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Le SAV des parents Page 32
Edito
u tout début, il serre de son petit poing votre doigt. Très vite, il vous regarde fixement, vous sourit. A peine le temps de dire ouf, qu’il pousse déjà ses premiers babillages, entame de folles virées à quatre pattes, s’assoit sur le pot. Un temps plus tard, il revêt son premier petit sac à dos pour courir rejoindre les jupes d’une maîtresse que l’on vous souhaite bienveillante et chaleureuse. Vous fermez les yeux, les rouvrez aussitôt, et voilà votre petit bonhomme ou votre adorable puce gambader joyeusement pour retrouver ses camarades dans la cour de récréation. Il connaît ses premières victoires, ses premières déceptions, ses premiers chagrins. Quelques secondes encore et il prend de la hauteur, gagne en indépendance, vous montre qu’il devient un homme ou qu’elle devient une femme. Ainsi va le cercle de la vie. Une existence balayée de mille et un éclats de rire, de grosses colères, de joies et de petits tracas. Un tourbillon qui vous entraine dans sa course folle, sans jamais ralentir. Oui, le temps est précieux. Unique. Magique. Surtout dans le regard de nos enfants, qui resteront à jamais, quoi qu’il arrive, nos éternels bébés…
appeal ntre sexe : e s s e s Gros Page 76 et confort
N°13 Editeur et régie publicitaire : MANHATTAN COMMUNICATION Centre d’affaires Scribes - 45 rue d’Alma – 69400 Villefranche-sur-Saône Tél. 04 69 37 48 13 Fax 09 72 38 26 31 RCS Villefranche sur Saone-Tarare B 750 351 652 Directeur de la publication : Shirley Gagliardini Service abonnements : direction@manhattan-communication.com Rédaction : MANHATTAN COMMUNICATION Rédactrice en chef : Shirley Gagliardini Direction Artistique : Olivier Beuscart Responsable Web et Médias Sociaux : Sébastien Moschetta Directrice de la publicité : Raphaëlle Masini Crédit Photo : FOTOLIA Secrétaire de rédaction : Monique Roux Ont contribué à ce numéro : Johanna Martin, Jenny Keravec, Valentine D., Clem’, Romain Arnaud. Dépôt légal : à parution. Distribution : MLP. Impression : Imprimé en UE Commission paritaire : en cours. N°ISSN : en cours. Baby & Cie c’est aussi sur Internet : www.facebook.com/babyandcompagnie www.instagram.com/babyandcie
Shirley Gagliardini, rédactrice en chef
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Baby
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Actus Baby Boom Le Top 5 des thermo’s rigolos Le Top 5 des cousins de maternité 18 VRAI ou FAUX : spécial cheveux 20 Shopping : Merry Christmas ! 22 Bonne nuit les petites…
Gazouillis et bla-bla-bla ! Un bébé bien au chaud Le SAV des parents Pédagogie positive or not ? SOS Bébé : quand le bidon ne tourne plus très rond 42 Premières découvertes gustatives 44 Quand le thermomètre s’affole
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Tendance
Mum and Daddy
56 Top 10 des incontournables by 66 Comment rendre service à des
Valentine
parents de jumeaux en 10 leçons
robot !
confort 82 SOS Jambes lourdes 86 Futures et jeunes mamans : hydratez-vous ! 90 Un bébé à 18 ans ? 92 Le choix du roi 94 Sexe de bébé : et si on pouvait choisir ? 96 Un papa à la mater’
60 Banc d’essai : il est beau mon 76 Grossesse : entre sex-appeal et 64 Lovely Puéri’ 74 Mon bel hiver… 84 Shopping : belle et zen
Funny 46 50 52 54 70 72 98 100
7 activités pour évéiller Bébé ! Shopping : éveillez-moi ! Apprendre en s’amusant Des joujoux par milliers Top 5 livres Éveil et moi Recettes by Quintesens Recettes by Floraline
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YOU
Bonne nuit les petites…
Enceinte, les nuits peuvent se transformer en VÉRITABLE CAUCHEMAR. Pourtant, les choses ont tendance à ne pas trop s’arranger une fois Bébé arrivé... Et c’est vous qui le dites ! « A la fin de ma grossesse, je pouvais me lever une bonne demi-douzaine de fois par nuit pour aller faire pipi. Enfin, me « Je ne comprends pas pourquoi on fait tout un plat lever, c’est un bien grand mot ! Il fallait davantage que mon des nuits de Bébé. Ok, enceinte j’étais en mode baleine homme me fasse rouler sur le côté pour que je parvienne à me alors je galérais un peu. Mais à la naissance de notre rendre aux toilettes ! petit garçon, on n’a pas eu l’impression que c’était Vanessa la fin du monde comme tout le monde le prétend ! Il « Moi, j’ai la solution. Plutôt que de demander à mon enfant qui suffit juste d’un peu d’organisation et un amoureux qui a, précisons-le, un organisme immature, de s’adapter à mon participe ! Hop, une nuit sur deux c’est l’un ou l’autre rythme, c’est moi qui m’adapte au sien ! Cela veut dire que dès qui se lève et comme ça, pas de jaloux ni trop de qu’il se lance dans un bon gros roupillon, j’en fais de même, fatigue accumulée ! » que ce soit la journée ou la nuit peu importe ! De cette manièreJessica là, je suis moins éreintée et beaucoup plus disponible pour mon bébé et mon homme. » « Le problème de la plupart des jeunes mamans, c’est Elo qu’une fois Bébé arrivé, elles ne peuvent plus dormir. Leur enfant se réveille souvent ou bien elles stressent et du « Ma sœur m’avait toujours conseillée de bien me reposer pendant ma grossesse. Que les choses allaient être terribles à coup n’arrivent plus à s’endormir… Moi, j’ai le problème la naissance de mon enfant. Mais je suis du genre hyperactive, inverse. Je dors profondément. Tellement profondément que je n’entends rien du tout ! Heureusement que mon j’y peux rien, et j’ai l’impression de perdre mon temps quand je époux est là pour veiller au grain et me secouer quand dors. Ben franchement, aujourd’hui ma fille a six mois et ne fait Bébé a besoin de moi (oui, on est loin du bisou du pince toujours pas ses nuits. Et tout ce dont je rêve maintenant, c’est charmant pour réveiller sa belle…) » d’une nuit complète où je ne fais rien d’autre que… dormir ! »
Pauline
« Votre enfant lui aussi s’amusait à jouer les Ronaldo dans votre bidon la nuit ? Je n’ai jamais compris pourquoi quand MOI je devais dormir, lui il était complètement éveillé… et me le faisait savoir ! Toute la nuit… »
Mélodie
« Ce qui m’agaçait le plus quand je tentais de me reposer la nuit, c’est que mon conjoint ne se rendait même pas compte que j’avais toutes les peines du monde à m’endormir. Lui il était là, il ronflait tranquillou, étalé de tout son long ! Je lui en ai mis des coups dans les côtes ! Il ne bronchait même pas le bougre… »
Céline
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Tessa
« Et bien moi, enceinte, je dormais comme un bébé ! En temps normal, j’ai un sommeil super agité et là, comme par magie, je faisais des nuits complètes, le tour du cadran, sans me réveiller pour quoi que ce soit ! Bien sûr, à la naissance de mes jumeaux, les choses ont radicalement changées… »
Hélène
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BABY
Gazouillis et bla-bla-bla !
Ah les premiers mots de Bébé… Ou devrait-on dire, les premiers AREUH ET AUTRES BABILLAGES ! Car au tout début, les sons émis par votre petit bout ne sont qu’un enchevêtrement de gazouillis en tous genres. Des BLA-BLA-BLA dont on est furieusement fiers mais qu’il faut aussi, APPRENDRE A DECODER. Zoom sur la question (exaltante, excitante, stressante ?!?) du langage de votre joyeux bout’chou… Par Jenny de Bons Plans Maman
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BABY
M
ais quel est donc ce poupon rose qui émet de drôles de bruits aussi choupinets que mystérieux ? Un bébé commence à reconnaître les sons dès son 6ème mois, lorsqu’il est encore dans votre joli bidon. C’est à ce stade de la grossesse que ses tympans se forment tout doucement. Dès la naissance, votre enfant est capable de reconnaître votre voix et sa langue maternelle. Voilà pourquoi il
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est fortement conseillé de parler (de chuchoter, de fredonner… pas nécessairement de hurler…) à votre bébé tout au long des mois qui précèdent l’accouchement. Bébé est arrivé ? C’est durant ses trois premières années que l’apprentissage du langage s’intensifie et passe par des étapes très précises. L’apprentissage de la langue chez l’humain est inné, il est prédisposé à combiner des mots pour en faire des phrases. Mais il est important de savoir que chaque
enfant évolue à son propre rythme. Ses étapes peuvent arriver plus tôt ou plus tard que chez d’autres bambins. Il est inutile donc de s’inquiéter si votre enfant ne s’exprime pas très bien à trois ans par exemple, contrairement au petit voisin qui parle quatre langues différentes, dont le mandarin, depuis sa naissance. Bon, on exagère, mais la comparaison entre enfants est toujours périlleuse et stérile. A bon entendeur…
Les premiers sons
Etat des lieux : jusqu’à 7 mois environ, votre bébé n’émet que des sons. Toutefois, il est capable dès la naissance de différencier les voyelles. Ce n’est qu’un peu plus tard qu’il s’attaquera aux consonnes, patience. Il n’est pourtant pas capable de reproduire les fameuses voyelles chantantes qu’il entend. Ce n’est qu’à partir du troisième mois que l’émission des sons devient volontaire. Et oui, vos loulous commencent à s’intéresser à
Papa ou Maman ?
Ah… L’éternel débat ! A-t-il dit « Papa » ou « Maman » en premier ? En règle générale, désolée Mesdames, c’est le mot « Papa » qui sortira le plus tôt de la bouche de votre canaille. Allez, on vous rassure pour autant, cela ne veut pas forcément dire que « Papa » est plus important que vous ! Mais tout simplement que ce son est plus simple à appréhender et à reproduire pour Bébé. Inutile donc de vous bagarrer avec votre cher et tendre, vous aurez tous les deux droit à votre moment ultime de bonheur quand votre petit être vous nommera pour la première fois !
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BABY
leur environnement extérieur, vous regardent droit dans les yeux et réagissent à votre voix et à celle de papa. Chercherait-il à s’exprimer ? Nos conseils : lorsque vous lui parlez, rapprochez-vous de lui pour qu’il puisse observer le mouvement de vos lèvres. Lorsqu’il essaye de communiquer, montrez-lui de l’intérêt et surtout, souriez ! Il verra votre enthousiasme et voudra davantage communiquer avec vous. Ainsi, plus vous papotez avec lui, plus il pourra éventuellement mieux comprendre les mots qui s’échappent de votre bouche. Privilégiez alors un vocabulaire simple, clair et surtout ar-ti-culez. Bon, sans tomber dans une parodie gâteuse, hein ?
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Le babillage
Etat des lieux : vers l’âge de 6 mois, votre petit bout va commencer à former des sons. C’est ce qu’on appelle le babillage. Il est composé d’onomatopées et de sons simples comme “aya”, “aba”, “tada”. Une véritable gymnastique des syllabes. Entre 6 mois et un 1 an, votre angelot va commencer à reconnaître des mots au moment même où vous les prononcez. Au fur et à mesure, son appareil articulatoire va s’ajuster de manière à reproduire ces sons, puis ces mots et pus tard, ces phrases. Nos conseils : lorsque votre bébé babille des syllabes, formez des mots avec ces sons pour lui faire comprendre que ce qu’il émet peut for-
mer des palabres qui ont un sens. C’est d’ailleurs pour cela que les premiers mots des enfants sont souvent “maman” et “papa”. Pointez les objets du quotidien et nommez-les pour enrichir son vocabulaire. De plus, le fait de montrer du doigt les choses susceptibles d’attirer son attention le conduira à comprendre que c’est une manière pour vous de communiquer avec lui. Vous pouvez aussi le tester pour savoir s’il reconnaît certains mots comme par exemple son prénom. S’il réagit à l’appel de son petit nom en tournant la tête vers vous, ou par un autre signe distinctif, cela signifie qu’il comprend que vous cherchez à gagner son attention. Et ça, c’est magique !
Les premiers mots
Etat des lieux : vers l’âge d’un an, le langage de votre enfant va commencer à se développer. A cet âge, votre bambin a encore son propre jargon et il est souvent compliqué de comprendre ce qu’il essaye de vous dire. Cependant, il commence peu à peu à reconnaître tous les mots que vous prononcez et connaît de nombreux termes… sans pour autant être pleinement capable de les répéter distinctement. En plein apprentissage, il est de plus en plus curieux sur le monde qui l’entoure. Nos conseils : faites répéter votre bambin les mots qu’il a du mal à prononcer. Répétez aussi ce qu’il dit en lui montrant l’objet qu’il nomme. Ses astuces lui montreront que vous comprenez ce qu’il vous dit et l’encouragera d’autant plus à communiquer avec vous. Par ailleurs, lisez-lui des histoires avec beaucoup d’images. Cela va enrichir ses connaissances et son vocabulaire. Vous pouvez aussi lui demander de vous montrer quel mot correspond à une illustration. Par exemple, s’il y a un chien dans les pages que vous feuilletez ensemble, demandez-lui de vous le montrer. Et s’il se trompe, montrez-lui la bonne image et faites le bruit qui correspond. Ouaf Ouaf en l’occurrence.
L’explosion du vocabulaire
Etat des lieux : les 18 mois de votre petit bout riment avec cocktail explosif... de mots en veux-tu en-voilà ! En moyenne, votre enfant peut comprendre 1 000 mots et en dire une trentaine. A ce stade, il commence à faire des associations de mots comme “gentil chien” (oui, on aime les toutous par ici…). Il est plus facile de le comprendre mais aura tendance à mettre le nom de la personne ou l’objet en seconde position dans sa phrase. Nos conseils : lorsqu’il essaye de vous dire quelque chose ou qu’il fait une association de mots, reprenez ses mots pour en faire une phrase. Par exemple “gentil chien”, dites “oui, le chien est gentil”. Par ailleurs, il faut faire attention à ne pas le reprendre trop brusquement. Ne dites pas “non ce n’est pas comme ça que l’on doit
Le langage du nourrisson décodé Petites astuces pour décoder votre nourrisson. Nous savons que vous voulez passer tout votre temps auprès de votre tout petit. Il est tellement mignon. Le hic ? Il y a des réactions que vous ne comprenez pas. Allez, on est sympas, on vous donne un petit coup de pouce. - J’ai mes petits doigts fermés mais je suis détendu : je suis bien, je n’ai ni envie ni besoin de rien. - Je dors, mes paupières bougent ... et je gigote légèrement : je fais de jolis rêves, ne me réveillez surtout pas ! - Je tends mes petits bras et mes petites mains : je veux jouer ou être diverti. - Je sers fort mes poings et je grimace : je suis très énervé, il faut me réconforter. - Je dors et je suis très détendu : ne me réveillez pas, je suis en phase de sommeil profond. dire” et ne le faites pas répéter de façon trop intensive. Reprenez simplement sa phrase correctement.
L’envie d’apprendre
Etat des lieux : entre deux et trois ans, votre loulou comprend des notions abstraites simples comme “haut” et “bas”, il va exécuter des directives faciles, comme aller chercher un jouet. A trois ans, il comprend en moyenne 1 500 mots et en dit une centaine. Son vocabulaire s’enrichit à vue d’œil, en moyenne 10 nouveaux mots par jour. Il fait des phrases complètes de 4 mots et plus. Il parle tout seul ou à ses jouets, vous pose plein de questions auxquelles, bien sûr, il vous faudra répondre. Bref, un vrai moulin à paroles, très curieux, avec une forte envie d’en apprendre chaque jour davantage. Par ailleurs, sa grammaire devient de plus en plus correcte. Il n’y qu’à écouter ses phrases pour s’apercevoir, non sans fierté, qu’elles sont de plus en plus construites. Nos conseils : continuez de lui faire découvrir le monde. Vous pouvez par exemple lui apprendre à compter, à différencier les couleurs ou les formes. Reprenez sa phrase lorsqu’elle n’est pas correcte et lisez-lui beaucoup d’histoires, sans doute l’une des activités que nos joyeuses fripouilles préfèrent le plus à cet âge-là.
Mon enfant a du retard
Etat des lieux : tout d’abord, il est très important de préciser, une fois
encore, que chaque enfant grandit à son propre rythme. Ne vous inquiétez pas s’il ne suit pas les étapes précédentes à la lettre. Si à trois ans votre enfant ne parle pas correctement, ce n’est pas grave du tout. Il est normal qu’entre 18 mois et 3 ans, il ne s’exprime pas correctement. Cela dépend de nombreux facteurs comme son environnement, son développement psychomoteur mais aussi son petit caractère… Vigilance toutefois, il faut faire attention à certains signaux. En effet, si à 12 mois votre enfant n’a aucune réaction face à certains stimulis, si à 15 mois il ne communique que très peu ou uniquement par des gestes, si vers ses 18 mois il parle peu et utilise surtout ses bras, ses mains ou ses jambes pour communiquer, si à 2 ans il ne fait pas d’association de mots, si à 3 ans il ne fait pas de phrases courtes : mieux vaut prendre les devants. Nos conseils : pas de panique, un retard de langage se rattrape facilement durant les premières années. N’hésitez pas à consulter votre pédiatre si vous avez le moindre doute. En attendant, lorsque vous communiquez avec votre bambin, mettez vous à sa hauteur. Parlez-lui doucement en articulant, et ne le frustrez pas. Il ne faut pas que parler devienne un travail de labeur, sinon il va arrêter d’essayer en se disant que c’est trop dur, se décourager. A vous de faire preuve de patience et d’une douce persistance ! •
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PRATIQUE
Un bébé bien au chaud !
Côté chambre
Attention, même si l’hiver débarque et que l’on craint que Bébé n’ait froid, il faut se méfier du retour de bâton et risquer qu’il n’ait… trop chaud ! Idéalement, la chambre de votre loulou doit avoisiner les 18° de température. Inutile donc de surchauffer la pièce surtout si vous utilisez une turbulette ou un surpyjama pour son dodo !
Les signes qui ne trompent pas Vous craignez que votre petit bout ait froid pendant son sommeil ? N’hésitez pas pendant quelques nuits à prendre les devants en lui touchant la peau. Si celle-ci vous paraît un peu fraîche, rajoutez une couche. Dans le cas contraire, c’est que tout va bien, inutile de vous affoler !
Le bon moment
Avec un tout-petit, on aurait tendance à croire qu’il vaut mieux rester à l’intérieur bien au chaud plutôt que de sortir l’hiver. Si on évite évidemment d’improviser une balade par jour de pluie, de neige ou de brouillard, il est toutefois recommandé de garder le rythme des sorties quotidiennes ! Prendre l’air fera le plus grand bien à votre loulou et s’il est bien couvert ou tout contre vous dans un porte-bébé adapté, il se portera comme un charme !
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A-t-il trop chaud ?
Le risque en hiver, c’est de vouloir trop en faire. Et là, patatra, Bébé est en surchauffe. Ici, il y a des quelques signaux d’alerte qu’il ne faut pas louper. Si votre bambin transpire, qu’il a les cheveux mouillés, les vêtements humides… Si des petits boutons rouges de chaleur ou de la fièvre apparaissent… Si votre enfant semble agité et respire anormalement fort… Réagissez ! Il a peut-être tout simplement trop chaud !
Côté dressing
Quand toute la famille est de sortie, on prévoit de quoi tenir Bébé bien au chaud. La bonne technique ? Celle des couches. En le couvrant suffisamment et en prévoyant un petit quelque chose de plus, vous pourrez très facilement vous adapter à tous les types de situations. Un peu trop froid ? On rajoute. Un peu trop chaud ? On enlève !
Pour aller plus loin
Couvrir Bébé, c’est une première étape. Mais il y a un petit détail que l’on oublie trop souvent l’hiver, c’est que la peau fragile de votre tout-petit a tendance à souffrir de ces changements de température ! Pour éviter les sensations désagréables de picotements, de rougeurs et autres sécheresse, optez pour une crème hydratante classique ou anti-froid et n’hésitez pas à faire quelques séances de massage préventif au quotidien !
PRATIQUE
Premières découvertes gustatives Le bon moment
La bonne manière
Une diversification alimentaire bien menée doit être faite avec douceur. Le passage du lait En règle générale, la diversification exclusif, qu’il soit en poudre ou maternel, à l’introduction d’aliments solides, est une étape alimentaire débute en moyenne délicate qui demande attention et patience. Il faut laisser le temps au tube digestif de Bébé de s’habituer à de nouveaux goûts et de nouvelles textures et surtout ne pas brusquer les choses. aux quatre mois révolus de l’enfant et se poursuit ainsi jusqu’à ses 18 mois. Votre rôle ici, sans aucun doute faire découvrir à Bébé de nouvelles saveurs et surtout, lui donner le plaisir de manger.
Les fruits et légumes
En règle générale, on commence par introduire les fruits en compote et les légumes naturellement acidulés en petites purées fines pour séduire les papilles de nos loulous. La pomme et la carotte se prêtent particulièrement bien au jeu de la diversification et sont la plupart du temps très appréciées de nos petits gloutons.
Petit à petit
Petit à petit, votre petit bout part à la découverte des multiples saveurs qui l’entourent. Chaque nouvel aliment introduit sera une source d’excitation incroyable pour votre enfant. A vous donc de varier progressivement les plaisirs et les textures pour qu’il puisse pleinement satisfaire sa curiosité !
Et l’odorat dans tout ça
Le goût, c’est une chose, mais éveiller le sens de l’odorat de votre chérubin est tout aussi important. Pourquoi ne pas prendre le réflexe à chaque nouvelle proposition de lui faire sentir ce que vous lui faites découvrir ? Avec sa moue, tantôt réjouie, tantôt boudeuse, vous saurez très vite si cela reflète une réussite ou pas ! 42
Tout prêts ou faits maison ?
Ici, tout dépend de vos envies et de votre emploi du temps. L’idéal (et surtout le plus réaliste au quotidien) semble toutefois d’alterner les petits plats, purées et compotes faits maison avec des préparations déjà cuisinées. Dans ce dernier cas, privilégiez des petits pots 100% bio à base de fruits et de légumes de saison, histoire d’être sereins quant à ce que mange votre pioupiou !
La bonne cuillère
Idéalement, choisissez une cuillère physiologique qui s’adapte à l’âge et à la morphologie de votre enfant. Même s’il en existe de multiples sortes, toutes plus chouquettes les unes que les autres, au début, essayez de le nourrir avec la même cuillère. Cela lui permettra de s’habituer plus facilement à ce nouveau corps étranger pour un repas plus serein et engageant !
ZOOM SUR
Quand le thermomètre s’affole Bébé voit rouge ? Vous vous sentez désarmés et inquiets ? PAS DE PANIQUE ! Nous avons réuni pour vous QUELQUES CONSEILS afin de gérer au mieux la fièvre de votre bout’chou. Par Shirley Gagliardini
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ourquoi employer le terme « gérer » plutôt que « soigner » ? Tout simplement car la fièvre n’est pas une maladie, c’est la réaction du corps face à une infection. Le corps humain possède une sorte de thermostat situé dans le cerveau et qui maintient une température corporelle entre 36,6ºC et 38ºC : notre température varie donc entre ces deux limites. Il faut savoir que celle des enfants est légèrement plus élevée que celle des adultes. A défaut de soigner la fièvre, on peut essayer de la rendre moins inconfortable pour l’enfant avant d’aller consulter. Tout d’abord, il est important de savoir que la fièvre chez l’enfant est utile. Elle lui permet de combattre les agressions dans son organisme. Et la plupart du temps, elle disparaît aussi vite qu’elle est apparue. On considère qu’un bambin a de la fièvre quand sa température corporelle, alors qu’il est normalement couvert et exposé à une température ambiante tempérée, dépasse les 38ºC. Au-delà de 38,5 °C, pour un bébé de moins de 4 mois, il convient de consulter rapidement. Pour un enfant plus âgé, vous pouvez tenter de le soulager avec nos petits conseils mais dans tous les cas, si la fièvre persiste plus de deux jours, il vaut mieux vous tourner vers votre pédiatre afin que votre loulou soit soulagé plus vite avec l’aide de médicaments.
Les bons réflexes
Avant de recourir à l’aspirine ou au paracétamol, vous pouvez adopter ces quelques gestes simples, qui bien souvent suffisent à faire descendre la fièvre. Enlever les couches superflues Ce n’est pas toujours un réflexe mais en cas de fièvre, il convient de commencer par dévêtir votre bébé. Vous pouvez le laisser en body et petites chaussettes par exemple, en veillant à ce que la température de la pièce ne dépasse pas les 19ºC. Contrairement aux idées reçues, il n’est pas préconisé de couvrir son enfant fiévreux, cela aurait pour conséquence d’augmenter l’hyperthermie. Et oui, la transpiration des bébés augmente avec la fièvre. Et le plus souvent la transpiration intervient au niveau du cuir chevelu. Il faut donc veiller à changer ses draps et privilégier le co-
La bonne idée Prendre la température de votre baby peut parfois se révéler être un véritable parcours du combattant. Heureusement pour nous autres parents, les nouvelles technologies pleuvent et nous aident au quotidien pour veiller à la santé de nos enfants détecter le mal-être de nos enfants. C’est le cas du tout nouveau Thermoval Baby d’HARTMANN : un thermomètre sans contact avec capteur infrarouge dernière génération, qui permet une prise frontale de la température de Bébé, en toute simplicité. Fiable (ajouter 0.5°C pour avoir l’équivalent de la température en mode rectal), il s’utilise à une distance de 3 à 5 cm du front de votre loulou (un point lumineux vous guide pour plus de précision !) et vous obtenez un résultat en seulement trois secondes. En cas de température supérieure à 37,6°C, l’écran de ce dispositif ingénieux affiche rouge. Le gros plus de ce thermomètre ? Sans aucun doute le fait qu’il soit complètement silencieux ! Au top pour une prise de température en toutes circonstances, même quand votre pioupiou dort profondément, vous ne risquez plus de le déranger ou de le réveiller pour contrôler sa fièvre ! Ultra pratique, il mesure également la température du bain, du biberon ou de l’environnement ambiant. On recommande, évidemment ! ton, cela favorise l’évacuation des pores. Veiller à une bonne hydratation Même si cela n’est pas toujours visible, un bébé qui a de la fièvre transpire beaucoup et le risque de déshydratation est accrue : c’est pourquoi il faut être vigilant et le faire boire le plus souvent possible. Un peu de fraîcheur Avec la réévaluation en continu des pratiques médicales, certaines recommandations ont été affinées ou révisées. Si pendant longtemps il a été conseillé de donner un bain tiède (à une température inférieure à 2°C de celle de l’enfant), aujourd’hui ce n’est plus le cas. En effet, il a été constaté que cela pouvait augmenter le mal-être du bébé. En revanche, vous pouvez utiliser un gant de toilette baigné d’eau tiède pour débarrasser votre petit bout de la transpiration superflue en l’appliquant délicatement sur son front. Vous pouvez aussi vaporiser de l’eau thermale sur ses cheveux plusieurs fois par jour pour réhydrater son épiderme. Quand consulter ? Dans la plupart des cas, les poussées de fièvre sont bénignes et disparaissent en deux jours et il n’est pas nécessaire d’avoir recours à la prise de médicaments en dessous de 38,5ºC. Mais cela n’est pas toujours facile chez le bébé. Si votre enfant a moins de trois
mois et qu’il a une température de 38,1ºC ou plus, il est recommandé de consulter en urgence ; de même si votre enfant a plus de trois mois et que sa température est supérieure ou égale à 38,5ºC. La prise de médicaments Si besoin, le paracétamol est la molécule de référence pour combattre la fièvre. Si votre enfant a plus de trois mois, vous pouvez utiliser du paracétamol ou de l’ibuprofène en suivant les précautions d’emploi. En revanche, si votre enfant a moins de 3 mois, seul le paracétamol est indiqué avec une dose adaptée à son poids. Quant à l’aspirine, elle est contre-indiquée chez l’enfant à cause du risque de survenue du syndrome de Reye (maladie pédiatrique caractérisée par une affection cérébrale associée à une atteinte du foie). Mais il reste vivement conseillé de consulter son médecin si la fièvre persiste au delà de deux jours. Comment prévenir ? La fièvre étant une réaction de l’organisme contre une infection, il est préconisé de prendre des mesures d’hygiène qui minimisent les risques : se laver les mains régulièrement ainsi que celles de vos enfants et limiter les contacts avec les bambins ou les adultes présentant les symptômes d’une maladie contagieuse.•
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BANC D’ESSAI
Il est beau mon robot il est beau !
Quand est venu le temps des premières purées compotes and co, un petit robot ne sera pas de trop. Oui je sais, quelques résistants diront : une casserole et un mixeur suffisent largement… Mais pourquoi ne pas se simplifier la tache pour se dégager un temps déjà bien précieux ? Côté robot de cuisine, deux choix possible ! Petit budget = petit robot spécial bébé… Plus gros budget ou grande famille = robot familiale multifonctions. Tour d’horizon des robots actuels... Par Johanna du blog Parents de Jumeaux
Simple ou double
BABYCOOK PLUS - BEABA - 159 € Le Babycook est l’un des robots les plus réputés sur son créneau. Il existe en version simple (le Babycook) et en version « double », le BabyCook Plus. Cette dernière version dispose d’un seul moteur mais de deux bols, indépendants et proposant les mêmes fonctions. 4 en 1 - le BabyCook permet de cuire à la vapeur, mixer, décongeler et réchauffer. Sa grande contenance, 2200 ml sera un atout, notamment si vous souhaiter prendre de l’avance et congeler une partie de vos préparations, ou bien faire à manger pour plusieurs bambins. On aime le fait de pouvoir ajuster le mixage en fonction de l’étape de diversification des enfants : mouliné, velouté, etc. Le truc en plus : Son double bol qui permet de préparer le sucré et le salé en même temps. Ou deux purées différentes… Ou faire cuire des légumes pour l’ainé et une purée lisse type velouté pour le plus petit…
Le design
NUTRIBABY - Babymoov – 144.99 € Lui aussi très réputé, le dernier Nutribaby est doté d’un module intuitif pour choisir rapidement et facilement la fonction souhaitée. Il est possible d’ajuster le temps de cuisson si celui proposé vous semble trop long ou trop court en fonction du type d’aliment à cuir et de la quantité. Un côté « cuisson » avec deux paniers qui peuvent s’utiliser ensemble ou non, un côté « bol de mixage ». La spatule ingénieuse permet de récupérer le jus de cuisson pour contrôler la texture d’une purée. Le truc en plus : il est possible de désolidariser la partie « bol mixeur » si vous souhaitez n’utiliser que la fonction « cuisson ». Vous gagnerez ainsi encore de la place sur votre plan de travail. 60
L’innovant
Robot Link - Suavinex - 169 € Un des derniers nés sur son créneau, Link est un robot multifonctions. Stériliser, cuire, décongeler, mixer, réchauffer : il va vous bluffer ! Compact, il a pourtant tout d’un grand. Son système breveté permet d’ajuster le temps de génération de vapeur. C’est un robot facile à démonter pour un nettoyage optimal. Un panier vapeur de 1,1 litre permet de cuir du riz pour toute la famille et donc de garder votre robot même quand bébé deviendra grand. Le truc en plus : il est l’un des rares (le seul) robot spécial bébé à avoir une cuve Inox. Sa capa- cité d’1,7 litre gardera au chaud toutes les préparations de vos petits gourmands.
Le familial
Cook Expert - Magimix – 1 199 € Véritable robot familial, le Cook Expert vous permettra de cuisiner pour toute votre joyeuse tribu, dès la diversification de vos bébés mais aussi pour réunir de grandes tablées lors de repas de famille. Son tableau de commande intuitif vous permettra de jouer les Chefs si vous utiliser le mode expert. Les 12 programmes automatiques seront cependant vos alliés pour gagner du temps et récupérer, par exemple, un velouté après avoir versé tous vos légumes. Sa cuve grande capacité - 3,5 litres - est en inox et thermo ! Vous pouvez partir faire une course, chercher vos enfants, rentrer et avoir un repas chaud ! What else ? Le truc en plus : de nombreux accessoires sont disponibles en options, comme le panier XXL très pratique lorsque les enfants ont grandi et qu’ils mangent autant que nous ! Passé 4/5 personnes à table, il vous sera nécessaire pour faire une tournée générale de purée maison. Les 3 bols plastiques colorés sont livrés avec le robot, de façon à émincer vos légumes crus, hacher votre viande etc.
Diversification Alimentaire ? La diversification alimentaire d’un enfant peut-être menée de façons différentes. A la méthode plutôt « traditionnelle », on commence par proposer des purées de carottes, de la courgette, pomme de terre… Puis on poursuit par le sucré : pomme, banane etc. Il y a également des parents favorables à la DME : Diversification Menée par l’Enfant. Pour faire simple, on propose au baby des morceaux, sous forme de bâtonnets bien souvent. On peut poser devant lui des carottes, panais, ou autre aliment cuit à la vapeur. L’enfant attrape, choisit et découvre ce qu’il aime. Dans un cas comme dans l’autre : ne forcez jamais votre enfant ! S’il refuse un aliment, proposez-lui à nouveau plus tard… Un enfant ne se laissera pas mourir de faim, il peut avoir moins d’appétit un jour que la veille.
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SHOP’
Mon bel hiver… Robe marinière, Petit Bateau, 35 €
Robe en flanelle, Mayoral, 45 €
Cardigan classique, 3 Pommes, 30 €
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Pantalon safran, La Redoute Collections, 14.99 €
Look By Belle Enfant
Pull en tricot, Vertbaudet, 19.99 €
Bonnet péruvien, Isotoner, 10.99 €
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RECETTES
Cookies pour Bébé aux framboises DÈS 14 MOIS
INGRÉDIENTS
Pour une douzaine de cookies : • 120 g de farine de riz complet • 1 pincée de sel non raffiné • 30 g de sucre complet (à défaut, de sucre de canne blond) • 30 g d’huile « Bébé Quintesens Bio » • 1 œuf rapidement battu • Quelques framboises surgelées entières
PRÉPARATION
• Préchauffez le four à 140°. Dans un saladier, versez la farine. Ajoutez-y le sel et le sucre. Incorporez ensuite l’huile « Bébé Quintesens Bio » et l’œuf battu. Mélangez puis pétrissez avec les mains rapidement. • Formez des boules d’environ 20 g chacune, posez-les sur une plaque de four chemisée en les espaçant les unes des autres, puis aplatissez-les avec la paume de la main afin d’obtenir des cookies. Plantez 2 framboises dans chaque petit cookie. • Enfournez pour 20 minutes. Laissez refroidir puis retirez les cookies de la plaque. Conservez-les dans une boîte hermétique. Consommez-les dans la journée ou le lendemain matin, avec l’aide de papa, maman !
Porridge banane et cannelle INGRÉDIENTS
Pour 1 portion : • ½ banane • 120 ml de lait • 2 cuil à soupe de flocons d’avoine • 1 pincée de cannelle moulue • 1 cuil à café d’huile « Bébé Quintesens Bio »
PRÉPARATION
• Portez à ébullition le lait mélangé aux flocons d’avoine. A feu doux, remuez pendant 3 à 4 minutes environ, le temps d’épaissir la préparation. Retirez du feu. • Incorporez la banane écrasée avec le dos d’une fourchette sur une assiette, la cannelle et l’huile « Bébé Quintesens Bio ». Laissez un peu refroidir avant de servir. 98
DÈS 8 MOIS
Purée de patate douce aux olives noires, œuf mollet DÈS 12 MOIS
INGRÉDIENTS
Pour 1 portion • 100 g de patate douce • 5 cl de lait que vous utilisez habituellement pour bébé • 1 cuil à soupe d’huile « Bébé Quintesens Bio » • 1 olive noire dénoyautée • 1 œuf extra-frais
PRÉPARATION
• Détaillez en lamelles la patate douce lavée et brossée, cuisez-la à la vapeur pendant 20 minutes. Ecrasez-la avec une fourchette. Ajoutez le lait, l’huile « Bébé Quintesens Bio » et l’olive noire dénoyautée. Mixez le tout, incorporez un peu de liquide si nécessaire. • Cuisez l’œuf pendant 6 minutes dans une casserole d’eau bouillante et salée. Passez-le ensuite à l’eau froide, écaillez-le. Déposez-le coupé en deux sur la purée servie dans une coupelle.
Purée de brocoli et poulet
INGRÉDIENTS
Pour 2 à 3 portions • 100 g de brocoli • 80 g de pomme de terre • 20 g de poulet cuit • 1 cuil à café d’huile « Bébé Quintesens Bio » • 1 pincée de cannelle moulue • De l’eau
DÈS 6 MOIS
PRÉPARATION
• Coupez en petits dés la pomme de terre lavée et épluchée, détaillez en fleurettes le brocoli nettoyé. • Cuisez les légumes à la vapeur pendant une vingtaine de minutes. 5 minutes avant la fin, introduisez le poulet. • Mixez le tout avec l’huile « Bébé Quintesens Bio » et la cannelle. Ajoutez un peu d’eau si nécessaire pour obtenir une purée bien lisse. 99
Cette planche vous est offerte par Jenny de BonsPlansMaman
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ÉDITO
Édito
N°13 Editeur et régie publicitaire :
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’est fou ce que le temps passe vite ! Il y a quelques semaines encore nous étions en train de buller sur la plage, profitant des liesses d’une météo clémente et chaleureuse. Et nous voilà d’un seul coup d’un seul, projetés dans les méandres de la saison hivernale.
Heureusement, pour nous autres parents, l’automne et l’hiver nous réservent quelques jolies surprises en famille. De toute évidence, Noël, son sapin et son repas gourmand en sont l’apogée, mais il n’y a pas que le joyeux bonhomme joufflu pour nous redonner le sourire à cette période.
« Petit papa Noël… »
Couverture : © Fotolia.com
Un chocolat chaud au coin du feu, une descente de folie en luge ou à skis, des joujoux par milliers que l’on se plaît à découvrir dans la convivialité d’un foyer chaleureux : autant de bonnes raisons d’apprécier l’hiver à sa juste valeur et d’en faire une véritable saison de cœur. Profitez-bien les amis… Le printemps sera si vite arrivé !
Shirley Gagliardini, rédactrice en chef
MANHATTAN COMMUNICATION Centre d’affaires Scribes - 45 rue d’Alma – 69400 Villefranche-sur-Saône Tél. 04 69 37 48 13 Fax 09 72 38 26 31 RCS Villefranche sur Saone-Tarare B 750 351 652 Directeur de la publication : Shirley Gagliardini Service abonnements : abonnement@sofamily-mag.fr Rédaction : sofamily@manhattan-communication.com Rédactrice en chef : Shirley Gagliardini Directrice de la publicité : Raphaëlle Masini Direction Artistique : Olivier Beuscart Responsable Web et Médias Sociaux : Sébastien Moschetta Crédit Photo : FOTOLIA Secrétaire de rédaction : Monique Roux Ont contribué à ce numéro : Jenny Keravec, Valentine D. , Olivier Bouchonnet, Clem’. Dépôt légal : à parution. Distribution : MLP. Impression : Imprimé en Espagne. Commission paritaire : en cours. N°ISSN : en cours. Baby & Cie, c’est aussi sur Internet :
www.facebook.com/babyandcompagnie www.instagram.com/babyandcie
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SOMMAIRE
Baby & Cie
14 Mon premier chagrin d’amour Le chagrin d’amour est un sujet sensible qui pousse à la réflexion…
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Hiver : petits tracas Un hiver et gros bobos ! tout schuss !
La rentrée a pointé le bout de son nez et avec elle, une météo de plus en plus capricieuse. Conséquence ? Les premiers nez qui coulent, les sempiternelles gastros et autres petits plaisirs du genre. Le hic ? Ce n’est que le début…
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La fraîche saison rime avec Noël, évidemment, chocolats chauds au coin du feu, jeux de société à gogo mais aussi et surtout, batailles de boules de neige ! Et oui, on déclare ouverte la chasse aux bons plans côté ski en famille !
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Noël autrement
Un repas de Noël gourmand… et différent !
A l’approche des fêtes de fin d’année, tout se bouscule dans notre tête. Entre appréhension pour certains et surexcitation pour les autres, c’est un bouillonnement acidulé et truculent qui se met doucement en place. Mais qu’en est-il pour tous ceux qui ont envie de casser la routine, de voguer vers d’autres horizons ?
Las du sempiternel foie gras, de la tranche de saumon qui va avec et de la dinde fumante et ses incontournables petits marrons ? Cette année, c’est décidé, côté cuisine vous bousculez les codes, pour un Noël original et branché.
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SOMMAIRE
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Baby & Cie
CÔTÉ NEWS
12 TENDANCES 14 PSYCHO Mon premier chagrin d’amour 18 TÉMOIGNAGE Jeune fille au pair, une bonne solution ? 20 SANTÉ Hiver, petits tracas et gros bobos 24 SOCIÉTÉ Souriez, vous respirez ! 28 MAMANS Nouveau job pour une nouvelle vie 32 ZOOM SUR Les 6 commandements d’une année scolaire zen 34 IDÉE Top 5 des livres pour une année scolaire réussie 36 KIDS Quel jouet pour quel enfant ? 38 SHOPPING Nos héros chéris 40 ZOOM SUR Pure imagination, pur fun… 42 SHOPPING Mon beau sapin…
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44 PORTFOLIO Fall in love avec La Redoute 48 SHOPPING Hiver mon amour ! 50 S’ÉVADER Un hiver tout Schuss ! 54 S’ÉVADER Tignes, mon amour ! 58 S’ÉVADER Noël autrement ?
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62 TEST Quel animal de compagnie pour votre family ? 66 LOISIRS Quoi de neuf ? 68 SE DIVERTIR Les jeux vidéo du moment
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74 MIAM Un repas de Noël gourmand et différent ! 76 MIAM Recettes by Ker Cadélac 82 KIDS Carte d’anniversaire 86 KIDS Bientôt Noël ! 82 KIDS Quiz : L’esprit de Noël
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PSYCHO
Mon premier chagrin d’amour Parce qu’il peut survenir très tôt dans la vie d’un enfant… Surprendre, décontenancer et attrister des parents bien souvent démunis face au désarroi de leur bambin… Le chagrin d’amour est un sujet sensible qui pousse à la réflexion… Par Shirley Gagliardini
A
u début, la chose prête à sourire. Si petit et déjà en proie aux peines de cœur ? Ce n’est pas bien sérieux tout ça… Et pourtant. Nos enfants sont de véritables boules d’émotions qui se bousculent dans tous les sens. Des émotions parfois incontrôlées et incontrôlables qui peuvent, souvent, causer bien du tracas. « Y’a pas que les grands qui rêvent, y’a pas que les grands qui ont des sentiments… » Elle disait vrai la petite Melody, starlette oubliée des années 90. Et si c’est assez difficile à comprendre pour nous autres adultes vaccinés des chagrins d’amour (quoi que…), nos bambins, même pas plus hauts que trois pommes, peuvent eux aussi connaître des déconvenues sentimentales…
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A quel âge ?
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, il n’y a pas véritablement d’âge à partir duquel un petit humain est capable de ressentir un chagrin d’amour. Une peine de cœur est évidemment plus probable à la préadolescence mais peut tout aussi bien toucher un enfant en maternelle ou au cours préparatoire. Difficile à croire n’est-ce pas et pourtant, sous couvert de jeux et d’imitation, les émotions de votre bambin sont bien réelles et complexes et parfois, réellement tortueuses. « J’étais très amoureuse d’un petit camarade en dernière année de maternelle, nous raconte Sophie. J’étais si petite et pourtant, je me souviens de son visage d’enfant comme si c’était hier. Je crois bien qu’il m’aimait lui aussi.
Mais tout a basculé le jour où il a déménagé… » Notre premier réflexe ? Sourire. C’est plutôt mignon comme anecdote. Toutefois, la jeune femme se souvient également « j’étais perdue, désemparée. Comme si on m’avait arraché un bout de moi. Je me souviens que mes frères se moquaient de moi. Ils ne me comprenaient pas. J’ai traîné cette souffrance plusieurs mois. Ma maman s’en souvient encore et m’en parle parfois… Et bizarrement, ça me provoque toujours le même pincement au cœur ». Une fin heureuse digne des contes de fées aurait joliment mis un terme à cette histoire d’amour volée, si la belle avait retrouvé son prince charmant en culottes courtes. Mais il n’en est rien et même si Sophie a fait sa vie, est aujourd’hui pleinement épanouie, cette drôle
d’expérience de jeunesse restera gravée en elle à tout jamais… Et oui, si petit et déjà capable de ressentir des émotions comme un grand, c’est effrayant mais réel, aussi ne faut-il pas prendre les choses à la légère si les flèches parfois empoisonnées de l’amour viennent à jouer de vilains tours à votre loulou.
Des signes qui ne trompent pas
Il rentre de l’école, la mine déconfite, le pas lourd. Pendant ses devoirs, il a la tête dans les nuages, du mal à se concentrer. A table, il picore comme un moineau privé de ses ailes, a du mal à participer à la conversation familiale. Autant de petites choses qui sont les signes d’un mal-être plus ou moins prononcé chez votre enfant. Ici, vous devez réagir très vite, mais
en toute discrétion. En essayant bien sûr, en bon parent inquiet que vous êtes, de mettre une bonne fois pour toutes les pieds dans le plat, en lui demandant clairement ce qui ne va pas. Là plupart du temps, cette première tentative échouera et plongera votre bambin dans un mutisme déconcertant. Attendez un temps plus opportun, plus intime. Au moment du coucher par exemple, tentez de vous isoler avec votre enfant et de comprendre ce qui ne va pas. Il se peut tout à fait qu’il ne s’agisse là en aucun cas d’un chagrin d’amour, mais d’un problème différent, plus ou moins grave, avec des petits camarades de classe par exemple. A vous de creuser tout en douceur, au risque de définitivement le fermer à tout échange. Déceler une peine de cœur n’est pas chose aisée. Soit votre bambin est
d’un naturel plutôt bavard, auquel cas vous suivez déjà ses péripéties amoureuses au quotidien, soit il est davantage timide et solitaire, ce qui compliquera évidemment la tâche. Si la chose semble mal engagée, peut-être que Papa sera plus à même de relever le défi ? En règle générale et sans jouer les vieilles biques, un homme préférera toujours se confier à un autre homme et une femme à une autre femme.
Les différents chagrins d’amour
Ça y est, le mot est lâché. Votre enfant est en pleine peine de cœur et vous vous demandez alors comment il faut réagir. Tout d’abord, il faut tenter de comprendre de quel type de peine de cœur il s’agit. Est-ce comme notre amie Sophie, une séparation fortuite et brusque
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PSYCHO
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due à un déménagement par exemple ? Ici, les sentiments étaient peut-être réciproques et tout à fait fondés… Dans ce cas précis, pour que votre loulou aille mieux, il faut lui donner espoir. A une certaine époque, vous auriez pu lui dire qu’il existe les lettres pour rester en contact avec la personne qu’on aime. De nos jours, on peut lui glisser de temps à autre un portable dans les mains histoire de textoter un peu ! Soit la distance renforcera l’idylle naissante de votre petit cœur, qui fera tout pour retrouver, un jour sa moitié, soit il se lassera de luimême de ce petit jeu et guérira tout seul, comme un grand, de sa peine de cœur. Et puis il y a une autre sorte de chagrin d’amour. Plus vicieux, plus douloureux, parfois même violent. Quand l’autre nous rejette, sans explication. Ou pire, parce qu’on « est trop moche, trop gros, trop bête ». Les enfants peuvent être terriblement cruels entre eux, sans filet. Se dire des choses que l’on pourrait penser anodines mais qui peuvent blesser, profondément. Ici, la réaction diffère. Il vous faut redonner confiance à votre bambin. Lui expliquer que l’on peut ne pas être au goût de quelqu’un mais plaire à quelqu’un d’autre. Qu’il n’y a pas de fatalité. Que la
méchanceté ne doits pas être aimée et encouragée. Ce sont vos mots tendres et le temps qui passe qui pourront cicatriser les blessures de cœur de votre enfant. Toutefois, si vous ressentez que le problème est plus profond, que vous vous sentez dépassée par la situation et que votre petit ange ne sort pas la tête de l’eau après plusieurs semaines d’état végétatif, peut-être faudra-til penser à vous faire aider. Par un oncle, une tante, un ami proche de l’enfant, en qui il a confiance. Puis un psychologue pour enfant, dans les cas les plus difficiles. Demander du soutien n’est pas honteux. C’est avoir le courage de vouloir accompagner au mieux son bambin sur les chemins de la vie.
Les erreurs à ne pas commettre
De toute évidence, vous l’aurez compris, une peine de cœur ne doit pas être prise à la légère. Selon son importance, elle peut générer des tracas plus ou moins graves chez votre enfant. Refus de s’alimenter, comportement violent, décrochage scolaire… Aussi est-il primordial de ne JAMAIS rire d’un bambin amoureux. Même si la situation peut vous sembler grotesque, pour votre enfant elle est un cataclysme duquel il essaie tant bien que mal de se sortir. L’écoute, la patience et
l’amour seront les seuls remèdes à cette situation complexe. Inutile de préciser aussi qu’il est tout à fait déconseillé d’aller invectiver la ou le petit camarade de classe briseur de cœur ou de prendre à partie ses parents. Si votre loulou est encore au temps de la cours de récré, pas vous ! Bon, évidemment, si l’enfant en question va trop loin dans ses dires, là, il vous faudra réagir… Toujours en toute discrétion.
Le jour d’après…
Nous autres adultes sommes bien placés pour le savoir, à moins d’être dans un cas extrême, guérir d’un chagrin d’amour est toujours possible, avec le temps. Votre rôle à vous, ne pas s’immiscer dans la vie privée de votre enfant, mais plutôt l’accompagner avec tendresse sur la route sinueuse qui le mènera à sa vie d’adulte. Le réconfort passe par des câlins, des jeux, des moments de complicité. Des explications simples et claires aussi, sur les rapports humains et leur complexité. Dites-vous aussi qu’un chagrin d’amour, si douloureux soit-il, reste une expérience à part entière qui forgera la personnalité et le caractère de votre minot. Après tout, les sentiments, qu’ils soient doux ou tortueux, ne sont-ils pas la preuve que nous sommes… vivants ? n
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TÉMOIGNAGE
Jeune fille au pair, une bonne solution ?
Pour garder vos joyeux bambins, assistantes maternelles et autres crèches campent à la première marche du podium des préférences des jeunes parents. Mais saviez-vous qu’il existe également un mode de garde ultra flexible et particulièrement apprécié des parents un brin surbookés ? Zoom sur l’option « Jeune fille au pair »…
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nutile de se voiler la face, trouver un mode de garde n’est pas une sinécure. Bien au contraire, pour bon nombre de parents, dénicher LA bonne solution qui s’adaptera non seulement à un emploi du temps parfois rock’n’roll mais aussi à des envies
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et affinités propres à chacun, peut parfois relever du parcours du combattant. Pour Jenny du blog Bons Plans Maman, le défi était de taille. Nouvellement expatriée au Portugal, la jeune maman s’est vue confrontée non seulement à la barrière de la langue mais
aussi à des coutumes différentes et surtout, un manque cruel de réseau. Mais très vite, pour elle et sa jolie puce Julia, s’accompagner d’une jeune fille au pair a été une évidence. Avec Ophélie, jeune française de 22 ans, le courant est très vite passé, pour un mode de garde en toute sérénité…
Pourquoi avoir choisi de faire appel à une Jeune fille au pair plutôt que de confier Julia à une crèche ?
Jenny : nous étions au Portugal
depuis peu et nous ne savions pas trop comment les modes de garde fonctionnent ici. Je me suis d’abord renseignée auprès des crèches, mais les places disponibles étaient très limitées. Et puis cela représentait un budget conséquent avec des horaires très contraignants. Il faut dire aussi que Julia se sentait très bien à la maison et que l’idée de changer ses habitudes ne me plaisait pas trop. Une Jeune fille au pair ? Ce n’est que des avantages. Par exemple, inutile de courir pour aller récupérer ma fille et risquer les gros yeux du personnel de crèche si j’arrive quelques minutes en retard. Avec ce mode de garde, on gagne en liberté, en autonomie. Pour quelqu’un qui a un emploi du temps plutôt anarchique comme moi, c’est idéal.
Sur quels critères évaluez-vous les nounous ?
J. : la patience, la confiance et l’expérience. Surtout la confiance en fait. C’est tout mon être que je confie à une personne. Je veux savoir que je peux compter sur elle s’il arrive quoi que ce soit à Julia. C’est sans doute cela le plus difficile…
Comment avez-vous trouvé votre perle rare ?
J. : sur le site Aupairworld. com. C’est une copine qui m’a conseillé cette plateforme. Elle trouve sa nounou tous les étés sur ce site Internet et n’a jamais eu aucun problème. Bien au contraire, c’est à chaque fois des rencontres formidables et des liens d’amitié qui se construisent aussi bien avec elle qu’avec ses deux petits garçons. J’étais donc très confiante et je l’avoue, très tentée. Les avis sont très bons et c’est rassurant. C’est sans doute l’un des meilleurs moyens pour trouver la Jeune fille au pair idéale.
Au quotidien, Ophélie, votre Jeune fille au pair, vivait chez vous ?
J. : Ophélie est restée parmi nous pendant trois mois. Elle avait bien sûr sa chambre privative. Je souhaitais avant tout qu’elle soit disponible à n’importe quel moment pour Julia. Mon travail est parfois compliqué et il m’arrive souvent des imprévus. Attention, Ophélie était très disponible mais aussi très libre ! Dès que nous étions à la maison avec mon mari, nous prenions la relève. C’était important pour elle d’avoir des moments de repos, de sortir, de rencontrer du monde, surtout dans un aussi beau pays que le Portugal. Elle avait aussi tous ses week-ends, ce qui lui permettait de voyager un peu dans le pays ou de rentrer en France si elle en avait envie.
Aujourd’hui, avec le recul, diriez-vous que vous êtes conquise par cette expérience ?
J. : oui, totalement ! Ophélie a été bien plus qu’une nounou. C’est une amie maintenant, une confidente... Lorsque j’ai rencontré Ophelie pour la première fois, j’ai tout de suite accroché. Le feeling était là, il n’y avait aucun doute. C’était essentiel pour moi que la confiance soit là, dès la première minute. Je suis quelqu’un de très instinctif, je savais que c’était elle…
Quelle genre de relation entreteniez-vous avec votre nounou ?
J. : nous étions très proches… Comme une grande sœur pour Julia, comme une amie, une confidente pour moi. Aujourd’hui encore, on continue de s’appeler régulièrement pour papoter un peu, se donner des nouvelles. Elle est retournée en France pour ses études mais elle sait qu’elle est la bienvenue ici, quand elle le souhaite.
Et avec Julia, comment était-elle ?
J. : Ophélie était comme une copine de jeu, une seconde maman. Toutes les deux s’adoraient vraiment. Encore aujourd’hui, Julia la réclame souvent. On organise alors des Skype pour qu’elles puissent continuer à se voir, ce qui rend ma fille folle de joie.
Une petite anecdote ?
J. : j’en ai des dizaines en fait... Au tout début, lorsqu’Ophélie est arrivée, coucher Julia pour la sieste était une réelle épreuve. Mais elle a vite trouvé la solution. Dormir avec elle. Lorsque je rentrais plus tôt que prévu du bureau, il m’arrivait de les retrouver toute les deux profondément endormies. Et puis ce petit rituel est devenu une jolie habitude. Autant dire que lorsqu’elle est rentrée en France, Julia a eu beaucoup de mal à faire ses siestes toute seule, c’est vrai... Toutes les deux pouvaient aussi passer des heures à danser sur des rythmes effrénés. En fait, avec Ophélie, il y avait vraiment une bonne ambiance à la maison et ça, c’était top !
Si vous deviez donner un conseil aux mamans qui n’osent pas se lancer dans l’aventure de la Jeune fille au pair, ce serait lequel ?
J. : foncez ! C’est une expérience riche et inoubliable ! Même si, je comprends qu’il soit un peu dur de se lancer dans l’aventure car effectivement, c’est une personne que l’on ne connaît ni d’Ève ni d’Adam qui débarque dans votre vie, pour s’occuper de la prunelle de vos yeux. Mais n’hésitez pas à faire passer plusieurs entretiens si cela peut vous rassurer et surtout, fiez-vous à votre instinct de parent ! n
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SHOPPING
Avec les figurines articulées 7,5 cm des héros et des vilains, les animaux des héros et des accessoires, il ne manque rien à ce Coffret Collector Pyjamasques de 16 pièces par Giochi Preziosi. Dès 6 ans. 49.99 €*
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Nos héros chéris
Et si on glissait quelques uns des héros préférés de nos loulous au pied du sapin avec La Grande Récré ?
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* prix valables jusqu’au 20/11/17
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PORTFOLIO
Toujours à la pointe de la tendance à petits prix, La Redoute, au travers de sa marque La Redoute Collections, habille nos bambins de la tête aux pieds, avec audace et simplicité. On s’offre une petite séance de shopping ?
Fall in love… Avec La Redoute Collections 44
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PORTFOLIO
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MIAM
Un repas de Noël gourmand… et différent !
Las du sempiternel foie gras, de la tranche de saumon qui va avec et de la dinde fumante et ses incontournables petits marrons ? Cette année, c’est décidé, côté cuisine vous bousculez les codes, pour un Noël original et branché.
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l suffit parfois d’un petit rien pour faire toute la différence. Noël, c’est son petit lot de traditions. Et s’il est difficile de déroger à la règle des cadeaux au pied du sapin, d’imaginer le Lapin de Pâques passer par la cheminée ou de réunir toute la famille en oubliant la vieille tatie Danielle et ses réflexions de mégère, il existe toutefois un point sur lequel vous pouvez repousser
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Par Shirley Gagliardini
les limites de votre imagination : le menu des festivités.
Le sushi du détail
Cette année, c’est vous qui recevez. Et entre les joujoux par milliers à emballer, la déco à installer et les bambins surexcités qui courent de partout à gérer, vous ne savez plus où donner de la tête. Soit, passer des heures derrière les fourneaux à surveiller que Madame la Dinde
ne se la joue pas poulet rôti, c’est clairement impensable. Et si vous faisiez appel au traiteur japonais du coin, qui saura non seulement ravir les papilles de toute votre joyeuse tribu, mais en plus de cela, soigner la présentation des plateaux qu’il vous suffira de sortir du frigo le moment venu ! Irrésistible, non ? Après tout, dans les sushis, il y a du saumon ! Et il en existe même au foie gras. Alors pourquoi pas ?
C’est sain, savoureux, convivial et beau. définition même de Noël en somme...
Colorama
Envie de bluffer vos convives et de fermer une bonne fois pour toutes le clapet de votre délicieuse belle-maman ? Misez sur un thème inattendu, en jouant sur la couleur ! Par exemple, prenez le rose pour fil conducteur de votre repas. On imagine alors très bien des petits toasts de tarama en apéritif, une soupe de betterave en entrée, un filet de canard rosé et sa purée bonbon en plat principal (roooo, un peu de colorant dans la purée maison, c’est simple, non ?) et une bûche chocolat / framboise en dessert et hop, le tour est joué ! Et franchement, ça sera du plus bel effet, croyez-moi ! Pensez tout de même à assortir la décoration de votre table… Le rose et les petits carreaux façon bistrot, c’est pas top…
Vous avez dit veggie ?
On pense que Noël rime avec boustifaille à profusion, volailles et viandes rouges à gogo. Et bien sachez que la grande tendance est au végétal. Et quand on se nourrit veggie, le repas de Noël ne fait pas office d’exception ! Vous savez quoi ? Contrairement à ce que l’on pourrait penser, on peut tout à fait se régaler avec un menu sain et 100% veggie, que ce soit pour le réveillon ou le fameux déjeuner de Noël. Une terrine de riz par-là, des toasts de foie gras végétal par-ci, un rôti de légumes racines et ses petits champignons ou un chutney de poires ou de pommes : il suffit de surfer quelques minutes sur la toile pour dénicher tout un tat de recettes aussi alléchantes que savoureuses pour coller à vos régimes alimentaires. Attention toutefois, si les anciennes générations sont conviées à votre tablée festive, elles risqueraient bien de faire grise mine devant vos crevettes recomposées… A bon entendeur !
La tête à l’envers
Là encore, on est dans la surprise, l’originalité. Notre source d’inspiration ? La flopée d’émissions culinaires qui pullule sur nos petits écrans et qui ont l’irrésistible avantage de nous donner tout un tas de chouettes idées. Un menu à l’envers, c’est tout simplement l’art de détourner les choses, les recettes et les aliments. Pour faire simple, en entrée vous pouvez tout à fait servir des macarons salés (au foie gras, au saumon, aux crevettes ou aux champignons) mais aussi une bûche à base de fromage affiné, de truite saumonée ou d’œufs de cailles. En guise de plat, pourquoi ne pas travailler votre propre recette façon chou à la crème ou éclairs pâtissiers ? Enfin, au dessert, on peut tout à fait réinventer l’esprit de la tomate farcie avec une coque de sucre rouge vif garnie de chocolat ou encore décliner quelques pizzas sucrées. Le top avec cette idée, c’est que vos kids adoreront participer à l’élaboration des recettes en trompe-l’œil. Ils seront ravis aussi de découvrir les mines interloquées de vos invités au moment de passer à table. Succès et étonnement garantis !
Le tour du monde en un repas
Et si vous faisiez du repas de Noël un moment aussi unique que ludique et pédagogique ? Je m’explique. Nos traditions culinaires So Frenchy, nous les connaissons déjà. Et même si elles sont gourmandes et incomparables (pas chauvine du tout…), elles peuvent aussi avoir tendance à lasser. Notre planète vient alors à notre secours et devient un formidable terrain de jeu et de créativité côté cuisine, pour un repas haut en couleurs et en découvertes. L’idée est simple. Élaborer vos recettes, de l’apéritif jusqu’au dessert, à partir des mets traditionnels d’autres pays. On
peut imaginer alors déguster une délicieuse fondue chinoise à la manière des Suisses, travailler une mise en bouche à base de carpe pour s’inviter en Autriche, déguster les fameuses oplatky, sortes de petites gaufres que l’on trempe dans du miel, venues de Slovaquie, se laisser tenter par une oie rôtie assortie d’airelles et de raisins secs comme en Allemagne, s’offrir une panettone ou une polenta gourmandes pour ramener un petit air d’Italie à la maison, préparer un fameux (mais périlleux) Christmas Pudding à l’anglaise… Bref, vous l’aurez compris, les inspirations ne manquent pas si vous décidez de voguer par delà les frontières !
Menu des Kids
Pourquoi tout le stress du dîner du réveillon ou bien du déjeuner du 25 décembre devrait incomber à une seule et même personne, c’est à dire vous ? Après tout, Noël est une tradition familiale et il n’y a pas de raison que vos petits diablotins ne mettent pas la main à la pâte pour vous aider en cuisine. Mieux encore ! Et si vos petites toques confectionnaient elles-mêmes l’intégralité du repas ! Imaginez toute leur fierté au moment de la dégustation ! Sous votre surveillance (vous avez le droit de les aider hein, c’est un moment de partage la cuisine, vous penserez manucure plus tard), confectionnez des mets simples, préalablement approuvés par toute votre joyeuse tribu, qui ne demandent pas non plus des heures et des heures en cuisine. Ensuite, c’est à vos bambins de gérer ! Bien sûr, pour limiter les dégâts éventuels et de devoir faire un cuire un plat de coquillettes pour le réveillon, restez toujours à proximité de vos loulous. Par mesure se sécurité aussi évidemment. Et pour sauver Noël, accessoirement… n
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RECETTES
VELOUTÉ DE CHÂTAIGNES ET DÉS DE QUATRE-QUARTS Pour 4 personnes
PRÉPARATION
15 MIN CUISSON
35 MIN
1 Quatre-Quarts pur beurre KER CADELAC© 300 g de châtaignes cuites en bocal (ou surgelées) 1 gros oignon 30 cl de bouillon de volaille 50 g de beurre 50 cl de lait entier (ou de crème liquide) Sel, poivre, poudre de piment d’Espelette 1 filet d’huile de noisette ou d’huile d’argan
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n Peler et émincer l’oignon. n Dans une casserole, faire revenir l’oignon dans le beurre jusqu’à ce qu’il blondisse. n Ajouter les châtaignes, le lait entier (ou la crème liquide) et le bouillon de volaille. n Laisser mijoter à feu doux pendant 30 minutes environ. n Pendant ce temps, couper des dés de Quatre-Quarts pur beurre KER CADELAC© et les rouler dans la poudre de piment d’Espelette. n Les faire griller à la poêle, sans ajout de matière grasse, jusqu’à ce qu’ils soient dorés. Réserver. n Mixer la préparation de châtaignes. Saler, poivrer. n Au moment de servir, verser dans des bols le velouté de châtaignes, parsemer de dés de Quatre-Quarts, saupoudrer de piment d’Espelette et verser un filet d’huile de noisette ou d’argan.
© A POINT STUDIO POUR KER CADELAC
FOIE GRAS POÊLÉ AUX POMMES QUATRE-QUARTS ÉPICÉ Pour 4 personnes
PRÉPARATION
20 MIN CUISSON
5 MIN
1 Quatre-Quarts Pur Beurre KER CADÉLAC© 4 escalopes de foie gras 2 pommes 10 g de beurre 1 cs d’épices pour pain d’épices 1 cc de miel Poivre, sel 1 pot de confit d’oignons
n Saler et poivrer les escalopes de foie gras. n Couper les pommes épluchées en fines lamelles et les faire sauter à la poêle avec du beurre. Réserver. n Couper des tranches de Quatre-Quarts Pur Beurre KER CADÉLAC© et les poêler dans du beurre mélangé au miel et aux épices, 2 minutes de chaque côté. Réserver. n Faire saisir dans une poêle chaude les tranches de foie gras, 3 minutes de chaque côté. n Dresser une tranche de Quatre-Quarts épicé, des pommes caramélisées et la tranche poêlée de foie gras. n A servir chaud, accompagné de confit d’oignons.
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L’HISTOIRE
LA LISTE DU PÈRE NÖEL
Chaque année à la même époque, le père Noël dans sa hotte, empile des joujoux par milliers, aidé par ses comparses les joyeux lutins. Mais alors que le grand départ approche, que les rennes révisent pour la dernière fois leur long parcours et que la mère Noël achève de confectionner un peu de pain d’épices pour la route, le père Noël tout grognon, décide de bousculer les règles. A son tour de faire sa liste aux enfants... Les gentils comme les plus méchants ! Cher enfants,
es, je veille à ce que chacun d’entre vous reçoive, Cette année, j’ai décidé de n’en faire qu’à ma tête. Depuis des millénair aient avec impatience, heureux de m’attend its tout-pet les sous le sapin, les jeux et jouets qu’il mérite. Autrefois, hui, les choses ont bien changé. De plus en plus aujourd’ Mais chiffon. de poupée une ou bois de train petit un recevoir rables casse-têtes pour mes lutins et moi-même, qui exigeants, vos listes sont interminables et promettent d’innomb sommes épuisés. t les sourcils et en me grattant la barbichette. Moi De ma plus belle plume je vous écris cette lettre, tout en fronçan e, moi aussi je veux découvrir au matin de Noël cheminé la de ant approch cloches des son doux le aussi je veux entendre n’oublie pas mon petit soulier. qu’on bien voudrais je aussi moi au pied du sapin des joujoux par milliers, de vous rappeler que la gentillesse est la plus grande Ainsi voici ma liste de petites attentions, tout en me permettant rêves et je vous en remercierai. de ts fabrican autres nous pour x généreu de mes qualités. Soyez fou à confectionner vos jouets. Aussi, car un peu Tout au long de l’année, mes lutins et moi-même passons un temps et quelques cotillons ne seraient pas de refus. Un cartes de jeu un violon, un , bienvenu le toujours est ment d’amuse s, tout comme quelques chocolats fourrés pour la mère grand verre de lait et quelques biscuits seraient aussi apprécié réclame depuis quelques temps déjà des clochettes me renne le non compag Noël ma bien-aimée. Rudolf mon fidèle laisse le bon soin de vous en charger. Pour nous vous je le, électroniques. Comme je ne sais pas à quoi cela ressemb est aussi souhaité, rouge et blanc pour aller avec la douillet tout édredon un e, moi-mêm et Noël mère la fer réchauf de l’imagination et le cœur sur la main, quelques décoration de notre maison s’il vous plaît. Et si toutefois vous avez fabrique à jouets. la égayer pour parfaits petits mots gentils et dessins jolis seraient
ne me tirez plus la barbe et le bonnet, évitez de Et si je peux me permettre quelques autres petites revendications, vos chaussettes bien nommées et surtout, sur soignez mée, program est venue ma lorsque e faire du feu dans la cheminé .. affiché. être devra votre visage, le plus beau des sourires Merci d’avoir pris le temps de me lire et à très bientôt, Le père Noël
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MA QUESTION
COMMENT ÊTRE GENTIL AUX YEUX DU PÈRE NOËL ?
Noël c’est l’occasion de recevoir tout un tas de jolis cadeaux, mais c’est aussi l’occasion de faire de bonnes actions. Quelques idées du père Noël pour être le plus gentil des enfants...
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Fais le tri dans tes vieux jouets Parce que le père Noël est un pro du recyclage, il appréciera sûrement que tu fasses le tri dans les anciens jouets dont tu ne te sers plus. Une fois mis de côté, il pourra ainsi les récupérer et en fabriquer de nouveaux avec, qu’il distribuera à d’autres enfants qui seront très heureux de les recevoir. Aie des petites attentions pour ta famille Pour le père Noël, la famille, c’est très important. Des mots gentils, des câlins, de petits cadeaux comme un dessin ou un bouquet de fleurs, le tout préparé avec le cœur, sauront faire plaisir à tes parents, tes frères et tes sœurs. Donner et recevoir de l’amour et de la tendresse, il n’y a rien de plus chouette. N’en demande pas trop Bien sûr, Noël c’est l’occasion de faire le plein de cadeaux. Mais avant de griffonner fébrilement chaque page de ton catalogue de jouets, apprends à faire des choix pour que le père Noël puisse s’y retrouver. Avec des milliers d’enfants à contenter, il vaut mieux lui faciliter la tâche !
Range ta chambre de temps en temps Si le père Noël s’aperçoit que ta chambre n’est pas suffisamment rangée et que des jeux et jouets traînent de partout, il imaginera que tu en as déjà bien assez et hésitera à t’en offrir davantage. Une chambre bien rangée lui prouvera au contraire que tu es bien organisé et prêt à en recevoir de nouveaux ! Aie l’esprit de Noël Noël, c’est un état d’esprit. Décorer la maison avec des boules et des guirlandes, préparer le sapin et l’illuminer, fabriquer de délicieuses petites gourmandises à partager ou encore lire des contes au coin de la cheminée et entonner des chansons de saison : voilà comment Noël aime être fété.
Sois patient... Noël, on l’attend toute l’année et une année entière, c’est plutôt long. Mais ce serait dommage, si près du but, d’être un peu moins gentil en montrant ton impatience avec un peu trop d’insistance. Dis-toi bien que tout ce temps est utile pour le père Noël pour préparer les joujoux par milliers qui viendront se glisser sous tous les sapins du monde entier !
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L’ESPRIT DE NOËL...
On l’attend toute l’année et le voilà enfin arrivé : Noël pointe joliment le bout de son nez. Avec So Family, découvre si tu es incollable sur le sujet. Et pour vous autres parents, voilà de quoi faire patienter les plus jeunes jusqu’au jour J... 1- Où se cache la célèbre maison du père Noël ? a- En Transylvanie b- En Laponie c- En Suède
6- Quel arbre décore-t-on pour fêter Noël ? a- Un chêne b- Un sapin c- Un bouleau
2- En Europe, le père Noël porte aussi un autre nom. Quel est-il ? a- Saint-Nicolas b- Saint-François c- Saint-Maxime
7- Comment s’appellent les petits amis du père Noël qui l’aident à préparer les cadeaux ? a- Les lutins b- Les gnomes c- Les lilliputiens
3- Qu’ont généralement les enfants pour patienter jusqu’à Noël ? a- Un calendrier de l’avent b- Des sucreries c- Des jouets
8- Complète avec tes parents les paroles de cette chanson : « Petit papa Noël, quand... » a- tu m’apporteras mes cadeaux b- tu entreras par la cheminée c- tu descendras du ciel
4- Comment s’appelle le renne qui guide le traîneau de son nez rouge lumineux ? a- Gérald b- Maurice c- Rodolphe 5- Que mange-t-on souvent à Noël en dessert ? a- De la bûche de Noël b- Des cookies de Noël c- De la forêt noire de Noël
9- Comment dit-on « Joyeux Noël » en anglais ? a- Happy Noël ! b- Merry Christmas ! c- Joyeux Noyel ! 10- Le Père Noël récompense les enfants sages. Mais comment s’appelle le personnage qui vient à la rencontre des enfants pas très gentils ? a- Le Père Traquenard b- Le Père Tartare c- Le Père Fouettard
Réponses : 1-b ; 2-a ; 3-a ; 4-c ; 5-a ; 6-b ; 7-a ; 8-c ; 9-b ; 10-c.
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QUIZ
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