Mémoire de fin d'étude d'architecture
Aujourd’hui, les sols de nos villes sont de plus en plus imperméabilisés, perturbant le cycle naturel des eaux. Par conséquent, les eaux de ruissellement sont envoyées dans le réseau d’égout au même titre que les eaux usées ménagères. Ce surplus d’eau perturbe le fonctionnement des usines d’épuration entraînant des déversements d’eaux usées non traitées dans le milieu naturel.
Augmenter les capacités du réseau d’assainissement n’est pas envisageable du fait du coût faramineux que cela entraînerait pour la collectivité. Ainsi une solution serait, au lieu de traiter les eaux à l’échelle globale, de les traiter à l’échelle de la parcelle.
Ainsi ce mémoire cherchera à démontrer si, d’ici 2050, Paris serait capable de se passer de son réseau d’égouts ?
Si tel était le cas, quels serait les impacts que cela engagerait sur le plan architectural ?