Une histoire poignante signée Léonie Faucher
Vieux-Québec – La jeune autrice Léonie Faucher réalise son rêve de publier un livre avec son premier roman, intitulé En mille morceaux, qui sera disponible en librairie le 5 avril.
Mélissa GaudreaultElle a toujours voulu écrire un livre et le publier et a toujours écrit, que ce soit des poèmes, des histoires ou autres, mais ce n’est que récemment qu’elle a réellement décidé de faire le grand saut. « Ça a germé dans ma tête pendant quelques années. C’est devenu un projet plus concret il y a environ deux ans », affirme-t-elle.
En mille morceaux, c’est l’histoire d’une jeune femme qui a vécu des abus sexuels de la part de son beau-père pendant près d’une dizaine d’années et qui décide un jour de le dénoncer, basée sur l’expérience vécue par Léonie.
« Au départ, quand j’ai commencé la rédaction de ce roman-là, c’était plus pour moi
personnellement, pour avoir un espèce de petit exutoire. Au fur et à mesure que j’écrivais, je me rendais compte à quel point ça pouvait aider des personnes qui ont vécu des situations similaires ou qui sont encore en train d’en vivre, d’avoir une vision globale de tout le système judiciaire. Les livres que je lisais sur ce sujet-là, se concentre souvent sur l’événement en soi mais pas nécessairement sur tout ce qui est le processus de guérison et le processus judiciaire. Ça peut effrayer beaucoup au départ quand on le connait pas bien, donc je voyais une opportunité de pouvoir partager mon expérience pour aider des personnes à s’en sortir également. »
AU DÉPART, QUAND J’AI COMMENCÉ LA RÉDACTION DE CE ROMAN-LÀ, C’ÉTAIT PLUS POUR MOI PERSONNELLEMENT, POUR AVOIR UN ESPÈCE DE PETIT EXUTOIRE.
Elle a choisi les Éditions de Mortagne, parce que leur collection de romans
roman le 5 avril, puis participera au Salon international du livre de Québec qui se tient du 12 au 16 avril. C’est une expérience unique pour elle, qui aura participé à l’événement de toutes les manières possibles, soit en tant que visiteuse, journaliste et maintenant autrice.
D ÉMARCHE D ’ ÉCRITURE
Ça lui a pris environ neuf mois
pour faire l’écriture et la réécriture de son roman, qu’elle a commencé à rédiger à l’université dans l’un de ses cours puisqu’elle a étudié en littérature.
Elle n’avait pas de plan d’écriture précis au départ, mais elle avait une bonne idée de la chronologie des événements puisque l’histoire est basée sur son histoire à elle.
Le défi a surtout été de trouver la bonne formulation pour parler des scènes d’abus en les rendant accessibles à un jeune public. « Je
voulais pas aller dans le côté très cru », dit-elle. Le roman est donc écrit d’une manière légère et simple qui allège l’ambiance un peu sombre de l’histoire.
La jeune autrice souhaite que les gens retiennent l’importance d’être résilients. « Même si tu passes à travers des épreuves qui sont difficiles, il y a toujours une façon de retrouver la lumière après pour continuer à vivre heureux même si on a vécu des situations qui sont plus traumatisantes. D’avoir une touche d’espoir dans tout ça. »
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1.Planificatrice financière rattachée à Fiducie Desjardins inc. 2.Planificatrice financière et conseillère en sécurité financière rattachée à Desjardins Cabinet de services financiers inc.Rencontrer et accompagner les aînés de son secteur
Limoilou – On a rencontré Gabriel RémillardVigneault, travailleur de milieu, dans le cadre du programme Aînez-nous à vous aider, qui nous présente les actions entreprises auprès des aînés dans différents secteurs de la ville.
Estelle Lévêque
Gabriel Rémillard-Vigneault aime dire qu’il effectue son travail un sourire à la fois. Passionné et définitivement convaincu des bénéfices du programme dans lequel il est impliqué, il nous fait part des actions quotidiennes d’un travailleur de milieu. « Mes journées, parfois, c’est jouer au scrabble ou apprendre à tricoter», commente-t-il avec humour.
Afin de créer du lien avec les personnes âgées isolées, une partie de son travail consiste à se rendre dans des lieux publics. Aller activement à la rencontre de celles et ceux qui pourraient avoir besoin de son aide est une étape indispensable. «L’idée c’est de se rendre dans les milieux où les aînés vivent, et raccrocher avec ceux qui pourraient vivre de l’isolement social. Au fil de ces rencontres-là, le but, c’est de tisser des liens de confiance», explique le travailleur de milieu.
F AIRELEPONTENTRELESAÎNÉSET
LESRESSOURCESDISPONIBLES
Gabriel Rémillard-Vigneault rencontre régulièrement les nombreux organismes de son secteur, afin de créer des partenariats ou connaître en profondeur les actions et services proposés. Ainsi, il peut orienter efficacement les personnes qui l’appellent vers un organisme adapté à leurs situations.
De nombreuses situations du quotidien peuvent s’avérer difficile face au manque de ressources ou d’information. Celles-ci peuvent concerner un
besoin d’aide alimentaire, de vêtements d’hiver, un déménagement ou encore le besoin d’un transport pour un rendez-vous médical. Le travailleur de milieu souligne toutefois que son rôle n’est pas d’apporter directement ces services: il fait le pont entre les individus et les ressources qui pourront être apportées.
Impliqué auprès d’Aîneznousàvousaiderdepuis bientôt 8 mois, il nous raconte l’histoire du programme. Celui-ci a débuté il y a quinze ans, face au constat du manque de soutien envers les aînés en situation d’isolement. « C’est parti de l’histoire triste d’une dame décédée à la suite d’une chute sur son balcon, à Stoneham. Personne n’est allé la trouver. Le centre d’action bénévole a alors engagé Louis Lemieux, le premier travailleur de milieu, qui est encore impliqué avec nous aujourd’hui. »
L ESENJEUX « AÎNÉS » SURLETERRITOIRE
Un contact récurrent avec la population aînée permet à l’organisme de cerner les problématiques qui la touche. Par exemple, Gabriel Rémillard-Vigneault note un grand nombre d’appels pour de l’aide dans des démarches administratives qui se font souvent en ligne. De plus, le transport à Limoilou représente, selon ses observations, un manque important. Cette problématique a fait l’objet de concertations organisées par l’organisme à l’automne dernier; celles-ci visent à mettre en place des solutions concrètes, une fois les enjeux cernés.
Dans l’ensemble, il note un problème général d’isolement social. L’écoute et le temps accordé par les travailleurs de milieu se présente parfois comme la solution-clé aux situations rencontrées. «Il s’agit souvent simplement de réactiver le pouvoir d’agir chez les personnes», affirme ce dernier. «Souvent, au fur et à mesure que l’on prend le temps de les écouter, elles font la démarche par euxmêmes parce qu’ils se sentent en confiance. »
8 secteurs sont desservis par des travailleurs du programme Aînez-nous à vous aider, mis en place par
le centre d’action bénévole du Contrefort. Vous pouvez les contacter directement par téléphone.
Charlesbourg
Cathy Potvin / France Baillargeon 418 922-0963
Limoilou
Gabriel Rémillard-Vigneault 581 984-2397
Saint-Roch/Saint-Sauveur
Marianne Weisnagel 581 983-3972
Duberger/Les Saules/Vanier
Marie-Pier Trudel 581 982-6501
Beauport
Marie-Ève Pilon / Amélie Tremblay 581 982-0540
Neufchâtel
Est/Lebourgneuf/Deschâtels Ève-Line Proulx 581 982-5937
Loretteville/Saint-Émile
Keven Bouchard 581-983-4258
Charlesbourg Nord/ Notre-Dame-des-Laurentides/ Lac-Delage/ Stoneham-et-Tewkesbury
Annabelle Lajoie 418 933-5483
Si vous ou une personne de votre entourage pourrait avoir besoin de ces services mais ne se trouve pas dans ce milieu, sachez que plus de 150 travailleurs de milieu exercent dans de nombreux programmes similaires, partout au Québec.
Sur la photo : l’équipe de travail de milieu Aîneznous à vous aider.
La mise en service du tramway se fera en 2029
et non pas en 2028. Il y aura 34
nouvelles stations àVélo implantées dès cette année, ce qui fait grimper le nombre à 74 stations totalisant 780 vélos.
Les tarifs réduits de 33 % au RTC, pour les adultes à faible revenu, sont en vigueur depuis le 20 avril.
L’appareil que la Ville de Québec privilégie pour réparer pour les nids-de-poule s’appelle le Python 5000
Le service de vélopartage à assistance électrique àVélo comportera 34 nouvelles stations cette été.
Le promoteur immobilier Stéphan Huot, dont l’entreprise ait face à de sérieuses difficultés, vient de mettre en vente sa luxueuse résidence de Québec pour près de
3,7 M$
LECOUPDECRAYON DE L UC S ANSCHAGRIN
Un contrat de 400000 $
sera bientôt accordé par la Ville de Québec pour l’installation de modules d’exercices et d’une surface synthétique au parc de la Pointe-aux-Lièvres.
Le contrat entre l’usine de biométhanisation et Énergir devrait rapporter
100 millions$ à la ville de Québec sur 20 ans.
33 projets de sensibilisation à la sécurité routière près des écoles recevront un appui de
138500 $
en 2023. Le montant sera réparti entre 48 organismes.
À travers l’objectif de Llamaryon
La photographe Llamaryon, de son vrai nom Marion Desjardins, met en lumière artistes, événements et entrepreneurs de Québec.
Estelle Lévêque
« Quand j’étais jeune, j’avais toujours un appareil photo jetable», se rappelle Marion Desjardins. Initiée à cet art dans sa jeunesse, elle exerce aujourd’hui, et depuis plus de dix ans, son métier de photographe avec talent et passion.
La Chapelle spectacles, le festival OFF mais aussi le quartier Place Royale ou l’École de danse de Québec ont fait appel à ses services. En résumé, vous avez certainement vu ses photographies au détour d’une boutique ou d’un événement de la ville de Québec.
U NEEXPOSITIONSOLO
Originaire de Bellechasse, Marion Desjardins passe plusieurs années à Québec avant de s’installer à Lévis. Dernièrement, elle y a d’ailleurs présenté « Gros.se », sa première exposition solo, à l’Espace culturel du quartier de Saint-Nicolas.
Dans une esthétique qui évoque les visuels de mode, elle propose des portraits de personnes grosses et amène sur la table la problématique de la grossophobie. Initialement, ce projet était destiné à être diffusé sur les réseaux sociaux, médias qui manquent souvent cruellement de pluralité dans ses représentations.
Avec ce projet personnel, Llamaryon plonge dans cette dynamique qui lui tient à cœur: représenter une diversité de personnes, de corps, de visages. « Les
gens ont tellement de choses à nous offrir», explique la photographe. «Pour moi, y’a pas juste un truc qui est top. Tout le monde peut être top (rires). »
T ANTÔTPUBLIC , TANTÔTINTIMISTE
Mettre en lumière les gens et attirer le regard sur l’unicité de chacun fait partie intégrante du travail de Llamaryon. «Quand je fais des événements, mettons en spectacle, j’essaie de trouver un détail, un geste que fait la personne et qui peut la caractériser. Je passe beaucoup de temps à juste observer les gens », note-t-elle.
Cette année encore, la photographe participe à de nombreux événements de la ville de Québec. En mai, elle sera la photographe de CANICHES, festival en arts littéraires diffusé par l’organisme CONTOURS, qui inaugurera sa deuxième édition.
À l’été débutera la saison des festivals pour Marion Desjardins, qui se rendra à Saint-Casimir pour le festival brassicole Commission B, avant de revenir à Québec pour le festival OFF. Entre deux projets, vous pourriez l’apercevoir au FEQ, où sa passion l’amène, chaque année, à prendre des photos pour le plaisir.
« J’ai toujours aimé l’univers des spectacles. J’aime les événements où les choses sont comme elles sont; l’éclairage, le décor, il faut composer avec. J’aime faire avec ce qui est naturel. Mais j’aime aussi pouvoir faire le contraire et guider les gens. »– Marion Desjardins, de son nom d’artiste Llamaryon, photographe
Elle travaille régulièrement sur des visuels plus intimistes. La boutique Cœur de Loup, située sur Saint-Vallier Est, met en valeur ses créations à travers
l’objectif de la photographe, ex-étudiante en design de mode. «J’aime ça, retourner dans le milieu de la mode. On dirait que j’ai pas complètement mis ça derrière moi. J’aime le fait de jouer avec ce qui est beau, de composer quelque chose. »
D ESPASSIONSMULTIPLES
Au cours de ses années d’études, Marion Desjardins a navigué entre divers domaines artistiques. Du design de mode au design graphique, elle décide finalement de se lancer en photographie, passion que son père lui a transmise.
« Il avait une chambre noire, et je développais des photos avec lui. Il m’avait aussi donné son appareil photo argentique, sur lequel j’ai commencé mon apprentissage. Ça m’a vraiment appris les bases des
techniques en photographie. »– Marion Desjardins
Aujourd’hui, la photographe fait sa place dans le milieu culturel, corporatif et artistique de Québec. En plus de ses nombreux contrats dont elle parle avec enthousiasme, elle réfléchit à son nouveau projet personnel, qui questionne le sujet de l’âgisme.
« Je pense qu’on a beaucoup de biais, on a tendance à faire des généralités au sujet des personnes âgées, à les voir nécessairement comme des personnes vulnérables, à partir du moment où ils ont plus de 65 ans. Mais il y a plein de facettes qu’on ne connaît pas. J’aimerais échanger avec des personnes âgées, passer du temps avec eux, apprendre à les connaître et, ensuite, faire des photographies ensemble. »
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UNE BELLE HISTOIRE
DÉBUTANT il y a 30 ANS avec la PETITE PIZZERIA, je me suis tourné vers la pizza congelée en commençant par les vendre dans les BARS, DÉPANNEURS, ÉPICERIES et autres commerces sur les deux rives de la région de Québec.
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Contrairement à cette mentalité omniprésente de vendre en VOLUME dans ce domaine, je serai toujours fier de vendre un PRODUIT et non un PRIX. Pour cela, tous mes détaillants paient le même prix, sans gratuité et sans spéciaux! Ceci est unique et possible grâce à la qualité exceptionnelle des pizzas que je leur o re.
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Au GAULOIS, ce sont de vrais pizzamans qui façonnent les pizzas 100% à la main, qui les garnissent de vrai fromage mozzarella en couvrant totalement le fond de pepperoni en plus de faire mes recettes de pâtes et de sauces! Cela donne une pizza de restaurant beaucoup moins cher que sur le marché sans avoir à payer de taxes.
DU BOUCHE À OREILLE
Tout cela pour que le client « TRIPPE » en mangeant ma pizza et en parle à ses COLLÈGUES ou dans sa FAMILLE. Je ne veux pas 10 clients qui en mangent une fois, mais 10 clients qui vont en faire une habitude.
PAS DE CONGELÉ POUR MOI!
J’ai un petit MESSAGE pour vous :
En voyant ma PASSION, des gens qui ne mangeaient pratiquement pas de pizzas et surtout pas CONGELÉES, sont devenus de FIDÈLES CLIENTS!
Soyez assuré que mon épouse, tout notre personnel et moi-même mettons tout en œuvre pour vous satisfaire à 120%!
Jocelyn GallantPropriétaire depuis 1991
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ACC. NORDIQUE 526, NORDIQUE, G1C 5T1
ACC. CHALOU 2218, BOUL. LOUIS XIV, G1C 1A2
DÉPANNEUR DE HONGWAI 121, RUEL, G1C 2E9
DÉPANNEUR DIONNE 39, RG ST-IGNACE, G1B 2J9
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MARCHÉ ÉVANGELINE 2431, EVANGELINE, G1E 1M6
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PROVISION RICHARD 3536, MGR GAUTHIER, G1E 4M6
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ACC. LOYOLA 3266, LOYOLA, G1E 2R8
DÉPANNEUR SHUN FA 3076, LOYOLA, G1E 2P8
DÉPANNEUR SHELL 3314, DU CARREFOUR, G1C 8B5
TABAGIE TREMBLAY 120, AVENUE ST -GREGOIRE
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LIQUIDATION MICHAUD 2966, BOUL. STE-ANNE
CHARLESBOURG
MARCHÉ RICHELIEU J.A.P. 5003, 4E AVENUE OUEST
IGA EXTRA DES SOURCES 4250, 1E AVENUE
PROXI ESSO NEMOURS 4680, BOUL. HENRI-BOURASSA
ALIMENTATION LEMIRE 5285, 1E AVENUE
L’AXE DU MALT H-B 5350, BOUL. HENRI-BOURASSA
ACCOMMODATION ST-JÉROME 570, 63E RUE EST
ACCOMMODATION VIO 7300, 1E AVENUE
PROVI-SOIR HENRI-BOURASSA
7440, BOUL, HENRI-BOURASSA
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9485, BOUL. HENRI-BOURASSA
MARCHÉ AMI 1298, RUE DE MAINE
DÉPANNEUR LE POLYVALENT
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ALIMENTATION NORD-SUD 4449, RUE DES ROSES
IGA EXTRA DES SOURCES
17010, BOUL. HENRI-BOURASSA
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20490, BOUL. HENRI-BOURASSA
ALIMENTATION NOURI-SOIR
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PROXI ESSO N.D.L 20800, HENRI-BOURASSA
DÉPANNEUR BONI-SOIR 20335, BOUL. HENRI-BOURASSA
AXEP MARCHÉ BON PASTEUR 70, GEORGES-MUIR
PROXI TALBOT 2080, BOUL. TALBOT
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DÉPANNEUR BONISOIR 1551, BOUL JEAN-TALON O
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BAR DU ZOO 8102, AVENUE DU ZOO
BAR BILLARD BLOU 8500, BOUL. HENRI-BOURASSA
BAR 447 4680, 4E AVENUE EST
BILLARD ROYAL 905, DE NEMOURS
CHEZ PAUL 2060, CANARDIÈRE, G1L 2E6
ACC. RAPIDO 2290, BRUNEAU, G1J 2J9
ÉPICERIE PJ 1998, MAUFILS, G1J 4J7
ACC. REFLET DU QUARTIER 1496, CANARDIÈRE, G1J 2C6
ÉPICERIE TRINITÉ 1790, TRINITÉ, G1J 2M1
ACC. BILODEAU 403, DES CHÊNES EST, G1T 1K5
ACC. BR 1755, 25e RUE, G1J 1L7
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ÉPICERIE MT THABOR 2223, MONT-THABOR, G1J 3W5
TABAGIE CLAIRBOURG 2815, 1ère AVE, G1L 3P1
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ACC. POPULAIRE 900, 3e AVE, G1L 2X2
DÉPANNEUR ARRÊT STOP 1295, 4e AVE, G1J 3B5
ALIMENTATION GD 500, 3e AVE, G1L2W3
MARCHÉ L’ESPINAY 98, L’ESPINAY, G1L 2H5
SUPER NUTRISOIR 444, 1ère AVE, G1L 3J8
PROXI ESS0 3e AVENUE 355, 3e AVE, G1L 2V9
ÉPICERIE J MARTEL 1575, DE MEULLES, G1L 4J9
CARTIER SIMON 1096, 1ère AVE, G1L 3K5
PROVIGO PASCAL BOURBOIN 2235, 1ère AVE, G1L 3M9
PROVISION ST-ODILE 137, DES CHÊNES OUEST, G1L 1K6
ACC. TI-BO 1997, 24e RUE, G1L 1P1
MARCHÉ ÉVANGELINE 2431, EVANGELINE, G1E 1M6
LIQUIDATION MICHAUD 1460, 1RE AVENUE
QUÉBEC
ALIMENTATION DE L’ANSE 95, DE LA POINTE-AUX-LIEVRES, G1K 5Y6
DÉPANNEUR «A» PLUS 605, BOUL CHAREST E, G1K 3J5
DÉPANNEUR ST-JEAN 210, RUE SAINT-JEAN, G1R 1P1
ÉPICERIRE SCOTT 505, RUE SAINT-PATRICK, G1R 1Y7
DÉPANNEUR MERICI 6, RUE DES JARDINS-MÉRICI, G1S 4N7
PROXI ST-PAUL 222, RUE SAINT-PAUL, G1K 3W4
TABAGIE ST-JEAN 620, RUE SAINT-JEAN, G1R 1P8
ÉPICERIE STE-CLAIRE 725, STE CLAIRE, G1R 1G8
PROVISIONS INC. 1115, AV CARTIER, G1R 2S6
ON CONNAIT LE TABAC 246, ST-VALLIER OUEST, G1K 1K2
ACC. CARL ÉRIC 39, ST-VALLIER OUEST, G1N 1G2
ACC. 7 JOURS 552, RUE PÈRE-GRENIER, G1N 1T8
ACC. ST-JOSEPH 8, RUE SAINT-JOSEPH O, G1K 1W6
ÉPICERIE L. HÉBERT 549, RUE SAINT-GERMAIN, G1K 4P5
ÉPICERIE RICHARD 42, RUE DES JARDINS, G1R 4L7
ÉPICERIE ST-OLIVIER
200, RUE SAINT-OLIVIER, G1R 1G3
SUPERMARCHÉ MÉTRO FERLAND
707, BOULEVARD CHAREST OUEST, G1N4P6
DÉPANNEUR CHEZ RONALD
440, RUE PÈRE-MARQUETTE, G1L 4M2.
TABAGIES TREMBLAY CARTIER
955, AVENUE CARTIER, G1R 2S2
ÉPICERIE POMERLEAU
1400, RUE FRONTENAC, G1S 2S8
PUB CHEZ GIRARD 370, RUE ST-VALLIER OUEST
TAVERNE LE DUCK 672, RUE ST-VALLIER OUEST
STE-FOY
MÉTRO 3291, CHEMIN STE-FOY, G1X 3V2
PROVI-SOIR, 7421, BOUL. WILFRID-HAMEL, G2G 1B9
ACCOMODATION CHEMIN ST-LOUIS, 3238, CHEMIN ST-LOUIS G1W 1S2
SALON DE BILLARD LE TRIANGLE, 2750 CHEMIN STE-FOY, G1V 1V6
BONI-SOIR, 3530, CHEMIN STE-FOY, G1X 1T2
DÉPANNEUR ROUSSILLON, 2968, CHEMIN STE-FOY, G1X 1P6
PROVIGO MICHEL DESCHAMPS, 3440, CHEMIN QUATRE-BOURGEOIS, G1W 4T3
TAPIS VERT, 2323, BOUL. VERSANT NORD, G1N 4P4
SILLERY
MARCHÉ RICHELIEU, 2485, CHEMIN ST-LOUIS, G1T 1R9
CAP ROUGE
IGA DES SOURCES, 3373, DE L’HÊTRIÈRE, G3A 0M2
ULTRAMAR, 1240, RUE CHARLES ALBANEL, G1X 4V1
MÉTRO PLUS, 3525, DE L’HÊTRIÈRE G3A 0C1
LEBOURGNEUF
STATION SERVICE ESSO, 1234, BOUL. BASTIEN, G2K 1G1
FROMAGERIE LES RIVIÈRES. 1465, AVENUE CHAUVEAU QUÉBEC, G2K 1A3
BAR ST-JOSEPH 1194, BOUL. BASTIEN
NEUFCHÂTEL
MARCHÉ PLUS, 2425, BASTIEN G2B 1B3
PROXI BASTIEN, 1983, BASTIEN G2A 2AB
LES SAULES
AXEP FRADETTE CHOY, 3765, FOUCAULT, G1P 2J2
MARCHÉ LES SAULES, 3169, MASSON, G1P 1J7
VANIER
DÉPANNEUR MULTI-CHOIX., 320, RUE PLANTE, G1M 1S5
TABAGIE RAPIDO, 233, PROULX, G1M 1W9
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DÉPANNEUR JACKIE, 513, AVENUE PLANTE. G1M 1T1
BISTRO VANIER 272, BERNATCHEZ
BAR LA BROUSSAILLE 84, PIERRE-BERTRAND
SAINT-ÉMILE
DÉPANNEUR ÉCLAIR, 1564, DE LA FAUNE, G3E 1L2
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ULTRAMAR ST-ÉMILE, 2788, DE LA FAUNE G3E 1H1
LORETTEVILLE
BOUCHERIE J.E. DROLET, 8880 BOULEVARD DE L’ORMIÈRE, G2C 1C3
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IGA CONVIVIO, 250, LOUIS-IX, G2B 1L4
PROVIGO, 9550 BOULEVARD DE L’ORMIÈRE, G2B 3Z6
FAUBOURG EXPRESS, 601. BOUL. VALCARTIER, G2A 2P2
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WENDAKE
DÉPANNEUR ALPHÉ PICARD, 25 RUE CHEF P A PICARD, WENDAKE, QC G0A 4V0 EKO 2909 RUE DE LA FAUNE, WENDAKE, QC G0A 4V0
Piste
C’est l’histoire d’une piste cyclable quatre-saisons qui verra le jour à l’été 2023 dans l’un des quartiers comptant le plus de personnes âgés à Québec. Pour certains, c’est la victoire des cégépiens sur roues trop frôlés par des automobiles depuis des décennies. Pour d’autres, c’est un réaménagement âgiste qui empêchera nos vieux de se mouvoir et vivre dans St-Sacrement.
François GariépyRares sont les pistes cyclables qui divisent autant que celle annoncée par le maire cycliste Marchand entre de Vimy et l’Avenue des Érables en avril dernier. Je connais bien le secteur, j’y ai pédalé mes sciences humaines sans math et mes cours d’Aristote à la faculté de Philosophie à Laval en long et en large. J’ai résidé dans ce secteur durant des années et le magasin de vélos que j’ai copossédé était situé directement dans cet axe.
Comme la plupart, ma réflexion n’est pas terminée, il faudra voir avec le temps. Mais je me permet ce partage de deux observations. D’abord, c’est une grande victoire pour le cyclisme de déplacement à Québec. Jamais ce chemin utilisé à raison pour les étudiants fut considéré comme agréable ou harmonieux. Et malgré les efforts de gestion de raboutage de pistes et corridors cyclables
CHRONIQUE VÉLO
sur le Chemin Sainte-Foy
C YCLISMEFÉMININÀL ’ HONNEUR
Deux grands exploits à souligner dans cette chronique. D’abord, la victoire de l’albertaine Alison Jackson âgée de 34 ans sur les 145 km de la 3e édition du Paris-Roubaix féminin, une immense victoire sans équivalence dans l’histoire cycliste canadienne. Aussi de remarquable, c’est la première participation féminine au Darkfest, assurément l’épreuve phare de la culture freeride mondiale ! Une première qui aura couronné Robin Goomes comme la première Queen de l’évènement tenu en Afrique du Sud.
déployés depuis plusieurs décennies à partir de l’Avenue Holland pour raccorder les Cégeps Garneau et Sainte-Foy, de même que l’Université Laval, jamais le sentiment de sécurité n’a été l’apanage du tronçon. Au contraire. Qui peut nier que l’emportage (dooring) n’est pas une préoccupation de chaque instant tout au long de ce segment de 2.4 km? Qui ne connait pas un cycliste qui ne s’est pas déjà coltaillé avec un automobiliste dans ce secteur? Et je ne parle pas ici des émules de Tadej Pogacar qui poussent plus de watts qu’un tramway, mais bien d’étudiants souvent mal gonflés des pneus en direction d’un simple cours de philo sur l’être humain et son milieu.
En contrepartie, la Ville de Québec affirme que les automobilistes ne seront pénalisés que de quelques minutes malgré les deux voies retranchées. À prévoir que le chantier du tramway découragera certains cyclistes qui se rabattront sur le Chemin Sainte-Foy. Une pensée aussi pour les nombreux restaurateurs qui auront le défi de se relever de l’amputation de 136 espaces de stationnement, dont 67 dans la zone commerciales. Idem pour les chauffeurs du RTC qui boucheront encore plus le chemin à l’embarquement. Klaxons en carillon à chaque bordée de neige ? Difficile de présumer de l’enthousiasme de certains ainés habitués à stationner la Plymouth Belvédère directement en face des pharmacies, banques, caisse, SAQ et autres commerces de proximités jonchés entre Holland et Marguerite-Bourgeois. J’exagère un peu, mais le véritable enjeux du projet, outre les considérations commerciales, sera de sécuriser les intersections pour tous. Créer des espaces pensés pour ne pas seulement que protéger les cyclistes, mais aussi favoriser le déplacement des milliers de personnes âgés habitant le Samuel-Holland, Gibraltar, Mahonia et autres RPA du coin qui font rouler l’économie du quartier une petite marche à la fois. Pour que jamais un cycliste ne percute un centenaire à cause d’une tare urbaine.
Arkham Café Coop : Le rendez-vous de la culture pop
Saint-Roch – Le café-boutique Arkham est à la fois un commerce et un lieu de loisirs, où les passionnés peuvent dénicher des produits de culture pop.
Estelle Lévêque
Au cœur de ce qu’il considère comme le «quartier geek de Québec», Julien de Mélo a ouvert avec ses deux frères le Arkham Café Coop. Entre les studios de jeux vidéo et les bars, comme le MacFly ou le défunt LvlOp, est installé depuis deux ans ce commerce hybride. En effet, celui-ci se donne pour mission de regrouper au même endroit un café, un espace de lecture et jeu ainsi qu’une boutique de figurines, jouets, comics, BD, et plus encore.
« On voulait que les gens trouvent un peu une seconde maison ici. On a du monde qui vient pour chiller, jouer aux cartes, discuter ou lire», explique-t-il.
Alors que les boutiques de pop-culture sont assez répandues, l’intégration d’un lieu de détente à celle-ci reste un concept rare. «Ça se développe surtout en Asie», ajoute le co-propriétaire. « Au Canada, les endroits comme ça se comptent sur les doigts d’une main. »
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Retardé par le manque de moyens, le projet aboutit grâce à une campagne de sociofinancement.
« Ça nous a beaucoup aidé financièrement, bien sûr. Mais ça a aussi permis de montrer aux institutions qu’il y avait un intérêt pour le commerce et qu’on était soutenu par du monde», observe Julien de Mélo.
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LA VARIÉTÉ DE PRODUITS
Aujourd’hui, les entrepreneurs rencontrent l’accueil d’une clientèle présente pour ce genre de commerce spécialisé à Québec. La variété de produits disponibles au Arkham Café implique une grande diversité de visiteurs. Ainsi, les plus jeunes passent les portes du café pour ses cartes Pokémon ou ses figurines Pop Certains clients se réjouissent de découvrir des produits locaux comme la marque Sebejo ou les BD de Simon Bergeron (Esbe).
DISPONIBLES AU ARKHAM CAFÉ IMPLIQUE UNE GRANDE DIVERSITÉ DE VISITEURS. AINSI, LES PLUS JEUNES PASSENT LES PORTES DU CAFÉ POUR SES CARTES POKÉMON OU SES FIGURINES POP
Installé au Québec depuis dix ans, Julien de Mélo vient du milieu de l’informatique. Au fil des années, l’idée de vivre de sa passion pour la pop-culture germe peu à peu. Puis, le rêve se transforme en projet. Aymeric et Alexis quittent la France pour rejoindre leur frère et démarrer la coopérative Arkham Café. «On a choisi de faire une coop de travailleurs pour avoir un modèle d’entreprise équitable, ou tout le monde a le même pouvoir. »
L’ouverture d’un commerce à l’ère de la pandémie s’est nécessairement présentée avec son lot de difficultés.
Quant aux collectionneurs, ils trouvent leur bonheur dans les figurines prisées des univers Marvel, Assassin’s Creed ou encore du film culte Le Seigneur des Anneaux. La collection de bandedessinée ou de comics en anglais et français ravit, pour sa part, les lecteurs de tous âges.
En parallèle de son activité quotidienne, le commerce propose aussi des événements. Les dimanches matin, l’équipe du Arkham Café propose des activités familiales. De plus, les tournois de cartes One Piece rencontrent un franc succès au café depuis quelques semaines. Des journées de dédicaces d’auteurs de livres distribués en boutique sont organisées régulièrement.
À l’avenir, Julien, Alexis et Aymeric aimeraient encore élargir leur offre de produits et développer la vente en ligne, déjà disponible via leur site internet dans l’ensemble du Canada.
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QUOI QU’ON DISE
Par Martin ClaveauLa banlieue oubliée
Depuis que Bruno Marchand est devenu maire, en coiffant Marie-Josée Savard au fil d’arrivée, on peut dire qu’il a évolué. Si, au départ, on lui reprochait de ne pas prendre position sur grand-chose, il faut admettre qu’il a complètement modifié son discours et le voilà devenu un véritable croisé de l’écologie.
Les prises de position vibrantes du maire sont légion et tournent maintenant pratiquement toutes autour des changements climatiques. Pour une, la conseillère écologiste de Limoilou, Jackie Smith, apparait parfois décontenancée de ce changement de cap. Elle semble un peu se chercher un fonds de commerce, car le maire lui a subrepticement, pas mal, subtilisé le sien.
Moi, qui demeure au centre-ville et qui adhère plutôt aux grands principes des déplacements actifs, j’approuve donc plusieurs des «moves» de M. Marchand. Cela dit, je trouve que ça va parfois un peu vite, mais cette façon de faire réjouit bien des citoyens plus jeunes. Alors, normal que moi, qui suis un vieux «mon oncle», je sois parfois un peu largué par tout ça.
Si auprès des urbains les propos du maire trouvent écho, je constate que, quand je discute avec ma « gang» de hockey et mes autres amis de la banlieue, ce n’est pas tellement le cas. Plusieurs de ces amis semblent maintenant devenus résolument des anti-Marchand et me mentionnent qu’ils n’ont pas voté pour des pistes cyclables et des rues partagées partout. Ils ne comprennent pas d’où lui vient son mandat pour présider à de tels changements.
On me rappelle aussi que durant la campagne électorale Bruno Marchand passait son temps à dire qu’il ne voulait pas dicter au gens de quelle manière ils devaient se déplacer. Sa position sur ces questions était alors plus nuancée avant l’élection, mettons. Cette espèce de gros bon sens qu’il avait plaisait à plusieurs et c’est sans doute une des choses qui lui a valu la victoire. Une fois en poste, j’imagine qu’il a vu la lumière ou je ne sais pas trop quoi, mais sa perspective a changé du tout au tout.
M. Marchand est plutôt en forme, alors qu’il prenne une position ferme pour le transport actif est plutôt de bon ton. Je crois aussi, personnellement, que le transport actif est bon pour la santé et pour la planète. Alors ça me convient.
Malgré que je sois d’accord avec plusieurs de ces propositions, j’ai quand même l’impression que M. Marchand gouverne présentement beaucoup pour les gens du centre-ville. Je ne l’entends pas souvent parler de ceux de la banlieue. Alors il y aurait peut-être lieu de rééquilibrer les choses un peu pour leur montrer qu’il les comprend.
Mes amis de banlieue qui voient leur mode de vie menacé par tous ces changements qui se profilent ne sont pas dupes. Si, dans ses discours, M. Marchand mentionne ne vouloir laisser personne derrière, ces gens, eux, se sentent précisément mis de côté et ça les choquent. Quand on regarde ce qui se qui s’est passé au sud de la frontière, quand des populations ne se sentaient pas écoutées, il n’y a pas de quoi se réjouir.
Par Éric GagnonFélicitations à l’astronaute canadien Jeremy Hansen !
Connaissez-vous l’astronaute canadien Jeremy Hansen ? Il sera le premier Canadien à voler vers la Lune puisqu’il prendra part à la mission Artemis II qui doit décoller en novembre 2024. Apprenez-en plus sur ce programme spatial et découvrez dans cette chronique son parcours.
Âgé de 47 ans, Jeremy Hansen en sera à sa première mission spatiale. Pilote de chasse et colonel des Forces armées canadiennes. Il sera le premier Canadien de l’histoire à s’aventurer au-delà de l’orbite terrestre. Aucun Canadien n’avait participé à une mission lunaire avant le programme Artemis. L’astronaute canadien sera le spécialiste de mission au sein de l’équipage, un poste qui désigne entre autres le responsable du fonctionnement des systèmes de la navette. C’est par la participation financière et technologique, notamment par le bras canadien robotisé, que le Canada a assuré sa présence dans le vaisseau spatial.
L AMISSIONLUNAIRE A RTÉMIS 2
Première mission lunaire habitée depuis 1972. Cette mission préparatoire sera l’occasion de tester les équipements de la nouvelle capsule Orion avec un équipage à bord. Programmée pour le mois de novembre 2024, la mission Artemis 2 devrait emmener des astronautes jusqu’à la Lune, sans pour autant poser le pied sur notre satellite naturel. Le vaisseau effectuera un tour en orbite autour de la Lune et l’équipage prendra le chemin du retour après une dizaine de jours dans l’espace. Artemis 2 constitue une répétition générale
pour le grand retour de l’humain sur le sol lunaire prévu pour la fin d’année 2025.
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Plusieurs Canadiens sont allés dans l’espace. On peut penser à Julie Payette, Marc Garneau et, plus récemment, à David Saint-Jacques. Le Canada marquera une page d’histoire avec cette mission: ce sera le deuxième pays à envoyer un astronaute en orbite autour de la Lune. Jamais un Canadien ne sera allé aussi loin dans l’espace que Jeremy Hansen lorsque celui-ci fera le tour de la Lune à bord de la capsule Orion.
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Vous voulez en connaitre plus sur l’exploration spatiale et participer à des soirées d’observation ?
Un cours d’astronomie pour débutants sera donné cet été par un spécialiste qui vous donnera des connaissances de base pour bien débuter en astronomie. Il n’est pas nécessaire d’avoir des connaissances scientifiques pour participer à cette formation. Un incontournable pour tout astronome amateur.
Début des cours : Juin 2023
Coût : 175$ (150$ lecteurs du journal)
Durée : 3 mois
Contenu : Selon vos disponibilités, il vous sera possible de participer aux activités et aux soirées d’observations. Pour infos et inscription : Éric Gagnon 418 914-1546
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2022-04-25 7:03 PM Page 1
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AVISDECONVOCATION
AVIS DE CLÔTURE D’INVENTAIRE
AVIS est donné que Yves DAZÉ, en son vivant retraité et résidant au 3432, boulevard Sainte-Anne, appartement 202, Québec, Québec, G1E 3L7, est décédé le 31 juillet 2022, à Québec. Un inventaire de ses biens a été dressé conformément à la loi et peut être consulté par les intéressés, sur rendez-vous, à l’adresse suivante : Me Trina LEGAULT, notaire, au 3950, chemin d’Oka, à Saint-Joseph-du-Lac, Québec (tél : 450-473-2367). Donné ce 28 mars 2023.
Michel ST-AMOUR, liquidateur
LOGEMENTS DEMANDÉS
PENSÉE
Le Deux22 : le resto-boutique qui vous fera voyager
Saint-Roch – Alex Desbiens et Pierre-Yves Lapointe nous plonge dans l’univers éclaté de leur resto-boutique le Deux22, situé au 222, rue Saint-Joseph Est.
Mélissa Gaudreault
C’est d’abord le côté boutique qui a ouvert le 2 avril 2015, rapidement suivi du côté resto-bar mexicain le 19 juin de la même année. Fait intéressant, le commerce est le seul de ceux de la rue Saint-Joseph à avoir une terrasse.
invitelesfamillesmembresettoute personnedésirantassisteràson assembléegénéraleannuelle le 10 juin 2023 à10h au Domaine Notre Dame, 83 du Grand Capsa, Ste-Catherine-de-la-Jacques-Cartier, G3N 1P6
Pourinformations :418 529-0137 ouparadressecourrielduCentre: cfmrq@videotron.ca
Marie-ÈveGourdes,présidente.
APPROBATIOND’ÉPREUVE
Veuillezvérifierattentivementcetteépreuve,enparticulier VOSCOORDONNNÉES Certainsélémentsontpuêtremalretranscrits.
IMPORTANT
MASSAGE
MUSIQUE
Si on essaye touours d’être normal, on ne sait jamais ce que c’est que d’être extraordinaire.
–Maya Angelou RENCONTRES
SAVIEZ VOUS QUE ?
La Grande Bretagne fut le premier pays à émettre des timbres à partir de 1840. À ce jour, ce sont aussi les seuls qui ne portent pas le nom de leur pays d ‘émission.
S.V.P.signez etretournezau
418649-7531
Nousvousremercionsdebienvouloirrespecternotre NOUVEAUDÉLAI 26AVRIL2017
LEMERCREDI 12H
IMPÔTS / COMPTABILITÉ
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NOUVEAUDÉLAI 26AVRIL2017
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Le concept a été imaginé par quatre propriétaires qui souhaitaient trouver un concept originale et jamais vu, qui ont beaucoup d’imagination et qui sont passionnés par leur travail : Alex Desbiens et Pierre-Yves Lapointe ainsi que le duo formé par Véronique Parent et Patrick Montmigny qui tiennent la boutique Séraphin située sur la rue St-Jean.
DE PLUS, ILS PRÊTENT LE LOCAL GRATUITEMENT AUX ARTISTES QUÉBÉCOIS QUI
SOUHAITERAIENT EXPOSER LEURS ŒUVRES, ŒUVRES QUI CHANGENT PÉRIODIQUEMENT.
Le fait d’avoir ouvert la boutique d’abord puis d’avoir fait évoluer le concept selon la demande leur a permis de se faire tranquillement une place dans le quartier et le concept éclaté leur permet d’avoir une clientèle variée qui est présente tout au long de l’année, explique Pierre-Yves Lapointe.
Ainsi, le Deux22 est ouvert 7 jours sur 7, de 11h à 3h le matin, 362 jours par année.
« On fait tout ce qu’on aime: on mange, on boit et on magasine »– Alex Desbiens
De plus, ils prêtent le local gratuitement aux artistes québécois qui souhaiteraient exposer leurs œuvres, œuvres qui changent périodiquement.
L ECONCEPT
Du côté boutique, on pouvait auparavant retrouver des vêtements et accessoires pour femmes et hommes, mais le commerce a subi un dégât d’eau qui a touché la marchandise femme et les propriétaires n’ont pas renouvelé leur inventaire. Le style est motard, « jeaners », ils essayaient d’avoir des marques que l’on ne retrouvent pas normalement en magasin comme la marque Deus de NouvelleZélande-Australie et Biltwell de la Californie.
« Deus, c’est un brand que le monde connaisse souvent par les voyages et ça fittait un peu avec nous parce qu’on est tous des bons voyageurs et
en même arriver avec un resto concept mexicaintequila c’est un peu un appel au voyage. »– PierreYves Lapointe
Ils ont également développé leur propre marque maison du Deux22 qui comprend quelques items. Au niveau du resto-bar, «on voulait avoir une place qui était conviviale, de partage, où le monde vont s’asseoir et partager plusieurs petites choses très locales à prix très abordables» avec «un esprit bar de quartier», déclare les propriétaires.
Le menucomprend des plats traditionnellement mexicains comme des tacos, des quésadillas, des burritos et autres à la saveur québécoise, la grande majorité de la nourriture est fait maison et on peut retrouver environ 80 sortes de tequila différentes.
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Une retraite à la hauteur de vos rêves, voilà notre objectif!
Marie-Soleil Gagné, directrice générale d’Accès transports viables, a annoncé cet aprèsmidi, en compagnie du conseiller municipal Pierre-Luc Lachance, la programmation du Mois du vélo qui se déroule durant tout le mois de mai.
Mélissa Gaudreault
Pour le conseiller Pierre-Luc Lachance, le Mois du vélo est très important puisque celuici fait partie de la communauté cycliste de Québec et que la mobilité active est la priorité de l’administration Marchand.
De plus, le Mois du vélo lance la haute saison de vélo, selon ce dernier.
« Accès transports viables a une double mission: celle de défendre les droits des utilisateurs des transports actifs et collectifs et de faire la promotion et la sensibilisation à la mobilité durable sur notre territoire. » –Marie-Soleil Gagné Concrètement, l’organisme veut améliorer l’offre en transports actifs et collectifs et inciter les gens à se tourner vers ces modes de transports plus durables.
Elle ajoute que le thème de cette édition du Mois du vélo est d’inciter l’utilisation du vélo de manière utilitaire, donc comme mode de transport pour nos déplacements quotidiens.
A CTIVITÉS
Voici quelques-unes des activités proposées dans le cadre du Mois du vélo. Pour la programmation complète, consultezle site web d’Accès transports viables.
4 mai : Webinaire «L’impact du vélo sur les artères commerciales et la véloconomie», avec Vélo Québec
10 mai : Conférence «Le futur du vélo à Québec» en collaboration avec la Ville de Québec
13 mai : Montcalm en p’tites roues, en collaboration avec Mobilisation Haute-Ville
20 mai : Limoilou en p’tites roues, grâce à la Caisse Desjardins Limoilou et à 1, 2, 3 Go Limoilou
23 mai : Ciné-débat en plein air « Together We Cycle», avec la Barberie et la Table de quartier l’Engrenage de Saint-Roch
27 mai : Virée cyclomusicale, avec l’Ampli de Québec et la Ville de Québec