Trait d'Union n°102

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Trait

d’Union

102 DECEMBRE 2009 FÉVRIER 2010


croire la cohorte de médias bien-pensants, pour qui la pensée unique est devenue une seconde nature, doublée d’une forme de censure sous-jacente permanente. Soyons-en assurés : en matière d’emploi, de garanties sociales, de défense des services publiques, les jeux sont loin d’être faits, pour peu que les salariés prennent conscience du caractère décisif de leur intervention, dans la lutte. Tout près de nous, à l’imprimerie Braun de Vieux-Thann, les salariés, unis dans l’action, ont prouvé récemment que les arguments massifs de cette multinationale allemande, justifiant restructuration et licenciements, ne pesaient pas bien lourd face à leur détermination : la direction a été contrainte de remiser les licenciements au placard. Dans le secteur de la presse écrite, les événements se bousculent et nous sommes passés à l’étage supérieur.

l’intérêt  des

salariés doit primer

Hubert STRAUEL

Lors du Conseil de surveillance qui s’est tenu le 4 novembre 2009, les représentants des salariés ont engagé le débat sur les choix de gestion en œuvre dans le groupe « L’Alsace ». Si nous sommes dans les clous des objectifs fixés par le plan d’économies et de restructuration - qui n’a pas été approuvé par le comité d’entreprise - en terme de masse salariale, liée à la baisse des effectifs, il n’en va pas de même sur le plan du redressement des finances. Le résultat, négatif à -4 Me, devrait connaître une amélioration, les prévisions pour la fin d’année tablant sur une légère progression des recettes publicitaires pour ramener les pertes à -1,7 Me. Pour l’heure, les recettes publicitaires sont très fortement dégradées avec une baisse globale

des

de -18 % à fin septembre. Selon le président Etienne Pflimlin, « la dégradation particulièrement sévère de l’économie alsacienne se répercute plus fortement qu’ailleurs sur les quotidiens ». Cette question est « à mettre en relation avec la forte hausse du chômage dans notre région ». Cette situation est d’autant plus tendue que l’entreprise bénéficie d’aides publiques importantes pour le portage, avec une subvention de 1,5 Me, ainsi que de l’exonération des cotisations sociales du portage, mesures qui devraient être reconduites jusqu’en 2011. Pour M. Pretet, « la bonne nouvelle concerne le taux d’audience, qui progresse », malgré une nouvelle érosion de la diffusion de toutes les

batailles à mener et à

éditions, à moins de 100 000 exemplaires. Pour faire face, M. Pflimlin a prôné l’adaptation permanente des entreprises aux contraintes économiques. En clair, il convient d’aller vite sur les chantiers à finaliser : plate-forme téléphonique du groupe, automatisation du système Eidos, investissement X-Média pour la gestion et la fabrication publicitaires, rapprochements interservices, restructuration permanente au niveau du groupe. Ainsi est justifié l’empressement à tout mettre en place, alors que les représentants des salariés dénoncent le manque de concertation et l’absence de perspectives clairement identifiables, peu propices au dialogue social. En réponse, pour M. Pflimlin, « la finalité du Crédit Mutuel vise à constituer un grand groupe de presse couvrant toute la façade Est de la France, mais les entraves juridiques freinent cette démarche ». Ce qui n’empêche pas, en attendant, de mettre en place les organisations adaptées à cet objectif : l’investissement Eidos

Hubert STRAUEL

Dans le flot incessant de l’actualité médiatique, difficile de faire le tri entre le primordial et le secondaire. Pourtant, la technique gouvernementale, inlassablement répétée, de bousculer le calendrier et d’ouvrir de nouveaux dossiers à flux tendu, la mise en coupe réglée des objectifs de ce qui est dénommé abusivement " politique de réformes ", n’empêche pas Sarkozy et consorts, arc-boutés sur la prise en compte des revendications patronales, d’essuyer des revers majeurs. Il s’agit d’une donnée nouvelle dans le paysage politique et social dont les salariés ne peuvent que se féliciter. Rien n’est fatal, rien n’est écrit d’avance ! Dans ce contexte, il faut affirmer avec force que, pour ce qui concerne les préoccupations majeures du monde du travail, les jeux sont loin d’être faits, comme voudrait nous le faire

gagner !

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3 Entre la prise de contrôle des titres du groupe BRA (Bien Public, JSL, Progrès et Dauphiné Libéré) par le Crédit Mutuel, et les envolées tonitruantes du sieur Lucas lors des C.E. extraordinaires, l’heure est à la mobilisation pour défendre emploi, statuts et indépendance rédactionnelle. Autant d’objectifs ambitieux qui ne sont pas gagnés d’avance, mais que nous aurions tort d’éluder : Henri Krasucki affirmait, avec justesse, que " les seules batailles perdues d’avance sont celles qui ne sont pas menées ". Une posture que nous souhaitons partager avec tous les salariés de l’entreprise, tant le climat d’inquiétude persiste. A ce titre, l’intersyndicale qui s’est exprimée à deux reprises depuis l’automne dernier, les convergences d’analyse entre CGT et CFDT à " L’Alsace-Le Pays ", marquent un tournant dans les relations entre syndicats et contribuent à redonner espoir à l’ensemble du personnel.

Certes, il convient de rester lucides : nous n’en sommes qu’au début d’un processus que nous souhaitons pérenne. Toutefois, ne nous y trompons pas, il s’agit bien d’un événement majeur dans la perspective des mobilisations que nous aurons à construire. Comment ne pas terminer ce tour d’horizon sans évoquer ce qui sera l’un des défis majeurs que les salariés auront à relever en cette année 2010, à savoir les négociations qui vont s’engager sur la question des retraites. On se rappellera les discours préliminaires du président de la République : " Aucun sujet ne sera tabou, on met tout sur la table " et que " la question des retraites serait le curseur de la volonté de réformes de l’Etat ". En clair, et avec le décodeur toujours nécessaire en pareille circonstance, tant que les actes font le grand écart avec les discours, il fallait bien comprendre que le droit à la retraite à 60 ans

est le seul tabou qui va sauter, et que l’avenir s’écrirait à grands coups de capitalisation et de fonds de pension, ainsi que le revendique le Medef de Madame Parisot. Dire qu’il n’y pas si longtemps, les mêmes vantaient le système social à la française, formidable amortisseur de la crise économique ! Mais quand tintent les milliards de la Sécu, les rapaces ont vite fait de renier leurs convictions de circonstance ! Nul doute que, malgré le conditionnement et le consensus dont on nous abreuve, les salariés sauront faire entendre leur voix pour défendre leurs intérêts. Car, pour la CGT, comme elle l’a affirmé lors de son 49e congrès, les négociations sur la retraite seront " le curseur de la volonté de résistance des salariés ". Alors... Chiche ?

(développé dans l’ensemble des titres) et X-Média pour la publicité (à «L’Alsace-Le Pays», «Cime» et au « Républicain lorrain», ainsi qu’à « L’Est républicain» courant 2010). Les représentants salariés au Conseil de surveillance estiment nécessaire, dans l’intérêt des relations sociales, de mettre en place un comité de groupe réunissant toutes les entreprises de presse du pôle média du Crédit Mutuel. Cette proposition, qui aurait le mérite d’associer les représentants des salariés et de débattre des choix stratégiques, n’a pas l’air de convenir à M. Etienne Pflimlin qui, pour toute réponse, botte en touche et ferme la porte : « Ce n’est pas un comité de groupe qui permettra de régler les problèmes, il ne faut pas créer des illusions. Si j’étais à votre place, je me focaliserais sur ce qu’il convient de faire évoluer pour redresser les entreprises et sur ce qui doit être opérationnel ». En clair, chacun s’occupe de sa petite cuisine, le Crédit Mutuel se chargeant de l’addition. Cette déclaration a le mérite de la clarté. Et s’est rapidement concrétisée puisque, fin décembre, moins de

deux mois après ce Conseil de surveillance, le rachat par le Crédit Mutuel des journaux de la région RhôneAlpes a été avalisé, malgré les dénégations qui nous ont encore été livrées en réponse à l’interrogation des élus sur le futur du groupe EBRA : « Il n’y a rien de neuf à brève échéance, c’est un dossier qui va prendre du temps.» Et, pour bien faire comprendre qui est maître à bord, M. Michel Lucas s’est empressé de détailler sa façon de concevoir les relations sociales : selon lui, « le SPQR serait voué à la casse (ce sont des gogos !), les relations sociales seront réduites au minimum légal, les journalistes (qui ne noircissent que 11 % de la surface de nos journaux !) sont trop nombreux, les négociations de branche, c’est fini, tout se réglera à l’échelle de l’entreprise, etc.» Tout cela se passe de commentaire et doit nous inciter à retrousser les manches. Il convient de tirer les leçons d’une année 2009 catastrophique dans tous les domaines : ça ne peut plus durer ! L’emploi : à l’évidence, on atteint le seuil critique avec 398 salariés en janvier 2010. On ne peut indéfi-

niment gérer une entreprise et rechercher l’équilibre financier par le seul levier des départs non remplacés. Les salaires : là aussi, après une année blanche en terme d’augmentation générale des salaires (une première), il conviendra de revenir à des pratiques plus en harmonie avec ce qui se faisait encore naguère. Les négociations qui viennent de s’ouvrir semblent promises à des finalités plus conformes à ce que nous en attendons... Négociations de branche : un accord de GPEC (gestion prévisionnelle des emplois et des compétences) est en cours de négociation. Objectif : apporter des réponses en terme d’évolution professionnelle, assortie d ’une garantie de maintien du contrat de travail pour tous les salariés. Quelle que soit l’opinion de M. Lucas, un éventuel accord conclu dans la branche doit trouver son prolongement et son aboutissement par la négociation d’un accord d’entreprise.


4 Rappelons le partenariat de la commission vacances avec Adagio qui vous propose

vacances

bientôt les

trois types d’appartements jusqu’à six personnes. Rendez-vous sur le site www.adagio-city.com pour consulter les suites proposées.

DeNIS SOurD

Pour oublier la rigueur du froid et la neige, préparez vos futurs congés.

TARIFS 2010

ANTIBES ARDÈCHE AVORIAZ BALARUC MALBUISSON PORT BOURGENAY VERDON VIAS

Janvier

150 240 180 150 -

Plan du nouveau mobile-home de Vias

Devant la recrudescence de réclamations concernant la propreté des biens, la commission vacances envisage, si la situation ne s’améliore pas, de confier à une entreprise qualifiée le nettoyage complet des appartements et mobile-homes, sur chaque site, avant toute nouvelle location. Cela entraînera un surcoût qui sera répercuté sur le prix de location.

Jusqu’au 1er juin et après le 1er octobre congés scolaires

260 220 4401 - 3002 180 180 260 200 200

hors congés scol.

230 200 260 160 160 220 180 180

Juin et septembre

Juillet et août

260 260 150 240 200 260 220 250

380 380 200 320 220 380 320 350

(1) février (2) avril

Evadez-vous en consultant les sites de vacances proposés par le comité d’entreprise dans le trait d’union n°100 : http://issuu.com/ alsacece/docs/tu100 et reportez-vous aux nouveaux tarifs sur le tableau ci-joint (les prestations dans les sites étant toujours négociées au mieux, malgré l’augmentation des charges) et réservez votre choix au CE, poste 7034. Rappel des conditions de location des appartements et mobile-homes du comité d’entreprise du journal « L’Alsace-Le Pays » : - la location est ouverte et réservée au personnel et aux retraités du journal - le personnel des filiales peut également bénéficier de la location , il y a lieu d’y ajouter un supplément de 10 % sur le tarif en vigueur.


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eDOuArD COuSIN

Les secrétaires : Denise Gelebart, Martine Demolle et Geneviève Py (secrétaire à la rédaction) et Michel Girod, l’inspecteur

et doller

entre thur

Pas facile de passer après « La Ré-

publique » ! A Thann, l’agence de « L’Alsace - Le Pays » est implantée dans les anciens locaux d’une brasserie, « La Rep’ » pour les intimes. Quand, à la mi-2002, le journal déménage de quelques dizaines de mètres (passant du 48 rue de la Première-Armée au 3 rue du Général-deGaulle), on frôle la révolution. Le maire de la Cité de Saint-Thiébaut monte même au créneau pour défendre le troquet. Il faut dire que c’était le lieu de tous les stammtisch, des débats politiques, des petits noirs, des grands blancs (d’Alsace) et des tournées générales. Depuis, les choses sont rentrées dans l’ordre. L’Alsace a su gagner sa place. L’agence est la base avancée du journal en direction des vallées de Saint-Amarin et de Masevaux, du secteur de Cernay, de Thann et d’une partie du Bassin potassique qui constituent l’édition Thur et Doller. Une édition dont le taux de couverture s’élève à 59 % (c’est, de loin, le meilleur taux de pénétration de tout le journal).

Les pourcentages, c’est très bien. Mais les hommes et les femmes, c’est encore mieux ! Lorsque l’on passe la porte de l’agence de Thann, on rencontre d’abord les deux secrétaires, Martine Demolle et Denise Gelebart. Puis l’inspecteur, Michel Girod. Ainsi que le commercial pub, Olivier Benoin (qui remplace actuellement la « titulaire du poste », Severine Cardot, jeune maman d’une petite Camille). Sans oublier Cosimo Corigliano et sa collègue Nathalie Schmitt, commerciaux abonnements. Côté rédaction, l’équipe est composée de sept journalistes et d’une secrétaire, Geneviève Py. La rédac’ c’est Laurent Bodin, Isabelle Bollène, Edouard Cousin, Jean-Michel Cuenot, Severine Depond, Daniel Kuhnel et Elisa Meyer. Chacun son secteur géographique : Cernay et le Bassin potassique pour Laurent et Elisa. Le premier a un faible pour la politique, ses enjeux et ses petits secrets. La seconde craque pour les bêtes à poils, à plumes ou à écailles ! La vallée de Masevaux est couverte par Isabelle, égale-

ment « branchée » politique, éducation et santé. La vallée de Saint-Amarin, c’est pour Séverine. Cette dernière gère également la très appréciée « Page des enfants » du mercredi. Le secteur de Thann est dévolu à Edouard, le chef d’agence, qui suit également l’actualité sociale et économique de l’arrondissement, malheureusement marquée, ces derniers mois, par les difficultés rencontrées par de nombreuses entreprises. Jean-Michel, c’est le « sportif » de l’équipe. Grand amateur de ski et d’athlétisme notamment, il se consacre aussi au suivi de l’actualité locale du secteur de Thann. Daniel, enfin, se consacre aux tâches de relecture, de correction et de mise en page, de desk en somme ! Une grande équipe qui comptait, il y a encore quelques mois et années de cela, plusieurs collègues très appréciées. Violette Cirillo et Yolande Haffner, qui avaient fait de l’agence de Wittelsheim un véritable lieu de convivialité ouvert à tous. Elles ont rejoint le service lecteurs. Béatrice Scheubel, qui tenait l’agence de Masevaux avec la même passion, est aujourd’hui affectée au standard du journal. Sans oublier Nicole Puech, à l’agence de Cernay.

La rédaction (de gauche à droite) : Edouard Cousin, Elisa Meyer, Jean-Michel Cuenot, Severine Depond, Isabelle Bollène, Daniel Kuhnel et Laurent Bodin


ça y est !

L’ensemble des adhérents à la section bad

Jean-Jacques et Louis se serrent la main à l’issue d’un match sous l’œil de Carlos

Louis s’élance pour son coup droit

Alain, moteur de la section

eVe DeGeNHArDt

l’équipement

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Les joueurs corpo de la section badminton

se sont dotés d’une tenue sportive complète aux couleurs de « L’Alsace - Le Pays » (survêtements complets siglés, maillots nominatifs, shorts et jupettes). C’est donc avec les nouvelles tenues que les sept joueurs de l’équipe Corpo vont entamer, courant mars 2010, leur troisième saison de championnat interentreprises du HautRhin, motivés par des résultats de plus en plus encourageants de saison en saison. De mars à juin 2010, « L’Alsace » rencontrera cinq autres équipes lors de matchs aller/retour. Notre section, dont les membres proviennent de tous les horizons professionnels du journal, se réjouirait d’accueillir de nouveaux adhérents ; tous les niveaux étant représentés dans notre team. Venez faire un test ! Vous pouvez nous retrouver tous les lundis et jeudis entre 12 h et 14 h sur les terrains du Squash 3000 à Mulhouse dans un contexte convivial et décontracté. Renseignements : jeanjacques.doutau@lalsace.fr, eve.degenhardt@lalsace.fr ou alain.wamster@lalsace.fr Une pensée pour Yannick Bohn qui était animé du même enthousiasme à la pratique du badminton.

Raymond prépare son revers


LAureNt GeNtILHOMMe

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Recto, l’équipe presque au grand complet lors de l’épreuve du Waldeck

Verso, chaque coureur de l’équipe est identifiable grâce aux nouvelles tenues

aux couleurs du journal

du cross

Richard, en retraite mais toujours au top !

Pour la reprise de la saison de cross Corpo,

les coureurs de « L'Alsace - Le Pays » ont réceptionné de superbes tenues aux couleurs du journal, avec des pages de journal imprimées sur les débardeurs, maillots à manches longues et coupe-vent, le bas des tenues restant rouge. Avec un tel équipement, les coureurs ne sont évidemment pas passés inaperçus lors des épreuves de Wintzenheim, du Waldeck et d'Orbey. Belles tenues, belles places pour Denis, Laurent, Jean-Marie, Karine et les autres, mais la section a malheureusement dû faire face à de nombreuses absences, et le classement final risque d'être douloureux à la fin de la saison... sauf si tous les coureurs qui ont réceptionné ce bel équipement se mobilisent pour les trois dernières épreuves. Ensuite, il sera temps de trouver une épreuve sur route pour remobiliser des troupes un peu dispersées en cette fin d'année 2009. La section accueille évidemment toujours de nouveaux coureurs tout au long de l'année, et il suffit simplement de téléphoner à Denis Sollier, le président, au pôle Icono, pour se faire inscrire... et courir sous les couleurs du journal. Au propre comme au figuré.

Alain un peu court en souffle sur les premières épreuves

Karine et Mathieu tout sourire malgré l’épreuve


est bouclée

daniel

la Boucle

SerGe AIMettI

8 Daniel Schwartzmann vient de boucler

sa Grande Boucle. A l'arrivée de ce « Tour de vie

professionnelle », il n'a pas levé les bras en triomphateur. Modeste, il a simplement savouré l'humble fierté de terminer un parcours professionnel marqué tout au long par le souci du travail bien fait, un travail unanimement apprécié et reconnu. Equipier modèle, il a toujours su, quand les circonstances l'imposaient, endosser naturellement le maillot de leader. Etudes, apprentissage, débuts dans le monde du travail, entrée à « L'Alsace - Le Pays »... Depuis, Daniel n'a plus changé d'équipe. Il s'y est trouvé bien, sans doute. Pour le plus grand bonheur de ses coéquipiers de la dalle, de la pub et de la rédaction. De tout le peloton, en fait. Ce fin technicien a su se faire apprécier unanimement par le team « L’Alsace - Le Pays » grâce à sa modestie, ses compétences, son expérience, son humour et son grand sens du dialogue. Pas un mot plus haut que l'autre, mais des mots, simplement, qui gommaient bien des maux. Quand il posait ses pages spéciales ou ses suppléments, c'était pour lancer une échappée amicale dans une salle de sport, sur un court de tennis, ou chez Moussa, pour disputer le maillot à pois (chiches) grâce aux côtes (d'agneau), diététique oblige ! Toujours positif (bien que jamais dopé) ce maillot jaune de la convivialité va désormais poursuivre son chemin en roue libre sur les routes des contreforts vosgiens, du Sundgau ou de l'Ardèche, en footing dans les sous-bois, au tennis-club, ou encore au foot en salle. Il laissera une grande place aux copains, autour d'une table d'amitié, par exemple. Et, entre deux voyages à un rythme de croisière avec son épouse, il s'attaquera à une pyramide de livres sur les civilisations disparues. Bonne route, Daniel.

DEF

Le film de 30 ans de passions 1987

www.lalsace.fr

24 NOVEMBRE

1980 - LUNDI

Daniel la Bou cle est bouclée

Daniel Schwartzm ann vient de cler sa Grande bouce " Tour de Boucle. A l'arrivée de vie profession nelle ", il n'a pas levé les teur. Modeste, bras en triomphavouré l'humble il a simplement saparcours profe fierté de terminer un ssionnel marq au long par le ué tout fait, un trava souci du travail bien il unanimement cié et reconnu. apprétoujours su, Equipier modèle, il a quan tances l'imposaie d les circonsnt, endosser natu rellement le maill ot de leader. Etudes, apprentis sage, débu le monde du travail, entrée ts dans sace "... Depu à is, Daniel n'a" L'Alchangé d'équ plus ipe. Il s'y est bien, sans dout trouvé e. Pour le plus bonheur de grand ses dalle, de la pub coéquipiers de la De tout le pelot et de la rédaction. on, en fait. Ce technicien a fin su se faire appr unanimement écier le " L'Alsace " grâc par team compétences, e à sa modestie, ses humour et sonson expérience, son logue. Pas un grand sens du diamot plus haut l'autre, mais que des mots, simp qui gommaie lement, nt bien des maux . Quand il posa it ou ses supp ses pages spéciales léme lancer une écha nts, c'était pour ppée amicale dans une salle de sport, sur un court de tennis, ou chez ter le maillot Moussa, pour dispuà pois (chiches) aux côtes (d'ag grâce neau), diété oblige ! tique

7 DÉCEMBRE

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Après 29 ans au sein de notre quotidien, dont 23 années passées à la tête de

l’agence de Guebwiller, Jean-Marie Nick a décidé de tourner la page. Le journaliste, qui a profité du dispositif de rupture conventionnelle, a débuté sa carrière comme vendeur à Altkirch. Jean-Marie a ensuite assuré le remplacement des journalistes durant leurs vacances, avant d’être affecté au bureau d’Illzach. En 1981, le journaliste originaire de Lutterbach a intégré la locale Mulhouse avant de faire un bref passage à Wittelsheim en 1985. En juillet 1986, Jean-Marie prenait la tête de l’agence guebwilleroise jusqu’au mois d’avril dernier. Adjoint au maire à Lutterbach, Jean-Marie Nick se consacre désormais à ses engagements municipaux et associatifs.

Originaire des Vosges, Martine Marion a travaillé durant plusieurs années

à « La Liberté de l’Est » avant d’intégrer, en 1985, la rédaction colmarienne de « L’Alsace - Le Pays » en qualité de secrétaire de rédaction. Dans le but de se rapprocher du terrain, de se nourrir de nouvelles rencontres et de rendre compte de l’actualité, la journaliste a rejoint l’agence guebwilleroise en 2001. Depuis l’été dernier, Martine a tout le loisir de se consacrer à ses passions : les voyages, la lecture, la randonnée et prend le temps de se ressourcer dans son chalet vosgien. Excellente retraite à Martine et Jean-Marie.

jeunes

deux

ANNe THIEBAUT

jean-marie

s

9

retraités

à Guebwiller

martine


10

toute la magie de Noël

Edmond, Zoé et Rania au jeu des clochettes

ANNe THIEBAUT

M. Loyal en charmante compagnie !

Les enfants de « L’Alsace-Le Pays », qui

ont poussé début décembre les portes de l’Espace 110 d’Illzach, ont passé un après-midi riche en surprises, rires et gourmandises. Après avoir été chaleureusement accueillis par les membres du comité d’entreprise, les petits ont eu l’opportunité de se métamorphoser en fleur, en Spiderman, en tigre, en princesse ou en pirate. Les mains expertes et le talent des maquilleuses ont fait des miracles sur les visages des bambins. Les enfants ont ensuite consommé sans modération de succulentes crêpes ainsi que des manalas. La dégustation a été interrompue par le spectacle que tous attendaient avec impatience. Rassemblés devant la scène, les jeunes spectateurs ont passé un agréable moment grâce au show présenté par les artistes de la famille Trespolo. Clochettes musicales, marionnettes, tours de magie et moments comiques se sont succédés sur scène lors de ce spectacle de cabaret. Les applaudissements et les rires nourris des enfants ont témoigné de la qualité artistique du spectacle.


11 Zoé, apprentie ventriloque

Vincent, gonflé à bloc

Pas une miette du spectacle n’a échappé aux enfants

Le moment était ensuite venu pour le Père Noël de faire son entrée. Comme les enfants avaient, semble-t-il, tous été sages, ils se sont vus offrir des chocolats ainsi qu’un ballon. La fête s’est poursuivie gaiement jusqu’au moment du départ. Les enfants ont alors quitté l’Espace 110 avec leur cadeau sous le bras, un sachet de gourmandises à la main et des souvenirs plein la tête.


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bertrAND SCHLeICHer

1985-2010

25 ans, et pas une ride

Une tablée sympa lors d’un repas de Nouvel An au Château d’Anthès à Soultz !

A l’origine du mouvement, quelques « jeunes » retraités – à l’initiative de Blanche Etschmann – prirent plaisir à se retrouver pour peaufiner cette amicale qui allait prendre une sympathique ampleur. En effet, Blanche Etschmann, René Rohr, Louis Bertoli, Marcel Faes et autres (ils furent bientôt une vingtaine) se mirent – après une vie de labeur bien remplie – à élaborer et organiser un calendrier annuel qui, au fil des ans, connaît toujours autant de succès auprès des membres et pour cause (voir ci-contre les + de l’ARA, les différents voyages à travers les photos, etc.). Le changement de présidente, Annemarie Jolicor ayant pris le relais de Blanche en 1999 a pérennisé l’ARA et lui a donné un souffle nouveau. Daniel Muller, secrétaire du CE, a accompagné l’amicale avec les différents délégués élus durant toutes ces années et pouvait le mieux en faire l’historique et en parler avec son talent habituel.

2002 : le Danube jusqu’à Budapest

Au début de sa présidence, Annemarie et son comité.

2004 : 20 ans, minicroisière sur le Rhin

Le calendrier  2010 : 25 février : AG avec repas et après-midi dansant 6 mai : repas à thème au « Paradis des Sources » à Soultzmatt 3 juin : journée à Paris • 26 août : barbecue-loto à l’étang 21 octobre : les cochonnailles • Un voyage en prévision

2006 : le Périgord : Rocamadour


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Chers membres, un quart de siècle d’existence, ce n’est pas rien ; aussi vais-je profiter de cette occasion pour remercier chaleureusement toutes celles et ceux qui, par leur engagement et leur présence tout au long de ces vingtcinq années, que ce soit avec Blanche ou avec moi-même, ont permis de mettre en place un bel « outil » de loisirs grandement apprécié. Mes pensées émues vont également aux membres qui nous ont prématurément quittés ou qui, sous le poids des ans, éprouvent des difficultés. Enfin, je m’adresse aux jeunes retraités pour qu’ils nous rejoignent afin de perpétuer encore des années durant ce que les «anciens» ont mis en place avec enthousiasme. Pour pouvoir exister, nous avons besoin de votre sympathie agissante. Amicalement !

présiden te

le mot

de la

ANNeMArIe JOLICOr

2009 : repas à thème au Schafert

Les plus de l’ARA : Une organisation efficace (présidente dynamique, comité performant) • Une cotisation modique (15 euros par personne, gestion rigoureuse des deniers) • Un excellent rapport qualité-prix aux repas organisés • Convivialité assurée (les membres ont vraiment plaisir à se retrouver, le nombre croissant des adhérents en témoigne, 112 actuellement).

2003 : les fjords de Norvège (croisière)

2009 : loto à l’ombre des saules à l’étang, lors de la journée barbecue

3 juin 2010 : notre voyage à Paris Pour fêter les 25 ans de l’amicale, le voyage à Paris proposé aux membres connaît un franc succès (67 participants) ; il est vrai que le programme sur une journée est dense et alléchant : voyage aller-retour en TGV, embarquement au pied de la Tour Eiffel pour un déjeuner croisière avec animation musicale en bateau-mouche, petit tour en bus dans la capitale avec visite de la cathédrale Notre-Dame.

2010 : le repas de Nouvel An au Moulin à Ensisheim

2007 : Pulat en Croatie

2000 : le Rhin romantique jusqu’à Amsterdam


DANIeL MuLLer

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25 ans

déjà !

L’ARA a pris son envol le 13 décembre

1985. Je ne parle pas de l’Ararauna (son nom latin) ou Blue and yellow Macaw (son nom anglais) ni de l’ara (son nom français), le perroquet multicolore, mais de l’ARA : Amicale des Anciens de l’Alsace. Blanche Etschmann, présidente fondatrice et son comité, ont choisi l’ara comme sigle. Peut-être pour s’identifier à ce volatile haut en couleur et fort en bec ? Mystère. 1985 a vu, entre autres, la redécouverte du Titanic, le drame du Heysel, l’ouverture des frontières de plusieurs Etats européens à travers les accords de Schengen, l’informatisation progressive des services du journal, qui comptait encore 630 personnes à l’époque contre 400 aujourd’hui, avec en parallèle la signature d’accords par les syndicats garantissant les statuts et autres avantages sociaux pour les actifs et les retraités. Quoi qu’il en soit, c’est fin 1985 qu’ont choisi la première dame de l’ARA et son comité pour créer l’amicale. Dire que la création de l’ARA fait suite à l’initiative du CE, en 1983, de mettre en place une sortie annuelle des retraités de l’entreprise n’est pas une contre-vérité. La première AG de l’ARA s’est tenue le 27 novembre 1986. Au cours de celle-ci, René Rohr a rappelé que l’Amicale, outre les sorties et les rencontres « a également pour but d’être une sorte de lien afin de garder le contact avec d’anciens collègues, rendre éventuellement visite aux malades, aux personnes seules, accomplir de petits gestes d’amitié et de réconfort ». L’amicale comptait à cette date 49 adhérents. Puis, régulièrement, sous la houlette de la présidentesecrétaire-conseillère, se tient une AG annuelle pour faire le point sur les festivités et les finances de l’exercice précédent. Petit à petit l’amicale prend du volume et de l’assurance.

Le mariage de la présidente n’a en rien, bien au contraire, altéré les activités. C’est beau l’amour…. En 1993, notre présidente nous étonne, une fois de plus, puisqu’elle nous interprète une chanson de sa composition sur l’air de « Mimi peau de chien », chanson qui va devenir le chant de ralliement de l’ARA. 1999 : merci Blanche. Eh oui, les années passent, l’amicale fête ses 15 ans d’existence. L’AG 1999 est marquée par un de ces temps forts qu’engendre la vie en communauté, un de ces instants qui font place à l’émotion, où remontent à la surface les moments de joies, de bonheur et de peines partagés tout au long de ces 15 années. Blanche, la présidente, annonce qu’elle va passer la main. « Je ne vous abandonne pas, je resterai avec vous aussi longtemps que ma santé me le permettra. Je cède ma place à Mme Anne-Marie Jolicor (élue à l’unanimité ndlr) qui a des idées jeunes et un enthousiasme qui feront de l’ARA une grande amicale. » C’est sur ces mots que la grande dame tire sa révérence sous un tonnerre d’applaudissements. Cette passation de pouvoir a également été suivie, en 2000, par la décision du CE d’« officialiser » l’ARA comme section à part entière de la commission sociale et de lui allouer, dorénavant, une subvention de fonctionnement en plus de l’appui logistique du CE qui a toujours été au côté de l’amicale depuis sa création. Il faut reconnaître que cette reconnaissance était une vieille revendication de Blanche, cette ancienne militante syndicale. Elle aurait bien aimé que cela se fasse plus tôt. Le secrétaire du CE de l’époque lui a expliqué que les orientations « politiques » sont souvent longues et compliquées à mettre en pratique. Quoi qu’il en soit et fort de cet appui, qui somme toute sécurise, l’ARA étoffe ses activités (croisière sur le Rhin, les lumières des fjords en Norvège, la Croatie, les rendez-vous incontournables des AG, du repas de Nouvel An, du loto sortie à thème et autres cochonnailles). Au fil des ans l’ARA devient une des sections les plus importantes du CE et, avantage non négligeable, elle a de la marge puisque les patrons de presse, et le nôtre n’est pas le dernier de la classe, multiplie les plans sociaux avec départs à la retraite anticipés.

20 ans. Dire que l’on n’a pas tous les jours 20 ans n’a rien d’original. Mais pour l’ARA cela se doit d’être fêté d’autant plus que c’est de 20 années d’existence de l’amicale qu’il est question. 110 personnes ont donc embarqué, à bord du bateau « MS la Bohème » pour une mini-croisière au cours de laquelle, entre la poire et le fromage, la présidente a rendu hommage à quelques membres fondateurs : Blanche Glatz-Etschmann, présidente honoraire, MM. René Rohr, Louis Bertoli, Marcel Faes. 25 ans… Cela se fête également. Sûr qu’Anne-Marie et son comité vont nous réserver une de ses sorties dont ils ont le secret. Ainsi va l’ARA, au fil des ans. Aujourd’hui, en plus de ses activités propres, elle organise, conjointement avec le CE, la sortie des anciens du journal. Avant de conclure, comment ne pas avoir une pensée pour celles et ceux qui nous ont quittés au cours de ces 25 années ? Pouvoir maîtriser le temps reste une utopie, alors profitons pleinement du temps présent. 2010 sera également l’année des réformes des retraites. Ne laissons pas aux autres le soin de régler les difficultés sociales et financières dont sont et seront également victimes les retraités. Cela dit, l’ara, le brillant perroquet du même nom que notre amicale, a une espérance de vie de près de 75 ans. Il nous reste au mieux 50 ans à passer ensemble. C’est le moindre mal que nous nous souhaitons. Blanche et René, les « pionniers » de l’Amicale


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Arthur, les miniboys

et minigirls de « L’Alsace - Le Pays » Effectivement, nos « petits garçons et petites filles », avaient rendez-vous avec Arthur ce matin du 30 décembre, au Cinéma Gérard-Philipe de Wittenheim. Prenez une salle assez grande. Mettez-y un grand écran, puis des fauteuils orientés vers cet écran. Prenez des jeunes et moins jeunes enfants et asseyez-les sur les fauteuils. Prenez ensuite les bobines du tout nouveau film de Jean-Luc Besson « Arthur et les Minimoys 2 - La vengeance de Maltazard » et donnez-les à un projectionniste. Voilà planté le décor de cette matinée cinématographique. Les lumières de la salle s’éteignent, l’aventure peut commencer. Arthur apparaît sur l’écran, il est au comble de l’excitation : c’est aujourd’hui la fin du dixième cycle de la lune, et il va enfin pouvoir regagner le monde des Minimoys pour y retrouver la princesse Sélénia. Dans le village, tout est prêt pour l’accueillir : un grand banquet a été organisé en son honneur, et la petite princesse a passé sa robe en pétales de rose.

Mais comme souvent quand tout va bien, sans être devin, on peut dire que tout va aller mal. En effet, ce mal incarné par le méchant Maltazard est un véritable concentré de félonie, de forfaiture et de trahison. Et gare à tous, car, à la fin du film, cet horrible individu arrive à quitter le monde des Minimoys pour apparaître dans notre monde. Une fin qui appelle bien entendu une suite « Arthur et la guerre des deux mondes » dont la sortie est prévue en fin d’année 2010. À suivre donc… Lorsque les lumières de la salle obscure se sont rallumées, les adjectifs cool, chouette, super, sortaient de la bouche des enfants. Trois mots que l’on pourrait traduire par : « Arthur ça c’est de l’aventure », « Sélénia ça c’est du cinéma » ou encore « Maltazard ça c’est du 7e art ».

LAureNt beLtZuNG


 MULHOUSE Cinéma Kinépolis...................................... 6,20  WITTENHEIM Salle Gérard-Philipe Réduction sur présentation de la carte du CE

 EUROPAPARK

Du 27 mars au 7 novembre 2010. Tarif unique à partir de 4 ans ............................................................................... 28 

 PISCINES  MULHOUSE

Adulte : carnet de 10 .......................................................................... 17,85 Enfant/étudiant : carnet de 10 ....................................... 12,95

 RIXHEIM Tarif réduit sur présentation de la carte CE

P our les piscines hors de Mulhouse 30% sur présentation du carnet ou abonnement

 LAGUNA

 3 heures

Adulte .................................................................................................................................... 8,00 Enfant ...................................................................................................................................... 6,00

 Adulte journée

Du lundi au vendredi............................................................................... 8,40 Samedi, dimanche ou férié .......................................................... 9,10

 Enfant journée

Du lundi au vendredi ............................................................................. 6,30 Samedi, dimanche ou férié ......................................................... 7,00

 BILLETTERIE SPECTACLE A bonnement spectacle 20% sur présentation de l’abonnement

@

 MUSCULATION C omplexe CMCAS EdF/GdF à Zimmersheim Individuel « L’Alsace/Le Pays ».........................................................60 Couple « L’Alsace/Le Pays ».............................................................. 100 (inscription au même moment) Filiale (AP, Médiapost, CIME).......................................................... 100 Extérieur....................................................................................................................................160

 BILLETTERIE SPORTIVE  F OOT MULHOUSE / STRASBOURG / SOCHAUX 2 billets/an, 15 maxi par personne  Autres rencontres sportives 2 billets /an ou 20% sur présentation. de l’abonnement rencontres sportives

 TICKETS RESTAURANTS Jusqu’à épuisement du budget, limité à 1 carnet/mois : valeur du chèque : 3,20, avec participation du salarié de 50% par chèque. Conditions : uniquement personnel des agences. Cartes restaurant d’entreprise Clemessy disponibles au CE : équipes de jour, administration et personnel travaillant toute la journée.

 ZOOS  MULHOUSE

 MOBICARTE Valeur 25  + 5 ............................................................................................................... 24  valable 2 mois

 BONS DECATHLON

Bons à 18  (valeur 20 ), 27  (valeur 30), 45 (valeur 50)

 PATINOIRE Entrée enfant

......................................................................................................................

2,20

 METRO

 FRIBOURG (Allemagne)

Achats en gros : se renseigner au CE.

 METRO EQUIPEMENT (Mulhouse) Se renseigner au CE.

 MUSéES et TOURISME ANIMALIER  Prix de groupe sur présentation de la carte du CE. ou 20% sur présentation du billet d’entrée.

 REMBOURSEMENTS  Vita Impex, Devianne, Bijouterie Delatour : 10 % sur présentation de la carte CE.

 Point S : 5 % sur présentation de la carte CE

Tarif réduit sur présentation de la carte du CE

 Bâle

Adulte.......................................................................................................................................... 7,50 Enfant (6 à 12 ans)........................................................................................... 2,50

 SKI LA BRESSE Possibilité de forfaits, renseignements au CE.

TU 102 sur la toile Retrouvez votre Trait d’Union sur le site : http://issuu.com/alsacece/docs/tu102

Horaires CE

Renseignements complémentaires : Gisèle Fawer 03 89 32 70 34

Lundi 8 h 30 à 11 h - Mardi 14 h 30 à 17 h 15 Jeudi 8 h 30 à 11 h - Vendredi 14 h 30 - 17 h

Le CE est fermé le mercredi

Bulletin réalisé et confectionné par les travailleurs du Livre syndiqués du journal DEF - ABC

 CINÉMAS

18, rue de Thann, TSA 68001 68945 Mulhouse Cedex 9 sdh

Sport, loisirs, vacances, achats: le comité d’entreprise vous propose un large éventail de tarifs réduits. Certaines possibilités sont connues, d’autres moins. Voici une liste réactualisée des activités, spectacles, etc. bénéficiant d’une réduction. La billetterie marquée du signe  est accessible aux retraités.


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