d’Union
Trait
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Mars 2013 à SEPTEMBRE 2013
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Le Pays est mort
vive Le Pays
Lundi 30 octobre 2013, jour funeste pour notre journal Le Pays. Après 33 années de vitalité, de combat quotidien du personnel pour élaborer un journal de qualité, la dernière édition de notre journal franccomtois est imprimée sur nos rotatives. Il n’y en aura plus d’autre. En trois coups de cuillère à pot, trois mois en tout et pour tout, l’affaire était dans le sac. Sans qu’à aucun moment, la moindre volonté de résistance à une décision scandaleuse n’ai vu le jour. Trait d’Union publie la prise de position de Michel Muller, ancien délégué syndical de notre entreprise et secrétaire général de la FILPAC-CGT :
Hubert STRAUEL
« J’ai pu, en son temps, en ma qualité de syndicaliste, accompagner la création du « Pays » à l’initiative de Jean-Marie Haeffelé. C’était un vrai défi et, je le pense, une vraie réussite. Il était clair que JAMAIS « Le Pays » ne pourrait être rentable à lui tout seul. Il était d’ailleurs né de la transformation de l’édition
Insurrection
Belfort de « L’Alsace » en journal spécifique à la Franche-Comté. C’est dire que j’éprouve une profonde tristesse à la disparition de ce journal… Le Crédit Mutuel a pu liquider un quotidien dans un silence de mort, alors que chacun sait qu’il est sensible aux réactions de l’opinion publique. Je reste persuadé qu’une campagne auprès de la population de la région aurait pu changer le cours des choses. Ou du moins permettre aux salariés de sortir dignement de cette affaire… Que devient le débat pluraliste s’il n’y a plus qu’un seul journal, « L’Est-Républicain » ? Que devient la démocratie quand la seule source d’information est tenue par le même groupe dans tout l’Est de la France ? Comment soutenir l’existence d’un journal nécessaire au débat démocratique mais qui ne pourra jamais atteindre le seuil de rentabilité ? Un groupe financier peut-il ou doit-il être le garant de ces valeurs et de ces principes ? Croyez-vous qu’un groupe financier investirait dans un organe de presse pour se faire des bénéfices à deux chiffres ? Quelles sont ses motivations profondes ? Ne pouvait-on pas développer toutes ces questions (et beaucoup) d’autres auprès d’une opinion
légitime
" Le changement, c’est maintenant ! " était le mot d’ordre qui a mené Hollande au pouvoir. Pas besoin de chercher midi à 14 heures, la volonté de remettre l’ordre établi en question a disparu de la circulation. Entre les prises de position d’un ministre de l’Intérieur qui aurait eu toute sa place au sein d’un gouvernement de droite, un grand argentier qui ne cesse de donner des gages au patronat et aux financiers, les scandales à répétition et l’aventure guerrière en Syrie, peut-on encore considérer ce gouvernement comme étant de gauche ? A force de renoncements, de compromissions et de capitulations en rase campagne, la réponse ne fait aucun doute. La revalorisation des salaires, des pensions, des minimas sociaux ? Aux oubliettes ! La bataille pour l’emploi ? Egarées, les promesses aux salariés d’Arcelor-Mittal, de Pétroplus, de Fralib, et de tant d’autres ! La défense de
Hubert STRAUEL
Lors d’un débat sur la réforme des retraites, organisé par la CGT, le 27 septembre à Mulhouse, le mot a été lâché : INSURRECTION ! Comment ne pas être sensible à ce qui grandit, à ce qui gronde dans la conscience militante. Nous sommes dans la conséquence logique de tout ce que le gouvernement socialiste inflige à la population et, plus particulièrement, aux salariés de ce pays. On a beau chercher, 18 mois après le changement de majorité, le bilan est accablant : explosion de la pauvreté, chômage massif, pouvoir d’achat en panne. Nous sommes maltraités et humiliés ! Et qu’on ne vienne pas radoter sur la crise : alors que les inégalités se creusent, les puissants et les fortunés se portent mieux que jamais ! Les 500 plus grandes fortunes professionnelles ont accrus leur revenu de 25 % en moyenne en 2012.
publique qui ne sera ému qu’un petit instant par des « obsèques » déjà célébrées, champagne à l’appui, par le Crédit Mutuel ? Mille regrets pour la bataille non menée… et donc perdue d’avance. » Il n’y a rien à rajouter, et on ne revient pas sur le passé. Bien sûr, on peut se donner bonne conscience, tous les emplois sont préservés, de même que les acquis sociaux. Mais cette liquidation doit être considérée pour ce qu’elle est : un immense gâchis. Il est évident que d’autres solutions étaient nécessaires, avec des réelles perspectives de développement. Mais de cela, il n’en était jamais question : toutes les propositions formulées par les élus du personnel ont fait l’objet d’un mépris total de notre direction et de l’actionnaire. Il faut aussi savoir tirer les leçons de ce que nous ressentons comme une véritable humiliation. Cette fusion, à l’instar de toutes les opérations de concentrations dans la presse, risque bien de se solder par une nouvelle hémorragie de notre lectorat. Plus que jamais, la construction d’un autre avenir pour une presse d‘information réellement pluraliste en Franche-Comté reste posée.
3 notre industrie ? Partie avec les délocalisations ! La réforme de la fiscalité ? Exit le super taux à 75 % ; pendant que le trafic de valises bat son plein, on fait payer ceux qui étaient exonérés ! Une telle dérive nourrit désarroi, amertume et colère et donne des arguments au populisme le plus réactionnaire. La droite et son extrême sont en embuscade pour ramasser la mise, avec la bénédiction des médias totalement mobilisés pour la promotion du Front National ! En matière de mesures sociales, la coupe est plus que pleine. La scandaleuse adoption de la loi, censée sécuriser l’emploi devient, dans les faits, une arme de destruction massive pour casser les droits des salariés. A ce titre, le cas de Behr-France est exemplaire. Sous prétexte de maintien de tous les emplois pendant deux ans, un odieux marchandage a été proposé aux organisations syndicales pour faire avaliser un "accord de com-
pétitivité", instaurant perte de salaires et remise en cause de la RTT. Ne trouvant personne pour signer un tel marché de dupes, la direction s’en est remise à un pseudo-consultationréférendum des salariés. Bien évidemment, à gros renfort de pression et de chantage, le résultat est à la hauteur. Pire, ceux qui n’accepteraient pas ces nouvelles conditions feront l’objet d’un licenciement pour motif économique ! La boucle est bouclée, et les droits des salariés laminés. Comme si cela ne suffisait pas, voilà que la question des retraites refait surface. Après quatre "réformes" successives, toutes plus catastrophiques les unes que les autres, nous étions en droit d’espérer un virage marquant sur cette question ! Peine perdue. Ceux qui étaient à nos côtés en 2010 pour combattre la réforme Sarkozy utilisent les mêmes arguments pour justifier de nouveaux sacrifices : "Nous vivons plus vieux,
donc il faut travailler plus longtemps !". Exit la promesse de retour au droit à la retraite à 60 ans, la revalorisation des pensions, ce sont les engagements pris devant la commission de Bruxelles qui doivent être tenus ! A ce titre, nos enfants, déjà bien démunis pour trouver un emploi, devraient cotiser 43 années pour accéder à une retraite à taux plein. Il est plus qu’urgent de décréter l’état d’urgence. Ils ont définitivement choisis leur camp, nous avons choisi le nôtre. Nous sommes en état de légitime défense, nous ne pouvons plus accepter de voir se succéder des réformes qui sont autant de recul de civilisation. Les moyens existent pour mener une autre politique, en phase avec les attentes de la majorité de la population. Faisons grandir, partout, la mobilisation pour le progrès social, pour une autre répartition des richesses, pour le droit à chacun de vivre dignement, dans une société solidaire et fraternelle.
Faire ce constat, c’est prendre la mesure de ce qui se prépare. Sommes-nous bien conscient que la disparition du Pays n’est qu’une étape vers le démantèlement complet du groupe Alsace Média, et le rapprochement présenté comme inévitable avec les DNA ? Une telle perspective doit être combattue avec la dernière énergie. Un défi que nous ne relèverons qu’avec l’implication totale et résolue de tout le personnel, sur la base de projets novateurs, garants du développement de la presse dans notre région. Nous y travaillons, dans l’intérêt de tous les salariés et des lecteurs de nos journaux. Nous ne pouvons plus accepter que le Crédit Mutuel continue son travail d’adaptation, sans nous donner les moyens d’intervention nécessaire. Il en va de nos emplois, de l’avenir de nos journaux, du droit d’accès de la population à une presse réellement pluraliste.
Si j’etais un vrai patron Hubert STRAUEL de presse !
buera au renouveau de notre notoriété, qui est fondamentale. Nous analyserons, ensemble, les retombées de cette consultation. Une concertation sera mise en place entre la rédaction et la diffusion. Enfin, nous allons développer de nouveaux outils pour créer une réelle interactivité entre nos rédactions, nationales, régionales et locales, et nos lecteurs, ainsi qu’entre nos équipes de la publicité et les annonceurs.
En premier lieu, il est impératif de rétablir ce qui est la colonne vertébrale dans toute relation : un climat de confiance. Je dois bien reconnaître que tout n’a pas été fait pour assurer des relations sereines entre nous. Mon attitude, considérant les élus du personnel comme des subalternes qui ne sont bons qu’à critiquer, doit changer. Et je vais arrêter de les traiter comme des combattants de 14/18, comme des gens qui ne comprendrait rien à rien. Construire le futur d’une profession qui souffre implique, plus que jamais, de favoriser un climat de respect mutuel, en associant ceux qui œuvrent quotidiennement à la confection d’un nouveau produit. Je vais, sans tarder, m’y employer. Deuxio, nous allons associer les premiers destinataires de nos journaux, nos lecteurs, à la réflexion sur l’évolution des contenus et l’aspect graphique de nos produits. Il est bien dommage que nous n’ayons pas pris le temps nécessaire de le faire pour aborder le chantier de l’évolution de la presse en Franche-Comté, sans savoir ce que nos lecteurs en pensent. Je le regrette profondément. Nous allons donc, sans tarder, organiser une consultation des lecteurs. Il ne fait pas de doute qu’une telle pratique aura des retombées positives et contri-
Les évolutions technologiques amènent de profonds bouleversements dans les pratiques de lecture et la mise en forme de l’information. Aujourd’hui, il faut bien avouer que nous avons pris du retard par rapport à ces évolutions, que nous subissons. C’est la question centrale qui explique la dégradation générale de notre secteur d’activité. Il s’agit de prendre toute la mesure de ce qui évolue pour déterminer les réponses appropriées. De nouveaux métiers apparaissent. Nous allons engager ce chantier, sans tarder, pour développer de nouvelles qualifications et répondre aux besoins qui s’expriment. Je vous invite donc à ouvrir les négociations avec l’objectif d’un accord de GPEC d’ici deux mois. Voilà résumé dans les grandes lignes les projets que je vous invite à mettre en œuvre. Ces objectifs ambitieux doivent nous permettre de retrouver le dynamisme nécessaire à la confiance, à l’optimisme et, surtout, des comptes positifs, ce qui aura des conséquences bénéfiques sur les relations sociales et l’état d’esprit des salariés.
Mathieu LERCH
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Denis mouille aussi le maillot de L’Alsace sur les cross
Vanessa, l’unique girl du service
Hervé : vélo, boulot, dodo
les yeux
du journal
Mathieu, sur le terrain : une image de plus en plus rare
Jeff (à droite) : l’ami des stars
Sur le terrain par tous les temps, souvent dans l’urgence du faits-divers, et avec la pression de transmettre leurs images le plus vite possible pour le site internet, les dix journalistes reporters-photographes du service iconographie sont avant tout des passionnés. Du nord au sud, voici une petite revue d’effectifs de « l’icono ». Jean-Marc Loos. Colmarien de naissance, il connaît aujourd’hui Strasbourg comme sa poche. Sillonnant les terrains de sport bas-rhinois et commis d’office à tous les rendez-politiques régionaux, Jean-Marc est notre abonné aux émeutes de la Saint-Sylvestre et ses voitures incendiées. Egalement ceinture noire de judo, il est devenu au fil des ans un pilier du service. Dominique Gutekunst. Entre Strasbourg, sa ville, la région de Sélestat où il a longtemps œuvré, et Colmar où il intervient régulièrement, Dominique parcourt un paquet de bornes à longueur d’année. Il connaît le nord de l’Alsace mieux que son GPS. Le saviez-vous ? Ce photographe expérimenté a débuté sa carrière chez Reuters. Si vous cherchez une bonne adresse pour une étape gastronomique, appelez- le ; sa bible c’est le guide Michelin. Hervé Kielwasser. Ludovicien devenu colmarien, Hervé a une préférence pour les photos de spectacle. Mais il est également en première ligne pour les reportages entre vignoble et montagne, toujours partant pour aller tirer le portrait d’une Vosgienne (les vaches) ou une course de ski. Depuis peu, il met son redoutable coup de fourchette au service d’une nouvelle petite bouche à nourrir, sa petite fille Azaria, qui vient d’arriver. Pour sûr, ça va nous le changer.
5 Vanessa Meyer-Wirckel. En poste à la rédaction colmarienne, Vanessa est enthousiaste, et ça se voit dans ses photos. Spécialiste des portraits souriants (les mains en l’air s’il vous plaît), elle s’est progressivement découvert une passion pour la photo de sport. Et tout particulièrement pour les footballeurs des SR Colmar, qu’elle aimerait bien pouvoir accompagner un jour en Ligue 2. Jean-François Frey. Le petit dernier du service est en première ligne sur les faits divers, le sport et l’illustration. Un championnat d’Europe ? Un scandale alimentaire ? Frey présent ! Avec une préférence marquée pour le hockey et le handball, qu’il a également pratiqué. Enfin, notre ami des stars peut se vanter d’avoir un sacré carnet d’adresse. Dom Poirier. Un tempérament artistique. Après un passage par Colmar pour y faire ses armes, puis une expérience dans les magazines hors-série, Dom est revenu dans sa ville, Mulhouse. En poste à la locale Mulhouse, il y assure plus que la vie de l’agglo, avec une passion nourrie de décibels. Du Nouma aux Eurocks, l’artiste n’est jamais loin. Et entre deux concerts, ce geek se consacre également à des travaux plus personnels autour de l’image.
Dominique (avec le casque noir) sur des manifs anti-Otan
Darek Szuster. De la locale Mulhouse, où il a débuté et passé de longues années, Darek a glissé de quelques kilomètres pour poser ses boitiers au siège. A présent, il peut faire profiter l’ensemble des éditions du journal de son coup d’œil, dont les terrains de prédilection sont les stades et les salles de spectacle. Si vous fréquentez la Filature, vous l’avez forcément croisé. Dans son armoire à souvenirs déjà bien remplie, figure en bonne place un reportage sur la mort de « son » pape, polonais comme lui, Jean-Paul II, en 2005. Denis Sollier. Le sportif du service. Après des années passées au service photogravure, Denis a embrassé avec bonheur la carrière de reporter-photographe. Discret, efficace et toujours partant, cet ancien coureur cycliste et tri-athlète de haut niveau a gardé la pêche, une belle foulée et un sacré coup de pédale. Et dans son job également, Denis est un véritable tout-terrain !
Dom n’hésite pas à s’exposer
Jean-Marc, super-heureux de photographier le Racing
Mathieu Lerch. Après des années de reportage photo à Colmar, il s’est installé derrière un bureau au siège. Jamais loin du téléphone et de ses mails, le responsable de l’icono fait bosser les autres sur le terrain. Et entre deux réunions, il s’arrache les trois cheveux qui lui restent quand il ne trouve pas la bonne photo dans les archives ! Thierry Gachon. Il est le doyen du service (à quelques semaines près), mais il court d’un reportage à l’autre comme un jeunot ! Spécialiste des dossiers régionaux, notamment l’énergie et le développement durable, son énergie à lui, justement, semble inépuisable. Dans l’équipe, c’est aussi le spécialiste du matos photo. Et si vous avez besoin d’un conseil de prise de vue, c’est aussi l’homme de la situation.
Thierry, toujours à fond
Darek, aux petits soins avec les « journalistes au collège »
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Thierry Boillot
salut Jean ! Après 35 années au service de la
noble cause du journalisme de terrain,
Jean Becker quitte L’Alsace-Le Pays pour une retraite active. L’aventure reste au menu de sa nouvelle vie. Entre journalistes, l’autopromotion, c’est pas trop notre truc. Mais Jean Becker n’est-il pas notre loup blanc ? Celui que tout le monde connaît. Le photographe qui « shoote » plus vite que son ombre. Droit sous les matraques des CRS en pleine manif sociale ou invraisemblable de culot sur la grande scène des Eurockéennes malgré tous les barrages « infranchissables ». Entre gens du métier, on sait qu’il a le pass que d’autres n’ont pas. Un laissez-passer qui porte son nom : Jean Becker ! La signature du grand gaillard va se faire plus rare, puisque Jean est parti en retraite au mois d’avril. Etudiant en géographie dans les années soixantedix, ce Belfortain pur jus se passionne très vite pour le haut Doubs, sa faune, sa flore, ses paysages, son terroir… Fier de ses racines comtoises, il n’en a pas moins la bougeotte.
A 17 ans, il part en Suède et à 18, il met le cap sur la Laponie au-delà du Cercle polaire… en 2CV ! Deux ans plus tard, il recense les oiseaux nicheurs au Spitzberg, dans la baie de Ny Alesund, en Norvège, un endroit où il retournera maintes fois, jusqu’à survoler la banquise en montgolfière par -42°… Cet appétit d’aventures fait partie du personnage. « Jules Verne et Jack London sont mes auteurs favoris, dit-il. Normal que je finisse par devenir aventurier en ballon dans le Grand Nord ». Après être passé par le Panama, c’est en Papouasie Nouvelle-Guinée qu’on le retrouve en 1978. Son secret pour assouvir ses rêves ? Garder les pieds sur terre, dénicher sponsors, partenaires, et préparer minutieusement chaque expédition. Cette année-là, il négocie avec L’Alsace-Le Pays un reportage au pays des papous. Accueilli par « un évêque en short » dans une mission canadienne et découvreur d’une espèce rare de varan, Jean est recruté par le journal à sa descente d’avion, dès son retour à Belfort. C’est parti pour 35 ans de journalisme. Avec une insatiable passion pour le grand reportage. « Tous les rédacteurs en chef m’ont fait confiance en me laissant partir à travers le monde, raconte Jean. J’ai dû visiter une cinquantaine de pays ». En 1981, aux côtés de notre confrère Patrice Malina, il immortalise la naissance du syndicat Solidarnosc après une veillée à la table de Lech Walesa à Gdansk. Sa photo, via l’agence Sygma, se retrouve publiée un peu partout. Mais au retour, nos deux reporters sont épinglés par la milice polonaise, passant quelques heures sous les verrous. Il en faut plus pour contrarier Jean Becker : « J’ai suivi tous les théâtres d’opération de l’armée française : Kosovo, Bosnie, Afghanistan, Tchad, Côte d’Ivoire, Centrafrique, Guyane et le Liban. Je ne suis jamais parti la fleur au fusil. J’étais en contact avec les états-majors.
L’important est de ramener de l’info, pas d’avoir l’obsession du scoop. Je me souviens d’une fusillade au Kosovo qui nous avait surpris, mais ce n’était qu’un mariage ! » La trouille, Jean la connaît vraiment lorsque, durant son passage à la rubrique « faits divers » du Pays, il est la cible d’un forcené à la Petite Hollande à Montbéliard. « Quand les balles claquent à un mètre de toi dans le macadam, ça ne s’oublie pas ! » L’autre facette de Jean Becker, c’est le bon vivant, l’épicurien défenseur des produits comtois. Ce qui lui vaut de couvrir d’année en année le Salon de l’agriculture à Paris ou la Percée du vin jaune dans le Jura. Pour les photos d’un livre de recettes régionales, il parcourt 10 000 km en Franche-Comté et pour le compte de la rubrique « Savourer » de notre Guide Week-End, il visite plus de 300 restaurants. Lorsqu’il lâche sa fourchette, c’est pour dégotter des suggestions de sortie dans le Grand Est. Il signe alors 200 reportages pour « L’idée du dimanche ». Il suit également le chantier du TGV ou les élections de Miss France à travers l’Hexagone. Parallèlement, une nouvelle passion est née : Jean Becker a créé le Club Aérostatique de Franche-Comté, puis Ballooning Adventures. A la suite d’un reportage sur les montgolfières à Arc-et-Senans en 1981, son cœur est resté entre ciel et terre : « Je me suis dit qu’il y avait là une autre façon de voir le monde »… En retraite depuis avril, Jean a toujours la bougeotte. Il est déjà retourné en Laponie et prépare une nouvelle virée ballons en Ecosse pour le mois de juin. « Je vais travailler à un autre rythme, vivre en famille mais je reste dans le bain », avertit Jean Becker qui, c’est certain, ne laissera pas de sitôt son téléobjectif au placard.
Francis Laffon, paroleet Rémy BRUDER
Francis croqué par Giefem
Dernier clin d’œil à l’entreprise
qui l’a employé depuis 1972, et à la
rédaction qu’il a portée ces huit dernières années : Francis Laffon a choisi le 1er avril pour dater son départ à la retraite, à 64 ans. L’enquête menée par nos journalistes-maison avait très vite abouti : c’était un faux poisson d’avril, mais une vraie info. Le directeur des rédactions de L’Alsace-Le Pays a quitté la scène du journalisme sur un de ces traits d’humour qui contribuent à sa réputation, pour s’installer sur d’autres podiums, celles des salles de spectacles où il donne à présent libre cours à une autre passion : la musique, la chanson, qu’il avait mises en sourdine pendant de longues années. Dès 1970 en effet, il se produit, dans l’insouciance et au mépris du qu’en-dira-t-on, devant un millier de spectateurs à la Foire aux Vins de Colmar, en première partie du chansonnier et fantaisiste Ricet Barrier. Ce n’est qu’en 2011 qu’il réapparaît
Trois directeurs de la rédaction réunis à l’occasion de la sortie du journal dans sa nouvelle formule, en 2006 : Jean-Marie Haeffelé et son fidèle secrétaire général Raymond Claudepierre, Paul Eschbach et Francis Laffon, de gauche à droite.
dans les cafés-concerts parisiens, à Strasbourg, ou encore à l’Espace 110 à Illzach. 41 ans sont passés entre temps, 41 ans que Francis Laffon a consacré au journalisme, dans des fonctions multiples. Il fait ses classes à la rédaction locale de Mulhouse jusqu’en 1977, avant d’être chargé de l’économique et du social aux informations générales, jusqu’en 1985. Il signe ensuite un long bail avec Paris, où il est notre représentant permanent – et éminent – jusqu’en 2005. Pendant ce même tiers de siècle, on le voit aussi dans les hautes sphères du CFPJ (Centre de formation et de perfectionnement
de journalisme), où il est successivement trésorier, puis membre du conseil supérieur, et enfin président. En 2005, il est appelé par la direction à prendre les rênes de la rédaction. Ces fonctions à l’étage le plus élevé ne le transforment pas. Il gère cette succession, qui survient dans un contexte singulier, avec la finesse et le doigté d’un acupuncteur. Il conserve le sens de l’écoute, il valorise le savoir-faire, donne un sens aux projets qu’il porte pour la rédaction, afin que le journal conserve la haute estime de ses lecteurs. Il reste fidèle à sa ligne de conduite, à sa parole. Mais l’humour est toujours là, qui entretient sa saveur à travers ces calembours quotidiens. Francis installe à présent cet humour, entre autres sensibilités, sur la portée d’un auteur-compositeurinterprète qui ravive une passion de jeunesse. Il donne à l’écriture une autre forme d’expression, en s’inspirant de quelques grands classiques de la chanson française, comme Georges Brassens ou Léo Ferré, mais aussi des phénomènes de la nouvelle génération, Camille en tête. Il ne faut pas vivre sur un parcours fléché. Francis Laffon trouve son inspiration entre l’Alsace et Barbès ou encore, entre la Grèce et le Brésil, quand l’exotisme le dispute au terroir. Puisqu’il n’y a pas de salsa sans salsaciens…
Francis quitte L’Alsace - Le Pays dans la bonne humeur, la guitare à la main
8 Les sections sportives
Comptes d’exploitation 2012 Rubriques sociales : très bonne affluence et participations à la journée enfants, bowling et laser-game. Même constat pour la fête de Noël, après-midi dégustation et récréative, spectacle et concert.
Compte d’exploitati
bilan 2012
prévisionnel
La réunion des présidents et trésoriers des sections sportives de L’Alsace/Le Pays s’est déroulé le 19 février 2013. Très peu de changement en 2012 au sein des équipes dirigeantes. A noter les nominations de Gaby Challande au poste de secrétaire de l’ARA (Association des Retraités de L’Alsace et de Daniel Riffel comme trésorier de la section Tennis. Côté activités, l’ensemble des sections dites « raquette », Tennis de Table Mulhouse, Tennis de Table Colmar, Tennis, Badminton concoure toujours, avec plusieurs équipes masculines et féminines, en corpo* avec des résultats, plus que respectable. Alors allez les voir et les encourager sur les courts, les parcours ou dans les stades et pourquoi pas franchir le pas, devenir un membre actif et sportif d’une section. La section ski, en plus de la semaine à Châtel, organise plus de week-end à la neige. La section marche, marche et marche encore à travers champs, prés et forêts avec visite prévu de châteaux. La section cyclos, quant à elle, en plus des parcours alsaciens, pédale et pédale encore à travers la Suisse, les Alpes et l’Italie (lac de Garde). N’oublions pas l’ARA, la section des retraités du journal, qui même si elle ne joue pas en corpo, est toujours aussi active. Ses plus de 100 membres sont conviés à plusieurs sorties étalées sur toute l’année. Côté budget : les comptes, comme d’habitude, sont bien tenus et maitrisés. Les subventions C.E. ont été ajusté par rapport aux activités et au nombre de membres de chaque section. Le montant de l’enveloppe globale dédiée aux sections sportives reste néanmoins équivalent à l’année précédente. *Le sport corporatif : la pratique sportive dans des associations créées au sein des entreprises. Avec des compétitions opposant différentes entreprises industrielles, commerciales, d’administrations ou des professions libérales
Laurent BELTZUNG
Bilan financier 2012 Compte social Compte Fonctionnement Section Athlétisme Section Tennis de Table Colmar Section Tennis de Table Mulhouse Section Volley Section Musculation Section Cyclotourisme Section Tennis Section Ski Section Pêche Section Ball-Trap Section Football Mulhouse Section Badminton Section ARA Section Vacances Caisse Social Caisse Fonctionnement Chèques à encaisser Billetterie à encaisser Divers commandes à encaisser Aide exceptionnelle
221,08 334,37 4402,39 1966,58 174,96 647,84 0,27 928,25 161,84 697,50 10,01 611,43 675,40 933,30 267,47 5016,02 713,28 150 775,40 742,35 0,00 18 150,00
Livret Bleu Social
23 819,95
Livret Bleu Fonctionnement
10 978,93
Billetterie stock
15 374,10
ACTIF Renouvellement immobilier A débiter sur Social A débiter sur Fonctionnement PASSIF SOLDE NET (actif - passif)
Sous-total
16 373,04 863,28
19 667,75
87 077,05 20 000,00 5191,13 1014,73 26 205,86 60 871,19
2013
BUDGET SOCIAL
Subvention 2012 Section Athlétisme Section Tennis de table Colmar Section Tennis de table Mulhouse Section Volley Section Marche Section Musculation Section Cyclotourisme Section Tennis Section Ski Section Pêche Section Football Mulhouse Section Badminton Section ARA Commission Vacances Aide exceptionnelle Sortie Enfants Fête de Noël Bons d’achat Noël Bons d’achat vacances Retraités Colis de Noël Retraités sortie Tickets restaurant Billets Sport / Loisirs / Culture Frais de personnel Divers Investissements Subvention Fonctionnement Compte d’exploitation social
BUDGET FONCTIONNEMENT
Subvention 2012 Frais juridiques Frais de déplacement Frais de formations Rencontres CE Commission études-investissements Abonnements revues Frais assurances Trait d’Union Fournitures bureau Frais de fonctionnement Divers Frais de personnel Compte d’exploitation fonctionnement
COMPTE D’EXPLOITATION 2012
ion 2012
9 du 1er février 2012 au 31 janvier 2013
Subventions Débit Crédit Solde 216 000,00 1000,00 1000,00 0,00 0,00 1000,00 1000,00 0,00 0,00 1800,00 1800,00 0,00 0,00 1500,00 1500,00 0,00 0,00 500,00 500,00 0,00 0,00 1800,00 1800,00 0,00 0,00 3500,00 3500,00 0,00 0,00 3600,00 3600,00 0,00 0,00 1 800,00 2800,00 0,00 -1000,00 5000,00 5000,00 0,00 0,00 1000,00 324,60 0,00 675,40 3000,00 3000,00 0,00 0,00 1700,00 1700,00 0,00 0,00 12 000,00 8633,16 0,00 3366,84 0,00 17 950,00 10 610,00 -7340,00 2000,00 1947,06 630,00 682,94 18 000,00 19 200,22 978,34 -221,88 20 000,00 19 855,75 0,00 144,25 28 000,00 27 797,50 0,00 202,50 12 000,00 10 125,00 0,00 1875,00 3000,00 0,00 0,00 3000,00 14 000,00 23205,12 10 906,80 1701,68 6000,00 53 807,28 45 533,05 -2274,23 13 000,00 13 653,17 0,00 -643,17 6000,00 3273,92 38,40 2764,48 12 250,00 8266,58 0,00 3983,42 42 500,00 173 450,00 277 739,36 284 696,59
Prévisionnel Débit Crédit Balance 42 500,00 100,00 0,00 0,00 100,00 5500,00 5217,22 154,10 436,88 3000,00 2611,85 0,00 388,15 4000,00 3892,69 0,00 107,31 1 300,00 2054,46 240,00 -514,46 500,00 224,00 0,00 276,00 2100,00 2225,86 244,03 118,17 6500,00 4952,49 0,00 1547,51 2000,00 2754,43 0,00 -754,43 15 000,00 15 674,09 533,10 -140,99 0,00 5592,56 5592,56 0,00 2500,00 1518,62 0,00 981,38 42 500,00 46 718,27 49 263,79
324 457,63 333 960,38
Les investissements, entre autres, l’aménagement de l’étang de pêche, rampe, bancs, barbecues et le site de Malbuisson, nouveau revêtement extérieur et nouveau plancher intérieur ont été réalisés. Le budget est en excédant de 6957 euros. Rubrique fonctionnement : investissement d’un nouveau photocopieur et d’une nouvelle télévision au local C.E., le tube cathodique a été remplacé par un écran plat. Le budget est positif de 2545 euros. Budget prévisionnel 2013 L’ensemble des rubriques, sortie enfants, fête de Noël, cinéma, etc. sont reconduites. Avec en prévision 2013, une sortie pour les enfants estampillée « Europa Park » et une fête de Noël nouvelle formule… à suivre et bien entendu à voir ! Venez nombreux ! Pour la commission vacances, à noter l’abandon du site du Verdon, par manque de fréquentation. Le mobil-home devenu trop vétuste a été vendu sur place aux gérants du camping. Des discussions sont en cours pour étudier d’autres propositions. Côté investissements, se sera au tour de l’appartement d’Avoriaz d’en bénéficier, avec au menu, changement des revêtements de sol, placard et aménagement de la chambre. La dotation globale pour l’année 2013 restera inchangée, à savoir 176 000 euros pour le budget Social et 40 000 euros pour le budget Fonctionnement.
COMMISSION VACANCES
Bilan 2012
ANTIBES 4409,83 ArDÈCHE 395,00 AVORIAZ 1160,78 BALARUC 1006,35 MALBUISSON 53,90 PORT-BOURGENAY 1808,12 VERDON -1427,00 VIAS -412,66 Déplacements -2497,08 Investissements -1882,98 Divers -574,69
Résultats au 31/12/2012 Situation au 31/12/2012 Répartition
2039,57,00 5016,02,00
Livret dépôt Compte courant Espèces
4031,59 964,43 20,00
BUDGET PRÉVISIONNEL DU CE 2012 2013 Section Athlétisme 1000 1000 Section Tennis de table Colmar 1000 1200 Section Tennis de table Mulhouse 1800 1800 Section Volley 1500 1200 Section Marche 500 1000 Section Musculation 1800 1800 Section Cyclotourisme 3500 3300 Section Tennis 3600 3400 Section Ski 1800 2200 Section Pêche 5000 5000 Section Football Mulhouse 1000 1000 Section Badminton 3000 3000 Section ARA 1700 1400 Sortie Enfants 2000 4000 Fête de Noël 18 000 21 000 Bons d’achat Noël 20 000 20 000 Bons d’achat vacances 28 000 28 000 Commission vacances 12 000 12 000 Retraités Colis de Noël 12 000 12 000 Retraités Sortie 3000 0 Tickets restaurant 14 000 14 000 Billets Sport / Loisirs / Culture 6000 6000 Frais de personnel 13 000 13 000 Divers 6000 6000 Investissements 12 250 12 500 TOTAL BUDGET SOCIAL 173 450 175 800 Frais juridiques Frais de déplacement Frais de formations / études Rencontres CE Commission études-investissements Abonnements revues Frais assurances Trait d’Union Fournitures bureau Frais de fonctionnement Frais de personnel TOTAL BUDGET FONCTIONNEMENT TOTAL GÉNÉRAL
100 100 5500 5000 3000 3000 4000 4000 1300 1300 500 500 2100 2100 6500 6000 2000 2500 15 000 13 000 2500 2500 42 500 40 000 215 950 215 800
Sandrine DEBENATH
pari gagné !
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Il fallait oser... 76 enfants toute une
journée à Europapark. C’est le défi qu’a relevé
la commission vacances pour la sortie annuelle 2013. Pari gagné ! Deux bus, 17 accompagnateurs, deux personnes chargées de l’intendance, 213 moricettes, 92 briques de cola-d’eau-jus de fruits, compotes et goûters plus tard, l’expédition pouvait commencer. Le 24 avril 2013. Et quel jour bien choisi ! Le plus ensoleillé de la semaine, sans être trop chaud. Parfait !
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8 h 30. Les bus partaient direction Rust, pour une journée qui allait être riche en émotions. Le trajet a permis de retrouver les copains, d’en découvrir d’autres et de faire connaissance avec son « accompagnateur » et son groupe. Stress de la journée : « tu as tous tes enfants ? » A peine le temps d’arriver et de descendre des bus que voilà les groupes déjà partis dans le parc à l’assaut des manèges. Tout était une question de programme... Certains au feeling, d’autres avec un vrai planning à suivre, les enfants ont mené la danse guidant (pour ne pas dire traînant parfois) les accompagnateurs d’attraction en attraction. Ceux qui ont bravé leur peur des manèges
à fortes sensations pour suivre le groupe et ne pas faire « la chochote », se sont finalement découvert plus courageux qu’ils ne pensaient ! « Avec maman et papa j’osais pas le faire... » Avec l’équipe de choc de la commission vacances (renforcée) si ! Quel plaisir cette joie sur le visage des enfants, qui, pour nombre d’entre eux n’étaient pas venus depuis fort longtemps... Les photos sur ces pages en témoignent. Avec nos excuses pour les enfants dont les accompagnateurs n’étaient pas équipés d’appareil photo... Les souvenirs resteront gravés tout de même. 12 h 30. Rendez-vous incontournable... Le pique-nique. Mené d’une main de maître par Laurent Beltzung et Brahim Bouchareb,…
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…les groupes affamés n’avaient qu’à « mettre les pieds sous la table », le repas était servi ! Mais pas de temps à perdre... Les moricettes vite englouties, les compotes et gâteaux en poche pour le goûter et c’était reparti pour l’après-midi ! Au tempo du matin, au grand dam des adultes... Infatigables ces bambins ! Il y avait encore tellement d’attractions à faire ! Les jeux d’eau permettant de se rafraîchir, ceux à grande vitesse de se sécher... Les « tasses » et autres « tournis » esquivés après le repas, n’empêchèrent pas l’accident de parcours ! Un souvenir aura été laissé à l’infirmerie ! 1/4 h de repos pour l’estomac du malheureux et les activités pouvaient reprendre. L’après-midi passa aussi vite que les 127 km/h du Silver Star ! Il était déjà 17 h 45 et les bus devaient reprendre le chemin de Mulhouse. Dernière grosse frayeur de la journée : le compte était-il bon ? Oui !! Pari gagné, 76 enfants au retour. Il ne restait qu’à rentrer pour raconter aux parents la journée passée. Encore un grand merci à Brahim, Aude, Laurette, aux trois Laurent, à Franck, William, Sébastien, Vincent, Gilles, Jean-Jacques, Denis, Hubert, Petra, Jean-Claude, Armelle et Karine, sans qui cette journée aurait été impossible à organiser. Merci aussi aux parents de nous avoir fait confiance ! Les enfants : rendez-vous en avril 2014 avec, sans aucun doute, une nouvelle sortie tout aussi réussie !
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✗
Surprises et nouveautés au programme de la fête
2013
de Noël proposée par le CE, le dimanche 1er décembre 2013 à partir de 14 h à l’espace Dollfus & Noack de Sausheim. 14 h tapante, chers invités. Et pour cause ! Dès votre accueil vous serez pris en main pour une après-midi qui ne va pas finir de vous étonner ! Soyez ponctuels ! Cette année la commission sociale bouscule les traditions et vous propose deux spectacles surprenants ! « Peter Panpan » un duo improbable sérieusement atteint du syndrome de Peter Pan qui fabrique du Hip Hop potache et décomplexé avec un seul objectif : nous faire rajeunir tel un bon bol de botox ! Attention aux oreilles ! « La poubelle histoire du monde ». Avec un conteneur à musique et une imagination vagabonde, un drôle de balayeur fait son cirque. L’histoire d’une poubelle merveilleuse, de rêves enfouis qu’il dépoussière. Autre nouveauté, la fresque à sourires... les enfants découvriront cette activité tout au long de l’après-midi qui promets bien des merveilles à présenter aux parents ! Les maquilleuses, la tradionnelle tombola et le père Noël toujours aussi généreux seront comme d’habitude de la partie. A tous ceux qui n’auraient pas encore testé la nouvelle formule de la fête de Noël à l’espace Dollfus & Noack de Sausheim, et bien sûr à tous Dans vos agendas la séance ciné enfants du samedi 28 décembre 2013, les habitués, la commission sociale renouvelle son à 9 h 30 à la salle Gérard-Philippe invitation chaleureusement. N’oubliez pas ! Soyez de Wittenheim, à l’heure pour le début des festivités à 14 h ! pour le dernier Walt Disney
A NOTER
14 Grand’or
• 40 ans de service • Monsieur Pierre-Louis CEREJA. Il est entré dans notre entreprise comme stagiaire à la locale Mulhouse en 1972, l’année du « Charme discret de la bourgeoisie » ; il a rejoint les informations générales en 1987, l’année de « Full Metal Jacket » ; il a été chargé de l’A3 Forum aux informations générales en 1990, l’année des « Affranchis »; il a été nommé responsable du supplément week-end en 2007, l’année de « Ratatouille »; il a passé le cap des quarante ans de carrière en 2012, l’année du chef d’œuvre de Michael Haneke « Amour ». La Palme d’Or, pardon la médaille Grand Or à été décernée à notre Monsieur Cinéma, Pierre-Louis Céréja.
lauréats
les
2013
Monsieur Marc ZEISSIG. C’est en tant que dessinateur-maquettiste au studio dessin que Marc a commencé sa carrière au journal le 2 janvier 1974. Son parcours professionnel s’est poursuivi au service mettage-publicité. S’en est suivi une longue période au studio AP, où ses qualités de sérieux et de volontariat ont été unanimement appréciées par ses collègues et ses responsables. Avant son départ à la retraite, Marc Zessig est revenu au service prépresse du journal en janvier 2011. Passionné de maquettes, qu’il construit avec une grande patience et habileté, il est également un véritable spécialiste de l’automobile capable de reconnaître un modèle à partir d’un simple détail photographique.
or • 35 ans de service • Monsieur Serge AIMETTI. Après ses débuts au Provençal, il est venu braver l’hiver du nord-est à la rédaction de Colmar, en 1978. Puis Serge est parti s’installer à Mulhouse, où il est chargé du plan au desk central depuis 2003. Il prépare les futures générations de journalistes puisqu’il forme les étudiants du CUEJ de Strasbourg. On lui doit également un livre consacré à Béatrice Hess, la championne la plus titrée du sport adapté français. Monsieur Rémy BRUDER. Formé au Courrier de l’Ouest, Rémy Bruder a mis le cap à l’est pour entrer à la rédaction des sports de L’Alsace en 1977 où il a géré de multiples rubriques. Quelques voyages plus loin, du Paris-Dakar aux coupes d’Europe de basket, on le
retrouve au poste de responsable de la rédaction des sports, puis de rédacteur en chef adjoint. Les longs déplacements effectués pour le compte du journal ont laissé la place à d’autres parcours, les parcours de golf. Monsieur Thierry GACHON. Doyen des reporters-photographes de l’entreprise. Le plus ancien certes, mais uniquement en âge. Car Thierry Gachon a su garder intacte la flamme qui l’animait lorsqu’il était journaliste stagiaire à Colmar en 1978, puis affecté l’année suivante en tant que reporter-photographe à Strasbourg, avant de revenir à Colmar en 1980. Il s’est illustré en gérant le passage de nos correspondants locaux à la photo numérique. Toujours partant pour un reportage dans les Vosges enneigées ou en Ukraine, dont il a rapporté une magnifique expo sur l’après-Tchernobbyl, il assure aujourd’hui la couverture photo des dossiers régionaux, tout en secondant le responsable de l’iconographie. Monsieur Bernard HAMANN. Il n’a jamais été un « petit localier » puisqu’à son arrivée à Sélestat, Bernard mesurait près de deux mètres. Il s’est dévoué corps et âme pour l’édition du Centre Alsace dont il a été nommé responsable en 1992. Ce Centre Alsace auquel il est resté attaché après son départ pour Mulhouse quand, en 2010, il est devenu notre « Monsieur Correspondants et Dialogue ». Monsieur Gérard HELIGON. Quotidien de La Réunion, Télé 7 jours Réunion, Presse Océan, Ouest France, Voix du Nord, La Dépêche à Dijon… C’est finalement à L’Alsace-Le Pays que Gérard Héligon a décidé de se poser en 1988. Plus précidément au desk de l’agence colmarienne. Et, depuis 1990, il s’est établi en FrancheComté. D’abord à Montbéliard, puis à Belfort, où il officie toujours comme secrétaire de rédaction. Monsieur Daniel HO VAN CHINH. Faire de sa passion son métier, c’est le rêve de tout un chacun. Daniel l’a réalisé : après sa formation aux beaux-arts, il est entré à L’Alsace Publicité comme dessinateur maquettiste, avant de devenir chef de studio. Sa sensibilité s’exprime également dans la photo, qu’il pratique volontiers à l’occasion de ses nombreux voyages. Mais un regard et un esprit d’artiste n’empêchent nullement de se bâtir un corps de sportif. En l’occurrence, en pratiquant une discipline qui peut être utile en cas de mauvaises rencontres : le karaté. Son âme de poète, l’amène aussi, au gré de ses humeurs, à composer des Haïkus.
Madame Béatrice LIENHART. Entrée en 1980 en qualité de claviste, « Béa » pour les collègues est actuellement préparatrice de la forme imprimante. Très appréciée dans son service, Béa est multi-casquette. Tantôt conseillère, tantôt maman, couturière, épaule sur laquelle s’épancher, elle est toujours disponible pour rendre service et a véritablement le cœur sur la main. Artiste et bricoleuse dans l’âme, elle peint tous les motifs imaginables sur des supports variés : armoires, portes, tuiles ou ardoises. Avec un petit pot en terre cuite, elle peut vous créer un chat, une grenouille, un angelot ou une vache. Et quand elle ne manie pas les pinceaux, la colle et les ciseaux, elle court les marchés aux puces en quête d’ustensiles de cuisine anciens, de masques africains ou tout autre objet qui la fera craquer. Imaginez le plaisir qu’elle a de se rendre, chaque année, à la grande braderie de Lille. Son rêve... vivre en Corse ! Madame Josette MICHAUD. Entrée en 1988 au Pays comme employée remplaçante, Josette est devenue secrétaire à la rédaction
de l’agence de Montbéliard en 1996. Elle y officie toujours avec efficacité et énergie, prête à se mettre en quatre pour trouver une solution pour trouver un correspondant en dernière minute, passer un communiqué, répondre à un lecteur, alliant à la fois sens de l’organisation et diplomatie. Ses loisirs, elle les occupe à la lecture de romans, à la randonnée ou au jardinage. Mais des loisirs, elle en a peu : en plus de son travail au Pays, la mairie de Bethoncourt remplit son agenda. Josette Michaud est adjointe aux affaires sociales, à la solidarité et à l’emploi à la ville de Bethoncourt depuis mars 2008. Monsieur Philippe NICO. Entré le 19 juillet 1980 en tant que chauffeur au service expédition de nuit, Philippe Nico est actuellement aide-rotativiste. Mécanique, informatique, aviation et nautisme font partie de ses passions. Il passe d’ailleurs beaucoup de week-ends au bord du Lac Léman. Plus pour y naviguer que pour s’y baigner…
15 Monsieur Thierry BOILLOT. Il est notre rockeur de service, grand serviteur des Eurokéennes devant l’éternel. Chez lui, cette médaille de vermeil sera fêtée sans fausse note. Nul doute que Thierry Boillot l’arrosera dans quelques jours au bord du lac de Malsaucy à quelques mètres de la scène des Eurocks et avec ses collègues du supplément week-end. Monsieur Patrick GERBER. Chauffeur depuis 1982, Patrick Gerber est actuellement conducteur de machine. Fan d’informatique, il s’adonne volontiers aux jeux vidéo sans oublier de passer à table pour de bons repas entre amis. Madame Yolande HAFFNER. Elle a intégré le poste d’employée de bureau en 1982 dans l’agence de Wittelsheim située au cœur du Bassin potassique. Depuis sa fermeture en 2009, Yolande Haffner répond avec le sourire et gère diverses situations au Centre de la Relation Client. Gymnastique hebdomadaire et virées en grosse cylindrées, par monts et vallées, entretiennent sa forme.
Monsieur Theo RITTELMEYER. Depuis de nombreuses années, Monsieur Theo est notre « desk jockey », puisqu’il est chargé du plan desk central et, en même temps, l’inégalable «Incitatus» de nos pages hippiques. Il figure d’ailleurs tous les ans parmi les meilleurs pronostiqueurs de France. S’il jouait plus souvent, il serait certainement riche comme Crésus.
Monsieur Christophe STOFFEL. Entré en août 1999 en qualité de rotativiste débutant, Christophe Stoffel est depuis passé dans la catégorie des confirmés ! Le sens de l’humour et toujours le mot pour rire quelles que soient les situations, sans lui les nuits à la rotative ne seraient pas pareilles. Il a d’ailleurs un vrai don pour les jeux de mots.
Madame Catherine RUZYLA. Entrée à L’Alsace-Publicité en qualité de vérificatrice facturière en 1978, Catherine a été nommée aide-comptable, puis agent principal en 1988, avant d’être promue comptable 2e échelon en 1993. La rigueur et l’attention qu’exige la pratique consciencieuse de la comptabilité sont probablement des qualités requises dans d’autres domaines. En matière de cuisine, par exemple, quand il s’agit de réussir une nouvelle recette. Et pourquoi pas dans un domaine moins connu, comme celui de la danse de salon, son autre passion.
VERMEIL
Madame Brigitte LUSTENBERGER. Tout le monde ne connaît pas Brigitte, Brigitte connaît tout le monde, et pour cause : elle est responsable des paies ! Elle plonge avec autant de délice dans les entrailles de la réglementation de la paie et de son système informatique, que dans les mers et océans sur lesquels elle navigue toutes voiles dehors dès qu’elle le peut. Sur terre ou sur mer, c’est une parfaite équipière.
• 30 ans de service •
Monsieur Francis MERRENT. Lorsque Francis prend des congés de plus d’une semaine, nous savons qu’il part forcément au soleil. Très souvent sa destination de prédilection est l’Egypte. Comme Bastet, déesse égyptienne à tête de chat, il aime la musique et sous ses allures d’homme paisible et discret se cache un fan, passionné de hard rock des années 70. Pour gérer les petites annonces du journal, il travaille depuis maintenant plus de deux ans au siège, en duo avec Anne Seebert.
Madame Laurence BURGLEN. Responsable du service formation, Laurence Burglen en maîtrise les arcanes et vous oriente quand vous lui soumettez vos projets de CIF, DIF et autres VAE. Si ces acronymes ne vous disent rien, n’ayez pas d’inquiétude, il vous suffit de vous rapprocher d’elle et vous aurez toutes les explications nécessaires. Cette ancienne motarde est toujours la poignée dans le coin (pour les non motards traduisez par « à fond les gaz »), au travail comme à la maison !
Madame Heidi ROUSIER. Heidi est entrée à L’Alsace en tant qu’employée d’administration à l’agence d’Altkirch le 12 juillet 1982. Durant ces 21 années, elle a accueilli les lecteurs du journal avec professionnalisme, dans la bonne humeur et sans se départir de son sourire. Après ses longues années au guichet, elle intègre l’équipe de la rédaction d’Altkirch, le 1er juillet 2006. Ses qualités humaines, elle les a aussi mises aussi au service du monde associatif dans lequel
elle s’est faite un nom grâce à son implication depuis de très nombreuses années en tant que bénévole dans plusieurs associations altkirchoises. Monsieur Alain ROY. Passionné de voyages, ce journaliste du Pays a déjà visité le Vietnam, le Pérou, la Croatie, le Mexique, le Cap Vert, la Chine ou encore l’Islande. Séduit par l’Orient Express, il rêve aujourd’hui de prendre le Transsibérien. Nos lecteurs, il les fait voyager en les emmenant au spectacle. Lui qui était de la première édition du Pays à Montbéliard, en tant que correspondant, est devenu pigiste, puis rédacteur à Montbéliard. Il est aujourd’hui chargé de la page Loisirs quotidienne du Pays, tout en assurant à nouveaux des reportages. Madame Salima SALEM. Salima aime la nature et notamment se retrouver chez elle en pleine campagne à Gromagny dans son beau chalet avec une vue imprenable sur un magnifique verger. Elle aime aussi faire la fête avec ses amis, jardiner, s’occuper de son potager, lire et partager de bons moments autour de la table. Monsieur Michel SCHULER. Michel a managé l’équipe de journalistes sportifs de Franche Comté, avant de prendre la direction de l’agence du Pays à Montbéliard. Les préoccupations de la locale ne l’empêchent pas de cultiver sa fibre sportive. Il pratique en effet une « foulée » de disciplines, du ski au foot en passant par la course à pied… où il prend soin de contrôler sagement ses pulsations. Il a quitté le Pays en novembre 2012. Aujourd’hui, il est chef du service des sports Franche-Comté à L’Est Républicain, ce qui représente un beau tournant de carrière. Monsieur Jean François SORBE. Entré à la rédaction du Pays en 1981, où il a dirigé l’agence de Montbéliard, il a pris ensuite la direction de l’Alsace où il a été nommé responsable de notre agence de Saint-Louis. En 2011, il a intégré l’équipe du supplément week-end. De Montbéliard à Mulhouse, il a gardé intacte sa grande passion pour les belles voitures et les belles motos.
ARGENT
• 20 ans de service • Madame Sandrine DEBENATH. Sandrine est préparatrice de la forme imprimante au service pré-presse publicité. Elle aime particulièrement les petits week-ends entre copines, en famille, affectionnant ces instants de détente et de bonheur partagés avec ceux qu’elle aime. Petites
escapades à Paris, à Lyon ou ailleurs, concerts quand l’occasion se présente ou pièces de théâtre et autres spectacles font partie de ses loisirs. Toujours prête à faire la fête, son sourire communicatif ne passe pas inaperçu. Monsieur Pascal DOTTI. Entré au journal en octobre 2003 en qualité d’aide rotativiste débutant, Pascal Dotti est connu pour sa passion des voyages et de la plongée sous-marine. Il est également passionné par les belles voitures et, en tant que motard, il aime se promener sur son scooter quand on ne lui vole pas ! Monsieur Daniel GERVASUTTI. Entré à L’Alsace en septembre 1995 en qualité de nettoyeur au service rotative, Daniel Gervasutti est actuellement aide-rotativiste. Passionné de navigation, il est titulaire du permis bateau et est l’heureux propriétaire d’un semi rigide de plusieurs mètres qu’il utilise fièrement dans la baie de Saint-Tropez. Photographe de mariage, il aime également les plaisirs de la table. Outre le bateau, il utilise aussi souvent la moto. Madame Véronique MARTZ. Entrée le 4 novembre 1992 en qualité de manutentionnaire à l’expédition nuit, Véronique Martz est aujourd’hui agent de fabrication à l’expédition jour. C’est une inconditionnelle de cinéma et de belles randonnées. Madame Sandrine PAYS. Elle a effectué ses débuts de journaliste stagiaire à Colmar et a rejoint ensuite la rédaction des sports à Mulhouse, où ses fonctions l’ont rapproché des sports collectifs comme le handball et le basket. Mais en réalité, c’est le cheval, son vrai dada. Monsieur Jean ZUSY. Passionné depuis toujours par la pêche, Jean se trouve en harmonie avec la nature. Il cultive le plaisir d’être dans ce milieu où règnent calme et sérénité. C’est également un spécialiste des lignes dans son parcours professionnel depuis son entrée à L’Alsace. Entre les lignes de production Muller Martigny, les lignes de parcours des chauffeurs, le voilà aujourd’hui à retracer, organiser, optimiser les lignes de parcours de nos porteurs avec le calme qui le caractérise.
16 Le redoutable gaucher Sébastien Korn, qui s’est incliné seulement en finale face à Jean-Jacques Herth.
vainqueur surprise
au tournoi interne
Jean-Jacques Herth, pas seulement un bon pongiste, mais également un excellent organisateur « de 3e mi-temps »
L’imperturbable Jean-Jacques Herth, la révélation du tournoi.
Une quinzaine de pongistes ont participé au tournoi interne
Une quinzaine de pongistes, des actifs et des retraités, ont participé à ce tournoi annuel.
organisé comme d’habitude de main de maître par Yves Koenig (pour le côté sportif), Jean-Jacques Herth et René Marmillot (pour le côté festif). Cette compétition avec un handicap pour les joueurs ayant les meilleurs classements au championnat corpo du secteur de Mulhouse et Colmar a vu un vainqueur surprise avec le Mulhousien Jean-Jacques Herth devant les Colmariens Sébastien Korn et Théo Rittelmeyer, puis André Galli, un autre Mulhousien.
Le tournoi s’est terminé comme d’habitude avec un apéro et un repas.
Theo RITTELMEYER
Classement : 1. Jean-Jacques Herth ; 2. Sébastien Korn 3. Théo Rittelmeyer ; 4. André Galli 5. Michel Muller ; 6. René Marmillot 7. Claude Boulanger ; 8. Yves Koenig 9. Emmanuel Fritz ; 10. Daniel Schwatzmann 11. Jean-Claude Schmocker ; 12. Roland Ast.
Consolante :
1. Jean-Claude Galli ; 2. Martial Boulanger 3. Emmanuel Fritz ; 4. Jean-Claude Schmocker 5. Roland Ast ; 6. Daniel Schwartzmann.
sur nos pas...
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Nul besoin de légende élaborée pour lire l’ambiance des deux journées... les photos parlent d’elles-mêmes !
Béa Lienhart
Et c’était reparti cette année,
Sam à la popote, pour nous régaler, comme il sait si bien le faire !
le 30 avril 2013 les cyclos et les marcheurs se sont à nouveau réuni au boulodrome de Flaxlanden. Malgré le temps incertain tous les ingrédients étaient là : 44 participants, la poitrine farcie cuite à point, le vacherin, le p’tit noir arrosé... tout cela pour réchauffer l’atmosphère ! Encore une très belle rencontre grâce à une équipe de joyeux lurons et de notre cuisinier Sam. Une seconde rencontre a eu lieu le dimanche 2 juin 2013, à l’étang de Ballersdorf, 25 personnes s’étant inscrite pour l’escapade. Sur notre parcours, cette année, nous avons fait une halte à la chapelle Saint-Martin, dernier vestige d’un village disparu, Mettersdorf, comme tant d’autres dans le Sundgau. Après un petit tour du lieu nous avons repris la balade bifurquant vers Ballersdorf. Les discussions allaient bon train dans la colonne de marcheurs. Bientôt ce fut l’heure de rejoindre le havre de paix des pêcheurs, un endroit vraiment magique, où il fait bon se poser,
Patrick à la confection des tartes flambées
Les bottes étaient de rigueur... permettant de se faire plaisir dans les grosses flaques !
afin de partager les tartes flambées richement préparées par une sympathique équipe. L’après-midi chacun a pu lézarder à sa guise, le soleil étant bien plus généreux que dans la matinée et profiter du panorama. Les uns continuèrent les débats entamés lors de la promenade, d’autres piquant un p’tit somme ou encore discutèrent avec les pêcheurs présents. Notez dans vos agendas la prochaine sortie : dimanche 13 octobre, avec une balade surprise !
18
Sandra SCHMOCKER
La joyeuse équipe à l’assaut des pistes de Châtel
Béa la fidèle skieuse !
saison
Sept personnes furent présentes à la première sortie de ski en bus
avec Cars Est le 20 janvier 2013. Destination Grindelwald. Les skieurs ont profité d’une bonne neige, d’un temps mitigé mais la bonne humeur fut de la partie. Du 3 février au 10 février 2013 un séjour d’une semaine au Club Med des Deux Alpes. 19 personnes ont skié sur le domaine de 225 kms de pistes situées entre 1300 et 3600 m, dominé par le glacier de la Meije. Tout était compris : forfait, cours de ski, excellente restauration, boissons à volonté et une super animation tous les soirs. Les participants étaient ravis. Sortie en Suisse le 10 février 2013. 9 personnes courageuses sont parties du centre d’impression à 6h pour Adelboden. Dans le bus une bonne ambiance était de mise avec le personnel de Clemessy et de Leclerc Cernay. Le dimanche 10 mars 2013 une nouvelle sortie à Saanenmoser en Suisse. Une très belle journée
Belle neige à Saanenmoser
Christophe toujours prêt !
et une bonne neige ont récompensé les participants. Le samedi 16 et le dimanche 17 mars 2013 week-end à Abondance (Haute Savoie). 14 personnes étaient au rendez-vous au siège rue de Thann à 5h pour le trajet en minibus et deux voitures. Arrivés à destination, tout le monde est parti de la station du Pres-la-Joux pour skier sur le domaine des Portes du Soleil. Le soir à l’hôtel L’abbaye à Abondance nous attendaient le jacuzzi, le sauna, le billard,
19 Adelboden avec le soleil
Grindelwald avec la bonne humeur
et des chambres très confortables. L’apéritif organisé par Christophe, Pascal et William a été pris tous ensemble dans la chambre de William et nous les remercions pour leur invitation. Une fondue et une raclette furent dégustées et appréciées dans la soirée. Le dimanche fut une nouvelle journée de ski très intense et c’est un peu fatigués mais satisfaits du week-end que les skieurs ont repris le chemin du retour. Pour la dernière journée le 24 mars 2013 à Grindelwald, 11 personnes du journal étaient inscrites malheureusement, faute de participants (de Clemessy et Leclerc) la sortie a été annulée par Cars Est. Nous envisageons pour 2014 des sorties journalières et en week-end, une semaine tout compris hors période scolaire et une semaine avec les jeunes durant leurs congés. Le comité de la section remercie le CE pour son soutien moral et financier. Rendez-vous l’année prochaine !
Que serait le ski sans les traditionnelles soirées fondueraclette ?
Sandra tout schuss
« Week-end Châtel enfant » La relève est assurée ; Damien 5 ans et demi et Sylvain 10 ans et demi ont skié avec les adultes les deux jours de Châlet à Avoriaz
20 Mathieu Lerch, encore un cycliste échappé du peloton des cyclos
dans les bois
une saison
Richard, toujours là pour soutenir, marquer des points pour l’équipe de cross
Karine montre la voie à la jeune Camille, qui assure la relève
Denis, un cycliste qui s’entretient l’hiver en mettant ses baskets
Laurent GENTILHOMME
La section athlétisme du journal
a encore participé, cette année, à la saison des cross corpos 68. Les résultats déjà : en challenge du nombre, on termine 21e équipe sur 26, alors qu’au challenge qualité on remonte à la 17e place (toujours pour 26 équipes classées). Rien d’ébouriffant donc mais il devient de plus en plus difficile de lutter contre les équipes des Hôpitaux 68, de Liebherr, Peugeot ou Clemessy avec une moyenne de quatre ou cinq coureurs – tous vétérans cette année – sur chaque épreuve.
La locale de Mulhouse en force avec Marina et Hélène au 10 km de Mulhouse
A force de ne pas remplacer les départs en retraite, le potentiel sportif du journal baisse inexorablement… Reste que la section athlé peut toujours compter sur Karine Erhart (20e chez les féminines et 11e de sa catégorie), Marina Della Rocca (46e et 11e) et Sophie Ziss (59e et 22e) suivie de Catherine Perin (69e et 26e) du côté des 89 féminines classées. Chez les hommes, Laurent Gentilhomme sort du top 50 (72e au scratch et 27e de sa catégorie) mais l’équipe peut toujours compter sur Denis Sollier (119e et 25e), Mathieu Lerch (130e et 48e), Richard Schneider (138e mais remarquable 6e chez les V3) et Alain Wamster (198e et 71e), pour 393 coureurs classés. La section athlé était également représentée sur les 10 km de Mulhouse et les 10 km entreprise de Colmar mais n’a pas réussi à trouver une date et une course accessible à tous pour se retrouver au début de l’été. Ce ne devrait être que partie remise pour l’automne. A signaler également l’arrivée de nouveaux coupe-vent aux couleurs de L’Alsace pour les membres de la section. Si l’équipe n’est pas la plus imposante, elle est de plus en plus visible. Les personnes qui souhaitent rejoindre la section pour la prochaine saison de cross (six courses réparties de novembre à février) peuvent contacter soit Laurent Gentilhomme (laurent.gentilhomme@lalsace.fr), soit Mathieu Lerch (mathieu.lerch@lalsace.fr).
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Mathieu LERCH
Alpes 2013
Ma-gni-fique ! Les cyclos de L’Alsace-Le Pays ont profité
d’une météo exceptionnelle pour leur sortie de trois jours dans les Alpes au mois de juin. On pourrait utiliser bien des superlatifs pour qualifier la dernière vadrouille de nos cyclos. C’est que le décor choisi cette année était digne de cette sortie célébrant les 20 ans de la section. Galibier, Croix de fer, Glandon et Alpe d’Huez : excusez du peu. Tous ces sommets étaient de vieilles connaissances de nos amis, car déjà escaladés lors de virées précédentes. Mais il y avait belle lurette que nos cyclos n’avaient pas été à pareille fête au niveau météo. Trois jours sous un chaud soleil, sans la moindre averse : c’est bien simple, ça n’était tout bonnement jamais arrivé ! Ah, c’est certain, il faut tout de même pédaler pour grimper ces cols qui n’ont rien à voir avec nos montagnes vosgiennes. Mais sous le soleil, ces panoramas sont encore plus magnifiques. Avec quelques semaines d’avance, le peloton rouge et blanc a ainsi devancé celui du Tour de France sur les mêmes routes. Une partie des routes du Galibier étant encore bloquées par une couche de 6 à 10 m de neige, nos cyclos ont dû revoir
leur itinéraire comme le Giro l’avait fait avant eux. Bah, les pédaleurs de L’Alsace savent improviser ; ils en ont fait la preuve dans le passé. Chacun à son rythme, en deux groupes plus ou moins costauds, comme ils en ont pris l’initiative l’an dernier, les quelques actifs encore en selle, l’imposant bataillon des jeunes retraités, ainsi que quelques sympathisants du journal, ont enchaîné les cols. Les plus costauds auront parcouru 407 kilomètres en trois jours, et surtout 9 400 m de dénivelé. Les connaisseurs apprécieront. Après l’Alpe d’Huez le premier jour en guise de mise en bouche, puis une nuit passée au Bourg d’Oisans, le plat de résistance attendait le groupe au matin du deuxième jour. Après le col du Glandon, par une face que la plupart découvrait, et dont ils se souviendront, le Télégraphe puis le Galibier attendaient les plus courageux. Avec demi-tour au sommet, au milieu des murs de neige, pour regagner l’hôtel à Saint-Jean-de-Maurienne. Après 4000 m de dénivelé dans la journée, certains ont été peu bavards le soir à table, et tout le monde a bien dormi ! Le troisième jour, le dessert : col de la Croix de fer, et descente en pente douce vers le camping de Vizillle. Après une bonne douche, retour en mini-bus vers Mulhouse. Les 14 cyclos participants en ont pris plein les mirettes. Parmi eux, le retraité Pierre Thirion, à l’ouvrage une fois encore pour établir les parcours et coordonner la caravane. Les quatre accompagnateurs, emmenés par le président de la section Philippe Sengelin, se sont eux aussi montrés à la hauteur dans ce cadre grandiose. Avec deux véhicules, ils ont assuré les navettes pour ravitailler les pédaleurs, et leur donner des vêtements chauds au sommet des cols. Il a beau faire chaud, quand on se retrouve à plus de 2000 m après avoir sué à grosses gouttes, on est content de pourvoir enfiler une petit veste pour la descente ! Au chapitre des anecdotes, on retiendra une double-crevaison… à l’arrêt sur le parking de l’hôtel pour l’infortuné Denis Sollier ! Ou encore cette marmotte qui a traversé la route sous le nez d’un cyclo dans la descente du Galibier. Sinon, le plus important est sans doute qu’une fois de plus, cette virée s’est déroulée sans accident, ce qui n’est pas la moindre des choses. Enfin, un rare point d’amélioration : la prochaine fois, il faudra que chacun pense à emporter sa crème solaire !
François en maître danseur !
Denis hilare ! Merci à toi Raymond !
Froeningen
Ya-t-il des hommes dans la salle ?
Roland malicieux ! Retrouvailles studieuses !
l’ARA dans la continuité !
Bertrand Schleicher
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En effet, l’assemblée générale en février à Hochstatt, suivi d’un repas
et d’un après-midi récréatif animé par Raymond Maillard a été comme d’habitude bien appréciée par les membres présents ; à cette occasion, la présidente en a profité pour remercier Bernadette et Jean Rohr qui ont œuvré de longues années durant au sein du comité ! En juin, notre journée à thème nous a mené à l’étang de pêche de Froeningen pour y déguster de succulentes carpes frites (préparées par les bénévoles du club) ; le temps, le cadre, la salle, l’animation musicale et l’ambiance a permis aux membres de passer un excellent après-midi ! Pour la journée barbecue-loto du mois d’août, le comité de l’ARA a innové ; c’est à l’étang de Morschwiller-le-Bas et par beau temps que les membres se sont retrouvés, pas mécontents d’avoir des commodités (toilettes, électricité, eau courante, frigidaires etc.) à disposition en plus de la qualité des mets préparés !
Les habitués se retrouvent avec plaisir !
Assemblée générale 2013
Calendrier de fin d’année 2013 : 24 octobre : cochonnailles au Grieb 5 décembre : repas de Noël (en remplacement du repas de Nouvel An) au Paradis des sources de Soultzmatt !
Hé Riri, toutes tes cases ne sont pas remplies !
Loto
Le loto, un moment (très) important de la journée !
Partie récréative : wouah des pros ! Ebahis nous étions !
Robert, avoue, t’es en bonne compagnie !
poursuivre la mobilisation réformes des retraites
Réforme après réforme, notre système de retraites, basé sur la répartition et la solidarité entre génération se voit progressivement vidée de sa substance. Le projet qui sera débattu au Parlement à partir du 7 octobre n’échappe pas à cette logique mortifère d’affaiblissement et de démantèlement. La forte mobilisation du 10 septembre a démontré que les français restent très attachés à cet acquis social majeur. Pour la CGT, la mobilisation reste plus que jamais nécessaire pour imposer d’autres choix. Nous publions la lettre de Thierry Le Paon, secrétaire général de la CGT, adressée aux parlementaires.
Mesdames et Messieurs les Parlementaires, Vous allez examiner à partir du 7 octobre le projet de loi portant réforme de notre système de retraite. Ce projet a été précédé, du 5 juillet au 26 août, par une consultation en bilatérales des acteurs sociaux. Pour la CGT, la question de nos retraites, et plus largement de notre système de protection sociale, concerne l’ensemble des salariés et des citoyens, et doit donc faire l’objet d’un large débat de société. C’est pour cette raison que nous avons demandé à ce que la réforme des retraites fasse l’objet d’une négociation tripartite entre syndicats de salariés, organisations patronales et le gouvernement. Dans un courrier du 26 août dernier, j’ai rappelé cette demande au premier Ministre, ainsi que les propositions de réforme et de financement portées par la CGT. Cette demande n’a malheureusement pas été entendue et le projet de loi qui vous est soumis ne correspond ni aux attentes de la majorité des salariés, ni aux propositions de la CGT.
23 La journée de mobilisation du 10 septembre, comme les multiples sondages d’opinion sont venus le rappeler : les salariés attendent une autre réforme des retraites. Les salaires et l’emploi sont au cœur des réponses à apporter. Le projet qui vous est soumis est injuste et inéquitable. • Injuste car l’allongement de la durée de cotisation va pénaliser en particulier les jeunes et les femmes, et, en éloignant la perspective d’une retraite complète, viendra encore dégrader le montant des pensions. • Inéquitable car il fait peser l’ensemble des efforts de financement sur les salariés et les retraités. Les salariés voient leurs cotisations augmenter, les retraités leur pouvoir d’achat baisser une nouvelle fois du fait d’un report supplémentaire de 6 mois de la revalorisation annuelle des pensions. Le patronat, par contre, a obtenu une compensation immédiate et intégrale de l’augmentation des cotisations. Cette réforme va donc encore une fois répondre aux injonctions du MEDEF au détriment des revendications des salariés et retraités. Elle tourne le dos aux objectifs de justice sociale. Lors de la précédente réforme des retraites, en 2010, de nombreux parlementaires s’étaient mobilisés pour défendre le droit à la retraite à 60 ans et prouver qu’une autre réforme était possible. Nous attendons donc beaucoup du débat parlementaire. Ainsi, nous vous rappelons ce que la CGT entend porter dans ce débat : • rétablir l’âge d’ouverture des droits à 60 ans, avec une retraite d’au moins 75% du salaire d’activité pour la majorité des salariés et au moins égale au SMIC (que la CGT revendique à 1700 euros),
• tenir compte de la pénibilité par des mesures d’anticipation d’âge avant 60 ans, • assurer l’égalité entre les femmes et les hommes, • assurer une retraite de haut niveau pour le plus grand nombre et en particulier les plus jeunes d’entre nous. Pour financer le rétablissement et l’extension des droits constitutifs d’une retraite satisfaisante pour toutes et tous, nous proposons une réforme du financement des retraites : • revoir le calcul de la cotisation employeur de sorte de la moduler en fonction de la politique salariale et d’emploi et de la part des salaires dans la valeur ajoutée de l’entreprise, • créer une contribution sociale sur les revenus financiers des entreprises, au même taux que les cotisations assises sur le travail. Cette mesure permettrait de dégager 20 à 30 milliards d’euros par an, • assoir l’assiette des cotisations sociales sur l’ensemble des rémunérations (primes, intéressement, participation …). Deux mesures complémentaires permettraient de rétablir l’équilibre budgétaire à l’horizon 2020 : • revenir sur les 200 milliards d’euros d’aides publiques aux entreprises, notamment en supprimant les exonérations de cotisations sociales qui n’ont pas montré d’efficacité en matière d’incitation à l’emploi stable. Celles-ci s’élèvent aujourd’hui à près de 30 milliards d’euros par an, • atteindre l’égalité salariale entre les femmes et les hommes, ce qui permet d’augmenter les ressources du système de 10 milliards d’euros aux horizons 2020. Nous sommes à votre disposition pour toute rencontre qui serait l’occasion de vous exposer nos propositions.
MULHOUSE Cinéma Kinépolis...................................... 6,30 W ITTENHEIM Salle Gérard-Philipe Réduction sur présentation de la carte du CE
MULHOUSE Le Palace............................................................................................ 5€ NOUVEAU
EUROPAPARK
Tarif unique à partir de 4 ans : du 23 novembre 2013 au 6 janvier 2014
........................
PISCINES carte de dix entrées
26
Piscines M2A
Valable dans toutes les piscines de la M2A (y compris Rixheim) ............................................................................................ 21
PIERRE-CURIE MULHOUSE Carte bien-être
..............................................................................................................
19
Centre nautique RIXHEIM
Vente uniquement sur place (présentation carte CE obligatoire) pour les habitants de la M2A Carte bien-être ............................................................................................................. 66 Remise en forme + piscine ................................................................ 86
P our les piscines hors de Mulhouse
30% sur présentation de la carte ou abonnement
LAGUNA
3 heures Adulte .................................................................................................................................... Enfant ......................................................................................................................................
8,00 6,00
Adulte journée
Du lundi au vendredi................................................................................ 8,40 Samedi, dimanche ou férié .......................................................... 9,10
E nfant journée
Du lundi au vendredi .............................................................................. 6,30 Samedi, dimanche ou férié .......................................................... 7,00
@
BILLETTERIE SPECTACLE
ZOOS
2 0% sur présentation de l’abonnement
ou 2 billets par an (dans la limite de 30 euros)
PATINOIRE carte de dix entrées
MUSCULATION
BILLETTERIE SPORTIVE F OOT MULHOUSE / STRASBOURG / SOCHAUX 2 billets/an, 15 maxi par personne Autres rencontres sportives 2 billets /an ou 20% sur présentation de l’abonnement rencontres sportives
METRO
METRO EQUIPEMENT (Mulhouse) Se renseigner au CE.
MUSéES et TOURISME ANIMALIER Prix de groupe sur présentation de la carte du CE ou 20% sur présentation du billet d’entrée.
PARTENARIATS
V ita Impex, Devianne, Bijouterie Delatour : 10 % sur présentation de la carte CE. P oint S : 5 % sur présentation de la carte CE
E den Espace Dollfus & Noack Sausheim :
TICKETS RESTAURANTS
réductions sur présentation de la carte CE
Hippopotamus : réductions sur présentation de
Jusqu’à épuisement du budget, limité à 1 carnet/mois : valeur du chèque : 4, avec participation du salarié de 50% par chèque.
la carte CE (Dornach, Illzach).
Conditions : uniquement personnel des agences. Cartes restaurant d’entreprise Clemessy disponibles au CE : équipes de jour, administration et personnel travaillant toute la journée.
Retrouvez votre Trait d’Union sur le site : http://issuu.com/alsacece/docs/tu111
Adulte........................................................................................................................................... 7,50 Enfant (6 à 12 ans)............................................................................................ 2,50
Achats en gros : se renseigner au CE.
(inscription au même moment) Filiale (AP, Médiapost, CIME).......................................................... 100 Extérieur.....................................................................................................................................160
TU 111 sur la toile
Tarif réduit sur présentation de la carte du CE
FRIBOURG (Allemagne)
C omplexe CMCAS EdF/GdF à Zimmersheim Individuel « L’Alsace/Le Pays »..........................................................60 Couple « L’Alsace/Le Pays ».............................................................. 100
Bons à 18 (valeur 20 ), 27 (valeur 30), 45 (valeur 50)
MULHOUSE Bâle
T arif unique sans location de patins ........18 K arting sur glace ............................................................................................54
BONS DECATHLON
SKI LA BRESSE
Possibilité de forfaits, renseignements au CE.
Horaires CE Renseignements complémentaires : Gisèle Fawer 03 89 32 70 34 Lundi 8 h 30 à 11 h - Mardi 14 h 30 à 17 h 15 Jeudi 8 h 30 à 11 h - Vendredi 14 h 30 - 17 h
Le CE est fermé le mercredi 18, rue de Thann, TSA 68001 68945 Mulhouse Cedex 9
Bulletin réalisé et confectionné par les travailleurs du Livre syndiqués du journal DEF - ABC
d.servais
CINÉMAS
sdh
Sport, loisirs, vacances, achats: le comité d’entreprise vous propose un large éventail de tarifs réduits. Certaines possibilités sont connues, d’autres moins. Voici une liste réactualisée des activités, spectacles, etc. bénéficiant d’une réduction. La billetterie marquée du signe est accessible aux retraités.