1 minute read

Le Vast

Le Vast, un si joli village Qu’on ne saurait passer Sans voir le vrai visage De son vieux passé.

Ses charmantes maisonnettes Sont comme des boutons d’or Ou bien des pâquerettes Se mirant près du bord De la Saire toujours verte.

Les grandes maisons bourgeoises Rivalisent de beauté Avec leurs toits d’ardoise Aux belles nuances bleutées. Au milieu d’un grand parc Le château semble dormir On y joue de la harpe Avant de s’endormir Dans un coin du salon Et entendre gémir Le vent frais du vallon.

Les hameaux dispersés Se cachent dans les arbres Ils semblent s’amuser En jouant à cache-cache, Leurs toits font des reflets Comme un kaléidoscope À usage de philosophes.

Le Vast, les rues

Le Vast, les pavillons

Les grandes maisons bourgeoises Rivalisent de beauté Avec leurs toits d’ardoise Aux belles nuances bleutées.

Quettehou, le porche de Thybosville

This article is from: