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Vie chère : Lutter contre la fatalité

Juillet-Août 2014

La dolce vita à Venise

Astuces futées pour acheteurs fauchés

Nouvelle donn

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parce n. Ce n’est pas vous donnera rie e l’on vous offrira ne n O s. pa z ve de vote qu Non, ne rê nné votre bulletin ernement et que vous avez do ses. Nous avons élu un gouv ur co uvernement go es revanche, ce vos prochain En ! ël . No re s le pè uger les choses un Congrès, pa n pour faire bo ai m is pu en s de e rte nc ca uffra a désormais les qui sont en so us ces dossiers Vous savez, to tant d’années. d’hui de semble aujour les ssé, tout le mon pa ns oi du m e nc tre re -ê ut ffé change. Pe Mais à la di la ce e s qu ue ut nd ve te e et formes at sur la corde raid ire passer des ré fa de n. er ut tio la do re pu po élus qui doivent une partie de la populaires pour a mais surtout im ne révolutionner gouvernement ce vie e, ist de al es ré m er lè st Il faut aussi re surtout nos prob pas notre vie et tout compter probablement il faudra avant , re co en vous is fo e un tre dossier pour chère. Pour ça, nouvelle fois, no e un n. où d’ tio e, ira sur soi-mêm anquez d’insp idées si vous m e donner quelques peut pas dire qu iles que l’on ne de ut ux us pl ea ap nt ta ch s au Des idées d’ démarre sur de gouvernement et. Et pour un notre nouveau , il reste incompl rti pa t en de la m lle ie fic puisqu’il s’agit roue. Même of moins important mes lè le ob ur pr po s t le es ec i secteur qu tournant. Av au u les nd us te to at r t es rtout et pa mine. Le nickel s cherchent pa ur té po ivi ct es lle èc co pi s es le he quelqu budgétaires, à la droite et à gauc e, à pt r m re co pé cu de ré fin à moyens e nous en de mois. Comm nt, pour nous, boucler les fins t de notre arge gi s’a ’il qu ès pr e n des impôts, nc tio re petite diffé tre augmenta En s. us té ivi ct lle s co dépenses… No comme pour le réduction des et us él vie s la no e de uc quelle sa baisse du coût ndre de voir à te at ’à qu us pl n’avons . nous mangerons

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est une publi

UNICATION AWA COMM - 98 800 Nouméa

terlitz 16 rue d’Aus 20 • Fax : 28 30 Tél. : 23 27 00 awa@mls.nc -3554

N° ISSN : 2107

publication Directrice de LMSEN Anne-Karin HO chef Rédacteur en 35 06 87 : l. Té • thurin Derel

rédaction Secrétariat de n Isabelle Lurto Rédaction ralie Cochin, Co , ot op Ch Sandrine izon, ec, Virginie Gr Aurélie Corn uby , Ro éo Th y, nnev Charlotte Ma nnot Tie loë Ch Stevaux, Marie Jeanne hique & PAO Création grap ra Vedrenne nd sa Alek Dessins Jilème s Photographie s, Patrick Chala rd Marc Le Chéla Fred Payet Niko Vincent Correction

el Mathurin Der

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Rédacteur en

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aire Régie Publicit ication un mm co A Sarl AW

ercial Service comm : 79 63 51 l. Té • n ari Anne-K l. 82 80 84 Caroline • Té : 94 48 01 Pauline • Tél. : 74 17 10 Annie • Tél. Secrétariat

Tél. : 23 27 00 ----------------------

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Bons plans

Le Faubourg océanien La célèbre galerie d’art océanien DZ a troqué les murs noirs de la rue de l’Espérance contre le blanc immaculé de la maison Unger, au Faubourg-Blanchot. Il aura fallu huit mois à Didier et Isabelle Zanette, ses propriétaires, pour restaurer cette villa coloniale laissée à l’abandon. Parures en coquillages, casse-têtes papous et toiles aborigènes ont trouvé un écrin aussi beau que les pièces exposées. Poussez la visite jusque dans le jardin, où une jolie terrasse a été aménagée.

Par C.C

Par Mathurin Derel

Galerie DZ 27, boulevard extérieur – Tél. : 24 13 85

Emoïa : le lézard douillet

Juillet-Août 2014

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Flowers shop est un fleuriste situé au cœur de ville de Dumbéa. S’il propose des bouquets comme n’importe quel fleuriste, il a quand même ses petits trucs à lui et notamment la livraison. Il propose aussi des abonnements. Un concept amusant qui marche à la semaine ou au mois. Le site www.flowershop.nc est également très bien fait. Alors n’hésitez pas à le dire avec des fleurs ! Flowers shop sur www.flowershop.nc ou par téléphone au 41 53 53.

Par Chloë Tiennot

entretien trop régulier. Pour couronner le tout, les coussins et la résine tressée sont résistants à l’eau et aux UV. Ça donne envie de lézarder, pas vrai ? Tout est visible sur www.emoia.nc ou au dock n°1 ; 10, rue Claude-Bernard, Ducos – Tél. : 74 73 01

Lézard à queue bleue endémique de la Nouvelle-Calédonie, Émoïa annonce bien la couleur de cette ligne de mobilier : parfait pour la sieste ! Des loveuses, des chaises longues, des salons, pour l’extérieur ou l’intérieur, des couleurs tendres, vert pomme, ocre, orange, gris, et des coussins qui ont l’air si douillets ! Les formes sont rondes et originales pour des produits de qualité tressés à la main. La résine tressée est en plus un matériau qui évite un

Dîtes-le avec des flowers

Bons plans

LES BALEINES C’EST AVEC

CALEDONIE CHART

Les baleines sont bien arrivées

Par Marie Jeanne Stevaux

Chaque année de juillet à septembre, en hiver austral, le sud du lagon calédonien voit revenir une importante population de baleines à bosse : une occasion pour découvrir une forme d’écotourisme animalier et d’approcher ces animaux uniques. Près d’une quinzaine de professionnels, regroupés au sein de l’association Calédonie Charter, proposera d’aller à la rencontre des cétacés, au départ de Nouméa ou de la baie de la Somme, à bord d’un catamaran à voile ou d’un bateau à moteur.

Du 12 juillet au 14 septembre Prony de 8h00 à 16h00 Nouméa de 6h30 à 18h30 Semaine & Week-end Tarifs individuels ou groupe

Si vous souhaitez réserver votre place dès à présent, un contact : La Maison du lagon à port Moselle ou via le site www.maisondulagon.nc.

Caledonie Charter Informations au 27 27 27 Réservations à la Maison du Lagon : Port Moselle, à coté du marché

La Ouenghi, c’est d’la balle Par C.C

PRÊT-À-PORTER HOMMES & FEMMES

convivial, le site dispose de neuf farés ouverts avec une grande table, un barbecue et une petite table basse. Mieux vaut s’y prendre à l’avance. Attention, le camping sera fermé en juillet-août, pendant la saison hivernale. Le tarif est de 1 000 F la journée pour les adultes, 500 F pour les enfants. Ouenghi bonheur 33, lotissement Ouenghi rivière – Tél. : 77 33 60

28 40 17 DR

À deux pas du célèbre parcours de golf, Ouenghi bonheur est la structure qui manquait dans le coin. Situé près de la rivière, à l’ombre des bois de fer, ce sympathique camping offre des activités nautiques au sportif qui sommeille en vous. Possibilités de forfait kayak ou de paddle à volonté. Le camping compte également un terrain de volley et de pétanque, et des balançoires. Pratique pour un dîner

ICÔNE est un magasin mixte, ou se mêlent toutes les envies de mode pour Homme et pour femmes, à prix doux ou plus haut de gamme mais toujours un choix de vêtements chaussures et accessoires très stylés : suivre au plus près les tendances est le mot d’ordre de cet espace loft dédié à la mode. Avec IKKS, Bel Air, An’ge, Eva Kayan, Daniel Hechter, Hope and Life…et bien d’autres surprises. Toutes et tous peuvent se retrouver, dans toutes les tailles, les plus classiques comme les looks très rock et sexy, la pièce rare et les belles matières seront au rendez-vous. ICÔNE, votre nouvelle adresse à découvrir absolument si vous ne l’ avez déjà fait, à La Promenade, à l’Anse Vata, au pieds du Hilton face à la mer.

Icône Tél. : 28 40 17 #00 21

Juillet-Août 2014

Bons plans

Les îles en fête Par Charlotte Mannevy

Nouvelle-Calédonie

Le nouveau

GUIDE JEUNES est disponible !

Préparez vos valises, deux fêtes impor importantes ont lieu dans les îles en août et en septembre. Comme à chaque occasion importante, Destination Îles Loyauté propose des forfaits allerretour et hébergement à des prix imbattables. Attention tout de même à s’y prendre à l’avance, ces tarifs promotionnels étant très demandés et proposés en nombre limité. Du 29 au 31 août prochains, c’est tout

d’abord la tribu d’Easo, à Lifou, qui vous convie à Wetr est là ! Une occasion rare de découvrir, pendant trois jours, chants, danses, techniques traditionnelles et coutumes ancestrales... Quinze jours plus tard, le district de Guahma, à Maré, prend le relais, avec la Foire des îles Loyauté. Depuis 20 ans, cette manifestation se déplace d’une île à l’autre. Lieu de rencontre et d’échange entre tous les Loyaltiens et leurs visiteurs, la foire est un moment de partage et de fête incomparable. Renseignements sur les offres promotionnelles sur www.iles-loyaute.com

Un outil pratique de recherche, un format idéal, spécialement conçu pour les jeunes.

À emporter partout

Le coupe-tifs sans limite Texte et photo C.C

Vous rêvez d’être toujours bien coiffé(e) sans vous prendre la tête ? Ça tombe bien, un coiffeur de Nouméa y a pensé pour vous. Jérémie lance le forfait illimité, avec deux offres à la clé : le forfait « shampoing touching », avec séchage naturel ou structuré et le forfait « shampoing brushing ». L’option soin peut être ajoutée. Le principe est simple : vous payez un forfait mensuel et ensuite, vous pouvez vous rendre chez votre coiffeur autant de fois que vous le souhaitez. Seule condition : prévenir 72 heures à l’avance pour que Jérémie vous libère une place. Possibilité d’appeler la veille mais la disponibilité ne sera pas

garantie. Les prix varient en fonction de la longueur des cheveux. Le temps que la formule se mette en place, les forfaits sortiront en offre découverte avec un nombre de rendez-vous limité par mois. Bô 27, avenue Foch, Nouméa – Tél. : 73 78 43

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On mange oi ?

La Thaïlande au bout des papilles

Par Catherine Léhé – photos Niko Vincent

Votre palais a envie d’exotisme ? Aroy Thaï Food, une nouvelle roulotte ouverte depuis fin 2013 à Païta, propose de bons petits plats thaïlandais à emporter. particulier, est plutôt bien choisi. La roulotte Aroy, qui signifie « c’est bon » en thaïlandais, est située sur un terrain privé juste en face du collège SainteMarie, à l’entrée sud de Païta. Une cuisine parfumée

Ils se sont connus en Thaïlande il y a trois ans. Elle vendait des légumes sur le marché, lui était en vacances. Ils font désormais voyager les autres grâce aux petits plats de Sawitree. « Elle a de l’or dans les doigts ! décrit Gaël Foord, son compagnon. Elle cuisine super bien et avait du mal à trouver du travail du fait qu’elle ne maîtrise pas encore bien le français et de la loi sur l’emploi local. » C’est ainsi que le couple calédothaïlandais a investi dans un camion et décidé de l’aménager en roulotte pour ainsi faire découvrir des plats thaï à emporter. L’emplacement, loué à un

Sawitree confectionne des plats thaï typiques et bien connus : salade de « papaya » (papaye), lap thaï (poulet haché à la citronnelle et au combava, bien pimenté), de bonnes soupes aux épices variées, du porc au curry vert, rouge, massaman. Six plats chauds par jour parmi une trentaine proposés. Gaël assure la gestion des stocks et la comptabilité : « Avant j’étais dans le BTP, et Sawitree a appris la cuisine avec sa mère avant de travailler comme commis de cuisine dans un restaurant à Taïwan. » Pour séduire la clientèle des lycées et de la commune, le couple propose des nems et des samossas thaï souvent réclamés. Convaincre la clientèle de choisir cette cuisine goûteuse, parfumée, et parfois bien pimentée n’est pas si évident : « Les gens qui

ont déjà mis le pied en Thaïlande ou les curieux reviennent en général. Par contre, on nous réclame souvent du porc au sucre ou du riz cantonnais qui n’a rien à voir mais qu’on a fini par proposer en plus de sandwich et autres hamburgers. » La roulotte n’est qu’un tremplin pour ces amoureux. Tous deux espèrent un jour ouvrir un snack pour permettre au talent de Sawitree de pleinement s’exprimer. Aroy Thaï Food En face du collège Sainte-Marie à Païta Tél. : 765 669 Ouvert du lundi au samedi de 10 h 30 à 13 h 30 et de 17 h 30 à 21 h.

INGRÉDIENTS ING

PRÉPARATION

– pour 1 personne – 200 gr d’émincé de porc – 30 à 50 gr de pousses de bambou – 30 à 50 gr de courgettes – quelques feuilles de combawa – quelques feuilles de basilic – une pincée d’ail – du jus de coco – de la pâte de curry vert

• Détaillez le porc en petits morceaux fins. Coupez les courgettes en lamelles. Faites chauffer une cuillère à soupe d’huile dans une casserole. Ajoutez-y une pincée d’ail et la pâte de curry vert. Mélangez pendant deux minutes. • Ajoutez Ajoutez le jus de coco tout en remuant deux minutes. • Incorporez le porc, les courgettes, les pousses de bambou et les feuilles de combawa. Laissez cuire quelques minutes à feu doux et ajoutez le basilic en dernier. • C’est prêt à être servi avec du riz.

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On mange oi ?

La petite Asie de Motor Pool Texte et photo C.C.

Le snack le Dauphin, vous connaissez ? Daniel et Marie-Christine Huynh, les patrons, remettent le couvert à trois rues de leur première enseigne. Le couple, qui a construit sa réputation sur la fraîcheur de ses produits, vient d’ouvrir un deuxième traiteur, route de l’Anse-Vata, non loin de l’ancien restaurant japonais Mikado. Un signe… Puisqu’on y trouve aussi de délicieux sushis, des makis à l’avocat, des sashimis ou encore des tempuras aux fruits de mer ou aux légumes. Daniel Huynh et son acolyte Cesar Castillo, Philippin,

Place au plaisir

cuisinent en fonction de ce qu’ils ont pu trouver le matin au marché : salades de cerf, soupe miso mais aussi banh bao ou siu mai. Possibilité de commander des plateaux trois heures à l’avance, en semaine. Réservez la veille, le week-end. Parfum de Lotus 83, route de l’Anse-Vata Tél. : 28 80 68 ou 87 67 23 Ouvert du lundi au samedi, de 9 h à 13 h et de 16 h à 19 h

Par Catherine Léhé – photos Niko Vincent

L’endroit est cosy et très féminin. Place gourmande, ouvert depuis fin mars, propose de la vente à emporter. De quoi se restaurer copieusement et/ou de manière équilibrée sur le pouce. Un seul maître mot pour Isabelle Chanaron, sa gérante et conceptrice : le plaisir. « Pendant des années, j’ai travaillé à Ducos. Le midi, ce n’était pas évident de trouver un truc bon à manger. J’ai créé ce que je cherchais, un endroit qui propose quelque chose de simple et de différent. » Tout est frais et fait maison (sauf le pain). Des rillettes de

thon aux salades, des tartelettes fruitées aux mousses au chocolat… sans beurre. Et tout est alléchant. Comme l’Aristo, un petit sandwich uniquement vendu le jeudi, fourré d’une tranche de foie gras couchée sur un lit de chutney d’oignons rouges. De quoi se laisser tenter !

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Place Gourmande 60, avenue de la Victoire (entre Groupama et Paule L) – Tél. : 20 73 07 Ouvert du lundi au vendredi en continu de 9 h à 17 h. Menu : 1 sandwich + 1 dessert ou une boisson = 1 300 F. Tartelette à 500 F.

On mange oi ?

Un concept, deux formules Par C.C

On attendait l’arrivée du ticket resto dans nos assiettes cette année. Ce sont finalement deux formules repas qui s’invitent sur la carte. De quoi semer légèrement la confusion dans l’estomac des consommateurs. D’un côté, vous avez le « Ticket restaurant Nouvelle-Calédonie », avec le même logo et le même fonctionnement qu’en métropole, à la différence qu’ici, ce dispositif est uniquement proposé sous forme de carte à puce. Celle-ci fonctionne comme une carte de paiement classique sur les terminaux utilisés par les commerces. De l’autre, vous avez le « chèque déjeuner calédonien », porté par un GIE regroupant la Mutuelle du commerce, le

Medef, la Cogetra, l’Usoenc et l’USTKE. Ça, c’est pour la forme. Dans le fond, les deux formules reposent sur le même principe : permettre aux salariés de s’offrir un repas ou d’acheter certaines denrées alimentaires grâce à des titres cofinancés à parts égales ou presque par l’employeur et le salarié. Le montant des titres est défini par l’employeur. Plus besoin de choisir entre l’entrée ou le dessert. Vous pouvez désormais craquer pour les deux. Ticket restaurant : www.ticketrestaurant.nc Chèque déjeuner : www.cheques-servicescaledoniens.nc ou 26 56 00

Nouvea u PIZ ZA

Avantage carte Club House

Midi et s

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bar/restaurant dans l’enceinte de l’amicale basque Motor Pool

upe Buffet / gro rsonnes à 200 pe place limité « se retrouver entre amis dans un espace ouvert et convivial »

Page Facebook : Bar restaurant Le Fronton Horaires du lundi au samedi de 10h à minuit

SOIRÉE DANSANTE DATES 13 juillet – « Cancan » 23 août – « Cow Girl Cow Boy » 13 septembre – « Fever »

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On mange oi ?

Vignes sur champ de corail Texte et photos Théo Rouby

L’ABUS D’ALCOOL EST DANGEREUX POUR LA SANTÉ. À CONSOMMER AVEC MODÉRATION.

On produit bien du vin en Polynésie ! Élaborées à partir d’un vignoble de 7 hectares, les cuvées tirées du sol corallien de Rangiroa sont presque confidentielles. Mais on en trouve quelques bouteilles sur le Caillou*. Un audacieux mélange de raisins à base d’Italia (habituellement réservé à la table), qui ne manquera pas d’offrir de nouvelles sensations. « L’idée, c’était de faire du vin ici, pas du vin d’ici », explique Sébastien Thépenier, installé sur l’atoll depuis plus de 10 ans. Autant d’années à s’adapter aux contraintes du climat ou du sol, plutôt que de forcer la nature à l’aide de pesticides et d’engrais. Une partie du vignoble devrait d’ailleurs prochaine-

ment passer en bio. La méthode de production se veut exigeante. On n’en attendait pas moins pour une bouteille vendue aux alentours de 2 600 F. Restera aux amateurs de juger le blanc de Corail, le blanc moelleux ou le rosé sur le plan gustatif. *disponible chez le distributeur Sodival.

Fish & chips à toute heure C’est un fast-food nouvelle génération qui vient d’ouvrir route de l’Anse-Vata. Chicken fish and chips propose des petits plats préparés à partir de produits locaux à prix raisonnable. La formule de base est simple mais inédite en Calédonie : du poisson (thon blanc ou jaune) avec des frites. Le snack fait aussi du poulet grillé croustillant sorti de la ferme de Koé, des crevettes du marché, des salades, des quiches et des sandwichs. Il n’y a que les pommes

Texte et photo Virginie Grizon

de terre qui sont importées mais elles sont cuisinées maison et servies dans une petite assiette en bois. Les plats peuvent être consommés sur place ou emportés. Le Chicken fish and chips livre même à domicile. Chicken fish and chips 40, route de l’Anse-Vata Ouvert 7 j/7, de 11 h à 14 h et de 17 h à 23 h, ouvert en continu le week-end.

Le sucre de coco

UNE RÉVOLUTION EN MATIÈRE DE SANTÉ ET D’ÉCONOMIE Ce sucre extrait de la fleur de coco possède de nombreuses qualités, dont un faible indice de glycémie reconnu par les nutritionnistes et les diabétiques du monde entier. Ce sucre complet, véritable trésor naturel, au goût légèrement caramélisé, peut être substitué au sucre habituel.

Cœur d’épices

- Toutes préparations sucrées, chaudes, froides ou cuisinées - Diminution de la sensation de faim (diffusion lente et progressive dans le corps) - Diminution du stockage des graisses - Qualités nutritionnelles exceptionnelles (minéraux, antioxydants, vitamines B)

2, rue Arthur Pelletier - Faubourg Blanchot - Tél. : 76 20 66 - coeur.depices@hotmail.fr Lundi au vendredi 9 h-12 h / 14 h-17 h 30 et samedi 9 h-12 h

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L’avenir est dans le verre On peut enfin recycler le verre en Calédonie ! Recy’verre, une nouvelle entreprise basée à Numbo, recycle les bouteilles vides pour en faire du sable ou des gravillons colorés. Une occasion de plus de s’inscrire dans une démarche écoresponsable. Qui n’a jamais entassé ses bouteilles de verre dans un coin de sa cuisine en attendant de leur trouver une bonne utilité ? Soyons honnêtes, après quelques semaines, le stock termine souvent à la poubelle avec le reste de nos ordures. Aujourd’hui, il est possible de déposer ces déchets à Recy’verre, une entreprise située à Numbo, créée en janvier par Véronique Kerangouarec : « Nous redonnons une seconde vie au verre en le transformant en sable », résume la créatrice du projet. Recy’verre travaille surtout avec les artisans, les bars et les industriels qui utilisent une grande quantité de bouteilles notamment. « Auparavant, ils mettaient leurs déchets en verre à l’enfouissement, ça leur Déposez directement votre verre à Recy’verre, dans la baie de Numbo.

Vente en ligne de prêt-à-porter Texte et photos Virginie Grizon

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Aidez nous à soutenir une association calédonienne coûtait un certain prix. Aujourd’hui, je leur propose de les prendre en charge et ça leur permet de faire une économie d’environ 30 %. » Elle récolte leurs bouteilles et enlève leurs étiquettes avant de les broyer dans une énorme machine bleue. Ce procédé innovant provient des États-Unis, « là-bas, c’est très répandu ». Recy’verre peut produire deux tonnes de sable ou gravillon par heure. Les granulats verts, marrons ou gris, scintillants et translucides sortent tels quels de la machine et sont ensuite revendus. Les entreprises en ont besoin pour la réalisation de routes, le remblai des canalisations, la confection du béton ou la filtration des piscines. C’est aussi un parfait drainant pour les plantes. « C’est esthétique, ça ne coupe pas et ça ne vole pas », assure la gérante. Quant au prix, il est équivalent à celui du gravier classique.

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Parce que la santé de nos enfants est l’affaire de tous !!

Contact : direction@recyverre.com

% onde Entre 75 et 90 très sérieuse. du nt ta ur ur te po au , t ac es ion elestr mais l’informat îles , selon Denis D C’est étonnant nt menacées de disparition jet. Rien qu’en Indonésie, 25 ux ie su ra pa ce ci se in de es pr te s ag ai des pl qui tr t l’un de Pax Americana Car le sable es onie, éd al -C lle ve documentaire pour alimenter Singapour. ou N leu ton armé. En ont déjà dispar dans la construction de bé gros travaux, comme l’ensab s s le sé s ili ai ut éléments portantes m inquiétudes. sont encore im sciter quelques su les ressources ut pe s on tr ie des Ci ment de la ba

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Vert de terre

Tindu butine Depuis trois mois, les hauteurs du quartier de Tindu accueillent de nouvelles locataires. Une dizaine de ruches, où s’affairent 50 000 abeilles. D’ici le mois de septembre, elles produiront du miel, « principalement du toutes fleurs de littoral, mais aussi du miel de niaouli », précise Paul Wongso, apiculteur de Kaméré. Le projet est porté par le comité de bien-être de Tindu en collaboration avec la SIC, qui finance le projet « à hauteur de 400 000 F », explique Hervé Luewadia, responsable des partenariats au sein du bailleur social. Les ruches ont été construites par les jeunes du quartier sur les conseils de Paul Wongso qui forme les volontaires à l’apiculture. Car le but est bien que les habitants s’approprient le rucher. Le succès est d’ailleurs au rendez-vous, adultes comme enfants

Texte et photo Charlotte Mannevy

suivent avec assiduité les cours dispensés par Paul. « Je peux vous dire que maintenant, ça parle apiculture dans toutes les familles, sourit l’apiculteur, qui a déjà monté plusieurs projets de ce type. C’est bien quand on habite en ville de retrouver un lien avec la nature. Et puis l’idée, c’est que le miel

et ses produits dérivés (pollen, propolis) soient ensuite vendus sur les marchés, ça fait un petit complément de revenu bienvenu. » Le comité a de son côté des idées plein la tête : « On voudrait faire un sentier de promenade aux alentours. On sait que les familles sont intéressées. Regardez le rucher, les enfants ont tout débroussé et l’ont décoré avec des plantes », sourit Raymond Kalosik, président de l’association.

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Vert de terre

Des œufs comme à la ferme Par Théo Rouby

Les connaisseurs ne s’y trompent pas. Les œufs de la marque Chicken Greg’s ne font pas long feu dans les rayonnages. Leur particularité ? Ce sont de vrais œufs de poules élevées en plein air. Grégory Lasbleiz, jeune producteur à La Foa, s’est inspiré des élevages qu’il a visités en Nouvelle-Zélande. Un

abri où les poules peuvent entrer et sortir comme bon leur semble. Pas d’éclairage artificiel. Une alimentation à base d’un mélange de graines. Il n’en faut pas beaucoup plus pour qu’un jaune soit bien jaune et qu’un œuf ait goût d’œuf. Ajoutez tout de même 100 F par rapport au prix de la douzaine en batterie. Car Grégory n’a que 400 poules pour le moment, de quoi produire environ 100 boîtes de 12 par semaine. Restera à convaincre les investisseurs pour pérenniser son projet. Mais il s’accorde déjà à merveille avec sa production de poulets fermiers.

Colibris se pose à Nouméa Créé en 2006, le mouvement Colibris tire son nom d’une légende amérindienne, racontée par Pierre Rabhi, pionnier français de l’agriculture biologique et fondateur du mouvement : « Un jour, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux observaient, impuissants, le désastre. Seul le petit colibri s’activait. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : “Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes

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Par Charlotte Mannevy

d’eau que tu vas éteindre le feu !” Et le colibri lui répondit : “Je le sais, mais je fais ma part.” » Plate-forme de rencontre et d’échange, Colibris s’adresse à tous ceux qui souhaitent, eux aussi, faire leur part. Ils ont essaimé dans le monde entier et viennent de débarquer àw Nouméa : potager en libreservice, covoiturage, etc., toutes les idées sont les bienvenues. Pour les rejoindre, il suffit de les contacter sur Facebook « Colibris NouvelleCalédonie ».

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Vert de terre

Compostage, tout un programme Depuis le début de l’année, les programmes de sensibilisation au compostage se multiplient dans les communes du Sud. Le but, convaincre 7 % des foyers de se convertir au recyclage des déchets organiques. Avec 10 % des ménages qui possèdent un jardin, la province Sud est une terre fertile pour le compostage. Après avoir distribué, en 2009, plus de 1 700 bacs à compost, la province s’associe cette année aux communes pour promouvoir le recyclage des déchets organiques. Formation, distribution de guides, porte-à-porte, voire construction de son propre bac, chaque commune a choisi son type d’action, à conduire dans les trois ans à venir. La fin des bacs en plastique

Depuis 2009 et la distribution des premiers bacs à compost, la politique en matière de compostage a beaucoup évolué : « On ne veut plus de bacs en

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Par Charlotte Mannevy

Avant de vous lancer, vous pouvez consulter la brochure diffusée dans les mairies et bientôt dans les jardineries, ou téléchargez-la sur www.province-sud.nc.

plastique. En fait, au bout de quatre ou cinq ans, il devient à son tour un déchet, c’est contre-productif », note Romain Guyete, de la direction de l’Environnement. Résultat, aujourd’hui les ateliers fabrication se multiplient, comme les partenariats : à l’Ocef de Bourail, l’entrepôt de commercialisation de la pomme de terre fournit des caisses en bois réformées aux composteurs en herbe. « On peut aussi se contenter d’un tas au fond du jardin », reprend-il. Simple, écologique, le compost est aussi économique. Réutilisé pour fertiliser le jardin, il remplace avantageusement le terreau acheté en magasin, qui en plus contient de la tourbe, une ressource non renouvelable, et de l’engrais, pas très vert. Ne reste plus qu’à s’y mettre, en contactant la mairie de son domicile.

Publi-reportage

BIO POUR TOUS ! L

a Vie Claire fête ses 10 ans en Calédonie et étend son réseau. Une seconde boutique a ouvert l’an dernier sur la Promenade complexe Hilton de l’Anse-Vata. Et pour ne pas oublier la brousse, il est possible de se faire livrer la marchandise en Province nord. Avec 6 000 références, la Vie Claire est le plus magasin bio de Calédonie. On y trouve de tout, de la gamme de produits pour bébés aux soins cosmétiques en passant par une large palette de cafés, thés et aliments sans gluten. « C’est un peu comme au supermarché », plaisante Vincent, le créateur de la boutique installée depuis 10 ans en Centre-Ville. En réalité, on y trouve un choix encore plus large qu’en grande surface, tel que le sirop au thé vert, des fruits secs en vrac ou des produits ménagers écologiques, doux pour l’environnement. La boutique propose également des produits locaux. « Ce qui nous intéresse, c’est de faire du bio pour tout le monde, toutes les classes sociales. Si vous regardez les prix, nous ne sommes pas plus chers que dans les grands magasins ».

Parking gratuit

Ceux qui hésitent à mettre les pieds en Centre-Ville, peuvent se rassurer. On peut garer sa voiture pendant 30 mn gratuitement sur le parking Botticelli, situé à 50 m, rue de l’Alma. Enfin, pour les gens de brousse qui ne peuvent se rendre dans la capitale, il est possible de se faire livrer la marchandise en Province Nord et pour une somme raisonnable. Deux magasins La Vie Claire 32, rue de la république en Centre ville et Galerie La promenade complexe Hilton à l’Anse-Vata bord de mer.

Plus de 60 ans d’expérience Une écoute, un conseil

Les employés de La Vie Claire sont formés pour apporter conseils et informations aux clients. « Souvent, les gens viennent me voir avec une question particulière sur leur santé ou leur nutrition. Grâce à mon expérience dans le milieu, je suis capable de les écouter et de les conseiller sur telle ou telle habitude alimentaire par exemple », explique Vincent. On trouve aussi d’excellent conseil sur la page Facebook du magasin (lavieclairenouvellecaledonie). Des idées pour faire dormir bébé, comment lire l’étiquette nutritionnelle d’un produit Babybio, les bienfaits d’un aliment, des recettes de cuisine... Tout est détaillé et remis à jour régulièrement.

La vie Claire est une franchise métropolitaine crée en 1948 à Paris et dont la philosophie est de proposer des produits biologiques, sains et naturels. En 1965, il existait déjà 94 magasins à travers la France. Aujourd’hui, le réseau est constitué de 230 boutiques. La vie Claire fabrique 1 450 produits à son nom. 150 nouveautés sont lancées chaque année sous cette marque. La franchise possède également son propre laboratoire d’analyse et réalise plus de 1 400 contrôles par an pour certifier la qualité de ses produits. La vie claire à son propre cahier des charges qui va bien au-delà de la simple certification Bio France.

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Ça m’énerve ! Rubrique de libre expression

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Notre jeunesse a du talent Par Mathurin Derel

Le Grand Nouméa pousse le bouchon un peu loin Par Charlotte Mannevy

Avec une heure par jour passée dans les transports, les embouteillages à l’entrée de Nouméa ne sont pas près de se résorber. L’étude réalisée par l’Isee et le Syndicat intercommunal du Grand Nouméa dresse un constat alarmant : 80 % des déplacements journaliers en semaine et hors vacances scolaires s’effectuent dans la capitale. Certes, en moyenne, les habitants de l’agglomération consacrent 63 mn à

On se plaint souvent que le pays manque d’initiatives. Mais lorsque l’on est jeune, on a beau avoir beaucoup de talent et de motivation, ce n’est pas forcément évident de monter sa société et de se lancer. D’abord parce que l’on n’a pas forcément d’argent et aussi parce que l’on ne sait pas nécessairement comment s’y prendre. Monter une boîte, une association ou toute autre structure demande quand même quelques savoirs et compétences, à commencer par de petites notions de gestion administrative… Et pour bon nombre, ce n’est pas une mince affaire, alors créer une entreprise relève plus de l’impossible que du défi. La très utile Association pour le droit à l’initiative économique (Adie, qui fait du micro crédit en Calédonie) propose une formation spécifique ouverte 18-32 ans, précisément parce que monter sa société ce n’est pas qu’une question d’argent. Ce dispositif consiste à offrir une formation collective de sept semaines autour de différents thèmes, notamment la connaissance de l’entreprise (étude de marché, aspect juridique, faisabilité…) ou encore la prise de confiance. En parallèle, un suivi personnalisé est effectué par un tuteur pour travailler plus spécifiquement sur le projet porté par le jeune. On ne peut que soutenir ce dispositif et plus généralement l’Adie qui soutien les porteurs de projets rejetés par le système bancaire classique. Plus que de simplement prêter de l’argent, l’Adie soutien véritablement les porteurs de projet, une démarche citoyenne qui fait aussi la promotion de la cohésion sociale et de la construction du pays.

leurs déplacements, soit à peine 7 mn de plus que la norme métropolitaine. Sauf que ce chiffre cache de grandes disparités : de 45 mn quotidiennes pour un résident de la Vallée-des-Colons, le temps de transport passe à 86 mn pour les moins bien lotis, les habitants de l’est du Mont-Dore. Pour enfoncer le clou, ces trajets se font huit fois sur dix en voiture. Il est peut-être de temps de passer au covoiturage…

Pschiiiit et puis plus rien !

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Par Marie Jeanne Stevaux

En principe, il suffit de suivre scrupuleusement les indications qui figurent sur la boîte et, toujours en principe, ça va tout seul. Après avoir déshabillé le BBQ de son emballage, ôté le carton, posé l’engin sur une surface plane à l’abri du vent, je craque l’allumette (à nous les bonnes grillades !), la rapproche de la feuille de papier prévue pour faire rougir les briquettes disposées sous la grille

de cuisson. Et ? Consternation, stupéfaction, malheur ! La feuille refuse de s’allumer, fait pschiiit tout en fondant comme neige au soleil et s’éteint. Pas de panique, il s’agit peut-être d’un exemplaire défectueux : j’en ai un deuxième dans ma besace. Rebelote, même manip… Et devinez quoi ? Les saucisses et autres côtelettes ont fini dans la poêle ! Plus de 1 000 F évaporés et même pas en fumée. On ne m’y reprendra plus.

Ça barre en live à la BD Par Aurélie Cornec

Un établissement de la BD lance un défi stupide à ses clients : être le buveur de bière le plus rapide. Il s’agit de battre le recordman du monde pour gagner, outre l’écœurement et l’ivresse, un tee-shirt et une plaque gravée à son nom… ça fait rêver ! Le bar inscrit d’ailleurs sur sa carte le top 10 des pays les plus consommateurs de boisson maltée. Avec les énormes difficultés liées à l’alcool que l’on connaît dans le pays, ce bar, à défaut d’être sanctionné pour incitation à la consommation, ne devrait-il pas se remettre en question ?

DOSSIER

> DOSSIER

Vie chère

Lutter contre la fatalité Le problème de la vie chère est encore très, très loin d’être réglé si tant est, d’ailleurs, qu’il puisse l’être un jour. Sans préjuger de ce que feront le nouveau gouvernement et la nouvelle assemblée du Congrès, le constat est là : il faut bien se débrouiller en attendant que quelque chose se passe et ne pas tomber dans le fatalisme. Nous vous proposons donc quelques idées, nouvelles ou non, afin de vous aider dans ce combat quotidien pour éviter de se faire nettoyer le porte-monnaie sans même s’en rendre compte. © Fred Payet

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DOSSIER

Ensemble, c’est tout ! Covoiturage, colocation, coworking... Les « co » initiatives sont le meilleur moyen de faire baisser les prix. Dklé fait le point sur cette tendance qui se développe peu à peu dans la capitale. Covoiturage

Colocation

C’est bien connu : à plusieurs, c’est moins cher. La colocation, par exemple, est le moyen le plus efficace de faire baisser son loyer. Si nos voisins néozélandais l’ont compris depuis des lustres, les Nouméens ont longtemps boudé ce mode de vie. Mais en quelques années, les habitudes ont évolué et aujourd’hui, plusieurs sites facilitent les recherches de colocataires. Le groupe Facebook « noumea colocation » compte plus de 1 700 membres et annonces.nc regorge de propositions régulièrement mises à jour.

Ce qui fonctionne avec le logement marche aussi pour les transports. Le site covoiturage.nc a été mis en place en 2010 et il regroupe aujourd’hui plus de 1 800 inscrits. Si cette solution est particulièrement efficace pour faire baisser le coût des transports, la pratique a du mal à s’imposer en Calédonie. « Seulement 10 % des trajets se font en brousse mais la plupart ont lieu entre Nouméa et les alentours. Il y a au moins 560 trajets réguliers, pour aller au travail notamment », précise Guénolé Bouvet, le créateur du site et président bénévole de l’association NC covoiturage.

Par Virginie Grizon

Coworking

Dans la série des initiatives collectives, on peut également citer les bureaux du coworking à Magenta. La caravane, c’est son nom, fait un carton et les locaux doivent être prochainement aménagés afin d’accueillir quelques personnes supplémentaires. Tout comme les colocataires, les coworkers y voient un bon moyen de faire des économies tout en rencontrant des gens. C’est ce qui s’appelle faire d’une pierre deux coups.

Étudiants : mangez sans vous ruiner

Par Aurélie Cornec

Une épicerie sociale a ouvert ses portes depuis février dernier sur le campus du bord de mer à Nouville. Un bon plan pour les étudiants de l’université de la Nouvelle-Calédonie, qui peuvent désormais se fournir en produits de première nécessité sur

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place et à moindre coût. La soixantaine de produits proposés affichent en effet un prix inférieur de 25 à 30 % par rapport aux commerces classiques. Les nouilles chinoises sont vendues 25 F et la lessive 380 F par exemple. Maison de l’étudiant Tél. : 26 57 87

DOSSIER

Plus on est de fous, plus on baisse les prix Par Virginie Grizon

Moins 25 % sur votre prochain massage, une nuit offerte pour une nuit réservée à l’hôtel Tiéti de Poindimié. Ce sont les offres alléchantes que l’on peut trouver sur cagoodeal.nc. Ce site n’est pas le seul à proposer de telles offres, la page Facebook « achat groupé de nouvelle-calédonie » propose également des prix cassés sur des meubles ou équipements. Com-

ment cela fonctionne ? Plus on est nombreux à acheter un produit ou répondre à une offre, plus les vendeurs consentent à baisser leurs prix. Ce n’est pas vraiment nouveau, c’est tout simplement le principe d’une centrale d’achat. Appliqué aux particuliers, ce concept s’appelle la mutualisation coopérative. Certes, c’est intéressant pour lutter contre la vie chère mais ce mode d’achat peut aussi se retourner contre vous. N’achetez que ce dont vous avez besoin au risque de vous retrouver avec une série de babioles qui finiront inévitablement à la poubelle. Et attention également aux fausses bonnes affaires qui risquent encore de plomber votre budget.

Café maison Cent francs, c’est le prix du café à la machine du bureau. Il y a le café de 8 h qu’on prend en arrivant pour lire ses mails les yeux ouverts. Il y a celui de 10 h pour prétexter une pause entre collègues. Il y a le café de 13 h pour faire couler le déjeuner, et parfois celui de 16 h pour s’encourager devant la pile de dossiers qu’il reste à traiter.

Par Chloë Tiennot

Quatre cafés par jour, ça fait 400 F ; par semaine, 2 000 F ; par mois, 8 000 F. Mine de rien, ça peut valoir le coup de préparer son café à la maison et l’emporter dans un thermos. OK, y a pas la mousse de l’expresso et surtout il n’y a plus de raison de papoter devant la machine à café. À moins que vous déposiez le thermos à côté.

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DOSSIER

Le juste prix du bien manger Par Charlotte Mannevy

Manger bio à prix raisonnable, c’est possible… à condition d’y mettre du sien. Les Amap unissent consommateurs et producteurs dans un même credo : éliminer les intermédiaires pour que chacun y trouve son compte. Le système a tant de succès sur le Caillou que la Province sud a nommé un chargé de mission détaché auprès de l’association Biocalédonia pour développer ce créneau. Il est 17 h 30 et, devant cette maison du quartier de l’Anse-Vata à Nouméa, le ballet est incessant. Des dizaines de personnes arrivent, sac vide sous le bras, et repartent quelques minutes plus tard, chargées de victuailles – biologiques bien sûr – en tout genre. Première Amap (Association pour le maintien d’une agriculture paysanne) du territoire, Vert Panier, née en 2009, compte aujourd’hui 45 membres… et une liste d’attente. Pourtant, le système est contraignant. Il faut se déplacer une fois par semaine, s’engager pour un trimestre au moins et, en cas d’absence, le panier est perdu. Il ne faut pas non plus avoir d’idées préconçues sur le menu de la semaine : le contenu est fonction de la récolte et donc des saisons et des aléas climatiques. Mais à en croire le sourire des membres et la demande de nouvelles inscriptions, les bénéfices du système sont bien plus nombreux que les désavantages. « Avoir une telle qualité en supermarché, c’est impossible, note Christelle, et c’est moins cher que dans les

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épiceries bio, qui ne sont pas aussi bien achalandées pour le frais. » À 3 000 F le panier de légumes pour un poids moyen de 5 kg (jusqu’à 8, en haute saison), le calcul est vite fait : le kilo de légumes bio revient à environ 600 F. Ce n’est certes pas donné, mais ici, pas de salade à 1 000 F en plein été. « C’est l’avantage, note Marion, la productrice de l’Amap, qui a pris la succession de son père il y a quelques années sur son exploitation de La Tamoa. Les prix sont lissés sur l’année. » Les œufs moins chers qu’au supermarché

Car faire des économies dans l’alimentaire, c’est aussi réapprendre à manger avec les saisons. Pour l’agriculteur, l’Amap est également la garantie d’un revenu fixe, calculé en fonction du travail effectué. Bien manger à bon prix donc, mais aussi sans léser personne. Et à 500 F la douzaine d’œuf extra-frais de plein air, l’Amap n’a pas à rougir face aux prix pratiqués par la grande distribution : entre 455 et 590 F (en élevage conventionnel)

suivant les enseignes, d’après les chiffres de l’Observatoire des prix ! La philosophie du zéro intermédiaire séduit de plus en plus, tant du côté des agriculteurs que des consommateurs. Manque l’offre, note Laurent Kojfer, chargé de mission détaché par la Province sud auprès de l’association Biocalédonia : « Aujourd’hui, nous avons environ cinq Amap et un total de 150 paniers distribués par semaine. On souhaite développer également les marchés paysans et tous les types de circuits courts. » Bonne nouvelle également, la vente directe a conquis de plus en plus de producteurs dans des domaines de plus en plus diversifiés. Œufs, volailles, miel viennent désormais accompagner les radis et les haricots verts. Pour toute question concernant les Amap ou pour être mis en relation avec les agriculteurs, contacter Laurent Kojfer de Biocalédonia : 73 69 60 ou 41 13 18, amap@biocaledonia.nc

DOSSIER

N’achetez plus, troquez

Par Charlotte Mannevy

Une sorbetière qui prend la poussière au fond du garage, des vêtements d’enfants devenus trop petits, ou une récolte abondante de letchis : autant de biens que l’on peut facilement échanger contre d’autres, lors de bourses d’échanges ou sur la Toile. « Je cherche trois valises, j’ai des citrouilles » ; « entretien jardin contre outillage » ; « propose bocaux vides, faire offre ». Sur Internet, on ne compte plus les sites d’annonces qui disposent d’une section troc ou sont entièrement dédiés à l’échange, comme troc.nc ou « troc tes fringues » sur Facebook. Ce qui s’échange le plus ? Les légumes du jardin, les plantes et les vêtements, même si l’on trouve parfois des annonces d’échange de voitures… encore faut-il trouver chaussure à son pied.

Mettre du SEL dans sa vie

Pour parer à ce problème d’offre qui ne correspond pas toujours au besoin immédiat, le système d’échange solidaire (SEL) Fleur de niaouli propose pour sa part à ses membres de payer en fleurs. Une fleur vaut 100 F, chacun fixe donc « le prix » de son bien et est libre d’utiliser son capital plus tard, avec une autre personne. Présent sur Inter-

net, Fleur de niaouli, qui compte une centaine de membres, organise également le premier samedi de chaque mois une bourse locale d’échanges (BLE), au foyer Soleil à Magenta. Que l’on veuille librement troquer sur Internet ou rejoindre une communauté de troqueurs, il faut garder l’esprit ouvert et ne pas chercher un bien trop précis, au risque d’échouer. Mais l’ouverture a ses limites : « On m’a proposé d’échanger mon bateau contre des coquillages, raconte Laura. Évidemment je n’ai pas donné suite. Deux millions de francs en coquillages, tout de même… » Fleur de Niaouli Tél. 28 81 37 ou 79 86 79

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Santé/Beauté

La sophro au fil de l’eau Quoi de mieux qu’un bon bol d’air pour recharger les batteries ? Delphine Chardonneau, infirmière diplômée, vous propose de tester la sophrologie, à mi-chemin entre la relaxation occidentale et la méditation orientale, au contact de la nature. Les variantes sont nombreuses : randonnée pédestre à la cascade de Yahoué, dans le parc forestier ou aux Bois du Sud, kayak à la rivière des Pirogues ou stand up paddle à l’Anse-Vata… « L’essentiel est que les gens prennent conscience de leur corps », précise la jeune femme. Nous avons testé la séance en paddle pendant deux heures et le contact du corps dans l’eau pendant

Par C.C

la relaxation est extrêmement apaisant. Tous les sens sont mis à contribution : on se prend à réécouter le chant des oiseaux, on laisse la brise caresser notre peau, on sent la fraîcheur de l’eau sur nos mains. Cette méthode est idéale pour apprendre à lâcher prise, notamment lorsque l’on s’allonge sur la planche, les yeux fermés, au beau milieu de la baie. Elle aide à retrouver un sommeil réparateur, à croire en soi et par conséquent, accroître ses capacités personnelles. Agathis Sophrologie Delphine Chardonneau : 98 84 93 www.agathis-sophrologie.com

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Santé/Beauté

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33 bis, rue Jean Jaurès Place des cocotiers

Santé/Beauté

Feng shui : l’art du ménage intérieur Quelque chose dénote dans votre intérieur, mais vous ne savez pas par quel bout commencer le grand nettoyage ? Peut-être que c’est l’occasion de vous mettre au feng shui. Mais attention, « seulement si les personnes veulent apporter un changement à leur vie », conseille Marie Boyer, praticienne à Nouméa. Car la discipline n’est pas seulement un art de l’aménagement. Il s’agit d’une pratique taoïste, au même titre que le tai-chi chuan ou la pharmacopée chinoise, qui vise à améliorer l’équilibre et le bien-être personnel. Pour les plus sceptiques, le feng shui propose des règles de bon sens de l’aménagement intérieur. Pour les personnes initiées à cet art ancestral chinois, ces règles reposent sur une « savante » répartition des énergies de la maison, voire de l’entreprise. Car l’énergie recherchée varie selon les objectifs de chacun : mieux dormir, être plus prospère, plus créatif... C’est pourquoi les études seront toujours uniques, en fonction de la personne et du lieu. « Il faut se méfier des écrits qui imposent des règles toutes faites,

Texte et photo Théo Rouby

prévient Marie Boyer. Ce serait plus bénéfique d’aller méditer une bonne heure à la plage que d’acheter un de ces livres. » Et pour ceux qui n’ont pas les moyens de se payer ses services (comptez 60 000 à 80 000 F l’étude complète*), cette taoïste convaincue suggère de commencer par faire le vide dans leur armoire. Tout simplement. « C’est par exemple quand on se résout à jeter ses vieilles robes 38 que l’on va enfin commencer à perdre du poids. Ça veut dire que le mental a lâché. » * Renseignements sur www.tao.nc

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Santé/Beauté

SOIN RÉNOVATEUR DE PEAU pour Homme & Femme

PHYT’S SKIN RENOV Le 1er soin Peeling Chimique certiﬁé Bio, à base d’Acide Glycolique d’origine naturelle (30%)

Peeling bio : un soin dans l’air du temps Par Aurélie Cornec

Eﬃcacité prouvée de la cure Après une cure de soins professionnels, Phyt’s Skin Renov démontre son eﬃcacité. • Resserre les pores • Éclaircit le teint • Atténue les tâches, acné, ridules...

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Le tout premier peeling chimique certifié bio de la gamme Phyt’s est désormais disponible à Nouméa. Véritable alternative aux actes esthétiques et dermatologiques, ce soin pour femmes et hommes constitue un programme global et complet. Avec des actifs 100 % naturels, le peeling bio Phyt’s est composé de 30 % d’acide glycolyque,

obtenu à partir d’extraits de canne à sucre filtrée. Selon le diagnostic de l’esthéticienne, quatre à six soins sont conseillés pour uniformiser, éclaircir et illuminer le teint. Cette exfoliation, en éliminant les cellules mortes, permet d’hydrater, raffermir, réduire les rides et ridules, resserrer les pores mais aussi atténuer les imperfections cutanées comme l’acné ou les cicatrices. Le protocole du peeling est strict : préparation de la peau à la maison, crème et protection solaire pendant et après la fin des séances en institut. Les résultats sont à la hauteur de ces quelques contraintes : l’apparence de la peau est nettement améliorée. Un soin à privilégier en saison fraîche afin de limiter l’exposition au soleil. Beauté Isis Baie de l’orphelinat – Tél. : 95 79 02 L’Institut Complexe Oxygène – Tél. : 25 94 59

Santé/Beauté

Quand la mer met son grain de sel Par Marie Jeanne Stevaux

Il y a ceux au chocolat, aux algues, à l’huile d’argan, à l’argile ou encore à la boue. Mais connaissez-vous les soins au sel ? Pas celui de Guérande bien sûr, mais de la mer Morte. Déconseillé dans nos assiettes, le sel est reconnu cependant pour ses propriétés exfoliantes, régénérantes et relaxantes. Tout comme l’huile d’argan du Maroc, le sel de la mer Morte appartient aux cadeaux de dame Nature utilisés depuis des millénaires. D’ailleurs, Cléopâtre, outre ses cures de jouvence au lait d’ânesse, était une fervente adepte du sel en gommage ou en bains. Pour retrouver les vertus déstressantes du sel de la mer Morte, inutile de prévoir un stop en Égypte. Certains instituts de la place proposent des formules adaptées à chaque personne, même aux peaux les plus fragiles, en gommage ou en soins relaxants, pour le visage mais aussi le corps. Associé à d’autres cosmétiques, le sel, produit 100 % naturel, aide à la reminéralisation et la régénération cellulaire. Les grains contiennent une forte concentration d’une vingtaine de minéraux dont le corps a besoin comme le calcium, le potassium ou encore le magnésium. Résultat : non seulement les soins rendent la peau plus douce, mais remettent d’aplomb les organismes même les plus fatigués.

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Performantes Confortables Discrètes Étanches

AIDES AUDITIVES 2014

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Santé/Beauté

À portée de bisous Par Sandrine Chopot

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une audioprothésiste diplômée d’État à votre écoute Cochez par oui ou non et parlez-en à votre audioprothésiste OUI

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1 - Dites-vous « j’entends mais je ne comprends pas » ? 2 - Faites-vous répéter souvent ? 3 - Augmentez-vous le son de la télévision ? 4 - Êtes-vous gêné pour comprendre en milieu bruyant ?

Agréé Cafat, Mutuelles, Aides médicales

Centre de l’Audition

19, rue Jules Ferry (Face à la gare maritime) Tél/Fax : 27 30 50 centredelaudition@gmail.com Lundi au vendredi 8h-12h / 13h30-17h30 et Samedi 8h30-12h

Bave d’escargot 100 %

du laboratoire Diet Esthetic - Barcelone Un véritable rayon de soleil pour votre peau, contre les rides, tâches, marques et cicatrices

Savez-vous que les vertus du portage en écharpe offrent à votre nourrisson les mêmes sensations que lorsqu’il était dans votre ventre ? Médicalement reconnu dans certains pays comme la Suisse, les bienfaits du portage sont nombreux. Il rassure, sécurise, déstresse et stimule votre bébé. La position « grenouille » permet également d’éviter la survenue de dysplasie (déformation de la hanche). Cerise sur le gâteau, le portage apaise et permet d’endormir rapidement votre petit ange. Mais attention, les porte-bébés ne sont pas tous physiologiques. L’idéal ? Le tester et participer à un atelier de portage proposé par Alexandra Boumard, infirmière puéricultrice, formée à l’animation d’ateliers de maternage, portage et massage bébés. Un pur moment de bien-être, en individuel ou en groupe, à offrir ou à s’offrir. Pour s’inscrire, rendez-vous sur www.bioattitude.nc ou contactez directement Alexandra au 91 57 26.

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Disponible en pharmacie Vit Vit Crème est un soin scientifiquement conçu pour régénérer la peau du visage abîmée par l’âge ou le soleil. Elle combine l’action de 3 composants actifs : l’Aloé Vera, l’Extrait de raisin et la Bave d’escargot La Crème Vit Vit à l’Escargot est un complexe naturel formulé à base d’une concentration élevée en protéines régénératrices et réparatrices qui proviennent de la bave d’escargot (Helix Aspersa). Elle agit en stimulant la synthèse du Collagène et de l’Elastine favorisant la régénération de la peau. Idéale pour les peaux grasses à tendance Acnéique. Vit Vit Crème s’utilise très facilement : elle s’applique sur la peau du visage propre et sèche matin et soir. Les premiers effets se font sentir dès la première semaine d’application : la peau se retend, les rides et les petites cicatrices s’estompent. La peau retrouve son aspect jeune. Produit cosmétique à usage externe. Testé dermatologiquement. Non testé sur les animaux. Maintenir hors de portée des enfants. Les ingrédients signalés* sont issus de l’agriculture biologique. Conditionnement : Flacon de 50 ml

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Publi-reportage DE NOUVEAU EN NOUVELLE CALEDONIE

Isabelle DAVID, fondatrice

d’IDCOM International, revient en fin septembre/début octobre 2014

Un formateur coach personnel et professionnel Formé à de nombreux outils : PNL, hypnose, neurosémantique, systémique, AMO, TEMO, énnéagramme, PCM, MBTI, acupressure, psychogénéalogie...

FORMATIONS • Management et animation des Hommes :

LE LANGAGE QUI ACCOMPAGNE Communication aux patients par hypnose conversationnelle Les 7 & 8 octobre Objectif : devenir plus à l’aise et plus efficace dans la prise en charge et l’accompagnement des patients dans le respect de ce qu’ils sont. Public : personnel soignant, accompagnants, psychologues, thérapeutes…

ACTUALISATION PAR LES MOUVEMENTS OCULAIRES (EMA 1) Les 11 & 12 octobre Objectif : s’initier à un outil de changement à la réalisation d’objectifs, de bien-être et d’accroissement de son potentiel, dans le cadre des relations au travail, avec la famille et les amis. Public : coachs, psychothérapeutes, psychologues, accompagnants, toute personne du domaine de la santé et toute personne souhaitant atteindre son plein potentiel.

- management et communication interculturelle, dont calédonienne - s’affirmer, décider comme responsable - dynamiser, motiver une équipe - maitriser les outils RH au quotidien - mener des entretiens : quotidiens, annuels, de recadrage, de motivation... - formation de formateur et de tuteur...

• Eﬃcacité personnelle :

- comprendre le lien à la santé en Océanie - prendre sa place et confiance en soi - communiquer en vis-à-vis ou en public - travailler avec des personnalités différentes - gérer le temps et le stress, savoir s’organiser pour être efficient et serein - s’initier à des outils d’efficience : PNL, AT, énnéagramme, systémique

GESTION DES RESSOURCES HUMAINES • Diagnostics :

LE LANGAGE SANTÉ Exprimer par la parole Du 3 au 5 octobre Objectif : laisser monter de l’inconscient les mots des maux emprisonnés en nous, verbaliser sainement ce qui peut être dit et libérer le reste par l’expression créatrice de ressources Public : tout public, et toute personne qui a déjà suivi l’un des modules PNL et santé.

ACTUALISATION PAR LES MOUVEMENTS OCULAIRES (EMA 2) Les 13 & 14 octobre Objectif : se perfectionner en EMA par le renforcement des états aidants. Public : toute personne souhaitant amplifier son plein potentiel et ayant suivi l’AMO ou L’EMA1.

- politique, système et administration RH - outils et process RH - climat social, ambiance...

• Création et mise en place :

- organisation et fonctionnement RH - évaluation performances, compétences et motivation (Entretien annuel, GPEC...) - système de rémunération incitatif - plan de formation, tutorat...

GESTION DES ORGANISATIONS • Diagnostics :

- organisationnel et fonctionnel - système et flux d’information - gestion financière

• Création et mise en place :

TROUVER LES CLÉS POUR MIEUX COMMUNIQUER AVEC LES JEUNES Les 16 & 17 octobre Objectif : modifier nos façons de faire, d’être et de communiquer avec les jeunes afin de mieux faire passer les messages et arriver à des relations apaisées. Public : personnel enseignant et d’éducation, instituteurs, professeurs, parents, toutes personnes intéressées par le monde de l’éducation.

AURA VISION MD Du 26 au 30 septembre Objectif : Apprendre à analyser et à lire le livre du passé, ainsi que les liens qui mènent à la préparation du futur, pour soi ou des personnes qui nous aurons pré-autorisées ou mandatées. Public : Tout professionnel du monde de la santé ou de l’accompagnement, de l’entreprise ou toute personne qui souhaite développer ses capacités d’intuition. (Places limitées !)

MODALITES Informations sur les contenus et modalités d’inscriptions sur la page facebook ajc298, ou en laissant un message à ajc298@hotmail.fr, ou en appelant au 75 75 20. Profitez d’avantages financiers (sauf pour lecture d’aura) en vous inscrivant : • avant le 1er juillet 2014 : - 5 % sur chaque formation, • à partir d’une deuxième formation : - 10 % sur la 2e inscription et les suivantes.

- d’organisation systémique adaptée - de culture et cohésion d’équipe - de conduite du changement - de contrôle d’activité et de gestion

COACHING - lever les blocages et stress - éliminer les émotions inutiles - sortir des conflits - se libérer des addictions - réaliser rêves et changements - développer des aptitudes - réussir projets et objectifs - trouver place et confiance en soi - s’épanouir, soi et l’équipe...

Le secret de “votre réalisation ” AJC - Jean-Yves Kerleguer

Tél. : 75 75 20 - Mail : ajc298@hotmail.fr #00 21

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Sex crèmes spéciales pour l’« après » sont également disponibles. Dans ce registre, le grand classique reste la fessée que l’on peut pratiquer de multiples façons avec un large éventail d’accessoires. Cravache, fouet, paddle, mais aussi et peut-être le moyen le plus simple : avec la main. Chouette, j’ai un gage !

Petits jeux qui rendent plus heureux

Par Mathurin Derel

La sexualité est un jeu en soi. Pour aider les couples en mal d’inspiration, de nouveaux accessoires ont fait leur apparition ces dernières années. Se découvrir, éviter la routine ou plus simplement pimenter sa relation… Tous les prétextes sont bons pour s’amuser. Les jeux sont faits, rien ne va plus être comme avant. Les jeux ne sont pas QUE pour les enfants. Nous aussi, les grands, nous avons nos petits trucs pour nous amuser. Et s’il y a bien un lieu où l’on DOIT s’amuser, c’est bien sous la couette, même si ce genre de jeux ne se pratique pas exclusivement sous la couette, loin de là. Car on ne le rappellera jamais assez, une vie sexuelle épanouie, c’est une vie sexuelle dans laquelle on ne s’ennuie pas. Et en matière de sexualité,

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En dehors de ces gentilles pratiques « SM », d’autres jeux, plus classiques et adaptés à tous les goûts, ont vu le jour. Hôtel d’amour, Nirvana, jeu de l’oie, Kâma-Sûtra ou le grand classique des dés… « Il y en a pour tous les goûts, note Laurence. Il y a des jeux pour couple, pour plusieurs couples, pour les jeunes couples et les plus anciens, et du plus simple pour créer la petite étincelle, au plus compliqué. » Le Sexpert, forme de Trivial Pursuit autour de la culture du sexe, a également fait son apparition. Autre nouveauté, le chéquier permet de laisser un petit mot à son ou sa partenaire pour l’émoustiller sur ce qui l’attend le soir en rentrant. « L’attente crée le fantasme »,

les choses ont bien changé ces dernières années. Peur de la routine ou de la non-performance a poussé les couples à prendre davantage soin d’eux. Et cela passe par le jeu. Viens prendre ta fessée !

La meilleure des illustrations sont les chiffres de vente de 50 nuances de Grey de l’auteur britannique E. L.James. En 18 mois, l’écrivain a écoulé pas moins de 40 millions d’exemplaires de son livre qui a émoustillé le monde entier avec des pratiques masochistes et de soumission. « Il y a dix ans, la soumission n’était pas du tout en vogue ; au contraire, explique Laurence de Planète X. Mais les choses ont été désamorcées, on est plus décontractés avec ça. Aujourd’hui, on veut bien se faire torturer, mais à sa manière. » Menottes et autres attaches, fouet ou bandeau sont désormais des best-sellers. Des

La cage de chasteté On connaît les ceintures de chasteté féminine pour les avoir vues dans les films sur la période médiévale. On connaît moins les cages de chasteté pour homme, sorte de petites prisons pour pénis. Une nouveauté qui a bien marché ces dernières années et permis de développer de nouveaux jeux, notamment ceux où madame est l’unique propriétaire des clefs et donc la seule à décider quand les utiliser. Certaines sont fabriquées sur mesure mais sont beaucoup plus chères.

Sex

assure-t-elle. Et c’est bien tout l’intérêt du jeu que de titiller les fantasmes et le désir. C’est un moyen de stimuler son imagination, mais on peut très bien se débrouiller par soi-même, notamment au travers de jeux de rôle. Votre mari est joueur de poker ? Qu’à cela ne tienne, organisez-lui une petite partie qui le changera de ses soirées entre amis.

marche, constate Laurence, ce sont plutôt les jeux de rôle, les déguisements. Il y a aussi les livres qui aident à créer des situations. L’objectif étant de découvrir son ou sa partenaire. Les bandeaux sont par exemple l’occasion de ressentir les choses différemment. » Même s’il n’y a pas vraiment de règles, les couples entre 20 et 30 ans cherchent plutôt des jeux ludiques où l’on prend son temps alors que les couples ayant la quarantaine sont plus friands de sex-toys. Mais une chose est sûre, il n’y a pas d’âge pour s’amuser.

Si tu me cherches, je suis dans le placard

Cette manière plus ludique d’aborder sa sexualité a également fait évoluer les sex-toys. Auparavant hyperréalistes, les formes et les couleurs se sont multipliées et adoucies depuis le fameux canard. « Ce qui

SEXPERT

En savez-vous plus que la moyenne sur la sexualité et l’amour ? Le quizz osé de ce jeu de société érotique garantit une soirée drôle et excitante au fil de questions rafraichissantes et diverses... vous apprendrez forcément quelque chose ! Tous les tabous et les idées reçues sur le sexe seront balayés par la pertinence des explications élaborées avec une équipe de sexologues. Sexpert sait recréer une ambiance saine et coquine pour parler de sexualité librement. Contenu : un plateau de jeu, règles du jeu, 215 questions, 6 pions, 6 jetons. Prix 5 450 F

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Jeu de l’oie en version « érotique » pour explorer des scénarios coquins, avouer des fantasmes ou partager des confidences amoureuses. Bonus : le guide des hôtels romantiques dans toute la France pour vivre des nuits passionnées. Prix 6990 6 990 F

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Le oin de la famille

« L’objectif est de mettre l’enfant en confiance », explique le maître nageur.

LA LISTE DE

Oser se jeter à l’eau

NAISSANCE

Par Catherine Léhé

Une belle aventure commence

Se sentir comme un poisson dans l’eau n’est pas donné à tout le monde. Mais vaincre sa peur du milieu aquatique n’a rien d’insurmontable. Franck Chaleix apprend aux petits et grands à l’apprivoiser depuis près de 20 ans.

Une équipe sympa à votre écoute

6, rue Lavoisier à Ducos, entre la boulangerie St-Christophe et Toyota Tél. : 24 95 31 Mail : bbroi2@lagoon.nc Site : www.beberoi.nc

Ouvert du lundi au vendredi : 8h30 - 18h samedi 8h30 - 12h / 14h - 17h

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Une sécurité optimale

Les cours se déroulent dans un bassin couvert de dix mètres sur cinq, profond d’un mètre quatre-vingt, chauffé et installé à son domicile. Franck accueille les enfants dès l’âge de trois ans, des

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Une vague d’angoisse. C’est ce que beaucoup d’adultes et d’enfants ressentent à l’idée d’être dans l’eau, à la suite d’une mauvaise expérience pendant l’apprentissage, ou pire, d’un accident grave survenu dans la famille. Franck Chaleix, maître nageur privé, diplômé du brevet d’éducateur sportif des activités de natation (BEESAN) est le premier à en avoir fait les frais. « De six à sept ans, je n’ai plus voulu mettre les pieds à la piscine. À l’époque, la méthode pour apprendre à nager consistait à sauter dans l’eau et à attraper la perche du maître nageur. L’immersion était immédiate et totale, ce qui pouvait entraîner une perte de confiance pour l’eau, qui fait peur. » Si Franck a réussi à se réconcilier avec le milieu aquatique, c’est grâce à un autre maître nageur. Ce dernier lui a transmis le plaisir de l’eau et de la natation. Après avoir été compétiteur, il passe son brevet et développe sa propre méthode pédagogique. Son objectif : arriver à être à l’aise dans l’eau dès le plus jeune âge.

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ados et même des adultes. Ici, ni frite, ni planche, ni flotteur, ni perche. La méthode est simple, basée sur la respiration, l’équilibre et la propulsion. « D’abord, je discute avec l’enfant assis au bord du bassin. Je lui demande ce qu’il ressent, son vécu ; lui, il observe les autres qui sont dans l’eau avec moi. S’il ne veut pas se baigner, je ne le force pas. L’objectif c’est de le mettre en confiance. » Une fois prêt, place aux exercices pratiques : apprendre à bloquer la respiration dans un premier temps pour travailler l’équilibre, puis s’immerger partiellement et totalement. « L’enfant se rend compte que l’eau le porte, ensuite on travaille la propulsion alternée, le souffle, etc. » Les enfants s’élancent de la petite marche intérieure en suivant les consignes. « On passe ensuite aux prises d’appui dans l’eau avec leur main. Ils s’aperçoivent qu’ils peuvent sortir la tête de l’eau, qu’ils respirent et sont capables d’avancer. Un enfant qui tombe dans une piscine par mégarde devrait être capable de s’en sortir. On a déjà une sécurité optimale et c’est ce que recherchent la plupart des parents. » À commencer par Sébastien, papa de Mali, trois ans et demi, qui prend des cours une fois par semaine depuis octobre dernier. « On est dans un pays où l’eau est présente partout. On voulait déjà que notre fille sache comment réagir si elle venait à tomber dedans, les gestes et la bonne attitude, raconte le jeune père. Mali avait très peur de mettre la tête sous l’eau. Elle a fait de gros progrès et on peut l’emmener à la mer. » Les cours durent une demi-heure pour les enfants, il faut en moyenne une vingtaine de séances. Les progrès sont rapides à raison d’un cours par semaine à condition d’être régulier.

Le oin de la famille

Une nounou à partager Si la garde partagée est un système désormais bien rodé en métropole, elle n’en est qu’à ses tout débuts sur le Caillou. Pourtant, elle permet de diviser les frais de nounou par deux. Depuis l’an dernier, le centre communal d’action sociale de Nouméa essaie de développer ce mode de garde, notamment en organisant des rencontres entre parents et assistantes parentales. « On sait que dans le privé, ce mode de garde se développe, on essaie donc de le mettre en œuvre de notre côté. L’an dernier, nous avons obtenu le feu vert de la Cafat pour le proposer aux parents », souligne Sandra Lopes, chef du service enfance et coéducation du CCAS. À la maison pour moins cher

Cette nouvelle offre s’appuie sur le dispositif d’assistant parental, créé en 2012, qui permet aux parents d’employer un professionnel à domicile.

Par Charlotte Mannevy

Un système pratique et plus confortable pour l’enfant, mais que tous les parents ne peuvent pas s’offrir, à un tarif basé sur le SMG horaire : « C’est pour cela que nous encourageons la garde partagée, qui permet de diviser la facture par deux. » Reste à convaincre les parents. « Comme on a encore assez peu de demandes, les familles intéressées sont confrontées à des problèmes logistiques, on ne trouve pas toujours quelqu’un dans son quartier », regrette-t-elle. Une difficulté qui disparaîtra si le système rencontre l’engouement des parents… Renseignements : Service « enfance et coéducation » du CCAS au 46 63 81 ou au 46 63 82.

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ulture

SORTIR

Le jazz est là !

Par Aurélie Cornec

Le jazz séduit toujours plus de Nouméens. Après l’ouverture du Groove en janvier, l’Astro Jazz Club a été inauguré le 1er mars dernier. L’incontournable Michel Bénébig y a installé son orgue et accueille de nombreux musiciens. Ce tout nouveau club de jazz est d’ailleurs en partie dédié à la mémoire des organistes de légende comme Jack Mc Duff, Jimmy Mc Griff, ou encore Jimmy Smith. Plusieurs soirées sont organisées chaque semaine dans la salle climatisée du restaurant l’Astrolabe. Ambiance Jazz Club garantie ! © Niko Vincent

L’Astro Jazz Club 35, Promenade Roger Laroque – Baie des citrons, Nouméa – Tél. : 28 44 44 Programmation sur demande : astro@lagoon.nc

Échange musical au nakamal Texte et photo Théo Rouby

Ce nakamal fait du bruit à Ducos. Le Boston* est l’un des rares lieux de Nouméa à proposer une scène ouverte aux artistes, lors de ses jam sessions du mercredi soir. « L’intérêt, c’est que tous les musiciens s’écoutent pour créer quelque chose ensemble. On n’est pas dans la logique habituelle, où l’on vient jouer sa compo toute faite », explique Greg, le gérant. L’exercice fait la part belle à la création artistique et réserve son lot de moments mémorables. « Je jouais avec un mec, un truc super sympa, se souvient Kévin, habitué du

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lieu. Quand je suis descendu de scène, plusieurs personnes sont venues me dire : “Eh, t’as joué avec Gulaan !” » l’un des artistes de kaneka les plus cotés du moment. Depuis un an et demi, la petite scène est devenue l’un des rares endroits à métisser les sonorités reggae avec le jazz, le funk ou le rock. Elle propose un autre rendez-vous, un vendredi sur deux, pour découvrir un artiste local. * Programmation et informations sur la page facebook « nakamal le boston ».

ulture

ÉVÉNEMENT

Pikinini pas que pour les petits Par Chloë Tiennot

La compagnie Les Kidams prépare la troisième édition du Festival Pikinini, destiné aux enfants, mais pas seulement. « À chaque fois que les familles sont venues voir nos créations, les parents en sont ressortis enchantés. Je fais en sorte qu’il y ait toujours deux niveaux de lecture dans nos spectacles », défend Catherine Dinevan, la directrice artistique de la compagnie. Plus de 5 000 personnes s’étaient déplacées l’an dernier. Une telle foule avait soulevé deux points faibles concernant les stands d’alimentation

et la billetterie. Cette année, cinq à six stands d’alimentation sont prévus et une billetterie en ligne est mise en place. Le Pikinini Festival revient donc cette année du 30 juillet au 10 août avec un temps fort les 2 et 3 août – mais on ne révélera rien, n’insistez pas ! Billetterie sur www.eticket.nc/festivals

La radio qui libère la parole Il y a d’abord les « Jackys », Jack-i-e et Jack-y, improbable duo d’animateurs interprété par les acteurs Anne-Sophie Conan et Dominique Jean. Mais Radio Éphémère, c’est avant tout une émission de création radiophonique participative, lancée par l’équipe du Chapitô. Installée au Centre d’art pour une émission consacrée au Faubourg-Blanchot et à la Vallée-desColons, elle a pris ses quartiers en juin à Magenta, avec une double thématique : découvrir le quartier et ses habitants et célébrer les 160 ans de la ville de Nouméa. Participez !

Tout un chacun peut proposer ses chroniques, reportages ou tout simplement venir raconter sa vie et ses envies à l’antenne. L’émission, enregistrée en public, dans un décor loufoque et seventies, est diffusée le dimanche suivant sur les ondes de NC 1re. Le résultat : une heure de délire, comme lors de la première où les « Jackys » ont disserté avec leurs invités de la nécessaire mise à sens unique

des trottoirs du Faubourg-Blanchot, vanté les mérites de l’ébouriffante crinière blanche de l’écrivain Alain Mardel et convié Brianca, habitante du quartier, à raconter son quotidien de jeune transgenre. Un mélange de sérieux et de bonne humeur auquel on peut participer, en contactant l’équipe via la page Facebook « Radio Éphémère » ou par mail à radioephemere@gmail. com. Au total, cinq émissions sont prévues cette année, à travers toute la Calédonie. Prochain enregistrement en public : le 7 octobre, sous le Chapitô, à Hienghène. © Ivan Le Solart

Par Charlotte Mannevy

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Par Marie Jeanne Stevaux

Vous envisagez de rénover votre deck, refaire les peintures et l’aménagement de votre cuisine ou encore revoir la plomberie et l’électricité de votre habitation ? Le hic : vous ne savez pas à quel saint vous vouer.

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Pas de panique ! Pour trouver des contacts, il suffit de se connecter à Internet et de taper www.cma.nc. En effet, la Chambre de métiers et de l’artisanat a mis en ligne son annuaire des professionnels avec plus de 11 000 entreprises regroupées par secteur d’activité. En quelques clics, vous pourrez repérer les artisans près de chez vous. C’est facile, gratuit et vraiment utile.

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Concerts en un clic Tickets.nc est le premier site Internet local de billetterie en ligne. Lancé fin février, il permet à tout habitant de la Calédonie où qu’il soit de réserver, d’acheter et d’imprimer sa place pour des événements culturels, sportifs et autres concerts. Comme celui de James Blunt, fin mai à l’Arène de Païta ou encore le festival « Canard en live » début juillet. Il suffit de créer son compte sur www.tickets.nc, de choisir sa place, de remplir son panier. Puis de régler par carte bancaire via Paybox de manière entièrement sécurisée. Les tarifs sont fixés par les organisateurs. Il est possible de faire émettre ses tickets chez des partenaires du site à l’As de trèfle à Magenta et Compact mégastore.

Par Catherine Léhé

Publi-reportage

Le net à la carte Fort de dix années de présence sur le territoire, I-net est un fournisseur d’accès à Internet qui propose des cartes prépayées. ADSL ou Wi-Fi, ce système sans abonnement offre une grande souplesse et permet de gérer son budget en fonction de ses besoins.

I-net propose sur l’ensemble du territoire un accès Internet sans engagement et sans abonnement tout en offrant un service de qualité. « La formule est simple et économique, explique Noël Buttin, le responsable. Il suffit d’acheter sa carte de recharge dans l’un des 40 points de vente du territoire et on consomme Internet au gré de son budget ou de ses envies. » I-net ADSL reste une formule résidentielle qui nécessite d’avoir une ligne téléphonique fixe et un modem ADSL. Trois formules sont proposées : Soft, Eco, Max, chacune déclinée en cartes de 1, 3 ou 6 mois à des prix dégressifs en fonction de la durée et de sa consommation. « Les prix s’étalent de 1 500 F

par mois à 30 000 F pour 6 mois (soit 5 000 F par mois) pour le maximum de débit autorisé par la ligne et une consommation illimitée en volume. » Souplesse et mobilité Pour offrir davantage de souplesse et de mobilité à ses clients, I-net déploie également sur tout le territoire près d’une cinquantaine de réseaux hotspots Wi-Fi, dont un à Ouvéa et trois à l’île des Pins. La formule proposée reste la même : sans abonnement, sans engagement de durée. Pour cela, il suffit de posséder un ordinateur portable, une tablette ou un Smartphone, équipé de la fonction Wi-Fi et de se trouver à proximité d’une borne Wi-Fi.

Trois formules sont accessibles, à la journée (8 heures de connexion), à la semaine ou au mois pour respectivement 690 F, 990 F et 990 F. « La procédure est simple. On crée son compte en ligne, on recharge et on se connecte », commente Noël Buttin. Cerise sur le gâteau, un utilisateur de la carte ADSL Max peut aussi se servir du Wi-Fi I-net sans supplément. Un site pour rester connecté Par ailleurs, pour offrir plus de visibilité et faciliter la navigation des internautes, I-net a récemment remanié son site accessible en français et en anglais. www.inet.nc permet, en quelques clics, de créer un compte en ligne, de personnaliser son identifiant, de connaître les tarifs, de retrouver facilement ses codes d’accès égarés, de consulter la liste des points de vente, des centres agréés et hotspots Wi-Fi ou encore de contacter la hotline technique en cas de problème (disponible du lundi au samedi matin au 36 67 20). « Le service commercial est joignable au 25 34 36. Une équipe de techniciens est disponible pour répondre à toute demande, résoudre un problème, paramétrer un modem… Enfin, il est également possible d’obtenir des renseignements ou d’effectuer des démarches d’inscription directement auprès de notre réseau de distribution et des centres agréés », conclut Noël Buttin.

www.inet.nc Tél. : 25 34 36

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Ass ciations

La délicate mission de Bwära Texte et photos Théo Rouby

La saison des éclosions s’est terminée en avril. Mais l’association Bwära prépare déjà activement le retour des femelles en novembre. Le temps est compté pour la protection des tortues grosse-tête. Leur mission dépasse lar largement le cadre du Caillou. Les membres de l’associa l’association Bwära sont chargés de protéger le second site de pontes de tortues grossetête du Pacifique Sud, sur le secteur de la Roche-Percée à Bourail. L’activité a ralenti fin avril, au terme de la saison des éclosions. Mais l’association doit analyser ses statistiques, améliorer son mode opératoire, et déjà préparer l’arrivée des prochaines femelles pondeuses, dès le mois de novembre. « On ne compte plus qu’une cinquantaine de tortues à la saison des pontes, c’est vraiment très peu pour le second site du Pacifique, commente Kévin Fournière, chargé de mission pour l’association. On estime que 90 % de la population a disparu », en raison notamment de la surpêche et de la consommation des œufs. L’espèce est protégée par le Code de l’environnement, et le braconnage, comme le simple fait de déranger les tortues, peuvent être sanctionnés d’une amende de plus de 1 million de francs. Du moins sur le papier, car « aucune personne n’a été condamnée cette année », précise Kévin, dont le pouvoir se limite à la sensibilisation. Avec une équipe de bénévoles, il arpente les plages de novembre à avril. En plus de recenser les pontes, baguer les femelles et comptabiliser les naissances, le gros du travail est d’expliquer aux touristes et aux riverains leur délicate mission. Recherche bénévoles

« On constate qu’il y a moins de feux et qu’il n’y a plus de 4x4 sur la plage », relève Kévin. Une évolution positive après huit ans d’activité. « Le chef coutumier de la tribu de Bwära a aussi été très réceptif à notre message et il a interdit les actes de braconnage. » De

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même, une tribu de Pouebo s’est rapprochée de l’association pour préserver les tortues vertes de leur région. Mais les membres de l’association doivent incessamment renouveler leur message. Et expliquer qu’une tortue effrayée ou manipulée ne reviendra peut-être jamais pondre. Sur cette plage fortement visitée et bordée d’habitations, ce sont les chiens qui constituent la principale menace. « Cette année encore, une vingtaine de nids ont été détruits », déplore Kévin. Un chiffre qui pèse lourd dans la balance statistique : les scientifiques estiment qu’à peine plus d’une tortue pour 1 000 accède à l’âge adulte. Surtout, les grosse-tête ne sont pas en âge de pondre avant 25 ans. L’impact mesuré aujourd’hui est donc basé sur la population des tortues qui venaient pondre à la fin des années 80... Et qui, probablement, étaient bien plus nombreuses à l’époque. Bwära a encore du boulot, et cherche déjà des bénévoles pour la prochaine saison. Contact : bwaratortuesmarines@gmail.com

Les éco-volontaires libèrent de jeunes tortues prises au piège des lianes envahissantes. Mais il ne faut en aucun cas les toucher avec les mains !

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Juillet-Août 2014

TOUS NIVEAUX

Sport/Loisirs

Un pas de plus vers l’azonto Par Virginie Grizon

A N SE D E D S E G STA

Tous les samedis matin de 10h à 11h30 jusqu’à la fin de l’année

5 juillet – Carine « Samba -Afro » 19 juillet – Carine « Musicals Broadway » 26 juillet – Sabrina « Street Dance-New Style » 2 aout – Carine « Musicals Broadway » 9 aout – Sabrina « Street Dance-New Style » 23 aout – Carine « Samba -Afro » 30 aout – Charly « Ragga-Dance’hall » 13 sept. – Carine « Musicals Broadway » 20 sept. – Carine « Samba -Afro » 27 sept. – Charly « Ragga-Dance’hall » Pour connaître le calendrier complet jusqu’en décembre, et stages d’été, merci de nous contacter

C’est la chorégraphie du moment. L’azonto débarque à Nouméa et fait des émules, même chez les adultes. L’azonto fait un tabac en Europe et commence à envahir les salles de danse nouméennes. « Je fais de plus en plus de stages, c’est vrai que les gens sont en demande, assure Charly, chorégraphe du groupe Burnin’ Faya qui enseigne également l’afro-dance à l’école Art et Mouvement. J’ai environ 20 à 30 personnes inscrites en ce moment. » Et contrairement à ce que l’on pourrait croire, il s’agit surtout d’adultes. Cette danse originaire du Ghana est apparue dans les années 2000 et s’inspire des gestes du quotidien tels que conduire, nager, se coiffer ou encore se maquiller. Très vite, les vidéos postées sur Internet sont devenues virales et la chorégraphie populaire. « On utilise les influences

afro-modernes et la rythmique africaine, précise le chorégraphe, ce qui plaît aux gens, c’est le rythme et la bonne humeur, ça bouge ! » Plusieurs écoles de danse de la capitale proposent aujourd’hui des cours d’azonto. Et celles qui ne la pratiquent pas encore ne devraient pas tarder à s’y mettre !

ECOLE DE DANSE “ART ET MOUVEMENT” 23, rue Galliéni – Centre Ville – Renseignements au 79 82 69 Inscriptions par mail : carinerichezraguin@gmail.com www.carinerichezraguinallabout.com 44

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Sport/Loisirs

LE RENDEZVOUS DES RIDERS, professionnel ou amateur !

Fixie, sensations garanties

Par Aurélie Cornec

Après avoir séduit de nombreux urbains branchés à travers le monde, le fixie débarque en Calédonie. Mais quel est donc cet étrange vélo remis au goût du jour par les coursiers newyorkais dans les années 90 ? Dépouillé de frein et doté d’un pignon fixe, le fixie surprend par son look mais surtout par sa prise en jambe. Deux options s’offrent à l’utilisateur : pédaler ou freiner. L’absence de roue libre promet une belle sensation de vitesse puisque dès que l’on cesse de pédaler, le fixie freine en bloquant la roue arrière. De beaux dérapages en pers-

pective qu’il vaut mieux apprendre à maîtriser. Son côté « cardio » séduira les sportifs puisqu’il nécessite un effort permanent : même le freinage s’effectue en pédalant. Pour les débutants, un frein de sécurité peut cependant être mis en place le temps de dompter la bête. Plutôt conseillé aux amateurs de sensations et de vitesse, le fixie présente l’avantage d’être ultra léger et facile d’entretien.

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Sport/Loisirs

SUP à Bouloup’ Par Marie Jeanne Stevaux – photos Sup and Go

Envie de découvrir les îlots de la baie de Saint-Vincent ou encore la mangrove de port Ouenghi ? Sup and Go, installée sur la commune de Boulouparis, propose des balades au plus près de la nature, en paddle ou bateau-taxi. La philosophie des gérants, Bénédicte Martinet et Alain Kerzreho, est de sensibiliser le grand public aux richesses naturelles de toute une région. Vous voulez vous familiariser avec les palétuviers et ses nombreux habitants ? Laissez-vous tenter par une visite gui-

dée en stand up paddle de deux heures et demie avec Alain. « Nous sommes à l’abri du vent et de la houle, ce qui rend le paddle accessible à tous,

même aux enfants à partir de trois ans. Du même coup, c’est un formidable moyen de découvrir la faune et la flore », précise-t-il. Sup and Go vous concoctera un circuit commenté en bateau-taxi, avec une halte baignade à petit Ténia si le cœur vous en dit. Des options palmes-masque-tuba près du récif sont une autre possibilité de découvrir cette partie du lagon. Enfin, pour les amateurs de chasse sous-marine, Alain les emmènera sur des sites privilégiés. L’embarquement se déroule à la marina de port Ouenghi, avec des possibilités de stationnement. Des dessertes à la carte, à la journée, au weekend et plus, à petit Ténia, à l’îlot Golfy voire près du récif viennent compléter l’offre de Sup and Go. Circuits et tarifs : www.supandgo.nc – Tél. : 74 45 58

Etudiants à la mer ! Par Mathurin Derel – photos BDTEC

Pour la sixième année consécutive, les élèves de l’EGC organisent le Trophée des étudiants calédoniens ou TEC pour les intimes. Les 6 et 7 septembre prochains, ce ne sont pas moins de 120 participants qui sont attendus pour participer aux différentes épreuves qui se dérouleront à la Côte Blanche. Les organisateurs ont prévu trois disciplines différentes : le TriaTec (relais natation, course à pied et kayak), le trophée animation (qui récompensera l’équipe qui aura organisé les trois meilleures animations sur la plage) et le trophée mer (hobbie cat et finale de va’a).

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Pour les spectateurs, les petits plats ont été mis dans les grands. Ils pourront apprécier des démonstrations de danses, des concerts sur la plage et d’autres petites surprises. Des stands de restauration sont prévus sur place et, au coucher du soleil le samedi soir, ce sera l’heure du BBQ concert, un moment à ne pas rater. Alors si vous êtes ou si vous connaissez des étudiants, n’hésitez plus. Contactez l’équipe du BDTC de l’EGC, composé d’étudiants de première et deuxième année. Etudiantes, étudiants, à vos maillots ! Toutes les informations sur Facebook (Tec le Trophée) ou par téléphone auprès d’Emilia au 81 54 02, y compris pour les entreprises qui souhaiteraient participer au projet.

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Décollez

> BELEP

En route pour l’extrême Nord Par Mathurin Derel

Bélep est encore une terre mystérieuse pour beaucoup de Calédoniens. Très enclavé, le petit archipel a décidé de s’ouvrir au tourisme. Les journées découverte organisées en 2013 devraient être reconduites en 2015, mais l’association des jeunes travaille également sur d’autres manifestations. L’occasion de découvrir la beauté des îles du Nord ainsi que sa population. Bélep, c’est loin. C’est une des raisons de la méconnaissance des gens de cet archipel tout au bout de la grande terre. Une autre raison est la difficulté pour l’atteindre. En dehors de l’avion, il faut tout de même compter entre 3 heures 30 et 4 heures selon que l’on embarque à Poum ou à Koumac. Et c’est sans parler des liaisons coupées, qu’elles soient aériennes ou maritimes

Tourné vers la mer

Cet éloignement et les liaisons ne facilitent pas la tâche des promoteurs du tourisme dans l‘archipel qui recèle pourtant de richesses, tant sur le plan naturel qu’historique. On ne le sait pas forcément, mais Bélep a une histoire riche qui a été largement écrite par ses marins qui a la fin du dix-neuvième siècle et au début du vingtième, ont acquis une solide réputation. Aujourd’hui encore, on peut rencontrer les derniers de ces loups de mer qui ont écumé les océans et en ont gardé de nombreuses anecdotes.

dès que le vent souffle au-dessus de 20 nœuds, même si avec l’arrivée du Seabreeze, les liaisons sont tout de même beaucoup plus fiables que par le passé.

Si les grands clippers ont cessé de naviguer et d’embarquer des habitants de l’archipel, la population reste résolument tournée vers la mer qui constitue la principale ressource de l’île. La grande majorité des habitants vivent autour de la baie de Waala, juste en face de leur bateau prêt à partir à la pêche. Le roi du lagon que l’on retrouve ensuite dans tous le pays est bien sûr le tazar que l’on déguste aussi fumé (un délice !). Et le roi ne va pas sans sa reine puisque Bélep abrite un trésor : un gisement de coquilles

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Décollez

Saint-Jacques, longtemps exploité par le passé. Un projet pour reprendre l’exploitation est sur les rails. La mer n’est pas la seule ressource et les mineurs lorgnent sur les gisements de nickel qui pourraient s’avérer importants peu qu’ils soient prospectés. Mais en dehors de la pêche et du nickel, Bélep mise sur le tourisme et la beauté des paysages naturels de l’île. Les balades y sont nombreuses, notamment pour découvrir les lacs qui se trouvent sur les plateaux.

d’autres animations sont prévues cette année avant de nouvelles journées découvertes qui se tiendront en 2015. 2015 pourrait d’ailleurs être l’année d’ouverture du premier gîte dont le projet est en gestation. Les croisiéristes pourraient également faire leur arrivée d’ici à l’horizon 2016. Un travail a été entrepris dans ce sens avec l’agence Kenua qui gère les croisiéristes. Afin de lutter contre l’enclavement et assurer ce décollage touristique, la mairie vient de déposer un dossier afin de revoir la piste de l’aérodrome. Son extension permettrait d’accueillir des ATR 72 au lieu des petits Twin Otter qui opèrent actuellement.

Vers un essor du tourisme

Seul problème pour l’instant : le manque de structures de l’île. Si on peut loger chez l’habitante, on peut difficilement se renseigner sur les activités à faire sur place. Il y a toujours la possibilité de faire des promenades ou même d’aller pêcher, mais faute d’opérateur touristi que clairement identifié, il faut se débrouiller par ses propres moyens. Les choses sont néanmoins en train de changer. Depuis quelques années, les Bélémas ont la volonté d’ouvrir leur île au tourisme. Après des journées découverte organisées en août 2013,

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Décollez

> ITALIE

Voir Venise et sourire Texte et photos Catherine Léhé

La dolce vita n’est plus si loin. On peut désormais s’envoler directement de Tokyo pour atteindre l’une des plus belles villes du monde : Venise.

Le pont du Rialto.

À peine posé à l’aéroport Marco Polo, l’embarquement est immédiat. Venise est une ville d’eau, y circuler signifie forcément mettre les pieds sur un bateau. Pour rejoindre la Sérénissime, on peut choisir de se déplacer par autocar mais ce serait rompre le charme d’un premier trajet à bord d’un vaporetto, ou fameux bus maritime. Après une heure et demie de navigation, on aperçoit enfin au loin les contours du cœur de la ville : le Palais des doges et le Campanil qui bordent la place SaintMarc. Déjà, la belle cité enchante. Par ses couleurs, son architecture, ses

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ponts et ses gondoliers qui se fraient un chemin entre vaporetti publics, vedettes privées, yachts et paquebots de croisière. Mille et une merveilles à découvrir

Une fois débarqués, l’émerveillement se poursuit à pied. Chaussés de bonnes baskets, on chemine sur les premiers ponts, direction place San Marco. Descendre quelques stations auparavant permet de franchir une bonne dizaine de ponts sur les 400 que compte la ville. Et de découvrir le plus célèbre

d’entre eux : le Pont des soupirs, autrefois emprunté par les prisonniers pour se rendre à la prison jouxtant le Palais des doges. Antoine* a passé quelques jours à Venise en juin 2013 et a marché dans leurs pas, lors de la visite du Palais qui l’a ébloui. « Il est impressionnant, tant par son architecture que par les œuvres qu’il regroupe, les peintures, le mobilier, l’escalier, la cour qui est superbe. » Et la vue côté mer ou côté place Saint-Marc l’est tout autant. Rien que dans ce périmètre, on ne sait plus où poser le regard. La basilique SaintMarc vaut aussi le détour ou encore la tour de l’Horloge. À la nuit tombée, des orchestres offrent des concerts gratuits aux terrasses des restaurants de la place. Nombreux sont ceux qui s’y rendent juste pour les écouter et danser un verre à la main. Le charme de Venise opère.

Le Palais des doges.

Décollez Comment s’y rendre Vol Nouméa-Tokyo avec Aircalin, puis Tokyo-Venise avec Alitalia, à partir de 174 000 F TTC. Renseignements auprès d’Aircalin. Sortir des sentiers battus

La place Saint-Marc.

De la renaissance au

XXIe

siècle

Difficile de faire un choix tant il y a à voir ! Tout dépend de son budget et de la durée du séjour. À ne pas manquer, l’ancienne douane de mer où est exposée la collection privée d’art contemporain de François Pinault. La ville organise tous les deux ans la Biennale, le plus souvent à travers une exposition internationale d’art contemporain. L’artiste chinois Ai Weiwei, censuré dans son propre pays, a ainsi pu y exposer l’an passé. Se balader dans les rues étroites ou le long des canaux est tout aussi magique. Il permet au détour d’un carrefour de tomber sur une église abritant des œuvres d’art, d’observer le quotidien des Vénitiens trinquant au coin d’un bar ouvert sur la rue, de remarquer le linge pendu en pleine rue, d’admirer les gestes de fabricants de gondoles au détour d’une porte.

Venise ne cesse de surprendre. D’une rue étroite, on aboutit soudain sur un campo, sorte de grande place structurée à l’image d’un petit village italien, comme le Campo Santo Stefano ou le Santa Margherita. S’y attarder pour boire un Spritz** ou y déjeuner permet d’être au contact des habitants. « La ville est très différente d’un quartier à l’autre, se souvient-il. Mon hôtel était situé à une demi-heure de marche du cœur historique dans un quartier plus résidentiel. Chaque matin, je traversais un magnifique parc et longeais une allée de jasmin. » Le célèbre pont du Rialto est à découvrir autant à pied que par le Grand Canal. À bord d‘un vaporetto ou d’une gondole, on y admire les grands palais parfois en pleine restauration. Plus au nord, d’autres quartiers marqués par l’histoire sont beaucoup moins fréquentés par les touristes. Comme celui du ghetto nuovo, l’un des premiers ghettos juifs du monde ou à l’autre bout de la ville, celui de l’Arsenal.

Murano et Burano, des îles à visiter

Vision d’un quartier typique.

Burano et ses maisons colorées.

Le Pont des soupirs.

Venise, c’est aussi une centaine d’îles accessibles via les vaporetti de la Alilaguna, compagnie de transport public. On peut se rendre à Murano pour ses souffleurs de verre dont on peut admirer la technique en direct. Et Burano pour ses maisons aux couleurs éclatantes et son musée de la dentelle. Venise laisse un souvenir impérissable et donne à celui qu’elle a conquis, l’envie de la découvrir encore et encore.

* prénom d’emprunt ** apéritif italien

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Fiche métier

Benjamin Fried, shaper depuis près de 20 ans.

SHAPER

Du pain sur la planche Par Charlotte Mannevy

Benjamin Fried a mis le pied très jeune dans les ateliers de shaping. Un métier passion, même si aujourd’hui l’activité s’est détournée de la fabrication pour se concentrer sur la réparation. Il est un peu docteur, et ses clients de Global Glisse ont l’angoisse de la blouse blanche lorsqu’ils viennent le voir. Benjamin Fried, dit Beni, répare des planches (fun, paddle, kite, etc.) depuis 18 ans maintenant. Pour être shaper, il faut en effet avoir l’œil pour poser le bon diagnostic et proposer le traitement approprié. Loin de la tenue de surfer, le shaper porte blouse, masque et lunettes de protection. Car lorsqu’on travaille le composite, « on mange de la poussière, toujours de la poussière », sourit-il. À peine sorti de l’adolescence, Benjamin – aujourd’hui

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âgé de 38 ans – « traîne dans les ateliers. J’adorais ça, j’en ai fait mon métier. » À l’époque, les shapers locaux fabriquaient des planches. « En windsurf, on arrivait à faire des prototypes de moins de 5 kg, quand le matériel de série affichait 7 kg minimum sur la balance. » Aujourd’hui, la donne a bien changé. La fabrication a quasiment disparu, pour laisser place à la seule réparation. L’obligation faite aux coureurs, il y a quelques années, de participer aux coupes du monde sur des planches de windsurf de série a boosté l’industrie.

Évolutions techniques

La technologie aussi est passée par là : production assistée par ordinateur, ingénierie, matériaux innovants… Les shapers fabricants travaillent désormais en usine, et les « petits » shapers ne font plus que réparer les jouets abîmés. D’ailleurs, la plupart sont désormais adossés à un magasin de vente de matériel, « car il est maintenant impossible de ne vivre que de l’atelier ». Mais les surdiplômés n’ont pas remplacé les amoureux de la glisse, même dans les grandes structures internationales. « Être shaper, c’est d’abord écouter le coureur et traduire ses besoins sur la planche », explique Benjamin. Alors comme lui, la plupart sont venus au métier par passion de la glisse. Une passion qui ne fait tout de même pas tout : « Pour faire ce métier, il faut être minutieux, poursuit celui qui est devenu son propre patron il y a cinq ans. Si vous collez un aileron de travers, ça va pas le faire. Et puis il faut le feeling. Tous les bons bricoleurs peuvent faire une planche, mais en faire une bonne, ça, c’est une autre histoire. »

Ça flotte

Azur marine, la fibre bateau Par Charlotte Mannevy – photos Azur Marine

Des bassins aux catamarans, il n’y a apparemment qu’un pas. Azur Piscine s’est lancé il y a près de deux ans dans la construction de bateaux en fibre de verre via sa filiale Azur Marine, un challenge technique qui trouve doucement sa place sur le marché. « On avait l’expérience de la fibre et l’outil de production, alors on a voulu se faire plaisir, raconte Vincent Kiledjian, gérant d’Azur Piscine. La société a 15 ans. Pour se développer, on cherchait une activité connexe dans le composite, qui soit aussi valorisante. » Mi-2012, l’entreprise de Païta s’est donc lancé un défi : construire localement des catamarans en fibre de verre. « Il y avait un marché de niche sur

L’Azur 40 a spécialement été conçu pour le lagon calédonien et construit localement.

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les moyennes unités, celles de 9 m et 12 m. » Un segment assez peu représenté en Calédonie et sur lequel Azur Marine, filiale d’Azur Piscine, s’est engagé. En 2012, l’entreprise s’associe au cabinet d’études de Corentin Bigot, Yacht Design Naval Solutions, pour la conception d’un bateau au cahier des charges exigeant : « On voulait un design innovant, étudié pour le lagon, et une coque rapide et économique. » Six mois plus tard, en 2013, le premier catamaran de 12 m, baptisé Azur 40, sort de l’usine. Depuis, il a été rejoint par un petit frère de 9 m, l’Azur 30. Produit local

Azur Marine revendique une construction 100 % locale, « importante en termes d’emploi et d’écologie », souligne le gérant, mais aussi des possibilités infinies en matière d’aménagement intérieur. « Nous proposons un niveau

Fiche technique Performances de l’Azur 40 2 x 115 CV

vitesse de croisière : 12 à 13 nœuds ; vitesse de pointe : 19 nœuds.

2 x 150 CV

vitesse de croisière : 14-15 nœuds ; vitesse de pointe : 21 nœuds.

2 x 175 CV

vitesse de croisière : 16-17 nœuds ; vitesse de pointe : 22 nœuds. Le modèle de base hors option est proposé à 35 millions de francs pour l’Azur 30, et à 50 millions pour l’Azur 40.

de personnalisation impossible à obtenir en import. On peut tout choisir, de la couleur des leds extérieurs à la forme du hublot. Et le client peut suivre le chantier à tout moment. » Entre la conception (choix des finitions, etc.) et la livraison, il faut compter un peu mois d’un an : trois pour l’approvisionnement et neuf pour la construction.

Ça flotte

Bienvenue au grand parc de la mer de Corail Par Mathurin Derel

Oh ! mon bateau… hors de l’eau

Par Aurélie Cornec - photos Côté Quai

Ça y est, la mer de Corail est devenue la plus grande aire marine protégée française. Le gouvernement a voté cette décision le mercredi 23 avril instaurant un parc marin de 1,3 million de km2. L’idée du parc est de réguler les activités maritimes, qu’elles soient de pêche, de tourisme ou encore de transport. Car l’inscription au titre des aires marines protégées n’interdit pas toute activité, au contraire. L’idée est de découper la mer en différentes

La société Côté Quai propose un élévateur à bateau ultra pratique. « Avec ce nouveau procédé de la marque Sun Stream, nous pouvons mettre au sec des bateaux à partir de 3 tonnes », précise Michel Brasseur, le gérant. Très facile d’utilisation, ce système permet de mettre à l’eau ou de sortir son bateau en 30 secondes chrono. Les flotteurs de ce floatlift sont en

polyéthylène, le système hydraulique est quant à lui conçu en aluminium traité, sans aucune détérioration possible. « L’avantage d’un tel système, ajoute Michel, est qu’il peut être placé n’importe où : en marina ou devant sa propriété et il n’y a pas besoin de ponton pour l’installer. » Plusieurs modèles sont disponibles, en fonction de la taille et du poids du bateau. Côté quai 16, rue du Commandant de Mersuay – Nouméa Tél. : 77 69 75 ou 78 58 18 – cotequai@lagoon.nc

zones, certaines classées en réserve intégrale, d’autres pour la pêche ou encore l’exploitation d’hydrocarbures. Mais si ce type d’exploitation peutêtre prévu, le parc naturel de la mer de Corail a avant tout vocation à préserver cette zone où biodiversité est extrêmement riche. Pas moins de 19 espèces d’oiseaux nicheurs, 5 de tortues et 25 espèces de mammifères marins.

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Ça roule

Sensation au démarrage

Twizy, une voiture raccordée à la ville Texte et photos Théo Rouby

La plus petite des Renault électriques débarque à Nouméa. Avec son design futuriste et la promesse de belles économies dans le budget carburant des familles, la Twizy ne manque pas d’arguments pour trouver sa place à l’ombre des 4x4. Une carrosserie en forme de goutte d’eau. Un branchement secteur dissimulé sous la trappe avant. Un gabarit taillé pour passer dans les endroits les plus étroits. Non, Twizy n’est pas un nouveau modèle d’aspirateur. C’est la première Renault électrique importée sur le Caillou. Il faudra toutefois attendre 2015 pour espérer la croiser au feu rouge. Le distributeur Sodauto doit envisager le recyclage des batteries, former des techniciens et surtout peaufiner sa stratégie de commercialisation. Car si la Twizy a déjà fait sensation à Paris, tout l’enjeu reste de lui tailler une place au pays des 4x4.

Petite voiture pour petit parcours

Une chose est sûre, elle compense sa petite taille par un fort capital sympathie. Les portes papillon qui s’ouvrent à la verticale font leur petit effet. Mais au premier coup d’œil dans l’habitacle, on réalise que Renault n’a pas parié sur l’excès de confort. Avec un seul siège à l’avant, doublé d’une toute petite place à l’arrière, il reste un coffre sous le siège passager pour ranger un sac de courses – mais pas trop gros ! La Twizy est avant tout une voiture économique, un scooter amélioré pensé pour les courts trajets citadins. N’en espérez pas beaucoup plus. Les 150 km d’autonomie de la batterie limiteront de toute façon les déplacements.

La première chose qui frappe au moment de démarrer une voiture électrique ? Le silence. Il faut appuyer sur la pédale d’accélérateur pour se rendre compte que ce véhicule improbable a bien été conçu pour rouler. Du moins jusqu’à la limite de la ville, puisque le compteur stagne à 8090 km/h. Mais la Twizy atteint tout de même les 50 km/h en trois secondes au démarrage. Sous les sifflets et les hourras des passants. Renault a décidément fait mouche avec son design novateur. En même temps, on imagine mal comment le constructeur aurait pu vendre une simple ossature de voiture de golf environ 1 million de francs Pacifique (8 000 à 10 000 ). Derrière l’emballage, c’est bien sûr pour ses performances en économie d’énergie que la Twizy est attendue. Avec un coût évalué à moins de 1 F du km, elle devient vraiment une voiture futuriste. Peut-être même un peu trop ? La technologie de pointe a un coût, et l’énorme batterie embarquée vaut presque le prix de la voiture à elle seule. C’est pour cette raison que cette pièce a été proposée à la location en métropole. Sur le Caillou, Sodauto serait en revanche contraint de la vendre...

Une technologie de pointe dans un design novateur pour environ 1 million de francs Pacifique.

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Ça roule

Un segway dans la ville Depuis maintenant trois ans, Mobilboard propose aux amateurs de s’essayer au Segway. Le Segway c’est quoi ? Un engin du futur à deux roues qui permet de se déplacer sans bruit parce qu’électrique. Une machine classée dans la catégorie piéton – il ne faut donc pas de plaque ou quoi que ce soit pour rouler avec – qui atteint tout de même les 20 km/h. Depuis trois ans, le Segway trouve sa place petit à petit. On peut toujours en louer avec un guide pour faire une petite balade, visiter le parc forestier, les policiers municipaux en sont équipés, d’autres projets touristiques envisagent également de l’intégrer, mais l’ambition du gérant de Mobilboard,

Par Mathurin Derel

Stéphan Contri, est désormais de faire du Segway un véritable moyen de transport urbain. Avec une batterie pleine, on peut faire jusqu’à 40 km de distance et on passe partout, ou presque. Pour Stéphan Contri, le Segway a une carte à jouer avec l’arrivée de Néobus, futur transport en commun de l’agglomération. Son idée, un peu à l’image du Vélib’ parisien, est de proposer des Segway aux différents arrêts de façon à rendre véritablement attractif le bus tout en proposant un moyen de transport doux et donc peu polluant. Autre avantage, dans une place de parking, on peut glisser jusqu’à 30 Segways. Restera à former les futurs utilisateurs.

Cela se fait déjà ailleurs, avec une carte, sorte de permis, vous pouvez louer votre Segway et vous balader comme bon vous semble. Si à Nouméa il faut pour l’instant un guide, en suivant une formation, cette formule est tout à fait imaginable. Vous pouvez contacter Stéphan Contri de Mobilboard au 86 46 83 pour plus d’informations.

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Ça roule

La sécurité n’a pas de prix Ou presque. Depuis 2007, le tarif du contrôle technique, fixé à 6 000 F, n’avait jamais évolué, au grand dam du syndicat des contrôleurs techniques. Les professionnels le demandaient depuis des années mais ce n’est que le 25 mars dernier qu’un arrêté du gouvernement a augmenté son prix de 2 000 F. Une hausse qui concerne uni-

Le marché de l’auto ne perd pas le nord

Par Aurélie Cornec

quement les contrôles obligatoires lors de cession de véhicule entre particuliers. Pour les automobilistes, la facture s’élèvera donc désormais à 8 400 F taxes comprises. Si l’augmentation peut sembler importante, le nouveau tarif correspond pourtant à celui pratiqué en métropole et reste inférieur à celui des pays ultra-marins.

CATALYSEUR DE CARBURANT Par C.C

Les habitants de la province Nord peuvent enfin choisir la voiture de leur rêve, sans avoir à aller à Nouméa. Depuis le 14 avril, le groupe CFAO a ouvert à Koné l’enseigne NC Motors qui regroupe les marques de voiture du groupe (Chevrolet, Isuzu, Citroën, Peugeot, SsangYong, ZNA, etc.). Ce showroom flambant neuf présente également les derniers modèles de bateaux et de scooters des mers. Pièces et entretien sur place. NC Motors 1285, rue Camu Ni Xa, Koné Tél. : 46 61 61 ou www.nc.motors.nc Ouvert du lundi au vendredi de 7 h 30 à 11 h 30 et de 13 h 30 à 17 h 30

Juillet-Août 2014

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> Broquet Attelages services Normandie Tél. : 43 88 00