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Vétérinaire et... vétérinaire

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Les bonnes adresses des produits locaux

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Sur les chemins de la destinée

Les dessous du guéridon

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Juillet-Aout 2013 Votre magazine en ligne sur www.dkle.nc



le dira Seul l’avenir

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erait cher resque, donn p u o , e d n o ’est Tout le m lui arriver. C va l ’i u q ce de. Alors pour savoir pas l’incertitu e im ’a n n o me a , humain blème, l’hom ro p le r e rn u eille pour conto ne pratique vi U . ce n ya vo rante en « inventé » la et aussi cou e d n o m le comme illeurs. Calédonie qu’a e année, comme chaqu , e n n e ti se e s du Avant qu dans les allée ce n ya vo la ns le salon de n, nous avo -I u n e K l ia rc e rpelle. centre comm sujet qui inte ce r su ir n utien voulu reve les uns, so r u o p e les autres, Charlatanism écessité pour n u o e u iq g laisse lo psycho , la voyance se n e p n e n quoi qu’o arbre. rarement de m nous un peu plus, ir vo sa n e z le On Si vous vou notre dossier. r te e ill u fe à ni sur vous invitons r votre avenir su s a p e g a g n encore ne s’y e week-end et u d o té é m x, l’incertaine es de chevau rs u co s e d ts a lt istes si, moins les résu z quelques p re ve u o tr y s pour mais vou itez consulter a h u so s u vo mangé ! d’aventure, ce vous serez u sa lle e u q à savoir

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UNICATION AWA COMM - 98 800 Nouméa

terlitz 16 rue d’Aus 20 • Fax : 28 30 Tél. : 23 27 00 awa@mls.nc -3554

N° ISSN : 2107

publication Directrice de HOLMSEN n ari -K ne An chef Rédacteur en Simon Govelle rédaction Secrétariat de n Isabelle Lurto Rédaction dcler, Myriam Gran , ec rn Co ie Aurél , y, Alice Roux Ro Le n rio Ma Julia Trinson hique & PAO Création grap drenne Aleksandra Ve Dessins Jilème de Une Photographie Payet rb Ba et Fred s Photographie s Patrick Chala Correction

La rédaction

Point virgule ------------------------------

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aire Régie Publicit tion ica un mm co Sarl AWA

ercial Service comm 63 51 79 : l. Té • n Anne-Kari 82 84 80 l. Té • Caroline : 76 22 16 Mylène • Tél. 17 31 Jim • Tél. : 78 Secrétariat

Tél. : 23 27 00 --------------------------------

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Magazine DKLÉ

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© Ambition réussite

Bons plans

Des jeux spécialisés Par Myriam Grandcler

Parents désarmés face à la dyslexie ou aux difficultés de lecture de votre enfant : rendez­vous sur le site ambi­ tionreussite.nc. Vous y trouverez des méthodes de lecture ludiques spéciale­ ment conçues pour lui. Reconnue par les professionnels (enseignants, théra­ peutes, orthophonistes), la gamme la

Planète des Alphas propose une collec­ tion de 60 figurines représentant des lettres et des syllabes. Cette méthode de lecture à succès déjà utilisée dans le monde entier est aussi parfaite pour l’apprentissage de la lecture des tout­ petits. Toujours dans la même gamme, la collection d’albums Plaisir de Lire !, qui donneraient même le goût de lire aux petits réfractaires du bouquin.

© LudiK

Jeux de société pas ringards

Par Marion Le Roy

On vous dit jeux de société, vous pen­ sez : belote, Scrabble, au mieux Mono­ poly... Grâce à Estelle et sa société LudiK, vous pouvez désormais découvrir de nouveaux jeux lors de soirées organisées dans les bars de Nouméa (à l’Ed Zen et la Fiesta), puis acheter ceux qui vous ont

plu. La jeune femme intervient aussi à domicile pour vous faire tes­ ter, parmi les centaines de jeux de son catalogue, ceux qui titillent votre curiosité. Son coup de cœur du moment ? King of Tokyo (à partir de 8 ans), où chaque joueur incarne

© LudiK

King of Tokyo, à partir de 8 ans.

une créature monstrueuse dont le but est de devenir le roi de la ville japonaise... une histoire digne d’un jeu vidéo et qui pourrait vite détrôner la console du salon ! Pour tout renseignement Tél. : 98 85 70 – ludiknc@yahoo.fr Catalogue sur www.ludik.nc

Le catalogue

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Bons plans

Laurence, la couseuse,

vous propose des cours variés, individualisés et personnalisés

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Mettez du Brésil dans votre bikini

Imaginez et confectionnez vous-même dans un cadre serein propice à la création. Retouches et confection de vêtements, déco interieure, doudous... sont aussi proposés. L’atelier des Couseuses 79 route de l’Anse Vata - Motor Pool - Mail : lescouseuses@lagoon.nc Horaires : lundi au jeudi 9h-15h30 / vendredi 14h-18h30

Par Marion Le Roy

confection, ce qui me permet de proposer plusieurs collections dans l’année et d’avoir des produits variés. Les clientes repartent d’ailleurs souvent avec plusieurs maillots de bain ! » Bahia Bikinis 7, rue de Soissons Ouvert le mercredi et le vendredi de 16 h 30 à 18 h, et le samedi de 10 h à midi. Tél. : 94 34 79 ou sur Facebook

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Marre de l’Anse­Vata ? Transportez­vous à Copa Cabana avec les maillots Bahia Bikinis importés directement du pays de la samba. Des couleurs vives, des motifs originaux à fleurs, pois, rayures, façon panthère ou bomba latina, mais aussi des formes différentes pour toutes les silhouettes : du fameux tanga, qui laisse voir la courbure de la fesse, à la culotte plus couvrante. Le plus ? Des prix pas maxi : les modèles sont vendus entre 3 000 et 6 800 F. Laura, qui tient boutique au Faubourg Blanchot, choisit elle­même les modèles avant de les faire fabriquer dans le sud du Brésil : « J’ai un contrat d’exclusivité avec un atelier de

Cours de Couture • Apprentissage de votre machine à coudre ou celles de l’atelier • Traçage d’un patron et sa coupe • Connaissances des différentes techniques de base de couture : ourlets, pose de fermetures à glissière, de biais, d’élastiques, fronces, angles, poches... Cours de Tricot • Trucs et astruces à connaître : abréviations, échantillon • Bases du tricot 1 : montage de mailles, points et côtes • Bases du tricot 2 : augmentations et diminutions, boutonnières • Finitions, assemblage et décryptage des explications Cours de Crochet • Trucs et astruces à connaître : abréviations, échantillon • Bases du cochet 1 : mailles et différents points • Bases du crochet 2 : crocheter en rond, le « granny » • Finitions, assemblage et décryptage des explications Les petits plus • Cours de Point de Croix ou point compté • Diagrammes et cotons à disposition • Techniques du point pour un bel ouvrage endroit et envers

Seul(e) ou accompagné(e) - jusqu’à 3 personnes, 4 à 6 pour les entreprises. Parce qu’avec le temps, nous prenons de mauvaises habitudes posturales, qu’après un accouchement, certaines blessures ou opérations, nous avons besoin de renforcer certaines parties de notre corps spécifiquement, Parce que nous avons un objectif personnel de santé (lutter contre le vieillissement, l’ostéoporose, l’hypertension, le stress…), d’esthétique (perte de poids, tonicité générale), sportif (préparation physique, assouplissement …) ou tout simplement, envie de se sentir en forme. Ensemble, pratiquons une activité physique régulière : - Votre bilan Forme et Santé (tests d’évaluation physique, habitudes de vie, passé sportif, antécédents médicaux). - Définition de vos objectifs. - Votre programme personnalisé.

Vous progressez à votre rythme. Domicil’Gym Tél. : 81 97 11 - Mail : roche.aurore@domicilgym.fr Site : http://coach-noumea.domicilgym.fr/ #00 17

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Bons plans

Une nounou à Nouméa Par SG

Une envie de sortir ? Mais pas de nounou et la famille et les copains ne sont pas dispos… Tous les parents ont dû faire face au problème et la seule solution, c’est de rester à la maison. Une nouvelle société a été créée pour venir en aide à ces parents en mal de sorties. On adore nos enfants, mais souffler quelques heures est IN­DIS­ PEN­SABLE. Nounouméa est à l’écoute de vos besoins pour trouver la perle rare qui prendra soin de vos enfants, le temps

d’un restau, d’un ciné ou tout simplement d’un petit verre en amoureux ou entre potes. Mais les services proposés par Élo­ die Martino et son équipe ne se limitent pas aux gardes ponctuelles. Vous pouvez prendre un forfait à l’heure (dégressif selon les tranches, plus de 40 heures et plus de 80 heures) utilisable selon vos besoins. Petit détail qui a toute son impor­ tance, les tarifs sont les mêmes jusqu’à quatre enfants. Pour tout renseignement, contacter Élodie par téléphone au 70 99 38 ou par mail à elodie.martino@nounoumea.com.

Menus de haut vol Par Myriam Grandcler

Terrine de courgettes, crevettes mari­ nées sautées et Saint­Jacques poêlées, risotto aux légumes : ce menu du célèbre traiteur parisien Le Nôtre se déguste... en plein vol. Désormais, sur ses longs courriers, Air France propose, moyen­ nant finances, plusieurs menus à la carte (variables selon les vols) à commander à la réservation et jusqu’à 24 heures avant le départ, directement sur le site. Pour cette sélection Le Nôtre, il vous faudra débourser la modique somme de 3 300 F environ et les photos n’étant pas contractuelles, il y aura sans doute de la

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surprise dans les assiettes. Mais l’idée peut valoir le voyage. Si vous êtes plutôt « océan », « tradition » ou « bio », il y en a aussi pour vous. Rappel : le menu du jour reste gratuit.


Bons plans

Offrez-vous l’aquarium Par Marion Le Roy

Des coraux fluorescents en guise de spot light, des poissons­clowns en ani­ mateurs de soirée. Vous croyez rêver ? L’aquarium de Nouméa le fait ! De 17 h à 21 h, pour un anniversaire, un cock­ tail de mariage ou autre heureux événe­ ment, il est possible de privatiser entiè­ rement l’aquarium. « Le Le soir, l’ambiance est différente, , nous explique­t­on à l’aquarium, c’est beaucoup plus cosy, intime. Les poissons sont reposés et sortent plus facilement de leurs cachettes. » On peut apporter et installer tables, boissons et autres

© SG

plats, mais pour le respect et la tran­ quillité des habitants aquatiques, pas de flash ni de musique techno, une musique d’ambiance est cependant la bienvenue. Un conseil : réserver au moins trois semaines à l’avance. 80 000 F la soirée pour 100 personnes. Réservations au 26 27 31 ou sur www.aquarium.nc où les créneaux disponibles sont régulièrement mis à jour.

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Publi-reportage

Au carrefour des épices du Pacifique Nul besoin de partir à New Delhi ou à Madras pour vous procurer les épices qui illuminent vos petits plats. Grâce à Odile Boyd, il suffit de se rendre au Faubourg Blanchot. Cette passionnée de couleurs et de saveurs, venues d’ici et d’ailleurs, propose une visite qui mettra tous vos sens en éveil. Spécialisée en épices rares, affectionnées par les initiés, la boutique Cœur d’épices met aussi un point d’honneur à promouvoir les produits du terroir océanien. Le sel du lagon se décline en différents mélanges aromatiques, le poivre du Vanuatu se pare de contenant en pandanus, les baies de roses calédoniennes ornent tant vos recettes que votre cuisine grâce à leurs packagings originaux. Mais ce n’est pas tout, Odile travaille avec de nombreux artisans locaux qui lui livrent leurs confitures, achards, sirops ou miels pour le plus grand plaisir des clients en quête de plaisirs gustatifs typiques du Caillou. D’ailleurs nombreux sont ceux qui viennent à la boutique pour y préparer un colis 100 % Océaniens à l’adresse de la famille ou des amis vivants en Métropole.

demande ne cesse toujours de croître. Odile exporte déjà au Japon et se prépare à envahir les épiceries fines de métropole d’ici peu. The place to be « J’affectionne particulièrement cette « Toutes les communautés se croi- épice car la qualité calédonienne est sent dans mon magasin, cela crée des inégalable. Je monte en Brousse pour rencontres et des discussions autour aller acheter les récoltes et il faut de recettes et de nouveaux goûts. Les savoir que cette année 150 personnes se échanges sont à l’image de notre pays : sont mobilisées en tant que récolteurs », multiculturels », détaille souligne Odile. « Je traOdile. On y trouve même vaille beaucoup avec les des épices spécifiques de femmes des tribus, je leur la cuisine indiennes, égaleai appris à choisir les baies ment utilisées en méde- Cuisinez, épicez de meilleure qualité, à les cine traditionnelle ayuret mangez sain trier… Cela crée vraiment védique, des pistaches des passerelles intercomdécortiquées qui font fureur à l’apéritif munautaires entre nous et me rappelle ou dans des desserts méditerranéens, mon enfance au Vanuatu. » des fruits secs et de nombreuses céré- Odile projette de faire de Moindou la ales. Mais le produit phare de Cœur capitale de la baie rose et d’organiser d’épices reste les baies roses calédo- avec le maire et les habitants une fête niennes pour lesquelles Odile se donne annuelle dédiée à cette épice. En attensans compter. dant si vous voulez faire frétiller votre tartare de thon, parsemez-le de quelZoom sur les baies roses ques baies avant de servir. Le résultat Toujours dans le but de mettre en valeur enchantera les papilles de toute la les produits du terroir, la spécialiste des famille ! épices a décidé, il y a 4 ans, de mettre l’accent sur une épice poussant à l’état sauvage sur une espèce de faux-poivrier et encore non exploitée : la baie rose. La propriétaire a commencé à titre expérimental et complètement artisanal, mais le succès fût au rendez-vous et la

Cœur d’épices

2, rue Arthur Pelletier - Faubourg Blanchot - Tél. : 76 20 66 - coeur.depices@hotmail.fr Mardi au vendredi 9h-12h / 14h-17h30 et samedi 9h-12h


On mange oi ?

Consommer en direct Par SG

Nous vous en avons déjà parlé, mais ça fait toujours du bien de le rappeler. L’asso­ ciation Case Départ, à Dumbéa, propose des poulets de chair élevés avec amour en plein air. Même si elle rencontre de grosses difficultés, les ventes sont pour le moment maintenues. Sur commande et à partir de trois poulets, on vous les livre frais à votre travail ou votre domicile. À 1 200 francs le kilo, faites un geste pour cette association utile et pour votre esto­ mac. L’association propose aussi du miel. Renseignements au 80 30 65. Toujours à Dumbéa, la Ferme de Koé propose égale­ ment de la vente directe et des promos à l’occasion. Téléphonez au 41 88 23.

Au rayon légumes, Les Légumes de Bou­ rail proposent des paniers hebdomadaires de 10 à 12 kg de fruits et légumes pour seulement 3 000 francs. C’est diversifié, frais et bon. Les livraisons se font sur tout le Grand Nouméa et ont lieu le jeudi en échange d’un grand sac de course. Il faut contacter Nicole au 79 59 92. Une autre adresse propose aussi des fruits en plus des paniers de légumes. Les paniers de 7 kg, soit de fruits, soit de légumes, soit des deux, sont livrés au travail ou à domi­ cile. Contacter Katrina au 81 07 60 ou par mail à katperline@corail.nc. À noter qu’elle propose également des confitures, des œufs ou encore du chocolat fabriqué par un chocolatier du quartier. Toujours au rayon fruits et légumes, Marie­Hélène vous en propose en provenance de son verger bio de La Foa au 78 65 72. Les paniers dépendent de la saison et de la production. Appelez de préférence entre 11 h 30 et 12 h 30 et en fin de journée. On rappelle également que la cabane des Jardins calédoniens, à Dumbéa, est ouverte tous les samedis et les diman ches matin. On y trouve tous les légumes du

maraîcher et un panier de 3 kg de légumes pour 1 000 francs. Direction la mer avec un laboratoire de transformation de fruits de mer. Il suffit de leur passer un coup de fil pour pas­ ser sa commande et venir la chercher le samedi, au stand du labo à Ducos. Télé­ phonez au 78 47 38. Pour ceux qui cher­ chent du poisson et qui veulent éviter les grandes surfaces, sachez qu’une pois­ sonnerie a ouvert à Dumbéa­sur­mer. Vous pouvez contacter la poissonnerie Neptune au 71 64 82. Pour les crevettes, tout dépend des arrivages mais vous pouvez vous renseigner au 93 16 11 qui vous les livre ou auprès de la Sopac, au 74 57 78 – 27 97 41. Autre bon plan original, Olivia vous propose des oursins entre 650 et 750 francs le kilo. Les arri­ vages, en fonction de la pêche, se font le jeudi à la stalle I9 du marché de Port Moselle. Téléphone au 75 14 50. Réalisé avec la page Facebook Bons plans pour les prix en Nouvelle-Calédonie.

© SG

Ce n’est pas un scoop, les prix sont élevés. Même si ce n’est pas toujours vrai, une solution pour contourner le problème est de consommer localement en évitant les grandes surfaces. Voici un petit pense-bête regroupant quelques adresses où les prix sont raisonnables et surtout, où vous savez à qui et pourquoi vous donnez votre argent. Bonnes courses !

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On mange oi ?

Chocolats classiques ou… érotiques ! Par Aurélie Cornec

© Patrick Chalas

Une chocolaterie plutôt originale a ouvert le 14 février dernier à Nouméa. Chocoquin, comme son nom l’indique, propose différents modèles de choco­ lats au design alléchant ou clairement suggestif. « Nous proposons des chocolats de qualité et privilégions les produits frais comme la coco, le piment, le gingembre ou encore la menthe. Pour nous démarquer, nous avons misé sur l’humour, aux côtés des produits classiques,

© Patrick Chalas

nous proposons en effet des chocolats coquins », explique Elisabeth Pajot, la gérante. En résumé, une adresse gour­ mande… interdite aux mineurs ! Chocoquin 34, rue du Port Despointes, Faubourg Blanchot. Ouvert du mardi au samedi de 10 h à 20 h. Tél. : 27 14 13 et sur Facebook : chocoquin.nc

Succombez

à la tentation...

Quai Ferry (à côté Gare maritime) Tél. 26 35 56 3, rue Edouard Mercier (face à station Mobil) Tél. 24 37 80 12

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On mange oi ? Une cuisine à base d’épices

Voyage gastronomique sur la route des Indes C’est un voyage au cœur de la gastronomie indienne que vous propose depuis début avril A passage to India. L’unique restaurant indien de Nouméa s’est composé une carte inspirée de toutes les cuisines du pays, pour le plus grand plaisir de vos papilles. Au restaurant A passage to India, la déco , la déco est plutôt sobre : seuls les voilures rouge et or aux fenêtres et quelques tableaux rappellent que nous sommes en Inde. Peut­être aussi les odeurs d’épices, un mélange de cardamome, de cannelle et de clous de girofle. Ici, le trésor est défi­ nitivement dans l’assiette. Les plats, cuits dans un four en terre d’argile traditionnel (aux normes européennes), sont vraiment délicieux. « Toutes nos sauces sont préparées à la commande pour qu’elles ne perdent rien de leur saveur », indique Djeyenbia, la propriétaire des lieux. Et il y en a pour tous les goûts. Plats sucrés­ salés, certains très pimentés, à base de curry ou de lait de coco, à déguster avec le lhassi, boisson nationale au lait fer­ menté, un régal !

Par Myriam Grandcler Photos Patrick Chalas

« La cuisine indienne utilise pas moins d’une quarantaine d’épices, ce qui la rend si spéciale », souligne Djeyenbia. En cuisine, c’est Gilles, son frère, qui joue les chefs d’orchestre. Tous deux sont originaires de Pondichéry, un ancien comptoir français situé dans le sud­est de l’Inde. Chez eux, la restauration est bien plus qu’une affaire de famille : c’est une passion. Celle de faire goûter une cuisine pour transmettre un peu de cette culture du bout du monde. Depuis son ouver­ ture, A passage to India ne désemplit pas. Fort de son succès, un nouveau cuisinier devrait arriver directement d’Inde. A passage to India 13, route du Port Despointes Tél. : 29 19 19

RECETTE DU

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INGRÉDIENTS

• 700 g de viande maigre hachée • 4 c d’huile • 400 g de tomates découpées en fines lamelles • 2 oignons finement émincés • 3 gousses d’ail écrasées • Gingembre frais râpé • 1 càs de curry (poudre) • 1 peu de cannelle • 1 feuille de laurier • Sel et poivre • Feuilles de coriandre fraîches pour décorer

PRÉPARATION ­ Faites chauffer l’huile et blondir les oignons et l’ail pendant 3 mn avec le gingembre. Ajoutez le curry, le sel et le poivre. Faites revenir pendant 1 mn. ­ Ajoutez la viande hachée. Faites­la cuire jusqu’à ce qu’elle brunisse un peu, puis assaisonnez avec la can­ nelle, le laurier. Rajoutez les lamelles de tomates. ­ Mélangez et laissez cuire (ébullition lente) pendant 40 minutes. ­ Accompagner de riz, à l’indienne, de préférence

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On mange oi ?

Cours de cuisine gratis pour les jeunes Par Marion Le Roy

La société MONTAGNES est connue en tant que distributeur de crevettes de NouvelleCalédonie. Mais MONTAGNES, c’est aussi une large gamme de produits de la mer surgelés provenant de Nouvelle-Zélande, tant en poissons (saumon cru ou fumé, lotte, turbot, sole, aile de raie, empereur, barbue, limande, hoki, morue, merlan, sériole,...) qu’en coquillages et crustacés (noix de saint jacques, pétoncles, supions, tubes ou anneaux de calamars, chair de crabe, moules, huitres, cocktail de fruit de mer...). Venez découvrir tous ces produits accompagnés de recettes, au magasin Montagnés le long des quais des pêcheurs à l’entrée de Nouville. MONTAGNES,c’est enfin des promotions tous les mois ! Inscrivez vous par mail à vente@montagnes.nc

Montagnes

© SG

Rédaction du recueil trimestrioel de recettes qui sera distribué aux habitants de Saint Quentin

Maison municipale de quartier de Saint-Quentin 5, rue Gustave-Mouchet Tél. : 44 57 29 © SG

Tél. : 27 32 05 - Ouvert le lundi de 7h30 à 14h30 et du mardi au vendredi de 7h30 à 15h30.

Vie chère, mauvaise alimentation... La maison de quartier de Saint­Quentin agit : tous les mercredis après­midi, jusqu’à la fin du mois d’août, des cours de cuisine sont organisés gratuitement pour les jeunes de 14 à 26 ans. Dans la cuisine tout équipée de la maison, une cuisinière professionnelle transmet son savoir. Et ça ne coûte pas cher de refaire les plats chez soi, puisque tous les pro­ duits utilisés sont de première nécessité ou faciles à se procurer. Au menu ? Pois­ son cru au lait de coco et sa crème de papaye, des cocktails de fruits comme au restau ou encore des bananes arro­ sées de crème chantilly maison. Pour participer, il suffit de s’inscrire à l’avance auprès de la maison de quartier pour la date qui vous intéresse. Allez les jeunes, aux fourneaux !

Magasin BioMonde Carré ST Hubert - Place des Cocotiers Tél. : 28 32 00

Cuisinez, épicez et mangez sain

Cœur d’épices Fleur de sel du Lagon Baies roses de Nouvelle Calédonie Confitures, gelées et sirops locaux Miel les Grandes Fougères Vanille des ïles

2, rue Arthur Pelletier - Faubourg Blanchot - Tél. : 76 20 66 - coeur.depices@hotmail.fr - Mardi au vendredi 9h-12h / 14h-17h30 et samedi 9h-12h 14

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Production lo ale

Quand fusion crée l’œuvre Par AR

Débarquer chez un artiste c’est toujours un peu comme arriver dans la caverne d’Ali Baba. Des matériaux, des œuvres en cours, des outils… Rarement épuré, le lieu respire créativité et joyeux bazar. Pourtant, quand on arrive chez Valérie Guitart, c’est la plénitude qui vous envahit. Serait-ce l’écho des vitraux qui répond au calme de la maîtresse des lieux ? Destinée à une carrière de coiffeuse sur le Caillou, Valérie rêvait d’ailleurs, de voyages et de couleurs. Vers 25 ans, elle s’envole vers les États­Unis rejoindre un ami à Austin. C’est là, au Texas, que l’idée des vitraux émerge à sa conscience. Elle trouve cinq ateliers susceptibles de lui convenir, quatre se situent dans des lieux peu propices à la créativité, mais le dernier est une petite maison nommée Cathédrale Studio ; c’est là que tout va prendre sens. Anciens professeurs d’uni­ versité, le couple qui l’accueille sera à l’origine de LA révélation de sa vie. En

quatre mois et demi de cours particuliers intensifs, elle apprend le métier de vi­ trailliste. « C’est avec eux que j’ai attrapé le virus », confie­t­elle. Retour au pays

Diplômée d’un CAP, elle revient en Nou­ velle­Calédonie où l’une de ses tantes l’aide à financer son premier atelier. Les commandes s’enchaînent, les expos aussi et en 1996 elle gagne les Nickels de l’initiative dont le prix lui permet de s’offrir du matériel. « Il faut savoir qu’ici une plaque de verre peut coûter jusqu’à 100 000 F selon sa teinte et sa qualité », commente­t­elle. Son travail ne se can­ tonne pas aux vitraux des églises, un vi­ trailliste effectue des pare­douches, des cloisons, des paravents, etc. « Ce que je préfère, ce sont les demandes originales des clients. J’aime les challenges, les vitraux avec des détails minutieux et surtout les œuvres en 3D », à l’image de cette lampe hippocampe qui trône dans son salon. En 2003 elle intègre le Cervaf, à Vannes le Châtel près de Nancy pour y découvrir le thermoformage et la fusion du verre : « Grâce à un four spécifique, on peut recycler les verres mais aussi cuire toutes sortes de créations. Je pro-

jette de faire venir un tel four ici, car pour le moment, les verreries doivent payer pour faire recycler leurs déchets dans les pays voisins. Ce serait une belle avancée pour le pays et cela permettrait de créer nos propres matières premières. » Fusion du verre, fusion des genres

En attendant, Valérie honore ses com­ mandes. Elle a refait les vitraux de la cha­ pelle du CHT, de celle du Méridien, de l’église de Signavé à Futuna ou encore de l’entrée du lycée Escoffier. « La fusion du verre me passionne. Dans la même idée, la fusion des genres également, j’adore collaborer avec d’autres artistes sur une même œuvre. » Et comme le partage fait partie de sa vie, elle donne des cours à son domicile de Beauvallon, baptisé l’atelier Fée Main. Ainsi l’artiste, dans le sillage des Compagnons, perpétue son savoir­faire avec patience et passion. 20 89 ain – Tél. : 41 Atelier Fée M isés selon l’emploi nnal Ateliers perso articipants. p es d ps m te du cours 4 heures de 3 000 F/h pour F/h au-delà. 0 consécutifs, 2 50

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Publi-reportage

EMC La nature lui dit merci La collecte et le traitement des déchets s’avèrent être aujourd’hui indispensables pour la protection de l’environnement. L’entreprise EMC, présente depuis 45 ans sur le territoire, en a fait son fer de lance aux travers de huit secteurs d’activités. Focus. A ses débuts l’entreprise s’est attelée à l’assainissement d’anciens sites miniers, aujourd’hui elle intervient également sur d’anciens sites industriels où la démolition de cuves, de charpentes métalliques ou encore d’ouvrages en béton est nécessaire. Pour effectuer ces travaux, EMC déplace son propre matériel et fait appel à son personnel expérimenté dans divers corps de métiers : chalumistes, conducteurs de pelle ou de cisaille, chauffeur de semi-remorque. Mais ce n’est pas là les seuls savoir-faire que l’entreprise exploite.

sur les déchets métalliques ferreux (les fûts, les tôles, les fers à béton) que sur les non ferreux (cuivre, aluminium, plomb, inox, laiton ou bronze). Ces métaux sont rachetés par EMC une fois le poids et la qualité déterminés, suivant les prix des cours mondiaux. C’est ainsi que les fameuses canettes collectées partout sur le Caillou se retrouvent à Ducos pour y être valorisées. Les batteries usagées suivent le même circuit et peuvent être Tél. déposées gratuitement sur le site de l’entreprise afin de subir les traitements spécifiques à chacune des matières qui les composent. Il en va de même pour les déchets d’équipement électriques et électroniques (DEEE) sauf que pour ceux-ci une redevance fixe est demandée. Elle n’existera plus en 2014 car la filière est en passe d’être réglementée. Ensuite, après le démontage, chaque composant est soit valorisé soit détruit en fonction de ses caractéristiques physiques et chimiques.

La gestion globale des déchets industriels

Tout en tenant compte des exigences du client, EMC réalise des études techniques et économiques pour la gestion globale des déchets d’un site ou d’une entreprise. Ainsi, elle a en charge la caractérisation, la traçabilité ainsi que l’organisation des filières d’élimination de manière écologique et respectueuse de l’environnement. Elle collabore avec bon nombre d’entreprises comme Vale, ou encore Almameto, qui répondent à des exigences environnementales strictes. En 2011 EMC et PropNord ont mis en commun leurs savoir-faire pour créer Traivaldec en province Nord qui collecte, trie et traite les déchets selon leur nature. Toujours dans l’optique de protéger au mieux la nôtre.

Infos sur www.emc.nc 260 260

Mise à disposition de matériels

Afin de faciliter la collecte de différentes sortes de déchets, EMC propose un service de location de bennes allant d’une capacité de 5 m³ à 16m³ selon les besoins du client, l’entreprise compte 300 bennes et une flotte de 7 camions bennes. Vient ensuite l’étape de la valorisation des matières qui s’effectue tant

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Vert de terre

Optez pour le bio calédonien ! Par Marion Le Roy

Aujourd’hui, pas moins de 40 agriculteurs et éleveurs calédoniens ont la certification biologique aux normes océaniennes, Bio Pasifika. Une bonne façon de consommer local, tout en sachant que les produits sont cultivés dans le respect de la nature. Mais où peut-on se procurer les produits certifiés Bio Pasifika ?

• 22° latitude Bio – Nouméa 1, avenue Michel Ange – Tél. : 23 15 01 • BioMonde – Nouméa Rue Anatole France – Tél. : 28 32 00 • Santé Nature – Nouméa 85, rue Benebig, Vallée des Colons – Tél. : 28 28 59 • La Vie Claire – Nouméa 32, rue de la République – Tél. : 28 20 01 • La boutique Bio – Bourail Tél. : 77 68 04

© SG

Dans les magasins bio de Nouvelle-Calédonie

Sur les marchés

• Marché Bio et Nature du parc forestier, le troisième dimanche du mois ; • Marché Broussard de Ducos, le samedi matin ; • Marché Port Moselle, le vendredi, samedi et dimanche.

Liste des producteurs certifiés sur www.biocaledonia.nc

Une table basse en palettes On en a tous eu l’idée, mais peu d’entre nous l’ont réalisée. Pourtant, il suffit d’être un peu bricoleur pour se fabriquer une superbe table basse 100 % récup’ à partir de palettes.

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Matériel

Deux palettes – une scie à bois – du papier de verre – du vernis. Étapes

• Démontez les lames d’une palette ; elles seront utilisées pour faire le rem­ plissage du plateau de l’autre palette ; • Les chutes serviront de pieds ; • Poncez ; • Vernissez. Des variantes sont proposées sur des sites spécialisés : www.espritcabane.com www.planetpal.net http://blog.imprimerie­villiere.com Si vous n’avez pas la patience et le courage de vous y mettre, Rémi Gon­ zales se propose de fabriquer tous vos meubles en palettes. Renseignements et commandes au 90 62 28.

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Vert de terre

Vous en rêviez ? Clean Boat le fait ! Tout nettoyer dans la maison, du sol au plafond en passant par les vitres et les sous­forgets et ce, avec un seul produit ? Impossible ? Pas si sûr. BioClean NC est le nouvel importateur exclusif d’une gamme économique, polyvalente et surtout bio­ dégradable à 98 % !Trois produits sont

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proposés selon vos besoins : Clean Boat classique (pour les bateaux et les voitures, utilisable à sec, donc sans consommer une quantité d’eau indécente), Clean­ boat spécial carène (déjaunit, enlève les dépôts) et Partner polyvalent qui, selon les dilutions, nettoie tout dans la maison. Renseignements complémentaires et commandes sur www.clean-boat.nc ou en contactant Bernard Giacosa au 77 93 01.

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© Solanea

Vert de terre

Quand soleil rime avec éveil Par Myriam Grandcler

héli coptère ou ULM, carrousel, et jouets en bois à ressort pour familiariser les enfants à l’énergie solaire et à la pro­ tection de la nature. Un brin de soleil et hop, le joujou se trémousse, l’avion plane et le manège tourne ! Ce pari fou a été lancé par deux amou­ reux de la nature, déter­ minés aussi à apporter leur pierre à l’édifice du commerce équitable.

© Solanea

Des jeux de construction qui s’animent grâce à la lumière du soleil : c’est tout nouveau, c’est écolo et surtout, c’est pédago. Solanea, nouveau site de vente par Internet « made in NC », propose une gamme de près de 40 produits, essentiellement des maquettes solai­ res en bois à mon­ ter soi­même et à décorer : avion,

© Solanea

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Billet d’humeur

La vie chère dans le rétro ? Douze jours de grève. Douze jours pour mettre tout le monde autour de la table du Haussariat. C’est long mais pour quel résultat ? Un gel général des prix sur la base du mois d’avril et une baisse de 10 % sur près de 500 produits. Tout ça pour ça ? Et oui, tout ça pour ça. Car lorsque l’on fait le calcul, il s’agit d’une baisse de 10 % des produits représen­ tants 80 % des principaux produits consommés par les Calédoniens qui, eux­ mêmes, ne représentent qu’un peu plus de 30 % de notre consommation selon l’Isee… À la louche, cela fait une amé­ lioration nette du pouvoir d’achat d’un poil plus de 2 %. Tout ça pour ça donc. Pour y voir plus clair, l’Isee doit lancer une étude et apporter des éléments chiffrés de l’impact des mesures adoptées. D’ici à la fin de l’année, on devrait pouvoir se faire une idée plus précise.

Mais il serait injuste de ne pas relever certaines avancées, comme l’arrivée des tickets restaurants, la mise en place de l’observatoire des prix ou encore l’obli­ gation d’indiquer le prix d’achat au producteur sur l’étiquetage des fruits et légumes. Ce que cela donnera ? Tout comme la baisse des prix, on n’en sait rien encore. Comme l’intersyndicale, il fau dra être vigilant. C’est d’ailleurs une nouveauté importante, le consommateur pourra désormais être actif en signalant les abus sur les prix grâce à un numéro vert. Dans le fond, on a quand même l’im­ pression que ces mesures sont du spa­ radrap sur une jambe de bois. Comme l’ont rappelé de nombreuses personnes à commencer par les économistes, « ré­ gler » le problème de la vie chère doit passer par des réformes bien plus pro­

fondes et notamment de la fiscalité. De ce côté­là, on peut avoir de sérieux doutes. Si la vie chère concerne tout le monde, elle touche plus spécialement les moins riches et l’une des premières mesures annoncées pendant la grève a été la réforme de l’impôt sur le revenu. Et paradoxalement, ce ne sont pas ceux en bas de l’échelle qui sont visés par les changements, mais bien ceux du haut de la classe moyenne. C’est à croire que la communication entre la classe politique et son peuple a du mal à passer. SG

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Ça m’énerve ! Rubrique de libre expression

J’ ime 6 010 UTILISATEURS

FRED PAYET

L’œil du photographe

© Congrès

L’Atlas de Nouvelle-Calédonie puissent y avoir accès et pas nous, surtout au moment où l’on est censé construire un destin com­ mun, quoi de plus important que de partager son histoire. C’est ce que permet l’Atlas notamment grâce à une carte inédite sur les événements. Mais si le prix reste trop élevé, on peut toujours le consulter dans les bibliothèques et autres médiathèques.

SG

Nathalie, non voyante (Nouméa)

SG

© Fred Payet

Ça m’énerve, mais ça va mieux. On l’avait attendu trente ans pour s’en­ tendre dire deux jours après sa sor­ tie : « désolé, il n’y en a plus et on ne sait pas s’il y en aura d’autres »… Et pourtant, cet ouvrage porte bien son nom, celui de référence. On y trouve tout et plus encore. Son prix est un peu cher, certes, mais pas tant que ça si l’on considère la qua­ lité de la publication et l’importance du travail. Cela aurait été quand même dommage que les métropolitains

On ne va pas bouder notre plaisir puisqu’il est un peu notre photo­ graphe en réalisant nos couvertures. Lui, c’est Fred Payet. Si vous appréciez son travail, cela tombe bien puisque le photographe à deux actualités qui mêlent esthétique et bonne cause. Il expose actuellement à la galerie Label image une série de portraits de per­ sonnes aveugles et malvoyantes qu’il a réalisé en collaboration avec l’asso­ ciation Valentin Haüy. Les bénéfices des photos vendues viendront remplir les caisses de l’association. En parallèle un ouvrage est actuellement à l’impres­ sion sur un thème très important : le mal loge ment. Tout comme pour son exposi­ tion, les recettes permettront de financer les actions de l’association SOS logement. Ça change des photos de lagon, alors courrez y jeter un coup d’œil !

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DOSSIER

> DOSSIER

Sur les chemins de la destinée Par Alice Roux

Astrologie, cartomancie, flashes… Les méthodes pour connaître l’avenir foisonnent. Malgré les critiques qu’elles essuient, les agendas des spécialistes de la destinée sont pleins et lorsqu’on commence à s’intéresser au sujet, la plupart des personnes interrogées confient y avoir recours ponctuellement. Nous avons donc décidé de consacrer notre dossier à la voyance afin d’apporter un éclairage pragmatique et local. Bienvenue dans les méandres des arts divinatoires…

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DOSSIER

Déjà dans l’Antiquité, les Grecs consul­ taient des oracles, et on retrouve des traces de recherches astrologiques chez les Sumer de Mésopotamie en 2 000 avant Jésus­Christ. Bref, sans refaire l’historique des pratiques de prédic­ tion, le fantasme perdure et avec lui des techniques tant scientifiques qu’ésoté­ riques. Pour éclairer notre lanterne, nous sommes allés à la rencontre de ceux qui savent…

Faire parler les planètes

« Il est très important de faire la différence entre l’astrologie et les autres méthodes qui prédisent l’avenir, com­ mence Claire Mercadal, astrologue. C’est une étude rationnelle qui permet d’analyser les informations fournies par des dates et la position des planètes. » Rien d’ésotérique donc dans cette façon d’appréhender le futur mais plutôt une étude précise des chemins de vie qui

se présentent à nous selon notre jour, heure et lieu de naissance. Cette préci­ sion faite, Claire raconte ce qui l’a menée vers l’astrologie. « Vers l’âge de 38 ans, après avoir élevé mes trois enfants, j’ai voulu trouver ma propre identité, m’épanouir grâce à quelque chose qui me plaisait et allait me permettre de mieux me connaître. J’ai commencé par des stages de reiki et c’est à partir de là que j’ai découvert différentes techniques de développement personnel. C’est l’astrologie qui m’a séduite. » Claire s’inscrit donc à l’Ecole d’astrologie de Marseille et suit des cours pendant deux ans, tout en continuant à apprendre d’autres métho­ des en parallèle, notamment la numé­ rologie. Suivent ensuite trois années d’apprentissage avec une astrologue de La Ciotat qui va l’aiguiller vers une variante de la méthode : l’astrologie karmique. Pendant toute cette période, Claire va peaufiner son art ; grâce à des calculs compliqués et très concrets, elle monte le thème pour ensuite l’inter­ préter. « Faire un thème demande près de 6 heures de travail, ensuite je reçois la personne en consultation durant 2 heures. » En astrologie karmique, le thème se fait une seule fois, c’est celui de toute une vie. « La personne va comprendre quelles sont les problématiques que son âme est venue régler dans cette vie, quelles expériences elle est susceptible de vivre et ainsi, comprendre pourquoi certaines choses arrivent ou d’autres bloquent. Ensuite, pas mal de gens décident d’entreprendre une thérapie ou une méthode de développement personnel pour apporter les modifications nécessaires et ne plus subir mais réaliser leur but de vie. » Vu sous cet angle, l’astrologie s’apparente plus à la connaissance de soi qu’à des prédictions proprement dites.

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Confessions d’une accro Marguerite, 47 ans, Nouméa Dklé : Quand avez-vous commencé à consulter des voyants ? Marguerite : À l’âge de 17 ans j’ai pris un rendez-vous avec une médium reconnue dans la région où j’habitais en Métropole. Je voulais savoir ce que l’avenir me préparait. J’y suis allée avec la peur au ventre, mais j’étais curieuse. J’ai été bluffée par ce que j’ai appris. Depuis, je n’ai jamais cessé d’aller la voir. Cette femme est devenue une amie, je la connais depuis 30 ans et je continue de la consulter. Quelle est la fréquence de vos rendez-vous ? Je vais voir ma voyante cartomancienne en qui j’ai vraiment confiance environ tous les trois mois, pour faire un point sur différentes situations de ma vie. Je consulte aussi mon amie de Métropole de temps en temps, elle utilise le pendule et la boule de cristal. Et puis quand des amies me parlent d’une bonne adresse, je vais tester. Une fois par an, juste avant mon anniversaire, je fais faire mon thème astrologique et celui de mon mari aussi. Cela nous donne une idée sur ce que nous réserve l’année à venir. Quels supports préférez-vous ? J’aime bien les cartes, comme ça je vois, je participe. J’adore des médiums qui ont des flashes, cela m’intrigue et m’épate. Le pendule m’a aussi réservé beaucoup de surprises étonnantes… Qu’est-ce que cela vous apporte ? Des réponses à mes questions, un réconfort aussi dans les moments difficiles. Et comme nous sommes dans les affaires, ça nous aide à savoir si les conjonctures sont bonnes pour nos nouveaux projets. Je me rends bien compte que mes rendezvous chez les voyantes sont une forme d’addiction, mais je me dis que certains sont accros aux médecins ou à l’alcool ; chacun ses petites faiblesses ! En général, je prends des notes que je relis de temps en temps pour vérifier si les événements prédits sont arrivés, ça m’aide au quotidien. Et le budget ? Une consultation coûte entre 5 000 et 16 000 F. J’essaie de ne pas dépasser 15 000 F par mois.

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DOSSIER

se développent. Elle voit l’endroit où la personne a un malaise et est capable de la soulager par imposition des mains ; c’est vers l’âge de 18 ans qu’elle com­ mence à avoir des flashes et des res­ sentis sur l’avenir. Mais attention, elle ne travaille pas n’importe comment, « je ne me permets jamais de faire une séance de voyance sans que la personne m’en ait fait la demande. De même, il y a certaines choses que je peux voir et ne pas dire. Imaginez que j’annonce un accident de voiture, la personne pourrait ne plus sortir de chez elle de peur

Dons de naissance

Dans son cabinet de Rivière­Salée, « Madame Launay », médium guéris­ seuse et voyante, travaille grâce à des flashes. Ici, pas de supports matériels comme le pendule ou les tarots mais un don de naissance qui lui permet de « voir ». « Ce ne sont pas seulement des visions mais aussi des ressentis, des messages que j’entends ou des choses que je sais sans pour autant pouvoir l’expliquer », détaille­t­elle. C’est à l’âge de 10 ans que cette Calédonienne commence à voir des êtres que les autres ne distinguent pas, « j’ai eu très peur au début. Je n’ai pas osé en parler à mes parents, même si mon père était guérisseur-magnétiseur, ma mère médium-voyante et deux de mes grands-parents guérisseurs ; bizarrement le sujet était tabou ». Au fil du temps, ses dons s’affinent, de nouveaux

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“ En consultation, ne dites rien mis à part votre date de naissance et votre prénom”


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que cela arrive. Au lieu de ça, je préviens autrement, je dis de faire attention ou de rester concentré au volant ». Nous apprenons donc qu’il existe une éthique où le respect de l’intimité est primor­ dial et selon laquelle le voyant ne doit pas tout révéler. Cette médium travaille ainsi depuis 20 ans et tient à nous mettre en garde contre ceux qui abu­ seraient de la crédulité des clients, « en consultation, ne dites rien mis à part votre date de naissance et votre prénom, certains vont vous faire parler pour ensuite dire des choses selon les informations que vous aurez données sans y faire trop attention. Enfin, si un voyant vous demande des sommes exorbitantes, posez-vous des questions. Bien sûr, nous demandons à être payés, nous aussi avons des charges, mais le but principal est d’aider les autres et non de s’enrichir ».

Conseils pour éviter les escrocs Ce ne sont pas les médiums qui manquent. C’est du moins ce que laisse à penser le nombre d’annonces qui fl eurissent, notamment dans les journaux gratuits. Un marabout qui vous ramène l’amour perdu, la santé, le bonheur… OU-BLI-EZ, ce sont probablement des charlatans. En règle générale, il vaut mieux se méfi er des publicités dans les journaux qui vous promettent tout et n’importe quoi. Se méfi er aussi des voyants qui posent trop de questions avant de commencer la consultation. Le fait de se voir proposer des rendez-vous réguliers, à des fréquences rapprochées doit mettre la puce à l’oreille. La profession n’étant pas encadré, les tarifs sont librement fi xés et un montant exorbitant n’est pas synonyme de sérieux ni de qualité. Face au nombre d’escrocs important, l’Institut National des Arts Divinatoires a été créé en 1987. Cet institut métropolitain aide les victimes d’escroquerie grâce à un service juridique spécialisé. Leur site fourmille de témoignage à méditer.

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Santé/Beauté

ONGLERIE

Gel ou résine ? Telle est la question… Par Alice Gonzales

Depuis plusieurs années, on nous propose d’avoir des ongles parfaits et c’est vrai que c’est la classe. Les vôtres sont rongés, cassants, mous ? No soucy, des professionnelles s’occupent de tout. Mais avant de confier vos mains à celles d’une styliste ongulaire, sachez qu’il existe deux techniques.

Le gel UV

Après le polissage, la styliste dépose une « capsule » qui sera elle aussi polie. Elle lui appliquera le gel en trois étapes, entre les­ quelles vous poserez vos mains sous une lampe UV. Les ongles sont plus souples et plus légers qu’avec la résine. Dans tous les cas, prévoyez un remplissage toutes les trois semaines environ. Et si vous souhai­ tez faire une dépose, demandez­le à une pro, le faire vous­même risque d’abîmer considérablement vos ongles.

La résine

Cette méthode nécessite un polissage puis l’application d’un « primer » pour que la résine adhère. Une fois posée, elle sera remodelée plusieurs fois selon la forme et la longueur souhaitées. L’in­ convénient de cette technique, c’est que l’ongle est très épais, donc lourd et d’un effet peu naturel.

Mon dentiste, ce héros Par Myriam Grandcler

Le dentiste est le profession­ nel de santé qui inspire le plus de crainte. Alors pour les phobiques du bistouri, certains praticiens ont recours à une technique qui serait imparable : l’hypnose. « Le Le cerveau humain a cette faculté incroyable de

s’inventer des histoires terrifiantes », signale Jean­Claude Hug, dentiste qui s’est offert un stage d’hypnose ericksonienne pour détendre les stressés de la fraise. « C’est une méthode géniale pour dissocier le corps soin. » Il de l’esprit pendant le soin. y a aussi beaucoup appris sur le cerveau, notamment que ce bel organe ne retient pas la forme néga­ tive. Dans son cabinet, fini les « ne vous inquiétez pas, vous n’aurez pas mal », – le cerveau enregistre « inquiétez » et « mal » ! On rassure à la forme positive. La procédure d’hypnose est normée : le praticien conduit le patient dans un endroit où il se sent bien. « J’ai fait une extraction de dent de sagesse, avec anesthésie bien sûr. Le patient, une fois l’acte accompli, ne m’a parlé que de son beau voyage. »

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N O U V E L L E - C A L É D O N I E

Contraception ou conception, vous décidez, naturellement…

Santé/Beauté

Mon nez ne saurait mentir… Par Alice Roux

Trois grandes inspirations suffisent pour agir comme un leurre sur les neurotrans­ metteurs du cerveau, envoyant un message de satiété. Cette boîte à odeurs, réalisée au gramme près par l’olfactologue calédo­ nienne Laure­Léa Chartier, contient un savant mélange d’épices sélectionnées en fonction de leur impact émotionnel via les molécules olfactives. Pour arriver à de tels résultats, Laure­Léa a collaboré avec un chercheur du CNRS spécialisé en olfac­ tion et, selon celles et ceux qui l’ont déjà utilisée, les répercussions sont bluffantes. Dès que l’envie d’ouvrir la porte du frigo chatouille les papilles, on va vite respirer le mélange, et le désir de grignoter disparaît !

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Le oin de la famille

Le bassin pour tous Inédit sur le territoire, un « bassin nautique multi-activités » va bientôt être installé sur le site de la Côte blanche. Parmi les avantages de cette installation : l’accueil d’un public handicapé. C’est au Centre des activités nautiques (CAN) de la Province sud que les enfants vont pouvoir s’en donner à cœur joie. Un grand bassin nautique va en effet y être construit : un espace clôturé instal­ lé en mer, le long de la plage. « L’un des intérêts de la mise en place de ce bassin est la capacité d’accueillir un public handicapé », indique Guy Perrot, directeur du CAN.

Par Aurélie Cornec

S’éclater en toute sécurité

Le futur bassin se prête en effet très bien aux activités des handicapés. Des ins­ tallations spécifiques vont notamment faciliter l’accès aux personnes en fauteuil roulant. « Un carré de 18 m² dédié aux handicapés va leur permettre de monter et sortir des kayaks facilement, avec un appareillage spécifique. La mise à l’eau se fera alors sans effort et de façon autonome. Dans un deuxième temps, un lève-personne sera mis en place. » Le CAN va également s’équiper d’un bateau capable d’embarquer six fau­ teuils roulants, qui pourra être amarré à proximité du bassin. Un second bateau, identique, devrait rapidement rejoindre

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Nou

l’équipement. Mais le futur bassin pré­ sente d’autres avantages : il va en effet permettre de développer certaines acti­ vités nautiques, comme le kayak polo. Ses dimensions (25 mètres de long sur 20 de large) sont idéales pour prati­ quer ce sport en vogue depuis quelques années. Le bassin devrait par ailleurs accueillir des associations de modélisme ou de triathlon. Cette piscine naturelle servira aussi à dispenser des cours auprès des classes de CE1 et CM1, pour qui l’apprentissage de la natation est deve­ nu obligatoire. Une alternative ludique aux piscines municipales, qui devrait séduire les apprentis nageurs. Enfin, « lorsque les vents seront trop forts pour pratiquer certaines activités, nous utiliserons le bassin qui constitue un véritable nid aquatique. C’est un support pédagogique sécurisé car entièrement clôturé », ajoute le directeur du CAN. Après quelques mois de travaux, les enfants devraient pouvoir sauter dans le bain d’ici le mois de septembre.

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Vétérinaire et… vétérinaire Nos petites bêtes, on les aime, on les chérit et quand elles sont malades, cela peut nous coûter très cher. Pour elles, pas de Cafat et encore moins de mutuelle. Voici le témoignage d’une de nos lectrices qui raconte une de ses mésaventures du week-end.

Nos

animaux au

naturel

les propriétaires plusieurs heures après, voire le lendemain, une fois qu’ils sont bien réveillés. Ce dimanche­là, je dépose les deux loulous à 9 h du mat’. À peine pesés, pas soignés bien sûr, on me fait passer dans le bureau et on me demande un chèque de 57 300 F ! Je suis un peu ébahie d’une telle pratique, mais bon, j’avais peut­être l’air d’une truande… Quand on aime nos animaux on ne compte pas. Qu’à cela ne tienne, je paye rubis sur l’ongle. Mais voilà qu’à peine deux heures et demie après les avoir déposés, on me dit : « Vous pou« vez venir les récupérer. » récupérer Quoi ? Déjà ! Alors qu’ils ont subi une anesthésie géné rale ? Pas possible, pas nor­ mal ! Mais voilà, c’était plus pra­ tique de me les rendre le matin, même mal réveillés en cette journée de dimanche. Je me pose donc quelques ques­ tions : mes chiens ont­ils bien eu une anesthésie générale ? Je ne pense pas, alors que c’est ce que l’on m’a fait payer ! Je pense plutôt que mes chiens ont été traités en ambu­ latoire avec juste une piqûre de xylo, comme chez le dentiste. J’ai aussi pu noter que l’oreille d’un de mes chiens était très mal recousue : est­ce le travail fait par un vétérinaire ou celui d’une assistante ? J’ai des doutes. Il a d’ailleurs fallu 19 jours au lieu de 10 pour que le « vétérinaire de la famille »

Arthrose rhumatisme friction anti inflammatoire, soulage les douleurs

puisse retirer les points de cette oreille­ là : plaie qui cicatrisait mal évidemment. Aucun anti biotique ni anti­inflamma­ toire… Bref, je passe bien d’autres dé­ tails mais cela n’a pas empêché que le chèque, signé le dimanche à 9 heures, soit déjà débité le mardi matin sur mon compte… Alors chers amis des animaux, choisissez bien votre vétérinaire et évitez d’avoir un pépin le week­end si ce n’est pas votre véto qui est de garde ! C.C. En complément de ce témoignage, il est important de noter que les tarifs fi xés par les vétérinaires sont libres. Il est donc important de bien se renseigner avant de faire soigner ses animaux ; même si l’on a tendance à réagir dans l’urgence. Concernant les actes, les anesthésies générales ne sont pas anodines, y compris pour les animaux. Pour les points de suture, il n’est généralement pas nécessaire d’y avoir recours, d’où l’importance de bien vérifi er que les actes qui ont été pratiqués correspondent bien à ce qui vous est facturé.

ATHÉRAPIE

Me voilà un dimanche matin avec deux de mes gros chiens qui ont décidé de se friter… Vlan, c’est parti, les deux zouaves se mettent une raclée de pre­ mière. Résul tat, obligée d’appeler le service vétérinaire d’urgence. Obligée, puisque pour les trous et les déchirures à recoudre, il ne faut jamais attendre le lendemain. Dans ces cas­là, les vété­ rinaires font toujours une anesthésie générale pour pouvoir suturer. L’ani­ mal ou les animaux sont récupérés par

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ulture Dynamisez votre image !

SPECTACLE

Caméléon fait son cirque

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Par Marion Le Roy

Les spectacles accueillis sur le Caillou par la compagnie du Caméléon sont autant de gourmandises pour les yeux et les oreilles du public. Bonne nou­ velle, trois numéros seront présentés entre les mois de septembre et novem­ bre prochains au Théâtre de l’île, au centre culturel du Mont­Dore et à tra­ vers le pays sous le Chapitô. Du 2 au 22 septembre, une compagnie belge de théâtre gestuel proposera « Josephina »

Projection publique de cinéma en plein air

Location d’écran mobile à LED de 10 m2

Josephina, de la compagnie Chaliwaté

et « Ilo », deux spectacles tout public où danse et cirque s’entremêlent pour nous transporter dans un monde oni­ rique. Du 14 octobre au 5 novembre, ce sera au tour d’un couple de clowns italo­suisses de se produire, maladroits mais très doués en trapèze et autres acrobaties, pour le plus grand plaisir de nos zygomatiques.

Conférences et visio-conférences

Réservations au 92 09 29 ou sur www.cameleon.nc

Îlo, où danse et cirque s’entremêlent

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mé © Ville de Nou

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ulture

LITTÉRATURE

Les enfants content aux enfants

Le plus ? Les textes sont bilingues fran­ çais et paicî (langue de Poindimié), ôrôê (Bourail) ou drehu (Lifou) selon l’origine de l’histoire. Un livre à dévorer en famille ou tout seul, pour l’apprendre et mieux le raconter. Petits contes de chez nous, édité par la ville de Nouméa, est en vente dans les librairies pour la modique somme de 1 500 F.

Ôde calédonienne Il est de ces petits souvenirs, futiles sur le moment et qui, en fin de compte, vous marquent toute la vie. Ce sont ces odeurs et ces couleurs de sa « brousse » que Corine David a souhaité transmettre dans son premier livre, Fresque poétique calédonienne. L’élue du Congrès que l’on connaissait moins pour ses vers que pour son franc­parler au sein de l’hémi­

© Ville de Nouméa

Pourquoi le nid de la fauvette est­il si douillet ? Qui du héron et du coquillage est le plus malin ? Les Petits contes de chez nous proposent de découvrir cinq histoires d’animaux et d’hommes tirées de la tradition orale kanak. L’ouvrage, conçu par Corinne Ousset et Joane Ukeiwe de la médiathèque de Rivière Salée, a été écrit et illustré par les enfants des maisons de quartier de Rivière Salée, Tindu et Magenta soleil, avec l’aide de conteurs, animateurs et artistes locaux.

Par Marion Le Roy

Par SG

cycle de la rue Vauban, livre son enfance à Teremba sous forme de poèmes. Son ouvrage qui est avant tout un témoi­ gnage adressé à ses enfants, se veut également une pierre dans la construc­ tion du destin commun, un travail sur les racines et les non­dits qui font ce qu’elle est aujourd’hui. Mais l’auteur a d’autres bonnes feuilles en poche puisqu’à peine son premier recueil sorti, elle publie Héo, l’histoire en vers d’un jeune garçon d’Ouvéa. Loin de ses souvenirs personnels, Corine David propose une réflexion sur le paradoxe de « l’île la plus proche du paradis » et de son passé dramatique. Fresque poétique calédonienne, Là où les lances de palétuviers s’envolent dans le vent et Héo sont disponibles en librairie aux Éditions Jets d’encre.

Écrits d’ici Par Myriam Grandcler

Premier roman de fiction de l’auteur ca­ lédonien Jean­François Vernay, Un doux petit rêveur est un conte moderne du Pacifique. Le héros, Benjamin, 7 ans, est un « peine­insulaire » : sa solitude, il la trompe dans les histoires incroyables qu’il se raconte avec Fil, son ami (imaginaire ?) et ses rêves de contrées lointaines. Cette œuvre se déchiffre à travers plusieurs grilles de lecture. Benjamin est­il atteint d’un trouble envahissant du comporte­ ment (TED) ? Est­il bien le narrateur de sa propre histoire ? Une ambiguïté que cultive l’auteur en brouillant sciemment les frontières entre raison et déraison, poé­ sie et fantaisie, perception et imagination. Éditions Les 2 Encres, 2012 : 1 490 F CFP

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ulture

Appel à plumes andcler

Par Myriam Gr

ceux qui ns jamais lus, à ama­ ai riv éc x au is Av ples enir ou aux sim rêvent de le dev s plumes vo z ne ig po em : teurs du verbe ­d’œuvre de leur tiroir. fs ou sortez vos che mix lance un appel à de En n tio ia L’assoc , elle pro­ fin de l’année écriture. D’ici la s (livres électroniques) ok posera des e­bo ger sur son site, et ar ch lé té à ts nou ­ gratui vous bien ! – des un z­ ne uc A contenant – te r ses lecteurs. velles écrites pa , vous pourrez laisser posé même thème n’est im tre imagination, t pas vo à libre court on vr uvelles ne de débridée. Les no re pages (sous Word, at qu dépasser les : 12). ew Roman, taille police : Times N long uvelles tout au Envoyez vos no demix.nc en t@ ac nt co à de l’année

Des livres à la livraison Par Aurélie Cornec

La librairie itinérante « Lire un pays » a pris sa première route le 23 avril dernier à Koné, dans le cadre du lancement de la Semaine du livre de la médiathèque Ouest. Initiative de la Maison du livre, en partenariat avec l’Association des éditeurs et diffuseurs, cette librairie d’un nouveau genre proposera à la vente une majorité d’ouvrages d’auteurs calédoniens, ainsi que des DVD et CD (slam, conte, etc.). Elle sera aussi le mini­théâtre de diverses ani­ mations et de rencontres en lien avec les littératures écrites et orales des îles. À tra­ vers tout le pays, cette charmante camion­ nette blanche devrait aider à pallier l’ab­ sence de magasins spécialisés en brousse.

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Les patentés ont leur site Internet Par Marion Le Roy

Vous cherchez un plombier pour répa­ rer votre robinet ? Vous êtes maçon en manque d’emploi ? Patente.nc peut vous aider ! Au menu : un annuaire des travailleurs indépendants, mais aussi des infos sur le marché du travail, des bons plans, des petites annonces... Le site, monté il y a moins d’un an par un patenté, comptabilise déjà des milliers de visiteurs par mois. L’initiateur de patente.nc a voulu « créer un outil pour aider une partie de la population à trouver du travail en NouvelleCalédonie ». Le site est gratuit, tout comme l’inscription et la création d’une fiche personnelle pour les patentés intéressés.

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Achat sur Internet Passez par la case douane Faire ses emplettes sur Internet est une chose banale. Le faire dans des boutiques calédoniennes l’est beaucoup moins. Mais recevoir un colis de Nouvelle-Calédonie et de Métropole sont deux choses totalement différentes, notamment du point de vue des taxes. S’il n’y en a pas sur les colis d’ici, c’est loin d’être le cas pour ceux venant de l’extérieur. Petit retour sur ces taxes qui plombent le prix de nos achats. de 30 %. Mais chose étonnante, même avec 30 % de plus, des achats peuvent tout de même s’avérer plus écono­ miques ; c’est dire si les marges de cer­ tains distributeurs sont importantes. Bon à savoir

Il y a encore peu, faire ses courses sur des sites Internet calédoniens était tout sim­ plement impossible. À peine pouvait­on réserver des produits et passer les payer à la boutique. Les solutions techniques ont nettement évolué et de nombreux sites commerciaux permettent désor­ mais de remplir son caddy numérique en quelques clics. C’est notamment le cas de Tropicachat qui en a fait sa spécialité, mais également de bien d’autres ensei­ gnes du territoire qui s’affichent désor­ mais sur la Toile. On peut acheter son vin, des calendriers ou son ordinateur et se les faire livrer chez soi. À la grande différence des achats effectués sur des sites commerciaux non calédoniens, vous recevrez normalement vos colis sans taxes ni droits de douane. Et la différence a toute son importance puisque dans certains cas, la facture peut grimper de plus

Voici quelques trucs à savoir avant de cliquer sur « ajouter au panier ». Pour simplifier les quelque 6 000 positions tari faires, les douanes ont procédé à certaines simplifications. Les produits ont ainsi été regroupés au sein de 19 grandes familles, ce qui réduit consi­ dérablement les différents taux de taxa­ tion*. Première chose à savoir, les droits de douane ne sont pas appliqués selon que votre produit soit originaire de l’Union Européenne ou non. Ceux de l’Union Européenne en sont exemp­ tés, pas les autres. Mais attention, pas de droits de douane ne veut pas dire absence de taxes. Deuxième chose à savoir, les taxes sont calculées sur le prix de votre achat hors taxe, c’est­à­dire hors TVA. Mais pour que le montant soit correctement cal­ culé, il faut que le prix hors taxe appa­ raisse clairement, sinon c’est le prix TTC qui sera pris en compte…

Par SG

Lors de votre achat, il faut donc veiller à ce que le prix HT soit clairement indiqué sur la facture. Autre élément important à prendre en compte, les colis dont la va­ leur coût­assurance­fret est inférieure à 30 000 F sont admis en franchise. Mais attention, il s’agit seulement des colis de particulier à particulier. Tous les colis commerciaux – hors livre – sont taxés à partir de 3 000 F. Encore une fois, pour les colis de particulier à particulier, les douanes contrôlent le fait qu’il s’agisse bien d’envoi à caractère occasionnel et non pas commercial. Et si vous vous demandez pourquoi de telles taxes exis­ tent, surtout sur des produits que l’on ne trouve même pas sur le ter­ ritoire, ne cherchez plus, il s’agit juste de remplir les caisses des collectivités. En 2012, le budget de répartition était d’envi­ ron 200 milliards de francs, dont 50 mil­ liards provenaient des seuls droits et taxes à l’importation. * retrouvez le tableau sur www.douane.gouv.nc

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Sports/Loisirs

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La nouvelle sensation d Par Aurélie Cornec - Photos Patrick Chalas

stocks américains ou européens

neufs ou d’occasion

Ludiques et pratiques, les skates électriques fleurissent dans la capitale. Christophe, fidèle lecteur de Dklé, a testé pour vous ces nouveaux engins. Avant de commencer l’essai, Sylvain Moret, importateur exclusif de Maverix (marque française n° 1 des skates élec­ triques en Europe), nous présente ses produits. « L’intérêt du skate électrique est double : il s’utilise pour les loisirs, avec des sensations de glisse inédites, ou pour les déplacements quotidiens. Les skates fonctionnent avec une télécommande Wi-Fi qui comporte trois positions, débutant, moyen ou expert, et permet de brider la vitesse si besoin. L’accélération est rapide et le freinage sécurisé, tout le monde peut donc en

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faire. » Après un rappel de la règlemen­ tation – les skates ne sont pas autorisés à rouler sur la voie publique – place à l’action ! Christophe commence par essayer le modèle Urban Spirit, idéal pour les déplacements urbains, puis se lance avec le Border X tout­terrain. Il commente : « La prise en main est assez facile. Je me suis senti à l’aise tout de

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Sports/Loisirs

on de glisse suite sur le Urban Spirit ; le Border X demande un peu plus de concentration et de condition physique si l’on veut s’amuser. J’ai beaucoup aimé les sensations en mode “cruising“. La prise de vitesse est assez rapide bien que très progressive, la tenue de route et la stabilité sont agréables. J’ai vite eu envie de chercher les courbes plus appuyées ! Le tout-terrain grimpe plutôt bien les côtes et franchit tout ce que la hauteur de la batterie permet. » Convaincu par » Convaincu par son essai, Christophe envisage d’ailleurs d’investir dans un skate électrique « pour pour aller travailler avec un jouet !! » » Les batteries lithium présentent une autonomie de deux heures environ et se rechargent sur une prise de courant classique. Idéal en effet pour éviter les embouteillages tout en se faisant plaisir. « Cela me permettrait de réaliser des économies de temps et de carburant », ajoute­t­il. », ajoute­t­il. Rider en toute sécurité

Ce moyen de loco­ motion fun et éco­ logique présente par ailleurs divers points de sécurité. Un leash coupe­circuit s’accro­ che à la cheville et permet de stopper le skate en cas de chute.

20, rue du Général Mangin - Tél. : 28 61 45 Certains modèles disposent de phares avant et arrière et la vitesse ne dépasse jamais les 30 km/h. « L’accélération progressive et le freinage ABS permettent un apprentissage en toute sécurité. Tous les modèles sont certifiés CE et garantis un an. Au-delà de la période de garantie, nous assurons l’entretien et la vente de pièces détachées », précise Sylvain. Enfin, le petit plus qui fait la différence : le design des planches est personnalisable sur tous les modèles… de quoi nous rendre skate addict !

5 modèles disponibles, de 39 900 à 139 900 F, selon la taille, la puissance et le type de batterie. Contact : Sylvain Moret Tél. : 76 17 81 maverixnc@gmail.com www.maverixnc.com Facebook : Maverix Skates électriques Nouvelle-Calédonie

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Décollez

POYA : Un petit paradis caché da Texte et photos SG

Les automobilistes ont tendance à y passer sans s’arrêter. Poya recèle pourtant de nombreuses richesses et des personnes à rencontrer absolument. Petite balade dans cette commune à cheval sur les provinces Nord et Sud. Son école, sa mairie, son église, son dis­ pensaire, son magasin et sa station… Le temps de le dire et ça y est, on vient de traverser Poya. Cette commune mécon­ nue cache bien ses vallées et les richesses qui s’y trouvent. Première particularité, elle n’est ni en province Nord, ni en province Sud, mais bien à cheval sur les deux. Faites-vous accueillir par la reine

Mais pour les visiteurs, cette petite spé cificité administrative n’a pas fran­ chement d’intérêt. Pour les curieux, la balade commence à la sortie de Poya, en empruntant la route qui part sur la droite, quelques centaines de mètres après le pont. Il n’y a plus de panneau de signalisation, mais cette route dessert la grande majorité des tribus de la com­ mune. L’idéal, si vous décidez de visiter le coin, est d’aller chez la « Reine de Poya », au gîte de Porin­Néa, à la tribu de Nétéa. Juste un petit conseil, évitez

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de vous y rendre après la tombée de la nuit car il est nettement plus facile de demander son chemin pendant la jour­ née. Reine vous accueille dans son petit coin de paradis, en bord de creek. Il y a la possibilité de dormir en dortoir ou en camping. Pour les repas, laissez­vous faire par la chef, véritable cordon­bleu qui vous mijotera des produits « mai­ son », sauf peut­être le riz. Pétroglyphes et roussettes

Le lendemain, vous n’avez que l’embar­ ras du choix au niveau des promenades. À partir de la tribu de Nétéa, vous pour­ rez accéder à d’autres vallées ou, en remontant la rivière, atteindre un site de pétroglyphes. Mais en matière de pétroglyphes, il vaut mieux reprendre la voiture et se rendre à Montafoué, à environ 20 minutes en voiture. On y trouve un des plus grands sites de toute la Nouvelle­Calédonie, gardé par Guillaume Boko Gowé. Chose éton­ nante, cet endroit exceptionnel et extrê­


Décollez

hé dans la montagne mement important pour le patrimoine culturel kanak a été visité par seulement 5 000 personnes en 10 ans, scientifiques ou chercheurs pour la plupart. La visite vaut largement le déplacement jusqu’à Poya et Guillaume vous emmènera à la découverte de ces gravures rupestres dans un endroit magnifique donnant sur la Poya. Pour se renseigner, il faut appeler à l’école de Montfaoué et demander Césarine, la femme de Guillaume. On peut aussi le joindre via la mairie. Autre rendez­vous incontour­ nable mais qui ne se déroule qu’une fois dans l’année : la nuit de la chauve­souris à Gohapin. La tribu abrite un énorme nid que l’on peut aller observer, mais seulement de loin, pour ne pas effrayer nos mignonnes roussettes. Le reste de l’année, le massif de l’Aoupinié est une autre merveille à découvrir et, avec un peu de chance, vous pourrez peut­être y croiser un cagou.

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Décollez

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Helsinki, combiné nordique Texte et photos Julia Trinson

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Certes, on ne trouve pas dans la capitale finlandaise les étendues glacées de la Laponie. Mais en quelques jours à Helsinki, on peut goûter à bien des joies du Grand Nord, sans débourser des sommes folles ! Nature et grands espaces

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Les Finlandais sont très attachés à leurs hivers terriblement froids et à leurs étés incroyablement ensoleillés. Pour avoir un aperçu de ces températures extrêmes, rien de mieux que de faire un tour dans l’un des nombreux saunas que les locaux apprécient tant. Version tradition­ nelle, rendez­vous au Kotiharju Sauna, l’un des derniers fonctionnant avec un feu de bois. Version moderne, de nombreux hôtels proposent leur propre sauna, pour une expérience un peu moins locale, mais comprise dans le tarif de votre chambre !

Si vous pensiez qu’un séjour dans une capitale européenne ne vous permet­ trait pas de goûter aux joies de la nature, vous allez être surpris. En 15 minutes de ferry, vous rejoindrez l’île­forteresse de Suomenlinna, où, en saison, vous pour­ rez vous gorger de soleil en observant le vol des oies sauvages et des mouettes chapardeuses. L’île est classée au patri­ moine mondial de l’Unesco et permet de découvrir un pan de l’histoire du pays, qui a été suédois, puis russe, avant de devenir indépendant en 1917. Et sur­ tout, Suomenlinna, où l’on se déplace à pied, est l’un des lieux de pique­nique préféré des Helsinkiens ; alors pensez à embarquer une barquette de myrtilles et un sandwich de pain de seigle que vous dégusterez face à la mer. Les plus actifs pourront prolonger leur découverte de la ville à vélo, Helsinki abritant plusieurs loueurs. Vous pourrez parcourir les très nombreuses pistes cyclables et longer le littoral en vous arrêtant à votre rythme dans les innombrables espaces verts et sur les plages de sable blond.


Décollez

Le nouveau complexe des bars et restaurant de l’aéroport est heureux de vous accueillir dans ses locaux entièrement rénovés

Musique

Le hard rock de Lordi, ce groupe de monstres finlandais qui avait secoué (et remporté) l’Eurovision en 2006, résonne encore à vos oreilles ? Vous préférez la bonne vieille pop, style Abba revisité ? Dans tous les cas, vous trouverez votre bonheur à Helsinki, où le bar Loose, par exemple, accueille un concert presque tous les soirs, avec des billets à moins de 10 euros, et une ambiance jeune et décontractée. Pour peu que vous veniez au printemps ou en été, vous trouverez sans doute une scène en plein air, un kiosque ou un festival qui vous feront découvrir la vitalité de la musique locale au hasard d’une promenade. L’art du café

Dès le premier redoux, les Helsinkiens se ruent dehors pour goûter aux joies des verres en terrasse. Car la capitale finlandaise est bien fournie en estami­ nets ! Après une ballade sur le front de mer, vous pourrez déguster un pulla, petit pain à la cannelle, à l’adorable Café Regatta (voir photo) ou encore goûter une soupe aux gros morceaux de sau­ mon frais sur la place du marché, devant le port des ferries. Les Finlandais étant les premiers consommateurs européens de café, vous trouverez de quoi vous réveiller et vous réchauffer dans la moindre échoppe.

Le Biarritz bar snack, glacier - situé en zone sous douane - réservé aux passagers - ouvert 2 h avant un départ

Architecture et design

Certes, c’est Ikea qui a popularisé les meubles et la déco issus du Nord. Mais le design nordique, c’est bien plus que ça. Capitale mondiale du design 2012, Helsinki regorge de trésors. Munissez­ vous de la carte fournie gratuitement par l’office du tourisme, « Design District Helsinki », et partez en promenade dans ce quartier aux boutiques et galeries plus créatives les unes que les autres. Le magasin de seconde main Artek, notam­ ment, offre une plongée dans le passé de cette marque d’ameublement aux pièces aussi pratiques qu’élégantes. Pensez aussi à lever le nez lors de vos balades, car les bâtiments Art Nouveau sont par­ tout : vous repèrerez des colosses tenant un lampadaire, des ours gardant une porte, ou encore des ornements évo­ quant les mythologies nordiques, version XIXe siècle.

léger

Billets à prix

nombreux r le trajet de de Paris, Helsinki est su en direction billets d’avion s moins chers. Pour y i le souvent parm jours en chemin, vous es qu el qu passer ’aéroport, gler les taxes d n’aurez qu’à ré isoire. dér d’un montant capitale fi nlandaise sur la Plus d’infos sur .fi /en/tourist/francais ki sin el th isi .v www

Le Constellation Bar, snack, glacier - ouvert 2 h avant un départ ou une heure avant une arrivée - 7 j/7 de 6 h à 1 h 30

Le St Exupéry Vous prenez l’avion , vous allez chercher des amis ou vous voulez dîner dans un cadre unique et raffiné. Profitez de la vue sur piste et de sa cuisine raffiné à base de grillades et de produits de la mer. Ouvert 7 j/7 dès 11 h le midi et surtout dès 19 h 30 le soir (à partir du mois août). Réservations au 35 11 93 Parking offert pour la durée de votre repas.

Mail : rest.cal@lagoon.nc #00 17

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Fiche métier

OLFACTOLOGUE

Un métier qui a du sens Par Myriam Grandcler

De tous les sens, l’odorat est sans aucun doute le plus délaissé. Pourtant, le nez est l’organe le plus directement lié au cœur, enfin, à l’émotion. Au début des années 90, des médecins américains se sont penchés sur le pouvoir des odeurs : l’olfactologie vient de naître. Rencontre avec Laure-Léa Chartier, l’unique olfactologue de Nouméa. Imaginez que vous sentiez en perma­ nence une odeur putride, pour ne pas dire merdique ! Eh bien, ce trouble de l’odorat existe et il se nomme cacosmie. Pire encore, si vous êtes atteint de phan­ tosmie, c’est que vous êtes en proie à des hallucinations olfactives : vous sentez des choses qui n’existent pas ou bien vous les confondez, une sorte de daltonisme de l’odorat. Du genre à humer une rose et percevoir un relent de poisson pourri. Ces troubles de l’odorat, c’est l’affaire de Laure­Léa Chartier, olfactologue. Des effl uves, des souvenirs

Outre la gestion de ces dysfonctionne­ ments olfactifs pour le moins curieux, elle s’occupe des cérébro­lésés, type trauma

crânien sévère ou AVC. Dans le cas d’une perte de mémoire, la pro de l’odorat mène une enquête auprès des proches pour déterminer quelles senteurs pour­ raient éveiller des souvenirs olfactifs du patient, un premier pas vers le recouvre­ ment de la mémoire. « Juste avec l’odeur du Hollywood chewing-gum à la menthe, j’ai réussi à ressusciter certains souvenirs d’un jeune, amnésique suite à un coma », raconte­t­elle. L’opération ne consiste pas à lui coller la pâte à mâcher sous le nez mais, en collaborant avec un laboratoire, de recréer des odeurs de synthèse hyper concentrées. Et le laboratoire est capable de reproduire à la perfection tout et n’importe quelle senteur : gaz, melon de Cavaillon au Porto 20 ans d’âge – ça ne © Myriam Grandcler

s’invente pas –, essence, goudron, herbe fraîchement coupée, colle Cléopâtre (que les moins de 30 ans ne peuvent pas connaître). Une fois le concentré respiré, les molécules dégagées vont directement déclencher des émotions, qui à leur tour réveillent les souvenirs. Que l’olfaction soit directement liée aux émotions et aux souvenirs n’est une révélation pour per­ sonne. Il suffit qu’un parfum ou un effluve précis viennent effleurer vos narines, et vous voilà propulsé l’espace de quelques secondes dans les tréfonds de votre mémoire. Et parfois, quel flash­back ! Un parfum de renaissance

Avec ses mallettes magiques qui contien­ nent plus d’une quarantaine de flacons d’odeurs de synthèse, notre spécialiste de l’odorat rééduque les cancéreux qui ont perdu, en partie ou totalement, l’odo­ rat et donc le goût. L’objectif est de leur redonner le plaisir de la table. Auprès des autistes, l’olfaction est une « porte ouverte sur la communication » : en jouant avec les odeurs qu’ils aiment, ils sont amenés à les réclamer. L’olfacto­ logue anime également des ateliers olfac­ tifs ludiques avec les personnes atteintes d’Alzheimer, une gymnastique de la mémoire qui ralen­ tirait la progres­ sion de la mala­ die. Laure­Léa Chartier est également olfactothé­ rapeute. À suivre.

Laure­Léa Chartier, seule olfactologue du territoire.

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Ass ciations

Une fresque pour égayer les lieux, l’empreinte solidaire de jeunes graffeurs

Paul Reznik accueille les jeunes du quartier Texte et photos Myriam Grandcler

Foyer de vie pour adultes lourdement handicapés, Paul Reznik jouit aujourd’hui d’une image positive auprès de la population de Nouville. Les jeunes qui profitent de son cyberespace y ont surtout trouvé un lieu aux bras grands ouverts : ceux des personnes handicapées. Un groupe d’enfants est installé devant plusieurs ordinateurs d’un cyberespace. Certains sont connectés sur des réseaux sociaux, d’autres lisent leurs mails ou jouent à des jeux vidéo en ligne. Cette scène n’a absolument rien d’ordinaire. L’espace informatique est celui du foyer Paul Reznik à Nouville, un lieu de vie pour personnes lourdement handica­ pées. Quant aux enfants, ils viennent des squats alentour qui, pour certains, n’ont même pas l’électricité. L’endroit est très fréquenté. Une dizaine d’en­ fants se relaient, parfois moins, parfois plus. Soudain, une personne en fauteuil s’approche. Un enfant se lève, dégage les chaises qui pourraient la gêner et lui cède sa place. Puis il l’aide à se connec­ ter, tape quelques mots sur l’ordinateur, branche ses écouteurs. Alphonse n’a que l’usage d’une main, lente et malha­ bile, et pas celui de la parole. « Je l’aide à aller sur Internet parce qu’il n’y arrive pas tout seul, explique Marvin, 12 ans. Et parfois, on écrit même pour lui. »

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Une initiative remarquable

En 2011, le foyer Paul Reznik reçoit de Simon Loueckhote les trois millions que contient son enveloppe parlemen­ taire. Pour l’Association calédonienne des handicapés (ACH), gestionnaire du foyer, le père Noël vient de passer : elle

achète des équipements informatiques à destination des résidents et installe le Wi­Fi dans tout l’établissement. Puis elle commande à la maison de quartier de la Vallée­du­tir une fresque géante pour égayer sa salle de vie. De jeunes graffeurs, encadrés par un animateur, réalisent une seconde fresque dans le salon TV. « Petit à petit, un glissement s’est opéré dans la fréquentation du lieu par les jeunes du quartier, raconte Guy Aupetit, directeur des établissements de l’ACH. Ils ont commencé à investir l’espace informatique réservé à l’origine aux résidents. » Si le lieu n’a pas vocation à devenir un cyberespace, Guy Aupetit y voit là un moyen exception­ nel d’intégrer le foyer dans le paysage de Nouville et de permettre aux per­ sonnes handicapées très isolées, qui restent prioritaires sur les ordinateurs, de rencontrer une jeunesse dynamique. « Nous voulions démystifier un lieu qui paraissait fermé et permettre à ces jeunes d’entrer librement au contact des résidents. » Un pari un peu fou mais qui s’avère être un succès. « Il s’est développé une sorte d’entraide et de respect vis-à-vis du foyer. D’ailleurs, nous n’avons plus aucune dégradation à déplorer. Mais cette démarche a surtout réussi à effacer l’appréhension des jeunes face au handicap », constate le directeur. Le mercredi, le foyer accueille des activités artistiques mises en place par le service vie de quartier de la mai­ rie, « comme ça, les jeunes n’ont plus besoin de se rendre à la Vallée-du-tir ». L’Association calédonienne des handicapés s’est pourvue d’équipement informatique à destination des résidents et désormais, des jeunes du quartier


Ça fl otte

OUVERTURE nouvel atelier

TaKA aller faire le tour des baies

SELLERIE ILE PLAISANCE O V Confection de bâches sur mesure

Par Alice Roux

Amarré Baie de la Moselle, le TaKA invite à des croisières ou des soirées de prestige à son bord. Envie de vous la jouer Croisette, d’aller voir les baleines ou de visiter l’île des Pins ? Tout est possible ! Aménagements ultraconfort

Avec ses 20 mètres de long, ses trois ponts et ses deux moteurs, le TaKA pro­ met des navigations calmes et paisibles, d’autant qu’il est équipé d’un stabi­ lisateur hydraulique en navigation, le meilleur remède contre le mal de mer ! À son bord, trois cabines (deux équipées de douche et une d’une baignoire) per­ mettent de recevoir six passagers en nui­ tées lors des croisières vers les cinq îles, l’île des Pins, voire plus loin si le cœur vous en dit. Il faut dire que le bateau est entièrement équipé pour l’autonomie, il embarque 1 200 litres de carburant (un aller vers Fidji), possède un groupe élec­ trogène et un dessalinisateur. Pour vous donner l’eau à la bouche quant aux soi­ rées, sachez que la paella, le couscous, les vins et fromages sont les thèmes ré­ currents de ces moments hors du temps.

Confection RÉPARATION

Ouvert de 7h30 à 11h30 et de 13h à 16h30

• Selles de moto et de jet • Coussins intérieur/extérieur

• Réparation voiles de planche et kite

Pratique : Devis et réservations au 86 66 17 ou 83 62 14, par mail : abordetaka@hotmail.fr. Infos sur le site de l’Offi ce de tourisme de Nouvelle-Calédonie. © Armelle Campos

L’histoire commence en 2002, lorsqu’un Français expatrié en Chine pour rai­ sons professionnelles décide de se faire construire un bateau pour y vivre. Il met ensuite le TaKA en vente et c’est ainsi que ce superbe DeFever 57 mouille de­ puis six ans dans les eaux calédoniennes ; pour le plaisir de son propriétaire d’abord et, depuis un an, pour celui du public. Les cogérants, Armelle Campos et Bruno Escavi, proposent différents types de croisières et des soirées à thème avec balade le long des baies. Ces deux com­ pères sont diplômés du brevet de capi­ taine de marine marchande et travaillent ensemble depuis 15 ans dans le domaine maritime et celui de l’hôtellerie ; autant vous dire qu’ils savent de quoi ils par­ lent ! Bruno est également cuisinier, et quand il se met devant les fourneaux de la cuisine équipée du TaKA, c’est pour vous mitonner des plats aux petits oi­ gnons. Armelle prend en charge la logis­ tique et l’accueil des invités avec chaleur et professionnalisme.

BATEAU/MAISON

Sellerie Voile Plaisance

21, rue Jules Garnier (en face de la piscine du CNC)

Sellerie

Nouville - 9, rue du Capitaine Bois

Tél. : 24 97 17 - 82 15 52 sellerieparasol@yahoo.fr #00 17

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A l ,e ssai chez Wheeling Moto

ELITE 350 CC

QUADRO 3D 350 CC

permis voiture

Garantie 2 ans 8, rue Faidherbe - Faubourg Blanchot TĂŠl. : 28 35 22 - Fax : 28 35 10 - wheeling@offratel.nc


© Camping­car évasion

Ça roule

Camping rime avec confort Par Myriam Grandcler

Le camping oui, mais alors tout confort ! Parce que la chaleur sous la toile, les moustiques, le manque de place, la douche au fond du camping et les pi­ pi­rooms derrière les arbres, non merci, pas pour moi. En revanche le camping version « car », alors là, je dis oui ! D’au­ tant que les derniers modèles, c’est un peu la chambre étoilée dans la brousse, au bord de la rivière ou sur ce point de vue absolument magnifique, où seuls les camping­caristes ont « pignon sur vue ». Et comme il n’y a pas de réglementation à ce sujet en Nouvelle­Calédonie, le cam­ ping­car peut se pratiquer sauvage, en restant dans les domaines publics, cela va sans dire. « Nous avons dormi dans une baie sauvage vers Poingam ainsi qu’au bord de la rivière Tiwaka et ça, dans un confort qui nous a vraiment surpris », confie Olivier Lefèvre, un client satisfait qui souhaitait voyager sans destination précise et autrement qu’en camping, avec sa femme et leurs deux enfants en bas âge.

© Camping­car évasion

Les camping-cars ont tout le confort d’un studio et la quasimobilité d’un sac à dos. Bien que notre grand territoire s’y prête parfaitement, ils ne sont que quelques énergumènes à sillonner les routes calédoniennes. Zoom sur une tendance en légère hausse qui explose à l’étranger. Studios roulants tout confort

« En Australie et en Nouvelle-Zélande, les gens voyagent essentiellement en camping-car. On en voit partout ! » s’exclame Nicolas Flégel, gérant de Camping­Car Évasion. Alors pourquoi pas chez nous, s’est dit ce jeune chauffeur de taxi. Depuis la création de Camping­Car Éva­ sion en sept embre dernier, son carnet de commandes ne désemplit pas. Avec Dis­ count Location, ils sont deux prestataires à proposer des camping­cars à la location sur le Caillou. Deux modèles sont dispo­ nibles : le 4 et le 5 places carte grise (res­ pectivement 4 et 5 personnes admises pendant la conduite mais 6 couchages). Et faut voir le confort de ces studios rou­ lants ! Trois matelas deux places épais à souhait, frigidaire et congélateur au gaz, plaque de cuisson 3 feux, salle de douche et toilettes avec 130 litres d’eau – eau

Tarifs 3 nuits en camping-car carte grise 45 000 francs CFP pour le 4 places 56 000 francs CFP pour le 5 places © Camping­car évasion

chaude s’il vous plaît –, téléviseur avec la TNT, stores occultants, moustiquaires et des rangements partout. Et en plus, ils sont écolos : les panneaux solaires instal­ lés sur le toit assurent une alimentation électrique entièrement autonome. Pratique et économique

Même si le Caillou n’est pas équipé pour ce genre de véhicules encore trop rares, ils ont été judicieusement conçus pour être pratiques. « Le manque d’infrastructure ne nous a pas posé de problème. Il faut compter deux nuits en mode stationnement sauvage et la troisième nuit dans un camping pour faire les vidanges d’eaux usées et remplir les ballons d’eau », conseille Olivier Lefèvre, qui revient de cinq jours de balade. Ce mode de voyage en évolution aurait la cote auprès des familles de quatre ou cinq personnes car c’est autant de nuits d’hôtel et de notes de restaurant éco­ nomisées. Et pour les plus longs séjours, les tarifs sont dégressifs. Attention, le kilo métrage est limité. Autre petit hic : le cam ping­car ne se transporte pas sur les îlots…

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Ça roule > L’astuce « Ça roule »

Bien choisir son siège auto Tranquille à la maison, sans bou­ ger, sans rien faire, juste profiter de son bébé. C’est magique mais ça ne dure pas longtemps. Rapi­ dement, il faut se « remettre en route » et pour garantir la sécurité de son enfant, il faut bien choi­ sir son siège auto. Ce choix sera bien sûr différent en fonction de l’âge de l’enfant et de son poids. Voici quelques conseils pour vous aider. La première chose et la plus importante : le siège doit être homologué, il doit respec­ ter les normes en vigueur. La réglementation est la R44­04. Il existe ensuite différentes catégories. Le groupe 0 : de la naissance à 10 kg, le groupe 0 + qui va un peu plus loin, de la naissance à 13 kg, et les groupes 1 (9­ 18 kg), 2 (15­25 kg) et 3 (22­36 kg). (22­36 kg). Il faut bien veiller à ce que le poids de votre enfant corresponde à ce groupe mais il faut également vérifier que sa taille convient. L’idéal étant de l’acheter lorsqu’il est présent et, dans la mesure du possible – si vous ne l’achetez pas en grande surface –, de l’essayer avant. Pour tous les modèles, il est bien de s’assurer du confort pour les enfants, notamment des « mousses », car l’idée

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est que l’enfant passe un moment agréable assis dessus. Un dernier petit conseil, évitez autant que possible les sièges auto d’occasion. On ne connaît jamais parfaitement leur histoire et il est déconseillé de mettre son enfant dans un siège qui aurait reçu un choc.




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