Voyage d'Orient 2.0

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VOYAGE d’ORIENT 2.0

1 VOYAGE / 6 MOIS / 10 000 KM / 2 ARCHITECTES

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Strasbourg La Chaux de fond

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C’est un voyage de 6 mois et de plus de 10 000 km au cours duquel deux jeunes architectes partent à la rencontre de dizaines de monuments, de villes et d’habitants à travers le continent pour apprendre par le voyage.

erlin Dresde Prague Vienne Budapest Mohács

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Sarajevo Firenze Sienne

Rome Napoli Pompéi

Knjaževac

Tessalonica

Delphi

Sinaia Bucarest Gabrovo Edrine

Istanbul

Mont Athos Athena 3


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Sommaire

Genèse

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Qui sommes nous ?

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Avant/ Après

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Les nouvelles architectures vernaculaires

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Le paysage européen

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Les monuments

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L’espace du nomade

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Les traces

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Nous aider

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En retour

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GENESE

En 1911 l’architecte Le Corbusier traversa l’Europe lors de son« Voyage d’orient ». à la fin de ses études il parti faire ce grand voyage qui le marqua toute sa vie jusqu'à ses derniers jours où il tentera de rassembler ses notes prises sur la route. «Voyage d’orient 2.0» reprend ce tracé, ses étapes, un siècle plus tard et à vélo. «J’entrepris un grand voyage qui allait être décisif, à travers les campagnes et les villes des pays réputés encore intacts ; de Prague, je descendis le Danube, je vis les Balkans serbes, puis la Roumanie, puis les Balkans de Bulgarie, Andrinople, la mer de Marmara, Stamboul (et Byzance), Brousse d’Asie. Et puis l’Athos. Et puis la Grèce. Puis le sud de l’Italie avec Pompéi. Rome. J’ai vu les grands monuments éternels, gloire de l’esprit humain. J’ai surtout cédé à cette invincible attirance méditerranéenne. Et il était temps après les dix années (copieusement rendues publiques par les revues) de l’art décoratif et de l’architecture allemands. Turquie d’Andrinople, Byzance de Sainte-Sophie ou de Salonique, Perse de Brousse. Le Parthénon, Pompéi, puis le Colisée.

L’architecture me fut révélée. L’architecture est le jeu magnifique des formes sous la lumière. L’architecture est un système cohérent de l’esprit. L’architecture n’a rien à voir avec le décor. L’architecture est dans les grandes œuvres, difficiles et pompeuses léguées par le temps, mais elle est aussi dans la moindre masure, dans un mur de clôture, dans toute chose sublime ou modeste qui contient une géométrie suffisante pour qu’un rapport mathématique s’y installe.»1 «Voyage d’orient 2.0» regroupe pour cette aventure deux jeunes architectes. Nous souhaitons à la sortie de nos universités, continuer d’apprendre en voyageant. Nous inscrire dans l’histoire «du grand tour» c’est réaliser une sorte de voyage initiatique, qui fut si formateur pour le futur architecte de la cité radieuse. Dépassant une simple réflexion binaire «avant/après», qui n’est qu’un des aspects de cette aventure, «Voyage d’orient 2.0» s’articule autour de cinq thématiques qui nous permettront d’organiser notre regard durant le périple. Nous espérons construire un outil d’analyse pour donner de la rigueur et de l’ordre à nos recherches. Nous partons emplis de questions, nous partons pour les éprouver et peut-être y répondre.

1 - Voyage d’orient 1910-1911, le Corbusier, Éditions de la Villette, Paris, 2011 Ci contre_ croquis et photo du Corbusier, 1911

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Qui sommes nous ? Simon Billaut :

Benjamin Revire :

Né le 4 avril 1991 à Nevers, j’entre à l’école d’architecture de Clermont Ferrand après l’obtention d’un Bac Histoire de l’art. Intéressé par le patrimoine, mes intérêts architecturaux évoluent avec la rencontre de l’architecture engagée de Niemeyer et de Bouchain. Après une année d’Erasmus au Canada, je termine mon cursus à Clermont Ferrand avec la rédaction d’un mémoire de fin d’étude sur le voyage pour la compréhension d’un territoire. En parallèle je mène beaucoup d’actions autour de la bicyclette comme de nombreux voyages à vélo, notamment la Loire et le Morvan. Je participe également aux sorties en tandem avec les malvoyants en Auvergne. Après différents concours d’idées, je passe mon temps entre travail en agence, micro architecture et fabrication artisanale de mobilier.

Issu de famille de militaires j’ai toujours beaucoup voyagé. Cela m’a permis de garder l’esprit ouvert sur le monde. J’ai réalisé une grande partie de mes études à Clermont-Fd où j’ai passé mon BAC ES. C’est le dessin qui m’a décidé à pousser les portes de l’école d’architecture. Cet outil m’accompagne tous les jours dans mes réflexions. J’ai continué à voyager grâce à une Bourse Erasmus qui m’a permis de passer un an à Madrid. Aujourd’hui je vie à Strasbourg. Engagé dans un Projet de Fin d’Étude en atelier «Architecture Villes & Territoire» je termine mon cursus à l’ENSAS après une année en service civique. Influencé par l’enseignement de Simon Teyssou et de Dominique Gauzin Muller, ma pratique de différents workshops et expérimentations me poussent aujourd’hui à partir explorer plus loin.

Archicycle :

Le Corbusier :

En 2010, nous fondions avec Jonathan Mazuel et quelques autres l’association Archicycle à L’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Clermont Ferrand. Cette association a pour but de «développer la pratique du vélo au sein des étudiants de l’école d’architecture et d’ailleurs». Pour ce faire nous organisions des ateliers de réparation, des sorties nocturnes et diurnes… Encore en activité, cette association nous a permis de faire partager notre passion pour le vélo, de développer nos compétences en mécanique et réparation, de développer des projets et des partenariats. Archicycle est le catalyseur de cette idée de voyage.

Charles Edouard Jeanneret est née en 1887 à La Chaux-de-fond en Suisse. Après des études en Art décoratif et particulièrement la décoration des boîtiers de montre, il s’oriente vers l’architecture. À la suite de grands voyages en Italie et en Europe centrale il travaille chez les grands noms de l’époque comme Auguste Perret, Peter Behrens… Il ouvrira par la suite son propre atelier pour dessiner de nombreux bâtiments, de la villa Savoye à la Cité Radieuse de Marseille, en passant par le couvent de la Tourette ou encore Chandigard, Capitale du Panjab en Inde. Grand théoricien et homme de lettres, auteur de dizaines d’ouvrages, il marquera son temps en fondant l’architecture et l’urbanisme moderne. Il est considéré par beaucoup comme « l’architecte du siècle ».

Ci contre_ Photo personnelle de Tour d’Alsace de Février 2015

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Avant/Apres

l’avant/a l’europe

Les trace

Partir après c’est forcément comparer, regarder à nouveau ces villes, ces paysages, ces habitants. La comparaison n’est pas une fin, elle est un moyen. Un moyen de comprendre les espaces par un premier regard, un défrichage, et le temps par ces évolutions. Voir les nouveautés d’alors devenues des patrimoines d’aujourd’hui. Les carnets du Corbusier, ses dessins, ses photos, ses notes, sont nos garants pour ne pas survoler ces espaces et ces objets, pour comprendre à nouveau. Nous aurons donc une multitude de choses à voir comme il l’a fait un siècle plus tôt. Alors qu’entre ces choses, Le Corbusier multipliait les moyens de transport, train,

marche, cheval, bateau… nous voyagerons à vélo. Tout en retournant exactement sur les mêmes lieux, c’est dans la manière de les relier que nous différerons. Nous décalerons ainsi le point de vue, en changeant le rythme du voyage, par notre vitesse de déplacement, nos pauses et nos marches et nous verrons d’un œil neuf les espaces et les objets. Mais si nous partons à vélo c’est avant tout par gout de l’effort, pour inscrire notre expédition dans notre corps, pour la vivre pleinement. Ainsi nous pourrons aller partout, nous arrêter librement, baisser les barrières entre nous et ceux qui habitent. Voyager à vélo laisse aussi la place à l’imprévu.

Ci contre_ Acquarelle du Corbusier durant son passage à Istanbul, L’invention d’un architecte le voyage d’orient de le corbusier, Fondation le Corbusier, Edition de la villette, Paris, 2013 Skyline de Istanbul de nos jours, Wikipédia

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Les Nouvelles Architectures Vernaculaires

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Les trace

L’architecture vernaculaire est l’architecture sans architecte, l’architecture indigène. Que ce soit la longère cantalou ou la hutte amazonienne. Elle se définit par un ensemble de spécificités régionales, que ce soit dans les matériaux, les modes constructifs, l’orientation, la symbolique… Elle est le reflet d’une culture au même titre que l’artisanat, la gastronomie ou la langue. Lors de son voyage Le Corbusier cherchait ces spécificités, cette authenticité à l’Est. Il partait voir «les campagnes et les villes des pays réputés encore intacts» de l’homogénéisation européenne et notamment des produits de «l’art décoratif et de l’architecture allemande». Nous le vivons aujourd’hui à une autre échelle, dans tous les domaines de notre culture. A l’heure de l’accélération de la mondialisation, après un demi-siècle de planification soviétique et vingt ans de libéralisme, existe-t-il encore comme une spécificité culturelle ?

Quelle architecture se développe dans ces pays et plus particulièrement comment se développe l’architecture vernaculaire, celle sans architecte, celle loin des bâtiments officiels ? Plus largement, qu’est-ce que l’architecture vernaculaire à l’heure de la mondialisation des matériaux, des connaissances et des symboles ? Quel héritage reste t’il à travers ces constructions mondialisées de tôle et de parpaing ? Quelle culture naît de ce mariage entre culturelle séculaire locale et culture instantanée mondiale ? Aller appréhender ces nouvelles architectures vernaculaires c’est aussi visiter des pays moins «développés» où pour certaines populations, la débrouille est reine, le réemploi une obligation. Quand à l’Ouest des architectes s’orientent de plus en plus vers ces problématiques, guidés par une nécessité écologique, nous allons apprendre à l’Est, là où ces questions sont des nécessités constructives et économiques.

Ci-contre_«Maison Domino», Architecture extra-normale, Bourbouze & Graindorge, Albanie, 2005 Architecture vernaculaire slave, region kysuce, Slovaquie, Wikipédia

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Un Paysage Europeen

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Les trace

Notre voyage traverse une grande partie de l’Europe. De l’Allemagne, un membre fondateur de l’Union Européenne, jusqu’aux «frontières» orientales de la Turquie, «Voyage d’orient 2.0» est une traversée continentale. À contre courant des logiques de trains à grande vitesse et d’avions low cost, le vélo à l’allure de 20km/h, il redonne une réalité au territoire. Il nous permet de ressentir la topographie, il inscrit le paysage dans nos corps. Il redonne une humanité à un continent. Ainsi nous appréhenderons cette Europe trop sou-

vent abstraite, dans laquelle nous avons grandi, et fabriquerons notre identité d’Européen. Ces paysages culturels rejoignent ces paysages géographiques. Le vieux continent, avant d’être une idée, est un espace, des espaces. Il est des mers, des plaines, des fleuves des montagnes. Le parcourir dans son ensemble c’est voir des ressemblances et des divergences dans ces territoires, Comme pour les architectures vernaculaires, c’est chercher une authenticité d’un lieu, se sentir ici et nulle part.

Ci contre de haut en bas_ Région des Grisons, Italie ; Plaine du Danube, Roumanie ; Bord de la Mer Noire, Bulgarie. Source Google street view

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Les Monuments

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Le Corbusier partait voir ces «grands monuments éternels, gloire de l’esprit humain»2, Sainte Sophie, le Parthénon, le Colisée... Faire ce voyage c’est soumettre à l’examen minutieux et réel ce que nous n’avons vu que dans les livres, appris dans nos cours. Alors nous pourrons nous détacher de l’image pour parcourir l’architecture et l’espace. Nous admirerons, dessinerons et comprendrons enfin ces édifices, forgerons notre culture. En un siècle, la Culture s’est considérablement élargie, les nouveautés d’alors sont de-

venues des patrimoines, comment les regarder aujourd’hui? «Voyage d’orient 2.0» ira aussi visiter les constructions postérieures à 1911 celle du XXème et du XXIème siècle, comme les monuments ex-Yougoslavie anciens vestiges de l’apogée communiste commandé par l’ancien président yougoslave Josip Broz Tito dans les années 1960 et 1970. Il faudra aller voir le nouveau musée acropole d’Athènes pensé par l’architecte franco-suisse Bernard Tschumi ou encore le Reichtag au début de notre périple à Berlin.

2 - Le Corbusier, l’art décoratif aujourd’hui, ,1925, ed Crès et Cie, Paris Ci-contre_Photo de Jan Kempenaers, Spomenik: The End of History, Kruševo Photo de l’Acropole, Athène, Wikipédia

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L’espace du nomade

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l’avant/a l’europe

Les trace

Ce long voyage sera une itinérance. Notre vie tiendra dans quatre sacoches, nous dormirons chaque soir dans un nouvel endroit. Ce voyage au-delà des paysages et des rencontres sera aussi un voyage intérieur. Culturellement sédentaires nous serons désormais nomades. Comment habiter un lieu qui change sans cesse ? Quel est l’espace du campement ? Ce périple à l’Est sera aussi l’occasion de croiser des populations nomades et de comprendre leur rapport à l’espace, leur appropriation d’un lieu, leur façon d’habiter de manière éphémère. Lors d’une autre aventure entreprise en 2014 avec Baptiste Martin, nous écrivions cette première réflexion sur l’extérieur : «Intérieur et extérieur ne définissent pas uniquement une position spatiale par rapport à un lieu. Ils peuvent définir aussi un rapport de perception de l’Homme à son environnement. Si habiter l’intérieur, est ce que l’on ressent lorsque l’on occupe un habitat «en dur» contenant tout ce qui est nécessaire à nos besoins primaires et qui constitue ainsi

notre environnement familier. Alors habiter l’extérieur serait ce que l’on ressent lorsque l’on occupe un habitat «léger» contenant uniquement ce qui est nécessaire au sommeil et à l’intimité minimale. Ainsi amenés à vivre une grande partie de nos besoins primaires dehors, nous sommes poussés à nous adapter continuellement à un environnement qui change par le voyage. Mais cela questionne plus largement le rapport que l’on a avec nos actions quotidiennes. Lorsqu’on habite un intérieur, toutes les activités qui se font dans l’habitat se réalisent dans un environnement maîtrisé, qui nous est familier et sur lequel nous avons une emprise car nous pouvons le transformer. À l’inverse lorsqu’on habite un extérieur, la majorité des actions quotidiennes se passent dans un environnement non contrôlé. Ainsi notre habitat ne se résume pas à un lieu où l’on dort mais il se projette à l’extérieur dans un infini non maîtrisé produisant ainsi des possibilités infinies mais non maîtrisables.»3

3 - Habiter l’extérieur, ForMaRev, PFE AVT, ENSAS Strasbourg, 2015 Ci-contre_Photo personnelle lors de l’expérimentation du Room-room de G-Studio, Avril 2014 Photo d’un campement de gitans, wikipédia

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Les Traces

Et après ce grand voyage que restera t’il ? Les traces de notre passage seront dans un premier temps les nôtres. Nous tirerons profit de ces centaines d’expériences pour nous mais aussi pour les autres pour faire vivre notre expérience aux absents. Pour ce faire, nous dessinerons, écrirons, photographierons, pour «pousser à l’intérieur, dans sa propre histoire, les choses vues.»4 Ces traces apparaîtront avant même notre départ, quand nous dessinerons la carte, nous assemblerons nos vélos, nous entraînerons nos corps et habituerons notre esprit à l’impermanence. Pendant l’aventure nous tiendrons des carnets, engendrerons de la matière, des impressions, tout ce que le temps écrase, ré-

sume et efface. Nous partagerons tout cela sur notre site, à chaque fois qu’il nous le sera possible. Peut être que nous pourrons tenir une chronique dans la presse, comme le faisait Le Corbusier dans la «feuille d’avis» de la Chaux de Fond ou les écrivains du XIXème siècle. Une fois rentrés, nous compilerons les documents disséminés puis nous synthétiserons l’expérience et assemblerons un carnet de voyage. Nous écrirons pour conclure ce périple, nous prendrons du recul et pourrons enfin raconter. Dépeindre les paysages, décrire les villes, rapporter les histoires et les anecdotes, conter nos rencontres, évoquer les pépins de route et les coups durs, tout ça pourra prendre des formes multiples.

4 - L’atelier de la recherche patiente, Le Corbusier, Editions Vincent Fréal, Paris, 1960 Ci contre_ Carnet du Corbusier , Voyage d’Orient, Carnet, fondation le Corbusier, édition Electa, Paris, 2013

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Nous Soutenir Pour réaliser notre projet nous devons collecter les ressources nécessaires pour traverser l’Europe à vélo pendant 6 mois. Nous aurons alors besoin de matériel de vélo, de camping, de fournitures diverses et variées, d’argent aussi pour acheter nourriture, ticket de bateau et payer l’entrée des monuments… Pour ce faire, en plus de nos économies nous vendons divers produits à l’effigie de notre voyage, autocollants, t-shirt… Nous vendons également de vieux vélos remis en état de rouler. Néanmoins nous avons besoin de soutien et si notre projet vous intéresse vous pouvez nous aider de nombreuses manières et devenir nos partenaires de l’aventure. Vous pouvez nous fournir du matériel de camping, fournitures de vélo, ou vêtements techniques… Vous pouvez aussi nous aider financièrement par des achats de nos productions mais aussi par des dons ou des subventions. Voyage d’Orient 2.0 étant une association de Loi 1901, nous aider financièrement est une action déductible de vos impôts. Enfin vous pouvez aussi nous supporter par d’autres moyens, communiquer et relayer notre action et participer à d’éventuels événements. Chaque action sera déjà beaucoup pour nous ! Vous pouvez nous soutenir par courrier à : Voyage d’Orient 2.0 Chez Simon Billaut 4 Le Gravereau 18240 Boulleret Ou bientôt sur notre compte paypal : voyagedorient20@gmail.com

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En retour Nous aider, c’est partir avec nous. Que ce soit sur les t-shirts que nous porterons à travers l’Europe ou sur nos différents supports de communication nous vous offrons un appui médiatique à l’échelle locale comme internationale. Nous partagerons avec le monde ce que nous aurons permis nos mécènes au travers le site Internet et notre page Facebook. Une fois rentrés, nous viendrons raconter notre expérience à ceux qui nous ont aidé, sous la forme de conférences, expositions... L’ampleur de notre périple nous permet d’aborder à la fois les thématiques liées à l’architecture, mais aussi au dessin, au voyage, au vélo, à l’Europe, la Culture ou encore à l’architecte le Corbusier. Nous espérons aussi rédiger un carnet de voyage. Compiler notre expérience dans un livre serait un formidable aboutissement à la fois pour nos mécènes mais aussi pour nous. Ce carnet réunirait les aspects de cette prospection vers l’Orient: l’enquête temporelle de l’avant/après, l’attention aux nouvelles architectures vernaculaires, l’exploration du paysage européen, l’examen de monuments et l’expertise de l’espace du nomade.

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le vernaculaire Article photo le monument

Arcticle sonore

le nomade

Article écrit

l’avant/après l’europe Les traces

www.voyagedorientdeuxpointzero.eu mail : voyagedorient20@gmail.com Facebook : Voyage d’Orient 2.0 Voyage d’Orient 2.0 Chez Simon Billaut 4 Le Gravereau 18240 Boulleret +33(0)6 69 53 80 42 +33(0)6 48 41 69 70 24


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