Trait
d’Union
108 OCTOBRE 2011 à MARS 2012
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refonder les
états généraux
Hubert STRAUEL
En 1789, la crise majeure d’un régime fondé sur la toute-puissance d’une caste de privilégiés a donné naissance aux Etats généraux, prélude à l’irruption des « Sans-culottes » dans le débat politique et à une révolution de portée universelle. Le raccourci peut sembler osé, voire abusif, mais les Etats généraux de la presse, décrétés unilatéralement en 2008 par un certain ex-futur-président de la République, peuvent être interprétés comme un retour à la case départ : voilà que les puissants de ce monde font main basse sur un secteur stratégiquement essentiel pour le « colportage » de leur idéologie. Comment considérer le mot d’ordre issu de ces assises, reposant sur la volonté d’un seul homme, décrétant la fin d’une conception démocratique
élections
de la presse d’information générale et livrant les titres à une « noblesse de cour » appelés à devenir les champions d’une information pré-formatée ? Les choix et décisions, basées sur le rapport de la commission Cardoso, se soldent par une nouvelle phase de concentration des titres, détenus par de puissants groupes industriels ou financiers. D’autre part, les diverses aides financières d’Etat sont gérées par un guichet unique qui conditionnera les aides au respect de règles strictes de baisse des coûts salariaux ! Voilà le cadre général dans lequel évolue notre secteur d’activité, et qui explique le profond bouleversement dans lequel nous évoluons. Ces décisions n’ont pas tardé à faire des ravages dans le landerneau médiatique. Exit « France-Soir », « La Tribune », relégués, sans perspective d’avenir, à une diffusion sur la toile. Et voici les licenciements, abusivement dénommés « plans de départ volontaires », qui s’empilent, et encore les clauses de cession, partie inté-
cruciales
elle considère de la plus absolue urgence un changement de cap radical pour reconquérir des valeurs de justice sociale. L’actuel locataire de l’Elysée, par ses choix politiques, porte une responsabilité écrasante dans la dégradation économique, sociale et démocratique à laquelle notre pays est confronté. Le bilan du quinquennat, mais également le contenu de son programme électoral ouvriraient, à coup sûr, une nouvelle phase de régression des droits des salariés et de leurs familles, en leur faisant payer le prix d’une crise pour laquelle ils ne sont pour rien. Il est a présent évident que la crise sert de prétexte à poursuivre et amplifier les attaques contre le droit du travail, les salaires, la protection sociale, les retraites, etc.
Hubert STRAUEL
Fière de son indépendance, la CGT a toujours œuvré à la promotion d’objectifs revendicatifs en capacité de rassembler et de donner satisfaction à tous les salariés. Une indépendance qui ne signifie en rien neutralité ou absence d’expression. C’est à ce titre qu’elle porte ses propres analyses sur tous les problèmes qui se posent à la société. Cette posture vaut, bien évidemment, en période de campagne électorale. Surtout quand les enjeux prennent une importance cruciale, avec la grave crise économique et sociale à laquelle nous sommes tous confrontés aujourd’hui. En brossant un tableau critique et lucide de la situation sociale, après cinq années de politique de droite,
grante de la convention collective des journalistes, utilisés comme moyens de liquider l’emploi, à « L’Est-Républicain », « Vosges-Matin », aux « DNA » ! Et voilà les plans sociaux, à « Midi-Libre », au « Courrier-Picard » et ailleurs ! Et encore une région entière, la Normandie, menacée d’être privée de presse quotidienne, quand un patron voyou, exilé fiscal en Helvétie, bénéficie de la complicité totale dans les plus hautes sphères gouvernementales et les états-majors patronaux de la PQR. Enfin, les attaques contre la convention collective, et la remise en cause de la politique salariale de branche, basée sur l’augmentation des salaires réels liée à l’indice des prix, dans un contexte de chute vertigineuse des effectifs salariés et l’explosion de la précarité. Construire un autre avenir de la presse d’information Au-delà des évolutions technologiques, ce sont l’absence de réelle stratégie de développement des titres et la volonté permanente de peser sur
3 Sur tous les plans, la politique mise en œuvre n’a cessé de répondre aux exigences croissantes du Medef et des milieux financiers. Ces choix sont à la base de la crise la plus grave depuis celle des années 1930 : chômage de masse avec 1,2 million de chômeurs de plus en cinq ans, explosion de la précarité, de la flexibilité, attaques contre la protection sociale et le système de santé, liquidation de la retraite à 60 ans, passage en force pour imposer la réforme, bilan catastrophique en matière de services publiques, démocratie sociale malmenée… Les 350 000 emplois supprimés dans l’industrie pèsent lourdement sur le potentiel de développement de l’économie. Ces choix se répercutent sur les finances publiques, mises à mal par les politiques d’austérité. La mise en œuvre du pacte de stabilité monétaire du couple Sarkozy-Meckel menace l’ensemble des
droits sociaux, à l’échelle de l’Europe. La situation catastrophique que connaissent la Grèce, l’Espagne, l’Italie, l’Irlande, voire les Pays-Bas, démontre que cette voie est sans issue et propice à toutes les dérives. Pour la CGT, un changement de politique est d’une absolue nécessité. Des moyens financiers énormes sont mobilisés pour la spéculation, les dividendes aux actionnaires, au détriment de l’emploi, du pouvoir d’achat, de la formation professionnelle, de l’investissement. Les exigences portées par la CGT visent à remettre la finance au service de l’économie : la revalorisation des salaires, pensions et minimas sociaux, avec le SMIC à 1700 euros ; le contrôle des aides publiques aux entreprises ; contraindre les entreprises à des alternatives aux licenciements ; la suppression des exonérations fiscales et sociales
sur les heures supplémentaires ; mettre fin aux suppressions d’emplois ; le développement des politiques publics et des moyens des services publics ; la réforme de la fiscalité ; la création d’un pôle financier public ; la taxation des mouvements spéculatifs de capitaux et l’éradication des paradis fiscaux ; la mise en place d’un fonds européen de solidarité sociale et de développement économique. Le progrès social doit être le moteur de la sortie d’une récession économique qui, sans alternative réelle, risque de se prolonger par des politiques d’austérité permanente. Il n’y a pas de fatalité à cette situation. Les 22 avril et 6 mai, pour l’élection présidentielle, mais également les 10 et 17 juin, pour les législatives, chaque voix comptera. A vous d’exercer pleinement votre droit de citoyen.
les coûts de fabrication qui pèsent sur l’avenir. C’est une situation paradoxale : alors que de puissants actionnaires contrôlent la presse écrite, les entreprises engloutissent des sommes énormes pour financer des plans de départs. Dans cette logique, on comprend mal en quoi le rapprochement organique des rédactions, entre « L’Alsace » et les « DNA » d’une part, « Le Pays » et « L’Est-Républicain » d’autre part, va apporter des réponses appropriées au développement du lectorat, principal défi qui est posé. D’autant plus que ces fusions vont encore amplifier l’uniformisation des contenus, ce qui se soldera inévitablement par une baisse de la diffusion. Pour la FILPAC-CGT, les défis qui sont à relever sont immenses. Les orientations décidées par quelques états-majors sont mortifères, et vont à contre-sens de la diversité des contenus, de l’innovation éditoriale propice à attirer de nouveaux lecteurs. Le pluralisme, la pluralité des opinions doivent retrouver tout leur sens. La publication simultanée du même article, le même jour, dans tous les titres du groupe détenu par le Crédit Mutuel, va à contre-sens de cette exigence. A moins de
considérer que tous les lecteurs, qu’ils soient alsaciens, lorrains, francs-comtois, bourguignons ou rhônalpins, et quelles que soient leurs convictions, sont invités à « consommer » la même information ? Les mobilisations autour de l’avenir des journaux, qui dépassent largement le cadre des seuls salariés dans les entreprises, doivent permettre de construire les solidarités nécessaires, garantissant leur existence. Les Etats généraux restent à écrire, loin de la logique des marchés et des contraintes de rentabilité. Pour la FILPAC-CGT, la séquence électorale actuelle doit être un moment de débat autour de l’avenir de la presse écrite, fondement central d’une démocratie au service du citoyen. Elle appelle de ses vœux la mise en chantier d’une loi fondamentale, garante de la liberté d’expression, du pluralisme, des droits des salariés de l’information, de leurs emplois. Les aides publiques à la presse doivent être réorientées pour soutenir les efforts en matière d’emplois, d’initiative éditoriale et de développement des qualifications. Elle s’engage à y apporter sa contribution. Mobilisation pour la défense de la presse normande : « Paris-Normandie survivra à Sarkozy »
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Jérôme STUMBE
01001011*
1001011
* Comprenez : « La maintenance informatique » en langage binaire
Pour contacter la maintenance informatique, tout le monde connait le fameux 7011. L’appel n’aboutit
pas dans un obscur centre d’appel d’un pays exotique, mais à Mulhouse, au siège, au premier étage du bâtiment technique sur la « dalle ». Vous trouverez le(s) technicien(s) de service captif(s) d’un gigantesque vivarium juste à côté de la salle des serveurs. Pas besoin de nous jeter de la nourriture ou des pièces comme au zoo, seules les grosses coupures nous intéressent. Mais que font-ils donc ? Il est six heures, la maintenance s’éveille, les journaux sont imprimés, les ouvriers sont motivés.... De si bonne heure, nos premiers interlocuteurs sont nos serveurs. Toute notre attention leurs est consacrée. Seule une petite heure leur est réservée, pour une maintenance dite « préventive », à lire des rapports de productions et à les redémarrer. La grosse maintenance préventive se fait, quant à elle, le dimanche matin,
d’où les perturbations que certains d’entre vous ont pu constater entre 8 heures et midi. Vient ensuite une longue période (d’une heure) que chaque technicien met à profit pour travailler sur les projets qui lui ont été confiés par l’entreprise ou par l’Association de Presse. Ils sont nombreux et, évidemment, tous pour la veille ! Vers 8 h 30, les premiers appels commencent à retentir, générés par les employés de bureau venus prendre leur poste en avance. C’est le top départ pour deux à trois heures de maintenance « curative » sur des applications et serveurs, en collaboration avec les équipes d’EuroInformation. Les « J’ai oublié mon mot de passe », « Je n’arrive pas à me connecter à Calligram » se succèdent. Toutes les demandes accumulées au court de ces quelques heures se résorbent progressivement et finissent généralement par être clôturées entre midi et deux, pour les plus simples. Le changement entre l’équipe du matin et celle d’après-midi à lieu à ce moment-là, en général perturbé par l’appel d’un retardataire qui nous signale un problème devant être résolu pour son retour, après son repas... La valse des appels au numéro magique qu’est le 7011 recommence dès 13 h 30 et ce jusqu’au dernier départ des bureaux. L’équipe de nuit prend alors le relais vers 19 h, pour assurer la production du journal et, en parallèle, les projets qui lui sont confiés. Eh oui, personne n’est épargné. L’équipe reste sur le qui-vive toute la nuit… et se retrouve un peu seule sur la « dalle » à partir de 21 h, quand l’équipe de gestion du flux termine sa journée. Isolé, seul le passage du veilleur de nuit permet d’entrapercevoir un signe de vie au technique, en attendant le feu vert de la rédaction, vers 1 h du matin. La production s’est bien déroulée. Aux serveurs maintenant de prendre le relais…
Aurélien Cavagnac : « Hé gamin t’as fini la dernière mise à jour ? »
Tout cela ne vous donne pas plus d’information sur la composition de l’équipe et ne vous permet pas de mettre un visage et un nom sur une voix qui vous aura dépannée... Présentation. Le service est dirigé par Sébastien Korn, depuis plus de sept ans, après la fusion de la maintenance informatique et d’une partie de l’informatique de gestion. Apprécié de ses collègues, ceux-ci le lui rendent bien par une grande flexibilité dans le service. Aurélien Cavagnac, le cadet de la maintenance, fait partie de l’équipe depuis presque huit ans. Après un passage en tant que stagiaire chez nos collègues d’EIS, il a décidé de poser ses valises chez nous et l’équipe s’en félicite. Rigoureux, il s’implique à fond dans tous les domaines.
Christophe Staub, notre spécialiste config.
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Lionel Stehlin « Tiens, regarde la dernière application Androïd ! »
Lionel Stehlin, entré à la maintenance cinq mois après Aurélien, ancien d’EuroInformation Service, s’est spécialisé dernièrement dans la partie administrative de Méthode. Il s’affaire donc sur la création de nouveaux produits comme le « Journal de l’année » courant décembre. Mais c’est aussi un fan de technologie et n’a pas son pareil dans la configuration des mobiles. Christophe Staub, depuis plus de 12 ans à la maintenance, est au courant de toutes les dernières nouveautés matériels et c’est un as des créations de configurations de machine. Un driver manquant ? Un problème de compatibilité… Un petit tour sur le net et le problème est résolu. Mais il maîtrise tout autant les autres domaines de nos champs d’action. Arrivé sept mois après Christophe, Jérôme Stumbe est un transfuge du service public. Pointilleux et râleur, le plus « vieux » de la maintenance optimise le planning et les commandes de matériels, en fonction des demandes. Surnommé aussi « le Poissard», car il était présent lors de 90 % des coupures EDF des dix dernières années… Ce qui fait de lui un spécialiste des arrêts de serveurs en période de crise. Depuis peu, la nouvelle base documentaire PIXIS est devenue son journal de chevet.
Toujours prêt à venir dépanner, de jour comme de nuit… C’est un amateur averti en photo et en en vidéo. Sébastien Spitz, amicalement appelé « Nounours » est le plus ancien de l’équipe au sein de l’entreprise (17 ans), mais c’est le bleu de la maintenance informatique. Après être passé chez les clavistes, à la photogravure, à la mise en page, au desk technique et au flux, il est venu en renfort à la maintenance depuis quatre ans et est devenu indispensable au service. Spécialiste Newsway et ABB, les logiciels d’interface entre la rédaction et la rotative. L’ancien de la maintenance à 15 ans à son compteur. Christian Jaffeux a été le premier élément d’un rajeunissement majeur au sein
Jérôme Stumbe : « C’est quoi ce foutoir, faudrait ranger le bureau…»
Sébastien Spitz « A vos ordres colonel Klink ! »
de la maintenance. Il a, comme Lionel, rejoint l’équipe Méthode de l’Association de presse en tant que spécialiste graphique dans les nouveaux produits et dans l’uniformisation des développements. Arrivé en mai 2002, Samir Hilali est un féru de matériel (encore un) et prépare les installations silencieuses sur le nouveau système de préparation de poste PXE. Collègue estimé, les bons vivants que nous sommes apprécions particulièrement les petits gâteaux de sa maman et, plus particulièrement, les cornes de gazelle. Et pour finir, notons le détachement d’Éric Martinez, du groupe CIME, trois jours par semaine dans nos locaux. Sa venue nous permet actuellement de basculer, dans de bonnes conditions, l’ensemble des agences sur le domaine CDM et de dire progressivement adieu à notre domaine ALSAPRESSE.
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Samir Hilali « Commencer à 6 h , c’est inhumain ! »
Depuis de nombreuses années, vous avez pu entendre des anecdotes d’informaticiens en vous disant « Mais non ce n’est pas possible… ». Malheureusement toutes ces histoires ont un fond de vérité. Aussi, prenez en compte et avec humour, les quelques recommandations qui suivent (basées sur des cas concrets) : 1. Quand un aménagement de service est programmé, rappelez-vous de recouvrir votre poste de travail d’une demi-tonne de cartes Christian Jaffeux, « Y a qu’à faire… » postales, de photos de bébés, d’animaux Depuis plusieurs mois, la charge de travail est telle, empaillés, de fleurs séchées, de trophées de fléchettes et de dessins d’enfants. au sein de l’Association de presse, qu’un unique Nous n’avons pas de vie personnelle et nous technicien est dédié à la hotline par équipe. apprécions grandement de voir la vôtre Alors, si le téléphone vous semble sonner dans exposée ainsi. le vide, cela implique que le collègue est certainement déjà en ligne. Envoyez-nous un mail expli- 2. Quand le service info vous envoie un message intitulé « Très important », jetez-le imméquant votre problème. Rassurez-vous comme diatement à la corbeille. On fait des tests. on nous l’a dit, il ne s’agit que d’un col à passer, Pareil si on vous demande de l’imprimer. col qui ressemble plus à un faux plat depuis plus 3. Quand une personne du service info vous dit de dix ans… Mais mieux vaut trop de travail qu’il arrive de suite, allez prendre un café. que pas assez, non ? De cette façon, vous ne serez pas là quand on aura besoin de votre mot de passe. Ce n’est rien, pour nous, de retenir 500 mots de passe... 4. Si la barre d’espacement de votre clavier ne marche plus, accusez la dernière mise à jour logiciel. Les claviers sont en fait très heureux avec une demi-tonne de miettes de gâteaux dedans. 5. Si l’imprimante n’imprime pas, recommencez l’impression au moins 20 fois. Les travaux d’impression tombent souvent dans des trous noirs. 6. Si l’imprimante n’imprime toujours pas au bout des 20 tentatives, envoyez l’impression à toutes les 68 imprimantes de l’entreprise. L’une d’elles doit fonctionner.
7. N’apprenez jamais la dénomination correcte pour quoi que ce soit de technique. On sait exactement à quoi vous vous référez par « Mon bidule a foiré ». 8. N’utilisez jamais l’aide en ligne pour répondre aux plus simples de vos questions. L’aide en ligne, c’est pour les nuls. 9. Si le câble de votre souris n’arrête pas de renverser le cadre de la photo de votre chien, soulevez l’ordinateur et fourrez le câble en dessous. Ces câbles ont été conçus pour résister à plus de 10 kg de matériel informatique. 10. Si votre ordinateur ne s’allume pas, venez vous plaindre à nous avant de vérifier s’il est correctement branché. On adore faire des kilomètres pour rien. 11. Si quelque chose ne va pas avec votre ordinateur, demandez à un tiers d’appeler la maintenance. On adore le challenge d’avoir affaire à une troisième partie qui ignore absolument tout du problème. 12. Quand vous recevez un film de 30 Mo, envoyez-le à tout le monde dans l’entreprise en pièce attachée. On a plein d’espace disque sur le serveur de messagerie. A prendre bien entendu au second degré ;-))
Gérard ZERAFA
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Le groupe tout frais avant le départ
Comme chaque année depuis mainte-
la ligne d’arrivée de cette première étape à Baratier, sur les hauteurs d’Embrun. Quelques bières rafraîchisnant plus de quinze ans, le mois de juin 2011 a donné lieu à notre traditionnelle sortie cyclo dans les santes et un copieux repas remirent sur pied nos Alpes. Pour cette édition, nous avons laissé l’avion sur cyclos dans un somptueux décor entre lac et montagne. le tarmac et repris nos bonnes vieilles habitudes A l’aube du deuxième jour, c’est sous un soleil et c’est en bus que nous nous déplaçâmes pour éclatant que la procession se remit en route et atteindre Laffrey, près de Grenoble, lieu de départ commença par longer le magnifique lac de Serre de notre périple de 3 jours. Ponçon. Les « demoiselles coiffées » furent saluées Quant à la camionnette, ce sont nos fidèles accomcomme il se doit, et c’est à proximité de Barcelonpagnateurs que sont Philippe, Hervé et Jean-Paul nette que le pique-nique fut pris. C’est aussi à partir qui se relayèrent à son volant pour nous l’acheminer de là que les premières difficultés du jour firent leur et ainsi, suivre au plus près et assister magistralement apparition… col de Vars et ses 2109 mètres d’altiles coureurs tout au long de ces 400 km. tude ! Le départ fut donc donné aux alentours de 13 h Tous passèrent cette première épreuve avec brio et le mercredi 15 juin, non sans un petit pincement au maestria. Après une magnifique et rapide descente cœur ; notre secrétaire du C.E. et ami Hubert manquait sur Guillestre, c’est la combe du Queyras qui fut au rendez-vous. En effet, c’est au cours d’une de ses traversée avant la longue remontée sur Saint-Véran, sorties pour s’affûter que Hubert fut victime d’une petit village perché à 2011 mètres et qui semble vivre terrible chute qui l’immobilisa de longues semaines. hors du temps. A peine les coureurs arrivés, qu’un Le peloton homogène traversa les communes violent orage s’abattit sur la montagne faisant trembler de La Mure, Corps, avala le col de Manse et franchit les murs de la bâtisse que nous occupions et nous les balcons du lac de Serre Ponçon avant de couper faisant craindre le pire pour le lendemain… La troisième journée commença donc par une belle descente, juste avant d’affronter les terribles pentes du col de l’Izoard. Peu après, la traversée de Briançon se fit comme un seul homme et c’est sur les pentes du col de l’Echelle que la pluie refit son apparition. Dommage, la pluie ne nous quitta plus, et ce sont de très courageux coureurs qui rallièrent Sestrière en escaladant encore le col de Montgenèvre. Le bus et le restaurant attendaient tout ce beau monde… la fête pouvait donc continuer.
fidèles cyclos
Gilles planant à 2360 m d’altitude
Départ d’Embrun pour la 2e étape
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Typographe, un métier qui mène
à tout ! Après des années d’activité au sein des services techniques, Jean-Paul Domb a été intégré à l’Icono. Avec son bagage de typographe, il a rejoint le journal en 1971, plus précisément à la fabrication de la publicité. Après avoir assumé la responsabilité de chef d’atelier pendant quelques années, il a endossé avec envie le costume de photographe, une vocation née bien des années auparavant, pour en faire son nouveau métier. Pas toujours facile de passer d’un sujet à l’autre, de quitter des horaires stables pour une vie professionnelle pleine d’imprévues ! Pas aisé non plus de changer de famille professionnelle et de passer de la technique à la rédaction.
un technicien
hors pair
Puisqu’on vous dit que typo mène à tout ! En voilà encore un : Gilbert Vest est
devenu, au fil du temps, un pilier de l’Icono. Non seulement par sa taille (et sa corpulence) imposante, mais aussi par les multiples tâches accomplies dont il connaissait toutes les ficelles.
Jean-Paul a franchi toutes les étapes avec talent et l’amour du travail bien fait, pour devenir au sein de l’équipe un journaliste reporter-photographe polyvalent et disponible. Toujours à l’affût de la dernière blague, il a su conjuguer jusqu’au bout travail et bonne humeur. Que ce soit à la locale Mulhouse, au service des sports où à la région, Jean-Paul s’est glissé avec aisance dans tous les formats et tous les angles possibles. Toujours soucieux de bien remplir la mission, Jean-Paul ne ménageait jamais ses efforts. Bonne retraite Jean-Paul, ne perd pas ta bonne humeur et part le plus souvent possible en croisière.
Thierry GACHON
Thierry GACHON
un photographe
sorti de l’atelier
Après un apprentissage de typographe et ses premières armes au mettage, ses capacités professionnelles le mène à la photogravure, où il maîtrise toutes les évolutions techniques. Ses compétences de photograveur ont été, pour le service, des atouts de qualité, d’autant plus que Gilbert ne dédaignait pas non plus d’utiliser un appareil photo sur un spectacle par exemple. Sa bonhommie et sa curiosité faisaient de lui un collègue de bonne compagnie, serviable et appliqué. En toute décontraction, Gilbert n’a eut aucun problème à intégrer la rédaction, tout en restant fidèle à ses origines d’ouvrier du livre. Intelligent et vif, Gilbert avait vite assimilé le fonctionnement du service et savait, en l’absence de photographe au bureau, gérer les situations d’urgence. Dans l’ombre, il remplissait de multiples tâches indispensables, souvent ingrates et peu valorisantes. C’est, là aussi, une des qualités de Gilbert : l’endurance au travail. Pour ceux qui l’ignorent, Gilbert n’est pas parti pour ne plus travailler, mais simplement parce que le climat du Sud lui est plus agréable… Bonne retraite Gilbert, nous aussi on préfère ton vin et tes olives.
au grand cœur
mickey Deux départs pour le prix d’un, mais fêtés comme il se doit !
Laurence BELTZUNG
pilote
Apres un parcours épique de 25 ans au sein du journal « L’AlsaceLe Pays », Michel Grosheitsch, plus connu sous
le nom de « Mickey », est parti poursuivre sa carrière professionnelle sous d’autres horizons. Tout petit il fréquentait déjà les locaux du journal, son papa étant le concierge de l’immeuble, avenue Kennedy, siège du journal à l’époque. Mais c’était tout juste après avoir franchi le Rhin en VAB, lors de son service militaire, que Michel a véritablement poussé les portes. Les portes de la toute nouvelle radio du Journal « Radio Bollwerk », c’était au début des années 80. Petite révolution, les radios locales venaient d’être autorisées à émettre et le déjà infatigable Mickey y était technicien le jour et animateur le soir, les disques en vinyle et les cassettes audio, il savait les manier. Surfant certainement sur de bonnes ondes, il est rentré au Journal L’Alsace en 1987, comme chauffeur. Faire la navette d’agence en agence,
9 de Strasbourg à Mulhouse, en camionnette 404 bâchée remplie d’informations écrites et photographiques, il connaissait. C’était là, très certainement, l’ancêtre de l’actuel « bus informatique ». (Et peut-être l’origine de la fameuse « Erreur 404 » que tout possesseur d’ordinateur a rencontré un jour-;-) Reconnu pour son dévouement et son savoir-faire, c’est tout naturellement qu’on lui confia la conduite des machines à l’expédition. Et, depuis, il en a vu défiler des publications, le JIM (Peugeot), le programme Télé réalisé par « L’Alsace », «L’Est Agricole», le «PHR», «L’AMI du Peuple», le «Lafa», le «Contact», les «Échos», etc. Michel se souvient de l’âge d’or du JDE, tiré à près de 200 000 exemplaires. Il a passé des journées entières a en expédier une bonne partie sur la machine d’adressage de l’époque, la récalcitrante Buhrs Zaandam. Il a également beaucoup œuvré au service « promo » comme animateur-podium et technicien-monteur de stand. Au sein du C.E., il a tenu les rênes de la présidence de la section pêche pendant plusieurs années. Mickey, toi le passionné d’aviation qui rêve de voir trôner un jour dans ton jardin un ancien « Mirage III », toi l’homme touche-à-tout, tantôt DJ animateur de soirée, caporal-chef pompier combattant le feu, artificier K4 et pas seulement au 14 juillet, maçon rénovateur de maison, maquettiste-pilote d’avion et d’hélicos en modèle réduit ou encore expert-cuisto sur barbecue, bref que dire, que ton bagout, ta franchise, ta simplicité, ton honnêteté, tes croque-monsieur nous manqueront, c’est peu dire… Bon vent cher Mickey, non pas aux grandes oreilles, mais au grand cœur et puissent les ondes t’être, encore et toujours, positives.
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Vue partielle de Santorin !
Bertrand SCHLEICHER
En septembre dernier, une croisière
mena les participants de l’Ara à bord du Msc Musica en huit jours, de Venise à Venise, par un temps superbe avec tout au long de ce périple méditerranéen des escales aussi intéressantes les unes que les autres (Bari, Katakolon Olympie, Santorin, Mykonos, Athènes, Corfou, Dubrovnik). A bord : ambiance et animations latine, gastronomie, farniente au soleil, activités sportives, dîners de gala, spectacles de qualité, casino, bars, vues magnifiques des ponts (quitter Venise du 13e pont Véro et Béa (à sauver ?) à 18 h avec un soleil couchant, le pied !) et de nos cabines avec petit balcon au passage des îles côtoyées (le top) et tout cela (sans oublier l’organisation parfaite sur le bateau et lors des escales) a fait que nous en sommes revenus plus que satisfaits ! Cochonnailles : un rendez-vous incontournable et attendu ! Le samedi 5 novembre, 76 membres de l’amicale se sont retrouvés à la fermeauberge du Schafert (un cadre joliment rustique) pour savourer des cochonnailles dans une ambiance et un brouhaha bien sympathique qui font le charme de ces rencontres (il y a toujours tant de choses à se raconter ; n’est-ce pas mesdames ?) .
l’ARA s’amuse
Sympa, Paulette fait le service !
Roland s’essaye à un jeu
L’élégant François !
Les joyeux retraités attentifs aux propositions de la présidente
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Marina DELLA ROCCA
nos retraités
un concert pour
La dernière rencontre des retraités du journal « L’Alsace-Le Pays » s’est déroulée au mois d’octobre à l’Espace Dollfus-et-Noack. Pour ne pas rentrer dans la routine, les élus du comité d’entreprise leur ont proposé, cette année, d’assister à un concert de Die Amigos. Avant le concert une petite collation « café kranzla » était proposé. Le célèbre duo allemand aux chansons country-folk a présenté ses dernières créations, pour le plus grand bonheur de nos anciens. A la fin du concert ils ont pu se retrouver autour d’un apéritif dînatoire.
TARIFS 2012
Janvier
Antibes Ardèche Avoriaz Balaruc Malbuisson Port Bourgenay Verdon Vias
150 - 240 180 - 150 - -
Béatrice LIENHART
le retour
Comme ce fut de coutume pendant de longues années, les sections
sportives du journal profitaient du jour férié «presse» du 30 avril pour organiser une rencontre inter section. Transpirant chacun de son côté, ils se retrouvaient ensuite pour mesurer leurs exploits en partageant un bon repas. Début 2012, les footeux, les cyclos et les marcheurs ont abordé le sujet lors de leur assemblée générale respective et ont décidé de réitérer l’événement, c’est pourquoi nous lançons un appel à toutes les personnes intéressées. Les membres de la section marche sont prêts à retrousser leurs manches pour s’occuper de l’intendance et préparer un barbecue au boulodrome de Flaxlanden.
Avis aux amateurs de toutes les sections mais aussi aux spectateurs, ainsi qu’aux retraités, faites-vous connaître afin d’assurer le bon déroulement de la journée, envoyez un mail en précisant le nombre d’intéressés et la discipline sportive pratiquée à : beatrice.lienhart@lalsace.fr ou en appelant le CE au 03.89.32.70.34 (au plus tard le 25 avril). Nous vous informerons ultérieurement des modalités de cette journée récréative.
pensez à l’ été...
Jusqu’au 1er juin et après le 1er octobre congés scolaires
260 220 4401 - 3002 180 180 260 200 200
hors congés scol.
230 200 260 160 160 220 180 180
Juin et septembre
Juillet et août
260 260 150 240 200 260 220 250
380 380 200 320 220 380 320 380
(1) février (2) avril
ancienne tradition
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Rappel des tarifs de location des sites
de vacances proposés par le CE à tous les salariés de l’entreprise (le personnel des filiales peut également bénéficier de la location , il y a lieu d’y ajouter un supplément de 10 % sur le tarif en vigueur). Des créneaux sont encore disponibles, n’hésitez pas à vous renseigner. Sur le site internet du TU : http://issuu.com/alsa cece/docs/tu100 vous pourrez vous faire une idée des prestations proposées. Cette année, pour les mois de juillet et août, la commission vacances vous propose de découvrir Montagnac-Montpezat dans le Verdon, à deux pas du lac de Sainte-Croix et du lac de Quinson au tarif exceptionnel de 250 euros la semaine. Profitez-en !
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consultation synthèse
Sur 103 réponses - 44 anonymes - 59 nominatives Priorités
Actuellement, quelles sont vos préoccupations au sein de l’entreprise ? (classez les propositions dans votre ordre d’importance, 1 étant la plus importante) 35 % conditions de travail
38 % salaires - emploi - couverture sociale
4 % réglementation et droit du travail
18 % la mutualisation et les synergies au sein du PPCCM
7 % carrière professionnelle
Conditions de travail
Dans quel secteur d’activité exercez-vous ?
42 % administratif
46 % technique
Vos conditions de travail sont-elles satisfaisantes ? 47 % oui
52 % non
75 % oui
20 % non
Se sont-elles dégradées ?
13 % journaliste
Si oui, pourquoi ? 75 % manque d’effectif 52 % surchage de travail 39 % environnement du poste 36 % relation avec l’encadrement 9 % modification régulière du planning (rh, rtt, rd) 60 % oui
Les outils informatiques nécessaires à votre tâche sont-ils adaptés ?
8 % horaires mal adaptés 22 % relation avec la DG
45 % non
Réglementation et droits du travail
Connaissez-vous vos droits en tant que salariés ?
50 % oui
48 % non
Pensez-vous que vos droits soient respectés ?
52 % oui
30 % non
Carrière professionnelle
Depuis votre entrée à «L’Alsace-Le Pays», avez-vous déjà changé de poste ou de qualification ? Si oui, était-ce ?
34 % un choix personnel
Souhaitez-vous évoluer professionnellement au sein de l’entreprise ? 54 % oui Si oui, vers quel secteur d’activité ?
50 % administratif
Cette proposition vous as-t-elle déjà été faite ?
34 % non
34 % non
46 % technique 14 % oui
Avez-vous bénéficié d’une formation au cours des trois dernières années ?
Sandrine DEBENATH
66 % oui
62 % une modernisation du poste de travail
13 % journaliste 71 % non 51 % oui
44 % non
La consultation faite en février auprès des salariés
du journal « L’Alsace-Le Pays » conforte la Filpac-CGT dans son action, ses convictions et sa nécessité d’être présente sur tous les fronts. Vos réponses (au nombre de 103) sont dans la ligne revendicative déjà adoptée, mais pas seulement. Elles confirment le malaise des salariés, tout en mettant en évidence les points d’achoppement : les conditions de travail, le salaire, l’emploi, le manque d’effectif et la surcharge de travail. Malgré ces conditions peu favorables, nous sommes motivés : 54 % des sondés souhaitent évoluer professionnellement. C’est un point très positif qui souligne l’engagement pour notre journal. Mais le manque criant d’information sur la stratégie de l’actionnaire (97 %) pèse et se traduit par des craintes concernant notre emploi (76 %). Nous sommes 85 % à être attaché à l’indépendance éditoriale de «L’Alsace-Le Pays» et 65 % à penser que nous n’avons pas pris notre place sur le web.
La synthèse est simple : du personnel motivé et impliqué, mais un manque cruel de développement et d’avenir pour notre titre. Voilà notre cheval de bataille. Pour ce qui est de la question concernant le salaire, les chiffres sont aussi parlants. D’après 76 %, et malgré le chantage actuel, ce n’est pas en gelant les salaires que l’emploi sera préservé dans l’entreprise. Alors que 84 % des sondés constatent une perte de pouvoir d’achat, plus que jamais les négociations salariales tiennent une place prépondérante, 87 % étant prêts à se mobiliser pour sauvegarder nos acquis. Notre force est là. Nos revendications sont claires. Nous sommes tous attachés à notre entreprise, sa pérennité et par là, celle de nos emplois. Nous attendons une ligne claire de la part de notre actionnaire, le Crédit Mutuel. C’est dans ce but qu’à été votée en assemblées générales (croisées avec les DNA) une motion commune envoyée le 19 mars à M. Lucas, en sollicitant une rencontre avec les délégués Filpac-CGT pour débattre de l’avenir de nos journaux et des emplois de tous les salariés. Nul doute qu’en tant que président responsable, M. Lucas donnera suite à notre demande, répondra à nos inquiétudes, et nous apportera une claire vision d’avenir. A suivre... La mutualisation et les synergies au sein du pôle presse Crédit Mutuel Pensez-vous que ce regroupement soit un atout pour développer « L’Alsace-Le Pays » ?
33 % oui
57 % non
Représente-t-il une menace pour votre emploi ?
76 % oui
14 % non
L’existence de votre service vous semble-t-elle garantie ?
20 % oui
74 % non
La ligne éditoriale du journal vous convient-elle ?
43 % oui
38 % non
Etes-vous attaché à l’indépendance éditoriale de « L’Alsace-Le Pays » ?
85 % oui
11 % non
Une signature d’un journaliste du pôle presse dans « L’Alsace-Le Pays » vous dérange-t-elle ?
38 % oui
50 % non
Le site internet répond-il à vos attentes ?
32 % oui
43 % non
Pensez-vous qu’à l’ère du numérique nous avons pris notre place sur le web ?
17 % oui
65 % non
2 % oui
97 % non
Constatez-vous une perte de votre pouvoir d’achat ?
84 % oui
12 % non
Etes-vous prêt à vous mobiliser pour sauvegarder vos acquis ?
87 % oui
6 % non
Le gel des salaires est-il une solution pour préserver l’emploi dans l’entreprise ?
16 % oui
76 % non
Si vous êtes en temps partiel, souhaitez-vous augmenter votre temps de travail :
33 % oui
50 % non
Etes-vous satisfait des prestations de la complémentaire santé :
55 % oui
36 % non
Etes-vous satisfait des garanties prévoyance :
51 % oui
19 % non
Serez-vous présent à l’assemblée générale qui exposera le bilan de cette consultation ?
53 % oui
27 % non
Etes-vous suffisamment informé sur la stratégie de l’actionnaire ?
Salaires - Emploi - Couverture sociale
Vous êtes en : 0 % CDD
98 % CDI
89 % temps plein
6 % temps partiel
14
animations en cascade Pour la fête de Noël du journal « L’Alsace-Le Pays », le personnel a
Présentation de Mamie Gâteau
Céline BECHLER
été accueilli par un Monsieur Loyal de l’Espace
Comme chaque année, nos deux maquilleuses ont fait des merveilles
Dollfus et Noack de Sausheim. Celui-ci a fait les présentations avec Mamie gâteau, qui a aussitôt invité enfants et adultes à déguster mannalas, friandises et salés dans une salle décorée spécialement pour l’occasion. Les plus petits se sont précipités aux ateliers de maquillage et de coloriage afin d’attendre le spectacle. L’après-midi s’est poursuivi par la prestation de la compagnie Bling Blang, composée de trois musiciens. Au programme, un melting-pot de génériques de films et de séries télévisées ainsi que des compositions personnelles. Du rythme, du swing et de l’humour qui ont ravi tous les participants, y compris les enfants, installés aux premières loges. Avant l’arrivée du Père Noël qui a gâté les petits de friandises, ce sont les grands qui ont reçu des cadeaux : le tirage au sort de la tombola a attribué un voyage, des places de spectacles et des billets pour des matches de foot Les adultes aussi ont eu leur lot de surprises à Sochaux à plusieurs membres du personnel. avec la tombola richement garnie Pour finir la journée en beauté, l’équipe de la commission sociale du journal, qui organise la fête de Noël chaque année, avait réservé une surprise au personnel de l’entreprise : le concert privé d’un artiste local en pleine ascension. Auteur et interprète de la nouvelle scène française, Jesers a partagé son amour des mots avec le public en présentant quelques chansons de son dernier album, J’aimerais qu’on sème. Une invitation à la fraternité qui a réchauffé les cœurs.
Jesers a su mettre l’ambiance
15
Difficile de faire un choix parmis les beaux cadeaux proposés...
Le Père Noël a craqué devant les beaux sourires des enfants mais aussi à ceux des jolies mamans !
Bling Blang a fait swinger les petits et les grands
Sandrine DEBENATH
Mission Noël Une fois de plus les enfants du personnel
magique. Dans un centre installé au pôle Nord possédant le top de la technologie, un gigantesque traîneau supersoétaient au rendez-vous, ce 28 décembre, pour la tradinique et une immense base de contrôle, tout est chronotionnelle séance de cinéma proposée par la commission métré et organisé pour faire les bonheur des bambins. sociale du CE. Le sujet du dessin animé tombait plutôt à Mais un enfant a été oublié cette année... Et c’est Arthur, pic après les fêtes de Noël, car il répondait à la question le plus jeune fils du Père Noël et le moins doué de la que tous les enfants se posent : Comment le Père Noël famille, qui va tenter de sauver la situation avec son drôle peut-il distribuer les cadeaux dans le monde entier de grand-père et une lutine obsédée par l’emballage des et ce en une seule nuit ? cadeaux… Tout simplement grâce à la famille Noël et un million de La mission était pleine d’aventures pour le plus grand petits elfes qui se donnent, corps et âme, pour cette nuit plaisir de nos enfants ! Enfin un mystère résolu.
MULHOUSE Cinéma Kinépolis...................................... 6,30 W ITTENHEIM Salle Gérard-Philipe Réduction sur présentation de la carte du CE
EUROPAPARK Tarif unique à partir de 4 ans : du 31 mars au 4 novembre 2012
...........................................................
29
PISCINES carte de dix entrées
P ISCINES M2A
Valable dans toutes les piscines de la M2A (y compris Rixheim) ............................................................................................ 21
PIERRE-CURIE MULHOUSE Carte bien-être
..............................................................................................................
19
Centre nautique RIXHEIM
Vente uniquement sur place (présentation carte CE obligatoire) pour les habitants de la M2A Carte bien-être ............................................................................................................. 66 Remise en forme + piscine ................................................................ 86
P our les piscines hors de MULHOUSE
30% sur présentation de la carte ou abonnement
LAGUNA
Complexe fermé depuis le 4 septembre (pour 15 mois environ de travaux).
C omplexe CMCAS EdF/GdF à Zimmersheim Individuel « L’Alsace/Le Pays ».........................................................60 Couple « L’Alsace/Le Pays ».............................................................. 100 (inscription au même moment) Filiale (AP, Médiapost, CIME).......................................................... 100 Extérieur....................................................................................................................................160
BILLETTERIE SPORTIVE F OOT MULHOUSE / STRASBOURG / SOCHAUX 2 billets/an, 15 maxi par personne Autres rencontres sportives
FRIBOURG (Allemagne)
Achats en gros : se renseigner au CE.
METRO EQUIPEMENT (Mulhouse) Se renseigner au CE.
MUSÉES et TOURISME ANIMALIER Prix de groupe sur présentation de la carte du CE ou 20% sur présentation du billet d’entrée.
PARTENARIATS
2 billets /an ou 20% sur présentation de l’abonnement rencontres sportives
Vita Impex, Devianne, Bijouterie Delatour :
TICKETS RESTAURANTS
P oint S : 5 % sur présentation de la carte CE Eden Espace Dollfus & Noack Sausheim :
10 % sur présentation de la carte CE.
Jusqu’à épuisement du budget, limité à 1 carnet/mois : valeur du chèque : 3,20, avec participation du salarié de 50% par chèque. Conditions : uniquement personnel des agences. Cartes restaurant d’entreprise Clemessy disponibles au CE : équipes de jour, administration et personnel travaillant toute la journée.
ZOOS
réductions sur présentation de la carte CE Hippopotamus : réductions sur présentation de la carte CE (Dornach, Illzach).
SKI LA BRESSE
Possibilité de forfaits, renseignements au CE.
MULHOUSE
Tarif réduit sur présentation de la carte du CE Adulte.......................................................................................................................................... 7,50 Enfant (6 à 12 ans)........................................................................................... 2,50
MOBICARTE
2 0% sur présentation de l’abonnement
Valeur 25 + 5 ............................................................................................................... 24
ou 2 billets par an
valable 2 mois
T arif unique sans location de patins .......18 K arting sur glace ...........................................................................................54
@
METRO
BÂLE
BILLETTERIE SPECTACLE PATINOIRE carte de dix entrées
MUSCULATION
BONS DECATHLON Bons à 18 (valeur 20 ), 27 (valeur 30), 45 (valeur 50)
TU 108 sur la toile Retrouvez votre Trait d’Union sur le site : http://issuu.com/alsacece/docs/tu108
Horaires CE Renseignements complémentaires : Gisèle Fawer 03 89 32 70 34 Lundi 8 h 30 à 11 h - Mardi 14 h 30 à 17 h 15 Jeudi 8 h 30 à 11 h - Vendredi 14 h 30 - 17 h
Le CE est fermé le mercredi
Bulletin réalisé et confectionné par les travailleurs du Livre syndiqués du journal DEF - ABC
CINÉMAS
18, rue de Thann, TSA 68001 68945 MULHOUSE Cedex 9 sdh
Sport, loisirs, vacances, achats: le comité d’entreprise vous propose un large éventail de tarifs réduits. Certaines possibilités sont connues, d’autres moins. Voici une liste réactualisée des activités, spectacles, etc. bénéficiant d’une réduction. La billetterie marquée du signe est accessible aux retraités.