Trait
d’Union
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JUIN - SEPTEMBRE 2010
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d’autres mesures
nécessaires
Hubert STRAUEL
Contrairement à ce qu’on voudrait nous faire croire, les syndicats ne sont pas arc-boutés sur leur refus de la réforme des retraites. Ils sont également porteurs d’autres solutions dont « Trait d’Union » se fait l’écho, histoire de verser au dossier un pan important du débat et contre balancer la propagande officielle du pouvoir, abondamment relayée par les médias de toute nature. A quel âge pourra-t-on demain partir à la retraite ? Avec quel montant de pension ? Comment assurer durablement le financement du système ? Répondre aux besoins des salariés, des retraités, trouver les financements nécessaires, constituent la base des propositions de la CGT.
le vent
Garantir la possibilité de prendre sa retraite dès 60 ans Compte tenu de l’entrée plus tardive dans la vie active, des difficultés des jeunes à trouver un premier emploi et des aléas de carrière plus nombreux aujourd’hui qu’hier, la concrétisation de cet objectif exige de nouvelles modalités d’acquisition des droits à la retraite qui doivent prendre en compte les années d’études et les périodes de précarité subies. Des pensions d’au moins 75 % du revenu net d’activité pour une carrière complète. Pour y parvenir la CGT propose de revoir le mode de calcul pour le régime général : retour à la moyenne des dix meilleures années pour le calcul du salaire de référence – au lieu des vingtcinq meilleures aujourd’hui – et une actualisation des salaires portés au compte sur la base de l’évolution du salaire moyen et non des prix. Elle propose également que le revenu de retraite ne soit pas inférieur au Smic net pour une car-
en poupe
A en croire les sondages, la population rejette majoritairement les mesures inscrites à présent dans la loi. Pourtant, Sarkozy et une majorité de députés à sa botte ont choisi le passage en force, à grand coup de mensonges démagogiques et d’une campagne médiatique sans précédent, financée sur le dos des contribuables ! N’était-ce pas ce président qui déclarait, en 2008, qu’il n’avait pas été élu par les Français pour remettre la retraite à 60 ans en cause, qu’il n’avait pas de mandat pour ça ! Le même qui prétendait que la réforme serait exemplaire, juste, équitable, garante de la répartition, basée sur la concertation et la négociation ! Fermons la parenthèse : c’est un bras de fer qui s’engage entre les salariés, la population et le président d’une république dont
Hubert STRAUEL
Indiscutablement, l’immense mobilisation des salariés contre la réforme des retraites, au mois de septembre, constitue l’évènement de la rentrée 2010. Après une première journée d’action forte de 1,3 million de participants, le 24 juin dernier, donc avant la publication du contenu de la réforme, la progression du nombre de manifestants, passant à 2,5 millions le 7 septembre et 3 millions le 23, démontre non seulement la détermination des salariés à s’opposer à la réforme Woerth-Fillon mais, de surcroît, la prise de conscience de sa dimension rétrograde. Une réforme qui, malgré son adoption par l’Assemblée nationale - dans des conditions indignes d’une démocratie - non seulement ne règle rien, mais, de plus, prend le dangereux virage de la capitalisation au détriment de la solidarité et de la répartition.
rière complète et que la revalorisation des pensions se fasse sur la base du salaire moyen et non plus sur l’évolution prévisible des prix. Ce qui permettrait aux retraités de bénéficier des fruits de la croissance.
Justice et réduction des inégalités Les salariés ayant effectué des travaux pénibles voient leur espérance de vie sérieusement diminuée : l’écart entre les ouvriers et les cadres est ainsi de sept ans aujourd’hui. Pour réparer cette injustice, les salariés assujettis à des travaux pénibles doivent bénéficier d’un départ à la retraite anticipé en fonction de la durée d’exposition à la pénibilité. De même les droits familiaux et conjugaux doivent être revus afin de ne pas perpétuer, lors de la retraite, les inégalités criantes concernant, en particulier, les femmes ayant eu des enfants.
Assurer le financement des retraites Ces droits et garanties appellent des mesures précises pour les financer. Nous évaluons à six
3 les valeurs universelles sont quotidiennement foulées au pied ; l’ignoble campagne sécuritaire anti-Roms, xénophobe et raciste, nous le rappelle. Ce qui s’est exprimé le 24 juin, et plus encore les 7 et 23 septembre, porte non seulement sur le refus de la réforme, mais, audelà, d’une certaine vision de la solidarité, sans laquelle le socle des droits sociaux ne serait plus que champ de ruines. La bataille pour une réforme juste, équitable, pérennisant le droit à la retraite à 60 ans, reste à gagner ! Cette bataille doit prendre un tournant résolument revendicatif : c’est en posant clairement la question d’un financement pérenne que nous la gagnerons. A qui fera-t-on croire, alors que les grands groupes retrouvent le chemin de profits florissants, que les moyens n’existent pas ?
Quand sera enfin posée la question de l’utilisation des moyens financiers dégagés par le seul travail des salariés ? Les logiques qui ont conduit à la crise financière économique et sociale, la course effrénée à la rentabilité financière et au profit maximum, ne sont nullement remises en cause, malgré les grands discours sur la régulation du capitalisme. Félicitons-nous de l’évolution en cours dans l’environnement syndical : comment ne pas se réjouir de l’élargissement et de la solidité de l’unité syndicale qui prévaut entre les huit confédérations. La démarche unitaire est source d’espoir pour tous les salariés et nourrit le renforcement et l’élargissement du rapport de force. A tel point que la mobilisation croissante dans notre pays est suivie de très près au niveau européen, où les mêmes causes produisent les mêmes effets.
Les semaines qui arrivent seront décisives. Le mouvement social a le vent en poupe et la victoire est possible, alors que se profilent de nouveaux sacrifices avec les projets de budgets de l’État et de celui de la Sécurité sociale. Elle passe par le débat avec les salariés, à tous les niveaux, dans toutes les entreprises, pour définir la meilleure forme d’action apte à faire plier le gouvernement. Les syndicats, unanimement, ont décidé de faire des 2 et 12 octobre de nouveaux temps forts d’action, de grève et de manifestation pour une autre réforme. Il nous appartient de saisir ces opportunités pour mettre fin au mépris affichés par nos gouvernants, sourds et aveugles à la colère qui monte dans le pays. Mais, comme le rappelait fort justement Bernard Thibault : " Aucun gouvernement ne peut prendre le risque d’ignorer durablement la force du mouvement social ".
points de Produit Intérieur Brut (PIB) le niveau de ces ressources supplémentaires. Pour porter progressivement de 12 % à 18 % la part des richesses créées consacrée au financement des retraites, la CGT formule trois séries de propositions. 1. Faire contribuer tous les revenus. Aujourd’hui, une part de plus en plus importante des revenus n’est pas soumise à cotisation (intéressement, participation, stock-options, etc.). En 2009, la Cour des comptes évaluait ainsi à près de 10 milliards d’euros le manque à gagner pour nos caisses de protection sociale. En outre, la CGT propose que les revenus financiers des entreprises soient soumis à contribution. 2. Une autre politique de l’emploi. Le financement des retraites, et de la protection sociale en général, est très dépendant du niveau de l’emploi. Un million d’emplois en plus c’est cinq milliards d’euros de rentrées de cotisations supplémentaires pour les retraites. La France souffre d’un faible taux d’activité, elle arrive au quinzième rang européen, ce taux est inférieur à la moyenne de l’Union européenne. Il est
particulièrement faible chez les moins de 30 ans et les plus de 50 ans. Cette situation appelle donc une politique de l’emploi d’une tout autre dimension que les « mesurettes » relatives à l’emploi des seniors, en prenant des dispositions véritablement efficaces pour l’emploi des salariés de 50 à 60 ans comme pour celui des salariés de moins de 30 ans. 3. Augmenter et moduler les cotisations patronales. La CGT propose de compléter ces mesures par une réforme des cotisations patronales qui pourraient êtres modulées en fonction, notamment, des politiques d’emploi des entreprises. Elle propose également d’augmenter les cotisations patronales, de remettre à plat l’ensemble des exonérations (30 milliards d’euros en 2009). Enfin, il peut être envisagé, si nécessaire, une augmentation des cotisations salariées.
CGT propose l’édification d’une Maison commune des régimes de retraites. Elle aurait pour rôle de solidariser l’ensemble des régimes de salariés au lieu de les opposer, afin de promouvoir, dans chacun d’eux, un socle commun de droits et de garanties.
Bâtir une Maison commune des régimes de retraite Pour parvenir à la réalisation, dans chacun des régimes, des propositions formulées ci-dessus, la
Une nouvelle gouvernance Le mode de gouvernance des régimes de retraite est une raison majeure du recul de la confiance des salariés. Aujourd’hui le gouvernement et le Medef n’en font qu’à leur tête. Le gouvernement s’efforce d’imposer le dogme de la réduction des dépenses publiques, et le patronat défend, de manière quasi obsessionnelle, la réduction du « coût du travail ». Ces politiques concourent à la baisse des ressources affectées à la protection sociale. Pour sortir de cette logique régressive, la CGT propose que cette Maison commune des retraites soit pilotée par des représentants des salariés, élus par ces derniers. Ce ne serait que revenir au principe originel de la Sécurité sociale, combattu dès la première heure par le patronat de l’époque.
4 Deux nouvelles hôtesses sont maintenant en charge de l’accueil du public : Marie-Noëlle Rebert et Myriam Bachmann. Ces dernières s’occupent également du « PAC », aujourd’hui rebaptisé « L’Hebdo ».
patrice BARRERE
les étages
Colmar
«L’Alsace» à tous
Quelle équipe ! Belle équipe !
L’agence de Colmar compte une trentaine de personnes tous services confondus, de la rédaction à la publicité, en passant par l’accueil, le portage, la promotion et les ventes. Pour héberger tout ce monde, depuis trois ans, « L’Alsace » a investi trois niveaux d’un immeuble au 1, route de Rouffach, en face de la gare. Au rez-de-chaussée. A l’accueil, il y a eu de nombreux changements en 2010 avec les départs de Céline Heilmann et Yolande Ouissi. La première travaille aujourd’hui au Crédit Mutuel et la deuxième coule une retraite heureuse et bien méritée.
Dans le bureau d’à côté, il y a toujours de l’animation. C’est le fief de l’inspection. Lysiane Ehret, Daniel Litzler et Patrick Baerel, les trois inspecteurs, ont autour d’eux une sacrée équipe : Isabelle Fuchs, assistante technique, Richard Oberlin, permanencier, Christine Venner, Betty Wintem et Cindy Schoeny, assistantes porteurs. A eux d’assurer le bon déroulement des 220 tournées des 190 porteurs qui travaillent de Osthouse à Pfaffenheim. « Toute l’équipe travaille sur un même lieu. Il y a donc toujours quelqu’un pour répondre à une sollicitation », explique Daniel. Au deuxième étage. Bienvenue à la publicité. La chef de groupe Stella De-Vivo peut compter sur les commerciales Audrey Manigold, Emilie Klein, Cécile Perrin et Stéphanie Rosenfelder, le chef de pub Régis Wendel et l’assistante Caroline Bonnel. Et l’équipe enregistre de bons résultats.
La publicité est en avance de 10% sur son chiffre d’affaires prévisionnel à fin août
« A fin août, nous dépassions nos objectifs de plus de 10% », souligne Stella, « mais nous avons encore une marge de progression ; ces deux dernières années, deux entreprises sur dix répertoriées par la CCI de Colmar ont communiqué dans « L’Alsace ». La publicité partage son étage avec les commerciaux de l’abonnement, Cindy Maurer, Annabelle Caldaini et Yannick Lounnas. Cette équipe était également composée de Benjamin Alix qui, après une dernière Foire aux vins mémorable, s’en est allé à Mulhouse. Au même niveau, Jo Mazzoni est chargée de la promotion de la marque « L’Alsace ». Une soixantaine d’événements se déroulant dans le secteur de Colmar aujourd’hui parrainée par le journal. Sylvie Didierjean et Serge Fornara s’occupent de la vente au numéro. Ils sont les interlocuteurs privilégiés des 400 diffuseurs de presse avec lesquels ils travaillent de Thann à Sélestat.
A l’accueil, les hôtesses s’occupent des clients de « L’Alsace » et « PAC Hebdo »
5 L’équipe de la rédaction Le trio de la vente a enregistré plus de cents abonnements durant la Foire aux Vins cette année
Au troisième étage : c’est l’espace de la rédaction dirigée par Patrice Barrère. Une équipe qui se compose d’Estelle Bloch (responsable desk), Pascale Braxmaier, Isabelle Glorifet, Hubert Himburg, Nicole Jaeg, Jean-Daniel Kientz, Hervé Kielwasser, Thibaut Lemoine, Pierre Maenner (adjoint), Thierry Martel, Vanessa Meyer, Marie-Christine Salber, JeanFrédéric Surdey, Clément Tonnot, Anne Vouaux et Annick Woehl. Une rédaction qui peut compter sur ses deux secrétaires Muriel Meyer et Jennifer Polednik et qui a vu partir pour Sélestat la journaliste Catherine Chenciner. Une rédaction dont un des membres manque terriblement : Yannick Bohn. Alors quoi de neuf sur le front colmarien ? Situé dans une zone de forte concurrence, toutes les équipes de l’agence sont mobilisées. Car c’est la bagarre avec notre confrère bas-rhinois. Sur Colmar, les deux journaux essaient de se prendre des parts de marché.
L’équipe de l’inspection s’occupe de plus de 190 porteurs.
Et certains indicateurs sont au vert, comme celui des ventes au numéro. A la fin du mois de juillet, l’agence de Colmar était le meilleur élève de toutes les éditions du journal, notamment grâce à une politique de valorisation de ces sujets en Une du journal et d’autopromotion de ces dossiers rédactionnels. Autre satisfaction, depuis deux saisons : le journal est sponsor officiel du club phare du football haut-rhinois, les SR Colmar qui évoluent cette année en National. Grand moment de l’actualité colmarienne, la Foire aux vins 2010 a été encore une fois un grand millésime. Pour la première fois, « L’Alsace » a totalement délocalisé une partie de sa rédaction réalisant de A à Z quatre pages spéciales durant les dix jours de l’événement. En effet, avec le soutien du service informatique, la mise en page sous Eidos a pu se faire au parc des expositions de Colmar. Soulignons enfin la bonne performance des vendeurs du journal qui ont réalisé plus de cents abonnements durant la Foire.
La promotion et les ventes
GRAND’OR
(40 années de service) Marie-Joséphine CATTANEO. Notre porteuse de Willer-sur-Thur à la retraite, s’adonne à ses plaisirs favoris : les promenades en montagne et le jardinage. Fleurs, fruits et légumes s’épanouissent sous sa main verte. Et c’est pour elle un bonheur d’en faire profiter sa belle et grande famille. Serge FORNARA. Attaché au développement à l’agence de Colmar, responsable du secteur abonnement, puis de la vente au numéro il a montré qu’il avait du punch, en bon amateur de boxe qu’il a toujours été. Infatigable au travail, il continue de s’adonner aux activités extraprofessionnelles qui l’ont toujours gardé en forme, en particulier les randonnées en montagne. Yvette MORITZ. Entrée le 1er octobre 1970 en qualité d’employée administrative au service comptabilité annonces, elle a sans cesse enrichi ses compétences pour passer aide-comptable en 1976. Elle réalise aujourd’hui un travail efficace et fait preuve d’une grande disponibilité à la comptabilité de L’Alsace Publicité qu’elle fait aussi bénéficier de sa bonne humeur. Si elle travaille sur les chiffres, elle aime aussi les lettres, que ce soit celles de ses lectures ou celles des mots croisés, en passant par celles qui composent les noms des footballeurs. Daniel SCHWARTZMANN. La boucle est bouclée pour ce technicien entré en 1980 en qualité de metteur en page et de claviste et parti à la retraite en décembre dernier, après avoir parachevé sa carrière à la régie publicitaire. Ses compagnons d’équipe ont apprécié son humour et sa modestie.
OR
(35 années de service) Sylviane BOHRER. Elle assure la distribution du journal depuis 1990 au centre ville d’Altkirch. Tous les abonnés la connaissent et saluent sa régularité et sa conscience professionnelle. Son jardin est sa fierté. Elle y a installé une serre pour y cultiver ses fleurs, ses préférées étant les géraniums et les œillets d’Inde. Hélène DEMAISON. C’est sur les hauteurs de Brunstatt que notre porteuse s’acquitte de sa tâche. Et comme elle a le souci du service bien fait, même lorsque ce n’est pas elle qui l’effectue, elle a pris l’habitude d’accompagner ses remplaçants le premier jour de ses vacances, pour être sûre qu’aucun abonné ne sera oublié pendant toute la durée de ses congés. Christiane GRATWOHL. Cette petite voix mélodieuse qui vous répond au standard le week-end est celle d’une employée de la DRH, entrée au service inspection de « L’Alsace » il y a vingt ans, avant de rejoindre les ressources humaines en 2005.
Passionnée de géographie, elle se balade dans le monde entier, avec une souris d’ordinateur ou une télécommande, grâce à géo.fr et aux chaînes câblées dédiées aux voyages. Et à côté des forêts amazoniennes, qu’elle finira peut-être par parcourir réellement un jour, elle s’intéresse à une végétation moins exotique : les arbres généalogiques. Yolande HABERMACHER. Elle est entrée le 1er juillet 1974 en qualité d’employée dactylographe au guichet d’Altkirch. Elle a ainsi connu toutes les évolutions des locaux mais aussi des fonctions, ainsi que les activités les plus multiples, des annonces aux honoraires des correspondants en passant par les voyages et bien d’autres. Jean-Luc HACQUARD. Entré le 13 mai 1975 en qualité de représentant VRP à l’agence HAVAS, plus spécialement chargé du cinéma, il a rejoint en 1976 L’Alsace Havas Publicité qui venait d’être créée. Nommé attaché commercial en 1993, puis attaché technico-commercial à L’Alsace Publicité. Il est en retraite depuis fin septembre 2009. Jeanne JAMET. Porteuse de Sermamagny, elle joint l’utile à l’agréable, à savoir la marche qu’elle pratique aussi au sein d’un club. Son rêve : faire un tour de France. Mais il lui faudrait pour cela quitter son chez-soi, surtout sa cuisine où elle passe le plus clair de son temps… Alors, pourquoi pas un tour de France virtuel sur internet ? Chantal KEMPF. Depuis plus d’un quart de siècle, elle porte le journal à nos abonnés, dans la région de Sélestat. Un quart de siècle de bons et loyaux services, très appréciés de notre clientèle. Une longue période qui, sur le plan familial, aura été bien remplie aussi, puisqu’il a fallu s’occuper de l’éducation de trois enfants auxquels sont venus s’ajouter trois petits-enfants. Autant dire que notre porteuse n’a pas le temps de s’ennuyer, ce qui d’ailleurs ne l’empêche pas d’ajouter quelques activités supplémentaires à son emploi du temps, pour son plus grand plaisir : quelques longueurs de bassin à la piscine ou une sortie à vélo avec, en guise de récupération, un bon film à la télé.
VERMEIL
(30 années de service) Marie-Reine HAENTZEL. Est entrée à « L’Alsace » en qualité de préparatrice de la forme imprimante. Elle a suivi l’évolution des métiers du prépresse pour devenir secrétaire d’édition, fonction qu’elle exerce depuis trois ans à notre agence de SaintLouis. Le design en général et la décoration intérieure en particulier lui offrent de larges activités de loisirs. Elle associe, de même, esthétique et jardinage et poursuit sa quête du beau dans la couture, qu’elle ne peut concevoir que créative. Enfin, elle ne résiste pas à l’appel du large, ses voyages la menant de préférence vers des îles sinon mystérieuses, du moins très lointaines.
Gérard HELIGON. Voilà un gars du « Pays » qui en a vu… du pays. Ce journaliste a débuté à « La Voix du Nord », en 1975 puis à « La Dépêche de Dijon », avant de pousser vraiment au sud du sud, en rejoignant la rédaction du « Quotidien » de La Réunion, puis de « Télé 7 jours », toujours à La Réunion. Retour en métropole après dix ans, pour un passage à « La République des Pyrénées » avant d’entrer au service de rédaction colmarienne de « L’Alsace », puis du « Pays », où il occupe les fonctions de secrétaire de rédaction. Joëlle KUPFER. Avant de venir à Mulhouse, elle a travaillé, à partir de 1979, dans nos agences de Thann et de Cernay et enfin de Guebwiller. En 1986, elle a rejoint le siège pour s’occuper du service voyages. Après avoir été la secrétaire de notre précédent directeur technique, elle est aujourd’hui l’assistante de son successeur, Rémy Ramstein. Elle apporte, dans le délicat exercice de ses fonctions, un calme et un sourire particulièrement appréciés. Christine MEUNIER. C’est en 1981 qu’elle a rejoint l’entreprise, au poste de standardiste. Employée administrative deux ans plus tard, elle a évolué vers des fonctions de secrétaire sténodactylo et a occupé le poste de secrétaire de notre agence de Belfort. En 2006 elle a intégré l’équipe de Media Portage où elle occupe à présent le poste d’inspectrice. Josette MICHAUD. Entrée en septembre 1988 en qualité d’employée remplaçante, elle a su s’insérer parfaitement dans notre équipe du « Pays » où elle exerce, depuis 1996, les fonctions de secrétaire au service rédaction de notre agence de Montbéliard. Un poste qui nécessite un bon sens de l’organisation, de la diplomatie, mais aussi une bonne résistance nerveuse. Henryk PAWLACZYK. Entré en 1993 en qualité de manutentionnaire à l’expédition de jour, il s’est reconverti pour devenir nettoyeur de rotative en 2003, fonction à laquelle il a ajouté celle de cariste en 2008. Quand le « canard » est imprimé, il se consacre à ses canards à lui, ainsi qu’à ses coqs et ses poules. Notre aviculteur est également un jardinier averti. Pascal PIGATTO. Entré au Pays en 1980, en qualité d’employé de rédaction, journaliste stagiaire en 1981, à présent reporter, il affiche trente années de fidélité au service des sports. Avec le punch et la passion qu’on lui connaît, il couvre plus particulièrement trois disciplines : le cyclisme, le football et le handball. Ses loisirs sont consacrés à sa famille, et au sport entre autres le foot qu’il initie depuis cinq ans dans le cadre de l’école de football du SC Valdoie.
lauréats
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les 2010
Armand RAPP. Entré dans l’entreprise en qualité de chauffeur en 1988, il a opté pour une reconversion dans les services techniques et exerce depuis quatre ans les fonctions d’opérateur CTP, à savoir la préparation des plaques pour la rotative. Rien de changé donc, dans sa carrière, depuis sa médaille d’argent reçue l’an dernier. Et il en est de même pour ses loisirs, toujours consacrés à la pêche et à la danse, avec une nette préférence pour la valse et le tango. Gilles SANTALUCIA. Entré au service du « Pays » en 1980, en qualité d’employé de rédaction, il a obtenu sa carte de presse moins d’un an plus tard et figure depuis au sein de notre équipe de journalistes sportifs. Rédacteur en 1986, puis reporter depuis 1989, il est en poste à Belfort où il couvre avec passion et talent l’activité sportive très foisonnante de cette région. Si le sport c’est son travail, c’est aussi son plaisir, car il est un fervent adepte du vélo, ainsi que d’une discipline particulièrement exigeante : le triathlon. Christophe STOFFEL. Entré il y a onze ans au sein des services techniques de notre journal en qualité d’imprimeur débutant, il est à présent rotativiste. Si la direction technique reconnaît ses qualités professionnelles, ses collègues apprécient surtout son humour et son esprit d’à-propos. Il a toujours un mot pour rire, quelle que soit la situation. Ignacio ZORITA. Il porte notre journal à Rixheim, à la grande satisfaction de nos abonnés, depuis plus de vingt ans. Mais c’est à Sausheim qu’il va supporter son fils, un garçon footballeur jusqu’au bout de ses crampons et qui tient bien de son père.
ARGENT
(20 années de service) Edith ALBERTS. Elle est entrée à « L’Alsace » en 1989, où elle a vécu la grande aventure de l’une des plus belles réussites de notre entreprise, à savoir « Le Journal des Enfants ». En 2006 elle a rejoint la rédaction multimédia où son expérience du JDE et sa passion de l’informatique, son dynamisme, sa gentillesse et son ouverture d’esprit sont très appréciés. De même que son tempérament de sportive, qui la pousse à aller toujours de l’avant, sans crainte de se mouiller, au propre comme au figuré, comme en atteste un titre de championne de France de canoë-kayak. Agnès ASAL. Entrée en qualité d’aide-comptable au service de recouvrement de L’Alsace Publicité en novembre 1989, elle est, depuis 1993, secrétaire chargée du recouvrement et de l’administration des ventes. Pour changer des tarifs, des emplacements de rigueur, des formats, des délais de paiement et autres subtilités, elle s’adonne à son loisir favori : l’équitation. Serge BLONDEAU. Notre porteur de Kingersheim, qui est l’heureux père de deux grands enfants, est un grand sportif. Il soigne sa forme en faisant du vélo et de la marche. Ce qui constitue un excellent entraînement pour effectuer, tambour battant, la distribution de notre journal au petit matin, par tous les temps, et ce depuis plus de vingt ans. Lahcene BRIK. Il a du caractère, disent de lui ses collègues… pour éviter de trop insister sur son côté un peu râleur. Mais du caractère, il en faut
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quand on veut progresser dans sa vie professionnelle. La preuve : entré il y a neuf ans au service de notre journal en qualité de manutentionnaire, il est devenu chauffeur trois ans plus tard puis, en 2007, aide-rotativiste. Il aime bien se détendre en zappant sur les chaînes de télé. Alvezio BUONASORTE. Après avoir, à partir de 1988, effectué ses premières armes au desk de la rédaction de Montbéliard, ce jeune Transalpin a poursuivi sa carrière de journaliste à Colmar où il a, par ailleurs, fait étalage de ses talents de pongiste, à défaut de pouvoir briller aux échecs, par manque d’adversaires à sa taille. Nommé à Strasbourg, où il occupe depuis trois ans la fonction de coordonnateur, il s’est spécialisé dans le domaine économique et est à ce titre l’interlocuteur privilégié du Crédit Mutuel. Fan de Léonard Cohen, il gratte également la guitare et, comme tout Italien qui se respecte, il adore la bonne cuisine. José CARRONDO. Après une première carrière derrière les fourneaux, il est à présent homme de radio. Entré en 1989 en qualité d’attaché commercial d’Europe 2, il est, depuis huit ans, directeur de station, responsable régional des radios d’Europe Régie en Alsace. Un poste où sa compétence professionnelle et son tempérament de rugbyman sont fort appréciés. Patricia DESCHAMPS. Entrée en 2001 en qualité de préparatrice de la forme imprimante, elle a évolué vers la maintenance technique, d’abord au prépresse publicité, puis à la gestion des flux. Sa journée de travail terminée, vous la verrez filer sur sa moto ou dans sa Smart, avec un bon plan en
tête. Car Patricia est toujours prête à rendre service. Elle aime à s’occuper des autres et a toujours une idée originale pour passer un bon moment avec ses amis : petit restaurant, balade en montagne ou soirée sympa. Marie-Madeleine EHRHARDT. Les porteurs et les porteuses, qui sont en contact quotidien avec nos lecteurs, sont le visage de notre journal. Un visage souriant, en dépit des caprices d’une météo qui ne leur facilite pas la tâche comme celui de notre porteuse qui a su gagner l’estime et la sympathie de nos abonnés de Sentheim. Et qui, après le travail, se consacre à sa famille, ainsi qu’à un autre de ses plaisirs quotidiens : la cuisine, où elle excelle, au dire de son fils. Anne-Marie GHERBOUZ. Porteuse dans le quartier proche du Lycée A. Schweitzer à Mulhouse, c’est une « petite dame » au cœur grand comme ça. Elle a toujours été prête à aider son prochain : membre active d’associations et, plus particulièrement, accompagnatrice de pèlerinage à Lourdes, elle illustre parfaitement la notion de bénévolat sans laquelle une société aurait du mal à bien fonctionner. Mais elle a également bien d’autres qualités, notamment culinaires : elle fait un couscous délicieux et adore le partager avec sa famille et ses amis. Yvan GOEPFERT. Il était adolescent quand il est entré au « Pays » comme correspondant. Sportif, déjà. Plus de trente ans plus tard, il est toujours au service des sports du « Pays », dont il est devenu le chef. Les quelques années d’infidélité aux terrains de foot qu’il a passées à la locale de Montbé-
liard, puis comme chef d’agence à Lure, n’ont en rien entamé sa passion pour le sport. Cette année, l’actualité l’a gâté, avec les triomphes des athlètes francs-comtois aux JO de Vancouver. D’autant que le ski fait partie des sports qu’il pratique en famille, avec ses deux garçons. Marie-Louise GORLIER. Pour elle, la retraite a sonné au 1er janvier dernier et il a donc fallu changer de porteuse à Saint-Amarin. Mariée et maman de trois enfants, elle pourra à présent se consacrer davantage à sa famille, passer plus de temps dans son jardin et surtout exercer ses talents de cuisinière en mitonnant des « fleischschnakas » ou encore une choucroute au riesling dont elle a le secret. Christiane GUTKNECHT-WELSCH. Entrée à « L’Alsace » en 1991 en qualité d’employée et de standardiste, aujourd’hui employée au service diffusion de notre filiale Médiaportage, elle se sent en pleine forme. A l’image de son idole indestructible, notre rocker national, elle est prête à poursuivre sa carrière jusqu’à la médaille grand or. Olivia ITTY. Elle est très dynamique, elle est toujours souriante et nos abonnés de Pfastatt, auxquels elle distribue le journal depuis plus de vingt ans, apprécient sa ponctualité. Sa tournée terminée, cette maman de deux enfants change de dimension familiale : elle passe de la grande famille de nos lecteurs à sa petite famille de deux enfants. Sonia JUNCKER. Depuis 1989, au volant de sa petite voiture sans permis, elle parcourt les rues de Burnhaupt-le-Bas pour y distribuer chaque matin 215 journaux. Auparavant, elle avait travaillé comme vendeuse en boulangerie à Mulhouse. Ses trois enfants ont bien grandi depuis, mais la génération suivante est venue prendre le relais, de sorte que notre porteuse a largement de quoi s’occuper en veillant sur ses petits-enfants. Deltev JUPPE. Entré le 20 novembre 1989 en qualité de rédacteur à Mulhouse, il a rejoint notre équipe de Saint-Louis en 2004, où il exerce ses talents de localier. Passionné d’histoire, il est un grand amateur d’archéologie. C’est un véritable spécialiste de l’Egypte ancienne. Il se rend d’ailleurs régulièrement au pays des pharaons, car rien ne vaut la connaissance du terrain pour compléter celle des livres. Mais à propos de terrains, évitez d’aborder avec lui un sujet qui fâche, à savoir le football : il déteste. Fort heureusement, c’est une invention anglaise et non égyptienne. Evelyne LAMELOISE. Vingt ans de portage, ça fait déjà un bail. Vingt ans à se lever tous les matins à point d’heure, par tous les temps, pour que nos abonnés puissent lire leur quotidien au petit-déjeuner. C’est ce qu’accomplit notre porteuse de Battenheim, qui effectue sa tournée quotidienne à vélo. Son travail terminé, elle se repose en lisant un bon roman ou en accompagnant sa fille dans une longue et paisible promenade.
Mathieu LERCH. Il a fait ses premiers pas dans le photo reportage en août 1989 à Montbéliard, à l’âge de 21 ans, avant d’être engagé en 1990 à l’agence de Sélestat. Nommé à Colmar en octobre 1991, il est ensuite appelé au siège à Mulhouse pour diriger l’équipe icono. Mathieu a fait de la photo son métier, mais aussi sa passion. Cette même passion anime ce sportif multicartes quand il pratique le vélo (il a participé au championnat de France des journalistes) ou quand il se lance dans une partie de tennis ou de tennis de table. Dominique MARCK. Entrée en 1992 en qualité de préparatrice de la forme imprimante, elle a évolué vers le secrétariat d’édition, une fonction qu’elle a occupée à la locale d’Altkirch jusqu’en 2004, avant de l’exercer au service des sports à Mulhouse depuis trois ans. Sa journée de travail terminée, elle goûte aux plaisirs du jardinage, tout en continuant de s’intéresser au sport, en particulier au handball. Fernande PFEFFER. Elle porte notre journal depuis vingt ans, en livrant nos abonnés du centre ville de Guebwiller, à pied et par tous les temps. Grandmère de deux petits-enfants, elle prend de temps en temps sa casquette de nounou, fière d’arpenter les rues de Guebwiller avec deux belles frimousses dans la poussette. Ancienne vendeuse fleuriste, elle a gardé la main verte pour cultiver les fruits et légumes de son jardin. Philippe ROTHENBURGER. Cela fait vingt ans pile qu’il assure la livraison de notre journal à Wuenheim, à la grande satisfaction de nos abonnés. Cuisinier de son métier, il se consacre aussi à la culture des vignes qu’il a héritées de ses parents. Quant à ses loisirs, ils sont pour l’essentiel consacrés à un exercice qui convient à tout porteur de journal : la randonnée. Marie-Christine SALBER. Entrée en 1989 en qualité d’hôtesse d’accueil à mi-temps à l’agence de Sainte-Marie-aux-Mines, elle a assuré parallèlement la correspondance pour notre journal. En 1995, elle devient journaliste et va suivre des formations au Centre de journalisme de Strasbourg avec deux professeurs bien connus : Raymond Claudepierre et Francis Claudel. En 2001, à la demande de Jean-Marie Haeffelé, elle vient renforcer le desk de Colmar. Une agence où elle continue aujourd’hui à travailler comme secrétaire de rédaction. Les voyages, la musique, le jardinage et la décoration font partie de ses loisirs, ainsi que la photo qui lui fournit un sujet en or : son petit-fils Edouard. Valérie SCHIRLIN. C’est, depuis plus de seize ans, le joli sourire de L’Alsace Publicité. Entrée en qualité d’assistante commerciale, elle est depuis 2003 adjointe administrative et commerciale, chargée de la vente assise. Lecture et cinéma, mais également marche et natation, font partie de ses loisirs,
contribuant à maintenir son moral et sa forme physique au beau fixe. Avec, pour la bonne bouche, les plaisirs culinaires qu’elle partage avec ses amis, surtout quand il s’agit d’attaquer le dessert, car la pâtisserie est son péché mignon. Francesco TARTAGLIA. Préparateur de la forme imprimante depuis deux ans, il est entré à « L’Alsace » en 1995 en qualité de copiste CTP (entendez : computer to plate). L’informatique lui a fait découvrir le fameux jeu du Solitaire, qui en scotche plus d’un sur l’écran. Il aime également tenter sa chance au tiercé, profitant sans doute des conseils avisés de notre chroniqueur hippique maison. Mais c’est dans la catégorie supérieure que cet ancien boxeur préfère jouer, à savoir au poker. Hélène VOGEL. Entrée à L’Alsace Publicité en 1991, en qualité d’hôtesse standardiste, elle a été nommée assistante commerciale deux ans plus tard, puis assistante marketing en 2008. Pour évacuer le stress d’une longue journée de travail (car la pub, c’est un combat quotidien) elle a deux passions : la cuisine et la musique. Et un petit péché mignon, qu’elle partage avec bon nombre de ces dames : le « shopping ». Annick WOEHL. Diplômée du Centre de journalisme de Strasbourg, comme bon nombre de journalistes de notre rédaction, elle a débuté à « L’Alsace » par des remplacements à Guebwiller et à Sélestat, avant d’être affectée à Colmar. L’enseignement, le fait divers, la culture, mais surtout la justice, sont ses domaines de prédilection. Mais on peut être accro de théâtre ou encore de littérature et avoir un tempérament de sportive. C’est son cas, puisqu’elle aime bien entretenir sa forme en pratiquant le tennis, après avoir manié une raquette plus petite, puisqu’elle était l’une des pongistes de notre équipe corpo. Un conseil pour qui voudrait l’affronter non pas sur un court mais au poker : méfiez-vous de cette grande fille au regard innocent, elle a un sens du bluff incroyable ! Marie-Louise WOEHRLE. Il y a deux endroits où vous pourrez la croiser : d’une part, dans la cité ouvrière de Mulhouse, à condition de vous lever tôt le matin, car elle y porte les journaux de très bonne heure, et, d’autre part, sur les sentiers vosgiens, où elle effectue de longues randonnées en compagnie de son mari. Son travail de porteuse terminé, elle est loin d’être inactive : elle a neuf petits-enfants qui adorent les bons petits plats qu’elle leur concocte. Jean-Marc ZIMMERMANN. Après avoir assuré la permanence à l’agence de Colmar, avec livraisons et dépannages en tous genres entre 3 h et 10 h du matin, il occupe actuellement un poste de chauffeur de nuit, assurant les trois tournées de distribution du secteur de Colmar et de la vallée de Munster. De jour, c’est à vélo qu’il préfère parcourir les routes, en Alsace et même au-delà des Vosges.
la commission
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vous
logement informe Laurent BELTZUNG
Au titre du « 1% Logement », notre
entreprise « cotise » auprès de deux organismes collecteurs : « Logilia » et « Aliance ». Si vous avez un projet immobilier, devenir locataire ou devenir propriétaire et pour bénéficier d’une aide dans le cadre du « 1% Logement », c’est donc à l’un de ces deux organismes qu’il faut s’adresser.
Rappel des aides et services mis à la disposition des salariés : Le service locatif et les aides à la location - Avance Loca-Pass : financement du dépôt de garantie (prêt sans intérêt remboursable sur trois ans) pour la location de votre résidence principale.
- Garantie Loca-Pass : l’organisme se porte caution auprès de votre futur propriétaire pour garantir le paiement des loyers et des charges en cas d’impayés pendant les trois premières années de location. Note : le logement doit être conventionné APL ou ANAH (Agence nationale de l’habitat). - La GRL (Garantie Risques Locatifs) : couverture des impayés de loyers durant toute la durée du bail. Prise en charge des détériorations à la sortie du logement. Gestion du recouvrement et accompagnement social du locataire défaillant. Le service prêt aux salariés - Le Prêt accession neuf ou ancien avec et sans travaux : sous certaines conditions et réservé aux « primo-accédants » (non propriétaire de sa résidence principale depuis deux ans). Taux 1,5 %, durée maximum douze ans et montant maximum 9600 euros (zone A et B1 : Paris et agglomérations de plus de 250 000 habitants comme Strasbourg et proche banlieue), 8000 euros (zone B2 : agglomérations de plus de 50 000 habitants comme Mulhouse et proche banlieue) et de 6400 euros (zone C : le reste du territoire français) - Le Pass-Foncier : prêt à taux réduit et différé d’amortissement pour l’accession à la propriété d’un logement neuf. Sous certaines conditions (primo-accédant, revenus, aides, etc.) avec montant allant de 10 000 à 30 000 euros suivant la zone géographique. Le service mobilité professionnelle - le Pass Mobilité : subvention permettant de couvrir certaines dépenses occasionnées par un changement de résidence dû à votre
activité professionnelle (mutation ou embauche). Montant pouvant aller jusqu’à 3200 euros avec accord de l’employeur. - L’aide Mobili-Jeune : destinée aux jeunes de moins de 30 ans qui louent temporairement un logement meublé (conventionné APL ou ANAH) suite à une embauche ou à une reprise d’emploi. Subvention jusqu’à 900 euros représentant les trois premiers loyers (nets d’APL). Le service assistance aux salariés en difficulté - Le Cil-Pass Assistance : une assistance gratuite et confidentielle destinée à accompagner les salariés rencontrant des difficultés conjoncturelles et imprévues (divorce, séparation, perte d’emploi, maladie, décès, etc.). Une aide destinée à palier les soucis liés au logement, régler un loyer ou rembourser un prêt immobilier. Mise en œuvre de partenariats (services sociaux, associations, etc.).
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Logilia : www.logilia.com Aliance : www.aliancelogement.com Avant de vous engager Pour un projet immobilier, consultez l’ADIL (Agences départementales d’information sur le logement), vous y trouverez gratuitement des conseils complets sur les aspects juridiques, financiers et fiscaux liés au logement. Pour trouver une agence près de chez vous ou plus de renseignements :
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ADIL Haut-Rhin : http://www.adil.org/68 ADIL Bas-Rhin : http://www.adil67.org ADIL Doubs et Belfort : http://www.adil25.org
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« marche! »
Béatrice LIENHART
en avant La section « marche » a été créée en 2007, sous l’impulsion de Roger Cade,
pour permettre aux anciens et aux actifs du journal de garder contact en se retrouvant les lundis, une semaine sur deux, pour une sortie. D’agréables balades sont organiséés à travers le Sundgau, d’autres destinations étant prévues au courant de l’année. Après environ deux heures de marche et d’efforts, rien de tel qu’un repas pris dans une ambiance bon enfant avant de repartir regonflés et réhydratés vers le point de départ. Des sorties ont été organisées d’octobre à avril 2008 puis lorsque les beaux jours ont fait leur retour, une partie des joyeux lurons ont chevauché leur bicyclette pour des aventures plus ou moins loufoques. En 2009, la section marche ne s’arrêta pas en avril mais continua, avec d’un côté ceux qui ne n’étaient pas trop adeptes de la petite reine et ont préféré la promenade, pendant que les autres membres usaient les pédaliers et les chambres à air !
Le mot d’ordre est simple... Convivialité, bonne humeur et esprit sportif, pour un moment de détente entre collègues.
Le record de crevaisons lors d’une seule sortie (attribué à la même personne !) sera très difficile à battre, mais heureusement n’altéra en rien le moral au beau fixe, ainsi que le temps, toujours agréable, pronostiqué par Nostradamus ! Tout ce petit monde se retrouve, bien entendu, autour d’un repas bien mérité. L’année 2010, qui n’est pas encore achevée, a tenu toutes ses promesses. La météo étant toujours très clémente, la section (forte de 26 membres déjà) a bien profité de belles escapades. Une sortie a été organisée dans les environs de Staffelfelden lors de la rencontre de notre dynamique équipe de foot avec celle du « Républicain Lorrain » au mois d’avril, afin de supporter nos joueurs et de partager le repas avec eux. La section est ouverte à tous (retraité ou actif) et nous espérons avoir de nouveaux compagnons de route pour la saison à venir.
LE COMITÉ : Présidente : Béatrice LIENHART beatrice.lienhart@lalsace.fr Président honoraire : Roger CADE cade.roger@orange.fr Secrétaires : Roland et Martine AST roland.ast@live.fr Trésoriers : Patricia DESCHAMPS patricia.deschamps@lalsace.fr Roland SIMONIN rolandsimonin@yahoo.fr
Voilà brièvement notre section présentée et si cela vous intéresse, n’hésitez pas à prendre contact avec un des membres du comité pour d’autres renseignements. Comme dit le proverbe : « Plus on est de fous plus on s’amuse » et pour le moment cela a été le cas et nous a fait le plus grand bien. Salut amical !
Pour ses 25 ans d’existence,
pour ses 25 ans !
l’ARA à Paris
10 l’ARA, sous la férule de sa présidente,
a concocté pour ses membres une escapade originale à Paris avec voyage par TGV (la ligne Zurich - Paris), prise en charge à la gare de l’Est par un autobus qui nous a mené sur les quais de la Seine (quasiment au pied de la tour Eiffel) où nous embarquons sur un bateau-mouche restaurant ; et là, surprise : pour ce genre de proposition touristique de groupe, un bâtiment fluvial élégant, un accueil sympa, une animation musicale agréable suivie d’un apéro et d’un repas d’excellente facture, agrémenté tout au long du parcours sur la Seine de moult édifices historiques de notre riche passé ! Un soleil radieux étant de la partie, ce jour anniversaire a généré une ambiance et des mines réjouies et il restera longtemps dans les souvenirs des 68 membres présents ! Une fois de plus, Annemarie Jolicor a fait... mouche ! P.-S. : durant le retour un panier repas (apprécié) a été servi à bord du TGV qui a débarqué tout ce petit monde harassé mais content (la partie temps libre à Notre-Dame a fatigué quelque peu les organismes) à Mulhouse vers 21 h 30 !
Après le tour en bateau, on va rejoindre Notre-Dame !
Bertrand SCHLEICHER
8 h à Mulhouse : tout le monde est prêt pour prendre le TGV
Sourires radieux pour une journée réussie !
Très racé ce bateau mouche, non ?
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réussi !
barbec-loto
Bertrand SCHLEICHER
Annemarie peut être satisfaite, son petit monde est bien installé !
Bel édifice que Notre-Dame de Paris !
L’attente du bus qui ramènera les « parisiens d’un jour » à la gare de l’Est
En cette année 2010, l’ARA passe entre les gouttes. En effet, comme à Paris,
un soleil radieux a permis à l’amicale des retraités de « L’Alsace », le jeudi 26 août, d’accueillir ses membres, dans ce magnifique cadre qu’offre l’étang du CE. Ravis de se rencontrer pour se sustenter et gagner quelques lots au loto durant l’après-midi, l’ambiance a été agréable et animée, à l’ombre des saules de cet environnement bucolique !
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Gilles LEGEARD
les cyclos
ont pris les airs
C’est parti pour trois jours de « promenade »
Quelles images ! Les cyclos de « L’Alsace-Le Pays » en ont pris plein la vue lors de
leur sortie inédite du mois de juin. Avec leur nouvelle tenue à dominante blanche, ils ont pris les airs pour la première fois de leur histoire pour rallier Nice et sa promenade des Anglais, site de départ. De la mer à la montagne, il y a des kilomètres d’ascension que dix-neuf inconscients ont décidé de gravir. Le coup de pédale alerte a vite buté sur les pentes des Alpes Maritimes, mais à mesure que la route s’est élevée les paysages sont devenus grandioses, inondés de soleil. Sur un plateau, à l’abri du vent, le pique-nique avait des airs de déjeuner sur l’herbe avec profusion dans le panier garni. Un aperçu du savoir-faire de l’hôtelier du Mercure Gare et Novotel Sausheim Gilles Geudin, notre invité de marque, qui a rendu le séjour un peu plus près des étoiles. Petit-déjeuner avant l’étape, panier repas, collation de fin de séjour avec douches à disposition, le Novotel Cap 3000 a mis les petits plats dans les grands. Du travail de pro pour des pros… ou presque.
Et il en fallait du confort car la digestion aura été difficile avec l’ascension du col de Bleine (1439 mètres d’altitude tout de même !) à la pente raide en guise de dessert. L’allure s’est intensifiée à l’approche du lac de Castillon pour rallier SaintAndré-des-Alpes vers l’arrivée très ventée à Allos, où les jambes se sont durcies un peu plus sous une pluie froide au bout des 135 kilomètres du jour. De quoi apprécier un peu plus la douche chaude, tout autant que la soirée réparatrice. Au réveil, le s nuages ont accompagné les coureurs dans leur première ascension du col d’Allos. Fraîcheur ventée au sommet de 2247 mètres pour basculer vers Barcelonnette et une descente ensoleillée. Le plus dur restait à venir avec les 32 kilomètres vers le col de la Cayolle, long, long, si long avec un vent de face pour accueillir les forçats de « L’Alsace-Le Pays » dans les quatre derniers kilomètres jusqu’à ses 2326 mètres d’altitude. Une pause salutaire dans la descente avant de réattaquer, sous une chaleur étouffante, la remontée vers Valberg.
Arrivée au sommet avec l’ovation méritée pour Hubert
13 Grâce à Gilles Geudin, les cyclos ont trouvé un hébergement haut de gamme pour pouvoir récupérer de leurs efforts
Pas question d’oublier de poser pour la postérité au sommet du col de la Couillole
La moins haute, à 1670 mètres d’altitude, mais la plus traître après quelque 100 bornes à fort dénivelé. C’est au coin du feu que la course a été réécrite avant un sommeil profond. Le troisième jour s’est déroulé en véritable contrela-montre. Heure de départ de l’avion oblige, le réveil matinal a permis de saisir une fraîcheur qui a donné des fourmis dans les jambes pour l’ascension roulante du col de la Couyolle. A redescendre aussitôt pour cause de travaux vers un itinéraire bis. Et quel détour ! Tout en descente, les gorges du Cians parées de rouge ont presque fait oublier les kilomètres à vélo. Les cyclos de « L’Alsace-Le Pays » se sont repositionnés en rouleur jusqu’à Saint-Laurent-du-Var avant de lever le pied sur les pistes cyclables
de la Côte d’Azur. Bilan : 350 kilomètres pour 6000 mètres de dénivelé positif ! Le périple n’était pas fini pour trois d’entre eux. Pendant que les pros revenaient en Alsace par avion, le président, son trésorier et le secrétaire du CE effectuaient la dernière étape jusqu’à Mulhouse par la route en camionnette Alsaferm gracieusement mise à leur disposition là encore par l’un de nos invités, Christian Fricker. Qui plus est dans l’urgence après une mise hors course du véhicule initialement prévu ! Lors de cette sortie au sommet, les cyclos de « L’Alsace-Le Pays » ont vécu des moments privilégiés. Pour les prochaines sorties à venir, ils partageraient volontiers d’autres tours de roues avec de nouveaux membres entraînés tout l’été.
Une organisation irréprochable qui répond à tous les besoins des cyclos
2326 m d’altitude au col de la Cayolle l’air y était plus que frais !
Ça y est, c’est fini. Un repos bien mérité pour les vélos après 350 kilomètres et 6000 m de dénivelé
2010
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ARTISTES AMATEURS
DEF ABC
Après deux ans d’interruption, le comité d’entre-
prise du journal « L’Alsace-Le Pays » – via sa commission sociale – a décidé de remettre en avant, cette année, les différents travaux des artistes amateurs de l’entreprise. Pour cette reprise, la forme a changé. A partir du 26 novembre 2010 il y aura, durant deux semaines, une exposition des œuvres des « peintres et photographes en herbe » du journal, au siège de notre entreprise, rue de Thann. Nos « pros maison » encadreront l’expo. Le 26 novembre 2010, jour du vernissage, un jury (composé d’un artiste local, d’un ouvrier, d’un employé, d’un journaliste de notre entreprise et de certains membres de la direction) se réunira afin de récompenser les meilleurs travaux.
INFOS PRATIQUES. Deux thèmes sont en lice : la peinture et la photo, déclinés en deux catégories : les enfants de 3 à 16 ans et les adultes (à partir de 16 ans). Sont concernés : le personnel du journal « L’Alsace-Le Pays », leurs conjoints et leurs enfants. Chacun pourra apporter deux œuvres à mettre en concours. Ces œuvres pourront être déposées durant la semaine du 22 au 26 novembre 2010 au secrétariat du CE pendant les heures d’ouverture ou le vendredi 26 novembre à partir de 10 h au rez-de-chaussée du siège, rue de Thann, entrée rédaction. Vos œuvres seront exposées dans le couloir principal (des grilles seront disponibles) et le jury passera vers 17 h pour rendre son verdict. A partir de 18 h 30 débutera le vernissage de l’exposition, clôturé par la remise des prix. Inscriptions auprès de Gisèle Fawer au CE (tél. 03.89.32.70.34) aux heures d’ouverture ou Marina Della-Rocca (03.89.33.43.23) jusqu’au 23 novembre 2010 inclus.
Les quinze jours suivants, nous vous invitons à passer au siège pour découvrir les talents, parfois méconnus, de chacun d’entre nous. A vos palettes amis artistes !
fête de Noël 2010
élan
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un nouvel
Espace Dollfus & Noack
20a, rue Jean-de-La-Fontaine - 68390 SAUSHEIM Depuis l’A36, prendre la sortie n°20 direction Sausheim, puis direction Sausheim centre. Au 2e rond-point, 1re sortie à droite direction quartier des Poètes, à 50 m sur la gauche l’Espace Dollfus & Noack.
Et comme chaque année, rendez-vous à la salle Gérard-Philippe de Wittenheim, le samedi 18 décembre 2010, à 9 h 30, pour la séance de cinéma enfants.
La nouvelle édition de la fête de Noël du comité d’entreprise se tiendra le 5 décembre 2010 à 14 h, au nouvel espace Dollfus & Noack de Sausheim. Changement de lieu et de formule pour redonner du pep à cette fête de tout le personnel. L’occasion de partager un moment convivial, fraternel et ludique entre collègues avec nos enfants et nos chers retraités, tout cela sous le signe de la bonne humeur. L’ensemble Capharnaüm proposera un spectacle de cirque théâtralisé, assaisonné d’une bonne dose d’humour, en contact interactif avec le public. Le Père Noël sera évidement de la partie avec ses cadeaux. Avec diverses surprises tout au long de l’après-midi, un cadre préparé avec soin et toujours notre tombola richement garnie, cette fête permettra aux différentes familles professionnelles qui composent notre journal, de se retrouver autour de kougelhopfs, de manalas et de petits salés, le tout arrosé (modérément) comme il se doit. Une invitation personnelle vous parviendra d’ici peu, composée d’un coupon-réponse pour vous inscrire et ainsi permettre une bonne organisation. Nous vous attendons donc nombreux le 5 décembre pour faire de cette journée une belle réussite.
Deux frères espagnols et un artiste de l’Est ont un but ultime : présenter leur spectacle aux États-Unis. Voyage poétique circassien pour petits et grands, présenté par Capharnaüm.
MULHOUSE Cinéma Kinépolis...................................... 6,20 W ITTENHEIM Salle Gérard-Philipe Réduction sur présentation de la carte du CE
EUROPAPARK
Du 27 novembre 2010 au 9 janvier 2011. Tarif unique à partir de 4 ans ................................................................ 23,50
PISCINES MULHOUSE
Adulte : carnet de 10 .......................................................................... 17,85 Enfant/étudiant : carnet de 10 ....................................... 12,95
RIXHEIM Tarif réduit sur présentation de la carte CE
P our les piscines hors de MULHOUSE 30% sur présentation du carnet ou abonnement
LAGUNA
3 heures
Adulte .................................................................................................................................... 8,00 Enfant ...................................................................................................................................... 6,00
Adulte journée
Du lundi au vendredi............................................................................... 8,40 Samedi, dimanche ou férié .......................................................... 9,10
Enfant journée
Du lundi au vendredi ............................................................................. 6,30 Samedi, dimanche ou férié ......................................................... 7,00
BILLETTERIE SPECTACLE A bonnement spectacle 20% sur présentation de l’abonnement
@
MUSCULATION C omplexe CMCAS EdF/GdF à Zimmersheim Individuel « L’Alsace/Le Pays ».........................................................60 Couple « L’Alsace/Le Pays ».............................................................. 100 (inscription au même moment) Filiale (AP, Médiapost, CIME).......................................................... 100 Extérieur....................................................................................................................................160
BILLETTERIE SPORTIVE F OOT MULHOUSE / STRASBOURG / SOCHAUX 2 billets/an, 15 maxi par personne Autres rencontres sportives 2 billets /an ou 20% sur présentation. de l’abonnement rencontres sportives
TICKETS RESTAURANTS Jusqu’à épuisement du budget, limité à 1 carnet/mois : valeur du chèque : 3,20, avec participation du salarié de 50% par chèque. Conditions : uniquement personnel des agences. Cartes restaurant d’entreprise Clemessy disponibles au CE : équipes de jour, administration et personnel travaillant toute la journée.
ZOOS
MOBICARTE Valeur 25 + 5 ............................................................................................................... 24 valable 2 mois
BONS DECATHLON
Bons à 18 (valeur 20 ), 27 (valeur 30), 45 (valeur 50)
METRO
FRIBOURG (Allemagne)
Achats en gros : se renseigner au CE.
METRO EQUIPEMENT (Mulhouse) Se renseigner au CE.
MUSÉES et TOURISME ANIMALIER Prix de groupe sur présentation de la carte du CE. ou 20% sur présentation du billet d’entrée.
REMBOURSEMENTS Vita Impex, Devianne, Bijouterie Delatour : 10 % sur présentation de la carte CE.
Point S : 5 % sur présentation de la carte CE
MULHOUSE Tarif réduit sur présentation de la carte du CE
BÂLE
Adulte.......................................................................................................................................... 7,50 Enfant (6 à 12 ans)........................................................................................... 2,50
SKI LA BRESSE Possibilité de forfaits, renseignements au CE.
TU 104 sur la toile Retrouvez votre Trait d’Union sur le site : http://issuu.com/alsacece/docs/tu104
Horaires CE
Renseignements complémentaires : Gisèle Fawer 03 89 32 70 34
Lundi 8 h 30 à 11 h - Mardi 14 h 30 à 17 h 15 Jeudi 8 h 30 à 11 h - Vendredi 14 h 30 - 17 h
Le CE est fermé le mercredi
Bulletin réalisé et confectionné par les travailleurs du Livre syndiqués du journal DEF - ABC
CINÉMAS
18, rue de Thann, TSA 68001 68945 Mulhouse Cedex 9 sdh
Sport, loisirs, vacances, achats: le comité d’entreprise vous propose un large éventail de tarifs réduits. Certaines possibilités sont connues, d’autres moins. Voici une liste réactualisée des activités, spectacles, etc. bénéficiant d’une réduction. La billetterie marquée du signe est accessible aux retraités.