Baticonfort n° 66 Hiver 2013/14

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N° 66 Hiver 2013-2014 · Prix : 2,50 e

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le bois dans l’habitat…

Prochain n° 67 - Printemps 2014 - Spécial Batibouw

17e année· édition Wallonie/Bruxelles

Photo © Tom Wood - Thomas & Piron

baticonfort 66 · hiver 2013-2014 Dossier

16e année

Le bois dans l’habitat. . . . . . . . . . . . . . . . 2 à 15 Editeur responsable : UNI-MEDIA éditions Rue Monfort , 8 4430 ANS Tél. : 04 224 74 84 Fax : 04 224 23 69 e-mail : f.salmon@uni-media.be www.baticonfort.be www.uni-media.be

Rédaction : Rédactionnel dossiers : Fabienne RICHARD Prépresse : Agence Quadrato communication

Partenaires web : www.baticonfort.be, www. uni-media.be, organisateurs foires & salons (voir leur site en période de salon).

Vendu 2,50 e.Tondeur Diffusion : dans toutes les librairies de Wallonie et Bruxelles.

Gratuit : Après la vente, sur les salons partenaires.

Production/Impression : éditions UNI-MEDIA, Françoise Salmon, Responsable de production (f.salmon@uni-media.be).

Conception graphique/mise en page : Quadrato communication - 04 341 25 21 Impression : Imprimerie Bietlot SA Comptabilité : Editions UNI-MEDIA Myriam OLWI : m.vanroy@uni-media.be

Bois & Habitat 2014 : éloge de la mixité. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7 à 11 Le bois, un matériau fiable et sous contrôle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13-15 Batibouw 2014 : les thèmes. . . . . 17-23 systèmes constructifs en bois. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25 à 27 ossature bois & acoustique . 29-31 menuiserie intérieure Escalier. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33 Portes intérieures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35 Parquets . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37 Qualiwatt . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39 menuiserie extérieure Fenêtres coulissantes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41 Portes extérieures. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43 Charpente traditionnelle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45 Couleurs 2014-2015 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55

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Tirage : 8.000 exemplaires par édition.

Le magazine Baticonfort est contrôlé par le CIM.

Copyright Uni-media 2013-2014 - Toute reproduction, même partielle, interdite.

Poêles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50 à 57 Pellets . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50-51 & 56-57 Nouveautés 2013 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53 travaux Concrétisez vos travaux en une seule démarche. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40 prochain numéro 67 · printemps 2014 Spécial Batibouw 2014 Primes et aides 2014 Moderniser ses équipements : chauffage, sanitaire, petit et gros electro, éclairage, domotique, etc.

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La construction bois, à la fois écologique et légère, isolante et respirante, séduit les candidats-bâtisseurs les plus avertis. Fort de ce constat, Thomas & Piron lançait, il y a 2 ans, la marque Tom Wood proposant des maisons à ossature bois. Afin d’encadrer au mieux ses clients, la firme vient d’inaugurer un nouveau centre de l’information du bois hébergeant trois espaces : une maison témoin, un pôle technique, et un bâtiment commercial et administratif…

Nouveau centre de l’information du bois Tom Wood :

bien plus qu’une maison témoin !

L’esprit bois fait de plus en plus d’adeptes, que ce soit pour des raisons scientifiques, écologiques ou philosophiques. En tant que leader du marché, Thomas & Piron a répondu aux aspirations de cette nouvelle catégorie de candidats-bâtisseurs via son département Tom Wood. « Avec la création du nouveau centre de l’information du bois, nous souhaitions placer le client dans des conditions optimales.

En effet, la maison témoin leur permet de découvrir un large éventail de possibilités techniques et esthétiques, tandis que le centre technique – hébergeant les ingénieurs, architectes et dessinateurs – répond directement à leurs questions les plus pointues. Le pôle commercial, enfin, les informe et les aiguille tout au long de la démarche ».

Une situation stratégique

Ce centre de l’information du bois de 800 m2 s’est pas installé à Beuzet (Gembloux), « à l’épicentre du Brabant wallon, du Namurois, de la Basse-Sambre et de Charleroi. La E42 est également très proche. Nous sommes

donc facilement accessibles à tous les Wallons ! ».

La force de frappe de Thomas & Piron

Avec déjà 80 maisons achevées ou en cours, Tom Wood remporte, deux ans après sa création, un beau succès. « Tom Wood profite évidemment de la connaissance du métier en aval et en amont de Thomas & Piron, ce qui inclut les métiers liés à la finition, ainsi qu’à la pose des châssis, ou encore à la PEB. Voilà qui est rassurant !

Pourquoi l’ossature bois ?

« Parmi les systèmes constructifs en bois existants, nous avons opté pour l’ossature bois parce qu’elle est moins chère, plus performante au niveau de l’isolation, et qu’elle est souhaitée par environ 80% des candidatsconstructeurs optant pour le bois. » C’est le procédé ancien des maisons à colombages dont certaines comptent plusieurs centaines d’années. « À la seule exception que l’ossature était à l’époque remplie de torchis ou de maçonnerie de moindre qualité.

Chez Tom Wood, en revanche,

nous utilisons des isolants très performants, tels que la laine de verre, et parfois de l’ouate de cellulose. Un must au niveau isolation ! »

À la carte !

Toutes les maisons en bois Tom Wood présentent des performances énergétiques exceptionnelles. Les clients ont néanmoins la possibilité de choisir le degré d’isolation souhaité, en fonction de leur budget. « Le standard affiche un admirable K32, donc bien supérieur aux exigences wallonnes actuelles, qui se situent à K45. Nous pouvons bien entendu aller encore plus loin, puisque nous proposons des maisons passives, le bois étant exceptionnel en termes d’isolation. »

Une clientèle avisée

Chez Tom Wood, les candidats– constructeurs sont « intellectuels et bien renseignés ». La clientèle connaît en général bien le sujet ‘bois’. Elle a également une sensibilité écologique.

Souplesse et légèreté

D’un point de vue architectural, l’ossature bois est particu-

lièrement flexible. « Ce type de construction s’adapte à tous les terrains, tous les types d’architectures et tous les styles. La légèreté du bois constitue un atout supplémentaire, car il y a moins de masse à soutenir ». Cette construction sèche est en outre plus rapide dans sa mise en œuvre que les projets traditionnels. Enfin – et c’est important de le souligner – une maison à ossature bois ne brûle pas plus vite qu’une traditionnelle. Les assurances pratiquent d’ailleurs les mêmes tarifs pour les deux types de construction.

La nouvelle maison témoin à ossature bois Tom Wood est une belle illustration du savoirfaire de la firme. Vastes espaces ouverts, technologies de pointe et décoration soignée : tout y est ! Elle est visible chaussée de Namur 403 à 4030 BEUZET (Gembloux) Ouverte du lundi au dimanche de 14 à 18h00

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le bois dans l’habitat Bois et matières C’est le thème choisi pour la 16e édition de Bois & Habitat.

De la construction à la décoration intérieure en passant par le design et l’architecture, le bois se combine harmonieusement avec de nombreuses matières.

Des associations classiques telles que bois et pierre, bois et béton, bois et métal, mais aussi des duos raffinés comme bois et verre. Des rencontres moins attendues seront également au programme comme l’audacieuse alliance bois et textile (feutre ou laine) ou encore bois et paille.

Sols, murs, mobilier, cuisine, salle de bain, charpente, fenêtres, lambris, bardages…

le bois a sa place partout dans la maison !

Dossier réalisé en collaboration avec les organisateurs du salon Bois & Habitat, partenaire pour l’information.

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Dans le domaine de l’aménagement intérieur et du design, les professionnels marient de longue date le bois avec d’autres matériaux. Mais depuis déjà quelque temps, c’est également le cas dans le domaine de la construction grâce aux nombreux progrès techniques en la matière accomplis ces dernières années.

dossier bois & habitat

© Tom Wood - www.tomwood.eu

Bois & Habitat 2014 :

éloge de la mixité

Le bois admet toutes les audaces, tant architecturales que structurelles.

Les qualités esthétiques des solutions techniques qu’offrent le bois et la palette de teintes disponibles permettent une grande faculté d’intégration. La brique, le béton, la pierre bleue, le grès, le schiste, le crépi, l’ardoise, le verre sont autant de matériaux susceptibles de se combiner avec le bois et de donner des résultats du plus bel effet.

La construction en bois s’affranchit désormais des stéréotypes réducteurs et a un bel avenir devant elle.

La mixité des matériaux : un facteur de créativité

Le bois est capable de s’harmoniser de belle manière avec les autres matériaux, il est le matériau de la mixité par excellence. En architecture, il porte, renforce, accompagne et dialogue avec les autres matériaux. Il leur apporte de nouvelles possibilités techniques et esthétiques, mais il profite également de cette association et reçoit en échange.

Le bois offre son côté chaleureux et naturel et un cachet

particulier à une construction.

On se sent toujours attiré par le bois et proche de lui. Le bois continue toujours à évoquer la nature et la forêt.

Quand on souhaite associer le bois à d’autres matériaux, se pose la question de la faisabilité technique. Chaque matériau possède ses spécificités, ses points forts et ses faiblesses. Tous les matériaux pourraient être associés s’il n’y avait pas le problème de leur compatibilité. Après des années de recherche et d’essai, les spécialistes ont dégagé des couples réussis.

Nathalie François, ingénieur

architecte ayant séjourné longuement en Suisse dans le cadre d’un Master en Construction bois, distingue les associations à vocation structurelle et celles à vocation esthétique.

Comme exemple de mixité structurelle, on trouve le couple « bois et béton », au niveau du plancher, une association dans laquelle chaque matériau travaille au mieux de ses possibilités, le béton en compression et le bois en traction.

Le couple « bois et acier » permet une association de type poutres en treillis, plus légères

et à l’esthétique originale.

L’association « bois et verre » est plus récente : réaliser des poutres en I avec une âme en verre.

D’un point de vue esthétique, les possibilités semblent infinies. Chaque région possède des matériaux typiques pour créer de belles associations : bois et pierre à Namur ou Liège, bois et briques dans le Hainaut. Le crépi, qui se rencontre de plus en plus, permet également de créer de beaux contrastes.

Source : Valbois RN - www. je-construis-avec-le-bois.org baticonfort 66 · hiver 2013-2014 ·

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Extension bois en rénovation L’achat d’une maison existante conduit souvent à envisager une extension de celle-ci, soit pour agrandir le séjour ou pour créer une salle à manger ou un jardin d’hiver. Parfois, il s’agit de créer une véritable annexe de deux étages pour obtenir une ou deux chambres à coucher supplémentaires.

Quoi qu’il en soit, une extension constitue toujours une

modernisation de votre patrimoine et lui ajoute de la valeur.

L’extension bois a la cote ces dernières années. Elle comporte de nombreux avantages : outre qu’elle ajoute un volume architectural nouveau et dynamique, et un cachet supplémentaire à votre maison, elle apporte également plus de lumière, car on en profite pour créer une large baie vitrée sur le jardin ou la campagne environnante. De plus, elle offre une performance énergé-

tique répondant aux normes actuelles, générant bien-être et économies.

L’extension bois est une solution plus économique que la construction traditionnelle et constitue une alternative rapide, économique et adaptable à tout environnement par rapport au marché de l’immobilier en hausse constante.

Le bois est écologique, car renouvelable et recyclable, tout terrain et léger. Il se marie avec tous les matériaux,

s’adapte à tous les styles, se monte et se démonte selon les besoins, et qui plus est, très esthétique, en offrant un large choix d’essences.

L’ossature bois est très légère, elle génère moins de tassements et ne nécessite pas de fondations importantes.

Cette extension peut s’inscrire dans la continuité du bâtiment existant, mais peut aussi être l’occasion de rompre avec son style.

Cette extension de maison en bois et à ossature bois a permis d’agrandir le séjour de 24 m2.

Un bel exemple de mixité des matériaux où le bois se marie harmonieusement à la brique et aux châssis en aluminium, offrant un design sobre, très contemporain.

© Architecture & Bois -www.architecture-bois.be

Espace de la formation et des métiers du bois Cet espace sera situé à l’entrée du salon (Hall 2) et comprendra des espaces d’informations et des espaces de démonstrations. Les visiteurs pourront prendre connaissance de l’incroyable diversité des métiers du bois et de la grande maîtrise que réclame le travail des artisans.

Le Centre des métiers du patrimoine de la Paix-Dieu et l’Union des Artisans du Patrimoine veilleront à sensibiliser les visiteurs aux métiers du patrimoine, un secteur encore méconnu et pourtant riche de potentialités. Tous les professionnels en conviennent : l’artisanat est une voie royale vers des métiers exceptionnels, notamment dans le domaine du bois. On peut réaliser une multitude de choses avec le bois : bâtiments, mobiliers, objets d’art, etc. Les pouvoirs publics et le secteur de la construction ont un grand besoin d’artisans capables de participer à des chantiers de restauration.

Les artisans sont détenteurs d’un savoir inestimable qui constitue souvent les bases du métier et ce savoir a malheureusement tendance à disparaître.

L’Association des Compagnons du Devoir et le Centre de Formation Bois s’attèleront à monter un échantillon de construction à ossature bois, ce qui leur permettra de montrer l’ensemble des compétences nécessaires pour y parvenir : dessin à la main, conception assistée par ordinateur, charpentier, constructeur, monteur, etc.

Contrairement à l’une des nombreuses idées reçues concernant le bois, ce type de construction exige une grande maîtrise technique. La sélection de l’essence, l’époque d’abattage, la technique de débitage, le taux d’humidité, la qualité de la mise en œuvre influent énormément sur la pérennité du bois d’œuvre.

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Les deux questions essentielles à se poser lorsque le choix se porte sur le bois en construction sont : quelles sont les essences qui conviennent pour l’usage envisagé et quelles exigences particulières nécessite la bonne mise en œuvre du matériau ?

Le bois n’est pas un matériau produit, comme le béton, l’acier ou le verre par exemple, selon des procédés contrôlés. Comment choisir le bois pour un usage donné ? Il y a tout d’abord le choix de l’espèce, des performances mécaniques de l’essence choisie.

On peut aussi opter pour des produits à base de bois, de bois reconstitué ou de lamellé-collé et, dans ce cas, des questions se posent quant aux performances du produit lui-même, ainsi que du procédé de production, quant à la nature des différents composants, à leur éventuelle toxicité, etc.

Le bois,

un matériau fiable et sous contrôle Normalisation du matériau Pour informer les utilisateurs sur ces différents points, la Filière bois s’est déjà dotée d’une très large gamme d’outils. Les normes tout d’abord : tel nom commercial correspond à telle espèce, telle qualité satisfait à tels critères…

En évoluant, les normes ont également défini des exigences minimales pour un emploi déterminé (résistance du joint de colle du lamellé-collé, perméabilité à l’eau des châssis de fenêtre…) ainsi que des règles de contrôle de la production (performances mécaniques des panneaux à base de bois, des bois de structure…). Pour

suivre le marché, les normes ont dû s’européaniser : les normes EN, produites par le Comité Européen de Normalisation, se substituent peu à peu aux normes nationales (normes NBN produites par l’Institut Belge de Normalisation).

Lorsqu’un produit à base de bois ou une application du bois ne fait pas encore l’objet de

normes, sa fabrication ou son exécution peut être décrite par des documents dits « à caractère normatif » (STS, ATG…), ce qui implique une vérification régulière, par un organisme agréé, de la conformité du produit ou du système avec l’agrément publié.

Le CSTC (Centre Scientifique et Technique de la Construction)

Le bois dans la cuisine : élégance et modernité Le bois affirme un retour en force en cuisine et nous séduit par son côté authentique, naturel et ressourçant.

Robuste et chaleureux, il a tout à fait sa place dans les cuisines d’aujourd’hui, les fabricants l’ont bien compris.

En cuisine, le bois réapparaît de plus en plus aujourd’hui sous forme de parquets et de lambris colorés. La tendance est aux lames larges et aux finitions huilées.

La cuisine rustique réapparaît dans certaines maisons, avec des bois nobles tels que le chêne, le merisier ou le noyer La cuisine provençale, tout en couleurs, a toujours des adeptes : ses finitions anciennes – patines, céruses et bois rechampi – apportent un charme coquet et suranné, la douceur d’antan…

Mais c’est la cuisine contemporaine qui a la cote, avec son mélange de matériaux dans un style épuré. L’inox, l’acier et le verre y côtoient des bois clairs tels que le pin, le hêtre, le frêne ou encore des bois laqués foncés. Les dérivés du bois tels que le contreplaqué, l’aggloméré ou le stratifié sont également bien présents et permettent des formes audacieuses.

© Mobalpa - www.mobalpa.be

La table en bois est très tendance depuis déjà un certain temps : l’accent est mis sur la convivialité et la finition protectrice permet un usage répété. L’association bois et métal a également la cote : piétement en acier brut verni ou peint et plateau en bois épais.

Hestia de Mobalpa : bois et modernité Une cuisine épurée et très authentique cependant, en chêne clair associé à la céramique pour le plan de travail et la crédence.

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élabore en outre des notes d’information technique à l’usage des professionnels. Ce sont des publications conçues comme des codes de bonne pratique dans un domaine déterminé de la construction (parquets, menuiseries extérieures…).

Les documents à caractère normatif sont des outils très précieux pour la rédaction d’un cahier des charges. Comme les normes, ils constituent une référence en cas de litige.

Le marquage CE Il faut ajouter à cette gamme d’outils le marquage CE. À l’échelle européenne, la Directive Produits de Construction (DPC) exige désormais que les produits de construction permettent la réalisation d’ouvrages qui satisfont à six exigences essentielles de sécurité, de santé publique, de protection des consommateurs et de l’environnement.

Ces exigences sont traduites en critères repris dans des spécifications techniques harmonisées et sur base desquels un produit est évalué. Ces spécifi-

cations techniques sont élaborées soit par le CEN (Comité Européen de Normalisation) sous la forme de normes harmonisées européennes, soit par les organismes d’agrément membres de l’« European Organisation for Technical Approvals » sous la forme d’ETA, agréments techniques européens. La mise sur le marché ainsi que la libre circulation d’un produit ne sont autorisées que si celui-ci satisfait aux spécifications techniques harmonisées européennes.

De quoi offrir toutes les garanties de durabilité et de sécurité aux consommateurs.

Pour une mise en œuvre optimale Le bois possède des caractéristiques qui le distinguent assez nettement des autres matériaux. En conséquence, des qualifications particulières pour le mettre en œuvre sont requises. Le consommateur doit avoir la garantie que l’artisan auquel il souhaite confier l’exécution d’un ouvrage en bois dispose bien de ces

qualifications particulières. Également des garanties sur le comportement de cet ouvrage à l’usage. Comment évoluera son aspect, compte tenu des finitions qui ont été appliquées ? Quelles doivent être, en ces matières, les exigences du maître d’ouvrage ?

Le champ d’application des « documents à caractère normatif » s’étend à la mise en œuvre. Certains sont essentiellement consacrés à la construction bois. Par ailleurs, toujours dans le domaine de la construction bois, l’offre de formations s’enrichit régulièrement à différents niveaux et le fossé qu’un vif engouement pour le bois a pu creuser entre la demande et les compétences disponibles se comble maintenant.

D’autant que les professionnels eux-mêmes souhaitent se distinguer des touche-à-tout plus ou moins habiles pour valoriser leurs qualifications et leur expérience. Parmi d’autres, la formation continue « Le bois dans la construction », coordonnée par l’Université catholique de Louvain, la formation « Monteur Maisons Bois »,

coordonnée par le Centre de Compétence Wallonie Bois, la richesse du catalogue du Centre de Formation Bois sont autant de moteurs d’une hausse du niveau de qualification des professionnels.

Mais l’outil le plus efficace dont puisse se servir un maître d’ouvrage pour garantir la bonne mise en œuvre du bois ou des produits à base de bois reste toutefois un cahier des charges de qualité, c’est-à-dire un cahier des charges adapté à l’ouvrage et qui s’appuie sur toutes les références existantes.

C’est l’architecte qui donnera toute sa puissance à cet outil, grâce à un suivi attentif.

Article rédigé avec l’aimable collaboration d’Emmanuel Defays, Dr Ir. Directeur général de l’Office Économique Wallon du Bois et Benoit Jourez, Dr Ir. Région wallonne DGRNE, Centre de Recherche de la Nature, des Forêts et du Bois (CRNFB).

Le bois dans la salle de bain : noblesse et pureté imprégné de résine.

Les meubles sont en bois massif ou en matériaux composites plaqués. La mixité des matériaux donne un cachet particulier à votre salle de bain grâce au mariage du bois mat clair et de la porcelaine blanche et brillante.

Sans oublier la touche déco avec des

accessoires en bois clair ou foncé, tels que porte-savon ou porte-serviette.

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Depuis quelques années, le bois a fait son entrée dans la salle de bain. Longtemps soupçonné de mal supporter l’humidité, le bois défie peu à peu ces préjugés et s’affirme désormais comme le matériau idéal pour créer une ambiance chaleureuse dans une pièce qui est aujourd’hui dédiée à la détente et au bien-être. Les saunas nordiques ne sont-ils pas tous en bois ?

Lorsqu’il est bien mis en œuvre, le bois respire et ne craint ni la vapeur, ni la condensation. D’un point de vue esthétique, la multitude d’essences et de finitions disponibles permettent de donner à la salle de bain un style rustique ou classique ou, au contraire, très contemporain.

Pour les murs, le plafond ou les cloisons de séparation, le lambris ciré ou huilé est particulièrement chaleureux, il peut être peint dans des couleurs vives ou pastel. Pour le sol, quoi de plus agréable qu’un parquet en bois, douillet pour les pieds. L’essence et la mise en œuvre seront adaptées à une salle d’eau et les conseils d’entretien seront suivis à la lettre.

Du côté du mobilier, le bois inspire beaucoup les designers d’aujourd’hui. Ils nous proposent des baignoires, bacs de douche et lavabos en lamellé-collé ou en bois

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L’édition 2014 du salon Batibouw s’articulera comme d’habitude sur trois thèmes : la construction « presque » zéro énergie, l’habitat abordable et le bois comme atout de l’authenticité.

Quelques détails…

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Habitation « bioclimatique », équipée de toutes les techniques récentes favorisant les énergies renouvelables : chaudière Okofen à pellets, VMC storkair, puits canadien, panneaux solaires thermiques, électricité domotique. Construite en partenariat avec l’action « Construire avec l’énergie ».

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La construction « presque » zéro énergie On le sait maintenant, à partir de 2021, les nouvelles constructions dans toute l’Europe devront présenter une consommation énergétique quasi nulle, ce qui est particulièrement ambitieux.

Une habitation presque zéro énergie est une maison qui consomme un minimum d’énergie pour le chauffage, la ventilation, le refroidissement et la production d’eau chaude. De plus, elle produit elle-même l’énergie qu’elle consomme via les techniques les plus connues que sont les panneaux photovoltaïques, le chauffe-eau solaire et la pompe à chaleur.

Il convient en premier lieu de connaître vos besoins en énergie et votre mode de vie : c’est sur cette base que l’on déterminera comment produire l’énergie nécessaire et quel sera le dimensionnement des installations.

La maison zéro énergie coûte de 10 à 15 % de plus qu’une maison traditionnelle, mais se révèle très économique à l’usage : lampes économiques, appareils électroménagers peu énergivores.

En additionnant les économies, ce type maison peut être très vite rentabilisé ! Les réductions d’impôt ont été supprimées, mais les primes sont toujours actives : 6.500 euros pour la construction d’une maison unifamiliale passive en Région wallonne et de 40 à 80 euros/m2 selon la taille en Région bruxelloise. Pour la rénovation passive, la Région bruxelloise accorde de 100 à 140 euros/m2 selon la taille du bâtiment.

Si vous avez un projet de construction, il est temps d’opter pour l’habitation passive pour bénéficier de cette prime qui risque de disparaître dès que la norme deviendra obligatoire.

Votre bâtiment n’en aura que plus de valeur et pourra soutenir la comparaison avec les futures nouvelles constructions.

La situation en Belgique Les différentes Régions ont entrepris des démarches pour atteindre cet objectif européen. À partir du 1er janvier 2014, la Flandre réduire le niveau E maximum pour les nouvelles constructions, en le faisant passer d’E70 à E60. La Wallonie reste plus prudente, en pointant 2018 pour renforcer la législation en matière de consommation énergétique. C’est Bruxelles qui marque le plus grand coup : à partir de 2015, la construction passive sera la norme pour chaque projet de nouvelle construction dans la Région de Bruxelles-Capitale.

Cependant, plusieurs questions s’imposent. Qu’en est-il des millions d’habitations existantes, bien souvent décrépies, que compte la Belgique ? Leur consommation énergétique pèsera toujours dans la balance. Respecter les mêmes normes que pour les nouvelles constructions en les rénovant s’avère particulièrement complexe sur le plan pratique, mais aussi très cher. Ce dernier aspect est également un point de plus en plus sensible pour les nouvelles constructions. La question qui taraude tout le monde est : « Combien cela va-t-il coûter ? ».

Il y aura sans nul doute diverses réponses à cette question sur le salon Batibouw 2014.

baticonfort 66 · hiver 2013-2014 ·

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Investir dans une construction ou une rénovation plus écologique et durable est un choix judicieux, personne n’en doute. Améliorer l’isolation et utiliser plus d’énergies renouvelables sont des solutions avantageuses pour le budget, mais aussi pour l’environnement.

Mais qu’en est-il de l’investissement de base ? Il sera sans conteste plus élevé vu le renforcement des exigences énergétiques.

batibouw 2014

L’habitat abordable Des avantages fiscaux

Le gouvernement fédéral a récemment décidé de transformer l’avantage fiscal du bonus logement en une déduction fiscale. Pour les emprunts qui ont été conclus avant 2015, cela représente une déduction au taux d’imposition le plus élevé. À partir du 1er janvier 2015, il s’agira d’un taux fixe de 45 %. Toutefois, ce régime devra être remplacé par des solutions régionales, qui n’ont pas encore été mises au point.

L’ensemble du secteur de la construction, et de l’économie par extension, demande plus de clarté à cet égard après les élections de 2014.

Construire « autrement »

Il existe cependant d’autres

possibilités pour rendre les prix plus abordables. Si les Belges pouvaient choisir, ils opteraient pour une maison isolée. Puisque la réalité les éloigne de plus en plus souvent de ce rêve, nous allons devoir construire différemment : les immeubles ont le vent en poupe et les logements collectifs se multiplient.

En outre, la rénovation et la reconstruction prennent de plus en plus la mesure de la nouvelle construction.

Les appartements basse énergie

Depuis quelques années, les promoteurs immobiliers réalisent des immeubles à appartement sur le principe de la basse énergie. Ces appartements sont plus chers à l’achat, mais ils offrent un grand confort de vie : ils sont spacieux et

L’objectif n’est évidemment pas d’ôter l’envie de construire chez les Belges : il est donc essentiel de proposer des incitants fiscaux intelligents, tels qu’un nouveau bonus logement ou un bonus adapté.

lumineux, ils sont efficients d’un point de vue thermique et acoustique et les finitions sont de grande qualité.

Ces bâtiments présentent un haut degré d’isolation, généralement inférieur ou égal à K30.

Les concepteurs veillent à la bonne orientation de chaque appartement, afin de bénéficier au maximum des apports naturels de soleil et de lumière.

Dans ces appartements, le chauffage collectif est généralement produit par une chaudière biomasse ou une cogénération qui produit simultanément de la chaleur et de l’électricité. La cogénération fonctionne le plus souvent au gaz, mais on peut aussi utiliser des combustibles renouvelables, tels que l’huile de colza ou le biogaz.

Certains immeubles affichent une consommation annuelle

en énergie aux alentours de 3 l/m2 d’équivalent mazout.

Ce qui est très bas en comparaison avec les 25 l/m2 d’une maison traditionnelle.

D’autre part, ces immeubles produisent leur propre énergie, car ils sont équipés de panneaux solaires thermiques et photovoltaïques. Des paresoleil sont intégrés aux châssis et s’orientent automatiquement en fonction du rayonnement solaire. Les appartements sont équipés de la technologie domotique permettant la gestion du confort, de la communication et de la sécurité.

Enfin, ces bâtiments sont équipés d’une ventilation mécanique contrôlée (VMC) double flux avec récupérateur de chaleur en hiver et rafraîchissement de l’air en été. baticonfort 66 · hiver 2013-2014 ·

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Le bois connaît une envolée indéniable. Ce matériau répond parfaitement à notre goût de l’authenticité. Le bois est vivant, il habite nos maisons et génère du bien-être. Il est à la fois « vintage » et artisanal, naturel et contemporain.

batibouw 2014

© Architecture & Bois -www.architecture-bois.be

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Le bois : l’atout de l’authenticité Il est assez évident finalement, en pleine ère numérique, d’avoir besoin de se raccrocher à quelque chose de concret, de réel, de solide. Le bois s’inscrit parfaitement dans cette tendance. De plus, ses utilisations sont infinies : matériau de prédilection pour les meubles, le plan de travail dans la cuisine, les planchers et les cloisons, mais aussi comme matériau de construction pour les bâtiments neufs ou rénovés.

Avantages

Les avantages de la construction en bois ne manquent pas : économie d’énergie avec une épaisseur d’isolant plus importante, construction saine avec des matériaux écologiques et limitant les apports d’humidité lors de la construction.

C’est un système idéal pour limiter les surcoûts de fondations liés à la présence d’un sol moins bon ou encore pour construire un étage sur un bâtiment existant. Les autres atouts sont : la rapidité d’exécution (une quinzaine de jours pour un gros œuvre couvert, une fois les travaux de fondation et/ou de sous-sols réalisés), implication du futur propriétaire dans la construction (finitions plus faciles à réaliser que dans le cas d’un système dit « traditionnel »).

Contrairement à une idée reçue, les maisons en bois résistent bien au feu : le bois brûle lentement et régulièrement sans transmission de chaleur par conduction et,

contrairement à l’acier ou au béton, il ne se déforme pas et n’éclate pas. Il est donc plus « facile » de garantir la stabilité des structures en bois (surdimensionnement des sections) pendant le temps imposé par les règlements et normes.

Des techniques spécifiques

La construction en bois demande des techniques spécifiques et très pointues afin d’éviter les déconvenues à moyen et long termes. Par exemple les problématiques de « l’étanchéité à l’air » et de la « perméabilité à la vapeur d’eau » sont des aspects primordiaux pour une bonne tenue dans le temps des constructions à ossature bois. Cellesci doivent être parfaitement maîtrisées par le constructeur, mais aussi et surtout par l’architecte concepteur qui, dès la phase d’étude, tiendra compte de ces principes et préconisera des matériaux compatibles.

Durant le chantier, l’architecte sera attentif à la bonne mise

en œuvre des matériaux et au respect des principes. Il a donc un rôle capital à remplir dans l’accompagnement du candidat-bâtisseur et doit posséder de réelles connaissances, ainsi qu’une spécialisation dans la construction en bois, à côté de ses qualifications dans la construction traditionnelle, qui reste toujours en partie présente dans un projet de construction en bois : fondations, caves, parements en maçonneries de briques ou de moellons...

Aspect esthétique

D’un point de vue esthétique, le bois n’est pas limitatif et se marie parfaitement aux matériaux de parement traditionnels (briques, moellons, enduits...).

Le bois est de plus en plus souvent utilisé pour les bardages.

D’un point de vue urbanistique, le bardage en bois se marie harmonieusement avec la pierre de nos villages. Le bois non traité grisonne et sa teinte se rapproche alors

de celle de la pierre bleue.

Certaines communes imposent toutefois un traitement pour préserver la couleur initiale du bois et certains candidats-bâtisseurs optent également pour un bois traité qui ne grisonnera pas. Si l’on veut préserver la couleur initiale de l’essence, le choix du produit est très important et il faut utiliser des lasures ou des huiles plutôt que des vernis.

Quoi qu’il en soit, un bardage traité nécessite un renouvellement complet du traitement tous les 5 à 10 ans, alors qu’un bardage qu’on laisse grisonner n’en nécessite pas. Après plusieurs années, il aura retrouvé la teinte qu’avait le tronc dans la nature...

Le bois est un matériau naturel, noble et renouvelable.

Construire en bois, c’est un art de vivre différent.

Source : ARCHITECTURE & BOIS association d’architectes sc-sprl - Eric LAMBLOTTE et Benoit STRAETEN. www.architecture-bois.be baticonfort 66 · hiver 2013-2014 ·

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Nos produits seront prĂŠsents au salon Maison, Jardin & Loisirs de Charleroi en mars 2014

Il existe de multiples manières de construire en bois. Aujourd’hui, trois systèmes principaux coexistent et sont parfois combinés : il s’agit de l’ossature bois, du bois massif et du système « poteaux/poutres ».

Systèmes constructifs en bois :

l’ossature bois

Les trois systèmes cités ci-dessus sont les plus utilisés en raison de leurs qualités structurales et architecturales. Ils sont aussi mieux connus des architectes et des entrepreneurs et donc plus courants au niveau de l’offre. Dans tous les cas, ces exécutions nécessitent un savoir-faire professionnel. © Architecture & Bois -www.architecture-bois.be

Ce système est l’héritier des constructions à colombages. La structure est constituée d’un squelette d’éléments verticaux (montants) de faible section, disposés à intervalles réguliers selon un entre axes de 40 ou 60 cm, et reliés entre eux par des éléments horizontaux (traverses) de même section, le tout formant des cadres. La distance de placement des montants est déterminée en fonction des charges à reprendre et des dimensions des éléments standardisés.

Dans ce type de construction, chaque élément constitutif des parois joue un rôle spécifique : la portance est réalisée avec les montants et la stabilité est assurée par les panneaux de contreventement (contreplaqué ou copeaux collés), par les liens de faîtage (sablière périphérique…) et par les pièces de quincaillerie (tirants, feuillards en acier…).

L’isolation thermique se fait à

l’aide d’un isolant placé entre les montants. Elle est doublée d’un pare-vapeur côté intérieur.

L’étanchéité est assurée par un pare-vent (film microperforé) posé du côté extérieur de la paroi.

Le système à ossature bois permet une grande souplesse : il est aisé de remplacer, ajouter ou supprimer des baies et des cloisons. Bien entendu, toute intervention sur les montants de structure doit être rationnelle : par exemple, pour créer de grandes ouvertures, des pièces de renfort doivent être utilisées, et la surface de la paroi doit rester suffisante pour que le bâtiment présente la stabilité requise.

Dotée d’une haute capacité isolante des parois, la construction à ossature bois répond de manière très performante aux exigences thermiques actuelles.

D’une part, le système présente, entre les montants, assez d’espace pour incorporer un maxi-

mum d’isolant et, d’autre part, le bois lui-même offre d’excellentes propriétés thermiques et réduit les problèmes de pont thermique.

Le passage des équipements (câblage électrique, tuyauterie sanitaire) se fait entre les éléments structuraux, parallèlement aux solives ou aux montants, tandis que la charpente, traditionnelle ou constituée de fermettes préfabriquées, est réalisée de manière à assurer une bonne répartition des charges sur l’ensemble des montants.

Avantages

Le premier avantage est une grande liberté architecturale, avec la possibilité de grandes ouvertures et de grands volumes.

Ensuite, on profite de l’espace disponible entre les éléments de l’ossature pour poser un maximum d’isolant.

Grande liberté également dans le choix du parement intérieur (plafonnage, lambris…) et dans le choix du parement extérieur (briques, pierres, bardage en bois…).

Le système à ossature bois est préfabriqué en usine, y compris le placement des équipements ce qui réduit considérablement les délais de construction.

Le chantier est propre, sec et rapide, permettant une occupation du bâtiment dès la fin des travaux.

Le confort thermique est très grand, car les maisons à ossature bois se chauffent facilement. La température superficielle des parois est proche de la température ambiante et l’air est sec et sain.

Enfin, les transformations sont aisées et économiques : les murs peuvent être démontés sans difficulté ni poussière excessive, les pièces démontées peuvent être réutilisées. baticonfort 66 · hiver 2013-2014 ·

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C e d e u x i è m e s y s t è m e constructif en bois consiste à monter une structure comparable à celles des bâtiments en béton. Le squelette poteaux/ poutres comporte un nombre de pièces de bois moins important que le système ossature, mais leur section est plus grande.

Systèmes constructifs en bois :

« poteaux et poutres »

Dans la plupart des cas, les éléments verticaux ou poteaux sont disposés à intervalles réguliers selon une trame et sont reliés entre eux par des éléments horizontaux ou poutres.

La structure principale ainsi formée est appelée « structure primaire ». Ce système, dont l’exécution peut être rapide, consiste donc à créer une sorte de grande structure ouverte supportant les planchers et la toiture et à créer des parois de remplissage par la suite. Les parois possèdent leur propre structure et sont soit insérées partiellement entre les poteaux, soit placées du côté extérieur ou du côté intérieur.

Ce type de construction offre une grande diversité architecturale : les possibilités de transformation sont illimitées.

Outre l’adaptabilité des surfaces ainsi créées, l’avantage réside dans la possibilité d’exprimer architecturalement la dissociation de la structure, des parois et des planchers, en utilisant, par exemple, de très larges baies vitrées. Des portées importantes peuvent être atteintes, offrant de grands espaces dégagés.

Les poteaux peuvent s’élancer sur la hauteur d’un étage ou sur toute la hauteur du bâtiment.

Les poteaux et poutres sont continus ou non, de section simple ou double : ces différentes configurations permettent de nombreux types d’assemblages.

La stabilité de la construction est obtenue par l’ancrage des poteaux aux fondations, par des assemblages et des dispositifs de contreventement : tirants en acier, poutres treillis ou parois elles-mêmes.

La découpe des arêtes ainsi que l’assemblage des poutres et poteaux doit se faire de façon rigoureuse et soignée, car la structure demeure souvent apparente. Ce système exige également des précautions dans le choix de la jonction avec les éléments de remplissage, pleins ou vitrés.

La manipulation des pièces de grandes dimensions nécessite souvent l’utilisation d’engins de levage.

Le système « panneaux massifs contrecollés ou contrecloués » Étant donné qu’il est techniquement difficile et relativement coûteux d’obtenir des éléments de structure secs, calibrés et exempts de défauts en bois massif, les constructeurs font désormais appel aux bois structuraux de dernière génération. Deux systèmes très proches connaissent un succès croissant : les panneaux massifs contrecollés et les panneaux contrecloués.

Ces deux types de panneaux possèdent à peu près les mêmes caractéristiques. Dans le cas du contrecloué, les différentes épaisseurs de planches ne sont pas collées, mais clouées entre elles à l’aide de clous en aluminium. Il ne peut pas être utilisé en plancher.

Le bois contrecollé est un produit élaboré à partir de lames de bois (généralement de l’épicéa), collées entre elles à plis croisés, à l’aide d’une colle polyuréthane sans solvant. Les panneaux massifs contrecollés sont utilisés pour les murs porteurs, la toiture et les planchers en étage. Ils sont constitués de 3, 5 ou 7 couches en fonction de leur utilisation, et peuvent être fabriqués en grandes dimensions, jusqu’à 16,50 m de longueur par 2,95 m de hauteur. Les épaisseurs varient de 13 à 40 mm.

Les performances mécaniques et la rigidité de ces systèmes sont considérablement augmentées en comparaison avec le bois massif, car les charges ne sont pas reprises uniquement dans un sens, mais dans tous les sens. Ils assurent également une résistance au feu élevée.

La structure accepte des revêtements de façades variés : bardages bois horizontaux ou verticaux, bardages dérivés du bois, panneaux bois, métalliques ou composites, enduits extérieurs sur isolants (RPE), bardages céramique ou verre, etc.

baticonfort 66 · hiver 2013-2014 ·

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La construction à ossature bois connaît un beau succès et gagne du terrain, notamment vers le logement collectif et l’habitat urbain. Cependant, elle souffre d’un handicap par rapport à la construction traditionnelle : l’isolation acoustique.

Ossature bois et acoustique En ville et dans les cités, le bruit est considéré comme la première des nuisances, la principale source d’inconfort. Cependant, la faiblesse acoustique du bois ne doit pas empêcher de profiter de ses nombreux avantages : pour y remédier, il existe effectivement de multiples solutions techniques qui ont fait leurs preuves.

L’isolation acoustique d’un bâtiment, qu’il soit en bois ou non, a pour but de limiter la propagation de trois types de bruits : - les bruits aériens extérieurs (usine, chantier, trafic routier…), - les bruits aériens intérieurs (conversations, musique, TV…), - les bruits de choc (pas, chutes d’objet, déplacements de chaises…).

Les bruits aériens extérieurs doivent être freinés par l’enveloppe extérieure. Les bruits aériens intérieurs doivent être freinés par les cloisons intérieures ou mitoyennes, s’il s’agit d’un habitat groupé, et par les planchers entre étages. Les bruits de choc doivent être frei-

nés par les planchers.

Quels sont les mérites et faiblesses des bâtiments en bois par rapport à ces types de bruits ?

L’enveloppe extérieure contre les bruits aériens extérieurs La faiblesse acoustique de l’enveloppe extérieure vient surtout des ouvertures (portes et fenêtres), les parties vitrées étant en général moins efficaces que les parois pleines.

C’est donc la performance des menuiseries qui importe ici : l’étanchéité à l’air du châssis (entre ouvrant et dormant) et

surtout les « ponts phoniques » entre les châssis et l’ossature en bois. Une bonne isolation acoustique suppose une excellente étanchéité à l’air, sachant qu’une fente de 30 cm de long sur 1 petit mm de large représente environ une perte de 10 dB d’isolation acoustique !

Le matériau constitutif de la façade entre également en ligne de compte. Avec un parement de briques, un bâtiment en bois se comporte presque comme un bâtiment traditionnel en maçonnerie, avec suffisamment de masse pour garantir une acoustique satisfaisante.

En revanche, avec un bardage en bois – comme c’est souvent le cas – l’enveloppe extérieure manque de masse et s’avère dès

lors acoustiquement moins efficace. Oui, le bois manque de masse, mais pas d’atouts !

Pour remédier à cette faiblesse, il faut donc recréer de la masse, soit directement sur la structure, soit par l’intérieur, en utilisant, par exemple, des parois doubles, comme des plaques de plâtre ou des cloisons en briques désolidarisées et séparées par de l’air qu’on remplit de laine minérale afin d’absorber et de dissiper l’énergie. C’est ce qu’on appelle le principe masseressort-masse (MRM).

La toiture est un autre élément à prendre en considération.

On peut améliorer les performances acoustiques au niveau de la toiture en désolidarisant la couche de finition intérieure de baticonfort 66 · hiver 2013-2014 ·

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REJOIGNEZ - NOUS SUR

UN ÉTAT D’ESPRIT

Photo JL Laloux - Layout www.mediane.be - Fresque de Jean-Luc Moerman dans l’Abbaye du Moulin, Warnant.

la charpente. Cela représente un léger surcoût (2 à 3%) par rapport à une construction à ossature bois classique puisqu’il y a une ossature supplémentaire.

Autres paramètres à envisager : le choix du revêtement intérieur et de sa liaison avec la structure, le choix de l’isolant (éviter les isolants rigides) et la présence d’ouvertures. Les fenêtres de toit sont, par exemple, des sources indéniables de nuisances acoustiques. Par contre, la couverture a une incidence moindre.

Les cloisons intérieures et les planchers contre les bruits aériens intérieurs Pour contrer les bruits aériens intérieurs, il faut isoler les cloisons intérieures qui manquent de masse selon le principe « masse-ressort-masse ».

Dans une construction en bois

comportant des cloisons intérieures « classiques », l’indice d’isolation d’environ 40 dB est atteint avec une cloison composée de blocs de plâtre de 10 cm.

L’isolement requis entre deux appartements ou entre deux habitations mitoyennes est de l’ordre de 54 dB : la paroi de séparation entre deux habitations en bois réclamera donc une conception particulière.

D’autres paramètres influencent l’isolation globale d’une cloison intérieure : les transmissions latérales par les murs adjacents, la présence de portes ou l’existence de fuites.

Dans le domaine de l’acoustique, c’est l’élément le plus faible qui détermine l’isolation de l’ensemble. Il est donc important de traiter les éléments les plus faibles (souvent, les portes) avant de traiter les cloisons.

Pour les planchers, le fait d’utiliser un contrelattage sous les gîtes et d’y fixer le faux plafond permet de s’approcher d’un système acoustique «

masse-ressort-masse ». Si on remplit le vide avec un matériau absorbant (laine minérale, cellulose…) et que l’on prévoit, pour la face supérieure du plancher, un panneau OSB et une chape flottante, l’isolation aux bruits aériens de l’élément peut atteindre une valeur de 50 dB.

Les planchers contre les bruits de choc L’insonorisation aux bruits de chocs est le problème le plus complexe à résoudre : il dépend de la composition du plancher et de son revêtement.

La seule façon de lutter efficacement contre la transmission des bruits de choc est de réaliser une chape flottante au-dessus du plancher de base. Mais toute erreur dans la mise en œuvre rend la chape peu efficace. De plus, le choix de l’isolant acoustique ou thermoacoustique permettant de désolidariser la chape du plancher est délicat,

car l’isolant doit être mécaniquement suffisamment résistant pour supporter la charge d’exploitation et le poids des matériaux posés sur lui, tout en restant suffisamment souple pour offrir les performances acoustiques désirées.

En ce qui concerne le revêtement, une moquette ou un tapis amortiront beaucoup plus efficacement les bruits de choc qu’un parquet et surtout qu’un carrelage. Ce dernier, en raison de sa rigidité, transmet le bruit à toute la surface et donc à toutes les pièces sous-jacentes.

Une bonne insonorisation dans une construction bois est donc tout à fait possible : en plus du choix des matériaux, c’est le savoir-faire de l’architecte ou de l’acousticien et le soin apporté à la mise en œuvre qui détermineront le niveau de confort acoustique.

Source : dossier Bois & Habitat 2014

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Home Iso est un nouvel isolant composé de fibres de polyester recyclées, s’adaptant facilement à tout type de surface. Cet isolant thermique est non toxique, non irritant et non allergène, il ne contient aucun additif ou solvant

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Aujourd’hui, l’escalier représente bien plus qu’un simple moyen de gravir les étages.

L’escalier moderne se veut élégant et esthétique, associant harmonieusement matériaux et jeux de lumière.

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L’escalier comme objet de décoration Aujourd’hui, l’escalier est « sorti de sa cage » et occupe désormais une place décorative, mais discrète dans nos intérieurs modernes. Qu’il soit de style traditionnel ou contemporain, il est devenu un élément architectural à part entière.

Il est conseillé de le choisir dès le début des travaux d’intérieur, c’est-à-dire à la fin du gros œuvre. La topographie de votre maison vous guidera dans la forme et l’emplacement de votre escalier : droit, hélicoïdal, à palier ou quart tournant. À noter qu’un escalier doit mesurer au moins 70 cm de largeur.

Escaliers contemporains

Les escaliers contemporains misent sur la légèreté : les contremarches ont été abandonnées pour laisser passer un maximum de lumière.

Les modèles sans limon ou à limon central à l’allure épurée sont très tendance.

Dans les intérieurs minimalistes, l’escalier droit, sans limon et adossé à un mur est

idéal : ses marches sont simplement « prises » dans le mur et comme suspendues dans l’espace.

Les escaliers en bois se parent de modernité par l’association d’autres matériaux, notamment le métal ou le verre pour la rampe et/ou le garde-corps.

Le bois, matériau intemporel

Le bois demeure le matériau le plus utilisé pour la construction d’escaliers, loin devant le béton, le métal – inox, aluminium, acier – le verre ou la pierre.

De nombreuses essences de bois se prêtent à la réalisation d’un escalier, mais toutes n’offrent pas les mêmes qualités : il conviendra de choisir le type de bois en fonction de l’usage.

Le bois est un matériau chaleureux : les escaliers en bois

s’adaptent à tous les types d’intérieur, contemporain, minimaliste ou classique, rustique.

Les essences de bois les plus

représentées sont le chêne, le hêtre, le frêne, l’érable, le sapin et les bois exotiques.

Protection et entretien d’un escalier en bois Un escalier en bois demande plus de précautions que les autres matériaux. En principe, il est traité par le fabricant à l’aide de produits fongicides et insecticides. Avec le temps et l’usage, il s’abîme et perd de son éclat, c’est un vieillissement normal. Il demande donc une protection, puis un entretien régulier pour rester en bon état.

L’huile de lin est le produit le plus facile et le plus économique à utiliser. La cire a toujours ses adeptes : dans ce cas, il faut choisir une cire antidérapante. Ces deux produits sont à repasser périodiquement.

La vitrification est plus coûteuse, mais donne une surface plus dure, et offre le choix entre un aspect satiné ou brillant.

L’huile dure mate ou satinée à base de matières premières naturelles constitue une bonne alternative : elle laisse respirer le bois et assure une protection renforcée contre les taches et l’usure, sans modifier l’aspect original du bois. L’huile dure satinée donne un aspect ciré.

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Les portes intérieures d’aujourd’hui se font discrètes et ouvrent largement le passage d’une pièce à l’autre. De l’espace et de la lumière avant tout…

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Portes intérieures

ouverture et fusion des espaces Le style de vos portes intérieures est déterminé par le style de votre intérieur lui-même : ligne classique ou contemporaine, porte battante, coulissante ou pliante, porte plane ou formée, en bois, en aluminium ou en verre… la gamme est infinie et le choix précis.

Types d’ouvertures La porte battante est la plus fréquente et peut être constituée d’un vantail ou de deux, s’ouvrir à droite ou à gauche, ou des deux côtés pour la porte à deux vantaux. Le sens d’ouverture est déterminé par la configuration de la pièce : en général, il se fait vers l’intérieur de celle-ci.

Ce type de porte est facilement démontable et remplaçable et offre un passage dégagé.

Elle demande un dégagement (un espace d’ouverture) d’un mètre et ne peut s’ouvrir que dans un sens.

La porte coulissante est très tendance dans les maisons contemporaines. Elle présente l’avantage de ne pas exiger de zone de dégagement et peut donc être très large.

Très esthétique, elle offre une circulation fluide et permet d’ouvrir largement les espaces.

La porte coulissante « en applique » demande un espace dégagé équivalent à un peu plus de sa largeur le long du mur pour pouvoir être totalement ouverte.

La porte coulissante « intégrée » rentre complètement dans le mur lors de l’ouver-

ture et devient invisible. Les travaux de maçonnerie étant importants, ce type de porte est généralement réservé aux nouvelles constructions.

Dans une maison existante, il est possible de placer une contrecloison à quelques centimètres du mur pour y faire coulisser le vantail.

La porte coulissante glisse sur un rail supérieur apparent et décoratif, ou dissimulé derrière une plinthe.

Si un rail inférieur est prévu, il faut créer une saillie dans le sol afin que le rail soit affleurant et ne déborde pas.

La porte pliante ou accordéon est moins courante et représente une solution pour optimiser l’espace en rénovation. Elle se compose de plusieurs vantaux de faible largeur qui se replient sur euxmêmes, suspendus à un rail supérieur et maintenus par emboîtement. Elle se ferme par un clip ou une serrure standard.

La porte pivotante est très peu courante, mais particulièrement esthétique : elle est généralement affleurante et s’intègre parfaitement dans le plan mural pour un effet très

contemporain. Elle est montée sur pivots, un au sol et un au plafond. Le pivot est le plus souvent excentré ce qui réduit le passage. Montée sur pivot central, le dégagement se fait pour moitié dans les deux pièces que la porte sépare.

Elle est disponible dans divers

matériaux, mais le verre est le plus courant, transparent, translucide ou noir, ou encore le miroir. Ces portes sont en général équipées d’un système anti pince-doigts pour les enfants et les distraits et peuvent être dotées d’un système d’ouverture automatique.

Les matériaux La porte en bois est la plus courante en intérieur : la gamme des essences est très large, notamment avec l’arrivée des bois exotiques qui apportent leur couleur décorative. La porte en bois est intemporelle, esthétique et isolante. À côté du massif, il existe des portes en parement bois.

Plus économique, la porte « postformée » est fabriquée à partir de matériaux agglomérés et de fibre de bois mis sous presse.

Elle est ensuite recouverte d’une finition en PVC ou en contreplaqué, lisse, moulurée ou aspect bois avec nervures.

La porte en aluminium est très tendance à cause de sa légèreté et de son design contemporain. Elle est indiquée pour les grandes largeurs. L’aluminium permet différents styles et se marie facilement à d’autres matériaux tels que le verre ou le bois. L’aluminium peut être laqué dans une infinie variété de couleurs, mais n’a pas le même pouvoir isolant que le bois et est moins résistant que celui-ci.

La porte en verre permet à la lumière de circuler librement dans votre intérieur. Cette porte est quasi invisible, mais demande un bon ancrage vu son poids. Le verre est également souvent associé avec d’autres matériaux tels que le bois ou l’aluminium. La porte en verre est tout indiquée pour apporter de la lumière dans une pièce sans fenêtre ou mal exposée. Par exemple, une salle de bain attenante à la chambre à coucher et pour laquelle on choisira un verre dépoli. Le verre peut être isolant thermique et/ou acoustique, ou anti-effraction.

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Le parquet en bois est traditionnellement destiné au séjour et aux chambres à coucher.

Pourtant, aujourd’hui, les fabricants de cuisines et de salles de bain nous présentent souvent leurs nouvelles créations sur un revêtement de sol en bois. Est-ce bien raisonnable ?

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Si la ventilation est suffisante, comme c’est le cas dans nos maisons modernes répondant aux normes actuelles d’isolation et de ventilation, poser un parquet en bois dans une pièce humide ne devrait pas poser de problème, à condition de respecter certaines techniques de mise en œuvre et d’entretien. © SieMatic

Le parquet en bois prend des risques Un parquet en bois dans la cuisine

Le risque principal encouru par un parquet situé dans une cuisine vient d’éventuelles projections d’eau régulières à certains endroits de la pièce, et que l’on n’éponge pas immédiatement : dans ce cas, l’eau peut s’infiltrer entre les joints, puis sous le parquet en bois et y créer une zone humide permanente.

Le bois absorbe l’eau et gonfle selon sa capacité d’absorption.

Ensuite, il se rétracte, ce qui provoque la déformation des lattes de bois, généralement sous une forme incurvée.

La technique recommandée est de coller complètement le bois sur la chape à l’aide d’une couche continue d’époxy : de cette manière, l’eau ne peut filer sous le parquet et y stagner. Un joint de dilatation doit également être prévu pour absorber le gonflement du bois, ainsi qu’une plinthe, fixée à l’aide d’un joint de silicone, afin de protéger ce joint de dilatation des infiltrations d’eau.

D’autre part, il convient de choisir des essences de bois plus stables, telles que l’afzélia, le merbau, le teck ou l’iroko.

Enfin, un soin particulier sera apporté à la finition : un vernis couvrant et ne permettant pas à l’eau de s’infiltrer. Par la

suite, afin de prévenir la formation de fissures à la surface de cette couche protectrice, il est conseillé d’appliquer régulièrement une couche de vernis.

Et bien sûr, il conviendra d’éponger très rapidement toute projection d’eau.

Dans tous les cas, il est vivement conseillé est de faire appel à un artisan de métier qui vous aidera dans le choix de l’essence selon son expérience et appliquera les techniques qui s’imposent. Il vous expliquera aussi comment protéger et entretenir votre paquet.

Un parquet en bois dans la salle de bain

le parquet peut être destiné à la salle de bain parentale et le carrelage à celle des enfants.

Les recommandations énumérées ci-dessus pour le parquet dans la cuisine sont valables pour la salle de bain, avec une attention particulière pour l’essuyage consciencieux de l’eau stagnante après chaque utilisation.

L’atmosphère de salle de bain peut être très humide après le bain ou la douche, il faudra donc penser à l’aérer immédiatement après utilisation, un conseil qui est par ailleurs valable même si le revêtement de sol n’est pas en bois.

Ici également, le recours à un professionnel vous évitera des problèmes ultérieurs.

Actuellement, la tendance est au revêtement mural d’un ou de plusieurs murs de la salle de bain à l’aide d’un lambris de bois. Dans ce cas, le choix de l’essence s’avère moins strict que pour le sol et il se porte souvent sur le red cedar, le mélèze ou le douglas. À noter qu’un lambris posé dans une salle de bain doit être bien ventilé : l’air doit pouvoir circuler derrière les lames. Côté finition, on optera pour une cire ou une huile de lin, un saturateur ou encore une peinture à l’eau.

Il y a aujourd’hui un engouement pour les salles de bains en bois chez les personnes qui recherchent l’authenticité, l’esthétique et la sensualité.

Cependant, les projections d’eau sont encore plus fréquentes dans une salle de bain, particulièrement lorsque les enfants prennent leur bain ou encore s’amusent à s’asperger mutuellement. Il est vrai que

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QUALIWATT accord du 12 décembre 2013

Un dispositif de soutien plus simple et tout aussi rentable, une garantie de qualité et de service Le Gouvernement wallon a définitivement adopté le Décret Qualiwatt et réaffirme ainsi sa volonté de soutenir les familles qui font le choix des énergies renouvelables. Ce qui permet également d’entrevoir la relance du secteur photovoltaïque wallon.

Ce nouveau mécanisme simplifié prévoit l’octroi d’une prime durant 5 ans. Les installations seront ainsi intégralement remboursées endéans les 8 ans après leur pose. La prime et le compteur qui tourne à l’envers offrent un taux de rentabilité de 5 % aux particuliers, et ce, pendant toute la durée de vie de l’installation (20 ans au moins).

Un soutien renforcé est assuré aux familles à revenus précaires, afin de leur faciliter l’accès à la technologie photovoltaïque.

La prime sera réévaluée à

échéances régulières par la CWAPE pour suivre de près la réalité du marché et le prix des panneaux photovoltaïques.

Le nombre d’installations bénéficiant de la prime sera fixé annuellement (12.000 ?) et réparti trimestre par trimestre. Un particulier, qui ne pourrait pas être repris dans l’enveloppe définie pour un trimestre donné, deviendra prioritaire pour le trimestre suivant. Le Gouvernement wallon espère ainsi éviter les problèmes générés par le mécanisme précédent Solwatt.

Garantie de qualité Qualiwatt est également un gage de qualité des installations photovoltaïques : une série de critères sont prévus pour offrir au client l’assurance d’un service et de panneaux de haute qualité.

Un contrat type sera établi et disponible sur le site de l’administration wallonne. Les installateurs qui voudront faire bénéficier leurs clients de la prime Qualiwatt seront tenus de suivre une formation reconnue par la Wallonie.

Dans un second temps, un label ad hoc attestera du respect de ces conditions de qualité. Il sera aussi le garant que les panneaux ont réussi les tests de qualité obligatoires, et que le client recevra le document « Factory Inspection » qui le renseigne sur l’origine du matériel installé.

Une bonne nouvelle donc : vous pouvez désormais opter pour une installation photovoltaïque en toute quiétude et en toute confiance.

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Depuis quelques années, les baies coulissantes sont très présentes dans les nouvelles constructions et en rénovation. La recherche de la lumière est une constante. D’autant plus que les performances thermiques de ces fenêtres se sont nettement améliorées grâce, notamment, aux dernières innovations en matière de vitrage.

menuiserie extérieure © Reynaers Aluminium - Hi-Finity

Très tendance, la baie coulissante présente des avantages indéniables : bien orientée, elle permet de réaliser des économies d’énergie en éclairage et chauffage. Esthétiquement parlant, elle apporte un charme et un confort de vue inégalable : lumière à foison, impression d’espace infini et de vivre en harmonie avec la nature.

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rien que vous… et la nature !

L’installation d’une baie coulissante requiert une bonne planification. Le sur mesure est souvent de mise et c’est l’orientation de votre maison, son environnement sonore ainsi que la sécurité extérieure qui détermineront vos choix, sans oublier le budget, car une baie coulissante a un prix, augmenté de suppléments en fonction de caractéristiques complémentaires d’isolation et de protection.

La conception de la baie comprend le choix du matériau (bois, PVC, aluminium), le type d’ouverture (en applique ou intégrée) et la qualité du vitrage (double ou triple, acoustique).

Le matériau Le choix du bois pour une baie coulissante sera surtout dicté par la volonté de rester en harmonie avec le style de la maison ou pour lui donner un cachet particulier. Le bois est envisageable même pour les

grandes ouvertures grâce à la technique du lamellé-collé qui permet aujourd’hui de réaliser des menuiseries de grand format. Le bois est un matériau très isolant, mais il demande un entretien régulier, même si des traitements fongicides, hydrofuges et insecticides renforcent sa durabilité. Plus la baie est grande et plus le travail sera long. Néanmoins, c’est le seul matériau qui permette de changer de couleur selon vos envies.

C’est l’aluminium qui est le mieux adapté à ce type de fenêtre. Il est très rigide et autorise de faibles largeurs de profilés pour une vue sans limites. La baie ne se déformera pas à l’usage. Il est disponible dans une gamme infinie de couleurs. Son seul défaut est son caractère peu isolant, mais les fabricants ont conçu des produits avec rupture de pont thermique.

Le PVC est peu adapté aux baies coulissantes, car il

est peu rigide et risque de se déformer avec le temps.

Il peut cependant être rendu

plus rigide en combinaison avec l’aluminium.

Châssis « bois et alu » Le « bois et alu » est un mixte qui permet de combiner les avantages des deux matériaux en matière d’esthétisme, d’isolation et de sécurité. L’alu est très résistant, étanche, disponible en une infinité de coloris et ne nécessite aucun entretien ; le bois offre une excellente isolation thermique et apporte sa chaleur et sa noblesse.

Les deux matériaux sont recyclables et donc adaptés à l’éco-construction. Le côté alu est placé à l’extérieur et © Pierret System le côté bois est placé à l’intéSystème Questy by Pierret rieur. Le bois est disponible System permettant au bois de en diverses essences.

Ce matériau mixte est encore respirer et à l’alu-polystyrène peu connu et peu utilisé, de se dilater. mais il est très vraisemblable www.pierret-system.com qu’il va se développer vu ses nombreux avantages.

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C’est la porte d’entrée qui donne à la maison sa personnalité et son caractère, dit-on. C’est en tout cas une bonne raison pour la choisir avec soin. Aujourd’hui, outre son style, une porte d’entrée doit être étanche et isolante et vous protéger des tentatives d’effraction.

menuiserie extérieure

La porte d’entrée d’une maison peut être pleine, vitrée ou semi-vitrée. Quoi qu’il en soit, elle doit avant tout vous protéger des agressions climatiques et humaines.

Portes d’entrée d’aujourd’hui :

confort, design et sécurité Les nouvelles portes en bois sont résolument modernes avec leurs lignes sobres, leurs panneaux à l’horizontale, la gamme étendue des teintes, l’association du verre et du métal.

La porte pleine est plus massive et donc plus sécurisante.

La porte vitrée offre légèreté et esthétique tout en garantissant isolation et sécurité, notamment grâce à la qualité du vitrage.

On trouve également des portes pleines accompagnées d’une partie vitrée latérale, sur un ou deux côtés en fonction de la largeur de l’espace d’entrée.

Les portes d’entrée à ouvrant caché sont très esthétiques avec leur côté épuré et leur largeur accrue.

Il existe une offre très large en matière de portes d’entrée, pour tous les styles, tous les goûts et tous les budgets.

Les portes d’aujourd’hui sont également plus performantes et protègent efficacement la

maison du bruit, du froid et des courants d’air. En effet, un isolant thermique et acoustique est intégré à deux parements de bois. D’autre part, un joint d’étanchéité hautement performant est fixé sur l’ouvrant. Vérifiez le coefficient de transmission thermique (valeur Ud) : plus il est faible, plus la porte est performante.

Quel matériau ?

Si la sécurité est votre préoccupation principale, optez pour une porte en acier.

La porte en bois est un grand classique absolument indémodable.

L’aluminium est un matériau naturel et recyclable qui confère un aspect design et contemporain.

Le PVC est un matériau pratique et d’un bon rapport qualité-prix.

Le composite offre les avantages du bois sans l’entretien.

Le verre se combine avec d’autres matériaux pour un

effet esthétique assuré.

Le bois et alu, un mixte double face, présente tous les avan-

tages en matière de design, confort et sécurité.

Les portes techniques On appelle portes techniques, les portes dotées de certains équipements qui en améliorent le confort et la sécurité.

Selon les statistiques, c’est par la porte d’entrée que les cambrioleurs s’introduisent dans une maison, elle doit donc être inviolable.

Les niveaux de protection sont classés selon la durée de résistance de l’équipement à un cambrioleur.

La serrure anti-effraction est la première chose à placer. En effet, dès qu’une serrure leur résiste, les cambrioleurs n’insistent pas la plupart du temps.

Pour les portes vitrées, le vitrage anti-effraction comporte également trois niveaux de classification en fonction du temps de résistance à la tentative d’ouverture.

On peut y adjoindre le blindage de la porte qui affecte soit la porte entière, soit uniquement son encadrement.

Un système d’alarme avec boîtier apparent sur la façade complètera votre équipement anti-effraction.

Côté confort, certaines portes sont équipées de systèmes automatiques d’ouverture/fermeture, d’un clavier à codes ou encore d’un lecteur d’empreintes digitales.

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Vérifiez le montant de vos économies Economisez jusqu’à 30% de vos dépenses énergétiques En quelques années vous avez récupérer votre investissement au niveau de l’isolation et vous remarquerez la différence au niveau des dépenses énergétiques. Selon la taille de votre habitation et de votre consommation d’énergie, vous pourrez économiser jusqu’à 30% sur votre consommation de chauffage.

Chaud en hiver, frais en été Lorsque vous isolez votre habitation , la température de celle-ci reste bien plus constante. En outre, le rôle de l’isolation est de laisser le froid dehors pendant l’hiver. En été la chaleur est rejetée, votre habitation conservera alors sa fraîcheur. De cette manière, le climat de votre habitation restera toujours agréable et vous pouvez y vivre confortablement.

Votre logement bénéficie d’une plus-value Il est agréable de penser que pendant ce temps, vous donnez une plus-value à votre habitation, et ça, d’une manière facile. L’isolation influe sur le Diagnostic de Performance Energétique de votre habitation et lui donne ainsi une plus-value.

Isoler est bénéfique pour vous et pour l’environnement Pour vous, en tant qu’occupant, l’isolation ne signifie pas uniquement une baisse de vos dépenses en énergie et une amélioration de votre confort d’habitation, mais également une contribution à la protection de l’environnement. Un mètre cube d’isolation représente, sur une période de 75 ans, une émission de CO2 réduite de 60 000 kg.

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Qui dit bois, dit charpente, et l’on pense immédiatement au charme sans égal d’une charpente traditionnelle apparente et à l’ambiance noble et chaleureuse qu’elle diffuse.

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La charpente traditionnelle en bois présente un intérêt esthétique et une grande résistance au feu grâce à l’utilisation d’épaisses pièces de bois. Elle est plus gourmande en matériau, ainsi qu’en main d’œuvre, mais les machines de taille ont permis d’économiser sur le temps de travail en atelier. La pose demande également plus de temps, mais le plan de toiture parfaitement droit est plus facile à faire.

Charme et noblesse La charpente traditionnelle est particulièrement résistante, il suffit d’examiner les anciennes charpentes qui ont traversé les siècles pour s’en rendre compte. Cependant, sa conception doit être minutieuse et tenir compte des contraintes techniques.

La charpente est un élément essentiel de la maison : elle est la structure porteuse de la toiture et supporte les charges de la couverture de toit, ainsi que le poids de la neige, et doit résister aux charges de vent.

Enfin, elle induit le choix de l’isolant placé en toiture.

Le choix réfléchi de l’essence adaptée et des techniques d’assemblage confèrent au bâtiment sa solidité et sa durabilité. Le choix de l’essence varie en fonction de la destination du bois : charpente apparente ou non, intérieure ou extérieure.

La charpente dite « traditionnelle » est composée de fermes, de pannes et de chevrons. La ferme est un assemblage de plusieurs pièces de bois massif qui demande une infrastructure solide recevant les charges provenant de la ferme.

Les fermes et pannes sont généralement fabriquées en résineux : douglas d’Europe, épicéa et pin de Belgique et des pays voisins. Les charpentes apparentes demandent un bois de bel aspect.

Dans une partie non chauffée, le bois demande un taux d’humidité d’environ 15 % et sans dépasser 22 %. Dans une partie chauffée, le bois apparent exigera un taux d’humidité de maximum 12 %.

Plancher par solivage

Ce type de plancher comprend une ossature en poutres, solives et chevêtres. La partie supérieure est le plancher et la partie inférieure est le plafond de l’étage en dessous.

L’isolation thermique et acoustique est insérée entre les vides, les planchers par solivage sont donc conformes aux exigences actuelles en matière d’isolation pour les planchers bas et les planchers supports de toitureterrasse.

Les planchers par solivage peuvent être associés au béton et constituer des planchers mixtes avantageux en rénovation.

du bois

Une belle association : toiture zinc sur maison bois Le zinc est un matériau traditionnel noble qui a souffert d’être confondu avec la tôle. C’est un produit naturel et 100 % recyclable, s’inscrivant parfaitement dans une éthique © Rheinzink - Architour, Le Mans, France environnementale.

En outre, il présente des avantages techniques non négligeables : il s’adapte autant à des pentes faibles (5 %) qu’à des pentes verticales, il est très léger et durable, au moins 80 ans sans entretien.

D’un point de vue esthétique, le zinc s’associe harmonieusement avec d’autres matériaux naturels tels que le bois. Un toit léger en zinc sur une maison à ossature bois, tout aussi légère, autorise les audaces architecturales les plus contemporaines, tout en étant très solide. Il convient très bien en rénovation et s’utilise également en façade où il apporte modernité et design.

Les feuilles de zinc prennent avec le temps une jolie couleur cendrée platine très design.

Le matériau est très prisé dans les pays scandinaves, en Allemagne et en Autriche, et il commence à l’être chez nos voisins de France. Voilà un beau produit qui pourrait induire le retour d’un métier noble et créer de l’emploi si la Belgique suit le mouvement. Infos : www.rheinzink.be baticonfort 66 · hiver 2013-2014 ·

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confort énergétique optimal Fort de son expérience de leader du photovoltaïque depuis 2007, SunSwitch confirme son statut d’expert énergétique en offrant une approche globale et personnalisée pour réduire la facture d’énergie. En développant un outil d’analyse innovant et perfectionné, SunSwitch rend désormais possible de définir votre propre confort énergétique optimal.

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Toutes les habitations ne sont pas égales devant les multiples possibilités de réduire leur facture énergétique : isolation, pompes à chaleurs, chaudières au gaz à condensation, chaudières à pellets, photovoltaïque... Et chacun a une façon qui lui est propre de vivre son logement : certains l’aiment chaud, d’autres n’y passent qu’en coup de vent, ou seulement la moitié du temps… Certains peuvent se perVoir aussi couverture 4.

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mettre un investissement plus conséquent qui leur promettra une belle rentabilité en seulement quelques années, alors que d’autres ont un budget plus serré et souhaitent voir un impact immédiat sur leur facture. Pour chacun de ces cas particuliers, SunSwitch propose une solution adaptée.

Une analyse

personnalisée SunSwitch analyse de manière précise les besoins énergétiques de votre habitation, en fonction de critères techniques (analyse géométrique et thermique) en tenant compte de votre cas personnel (souhaits de confort pièce par pièce, budget, a priori technologiques…). Le but de cette analyse technique est de vous proposer différents scenarii, de les comparer en termes de confort, d’économies réalisées, de budget, et de gain énergétique. Vous avez donc la certitude de choisir la meilleure solution pour atteindre votre confort énergétique optimal.

Qualiwatt, le nouveau régime de soutien au photovoltaïque SunSwitch assistait le vendredi 13 décembre à une journée de conférence 100% photovoltaïque, au cours de laquelle le ministre Nollet a présenté le plan Qualiwatt du gouvernement wallon. La Cwape en a présenté les modalités pratiques.

Selon notre analyse, il y a lieu de choisir l’un ou l’autre régime selon la puissance de l’installation.

• Pour une installation de < 3000 kWc, le régime Qualiwatt serait plus avantageux.

• Pour une installation entre 3000 et 5000 kWc, mieux vaut faire le calcul au cas par cas.

• Pour une installation de > 5000 kWc, le régime transitoire serait plus avantageux.

Si vous avez un projet, n’hésitez pas à contacter l’un de nos conseillers au.

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BADGER Pellets

Un combustible de qualité, confortable, bien moins cher que les combustibles fossiles et 100% renouvelable, voilà ce que tout le monde cherche à l’heure actuelle !

Produits en Belgique, à Virton et à Thimister, ainsi qu’au G-D de Luxembourg, par le Groupe François, les BADGER Pellets sont certifiés DIN Plus, respectent les critères européens de qualité les plus stricts et sont les seuls pellets « CO2 réducteur ».

un combustible 100% naturel, local et de qualité !

BADGER Pellets, un combustible 100% naturel !

Les BADGER Pellets sont des granulés formés à partir de sciures de bois. La sciure est agglomérée sous cette forme grâce à l’action combinée de la haute pression et de la lignine, un constituant naturel du bois qui donne cet aspect brillant à la surface de nos pellets. Chez BADGER Pellets, aucune colle, aucun adjuvant chimique n’est utilisé. Il s’agit d’un combustible « 100% naturel »

BADGER Pellets, un combustible 100% local et renouvelable

Les BADGER Pellets sont fabriqués à partir de bois de nos régions, exploités dans un rayon de 100 km autour du site de fabrication. Ces bois, issus d’éclaircies nécessaires à la bonne gestion de nos forêts, servent tout d’abord à alimenter une scierie produisant des planches, chevrons et palettes (usage noble du bois). La sciure est ensuite séchée grâce à la chaleur verte produite par une unité de cogénération, puis transformée en pellets par extrusion. L’intégration des différentes activités sur un même site permet de maîtriser la matière première et d’économiser des transports inutiles !

BADGER Pellets, les seuls pellets « CO2 réducteur »

La production traditionnelle de pellets génère l’équivalent de 6,1 kg de CO2 par sac de 15 kg.

Grâce à l’approvisionnement en

bois local, à l’utilisation d’énergie verte autoproduite par cogénération et surtout à l’injection du surplus d’électricité verte produite sur le réseau, un sac de BADGER Pellets de 15 kg équivaut finalement à une réduction d’émissions de 2,1 kg de CO2. (Étude complète sur www. badgerpellets.com)

BADGER Pellets, un combustible de qualité

Les BADGER Pellets respectent les critères européens de qualité les plus stricts et sont certifiés DIN Plus suivant la norme EN 14961-2. Des contrôles réguliers permettent également de maintenir cette excellence dans le temps.

Les BADGER Pellets ont un pouvoir calorifique élevé (environ 18 MJ par kg). Pour une consommation annuelle de chauffage et eau chaude de 20.000 kWh (2000 litres de mazout), il faut donc compter environ 4 tonnes de BADGER Pellets (soit un peu plus de 6m3).

Les BADGER Pellets ont un taux de cendres très faible (moins de 0,3 %). Pour une tonne de pellets brûlés, vous ne récolterez que 3 kg de cendres.

Enfin, les BADGER Pellets sont dépoussiérés et contiennent moins de 0,5 % de poussières qui pourraient être émises lors du soufflage dans votre silo ou lorsque vous videz le sac dans le réservoir de votre poêle. Les BADGER Pellets sont donc propres, ne tachent pas et dégagent une agréable odeur de bois.

Dernière innovation dans le domaine du pellet !

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BADGER Pellets, un combustible à prix stable

Le prix des granulés de bois est beaucoup plus stable que celui des combustibles fossiles.

La ressource renouvelable de base connaît peu de variations de prix. La production sur un site dédié à des activités liées au bois, ainsi que son autonomie énergétique, permet d’offrir de meilleurs prix. À noter que le prix des pellets est souvent moins cher en été qu’en hiver : stocker ses pellets durant l’été est donc une démarche intelligente !

BADGER Pellets, un combustible livré rapidement toute l’année

tible dans les meilleures conditions, en sac et en vrac, été comme hiver.

BADGER Pellets dispose d’une flotte de 9 camions vrac, spécifiquement adaptés au soufflage des granulés, avec système de pesage et tous agréés par la Métrologie.

La demande en pellets est saisonnière et augmente très fortement à l’approche de l’hiver.

C’est pourquoi BADGER Pellets garde un stock plus de 15.000 tonnes.

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avec un foyer à bûches « HYDRO » performant, JIDÉ innove…

sécurisant, flexible, esthétique et confortable !

Ce poêle innovant est basé sur un nouveau principe de fonctionnement breveté.

En quoi ce poêle est-il innovant ?

Deux modèles 67 et 77, deux puissances de 8 à 10 kW et de 12 à 16 kW, capables de transmettre au circuit eau du chauffage central 40 à 50 % de l’énergie calorifique produite, ce qui permet d’économiser beaucoup de mazout ou de gaz, tout en restant performant et esthétique.

La différence essentielle par rapport aux poêles « hydro » existants est que l’eau n’est pas en contact direct avec la chambre de combustion du poêle. L’eau est chauffée grâce à un flux d’air forcé circulant en circuit fermé autour du corps de chauffe et du début du tube d’évacuation des fumées. Un échangeur air/ eau, situé dans le caisson bas du poêle, transfère les calories de l’air à l’eau.

Avantages

• Sécurité. Le système est plus sûr, en toutes circonstances, car il évite tout risque de surchauffe de l’eau. Dès que l’eau atteint 80 °C, la circulation de l’air est interrompue, un thermostat automatique stoppe l’arrivée d’air de combustion et le feu s’étouffe car le foyer est étanche. Finis donc les problèmes de sécurité dus à une

panne d’alimentation électrique ou à l’arrêt de la pompe à eau.

• Combustion optimisée. Le circuit d’eau n’a aucune influence sur la combustion optimisée (triple combustion) de l’insert : la montée rapide en température du corps de chauffe permet la postcombustion totale des gaz, et les rejets de CO et de particules sont contrôlés et conformes aux normes. Pas de chocs thermiques

et donc pas de condensation (boucle avec vanne 3 voies non nécessaire) ni d’encrassement du poêle et du conduit de cheminée : la durée de vie du poêle s’en trouve accrue.

• Utilisation en mode « air ».

L’Aqua Air Flow est le seul poêle « hydro » pouvant s’utiliser comme un poêle « air » classique : la production d’eau chaude peut être interrompue et le passage au mode « air », durant l’entre-saison ou lors d’une coupure de l’alimentation électrique, permettra de chauffer la pièce par convection naturelle ou forcée.

Pas d’entretien spécial

En mode « hydro », l’air de convection circule en circuit fermé, sans se charger de poussières. La postcombustion empêche la suie de se fixer et la vitre de s’encrasser.

Poêles

nouveautés hiver 2013-2014

© STÛV

Stûv Un nouveau modèle pour le 30e anniversaire ?

À l’occasion de son 30e anniversaire, la marque belge revisite son célèbre poêle à bois, le Stûv 30. Bien sûr, le poêle conserve son design exceptionnel et son système de porte rotative. Cet astucieux système de portes vous permet d’apprécier les flammes de trois manières, ce qui en fait un modèle unique. En mode « porte vitrée », vous profitez de la vision magique des flammes. En mode « feu ouvert », vous entendez le crépitement des flammes et

vous goûtez l’odeur du feu de bois. En mode « porte pleine », vous masquez de manière élégante un feu ralenti ou éteint, la chaleur reste contenue dans la chambre de combustion et le feu continue sa combustion pendant longtemps. Le passage aux différents modes s’effectue très facilement par rotation du tambour.

veau » poêle est à présent parfaitement conforme aux habitations d’aujourd’hui et aux normes actuelles d’économie d’énergie et de rejets de CO2 et de particules fines.

Le « nouveau » Stûv 30 allie donc design, écologie, durabilité et efficience énergétique.

Ce qui a changé, c’est la technologie, qui a bénéficié d’un lifting profond. La gestion de la combustion a été améliorée : le « nou-

Stûv sa - Bois-de-Villers www.stuv.com

Harrie Leenders Après le Boxer Plus, voici le Boxer Black Ce nouveau poêle est doté de pièces latérales et une poignée en couleur anthracite. Les pièces latérales, d’une épaisseur de 7 cm, donnent au poêle une apparence robuste. Le poêle dispose également d’une petite aire de stockage du bois.

Le Boxer Black est un appareil fonctionnel : il arrive rapidement à la température opérationnelle et les pièces latérales gardent la chaleur très longtemps, c’està-dire, encore 60 °C après 8 heures. Un poêle confortable et cosy, même quand le feu est éteint.

Tous les poêles Harrie Leenders sont certifiés CE et satisfont aux plus hautes exigences de qualité et de sécurité de l’UE. © Harrie Leenders

Harrie Leenders Haardkachels www.leenders.nl

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Pour faire face à la crise économique, mais aussi à la numérisation, les spécialistes de la couleur nous prédisent des couleurs reflétant l’optimisme et le ressourcement.

Tendances couleur 2014-2015

© Sigma Coatings

Fabienne Bruyninckx, spécialiste de la couleur pour Sigma Coatings : « Les gens ont besoin d’optimisme et d’espace pour se retrouver. Un besoin qui se traduit dans les matériaux, les concepts et les couleurs. » Les experts en couleur des grandes marques internationales de peinture analysent chaque année les tendances en matière de conception de produits, d’architecture, d’automobile et d’intérieur pour dégager ensuite les cinq tendances qui dicteront des deux années suivantes. Les tendances actuelles affichent clairement une réaction à la morosité ambiante et à l’accélération de la numérisation de notre société.

Des couleurs favorisant

l’optimisme et le ressourcement Optimisme et joie de vivre

Les trois premières tendances sont liées à l’optimisme. « La tendance Optimistic Blends peut être assimilée à un mouvement d’opposition face à la crise économique », explique Fabienne Bruyninckx. « La positivité, la gaieté, l’audace et l’expressivité personnelle dominent, comme en témoignent l’utilisation de l’art, les objets dynamiques et le mariage de différents styles de mobilier. » La palette de coloris associée à cette tendance se compose de nuances rouges et bleues intenses, d’orange, d’aquamarine, de jaune et de nuances terre chaudes pour adoucir ces couleurs accentuées.

Douceur tranquille

La tendance Newborn Energy marque elle aussi clairement une réaction à l’époque actuelle.

Fabienne Bruyninckx : « Nous vivons à l’ère informatique : tout est régi par la technologie et les médias numériques.

Newborn Energy est une réponse à ce mode de vie. Cette tendance incarne la recherche d’un renouveau spirituel et d’une meilleure qualité de vie.

Les gens veulent des maisons lumineuses et spacieuses pour se détendre et se retrouver en famille et entre amis. Les nouveaux matériaux et les couleurs étonnantes apportent un regain d’énergie. Pensez aux pastels, qu’ils soient clairs ou vieillis, mais aussi aux tons chauds et froids plus saturés et plus lumineux. » Reloaded Heritage entend marier les valeurs traditionnelles et classiques à l’innovation et à la modernisation. Fabienne Bruyninckx : « Les matières nostalgiques et authentiques telles que le velours et le style baroque ainsi que les formes gracieuses vont de pair avec des associations de couleurs audacieuses. D’où la composition de la palette de coloris : rouges, verts et bleus intenses, jaune moutarde et nuances très foncées. »

Conscience et respect de la nature

Les deux dernières tendances portent essentiellement sur la conscience et la sérénité.

Linear Balance est synonyme de qualité et de luxe discret.

Fabienne Bruyninckx : « Il s’agit ici de chercher des lieux de vie présentant une structure, des formes architecturales harmonieuses et un équilibre de couleurs propice à l’apaisement.

D’aspect mat, les matériaux utilisés misent sur la qualité et la réserve. » Les couleurs respirent la douceur, qu’elles soient claires ou foncées : tons gris, ponctués d’une différence de couleur subtile, couleurs terre claires et foncées, bleus froids. La tendance Treasured Basics symbolise le respect de l’homme pour la nature. « Elle démontre l’importance des valeurs sensorielles, telles que le toucher, l’odorat, le goût et l’ouïe », explique Fabienne Bruyninckx. « Elle se traduit par des textures et des matériaux bruts ainsi que des formes

organiques qui semblent venues tout droit de l’extérieur. » La palette de coloris se compose de couleurs terre à contraste marqué. Citons par exemple les bruns foncés grisés, le vert mousse, le terra et l’ocre.

Les 20 experts coloristiques internationaux de PPG Distribution, premier réseau de distribution de peinture en France et l’un des plus grands acteurs mondiaux dans le domaine des revêtements, sont impliqués dans le processus de conception à un stade précoce. Ils collaborent avec des architectes et des designers de renom venus du monde entier.

Ils disposent donc des connaissances et de l’expérience nécessaires pour analyser l’évolution des tendances et établir des prévisions pour l’avenir.

La brochure SigmaTrend Forecast 2014/2015, haute en couleur et riche en photos inspirantes, sera bientôt disponible sur demande.

Sources : PPG CoatingsBelux N.V. www.sigma.be baticonfort 66 · hiver 2013-2014 ·

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Produit dans notre pays, le pellet est un combustible de qualité, moins cher et 100 % renouvelable. Il est écologique et performant pour alimenter les poêles, chaudières et inserts.

énergie de chauffage

Les pellets constituent une énergie renouvelable issue des sous-produits des industries de 1re et 2e transformation du bois.

Pour obtenir une bonne combustion, il convient de choisir des pellets de qualité, à haut pouvoir calorifique et sans additifs ni métaux lourds.

Des normes garantissent leur bonne qualité : DIN+, Önorm et NF. Il convient d’être attentif, car les données inscrites sur les sacs ne sont pas toujours fiables.

Le bois reste le meilleur combustible,

le pellet est une solution efficace est confortable Le pellet doit être 100 % naturel

Vaut-il mieux utiliser des pellets issus de résineux ou feuillus ?

La réponse importe peu : dès lors que le pellet est DIN+ ou DIN Plus, qu’il soit issu de résineux ou de feuillus n’a pas d’importance.

Les différences de rendement habituellement évoquées sont assez minimes en ce qui concerne le pellet et dépendent davantage de la teneur en humidité de celui-ci qui est le facteur principal du pouvoir calorifique du pellet. On produit rarement des pellets 100 % feuillus, car des additifs comme de la colle seraient nécessaires, alors que les résineux en contiennent naturellement.

L’idéal pour l’environnement est que le pellet soit issu de bois locaux, présents dans la région de leur fabrication. La sciure issue de l’industrie du bois est séchée, si possible à l’aide de la chaleur « verte » produite

par une unité de cogénération.

Ensuite, la sciure est transformée en pellets par extrusion.

L’intégration des différentes activités sur un même site permet de maîtriser la matière première et d’économiser sur le transport.

Risques encourus en brûlant des pellets de mauvaise qualité

Brûler des pellets de mauvaise qualité peut entraîner une mauvaise combustion et donc un mauvais rendement, mais aussi un encrassement exagéré de votre corps de chauffe, voire la formation de mâchefer. Cela peut entraîner une corrosion et une oxydation prématurées et causer des pannes de chaudière. Enfin et surtout, cela peut être nocif pour la santé et comporte des risques d’intoxication.

Préférer les pellets DIN Plus ou DIN+

La norme DIN+ a remplacé l’ancienne norme DIN. Les caractéristiques exigées pour obtenir la certification sont les suivantes : Matière première : bois Pouvoir calorifique : supérieur à 17,5 MJ/kg Taux de cendre : < à 1,5 %

Taux d’humidité : < à 12 % Vérifiez toujours que les sacs de pellets certifiés DIN+ comprennent bien le label (logo), le numéro d’agrégation de certification et le nom du fabricant.

En effet, sans ce numéro, le pellet n’a pas été contrôlé et le label DIN+ n’a aucune valeur !

Vous trouverez la liste des marques certifiées sur le site www.pellets-belgique.be

Chaudière à pellets

La chaudière à pellets coûte souvent plus cher à l’achat, bien que les fabricants aient fait beaucoup d’efforts de ce côté-là, mais elle est économique au niveau du combustible. On s’accorde en général à dire que 1000 l de mazout à environ 850 e équivalent à 2 tonnes de pellets à environ 270 e la tonne, soit 540 e. Une différence qui compense rapidement le surcoût à l’achat, d’autant plus que le prix du pellet est stable, contrairement au prix du mazout.

En outre, il y a une prime de 1750 e pour une chaudière à pellets à chargement automatique.

Poêle à pellets

Le poêle à pellets permet chauffer une surface de 60 à 120 m2 en moyenne et plus selon le type d’appareil. Dans une maison bien isolée et bien conçue, un poêle à pellets de 6 ou 8 kW est suffisant pour chauffer toute la maison.

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PAS DE GAZ NATUREL ?

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Ecologique, économique et sûr Le propane est surtout utilisé pour le chauffage (chauffage central, chauffage par le sol, poêle à gaz, etc.), la cuisine et l’eau chaude sanitaire. Choisir le propane implique peu de CO2, peu de poussière fine et pas de risque de pollution du sol.

Le propane vous permet d’économiser beaucoup. La chaudière à gaz a un prix d’achat bas ainsi qu’un haut rendement, et elle ne demande qu’un entretien limité. En plus, vous avez le choix entre une citerne souterraine ou aérienne, que vous pouvez nous louer. De cette façon, nous vous garantissons une application sûre 13027

et sans soucis.

Fixez un rendez-vous avec notre conseiller énergétique via 0800 92 650 ou surfez sur www.primagaz.be pour plus d’informations.

Constructeurs et rénovateurs connaissent le dilemme : mazout ou gaz ? Le prix, la sécurité et la convivialité sont minutieusement soupesés ... Et le choix est vite fait pour le mazout, car vous habitez un endroit qui n’est pas raccordé au gaz naturel ? Pourtant, Primagaz vous offre une alternative de choix : le propane.

On recense pas mal d’idées reçues à propos du propane. Alors énumérons-les pour leur tordre immédiatement le cou. Il faut dire que nous sommes vraiment sûrs de notre source d’énergie économique, sûre, durable et polyvalente.

Primagaz fait partie du groupe SHV Energy, le leader mondial de la distribution de LPG. L’innovation et l’orientation client sont nos principales valeurs. Primagaz fournit du gaz propane dans toute la Belgique.

Vos avantages : - Notre conseiller en énergie est votre interlocuteur central et compose avec vous un ensemble de services sur mesure.

- Des transporteurs locaux vous garantissent une livraison rapide.

- Nos services techniques sont jour et nuit à votre disposition.

Cinq idées reçues à propos du gaz propane L Le gaz propane est cher

L Le gaz propane est démodé L Le gaz propane n’existe

choix budgétairement raisonné Vu que vous louez la citerne, vous n’avez pas d’investissement de départ à faire. En outre, une chaudière à condensation au gaz est nettement moins chère qu’une chaudière à condensation comparable au mazout et offre en plus un rendement plus élevé. Une chaudière au gaz ne doit être contrôlée qu’une fois tous les 3 ans contrairement à l’entretien annuel d’une chaudière au mazout.

avez le souci du développement durable Vous voulez réduire votre empreinte écologique ? Alors le propane est un excellent choix. Car cette source d’énergie rejette 19 % de CO2 en moins que le mazout et produit moins de particules et de suie. Le propane se combine également parfaitement avec les sources d’énergie alternatives modernes.

L Le gaz propane est

combustible polyvalent Le propane n’est bon que pour la cuisinière ? Bien sûr que non ! En optant pour le propane, vous choisissez une source d’énergie qui se prête à toutes les applications domestiques classi­ ques : chauffage central, eau chaude et cuisine. En outre, le propane est également idéal pour toutes sortes d’appareils au gaz, des barbecues aux radiateurs de terrasse et aux poêles à gaz.

3 Le gaz propane est un

dangereux

3 Avec le gaz propane, vous

donnez la priorité à la sécurité Les conduites de gaz propane sont enterrées, bien en sécurité dans votre jardin. Elles ne sont donc en rien plus dangereuses que des conduites de gaz naturel. En outre, nous nous chargeons de l’homologation et l’entretien de la citerne.

3 Avec le gaz propane, vous

L Le propane ne permet que de cuisiner

3 Le propane est un

qu’en bouteilles

3 Le propane peut être

stocké sous différentes formes En concertation avec votre c o n s e i l l e r é n e r g é t i q u e Primagaz, vous choisissez la forme sous laquelle vous allez stocker votre propane. Vous manquez de place ou vous consommez peu ? Dans ce cas, optez pour des bouteilles. Vous avez suffisamment d’espace ?

Alors placez dans votre jardin une citerne aérienne ou enterrée, afin de ne pas entraver la vue sur votre jardin. Vous pouvez louer une citerne à partir de 70 e par an, contrôles légaux et entretien inclus.

Une solution temporaire également Vous devez attendre encore quelques mois pour le raccordement au gaz dans votre rue ? Dans ce cas, vous pouvez utiliser le propane comme une source d’énergie temporaire.

Ensuite, vous pouvez très facilement passer au gaz naturel en remplaçant tout simplement les gicleurs de votre chaudière à gaz.

Vous désirez en savoir plus à propos des avantages du gaz propane ? Visitez notre site web ou appelez le 0800/92.850 et prenez rendez-vous avec un conseiller en énergie Primagaz.

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Fabrication belge

La chaleur de vivre…

Comment gagner l’équivalent de votre salaire en vous chauffant avec une burneco ?

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La chaudière à pellets au même prix qu’une chaudière classique performante au gaz ou au mazout ? Burneco a trouvé la solution !

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Comment réaliser aujourd’hui de réelles économies d’énergie ?

Une entreprise belge propose un système de chauffage simple, performant et bon marché !

Oui, il est réellement possible de diminuer sa facture de chauffage de 50 % sans avoir froid !

La société Burneco est une entreprise familiale active dans l’industrie depuis plus de 100 ans. Forte de son expérience et de son expertise, elle a conçu et fabriqué un système de chauffage correspondant aux attentes des consommateurs et aux préoccupations environnementales actuelles : une chaudière simple, performante et bon marché. C’est ainsi qu’est née, en 2006, une gamme de chaudières à pellets d’une autre génération et entièrement fabriquées en Belgique.

La chaudière à pellets présente l’avantage…

d’être écologique, d’utiliser un combustible renouvelable et d’être neutre quant aux rejets de CO2. De plus, le coût du chauffage est inférieur de 50 % par rapport aux chaudières traditionnelles gaz ou mazout.

…mais elle présente deux désavantages :

le stockage du combustible et le prix.

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Burneco a résolu ces deux problèmes…

Pour résoudre le problème du stockage, Burneco a équipé ses chaudières d’origine d’un silo modulable de 150, 300 ou 450 kilos, d’un encombrement de 86 à 140 cm maxi en largeur.

Cette chaudière trouve ainsi sa place dans toutes les habitations et est particulièrement idéale en rénovation.

Pour résoudre le problème du prix, Burneco a simplifié son système et a rogné sur ses marges : résultat, un coût moindre jusqu’à 50 % par rapport aux chaudières à pellets du marché.

Une chaudière Burneco se situe au même niveau de prix qu’une chaudière performante classique au gaz ou au mazout.

Sans perdre en qualité ni en performance !

Des chaudières moins chères, mais très performantes : elles sont équipées d’un brûleur exclusif leur permettant de répondre largement aux exigences actuelles d’émissions et de rendement. C’est pourquoi elles ont obtenu les mêmes certifications européennes que les grandes marques allemandes et autrichiennes.

Chaudières 100 % belges !

Les chaudières Burneco sont conçues et fabriquées en Belgique et réalisées dans des aciers belges de première qualité. Leur qualité principale est d’allier innovation technologique et simplicité d’installation et d’utilisation.

Le triple circuit des fumées assure une combustion quasi complète et un rendement optimal (92 %) ; l’échange thermique est hautement performant et permet de répondre instantanément à toute de­-mande en eau chaude du circuit de chauffage.

Les régulations sont développées et fabriquées en interne.

4 modèles pour couvrir tous les besoins

La gamme comprend 4 modèles d’une puissance de 5 à 60 kW, avec une capacité en eau de 45 à 150 litres : modèles CAP 15 – CAP 30 – CAP 45 et CAP 60.

Ils sont tous équipés • d’une alimentation automatique par vis sans fin rectifiée en acier réfractaire, • d’un brûleur double fond cyclone cémenté et trempé, • d’un cendrier grande capacité pour espacer les vidanges, • d’un bac de récupération des suies, • d’un ventilateur et motoréducteur silencieux, • d’une porte de sécurité avant isolée.

Autres caractéristiques : • corps de foyer indépendant du système de chauffe d’eau, • isolation du corps de chauffe par nappes céramiques, • allumage et décendrage automatiques, • régulation électronique avec programme d’usine et programme à la carte, • mode veille et Ecostop, • entretien aisé par simple aspiration.

Billes de silicate avec hautBurneco® pouvoir isolant © Ecobati Les chaudières donnent droit à la

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prime Région wallonne.

Clément Triboulet1 et Ana Belén Montero2 ont bien voulu répondre à quelques questions.

Qu’est-ce qui vous a décidé à opter pour une chaudière à pellets ?

Nous avons acheté une maison en pleine nature avec le désir d’y vivre dans le respect de l’environnement. Une de nos premières actions a été de remplacer la chaudière fioul existante par une chaudière à pellets afin de nous chauffer de manière écologique.

Sur quoi vous êtes-vous basés pour le choix d’un fabricant ?

Nous avons beaucoup parlé avec des spécialistes de notre entourage, visité un salon professionnel, retenu 3 modèles différents, organisé une réunion sur place avec chacun d’eux en présence de notre chauffagiste et arrêté notre choix sur la chaudière Burneco qui offrait le meilleur rapport qualité-prix et avait l’avantage d’être conçue et fabriquée en Belgique de A à Z, y compris le Software qui la pilote. Êtes-vous content de votre choix et pour quelles raisons ?

Nous ne pouvons que nous féliciter de notre choix. Cette chaudière est très efficace, simple dans sa conception, dans son utilisation et dans son fonctionnement. Elle fait tout toute seule, il suffit de remplir son réservoir une fois tous les 10 jours. Elle peut être paramétrée de manière très précise pour répondre aux besoins et désirs de chacun.

Qu’avez-vous envie de dire à nos lecteurs ?

Il en est de l’achat d’une chaudière comme de l’achat d’une voiture.

Il ne suffit pas d’avoir acheté un modèle performant, il faut encore que le « concessionnaire » soit accessible et disposé lorsque survient un pépin. Et dans le cas de la société Burneco, non seulement nous avons bénéficié d’un service impeccable et de toutes les explications utiles lors de l’installation et de la mise en route de la chaudière, mais depuis nous avons toujours obtenu une réponse immédiate à nos questions et demandes de conseils ou d’instructions via la ligne directe. Du commercial aux techniciens en passant par l’informaticien, les membres du personnel de la société Burneco connaissent et aiment leur métier et font preuve d’autant de qualités humaines que professionnelles. Une société et des produits « bien de chez nous » à recommander à tous ceux qui, comme nous, sont conscients qu’il est temps de tourner la page des énergies fossiles et de faire vivre des entreprises locales.

Clément Triboulet, Clown, Chargé de cours au Centre d’Études Scéniques d’Andalousie de Séville et Grenade (www.clement-triboulet.com) & Ana Belén Montero, Plasticienne, Professeur de Céramique à l’Académie des Beaux Arts de Marche en Famenne (www.anabelen.be).

Et vous, avez-vous déjà votre burneco ? baticonfort 66 · hiver 2013-2014 ·

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La société DTC, active depuis 1997 dans la distribution d’équipements pour le confort par le chauffage, le rafraîchissement et la ventilation des habitations et lieux de travail, a lancé en 2012 un concept original : « le réseaudtc, experts en confort éco-thermique ». Un groupement de professionnels qui se fédèrent pour soumettre aux consommateurs une offre à valeur ajoutée qui garantit une approche globale faite de conseils de qualité et une proposition performante qui tient compte de la facture énergétique. Nous avons rencontré à nouveau son créateur, Étienne de Montigny pour voir l’évolution de son concept.

réseaudtc confort thermique et économies pour tous… Étienne de Montigny, quels sont les besoins et les exigences des consommateurs d’aujourd’hui en matière de chauffage domestique ?

Les besoins et les exigences du consommateur deviennent de plus en plus précis : des attentes en matière de confort dans la maison, et dans les espaces de travail, des souhaits en rapport avec la sensibilisation environnementale, mais des exigences en termes d’économie.

On se trouve clairement dans un marché d’éco-consommation : le consommateur désire trouver des produits et des services économiquement et écologiquement performants. La crise oblige le consommateur à faire des choix mieux adaptés à son budget, mais aussi à ses attentes au niveau des performances énergétiques.

Aujourd’hui, le consommateur veut savoir, comprendre, s’impliquer dans son achat. Il recherche donc des prestataires en mesure de répondre à ses nouvelles attentes.

Le consommateur recherche plus qu’un équipement standard : il souhaite une solution intégrée et adaptée à ses besoins et à son budget, une solution qu’il aura choisie en étant pleinement et justement informé.

Le consommateur veut être sûr que son équipement fonctionnera au mieux et dans le long terme. Il veut être certain de choisir l’offre la plus adaptée, mais aussi maîtriser son installation afin d’optimiser sa consommation.

Comment les installateurs du réseaudtc répondent-ils à ces nouvelles attentes ?

Pour répondre aux souhaits de ses clients, l’installateur ne peut plus se contenter d’être un simple technicien : il doit être capable de comprendre les attentes et proposer des solutions en expliquant leurs

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avantages respectifs, et enfin, capable de défendre l’offre la mieux adaptée.

Il doit faire preuve de maîtrise technique afin de concevoir et d’assurer un fonctionnement économique et écologique des équipements, en fonction de chaque situation. Il doit ensuite veiller à ce que le client maîtrise à son tour son installation pour la gérer et l’évaluer au mieux de ses performances. C’est certainement le cas pour le marché de la rénovation résidentielle. Il y a eu trop de gaspillage lorsque l’énergie était bon marché, il faut réadapter les concepts de production de chaleur pour répondre aux enjeux futurs énergétiques, économiques et environnementaux. Il est nécessaire d’améliorer l’isolation et d’adapter le système de chauffage pour garantir une diminution des besoins en énergies pour limiter la facture énergétique et les rejets de gaz à effet de serre. L’habitat mieux isolé et équipé d’une pompe à chaleur répond pleinement à ces trois objectifs.

Comment le réseaudtc s’organise-t-il pour aborder ce nouveau défi ?

Le réseaudtc devient une véritable plate-forme d’excellence et de développement à l’intention des consommateurs.

L’objectif est de leur proposer une approche globale performante de conseils et solutions techniques dans le domaine de l’isolation, des pompes à chaleur en accompagnement ou en remplacement de chaudières classiques.

Il s’agit donc d’un réseau d’experts en confort écothermique : quelles sont ses caractéristiques ?

La volonté est de créer un réseau dynamique composé d’auditeurs énergétiques, d’installateurs en pompes à chaleur et

chaudières et de professionnels de l’isolation pour créer une émulation collective nous permettant ensemble de répondre aux réelles attentes des consommateurs et de s’adapter à toutes les configurations de maisons.

Et quels sont les rôles de DTC au sein de ce réseau ?

DTC a réussi à apporter une réelle valeur ajoutée aux marques qu’elle commercialise.

DTC a choisi de promouvoir les pompes à chaleur françaises AJTECH pour toutes les applications résidentielles.

Le rôle de DTC est de soutenir les partenaires installateurs pour satisfaire ensemble les besoins du consommateur par un confort idéal et une faible facture énergétique grâce à une installation de qualité dans la durée. Elle participe à la chaîne de valeur avec un service avant et après-vente. Les régulations des pompes à chaleur AJ TECH offrent une belle opportunité pour crédibiliser le rôle de notre société, en effet DTC intervient à distance (via internet) sur les pompes à chaleur pour paramétrer, surveiller et piloter les installations. DTC forme les installateurs et utilisateurs pour les aider à minimiser la facture énergétique. De plus, les consommateurs disposent de l’outil de mesure pour vérifier l’amélioration des performances réelles de leur installation à la suite des réglages et paramétrages réalisés.

DTC met à la disposition du réseau l’expérience acquise grâce aux nombreuses installations de monitoring réalisées en partenariat avec l’université de Mons et les travaux de recherche d’étudiants qui permettent de valider et de comparer les performances théoriques des installations aux mesures des monitorings. Les études permettent de valider des solutions cohérentes qui prennent

en compte le meilleur compromis entre l’isolation et la performance de la pompe à chaleur et de l’éventuelle chaudière en tenant compte des investissements à consentir, de la planification des travaux et du coût des énergies.

Faire partie de ce réseau est donc très avantageux pour les professionnels ?

En adhérant au réseaudtc, chacun bénéficie non seulement d’un appui technique, tant au niveau de la formation que dans l’accompagnement sur le terrain, mais aussi d’un partage d’expériences et d’expertises, afin de rassurer les consommateurs grâce à des solutions éprouvées par les adhérents du réseau. De plus, les résultats des monitorings permettent de crédibiliser les solutions techniques proposées. Les auditeurs énergétiques du réseau DTC bénéficient de conseils pertinents pour envisager une solution en pompe à chaleur à la suite d’un AUDIT PAE. La collaboration avec les partenaires en isolation permet de concevoir ensemble une solution globale.

Et au final, ce sera tout bénéfice pour le consommateur… Évidemment ! Notre initiative présente une alternative à la pression des grandes marques sur le circuit des grossistes, distributeurs et installateurs qui proposent trop souvent des solutions uniques. Elle garantit une offre la plus pertinente et cohérente possible et un réel engagement vis-à-vis du client final.

Nous mettons à la disposition de ceux-ci un site Internet sur lequel ils peuvent s’informer et nous soumettre leur projet. www.reseaudtc.be

Au Canada, en Autriche, en Suisse, en Norvège, en Suède et en Finlande, des pays réputés pour leur climat assez rude, 60 % des nouvelles constructions sont équipées d’un système de chauffage alimenté par des granulés de bois. Voici de quoi vous décider à faire le pas…

Une énergie renouvelable et bon marché Les avantages de l’utilisation d’une chaudière à granulés de bois (pellets) sont nombreux. Pour commencer, le pellet est un combustible naturel qui peut être produit localement et ne produit pas ou très peu de CO2. Il n’a donc pas d’influence sur l’effet de serre ainsi que sur notre climat. Le pellet participe également à la valorisation des déchets de l’industrie du bois.

D’un point de vue économique, le chauffage bois est meilleur marché que tout autre mode de chauffage utilisant des énergies fossiles comme le gaz ou le mazout. À titre de comparaison, produire 100 kW pendant une heure coûte 5,2 e avec du pellet et coûte 9,5 e avec du mazout.

Grâce à une automatisation complète, une bonne chaudière à pellets ne nécessite pas plus d’intervention de l’utilisateur qu’une chaudière à mazout classique.

En résumé, une chaudière à pellets de qualité permet une faible consommation de combustible bon marché, un bon confort d’utilisation et pollue peu.

Chaudement recommandée : la chaudière à pellets tout confort !

Les chaudières à pellets Windhager

Leader européen dans le domaine, Windhager représente la qualité autrichienne et peut se permettre d’offrir une garantie totale de 5 ans.

Tous les modèles donnent droit aux primes régionales et le retour sur investissement se fait en moins de 5 ans.

Des chaudières tout confort !

Les chaudières à pellets Windhager sont entièrement automatiques : alimentation et nettoyage. Un simple nettoyage manuel à la brosse est nécessaire une fois par an. Le bac à cendres ne doit se vider que 2 fois par an grâce au « compactage » des cendres.

Quatre types de silos à pellets sont disponibles : entre murs, en toile, en acier galvanisé ou enterré comme une citerne.

Le silo peut se trouver jusqu’à 25 m de la chaudière grâce au

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système d’alimentation pneumatique, et ce en ne cédant rien à la fiabilité. Le ravitaillement se fait par soufflage (camion spécialisé) aussi simplement que pour le mazout.

Des chaudières innovantes…

Les chaudières à pellets Windhager modulent leur puissance de 30 à 100 % en fonction des besoins : elles sont actuellement les seules à le faire et gardent ainsi 93 % de rendement toute l’année.

Le modèle VarioWIN possède le plus petit brûleur du monde : il a été conçu spécialement pour les maisons à basse énergie et module à partir de 1,2 kW. L’alimentation en pellets se fait par aspiration pour plus de fiabilité : la vis sans fin pouvant se bloquer et entraîner une coupure du chauffage, Windhager a adopté une solution plus fiable qui est l’alimentation pneumatique.

Aline, 92 ans, habitante d’Havelange en Province de Namur* Au départ, j’étais plutôt réticente pour l’achat d’une chaudière à pellets, mais mon petit-fils en a tellement vanté les avantages que j’ai décidé de faire le pas. Je dois vous dire que je ne le regrette pas, bien au contraire, je m’en félicite tous les jours.

Au niveau confort, je n’ai pas remarqué de différence par rapport au mazout, il fait bon dans la maison et j’ai été très étonnée du silence de cette chaudière. Plus de senteurs de mazout dans la cave et une bonne odeur de bois à l’extérieur.

Je ne m’occupe de rien : la livraison des pellets est planifiée et tout le reste est automatique.

Mais surtout, j’ai réalisé de fameuses économies : imaginez que je consomme à présent 6 T de pellets à 1.500 e par an, au lieu de 4.500 L de mazout à 4.000 e ! Et puis j’ai reçu une prime de 1.750 e à l’installation de ma chaudière.

Cette chaudière-là, moi je vous la recommande chaudement !

Aline *Publié avec son aimable autorisation

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