinquantenaire alsacien : l’ex-Strasbourgeois Olivier Cayla (2/6), ancien 17e français qui vit aujourd’hui à Marseille.

Mais revenons à Christophe Witz, également capitaine de l’équipe 1 de L’Alsace en tennis entreprise, qui a mené cette année encore ses joueurs à la 2e place du championnat départemental. Comme souvent ces dernières années, nos joueurs se sont inclinés face à l’équipe intouchable de Cryostar.

Quel est le secret de la forme des tennismen de L’Alsace ? Réponse : les entraînements du mardi !

Chaque mardi en effet, les « disciples » de Christophe Witz – au premier rang desquels Arnaud Buffler, Jean Deutsch, Laurent Bodin, Alain Wamster, etc. se donnent rendez-vous à 12 h 30 pour chatouiller la balle jaune. Ces entraînements ont lieu au TC Lutterbach, entre septembre et juin, sous la houlette de l’entraîneur du club, Dylan Nauroy, mais également avec les conseils des anciens.

Les progrès de la douzaine de membres de la section tennis se sont rapidement fait sentir dans les championnats où nos deux équipes sont engagées.

Outre les compétiteurs, les membres « loisir » sont également les bienvenus.

Grâce à la subvention du comité d’entreprise, la cotisation annuelle est fixée à 60 euros seulement ou 40 euros pour la demi-saison (du 1er avril au 30 septembre).

Renseignements auprès de Jérôme Arnoux : jerome.arnoux@lalsace.fr ou 07.866.396.89

CHAMPIONNAT DE FRANCE : « UNE SUPERBE EXPÉRIENCE » Pour son premier championnat de France individuel, Christophe Witz s’est préparé avec soin : « Je me suis exprès entraîné pendant mes vacances, en faisant un footing tous les jours pour ne pas avoir de regrets. Je pensais tomber sur un joueur classé entre 15/1 et 5/6 (soit un à trois classements de mieux, ndlr) et j’espérais faire une « perf ». Hélas, mon premier adversaire, qui était jouable, a fait forfait et le tirage au sort m’a attribué au second tour un 3/6, ancien -2/6 ! Chez les plus de 50 ans, 16 joueurs étaient encore classés 1/6 ou 2/6 et beaucoup faisaient partie des anciens meilleurs joueurs français. C’est impressionnant, et en plus ils venaient pour gagner. Ça reste une superbe expérience, dans un cadre magnifique : je pourrais au moins dire que j’y étais ! Mon seul regret est de n’avoir pas trouvé de partenaire pour jouer les doubles : dur dur quand on est parmi les plus faibles…

Mais l’essentiel c’était de participer… et d’avoir été champion d’Alsace quand même ! ».

les lauréats 2016 GRAND’OR > 40

ans de service

Gisèle Fawer. Quatre fois par semaine, année après année, depuis 1988, elle contribue de façon significative à la bonne marche du comité d’entreprise et au bien-être des salariés de L’Alsace, en complétant son temps de travail à l’agence de Guebwiller depuis 2006. Sportive dans l’âme, elle a pratiqué la gymnastique dès l’âge de six ans, et a continué d’œuvrer au sein du comité de la société de gymnastique de Wittenheim pendant plusieurs années. Ses deux enfants, Nicolas et Denise, sont sa fierté, de même que son petit-fils Louis pour lequel elle n'hésite pas à faire le tour du monde.

Georges Grondin. Conducteur de machine au sein du service expédition, il est toujours disponible pour aider ses collègues de travail. En dehors du journal, il se passionne pour la musique, le jardinage. Vous pourrez d’ailleurs déguster de délicieuses figues en provenance directe de son arbre. Il pratique le bricolage et la pêche en mer lorsqu’il est dans son île natale de la Réunion.

OR

> 35

ans de service

Vincent Arntz. Tous les deux ans, il réunit tous les porteurs autour d’un repas convivial sous le signe de la bonne humeur et il ne manque jamais de raconter une petite anecdote sur chacun d’entre eux. Il donne aussi des surnoms affectueux à ses porteurs, qu’il appelle Yvette Horner ou Robin des Bois par exemple. Un bon vivant, un boute-en-train et surtout, un infatigable collectionneur de photos, de mails et des petits cadeaux que lui remettent ses porteurs. Ses passions : ses enfants, la moto, la vitesse, le bricolage, le jardinage.

Laurent Beltzung. Technicien de maintenance industrielle, Laurent a pris des responsabilités au sein

du comité d’entreprise où il gère la trésorerie. Une mission qui exige de la rigueur et de la concentration. Il n’en manque pas, ni d’ailleurs de souplesse, car c’est un aïkidoka chevronné. Souriant, disponible et toujours le mot pour faire rire, notre trésorier est indiscutablement un vrai trésor ;-)

Martine Demolle. Employée d'agence polyvalente à l’agence de Thann, elle a été une collègue appréciée pour sa gentillesse et sa disponibilité.

Depuis le mois d’avril, elle profite pleinement d’une retraite bien méritée. Elle ne manque pas de centres d’intérêt et son temps de loisir est largement occupé par sa passion pour la philatélie, la restauration des meubles anciens et sa quête perpétuelle de l’objet rare qu’on déniche parfois sur les marchés aux puces de la région.

Béatrice Di Marco. Elle est très appréciée pour la fiabilité et l’efficacité de son travail à l’accueil de l’agence de Mulhouse. Elle forme avec sa collègue Françoise un duo de charme et de choc au service de nos clients. En dehors de son travail, elle consacre son temps libre à ses enfants et à son mari. L’entretien de sa maison et de son jardin demeure son passe-temps favori.

Valérie Hummel. Elle fait preuve tous les jours d’une implication très forte au GEP, où tout le monde manifeste la joie de travailler à ses côtés. Depuis son arrivée au service publicité en mars 2013, elle a su trouver sa place jusqu’à devenir un membre emblématique du GEP. Plongée dans le grand bain des nouveaux logiciels et confrontée à de nouveaux process et interlocuteurs, elle a fait preuve de remarquables capacités d’adaptation. Son humour, sa force de travail et son implication, sont unanimement appréciés par tous ses collègues. Sans elle, le service publicité et le journal L’Alsace perdraient une partie de leur âme car en 35 ans de service, elle a su marquer durablement les esprits ! Ne changez pas, continuez de régaler les collègues des aventures de Gribouille ou de Nicolas Sirkis.

VERMEIL > 30 40 · 35 · 30 · 2 0

Martine Jeangeorge. Qui à la rédaction n’a jamais lu ce message sur les coups de 10 h : « Bonjour, merci de m’envoyer vos vitrines du jour. Bonne journée ensoleillée », suivi de trois points d’exclamation et illustré par un bel arbre en fleurs, en plein mois de janvier. Entrée dans l’entreprise en 1980 comme documentaliste, nommée secrétaire de direction en 2002, elle est le quatrième mousquetaire de la rédaction en chef. Tous pour une ou plutôt une pour tous puisqu’elle se dévoue du matin au soir pour l’ensemble de la rédaction. Le journal en chantier, c’est elle, les power-points qui empoisonnent la vie des journalistes, c’est elle, le courrier, c’est elle, l’organisation des Conférences Erasme, c’est elle, les stagiaires d’été et d’observation, c’est elle, les coups de téléphone des lecteurs grognons, c’est elle. Et pourtant, la bonne humeur et le sourire permanent, c’est elle aussi.

Philippe Nicolas. De l’énergie, des idées, de la tchatche, une bonne résistance et un brin d’humour : c’est ce qu’il faut pour être un bon commercial. Il en est la preuve vivante et… active. Entré en septembre 1980 au Pays comme vendeur, il a rapidement basculé vers un rôle d’animateur et d’attaché d’inspection à Montbéliard puis à Lure, avant d’être nommé inspecteur à Montbéliard et Belfort cinq ans plus tard, puis responsable des ventes abonnements à Belfort dans la foulée. Après un passage à Colmar en 1995 en tant que responsable de la promotion, il a exercé les mêmes fonctions à Mulhouse à partir de 2002, en y ajoutant la responsabilité de la vente au numéro. En 2008, il a été nommé responsable des ventes et de la promotion du Pays. En 2011, il agrandit son champ d’action avec L’Alsace. Fin 2012, on lui confie également le centre de relation clients. Depuis fin 2013, il est responsable du service des ventes et du CRC. Féru de voitures anciennes, il participe volontiers aux rallyes de ces vieilles dames.

D’ailleurs il bichonne une Peugeot 404 depuis dix ans ! Le foot et la marche à pied sont ses autres passions. Il est un fan du FC Sochaux-Montbéliard.

ans de service

Alvézio Buonasorte. Après avoir effectué ses premières armes au desk de la rédaction de Montbéliard à partir de 1988, ce jeune Transalpin a poursuivi sa carrière de journaliste à Colmar où il a, par ailleurs, fait étalage de ses talents de pongiste, à défaut de pouvoir briller aux échecs, par manque d’adversaires à sa taille. Nommé à Strasbourg, il s’est spécialisé dans le domaine économique. Fan de Léonard Cohen, il gratte également la guitare et, comme tout Italien qui se respecte, il adore la bonne cuisine.

Nadia Micheneau. Développement, communication, promotion, elle gère avec brio l’ensemble des partenariats « culture, médias et sport » et les opérations spéciales du journal. Elément clef du service Développement commercial, elle dirige avec talent la grande manifestation Journaliste d’un Jour, immense succès depuis plus de 20 ans maintenant et symbole du rayonnement de notre journal auprès des jeunes publics. Enthousiaste, déterminée, rigoureuse, elle est une collaboratrice brillante qui montre et démontre, année et année, une capacité d’adaptation et de polyvalence hors du commun. Nous sommes tous très fiers de pouvoir compter sur ses compétences (plus que nombreuses) pour mener à bien nos projets d’entreprise ; sa personnalité et son énergie complètent un portrait déjà exceptionnel.

Michel Schwindenhammer. Il a enseigné l’allemand à l’IUT de Mulhouse avant d’entrer dans notre entreprise en 1985 en qualité de traducteur à la locale de Wittelsheim, avant de rejoindre les informations régionales, puis les informations générales.

Il est, depuis de longues années, la tour centrale de notre édition bilingue. Pour faire fonctionner l’équipe, il a un secret : il s’entoure de jeunes et jolies stagiaires bilingues. Quand il ne se consacre pas au journal dans la langue de Goethe, il laisse libre cours à sa passion pour la science-fiction, et notamment la saga de Star Wars. Die Kraft ist mit dir, la force est avec toi.

ARGENT > 20

ans de service

Céline Anheim. Elle a fait ses premiers pas au journal en 1995. En contrat de qualification bac pro, elle a montré une perpétuelle envie d’apprendre, ce qui lui a permis d’effectuer un parcours très varié dans l’entreprise. Tout d’abord claviste, puis metteur en page, puis secrétaire d’agence, elle a également travaillé pour le desk, ainsi qu’au GEP. Enfin, c’est en janvier 2014 que Céline a intégré le service prépresse pub. Sa volonté est un exemple et sa bonne humeur son leitmotiv ! Céline, que certains connaissent aussi sous le pseudo de Célina, est également une artiste-

peintre talentueuse et autodidacte, dont les toiles colorées et les œuvres diverses en disent long sur son talent et sur sa vision pétillante de la vie !

Laurent Berta. Entré dans notre entreprise en 1995 comme stagiaire d’été vacances, il n’est plus jamais reparti. Devenu aide rotativiste, il a ensuite évolué comme imprimeur après un long stage à Paris pour apprendre le métier. Passionné de sports d’hiver, il pratique le snowboard ainsi que le rugby.

Amoureux de la Corse, il ne manque pas de retrouver l’île de beauté pour les vacances d’été entouré de sa famille.

Laurent Bodin. Nommé à l’agence de Belfort en 1995, puis aux informations régionales du Pays en 2000, il a aussi dirigé l’agence de Lure de 2003 à 2006 avant de poursuivre sa carrière en Alsace, à l’agence de Thann. Depuis 2011, il est le Monsieur Economie des informations régionales et, entre autres missions, le metteur en scène du journal de l’année. L’édito de la page 2, c’est lui aussi qui s’y colle le plus souvent. Quand il ne se consacre pas à sa famille, il taquine la balle jaune au tennis, ou la balle blanche au golf. 2016 marque pour lui un double anniversaire puisqu’il fête ses 20 ans à L’Alsace et ses 20 ans de mariage.

Edouard Cousin. Il est non pas le globe-trotter, mais l’agence-trotter de la rédaction. Diplômé de l’école de journalisme de Tours, il a débuté comme journaliste stagiaire à la rédaction de Mulhouse en 1995 avant d’être nommé à Guebwiller, puis à Belfort, puis à Wittelsheim, puis à Thann. Il a provisoirement bouclé la boucle en revenant à Mulhouse pour prendre la succession d’Olivier Chapelle à la tête de la locale. Amateur de concerts et de voyages en famille, il se voit décerner aujourd’hui la médaille d’argent. C’est d’ailleurs pourquoi on l’appelle désormais Edouard aux mains d’argent.

MÉDAILLÉS

33

34 MÉDAILLÉS

sir à boire une « Petra », la bière locale brassée à la châtaigne, et déguster un morceau de « salsicha ».

Christine Niedergang. Elle est entrée à L’Alsace au service expédition de nuit en juillet 1995 en qualité d’agent de conditionnement. En janvier 2002 elle est nommée conducteur de machine et devient la première femme à occuper ce poste dans ce service. On peut dire qu’elle est une grande aventurière. Elle a voyagé aux quatre coins du monde et est toujours partante pour une randonnée de plusieurs heures en montagne. A la maison, elle se passionne pour la déco intérieure et le bricolage puisque la disqueuse, la truelle et le niveau sont ses jouets favoris.

Au travail, elle est appréciée de tous. Sa démarche impassible, en sifflotant inspire une grande sérénité à toute son équipe. Avec elle, c’est la zen attitude !

Maud Daubier. Elle est entrée dans notre entreprise en septembre 1995 dans le cadre d’un contrat de qualification en qualité d’agent prépresse. Après deux années d’apprentissage, elle a été engagée en qualité de PFI. Claviste émérite, elle a intégré le service prépresse publicité. Rapidement, elle a su se positionner sur tous les terrains, maitrisant parfaitement les différents outils de production. Côté privé, elle se consacre entièrement à sa famille, en particulier à sa fille, qui est « la prunelle de ses yeux », dit-elle. Prof de piano à ses heures perdues, mais aussi amoureuse de la nature et des animaux (en particulier de son chat !), Maud profite de chaque moment de la vie.

Jean Deutsch. Il a débuté comme journaliste stagiaire en 1995 et a été rapidement contaminé par ses petits copains de la rédaction des sports, à tel point qu’il ne l’a pas quittée depuis. Il est devenu très vite le spécialiste de la petite balle jaune, au journal puisqu’il gère entre autres la rubrique tennis, mais aussi sur les courts. Court, mais pas toujours, c’est aussi l’adjectif qui convient pour qualifier ses billets d’humeur, pince sans rire, corrosifs ou badins,

suivant la victime du jour, soigneusement choisie pour donner libre cours à sa plume bien trempée.

Fabien Devaux. Entré dans notre entreprise en 1995 comme claviste, il est passé à la rotative en 2003 après un stage à Paris pour se familiariser avec ce métier nouveau pour lui. Grand sportif, il en pratique beaucoup, dont quelques-uns dans les sections sportives du comité d’entreprise, comme la course à pied ou le tennis.

Cécile Egler. Elle est entrée au journal en juin 1996 en qualité de claviste. Elle s’est consacrée ensuite au montage des pages au service de nuit avant d’intégrer l’équipe de mise en page des publicités. Elle s’est initiée au métier de PFI et a finalisé sa formation par un BAC pro. Si Cécile est malentendante, cela ne l’empêche pas d’être toujours à l’écoute des autres. Elle est secrétaire de l’association pour malentendants « Espace Ephphatha ». Passionnée de bricolage, de cuisine et pâtisserie, elle aime recevoir, organiser et animer des petites fêtes. Elle savoure également le calme et les promenades dans la nature à pied ou à vélo, quand elle ne se consacre pas au jardinage dans sa serre et son potager.

François Fuchs. Sorti du CUEJ en 1993, nommé à Colmar en 1995, il a rejoint l’agence de Mulhouse en 2006. Il aime les destinations lointaines, l’Amérique centrale, la Chine, Israël, le Sénégal, sans négliger les promenades sur les chaumes vosgiennes. Côté culture, il est un accro de la Filature, des expositions d’art contemporain et du cinéma art et essai. Côté perso, il aime les journées passées avec des amis, les vêtements aux couleurs flashy, ses poissons rouges auxquels il donne des noms improbables. Il aime aussi écrire des articles longs, très longs, très très longs.

Maryline Hoff. Elle est arrivée parmi nous en février 1997, au service photogravure. Après un passage à l’agence de Saint-Louis, elle est revenue au siège où elle s’est spécialisée dans la mise en page et la création de suppléments. Pendant ses loisirs, elle voyage beaucoup, elle visite des expositions.

Elle s’essaie aussi à de nouveaux instruments de musique et approfondit sa connaissance des langues étrangères. L’art culinaire est aussi l’un de ses domaines de prédilection. Préparer de bons petits plats ou profiter de bonnes tables font partie de ses grands bonheurs.

Philippe Kien. A quitté le garage après sa fermeture pour entrer à la maintenance industrielle en 2012. Il aime le rock and roll et les Santiags. Féru de pêche à la ligne il parcourt les rivières de FrancheComté et d’Alsace dès la belle saison. Actuellement en longue maladie nous lui souhaitons un bon rétablissement.

Daniel Lindecker. Après avoir fait ses débuts à L’Alsace comme aide rotativiste, il a évolué pour occuper la fonction d’imprimeur, poste qu’il occupe depuis 2008. Il attend impatiemment la fin de l’été pour se retrouver au milieu des vignes pour les vendanges, une occupation qu’il apprécie beaucoup depuis plusieurs années. Il adore les animaux et en possède quelques-uns.

Jean-Pierre Mannarini. Ce grand passionné d’aviation et cet ancien militaire, vous le connaissez tous. A la machine à café, il dégaine sa clé plus vite que Lucky Luke, son colt. Grand amateur de gastronomie, il saura vous conseiller si vous cherchez un bon restaurant dans le coin ! Malheureusement, pour nous, il a quitté pour une retraite bien méritée sur lîle de beauté, sa Corse natale où il prendra plai-

Jean-Marie Pascal. Il est entré dans notre entreprise en juin 1995 en qualité de chauffeur, avant d’être nommé chef d’équipe à l’expédition, en 1999. Il est contremaître depuis 2004. Il est apprécié pour son professionnalisme et pour son sens de l’écoute. Il consacre une grande partie de ses loisirs aux sports puisqu’il est membre de l’équipe d’athlétisme du journal, tout en pratiquant assidûment le running, le VTT et la moto.

Stéphane Pierrez. Entré dans notre entreprise en 1995 en qualité d’agent de préparation à la forme imprimante, il a montré très rapidement ses talents de petit génie de l’informatique, qu’il a mis ensuite en pratique au multimédia, et en dernier lieu au suivi de production dont il est depuis 2009 le responsable et la plaque tournante. Incollable en informatique, donc, il montre aussi ce sens de la perfection qui l’anime dans tout ce qu’il touche. Car il touche à tout, sans jamais rien rater.

Nelson Ramos Pinheiro. Il est rentré à L’Alsace comme imprimeur en 2002 en provenance du PAM. Il aime pratiquer le roller au bord du canal, mais une mauvaise chute l’a immobilisé pendant près de six mois. Il ne manque pas de retrouver ses terres natales, dans le centre montagneux du Portugal, au moins une fois dans l’année.

Magali Ribeiro. Entrée à L’Alsace en septembre 1995 dans le cadre d’un contrat de qualification, elle a été embauchée en septembre 1997 en qualité de préparatrice en forme imprimante, au prépresse au siège à Mulhouse. Formée au métier de secrétaire d’édition en 2006, elle a été affectée à l’agence de

Karine Rietsch. Elle est entrée dans notre entreprise en 1995 en qualité de claviste et occupe actuellement un poste au prépresse au siège, où la saisie des carnets, des annonces légales et les modules de pub n’ont plus de secrets pour elle. Assidue de la course à pied, elle n’hésite pas à chausser ses baskets pour braver la pluie, le vent ou la neige, avec toute l’énergie qu’on lui connaît. Elle fait partie également de la section athlétisme de L’Alsace.

Très écolo, elle enfourche sa bicyclette rose pour se rendre au travail. Passionnée de culture et d’expos, elle aime également la fine gastronomie et n’hésite pas à trouver le bon petit restau ou à concocter de bons petits plats pour ses amis.

Sébastien Spitz. Il est entré dans notre entreprise en qualité de PFI débutant en septembre 1995 dans le cadre d’un contrat de qualification. Il a été nommé au service maintenance informatique en qualité de technicien de Maintenance 2e échelon en janvier 2002. A L’Alsace, il est le spécialiste de toute la partie planification de la rotative (COCPITE) et flux de fabrication des plaques (News Way). Féru d’informatique - évidemment - et de jeux vidéo d’animation, Sébastien est un collègue très discret, mais d’une gentillesse et d’une disponibilité incroyable.

Dominique Walter. Il est entré dans notre entreprise en mai 1995 en qualité d’électromécanicien.

Depuis, son œil vigilant et sa conscience professionnelle en ont fait un indispensable technicien au sein du service de la maintenance industrielle.

Il est également un heureux papa de quatre filles dont deux jumelles qui l’occupent bien. En dehors du Sundgau d’où il est originaire, il affectionne tout particulièrement la Bretagne et son « Festival Interceltique de Lorient ». Aimant également « prendre l’air » il va tout prochainement s’essayer à l’Ultra Léger Motorisé.

Stéphane Weiher. Stéphane est entré à L’Alsace dans le cadre d’un contrat d’adaptation en 1995. Il a fait ses armes « cutter à la main ». En juillet 2002, il est nommé chef d’équipe « mettage ». Organisé et méthodique, il a su évoluer avec les outils et est aujourd’hui le responsable du service prépresse publicité qu’il maitrise du bout des doigts. Il supervise une équipe de 20 personnes avec compétence et justesse. Arrangeant, très attentif, il est à l’écoute des gens ; Stéphane a toujours un mot gentil pour ceux qui l’entourent. Il est aussi un redoutable joueur de badminton, sport qu’il pratique de façon très assidue ; il assure d’ailleurs la présidence de cette dynamique section. Par ailleurs, il est bon skieur et dans d’autres temps il a pratiqué la planche à voile. Papa attentionné il ne manque jamais une audition de violon d’Hugo, son fils, et est un fervent supporter de sa fille Cloé qui pratique le tennis.

en voyage

Noël 2016

Belfort puis en 2008 à celle d’Altkirch, en étroite collaboration avec la rédaction. Elle assure également d’autres fonctions en binôme avec la secrétaire Heidi Rousier. Elle peaufine les pages images à lire, les pages seniors et assure le suivi de la page enfance qui parait chaque mercredi. Elle est aussi en charge de la gestion de la base évènement service du site Pour Sortir dédiée aux organisateurs de manifestations, elle assure l’accueil téléphonique de la rédaction et la gestion de la messagerie d’agence. Autant dire que ses journées sont bien remplies.

La commission sociale du comité d’entreprise vous invite avec plaisir, dimanche 4 décembre à partir de 14 h à l’espace Dollfus & Noack de Sausheim pour une fête de Noël sous le signe du voyage. « Où se cache la lune quand le jour s’allume ? » sera l’énigme à résoudre lors du spectacle musical présenté par une troupe de l’Oreille absolue.

Les enfants auront leur rôle à jouer en imaginant la réponse aux travers de créations qu’ils pourront exposer... A vos pinceaux et ciseaux les artistes amateurs ;-) Voyage sur les bouilles des plus petits au travers des paillettes et personnages qu’ils auront envie d’incarner et que Cécilia notre maquilleuse dessinera de ses doigts de fée...

Voyage et détente le temps d’une après-midi, entre collègues et famille en se laissant porter par l’esprit de Noël.

Voyage que vous pourrez peut-être gagner lors de l’incontournable tombola de Noël ;-) Ce dimanche 4 décembre 2016 sera assurément un beau voyage pour les salariés du journal L’Alsace.

A noter également dans vos agendas : la séance de cinéma pour les enfants du samedi 18 décembre 2016 à 9h30 à la salle Gérard-Philippe de Wittenheim

FÊTE DE NOËL

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BILLETTERIE SPECTACLE

Réduction sur présentation de la carte du CE

MULHOUSE Le Palace.............................................................. 5€

EUROPAPARK *

À partir de 4 ans : Saison été jusqu’au 4 novembre 2016 ............................. 36€ Du 26 novembre 2016 au 8 janvier 2017 et du 13 au 15 janvier 2017 ......................................................... 30€

PISCINES carte de 10 entrées *

Valable dans toutes les piscines de la M2A (y compris Rixheim).......................................................................... 21€ Carte bien-être

.....................................................................................

19€

C entre nautique RIXHEIM

Vente uniquement sur place (présentation carte CE obligatoire) pour les habitants de la M2A Carte bien-être ...................................................................................... 66€ Remise en forme + piscine ...................................................... 86€

P our les piscines hors de Mulhouse 30% sur présentation de la carte ou abonnement.

LAGUNA *

T arif adulte journée complète

Du lundi au dimanche, férié y compris................... 9,50€

T arif enfant journée complète

Du lundi au dimanche, férié y compris................... 7,50€

MUSCULATION C omplexe CMCAS EdF/GDF à Rixheim (limite Riedisheim)

TICKETS RESTAURANTS Jusqu’à épuisement du budget, limité à 1 carnet par mois : valeur du chèque : 4€, avec participation du salarié de 50% par chèque.

Conditions : uniquement personnel des agences ne bénéficiant pas de remboursement de frais de repas.

Cartes restaurant d’entreprise Clemessy disponibles au CE : équipes de jour, administration et personnel travaillant toute la journée sans prime de panier.

BONS DECATHLON *

P iscines M2A

P IERRE-CURIE MULHOUSE

2 0% sur présentation de l’abonnement ou 2 billets par an (dans la limite de 30 euros).

Chemin de Brunstatt (au-dessus du Gotha) Individuel « CE L’Alsace »............................................................. 60€ Couple « CE L’Alsace »................................................................. 100€ (inscription au même moment) Les inscriptions se font pour 12 mois.

Bons à 18€ (valeur 20€), 27€ (valeur 30€), 45€ (valeur 50€).

ZOOS *

M ULHOUSE

Tarif réduit sur présentation de la carte du CE

B ÂLE

F RIBOURG (Allemagne) Achats en gros : se renseigner au CE.

M ETRO EQUIPEMENT (Mulhouse) Se renseigner au CE.

BILLETTERIE SPORTIVE F OOT MULHOUSE / STRASBOURG / SOCHAUX 2 billets/an, 15€ maxi par personne.

Autres rencontres sportives

2 billets/an (dans la limite de 15€ par billet) ou 20% sur présentation de l’abonnement rencontres sportives.

TU 117 sur la toile

Retrouvez votre Trait d’Union sur le site : http://issuu.com/alsacece/docs/tu117

Adulte.................................................................................................................... 8€ Enfant (6 à 16 ans)................................................................................. 4€

PARTENARIATS *

V ita Impex, Devianne, Bijouterie Delatour : 10 % sur présentation de la carte CE.

P oint S : 5 % sur présentation de la carte CE. E den Espace Dollfus & Noack Sausheim : réductions sur présentation de la carte CE.

H ippopotamus : réductions sur présentation

Horaires CE

Renseignements complémentaires : Gisèle Fawer 03 89 32 70 34

Lundi 8 h 30 à 11 h - Mardi 14 h 30 à 17 h 15 Jeudi 8 h 30 à 11 h - Vendredi 14 h 30 - 17 h

Le CE est fermé le mercredi 18, rue de Thann, TSA 68001 68945 Mulhouse Cedex 9

de la carte CE (Dornach, Illzach).

NOUVEAU Chocolaterie Bruntz à Kingersheim : 10% de réduction sur présentation de la carte CE (hors promotions en cours)

MUSÉES & TOURISME ANIMALIER *

Prix de groupe sur présentation de la carte du CE ou 20% sur présentation du billet d’entrée.

Sport, loisirs, vacances, achats: le comité d’entreprise vous propose un large éventail de tarifs réduits.

Certaines possibilités sont connues, d’autres moins. Ci-dessus, la liste réactualisée des activités, spectacles, etc. bénéficiant d’une réduction. Seule la billetterie marquée du signe est accessible aux retraités.

Ces tarifs sont donnés à titre indicatif, ils peuvent varier en fonction de l’augmentation des prestataires.

*

Bulletin réalisé et confectionné par les travailleurs du Livre syndiqués du journal DEF

MULHOUSE Cinéma Kinépolis........................... 6,30€ W ITTENHEIM Salle Gérard-Philipe

METRO *

d.plana

CINÉMAS *

sdh

BILLETTERIE

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