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PRATIQUE Il faut absolument stimuler Bébé.
FAUX. Même s’il est de bon ton de stimuler votre loulou à chacune des étapes de sa vie, sachez toutefois que son quotidien et l’environnement dans lequel il évolue représente déjà une forte stimulation en soi. Les bruits, odeurs, visages, couleurs qui peuplent ses journées sont autant d’informations pour Bébé. S’il n’est donc pas vraiment utile d’en faire trop, n’hésitez pas à faire participer votre enfant aux moments clés, afin qu’il s’en imprègne et qu’il les appréhende plus facilement !
L’environnement d’un enfant est essentiel pour son éveil.
Il faut beaucoup de jouets à Bébé pour être correctement stimulé.
FAUX. Même si l’on sait que vous aurez (souvent) du mal à ne pas craquer devant les dernières tendances côté jouets, inutile de transformer pour autant la chambre de votre enfant en hotte du Père Noël. Trop de jouets pourrait d’ailleurs être un risque de confusion chez votre loulou, qui ne sait plus vraiment où donner de la tête. Ayez la main légère et observez les signes de lassitude de votre bébé, ils seront les signes qu’il sera temps de passer à autre chose !
VRAI. En effet, même si un bébé a la capacité d’emmagasiner tout un tas de précieuses informations, il ne pourra le faire tout seul. Vous entendre discuter (et non pas vous disputer) avec votre tendre moitié, échanger avec la boulangère ou préparer le repas du soir seront autant de stimulations au quotidien. Et oui, votre baby est un membre de la famille à part entière et doit être considéré ainsi dès son plus jeune âge !
I A R V OU X U A ? F Le jeu est la principale façon de stimuler Bébé. FAUX. Même si les jouets d’éveil ont une part importante dans le quotidien de Bébé, ils ne sont pourtant pas les garants d’une stimulation suffisante. Si les phases de jeu sont très importantes, les moments de complicité, rires et autres échanges entre vous et votre enfant, sans peluche ou autre joujou en bois, sont tout aussi essentiels. L’affect, voilà la clé d’un éveil réussi.
Un bébé peut en avoir assez de jouer.
VRAI. Tout comme vous pouvez en avoir assez de regarder 20 fois le même épisode de Grey’s Anatomy. Le jeu doit toujours être pris comme un moment de plaisir et de partage, et non une contrainte, pour qu’il soit efficace côté stimulation. Apprenez à observer les signes d’agacement de votre poupon et n’insistez pas outre mesure ! S’il se désinteresse d’un jeu ou d’un jouet, il aura tout le temps d’y revenir plus tard... à sa guise ! 20
Les phases de repos sont essentielles à la stimulation de l’enfant
VRAI. Elles sont même capitales ! Stimuler un bébé n’est pas l’obliger à s’émerveiller devant une pâquerette dont il n’a que faire parce qu’il a tout bonnement envie d’aller faire une bonne sieste ! Les phases de sommeil sont indissociables du bon développement de l’enfant. Elles lui permettent d’assimiler toutes les informations récoltées au cours de la journée. Et si les dodos sont essentiels, les moments de calme et de partage, sans fonds sonores le sont tout autant !
YOU
Vous avez dit... Gênant ?
Que ce soit avant, pendant ou après l’accouchement, il y a TOUJOURS, dans la vie d’une future ou jeune maman, des PETITS MOMENTS DE GÊNE aussi terrifiants qu’exaltants. Parce que la maternité, c’est aussi ça... « On m’avait toujours dit que c’était une légende. Une légende urbaine pour faire flipper les futures mamans. Et bien pour moi, le mythe s’est vérifié ! Je ne sais pas, j’ai dû pousser un peu trop fort... Je me demande encore comment cela a pu arriver. Se faire caca dessus au moment d’accoucher, c’est une drôle d’expérience, croyez-moi ! »
Sylvia
« J’ai perdu les eaux au cinéma. Rien de bien original, cela peut arriver à tout le monde. Mais j’étais devant un Pixar avec pas moins de 150 enfants qui me regardaient en rigolant en croyant que je m’étais fait pipi dessus. Un grand moment de solitude... »
Hella
« On dit qu’une femme ne flatule pas. Et bien une femme enceinte peut émettre des gaz d’une autre planète ! C’était l’horreur, surtout au troisième trimestre. J’en rigole aujourd’hui mais sur le moment, je ne savais plus où me mettre tellement c’était déroutant que de mon joli (et gros!) popotin, de telles monstruosités puissent sortir... Enfin, bref ! »
Emeline
« Lorsque j’étais enceinte, je ne pouvais pas me contrôler côté nourriture. Mon grand moment de gêne à moi fut ce soir terrible, où mon mari m’a surprise la tête littéralement dans le pâté à quatres heure du matin. Un vrai petit cochon. Il a ri, moi j’ai pleuré de ne pas avoir su me contrôler... »
Fabienne
« J’ai vécu sans doute la pire gêne qui soit pour une jeune maman. En remontant de la machine à café, j’allais pour récupérer mon bébé à la pouponnière, mais manque de bol, je me suis trompée de berceau. Honte à moi, je n’ai pas su reconnaître mon enfant. J’en ai encore des frissons même si la sage-femme m’a assuré qu’avec la fatigue et les émotions, ça peut arriver à tout le monde. Moué, je doute toujours, cinq ans après... »
Dany
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« Enceinte, j’avais énormément de problèmes d’estomac. Et j’étais souvent prise de crises de hoquet incontrôlées et incontrôlables ! Dans la vie de tous les jours, ce n’était pas vraiment un problème... Mais à l’enterrement d’une vieille tante de la famille, au moment même où le prêtre commence à parler, ça devient terriblement gênant... »
Gaëlle
« Après mon accouchement, comme beaucoup de jeunes mamans, j’ai dû porter d’horribles grosses couches sensées amortir les pertes de sang. Au bout du cinquième jour coincée à la maternité, pensant ne plus être (trop) concernée, j’ai abandonné les couches. En galopant comme un cowboy dans les couloirs, j’ai senti un liquide abondant et chaud me couler sur le long des jambes. Pas manqué, je saignais et tout ça, devant une horde d’infirmiers qui me souriaient, gênés eux aussi par la situation... »
Jeanne
« Des moments de gêne, j’en ai eu plein. J’en ai encore, une vraie Pierre Richard. Mais quand j’ai osé demander à ma sage-femme si je pouvais encore faire des galipettes alors que j’étais en grossesse à risques, que j’ai vu ses gros yeux ronds réprobateurs, j’ai compris que j’étais allée un peu trop loin. J’y pouvais rien moi si j’avais une libido exacerbée... »
Pauline
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DÉBAT « J’ai fait une liste pour mon petit dernier, pour éviter d’avoir des doublons. Vu que j’ai déjà eu trois enfants avant, j’étais déjà pas mal équipée. Et bien je ne regrette pas ! Aucun objet n’a été inutile pour le coup ! »
Anna
« Nous l’avons faite un soir avec mon chéri sur un site très connu. C’est très facile à faire et ça nous a permis de faire le point sur ce qui était réellement nécessaire pour bien préparer l’arrivée de Bébé. Le Jour J, grâce à cela, nous n’avons manqué de rien et soit dit en passant, on a fait quelques belles économies ! »
« Moi je dis oui, oui et re-oui ! En fait, je rêvais d’une poussette magnifique pour mon pioupiou mais elle était beaucoup trop cher pour nous. Alors j’ai fait une liste avec uniquement cette fameuse poussette. Une sorte de pot commun où chacun a pu participer selon ses envies ! Et vous savez quoi ? Je l’ai eue ma poussette de rêve ! »
« Je n’aime pas imposer des choses en règle générale. Et l’idée d’une liste me gêne. Je préfère laisser libre cours aux envies de mes amis ou de ma famille, quitte à être parfois un peu déçue... »
« Je trouve ça trop compliqué de faire une liste. Surtout si on est enceinte. On peut avoir envie d’un truc et le lendemain, changer d’avis... »
« Très sincèrement, je n’en vois pas l’utilité. En fait, je trouve qu’imposer une liste de naissance bloque un peu les gens. J’aime bien que chacun fasse selon son propre feeling et puis on a de cette manière là, de jolies surprises ! »
Jessy
Hélène
« Je n’ai pas fait de liste de naissance et très franchement, je le regrette ! Parce qu’entre les trucs complètement inutiles, les jouets en doublons et les idées farfelues de certains, y’a de quoi devenir chèvre ! Si un jour j’ai un deuxième enfant, je n’hésiterais pas une seule seconde cette fois-ci ! »
Laure
Sarah
Mélodie
Marie
« Pour mon premier enfant, j’ai décidé de faire une liste de naissance en boutique, sur les conseils de ma meilleure amie. C’est simple, on choisit ce que l’on veut et à des budgets différents pour permettre à chacun de s’adapter en fonction de ses possibilités ! »
e c n a s s i a n e d e t s i La l
« Moi, ma liste était prête. Toute belle, toute bien faite. Et au moment où il a fallu envoyer aux gens le lien qui leur permettait d’accéder à cette fameuse liste, j’ai fait machine arrière. Un vrai blocage. J’avais un peu honte quelque part de réclamer des cadeaux. Chacun fait comme il veut, comme il peut, et c’est beaucoup plus personnel ainsi ! »
Mylèna
Karen
Nous vous avons posé la question sur notre page FACEBOOK et voici ce que vous avez répondu...
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PRATIQUE
Le SAV des parents...
Parce que le QUOTIDIEN des jeunes parents est ponctué de gros doutes et petits tracas, voici un petit GUIDE DE SURVIE pas à pas, pour suivre l’évolution de votre poupon. Vous avez des questions ? Nous tentons d’y répondre ! Par Jenny KERAVEC 36
DÈS LA NAISSANCE
Je viens d’accoucher et mon bébé refuse de téter …
État des lieux : voir son bébé refuser le sein est sans doute une des situations les plus déroutantes et les plus angoissantes que puisse vivre une femme qui allaite. De nombreux témoignages en sont la preuve : « je me sentais rejetée », j’étais « frustrée », « désemparée », « désespérée »,... D’autant plus intense que très souvent, l’entourage médical et familial n’est alors d’aucune aide (« manifestement votre bébé préfère le biberon », « il doit sentir que vous ne désirez pas vraiment l’allaiter », « tu as essayé, c’est bien, n’insiste pas », « ton bébé veut sûrement se sevrer », etc.), quand il ne désapprouve pas ouvertement ce qu’il perçoit comme un « acharnement » inexplicable, voire pathologique. Les bons réflexes: si elles ne sont pas abusivement confondues avec un sevrage, les grèves de la tétée finissent généralement par se résoudre, soit parce qu’on en a trouvé la cause et qu’on a pu y remédier, soit parce que, sans qu’on la connaisse jamais (il y a des grèves sans revendications affichées !), un peu de temps et d’attention résolvent le problème. Un bébé qui semble refuser le sein dès le début est souvent un bébé qui a été perturbé pendant l’accouchement ou dans les moments qui ont suivi. Les médicaments donnés à la mère pendant l’accouchement peuvent induire chez le bébé une léthargie, une somnolence pendant les premiers jours, qui peuvent être confondues avec un refus du sein. Certains gestes faits systématiquement sur les nouveau-nés peuvent gravement perturber la capacité du bébé à téter le sein. En particulier l’aspiration gastrique consistant à introduire une sonde dans l’œsophage et jusqu’à l’estomac. On sait également que la séparation mère/enfant pendant les premières heures après la naissance peut perturber le réflexe de succion, qui est au plus fort à ce moment-là, et faire qu’ensuite le bébé ne « veuille plus téter ». Des séparations ultérieures, notam-
La crèche : dois-je y mettre mon enfant ? Avec la rentrée, une question se pose à de nombreuses mamans: est-ce que j’inscris mon bébé à la crèche? En fait il y a plusieurs options: confier votre bébé aux grands-parents, à une nounou ou le mettre à la crèche. Avantages : • En dehors de la solution grands-parents, c’est la solution la plus économique pour les familles. • Avec la crèche, il y a une certaine continuité, qui permet à l’enfant de prendre des repères. • Elle lui permet de rencontrer de nouvelles personnes et de se faire ses premier/ ères copains/copines. • Les personnes s’occupant des crèches, sont des personnes qualifiées qui permettront le bon épanouissement de bébé. • Il sera sans cesse dans un environnement stimulant (activité de groupe) qui lui permettra de laisser libre cours à son imagination. Inconvénients : • Des horaires qui ne conviennent pas toujours. • L’éloignement avec les parents, peut poser problèmes pour les parents et les enfants. • La première année l’enfant est malade plus souvent à cause du contact avec un plus grand nombre de personnes. • La difficulté dans certaines villes de trouver une place pour son tout petit. Pour conclure, si vous cherchez un climat de groupe à moindre coût pour votre enfant, la crèche est faite pour vous ! Mais si vous avez peur de la séparation ou des possibles contaminations, je vous conseille de vous tourner vers une nounou ou les grands-parents ! ment la nuit, peuvent avoir le même effet, surtout si l’on donne alors des biberons au bébé « pour que sa maman puisse se reposer ». De même, certaines mises au sein particulièrement « musclées » peuvent avoir des résultats catastrophiques. Si, par exemple, en voulant « aider » le bébé à prendre le sein, on tient sa tête et on la pousse vers le sein, il y a un risque important pour qu’il la rejette en arrière de façon réflexe. Si ces signaux d’appel ne sont pas perçus, que va-t-il se passer ? Au début, souvent rien : le bébé va rester sur sa faim et replonger assez vite dans un sommeil profond. Si ensuite on essaie, pendant ce sommeil profond, de lui proposer le sein, il n’arrivera pas à se réveiller suffisamment et aura l’air de « refuser » le sein. Si ces signaux sont ignorés pendant plusieurs heures, au réveil suivant, le bébé va plus ou moins sauter ces signaux subtils et se mettre tout de suite
à pleurer. C’est alors qu’il peut hurler, se cabrer, donner l’impression qu’il ne sait plus les gestes pour téter, voire qu’il « refuse » le sein, en rejetant tout son corps en arrière. Notre conseil : « Face à tous ces cas de figure possibles, un seul mot d’ordre : patience ! Le bébé et sa mère ont besoin de temps, d’essais et d’erreurs, pour arriver à bien maîtriser la technique de la tétée. Un contact peau à peau et un accès au sein en continu, le fait de laisser le bébé prendre le sein de lui-même au lieu de vouloir le lui mettre dans la bouche, de varier les positions, d’éventuellement tirer son lait et le donner au bébé (si possible pas au biberon), de prendre un bain avec le bébé, etc.: tout cela peut aider à faire en sorte que le bébé finisse par prendre le sein, correctement et efficacement. À noter qu’on voit des bébés se mettre à téter le sein au bout de plusieurs jours, voire plusieurs semaines.»
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PRATIQUE DÈS 3 MOIS
Mon bébé est perturbé dans son sommeil
État des lieux : chaque jeune maman est confrontée, à un moment ou à un autre, aux difficultés d’endormissement de bébé, à des siestes qui semblent perturbées ou peu reposantes et c’est tout à fait normal ! Mais que faire ?... Les bons réflexes : essayez de reconnaître la phase de sommeil de votre bout’chou. S’il bouge dans tous les sens, il est peut-être tout simplement en phase de sommeil agité… Sa nervosité apparente est donc tout à fait normale (il peut même d’ailleurs donner l’impression d’être éveillé)... Pour ne pas vous tromper, il est important que vous attendiez toujours quelques minutes avant d’intervenir. De plus, si bébé se réveille quelques instants entre deux phases de sommeil, cela ne veut pas dire qu’il ne va pas se rendormir : à ce moment-là, si vous intervenez trop vite, vous lui ôtez toute chance de sombrer à nouveau dans un sommeil profond ! Notre conseil : « Parlez à votre bébé! Cela peut paraître simple, mais le fait de lui parler d’une voix douce l’apaise. Vous pouvez aussi lui faire prendre des bains avant de le mettre à dormir pour une longue période. N’oubliez pas la voiture ou la poussette, simple mais efficace, tous les bébés/enfants s’endorment naturellement dans la voiture ! »
DÈS 6 MOIS Mon enfant n’arrive toujours pas à faire la pince pouceindex, est-ce normal ?
État des lieux : le développement intellectuel ou cognitif désigne l’acquisition de connaissances, la capacité à penser de façon créative, à être attentif, à comprendre et résoudre des problèmes, à mémoriser des informations et à exercer son jugement. Les bons réflexes : ceci n’est qu’une « base » il faut surtout veiller à ne pas pousser son enfant à aller trop vite, il fera à son rythme, en cas de doute consulter un médecin ou un pédiatre. A cet âge : • Il prend les objets avec plus de précision, ce qui lui permet de les obser-
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ver et de les examiner. Il arrive aussi à les retourner à l’envers pour les étudier d’un autre angle, par exemple en soulevant une tasse par son anse; • Il cherche les membres de la famille ou les animaux domestiques du regard lorsqu’on prononce leur nom; • Il peut secouer des objets et écouter le son qu’ils font en tombant, car il est capable de rester en position assise sans appui, ce qui lui permet d’utiliser ses 2 mains; • Il suit du regard les objets qui bougent rapidement. Notre conseil : « Gardez bien en tête que, souvent, certains enfants prennent plus de temps que d’autres dans leurs acquisitions et ça ne veut pas dire pour autant qu’ils en seront moins intelligents. Soyez donc patient et vigilant.»
DÈS 1 AN Mon petit arrive sur ses 1 an et n’a toujours pas dit un mot ! Que dois-je faire ?
État des lieux : entre 8 et 12 mois, les premiers mots simples, ceux constitués de 2 syllabes, apparaissent. C’est l’âge des premiers «papa» et «mama», mais lequel sera le premier ? Peut-être « gato » ou « mam-mam », si bébé est bien plus intéressé par son estomac ! Les bons réflexes : au début, votre enfant ne prononce pas tous les sons comme vous. Il a besoin de s’exercer avant de bien former tous les sons nécessaires pour articuler le mot désiré. Il peut parfois être difficile de comprendre ce qu’il cherche à dire. Laissez-vous alors guider par ce qu’il regarde ou par le contexte. Si vous êtes dans la cuisine à l’heure de sa collation par exemple, vous pouvez lui dire : « Du jus? Tu voudrais du jus? ». Il faut l’inciter à se faire comprendre pour lui permettre de se développer tout seul et de devenir totalement autonome ! Notre conseil : «Par exemple, le « ch » étant encore difficile pour lui, il dit toujours « sapeau ». Un jour, vous dites, « prends ton chapeau, on va sortir. ». Avec impatience, il dit « Sapeau! », il faut alors le reprendre pour qu’il puisse entendre la bonne prononciation, et se corriger tout seul ! »
DÈS 2 ANS
2 ans passés, il fait sa rentrée en septembre, mais il n’est toujours pas propre à 100% … État des lieux : en France comme dans la plupart des pays occidentaux, nous sommes très pressés de voir nos enfants devenir propres, au risque d’oublier parfois que la propreté ne peut être acquise que si l’enfant est prêt, à tout point de vue. Sur le plan physiologique, d’abord. La propreté n’est possible que lorsque bébé contrôle parfaitement ses sphincters. Il faut pour cela que son système nerveux soit arrivé à maturité, et qu’il soit parfaitement conscient de la contraction et du relâchement de ses muscles. Cette maturité physiologique n’est effective qu’à partir de 18 mois environ. Autre condition essentielle à l’acquisition de la propreté : bébé doit évoluer dans un climat propice, se sentir bien sur le plan psychologique pour désirer passer ce cap important. Mieux vaut donc éviter d’en faire une fixation, même si vous avez hâte de voir votre bout de chou débarrassé de sa couche-culotte ! Les bons réflexes : tout d’abord, pour l’aider à devenir propre, il faut lui acheter un pot qui lui donne envie, emmenez le au magasin pour le laisser choisir ! Il n’aura alors plus d’excuses pour ne pas monter dessus ! Il ne faut surtout pas pousser ou forcer bébé à monter sur le pot, mais simplement lui demander s’il a envie d’aller aux toilettes. Si au cours de son apprentissage, il se fait dessus, il ne faut pas le gronder et lui expliquer que la prochaine fois il peut demander d’aller aux toilettes. Si cela se produit « régulièrement » ne lui remettez pas la couche, sinon tout le travail que vous avez effectué jusqu’à maintenant sera perdu ! Notre conseil : « Nous vous conseillons d’être à l’écoute de votre enfant et de lui expliquer les choses, il peut simplement y avoir un déclic chez lui qui déclenche en 2 ou 3 semaines le fait de devenir totalement propre ! » •
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PRATIQUE
Mon premier anniversaire
Quand le fêter ?
OK. La question paraît bête. Et pourtant, même si un premier anniversaire devrait, dans l’idéal, se fêter à la bonne date, quelques impondérables peuvent toutefois retarder la fiesta. Dans tous les cas, avec un baby, gardez en tête qu’il vous faut être flexible, tant dans l’agenda que dans l’organisation. Une vilaine varicelle peut vite compromettre votre jolie fête alors ne vous mettez pas martel en tête et faites de votre mieux côté timing !
Le bon lieu
Ici, tout dépend de vos envies et possibilités côté budget. Sachez pour autant qu’une première fête d’anniversaire se doit d’être intimiste, en raison de l’âge de votre loulou. L’idéal, organiser votre party à la maison ou chez Papy / Mamie, histoire d’être en terrain connu pour éviter les fausses notes. A l’extérieur, prévoyez tout de même un petit coin dodo pour votre loulou, qui ne pourra certainement pas se passer de sa sieste.
Le bon thème
Pour un anniversaire réussi et des photos souvenirs par milliers, autant dire que la déco doit être soignée. Premier étape (et ce sera le cas chaque année qui suivra), définir un thème. Et si votre bout’chou n’exprime pas encore clairement quels sont ses personnages préférés, il y a certainement quelques indices dans sa caisse à jouets ou dans sa personnalité qui vous aideront à trouver le bon fil conducteur à cette fameuse fête d’anniversaire !
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Côté invités
Vous avez envie de crier votre joie au monde entier et pourtant, mieux vaut avoir la main légère côté invitations. En effet, la journée sera déjà chargée en émotions fortes, aussi est-il clairement inutile d’irriter les petits nerfs de votre angelot avec trop de bisouilles de gens qu’il ne connaît même pas. La famille proche et quelques amis feront amplement l’affaire.
Côté budget
Allez, on l’avoue, on aimerait bien faire quelques folies pour célébrer ce grand jour où votre loulou soufflera sa première bougie. Inutile pour autant de mettre à mal votre PEL pour l’occasion, avec des petits moyens on peut aussi faire de grandes choses ! Un peu de déco, un joli gâteau et de quoi immortaliser chaque instant : attendez qu’il soit un peu plus grand pour dépenser de véritables fortunes dans son anniversaire !
Côté repas
Un gâteau, c’est l’évidence. Pour les bonbons, c’est selon le nombre de bambins plus grands qui seront dans l’assistance. Pour votre petit bout, préférez des petites bouchées fruitées bien moelleuses et savoureuses qu’il pourra picorer tout au long de l’après-midi ! Gare aux excès tout de même...
BANC D’ESSAI
Bois, bois, bois !
Il fût un temps, les enfants n’avaient que ça, des JOUETS EN BOIS. Des quilles, en passant par le bilboquet ou le croquet, ils savaient s’amuser nos aïeux... EFFET DE MODE ou réelle volonté de revenir à certaines traditions, bon nombre de marques de jouets pour enfants surfent aujourd’hui sur ce créneau. Des jeux de motricité, des COULEURS VIVES des bonshommes à la bouille attendrissante, quels sont les INCONTOURNABLES qui font fureur à notre époque ? Par Johanna du blog Parents de Jumeaux
Le premier jouet !
Arche Lilliputien - 49,90 € Dès la naissance Avant de pouvoir attraper des objets, votre bébé sera allongé sur un tapis d’éveil et va regarder tout ce qui se passe autour de lui. Afin de l’accompagner dans l’éveil de ses sens, vous pourrez positionner au dessus de lui cette belle arche en bois, décorée avec les personnages fétiches de Lilliputien : George, Albert, Jef et Colette ! Ces animaux aux couleurs vives développeront tour à tour la vue, le toucher, l’ouïe de votre tout petit. Le truc en plus : les personnages sont amovibles. Alors si votre doudou a son chouchou, vous pourrez le balader à ses côtés dans sa poussette, son siège auto ou même l’accrocher aux barreaux de son lit ! Belle astuce !
Conseil
Un jouet en bois, c’est intemporel et ça traverse les générations. Gardez ceux de vos enfants, même si vous imaginez qu’ils ne s’en serviront plus jamais… Ils seront si fiers de partager leurs souvenirs avec leur progéniture !
A l’origine !
Grande arche de Noe - ever earth sur Berceau Magique - 39,95 € A partir de 24 mois Prenez les éléphants, les lions, des oiseaux et leurs amis ! Au delà de la fonction « bateau », l’arche permet d’encastrer les animaux. C’est parfait pour la motricité des enfants. Une échelle, un toit qui se retire : votre bambin pourra se raconter des histoires en fonction de son inspiration... Le truc en plus : l’arche est fabriquée en bois FSC, les encres sont sans produits chimiques, les emballages réduits en carton recyclés. Bravo pour cette démarche éco-responsable.
L’astucieux
Dit « Camion » !
JANOD - KUBIX 80 - 29,99 € Parmi les jouets en bois les plus classiques : les formes à empiler ! Des cubes, des cylindres, des cônes et des blocs rectangulaires…. Du jaune, du rouge, du vert, du orange et j’en passe… 80 morceaux de bois amuseront vos enfants à faire et refaire leur construction dont la seule limite sera leur imagination.
Camion de pompier - Marque Bajo - 24 € chez Les Tout Petits Pois Avez-vous déjà entendu vos enfants dire « piiinnnn-ponnnn » plusieurs fois de suite ? Aucun doute, ils jouent aux pompiers ! Quel enfant n’a pas les yeux plein de curiosité devant ces gros camions rouges à la sonnerie retentissante ? On aime la forme toute arrondie de ce camion en bois, facile à attraper, il plaira à votre bébé. Le truc en plus : La petite clochette ! Nul ne doutera que son tout mignon petit son éveillera l’ouïe de votre petit...
Le truc en plus : le tapis est réversible ! Amusez-vous à demander à vos enfants de regrouper toutes les pièces de même couleur, sur un morceau de tissu de la couleur associée : une jolie activité en plus ! Après tout, ne dit-on pas que le tri c’est la vie ?
1 et 3, 4….4 et 5, 9 !
Molkky - Nature et Découverte - 39,95 € Apprendre à compter tout en s’amusant, oui c’est possible grâce au molkky ! Ce jeu d’adresse né en Finlande, rassemble la famille pour des moments de rire, de duel et de complicité. Une version nordique de la pétanque ! Un bâton tout rond doit être jeté sur des quilles numérotées… Lancez ! Faites tomber ! Comptez et c’est gagné. Dès 6 ans et jusque 99 ans, emportez votre Mollky à la plage ou dans votre maison de campagne, notez vos scores jours après jours et faites le bilan à la fin des vacances. Le truc en plus : la cagette de rangement, elle aussi en bois pour une démarche éco-responsable. Munie de 2 anses elle sera facilement transportable !
Votre enfant évolue ? Le regard qu’il porte sur son jouet aussi… Si un âge est conseillé, c’est pour une bonne raison ! Les fabricants étudient l’évolution de l’enfant, de son cerveau, de ses capacités afin de proposer des jouets adaptés à leur âge. Votre bambin ne s’intéresse plus à son boulier adoré ? Mettez-le de côté quelques temps et proposez lui à nouveau. Vous serez surpris de voir votre tête blonde jouer d’une nouvelle façon avec un objet fétiche pourtant déjà temps exploré ! 61
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Back to Crèche ! T-shirt à manches longues, R Edition by La Redoute, 3,99 €
Jean baggy imprimé, Mango Baby, 19,99 €
Pantalon de survêtement Gonars, Noppies, 17,99 €
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Pantalon à bretelles en velours, R Mini by La Redoute, 17,99 €
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PSYCHO
Je ne veux pas de deuxième enfant...
Soit, vous avez déjà un adorable baby dans votre foyer et pour vous, l’idée d’AGRANDIR LA FAMILLE n’est pas forcément d’actualité. Pour autant, là aussi les INTERROGATIONS peuvent jaillir de toutes parts et laisser un petit doute insidieux dans votre esprit... … mais il en veut un
Vous voilà embourbée dans un sacré dilemme. Vous avez déjà un enfant, plus ou moins grand, et votre cher et tendre vous tanne pour mettre en route le deuxième. Seulement voilà,
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vous n’êtes pas du tout prête à faire le grand saut et son insistance a clairement tendance à vous agacer. Le sujet est devenu épineux et votre couple s’en ressent... Alerte, il faut réagir ! La bonne attitude : même si pour
l’instant vous êtes en désaccord, les choses peuvent évoluer dans un sens comme dans l’autre. Aussi est-il important de toujours laisser une porte ouverte à l’autre pour que la communication ne soit pas fermée. Parlez-en
de temps à autres, expliquez-lui les raisons de votre blocage. Peut-être saura-t-il vous rassurer et vous apporter les clés pour vous lancer sereinement dans un nouveau projet Bébé ? Dans tous les cas, ne vous mettez pas trop de pression et laissez le temps au temps !
… mais mon loulou me réclame un petit frère
« Maman, je veux une petite sœur ! » Et oui, il arrive un âge où la plupart des enfants souhaiteraient avoir un petit frère ou une petite sœur, un peu comme on envisage d’acheter un nouveau jouet. Soyons clair, les plus jeunes ne comprennent pas réellement les conséquences d’un nouveau bébé à la maison et le réclame davantage pour avoir un compagnon de jeu. Seulement voilà, il s’écoulera un peu de temps avant que votre nouveau-né puisse s’amuser à loup touche-touche, aussi faut-il savoir raison garder... La bonne attitude : établir un contexte est primordial pour la compréhension d’un enfant. Il faut donc lui expliquer les choses avec des mots simples, pour qu’il assimile le fait que cette décision vous appartient à vous et à Papa. Ne brisez pas toutefois ses rêves en lui soufflant qu’un jour, peut-être, la petite cigogne lui apportera l’objet de ses désirs (à son âge, c’est bien de cela qu’il s’agit!) Gardez en tête également qu’on ne prend pas la décision de faire un enfant... pour faire plaisir !
… mais je vieillis
Ah cette satanée horloge biologique... Elle a de quoi clairement nous agacer. Car si l’échelle du temps a semble-til ses vertus pour ces Messieurs, pour nous, c’est tout le contraire. Et la pression des années qui passent n’arrange pas les choses, pour un deuxième enfant, c’est maintenant ou jamais. La bonne attitude : ici, la situation est très complexe. Tout dépend de votre point de vue sur les grossesses dites tardives. Il y a celles qui estiment qu’après 35 ans, on stoppe les envies de Bébé et puis celles qui ne s’angoissent pas le moins du monde sur le calendrier. Vous êtes plutôt stressée sur le sujet ? Respirez un bon coup ! La médecine a fait d’énormes progrés
La naissance d’une fratrie - Tout en douceur ! Si vous attendez un second baby, inutile d’attendre le jour de la naissance pour l’annoncer à votre plus grand. Repérez plutôt le moment où votre ventre s’arrondit pour commencer à en parler avec votre loulou. Il aura ainsi tout le temps de se faire à l’idée, en douceur. - L’important, c’est de participer ! Pour que votre aîné accueille l’arrivée d’un nouveau bébé dans les meilleures dispositions qui soient, faites-le participer un maximum à la préparation de la naissance. La déco de la chambre, le choix des petits habits ou des doudous lui permettront de se sentir pleinement engagé dans la situation et il gagnera ainsi en confiance en lui. - Ne soyez pas trop intrusive ! Et oui, on a souvent tendance à vouloir s’immiscer dans les relations entre frères et sœurs. Mais en tant que parents, notre rôle est au contraire d’observer et d’accompagner sans reproche le quotidien de nos bambins. Ne blâmez pas, ne forcez pas et vous verrez, le temps fera le reste ! - Profitez ! Quelle joie d’observer vos pitchounes gambader l’un derrière l’autre dans le jardin, se chamailler tendrement et jouer pendant des heures dans leur chambre. Souriez, une fratrie est née ! côté maternité et nombreuses sont les mamans à avoir un enfant sur le tard ! Qu’on se le dise toutefois, faire un enfant parce qu’on a un chrono dans la tête n’est pas vraiment une bonne idée non plus...
… mais j’ai toujours rêvé d’avoir une grande famille
Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants... Depuis toujours, on nous met dans le crâne que pour être heureux et épanouis dans notre vie de famille, il faut une floppée de bambins qui courent de partout. Les contes de fées, les paroles acerbes de nos bonnes vieilles tantines, les mœurs... Autant de petites choses ancrées qui nous culpabilisent de ne vouloir qu’un seul enfant. La bonne attitude : à vous de faire fi des idées reçues et de balayer du revers de la manche les gentils com-
mentaires de votre entourage qui s’indigne de votre situation de maman mono-enfant ! Mais enfin ! Et puis même si c’était votre grand rêve, petite, de pouponner à gogo, aujourd’hui vous êtes une femme, pleinement consciente des réalités de la vie et de vos propres envies ! Les choses peuvent changer mais si vous êtes ferme dans votre décision, apprenez également à résister à la pression de la société !
… mais je suis enceinte
Bon, là, clairement, on ne peut pas énoncer de grande vérité sur le sujet. Chacune doit réfléchir à sa propre situation et juger de la bonne décision à prendre. Toutefois, peut-être est-ce un joli signe que la vie vous envoie ? A vos layettes ! •
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RECETTES DÈS 12 MOIS
Flan de carottes, chèvre et petits lardons INGRÉDIENTS
Pour 2 portions • 16 carottes moyennes • 8 tranches de chèvre en buchette • 6 œufs • 70 g de lardons allumettes • 20ml de lait • 2 pincée de curry • 2 pincée de sel
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PRÉPARATION
• Faite cuire vos lardons puis mixez les selon la texture voulu. • Lavez, pelez et épluchez les carottes en rondelles. Faites-les cuire 20 minutes dans une grande casserole d’eau bouillante ou à la vapeur. • Ecrasez-les dans un petit saladier, ou mixer les grossièrement . Ajoutez-y le lait, le curry, les œufs, les lardons et enfin un peu de sel. Mélangez bien. • Répartissez cette préparation dans un moule à muffins (ou un plat a tarte ou un plat a cake), gardez-en un peu pour la fin : vous disposez une tranche de chèvre sur chaque portion et la recouvrez de la fin de votre préparation. • Cuire 35mn a 190°.
Ces recettes vous sont proposées par Jenny de Bons Plans Maman
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PARENTS
Les règles d’or pour bien préparer la rentrée Après le mois d’Août et son soleil, place à Septembre et sa rentrée ! Exit les brassards et le maillot de bain ! On vide les valises et on remplit le cartable. Suivez le guide pour bien préparer le début de l’année scolaire. La rentrée, un grand moment pour les petits
Pour les enfants, la rentrée est synonyme de nouveau. Nouvelle classe, nouveaux amis, nouvelle maîtresse voire nouvelle école. Difficile de faire face à tant de changements ! La rentrée est un grand moment, chargé d’excitation, d’attente, de fierté et de joie. Il est donc essentiel de bien accompagner son enfant pour que tout se passe au mieux. Pour les mamans, le mois de septembre est souvent synonyme d’angoisse. Pas facile de laisser son petit chou aux grilles de l’école quand on l’a eu rien que pour soi tout l’été. On n’arrive pas à faire taire cette satanée voix dans notre tête qui se pose une foule de questions. Surtout lors de l’entrée à l’école primaire. Est-ce qu’il va réussir à suivre ? Va-t-il être doué en maths comme maman ou fort en
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français comme papa ? Est-ce qu’il va s’intégrer avec ses camarades ? Est-ce qu’il va aimer l’école ? Certaines questions vont rester en suspend. Vous ne pouvez pas tout contrôler, et c’est tant mieux. C’est à lui de découvrir, de forger ses impressions et de se faire une petite place. En revanche, vous pouvez tout préparer. Et pour cela, il y a un mot magique : l’or-ga-ni-sa-tion. Aïe ! ça n’a jamais été votre fort. Pas de panique, on a déblayé le terrain pour vous. Planning, mon beau planning, dis-moi qui est la plus organisée de toutes ? Maman a plein temps, c’est du boulot ! Je suis admirative devant celles qui pensent à tout et paraissent détendues. Il y a des jours où j’ai l’impression de courir partout sans avancer. Vous l’aurez compris, je ne suis pas très douée en organisation. Mais j’ai fait beaucoup de progrès depuis
que je gère ma petite famille ! Et ce qui me sauve, c’est le planning. Franchement, je ne sais pas ce que je ferais sans lui !
Pourquoi faire un planning ?
- Pour que tout soit fait… Faire un planning permet avant tout de ne rien oublier et d’éclaircir votre esprit. - … sans stress pour vous… Faire un planning permet de s’y prendre à l’avance. Fini le rush la veille de la rentrée ! Une demi-journée parci par-là pendant deux semaines et tout sera fait tranquillement en temps et en heure. Vous pourrez vous coucher avec le sentiment d’avoir accompli votre tâche du jour ! Rayer un élément de sa liste procure une sensation de satisfaction excellente pour le moral. - … ni pour votre enfant. Le stress que vous ressentez est perçu par
votre rejeton. Le risque est qu’il associe inconsciemment la rentrée au stress. Un mauvais départ pour lui !
Comment faire un planning ?
- Deux choses sont suffisantes pour faire un planning : un objectif et du temps. L’objectif ? La rentrée. Le temps ? Les deux dernières semaines d’août. Bon. C’est déjà un début. - Déterminer l’ensemble des tâches à faire. Faites un brainstorming sur une feuille avec vraiment tout ce qui vous passe par la tête, des courses de fournitures au petitdéjeuner du jour J. - Sélectionner les priorités. « Qu’est-ce qui est urgent ? » « Qu’est-ce qui prend le plus de temps ? » sont les questions que vous devez vous poser. Dans notre désir de bien faire, on a tendance à vouloir tout faire et à se retrouver
débordée. Ne vous perdez pas dans le superflu. Faire les tâches essentielles dans un premier temps permettra de vous apaiser. Pour cela, vous pouvez utiliser un code couleur en entourant en rouge le primordial et en bleu le secondaire. - Répartir les tâches. Une fois que vous savez tout ce que vous devez faire, déterminez l’ordre des priorités et les jours auxquels vous êtes disponibles. D’où
l’importance de s’y prendre à l’avance. Attention, le planning n’est pas une injonction, mais juste un moyen de vous y retrouver. Il y a toujours des petits imprévus qui viendront le bouleverser. Vous aviez prévu d’acheter de nouveaux vêtements mais votre petit chouine pour aller à la piscine par ce grand soleil ? Faites un compromis et promettez-lui d’écourter les courses pour faire un plouf. Voilà,
TOUT POUR UNE RENTRÉE EN DOUCEUR
Préparer la rentrée, c’est aussi préparer le mental de votre enfant. Voici quelques astuces pour faire la transition entre les périodes estivale et scolaire. - Reprendre les bonnes habitudes. Pendant les vacances, les parents sont plus souples sur les horaires des repas et du coucher. Une semaine avant la rentrée, reprenez progressivement un rythme normal afin de réhabituer votre enfant. Sinon, les premiers réveils risquent d’être difficiles ! - Reprendre le travail. Si votre petiot est déjà à l’école primaire, revoir les bases de l’année précédente est un plus. Pendant deux mois de vacances, on a le temps d’oublier bien des choses ! Personnellement, je ne cautionne pas les cahiers de vacances dès le mois de juin. Les vacances doivent être une vraie coupure durant laquelle l’enfant se ressource. En revanche, quelques pages avant la rentrée, pourquoi pas ? S’il rencontre des difficultés d’apprentissage, n’attendez pas pour faire appel à un professeur particulier qui saura les surmonter rapidement. - Reprendre les activités. La rentrée est également l’occasion d’apprendre plein de choses en dehors de l’école ! Le sport, la musique ou l’art sont des terrains d’épanouissement et de rencontre. N’hésitez pas à faire un tour au forum des associations de votre ville et à laisser votre enfant choisir une ou deux activités qui lui plaisent.
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PARENTS
vous savez faire un planning ! Mais que mettre dedans ?
Les fournitures scolaires
Tout d’abord, bloquez-vous une journée entière pour vous atteler à la corvée des fournitures scolaires. L’idéal est d’y aller à l’avance pour éviter le monde fou qui se presse dans les rayons ou aux caisses. Cela vous fera déjà gagner un temps précieux. Ensuite, il suffit de suivre à la lettre la liste de fournitures généralement fournie par chaque professeur. Si vous n’en disposez pas avant la rentrée, achetez déjà ce qui est essentiel : les stylos, les cahiers, la colle, les ciseaux, la gomme... Je préconise d’emmener son enfant faire les courses avec soi. Cela permet de le mettre dans le bain de la rentrée et de comprendre qu’il s’agit de toute une organisation ! Laissez-le choisir un stylo, sa trousse et son cartable. Ainsi, il sera impatient d’utiliser ses toutes nouvelles affaires. C’est une première étape pour qu’il prenne goût à l’école. De la même façon, vous pouvez l’emmener acheter une tenue de rentrée. Votre marmot sera fier de porter des vêtements qu’il a choisis avec soin pour être beau le premier jour ! Cela le met en confiance et lui donne le sentiment
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que l’école, c’est important.
Les rendez-vous médicaux
A l’école, les enfants vivent en communauté. Ca fourmille dans une cour de récré ! Ils sont donc exposés à toutes les maladies. En premier lieu, consultez le carnet de santé et vérifiez que les vaccins sont bien à jour. Si ce n’est pas le cas, un rendez-vous médical s’impose ! Si votre petit rentre en CP, il commence à apprendre à lire et à écrire. Or, il ne se rendra pas compte lui-même s’il a des problèmes de vue, et cela peut ralentir l’apprentissage. C’est donc à vous de prendre rendezvous chez un spécialiste en amont. Manger des carottes n’est pas suffisant pour avoir des yeux de lynx ! A chaque rentrée, le même problème survient. Un seul mot fait hérisser le poil de tous les parents : les poux ! Après tout un été à gambader à la campagne, bien des petites têtes servent de maison à ces vilains insectes… Prenez votre courage à deux mains et contrôlez qu’aucune bête ne se soit nichée dans les cheveux de votre enfant. Si c’est le cas, n’attendez pas pour traiter. Continuez à vérifier pendant tout le mois de septembre : les poux se baladent de camarade en camarade.
L’étiquetage des affaires
Chaque année c’est la même chose : votre petit perd la moitié de ses affaires et ramène une autre moitié qui n’est absolument pas à lui… Vous ne comptez plus le nombre de stylos et d’écharpes perdus, et restez effarée devant sa collection de gommes. Etiqueter ses affaires devrait limiter la casse ! Etiquetez les vêtements en priorité, notamment la veste qu’il jure avoir perdue alors que le/la maitre-sse l’a simplement récupérée parce qu’elle était accrochée au porte-manteau depuis une semaine. De nombreuses marques proposent des étiquettes personnalisées que vous pouvez coller au fer à repasser sur tous les vêtements. C’est également hyper pratique si votre enfant part en colo ! Je vous conseille aussi de coller une petite étiquette sur tous les crayons et d’écrire le nom sur les cahiers. Pour rendre la tâche moins pénible, faites-la soigneusement à deux ! Cela encouragera votre enfant à prendre soin de ses affaires. Avec un bon planning focalisé sur trois points essentiels, vous voilà parée pour une rentrée en toute sérénité ! Le jour J, l’enfant se réveille tôt après une nuit complète, prend un solide petit déjeuner pour affronter les émotions de la journée, enfile sa nouvelle tenue, et en avant toute ! n
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SHOPPING
La mosaïque ? L’une des grandes tendances créatives de ces dernières années. Mosaïques Papillons, Djeco, 9,99 € LA BONNE IDEE Vos loulous ont une envie folle de laisser parler leur créativité, que ce soit à la maison ou sur les bancs de l’école ? Recommandées sur les listes scolaires et adorées des joyeuses tribus, les palettes de gouache griffées Lefranc Bourgeois contiennent a minima les couleurs indispensables : couleurs primaires, noir et blanc et se déclinent de 5 à 10 tubes avec pinceaux selon les coffrets. Formulées à base de pigments de haute qualité, les gouaches Lefranc Bourgeois donnent le goût de la création aux bambins et permettent d’apprendre le mélange des couleurs tout en s’amusant !
Mon petit artiste...
Le découpage ? Une activité aussi ludique que pédagogique pour vos kids ! Coffret de découpage A vos marques, prêts, découpez !, Alex chez Oxybul Eveil et Jeux, 12,99 €
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Un kit au top pour réveiller les âmes d’artistes des plus jeunes... sans fausse note ! Tapis Doodle Magic Mini Kids by Crayola, 24,99 €
Comment résister aux couleurs et aux formes de ces coffrets créatifs adorés des plus jeunes ? Playmais Couleurs et formes, 13,99 €
Le pliage ? C’est tout un art ! Kit Origami avions, Djeco, 6,99 € Voilà une collection tout simplement incontournable pour vos Kids ! Aquarellum by Sentosphère, 13,99 €
Les Qixels, c’est un tout nouvel univers créatif dont vos loulous raffoleront ! Qixels Royaume et Chevalier, 14,99 €
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TEST
Etes-vous
un bon
élève ?
A l’école de la vie, on en apprend tous les jours. Mais bizarrement, au quotidien, les erreurs et petits couacs se répètent inlassablement. A l’approche de la rentrée, et si on faisait le point sur votre assiduité ? Premier de la classe ou bonnet d’âne, à vous de jouer !
Pour les parents 1- Vous recevez la fameuse liste de fournitures scolaires : p Vous l’aviez déjà téléchargée sur le Web, pour vous, c’est une affaire réglée l Comme chaque année, vous attendrez votre retour de vacances pour vous en occuper Y Vous la déposez négligemment sur l’oreiller de votre conjoint. « Cadeau, chéri! » n Cette année, pour ne pas louper le coche, vous la déposez illico à la papeterie du coin 2- Pour vous, la rentrée, c’est : Y L’horreur. Et puis zut, c’est encore les vacances ! n La panique. Vous avez toujours peur d’oublier quelque chose... l La routine. Chaque année, c’est la même chose ! p Une formalité. Réglée au millimètre près... 3- Retour en enfance. Un petit camarade tente de copier sur vous : p « Maîtresse, il copie sur moi ! » n « Ça voudrait dire que je suis bon ? » l Vous rapprochez davantage la feuille du tricheur, pour l’aider un peu plus Y Impossible. C’est vous qui copiez sur les autres... 4- Et si on parlait des impôts... : n Comme d’habitude, vous envoyez votre règlement deux jours en retard et à vous les pénalités... Y Aucun souci ! C’est pas vous qui gérez le dossier... p Tout est déjà pré-timbré, prêt à être envoyé au moins quinze jours avant la date fatidique l « Mince, faut que je mette un post-it sur le frigo ! » 5- Au boulot, votre supérieur part à la retraite : p Cela fait des semaines que vous tannez le Big Boss pour prendre sa place l Des responsabilités en plus ? Pour quoi faire ? Y Inutile de postuler. Vous êtes recalé d’avance. n Vous faites de votre mieux pour prouver à votre patron que vous méritez la place
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6- Pour vous, le délégué de la classe c’est : Y Un lèche-bottes de première ! n Quelqu’un que vous admirez en secret... l Ni plus ni moins qu’un autre élève de la classe p Facile, c’est vous ! 7- La fameuse tenue de rentrée des classes pour vos loulous : p C’est beau, c’est neuf et impeccablement repassé ! n Comme chaque année, vous dépareillez les chaussettes... Y Ils se débrouillent tout seuls l Vous verrez bien la veille des réjouissances, selon l’humeur du moment... 8- Si l’on devait vous comparer à un animal, ce serait : n L’escargot, vous ramez, vous ramez... Y Le paresseux, vous larvez, vous larvez... p Le lion, vous foncez, vous foncez ! l Le chat, vous flânez, vous flânez... 9- Côté qualités, on dit de vous que vous êtes (c’est la minute auto-satisfaction, profitez...) : l Toujours d’humeur égale p Un modèle à suivre n Persévérant et plein d’entrain Y Mignon et c’est déjà pas mal... 10- Côté défauts, on dit de vous que vous êtes (c’est la minute auto-dérision, dégustez...) : p Un brin (pour être gentils...) psychorigide n Un peu deux de tension l Plus suiveur que leader Y Tire-au-flanc, vous ? Et oui, le moment fatidique est arrivé... Faites votre compte de triangles, de ronds, de carrés et de cœurs et découvrez quel élève vous-êtes !
Pour les enfants
1- Bientôt l’école ! Côté cartable, tu en es où ? :
L Tout beau tout propre et bien rangé, il est déjà prêt pour étudier N Encore dans son emballage, tu attends la veille du Jour J pour le préparer U Roulé en boule au dessus du frigo. Tu espères qu’ici, ta maman ne le retrouveras pas...
2- Cette année, tu changes de maître ou de maîtresse : L Peu importe, l’essentiel c’est d’apprendre
N C’est dommage, elle était souvent absente U Ouf ! La dernière n’arrêtait pas de te donner des punitions 3- Le premier jour, tu t’aperçois que tu as oublié ta trousse à la maison : L Impossible, tu vérifies toujours ton cartable deux fois avant de partir
N Pas grave, tu empreintes un stylo à l’un de tes camarades U Flûte de zut ! Tu ne peux décidément pas travailler !
4- Si tu devais choisir ta tenue de rentrée des classes : L Tu aimerais bien porter l’uniforme
N Peu importe, c’est ta maman qui choisit U Un short et des tongs, c’est possible ? 5- Tu viens de recevoir une mauvaise note sur ton devoir de français : L Au secours ! Le prof a mélangé les copies !
N Tu feras mieux la prochaine fois U Une de plus ou une de moins...
Tu as répondu à toutes les questions du test ? Compte le nombre d’étoiles, de coeurs et de poissons que tu as et découvre quel élève tu es ! 43
MIAM
Un goûter presque parfait
Une nouvelle journée d’école s’achève, une journée pleine d’évènements avec les copains, de leçons avec la maîtresse. Il s’en passe des choses dans une journée d’enfant ! Alors quand il rentre à la maison, son ventre gargouille. Un des moments essentiels de la journée de votre petit bout est bien évidemment le 4h. Ne le manquez sous aucun prétexte ! Par Clem’
Un peu d’histoire
La tradition du goûter nous vient tout droit de la Renaissance, quand les aristocrates se retrouvaient vers 16h pour une collation. Elle n’était pas des plus équilibrées, avec des fruits, des confiseries et du vin. C’est d’ailleurs de cet horaire que nous vient le mot « 4h ». Cette tradition fut ensuite abandonnée, avant de renaître au XIXème siècle, car c’était le moment de prédilection pour inviter des amis autour d’une tasse de thé, inspiré tout droit du Tea Time anglais.
Le goûter est-il si important ?
La réponse est claire : c’est un repas inévitable pour l’enfant. Nos petites terreurs se dépensent toute la journée, dans la cour de récré, en rentrant à la maison…Bref, ils ne s’arrêtent jamais et ont besoin d’énergie pour faire leurs devoirs ! C’est d’ailleurs la raison 68
pour laquelle les nutritionnistes recommandent non pas trois mais quatre repas par jour, et pas uniquement chez l’enfant (oui, c’est aussi valable pour nous adultes). En effet, ce repas est censé couvrir 15% des apports journaliers. En plus de faire le plein d’énergie, le goûter permet d’éviter les grignotages avant le repas du soir. Et pour un enfant, ne pas manger entre 12h et 20h est un supplice et il aura donc tendance à grignoter, à moins de recourir à un en-cas, gourmand et sain à la fois. Aussi, cela permet de mieux étaler les calories au fil de la journée. Au-delà de l’aspect nutritionnel, le goûter a également des vertus pour la sphère sociale de l’enfant. En effet, c’est le moment de se retrouver avec ses parents, sa nounou ou ses frères et sœurs et échanger à propos de la super journée qu’il vient de passer. Et puis, c’est un moment de plaisir sans précédent ! Vos adorables têtes
blondes ne méritent-ils pas cela après une journée bien chargée ?
Un goûter oui, mais équilibré !
Certaines personnes pensent qu’en mangeant un goûter, leurs enfants seront plus corpulents que leurs copains qui n’en mangent pas. C’est faux ! Au contraire, une étude a démontré que les personnes qui consommaient un 4h étaient plus minces que les autres. Effectivement, si le goûter est composé de sodas, biscuits et pâte à tartiner, il y a un risque de prendre du poids sans compter que les besoins en vitamines ne sont pas satisfaits. Pour que votre petit bout fasse le plein en vitamines, nutriments, le goûter idéal comporte : - Une boisson pour s’hydrater. Servez de l’eau, un jus de fruit ou du lait. Le coca ou autre boisson hyper sucrée comme l’Iced Tea est prohibé, sauf
occasions spéciales. - Un aliment céréalier pour l’apport d’énergie, de fibres, vitamines et minéraux. Là il y a du choix : du pain, des biscottes, des barres céréalières, des biscuits pas trop gras avec quelques carrés de chocolat. De temps en temps, un pain au chocolat ou autre viennoiserie ne fait pas de mal, mais attention que ça ne devienne pas une habitude. - Un produit laitier pour donner du calcium et renforcer les os. Cela peut être le fameux verre de lait, un yaourt, du fromage blanc ou un fromage type La Vache Qui Rit. Ils en raffolent ! - Un fruit pour faire le plein de vitamines et de fibres. Là, il a carte libre, il n’y a pas de fruit à proscrire. Pourquoi ne pas sensibiliser votre bout de chou aux saisons par le biais du goûter ? Un jus ou une compote peuvent se substituer au fruit entier même s’il est conseillé de le manger
en entier, pour profiter de toutes ses vertus. Après ça, votre enfant aura fait le plein de vitamines pour le reste de la journée !
Les règles de la dégustation
Le goûter doit être un moment de plaisir et de repos. L’enfant a besoin de certain temps calmes dans la journée, et le goûter en fait partie (hormis les goûters d’anniversaires qui sont un évènement à part). Pour
qu’il le savoure pleinement, il faut donc que ce soit dans un cadre calme. Il est aussi préférable de ne rien faire en même temps pour davantage profiter. Exit la télévision, la console vidéo ou autre. Si vous avez plusieurs enfants, le goûter est justement le moment idéal pour réunir la fratrie et que chacun se raconte la trépidante journée d’écolier qui vient de s’achever. L’heure idéale se situe entre 16h et 17h, à mi-parcours entre le déjeuner
LE PIÈGE DES BISCUITS INDUSTRIELS
Tous les parents n’ont pas le temps ou même l’envie de faire des goûters maison. Et ça se comprend ! Cependant, la solution de substitution des biscuits industriels est à prendre avec précaution. La consommation de biscuits est très présente en France, et les marques savent y faire, mais ces produits ne sont pas conseillés pour une consommation régulière car très gras, avec beaucoup de sucre et même du sel. Certes, il faut de la matière grasse pour le développement de nos enfants, mais de la bonne matière grasse. Or, les biscuits industriels contiennent des ingrédients controversés comme l’huile de palme hydrogénée (plus riche en graisses). Ces mauvaises matières grasses, dites trans, seraient à l’origine de problèmes de cœur et de circulation. Sachez néanmoins que les acides gras saturés ne sont pas dangereux, simplement à consommer avec modération. Les biscuits, en plus d’encourager le grignotage, désincitent aussi les enfants à s’orienter vers des produits plus sains comme les fruits ou même le pain. Et puis, les biscuits industriels ont des ingrédients douteux, les additifs, dont on ne comprend pas ce qu’ils viennent faire là. Un maître mot donc : la prudence ! Prenez bien le temps de lire les étiquettes avant d’acheter. Les biscuits type Petit Beurre sont plutôt conseillés.
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MIAM
et le dîner. Il ne faut pas qu’il s’éternise, 15 minutes suffisent.
Youpi c’est mercredi !
Les goûters du mercredi et du week-end ont forcément une saveur particulière. Nos marmots ont la journée devant eux pour faire ce qu’ils veulent. Pourquoi ne pas rendre le 4h un peu spécial, à l’image de cette journée ? C’est l’occasion de prendre plus de temps pour élaborer le goûter et rassembler petits et grands dans la cuisine autour d’une recette culinaire. Pourquoi pas des crêpes ou un bon gâteau ? Avec modération bien sûr ! De temps en temps, vous pouvez aussi proposer un soda et des bonbons.
La recette d’un goûter presque parfait
Et maintenant, mettons toutes ces « règles » en pratique et élaborons la recette (homemade) du goûter presque parfait pour entamer l’année scolaire sur de bonnes bases. Au menu : - Un milk-shake de saison. Pour la rentrée, ce sera aux fruits rouges. - Le pain du boulanger avec de la pâte à tartiner maison. - Un fruit de saison, ici une pêche. - Un verre d’eau Le milk-shake aux fruits rouges (pour 2 enfants) Ingrédients :
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- 1 grand verre de lait (50 cl) - 200g (fraises, framboises, myrtilles) - 1 cuillère à soupe de sucre - 2 bananes coupées Préparation : - Versez tous les ingrédients dans un blender, en commençant par le lait - Mixez le tout jusqu’à obtenir une texture bien lisse. Servez & dégustez. La pâte à tartiner C’est bien connu, les enfants adorent le Nutella ! Le problème c’est que cette pâte gourmande est très (trop) riche en matières grasses et certains ingrédients comme l’huile de palme sont assez controversés. D’où tout l’intérêt de faire sa pâte à tartiner maison ! Ingrédients : - 50g de noisettes pelées et grillées (non salées). - 50g de sucre glace - 60g de chocolat au lait - 60g de chocolat noir - 40g de sirop d’érable ou de sirop d’agave. - 20cl de lait concentré (non sucré de préférence) Préparation : - A défaut d’avoir des noisettes pelées et grillées, faites passer au four vos noisettes à 180° pendant 10 minutes. Mettez-les ensuite dans un torchon propre et frottez-
les les unes contre les autres, elles se pèleront toutes seules. - Placez les noisettes et le sucre glace dans un mixeur, que vous laissez en marche entre 5 à 10 minutes, le temps d’obtenir une pâte souple. - Coupez les chocolats en petits morceaux et faites-les fondre à feux doux dans une casserole avec le lait concentré. Remuez régulièrement. - Une fois le mélange bien homogène, rajoutez le sirop puis mélangez. Faites épaissir la pâte à feux doux. - Incorporez la pâte de noisettes, mélangez énergiquement hors du feu jusqu’à l’obtention d’une pâte homogène. - Mettez-la dans le bocal de votre choix et réservez au frais. N’hésitez pas à varier les plaisirs avec une pâte d’amande au lieu de la pâte de noisettes, en rajoutant de la noix de coco ou en vous lançant dans d’autres recettes de pâte à tartiner. Quelques idées pêle-mêle : pâte au spéculoos, pâte au chocolat blanc, crème caramel, crème au carambar, crème de citron,... Laissez parler votre imagination ! Avec tous ces bons conseils, pas de risque que le goûter soit raté ! Bonne dégustation. n
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RECETTES
MINI POTAGERS À MANGER Pour 12 pièces
PRÉPARATION
20 MIN CUISSON
5 MIN
6 Galettes Bretonnes pur beurre KER CADELAC© 1 Moelleux Chocolat KER CADELAC© 50 g de beurre mou 200 g de chocolat noir 50g de sucre 3 oeufs 100 g de pâte à sucre orange 12 petits brins de fenouil Matériel : 1 plaque de moules à cannelés en silicone 2 poches à douille 1 pique en bois type cure-dent
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n Pour la mousse au chocolat : Faire fondre le chocolat au bain-marie. Réserver. Casser les œufs et séparer les jaunes et les blancs. Dans un saladier, à l’aide d’un fouet, blanchir les jaunes d’œufs et le sucre. Ajouter le chocolat fondu. Réserver. Battre les blancs en neige ferme et les incorporer délicatement à la préparation. Remplir les deux poches à douilles de mousse au chocolat et réserver au frigo au moins 3 h. n Pour la base biscuits : Préchauffer le four à 200°C. Dans un saladier, écraser les Galettes Bretonnes pur beurre KER CADELAC© et les malaxer avec le beurre mou, pour obtenir une pâte homogène. Tapisser les empreintes du moule en silicone de cette pâte, pour en faire des mini cups. Enfourner 5 minutes à 200°C, puis laisser refroidir. n Pour les carottes : Faire 12 petites boules de pâte à sucre et les rouler pour former une demicarotte. A l’aide d’une pique en bois, faire un trou sur le haut de la carotte et y « planter » un brin de fenouil. Réserver. n Pour le montage : Une fois la mousse au chocolat prise, démouler les cups de Galettes Bretonnes KER CADELAC© et les remplir de mousse au chocolat. Emietter quelques parts de Moelleux Chocolat KER CADELAC© par-dessus et déposer une mini carotte sur chaque cup.
SUCETTES DE MADELEINES “COLOR CHOC” Pour 4 personnes
PRÉPARATION
15 MIN CUISSON
20 MIN
1 paquet de 12 Madeleines Cœur Fraise KER CADELAC KIDS© 200 g de chocolat blanc pâtissier Quelques gouttes de colorant alimentaire rouge Vermicelles colorés Matériel : 12 bâtonnets en bois pour esquimaux
n Faire fondre le chocolat blanc au bain marie. n Ajouter quelques gouttes de colorant rouge dans le chocolat blanc fondu, en fonction de l’intensité de couleur voulue, et bien mélanger. n Piquer les Madeleines Cœur Fraise KER CADELAC KIDS© avec les bâtonnets pour esquimaux. n Les tremper dans le chocolat fondu et les parsemer de vermicelles colorés. n Laisser figer à la verticale avant de servir. Notre astuce : Testez une variante avec les Madeleines Cœur Chocolat goût Noisette KER CADELAC KIDS©, à napper de chocolat au lait !
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CAHIER
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L’HISTOIRE
PETITS PORTRAITS...
Dans le cahier de textes de Mélodie et Arthur, un premier devoir. Le jour de la rentrée, l’institutrice de ces deux élèves de CM1 leur a confié une jolie mission : dresser le portrait de leur petit camarade. Portrait de Mélodie a trouvé un nouveau travail à Paris. Elle aime bien la Mélodie a neuf ans. Avant, elle habitait à Bordeaux mais son papa elles font tout le temps du « shopping » (son mot maman, capitale, surtout la Tour Eiffel et les grands magasins. Avec sa veut être styliste de mode ou mannequin, pour Mélodie tard, Plus res. chaussu des et robes des préféré) pour acheter toujours avoir de nouveaux habits. on, où elle peut se faire plein de nouvelles copines. A l’école, ce qu’elle préfère, c’est le dessin, la poésie et la récréati de la cantine. ine Ce qu’elle n’aime pas, ce sont les maths, les dictées et la macédo et m’a même proposé de prendre le goûter gentille est Elle aussi. p beaucou parle Elle temps. le tout Mélodie sourit peu moins bavard qu’elle ? un est qu’il e Peut-êtr et. perroqu son Didl, e chez elle pour que je rencontr Elle écrit des chansons. Et avec son passion. autre une a Mélodie s, Quand elle n’est pas à l’école ou dans les boutique aussi le cinéma, le pop-corn, les adore elle Oui, cinéma. petit harmonica rose et violet, elle fait des musiques pour le fiction et ça, c’est plutôt chouette... Mélodie, sciencede films les aussi aime Elle . d’amour s histoire les et belles actrices c’est sûr, c’est une nouvelle amie ! Portrait d’Arthur à la campagne avec plein d’animaux, comme chez Arthur a neuf ans et a toujours habité Paris. Il aimerait bien vivre faire basketteur, vétérinaire ou joueur d’échecs. veut Arthur grand, sera il Quand été. sa mamie où il se rend chaque . Quand il rentre chez lui après l’école, il copains de plein a il où club Il adore les échecs et fait même partie d’un pourrait m’apprendre à jouer si je voulais. qu’il dit m’a Il . continue de jouer contre un ordinateur, pour être le meilleur ica. l’harmon de jouer à e apprenn qu’il n J’ai dit oui à conditio iques et les débats. Pourtant, dans la cour de A l’école, Arthur adore les mathématiques, les expériences scientif à lever le doigt. Il adore apprendre des premier le toujours c’est récréation, il est plutôt timide. Mais en classe, èque où elle travaille. Arthur aime toutes les biblioth la de nouvelles choses et lire les livres que sa maman lui ramène cantine, comme moi. la plus non pas n’aime Il se. ennuyeu trouve qu’il e, l’histoir matières sauf gé. Il est très triste car en classe, il s’asseyait L’année dernière, Arthur avait un super copain, Yacine, qui a déména il dit que je suis trop bavarde. Tant pis pour lui, mais lui, de côté à ir toujours à côté de lui. Moi j’aimerais bien m’asseo on se verra à la récréation !
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MA QUESTION
COMMENT BIEN RÉUSSIR MON ANNÉE SCOLAIRE ?
Les vacances sont finies et te voilà parti pour une nouvelle année scolaire, pleine de surprises. Entre nouveaux apprentissages et grandes aventures, voici quelques conseils pour passer ce cap, en toute tranquillité.
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Une bonne hygiène de vie Après les vacances d’été, ses veillées et repas sur le pouce, il est toujours difficile de retrouver une hygiène de vie et un rythme parfaits pour attaquer la rentrée du bon pied. Se coucher tôt, prendre un bon petit-déjeuner avant de partir à l’école et pratiquer un peu de sport : voilà les trois règles à observer pour que tu sois au top toute l’année ! De l’organisation ! L’organisation, c’est la clé d’une année scolaire réussie. Un bureau bien rangé, un cartable bien fait, des cahiers et copies bien classés : il ne te manque plus qu’un bon emploi du temps (pas trop surchargé) dans lequel seront inscrites non seulement tes heures de cours mais aussi tes activités extrascolaires, et le tour est joué ! Résiste à la pression Avoir de bonnes notes c’est une question de connaissances et de travail, mais c’est aussi une question d’état d’esprit. Aborde le programme avec sérénité, sans stress, en faisant régulièrement le point sur tes acquis et tes éventuelles lacunes. Cela te permettra de savoir où tu en es et surtout de ne pas te sentir débordé par les événements.
Demande de l’aide autour de toi Pour bien apprendre, il faut accepter que parfois, tu n’arrives pas à comprendre quelque chose. N’aie surtout pas honte et ne panique pas, tu as certainement un professeur, un parent, une grande sœur ou un voisin qui peut t’aider à passer cette difficulté. D’autres activités pour souffler En dehors des heures d’école, il est important de t’aménager des séances de travail à la maison, pour faire tes devoirs, mais pas seulement. Tu as aussi besoin de dépenser de l’énergie physique en faisant du sport, ou consacrer quelques heures de ton temps pour une passion comme le piano ou le dessin par exemple. Oui, c’est bon pour le moral de sortir le nez de ses livres de temps à autres !
Prends le temps de t’amuser Entre l’école, les devoirs, les activités extrascolaires et les corvées à la maison, ton emploi du temps est plutôt chargé. Profite des weekends, vacances et autres jours fériés pour te détendre en famille ou avec tes copains. Ne penser à rien et s’amuser, parfois, ça fait aussi du bien !
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