Année scolaire 2015-2016 / nº6 / Décembre 2015
Rejoignez -nous en Italie Page 8
Interview exclusive : Mme Stobbaerts nouvelle psychologue du LFCL, a répondu à nos questions. Page 5
Dans ce sixième numéro, Edito nos reporters font la part belle à la Nature et à ses hôtes, puisque c'est un numéro "Spécial Animaux" qu'ils ont décidé de Les réfugiés vous proposer. Serait-ce la p. 3 Rencontre COP21 qui réveille la fibre Mme Rapazote p. 4 écologique de nos journalistes ou la curiosité de biologistes en herbe qui pointe son Entretien nez ? Mme Strobbaerts p. 5
A chacun ses motivations, mais grâce à eux, nous allons découvrir tour à tour des Dossier spécimens de la Spécial faune asiatique Animaux p. 11 américaine et africaine. De drôle de bêtes, encore plus étranges et plus rares, vous permettront Le Muggle également de Quidditch p. 21 découvrir une nature mystérieuse ou mécanique...
L’Elétrico de Lisbonne p. 6 L’Italie p. 8
Drôles d’Animaux p. 15
Le Football Australien p. 23
Le Labyrinthe p. 19
Au delà de ce dossier spécial, nos journalistes vous invitent à partager leurs coups de cœur et à les suivre dans leurs pérégrinations de Lisbonne à l'Italie, leur intérêt pour des sports pour le moins surprenants, leur curiosité pour ce qui se passe au Lycée en allant à la rencontre de nouvelles têtes ou de beaux projets, leur indignation face au sort des réfugiés.
Bref, ce numéro qu'ils sont heureux de partager avec vous est un cocktail plein d'énergie, de vitalité, d'émotions et de solidarité pour Cinéma p. 20 savourer l'automne !
Jeux p. 26
Bonne lecture !
De quoi vous intriguer, n'est-ce pas ? Directeur de la publication : Serge Faure. Journal du Directrices adjointes de la publication :Céline Barés, Karina Cité, Karine Vie. Collège Charles Lepierre Rédacteurs : Alexandre de Robillard, Alexandre Pinheiro, Amalia Teixeira, Anne Bello, Daniel
Av. Duarte Pacheco, 32 Borochovicius, Daniel Maltez, David Oliveira, Eduardo Brito e Cunha, Gustavo Rosa, João Nolasco, João Paulo Pereira, Laura Silveira, Luis Magalhães, Luna Rachi, Martim Carvalho, 1070-112 Lisboa
Tel : 21 382 44 00 Fax : 21 387 12 18 Mail : journal@lfcl.pt
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Rafael Machado, Tess Di Rosa, Ulisses Boubezari.
Mise en page et illustrations : Céline Barés, Rafael Machado et David Oliveira, João Nolasco, Matilda Duarte, Natasha Rey.
Les réfugiés
Depuis 2011, des milliers de réfugiés fuient leur pays en guerre, pour venir s’installer dans plusieurs parties du monde et, en particulier, en Europe. Le nombre de personnes demandant le statut de réfugié a continué d'augmenter en 2014, en raison des guerres en Syrie et en Irak. 38 pays européens ont reçu 264 000 demandes d'asile. Les cinq pays qui ont reçu le plus de requêtes ont été l'Allemagne, la France, la Suède, l'Italie et le Royaume-Uni. 168 000 personnes supplémentaires, fuyant le conflit en Ukraine, ont demandé une protection en Russie. La Turquie a reçu plus d'un demi-million de demandeurs d'asile et de réfugiés originaires de Syrie, d'Irak et d'autres pays. En lisant l’article du journaliste Aris MESSINIS, qui s’était rendu à Lesbos pour prendre quelques photos, j’ai pleuré. Ce qu’il décrivait était vraiment horrible. À chaque voyage, plus de 1000 personnes meurent. En voyant toutes ces photos et vidéos, je me suis dit que j’avais une vie plus que privilégiée. Je n’arrive pas à croire que je passe mes journées, tranquille à l’école (ce qui est un très grand privilège), alors que ces gens frôlent la mort plus d’une fois par jour. Essayez, ne serait-ce que deux minutes, de vous mettre à la place de ces personnes qui se noient et qui sont rejetées. Quand on en parle, pour nous, ce n’est qu’un problème, alors que c’est beaucoup plus que ça… Pour moi, il faudrait vraiment faire quelque chose pour aider ces gens, mais... QUOI ?
Luna 5e1
Des suggestions, des commentaires, envie de donner son avis, d’écrire un article… journal@lfcl.pt
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Rencontre avec Inês Rapazote Les rédacteurs du Club Journal ont rencontré la journaliste Inês Rapazote. Luna et João, deux des élèves présents à cette rencontre, nous livrent ici leurs impressions… Responsable de l’actualité de la vie politique portugaise pour l’hebdomadaire V ISÃ O depuis 1999, Inês Rapazote est venue au CDI Collège présenter le rôle et le travail d’une journaliste professionnelle. En s’appuyant sur des articles de son magazine, elle nous a expliqué la différence entre un « reportage », enquête et témoignage d’un journaliste sur un sujet de fond, et un « article d’actualité », qui raconte un évènement récent. De plus, il existe une grande différence entre écrire pour un journal quotidien et pour un magazine hebdomadaire... Elle nous a montré comment étaient rédigés les articles, la présentation, la mise en page d’un article et elle nous a même donné “un truc” de journaliste : écrire les informations les plus importantes dès le début de l’article pour “accrocher” le lecteur et ne rédiger le “chapeau” qu’après avoir fini la rédaction. Mais être journaliste, c’est aussi respecter certaines règles et il en existe beaucoup : vérifier les sources, respecter la vie privée et les droits d'auteur… Par exemple, il faut voir si les autres journaux n’ont pas écrit la même chose sur le même sujet, ne pas faire de copier-coller même si l’information est la même, comme lors des derniers attentats de Paris. Les images aussi sont protégées par des droits d’auteur et l’on doit demander une autorisation pour les utiliser. Ces règles de déontologie* du journalisme sont difficiles à retenir, car elles sont nombreuses et parfois, il est difficile de ne pas faire une des choses inscrite sur la liste… Elle nous a dit qu’elle les relit souvent, presque tous les jours, pour ne pas les oublier. Avec Mme Rapazote, nous avons découvert le métier d’une « vraie » journaliste de presse écrite. Gentille et très à l’aise en français, elle nous a donné envie de continuer à écrire pour le Journal du Collège. Ce serait bien de rencontrer un autre journaliste, soit d’un quotidien (pour voir la différence de travail entre les deux genres de publications), soit « concurrent », pour avoir une autre opinion sur le métier…
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* règles morales qui régissent l'exercice d'une profession.
Luna et João 5e1
Interview « psychologie » Jeudi 26 novembre, notre journaliste a pris rendez-vous avec la nouvelle psychologue du Lycée, pour en savoir un peu plus sur son métier, mais également sur elle… Comment vous appelez-vous ? Comment doit-on vous appeler ? Magali Stobbaerts. Magali ou Madame, peu m’importe, tant qu’il y a du respect. D'où venez-vous ? Ancienne élève (j’ai passé mon Bac en 1981), j’ai toujours travaillé en collaboration avec le Lycée Français car je suis bilingue, ce qui est très utile parfois. Depuis combien de temps êtes-vous psychologue ? Où travailliez-vous avant ? J’ai fini mes études en 1988, donc cela fait 27 ans que je suis psychologue. Avant de venir au LFCL, je travaillais et continue à travailler dans plusieurs lieux à Lisbonne, Carcavelos et Sintra. Est-ce un travail difficile la psychologie ? J’aime ce que je fais donc je ne trouve pas le travail de psychologie difficile. Cependant, il existe des moments plus difficiles quand les cas sont des situations qui sont difficiles pour nous en tant que personnes. Qu’aimez-vous faire en dehors de votre travail, vos loisirs ? Je donne des cours de Yoga et j’aime beaucoup le travail corporel. Trouvez-vous le LFCL accueillant ? En ce qui concerne les gens, je trouve les professeurs et les employés accueillants. Comment aidez-vous les élèves ? Aider c’est facile, quand l’élève le veut bien. C’est plus difficile quand il ne le veut pas. Après, il faut savoir écouter activement. Ce n’est pas écouter et donner des conseils, cela tout le monde sait le faire. Il faut aider à exprimer ce que l’on ressent. Avez-vous une “méthode spéciale”, une spécialité en psychologie ? Ma méthode est une méthode “intégrative” car elle va à la rencontre de l’autre et ce n’est pas une méthode qui est imposé à l’autre. Il faut savoir s’adapter. Par exemple pour l’anxiété, il faut travailler autant le corps que le mental. Comment fait-on pour venir vous voir ? Quels sont vos horaires ? Il suffit de prendre rendez-vous par e-mail à l’adresse : psychologue@lfcl.pt. Le mardi de 13h à 17h et le jeudi de 8h à 12h. Un dernier mot pour conclure : « J’aime travailler avec les enfants et les jeunes. J’y prends beaucoup de plaisir. Je voudrais intervenir aussi dans les classes. »
Anne 5e2
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L’Elétrico de Lisbonne Embarquez à la découverte du tramway de Lisbonne, riche d’une histoire que peu de monde connaît. Si, à son apogée en 1950, le réseau comptabilisait 30 lignes, 900 tramways, 100 remorques et presque 150 km de voies, maintenant, il se limite à cinq lignes et une cinquantaine de tramways. A la fin du XIXe siècle, à Lisbonne, les transports publics étaient assurés par les “americanos”, des wagons tirés par des chevaux. Mais, au fil du temps, de nouvelles technologies sont apparues telles que l'électricité ou la vapeur. La CARRIS (l’opérateur public de transport de Lisbonne) mena des recherches, puis décida d’utiliser l'électricité. Ainsi, la première ligne de tramway, reliant Lisbonne à Algés, puis au Estadio Nacional, est ouverte en 1901. Dans les années cinquante, le tramway est le moyen de transport préféré des lisboètes. Il allait jusqu’à Benfica ou au Campo Grande, bref, il allait partout. Le réseau s'étendait alors sur plus de 150 km à travers Lisbonne et sa banlieue. La CARRIS construisait toujours de nouveaux tramways, toujours plus rapides et modernes. Il y en avait plus de 900 (avec un, deux, quatre ou plus de moteurs, des remorques, à Impériale, des longs, des petits). A cette époque, la CARRIS commence à faire des tests avec des autobus.
A partir de 1960, avec l’engorgement du trafic, l’arrivée des voitures et des bus, le tramway perd en rapidité et régularité. La CARRIS commence à supprimer des lignes sur les grands axes. 5 lignes de moins en 1960-70 par exemple et les tramways les plus anciens des années 1920 vont à la casse. L’arrivée de nouveaux bus accéléra encore plus le déclin de ce mode de transport pourtant non-polluant. À partir de 1970, des dizaines de lignes sont supprimées, des rails enlevés. Une grande partie des tramways encore existants (700 tramways entre 1970-80) sont mis à la casse ou vendus à des pays étrangers et à des particuliers. De 1990 à 1997, presque toutes les lignes restantes sont supprimées et celles qui ont survécu sont raccourcies. En 1997, il ne restait que 5 lignes : les 12, 15, 18, 25 et 28.
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En 1990, la CARRIS, à l’instar des autres pays européens, commence à étudier la modernisation de la ligne 15 (Praça da Figueira - Algés). En 1992, sont commandés les 10 tramways modernes articulés. Par la même occasion, la CARRIS et la mairie de Lisbonne font de grands travaux sur la ligne (rails et caténaires) pour lui faire supporter les nouveaux tramways, qui circulent sur des voies réservées sur la majorité du tracé. En 1995, après plusieurs mois de travaux, la ligne est réouverte. En même temps, la CARRIS modernise tous ses tramways historiques (45 véhicules) ; elle les équipe de systèmes de freinage et d’accélération modernes, tout en gardant leurs aspect ancien. Pour l’Expo’98, la CARRIS a proposé la création d’une ligne de tramway moderne entre Cais do Sodré et Oriente, mais c’est finalement une nouvelle ligne de métro qui a été retenue. Depuis, le réseau de tramways de Lisbonne n’a pas changé.
Actuellement, la réouverture de la ligne 24 (Cais do Sodré - Amoreiras), ligne qui passait près du Lycée, est en étude. Mais la CARRIS a un sérieux problème, car elle n’a même plus assez de tramways pour assurer toutes les lignes actuelles. Raison pour laquelle les lignes 18 et 25 ne fonctionnent pas le week-end, pour renforcer les lignes 28 et 15 qui sont régulièrement surchargées. Dans les prochaines années, plus de tramways articulés vont être achetés pour la ligne 15, mais les tramways historiques ne se fabriquent plus aujourd’hui. La ligne 24 risque donc de rester en sommeil pendant encore plusieurs années… Envie d’en savoir plus, visitez le « Museu da CARRIS » ou le site http://museu.carris.pt
Rafael 4e4
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L’ItaLIe
Connue pour ses gondoles, sa capitale, son histoire et ses pizzas… l’Italie ce n’est pas que cela. Reportage exclusif de notre journaliste Globe-trotter. La première chose que l’on apprécie en Italie, c’est sa cuisine. A chaque repas, il y a deux plats principaux : le Primi, essentiellement des pâtes, et le Secondi, la viande ou le poisson, auquel il faut rajouter les Contorni (les accompagnements). Actuellement, les italiens ne mangent les deux plats qu’aux grandes occasions. Dans les restaurants italiens, il faut parfois préciser que les Primi et les Secondi doivent être servis en même temps. Les restaurants familiaux sont appelés Osteria et sont plutôt nombreux. Une des entrées les plus connues en Italie est la bruschetta : du pain grillé avec de petites tomates coupées en dés, mais il arrive qu’elles soient accompagnées d’autres choses. À Venise, la nourriture est plutôt basée sur le poisson, par exemple les bigoli in salsa, qui sont de gros spaghetti avec une sauce sardine-oignons.
Venise est probablement la ville qui m’a le plus plu. C’est une très belle ville située au nord-est de l’Italie. Les voyages en gondoles sont très agréables. Et il faut 10 ans d’études pour bien fabriquer les gondoles, autant que pour être médecin ! La basilique Saint-Marc est magnifique avec ses mosaïques dorées qui recouvrent plafonds et murs. Le Café Florian, par contre, le plus ancien café de Venise, est cher pour ce que c’est : il faut payer 6€ rien que pour s’asseoir, ils appellent ça le «tarif orchestre». Son célèbre Carnaval attire des milliers de touristes, tous les ans. C’est une fête qui date du Moyen Âge. Les gens profitaient de ces jours de fêtes pour voler, se faire passer pour un autre ou tromper... Les garçons pouvaient même jeter des œufs parfumés à l’eau de rose sur les jolies filles et des œufs pourris sur les laides. Ses masques sont tellement célèbres qu’ils sont vendus dans toute l’Italie, mais il n’y a qu’à Venise que l’on trouve de vraies boutiques de masques.
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Le Gnaga est un costume composé de vêtements féminins et d’un masque de chat. Les personnes qui le portaient, se moquaient des autres et portaient un panier avec un chaton dedans. L’Arlequin est le plus ancien des costumes, composé d’un masque noir et d’un vêtement de losanges multicolores.
Naples est une ville qui paraît très sombre après avoir visité Venise. Il y a beaucoup de déchets par terre et de graffitis sur les murs, une ambiance assez «Gotham-City». La première cause d’homicide là-bas serait des raisons “familiales”, la seconde lors de petits vols dans les ruelles sombres et la troisième des conflits entre mafias, qui sont assez importantes à Naples, autre point commun avec la ville fictive de Batman. Mais Naples n’est pas loin de Pompéi, la célèbre ville, du Vésuve évidemment et de magnifiques plages… On y voit aussi de belles statues d’origine grecque et, au musée Belaggio, on peut y admirer de merveilleuses sculptures représentant des personnages de la mythologie romaine et de l’histoire chrétienne, mais, surtout, la célèbre Vénus de Belaggio que l’on retrouve en miniature partout dans les petites boutiques de la ville. En comparaison, Rome est la ville la plus calme du monde… Capitale de l’Italie, Rome est également une très belle ville, où il est facile de se rafraîchir en été grâce au grand nombre de robinets d’eau potable disposés partout. La ville compte beaucoup de monuments magnifiques, comme la Fontaine de Trevi ou la “ Bocca della veritá ”, moins connue et plus discrète. Selon la légende, lorsqu’on met sa main dans cette bouche et que l’on ment, la bouche se refermerait automatiquement… En conclusion, l’Italie est un magnifique pays, riche en histoire et en cultures diverses, très intéressant à visiter, où l’on peut admirer des sculptures, des églises, des fontaines, des peintures. Mais aussi, un pays où l’on mange bien...
Amalia 5e5
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Dessert typiquement italien, aussi délicieux qu’inratable, le Tiramisu a été redécouvert au XXe siècle. Son nom signifie « redonne-moi des forces » et selon la légende, il aurait été inventé à la Renaissance par les Vénitiennes, qui l’aurait donné à leurs amants, la nuit, pour qu’ils reprennent des forces pour s’occuper d’elles...
Ingrédients : - 1 boîte de boudoirs ou «biscuits à la cuillère» -500 g de framboises -250 g de mascarpone -2 œufs -5 cuillères à soupe de sucre -125 cl de lait Pour le décor : - 1 sachet de sucre vanillé - quelques framboises entières Préparation : Prenez 6 coupelles, de préférence transparentes, et mettez-y les biscuits à la cuillère qui ont été trempés dans du lait, au fond. Battez le mascarpone avec les jaunes d’œufs et le sucre. Montez les blancs en neige et incorporez-les délicatement à l’autre mélange. Montez le Tiramisu : dans chaque coupelle, mettez une couche de crème sur les boudoirs, puis des framboises et terminez par une couche de crème.
Au moment de servir, décorez de framboises et saupoudrez de sucre vanillé. Attention ! Vous devez faire la recette la veille et la laisser prendre au réfrigérateur durant une nuit...
Buon appetito !
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Amalia 5e5
Je suis un panda, mais je ne suis pas blanc et noir, je ne me nourris pas Vous connaissez sûrement l’éléseulement de bambous et je suis le seul phant africain, mais connaissez-vous représentant de la famille des fulgens : l’éléphant asiatique ? je suis l’Ailurus fulgens. L’éléphant d’Asie est un mammiLe panda roux est un mammifère qui fère de la famille des éléphantidés, qui vit dans l’Himalaya, plus précisément à mesure environ 6 m de long et 3,5 m Sikkim, au Bhoutan et dans la Chine mé- de haut et peut peser jusqu’à 5 tonnes ! ridionale (dans les régions du Tibet, SiIls vivent normalement en trouchuan et Yunnan), mais il s’installe aussi peaux, menés par une femelle. L’éléau nord de la Birmanie. phant asiatique a un régime végétarien. Autrefois présent sur l'ensemble du Le nom scientifique du panda roux continent asiatique, ils ne vivent plus est A ilurus fulgens, de A il-(queue) et aujourd'hui que sur un territoire réOrus-(bouge), soit « queue qui bouge ». duit : Sri Lanka, Myanmar, Thaïlande, Il se nourrit de fruits, de racines, de bamMalaisie... bous, de glands, de lichen, d’œufs et d’oisillons. Il est principalement nocturne et a pour prédateur la panthère des neiges. Son corps sans la queue mesure de 50 à 65 cm et sa queue mesure entre 30 et 60 cm.
L’éléphant d’Asie est très différent de l’éléphant d’Afrique car les oreilles de celui d’Asie sont plus petites : on dit qu’elles sont de la forme de l’Inde. L’éléphant d’Asie est aussi plus petit et surtout, il ne vit pas en Afrique !
Daniel M. 5e2
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L’once ou Panthera Uncia, aussi nommée “léopard ou panthère des neiges” ou parfois “irbis”, vit dans les vertigineux monts enneigés autour de l’Himalaya, entre 2700 m et 6000 m, l’été, et au dessous de 1000 m, l’hiver.
Le léopard est un animal discret qui se cache de nous, humains, mais également d’autres animaux. La fourrure joue un rôle important dans la survie de cet animal solitaire car elle est épaisse, grise, tachetée ce qui lui permet de se fondre, en toute discrétion dans le décor montagneux. Ce carnivore est particulièrement difficile à repérer et donc à photographier ou à filmer.
Les onces sauvages sont peu nombreuses en ce monde. On estime ces animaux entre 4000 et 6500 individus. Le territoire de l’espèce, en voie d’extinction, s’étend de l’Afghanistan à la Chine. L’Union Internationale pour la Conservation de la Nature a ajouté cet animal sur la liste des espèces en danger. Les chasses intensives des années 1990 en Russie, l’envahissement de leur territoire par le bétail, la diminution des proies, le braconnage et leur faible taux de reproduction sont responsables de la baisse démographique du léopard des neiges. Mesurant 1 à 1,30 m de long, avec une queue de 90 cm à 1 m de long, les mâles sont plus grands que les femelles. Le poids d’un adulte est compris entre 25 et 50 kg. Il a une espérance de vie d’une douzaine d’années, dans la nature, et de seize ans, en captivité. Sa maturité sexuelle arrive vers l’âge de 2 ans. La saison des amours a lieu de janvier à mars. La gestation dure 3 mois environ et chaque portée peut donner naissance à 1 à 5 petits, mais généralement, il y en a 2 ou 3. Des animaux qui font trois fois sa taille peuvent être son déjeuner. Il se nourrit particulièrement de moutons sauvages, de tahrs, de markhors, de bouquetins, de marmottes, de rongeurs… Si j’ai choisi de parler de cet animal, c’est que le léopard des neiges est très beau, qu’il me fait rêver, mais qu’il est en voie de disparition. Il faut absolument le protéger...
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Ulisses 5e1
Le Dendroaspis polylepis, n’est pas un, mais, c’est LE serpent le plus agile de toute l’Afrique… Le mamba noir, de la famille des Elapidae est un serpent très venimeux, qui vit en Afrique Centrale et du Sud. Ce serpent doit son nom à la coloration noire dans la partie supérieure à l’intérieur de sa bouche. Le venin de ce serpent est mortel et la victime succombe en 10 à 20 minutes. Le mamba noir est un serpent qui a une longévité de 20 ans, sauf s’il est la proie des mangoustes ou des oiseaux de proie. Ce serpent est, sans aucun doute, mon serpent préféré parce que j’ai toujours aimé son nom. Daniel M. 5e2
Le Perroquet Jaco, dit “papagayo cinzento de cauda vermelha” en portugais, est une espèce d'oiseau fascinante. C'est le meilleur parleur parmi tous les perroquets. Il est appelé de différentes façons dans le langage courant : Gris d'Afrique ou parfois Gris du Congo ou du Gabon. La femelle du perroquet pond de deux à cinq œufs qui éclosent après 28 jours. Il a une durée de vie moyenne de 80 ans ! Il adore les noix et tous genres de fruits secs. Il faut aussi lui donner beaucoup de fruits qui contiennent de l’eau comme la pomme, la pastèque… Chez moi, j’ai un perroquet qui s’appelle KIKO et qui a presque un an. Il sait déjà dire “Olá”, “Coucou”, mais surtout il imite très bien les alarmes des voitures... C’est un animal très intelligent, qu’il vaut mieux ne pas contrarier car sinon il mord !
David 5e1
Des suggestions, des commentaires, envie de donner son avis, d’écrire un article… journal@lfcl.pt
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Le requin-renard ou “renard de mer” de la famille des Alopiidés, est une espèce de requin assez rare à trouver, notamment parce qu’il peut descendre jusqu’à 500 mètres de profondeur ! Grand migrateur, il vit dans les mers froides, tempérées et tropicales, comme le sud de la Californie, dans les baies et sur le littoral. Il s’alimente de petits poissons qui se déplacent en bancs, surtout des harengs, des maquereaux ou des calamars, sa queue lui servant à assommer ses proies. Vivant en moyenne 15 ans, le requin-renard ne dépasse pas les 5 m de long à l’âge adulte, pour un poids de 230 kg… Normalement, de chaque portée naissent de 2 à 4 petits requins, dont la longueur varie de 1,20 m à 1,50 m. À mon avis, le requin renard est une espèce qu’on ne rencontre pas souvent. Ce qui m’intrigue le plus, c’est la longueur de leur queue, presque aussi grande que leur corps !
Daniel M. 5e2
Le Puma, aussi connu sous le nom de “Cougar” ou “Lion des montagnes”, appartient à la famille des Félidés. Mammifère carnivore, ce gros chat sauvage ressemble à un léopard, mais sans tache. Vivant en moyenne 10 ans, cet animal vit aussi bien à l’ouest de l’Amérique du Nord, en Amérique centrale et du Sud. Adulte, le mâle mesure plus de 2 m et peut pèser environ 70 kg. Il peut courir à 50 km/h, faire 6 m d’un bond ou sauter 2,5 m de haut !
Comme le puma est un animal solitaire, les mâles et les femelles ne se rencontrent qu’en période d’accouplement (environ pendant deux semaines dans l’année) et chaque portée, de 2 à 3 petits, reste deux ans avec leur mère. Cette espèce menacée est omnivore et chasse la nuit, se nourrissant de cerfs, moutons, poissons, limaces, singes, sauterelles ou végétaux...
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Daniel B. 5e2
Le Loch Ness est, paraît-il habité par une créature surnommée le plus souvent « Nessie ». Mais si l’on se penche sur son histoire, plusieurs témoins dignes de foi, bien qu’ayant vécu à différentes époques, rapportent l’apparition d’un animal monstrueux dans cette zone. Alors mythe ou réalité ? Y a-t-il vraiment quelque chose qui vit dans ce lac ? Situé au sud des Highlands d’Écosse, au Royaume-Uni, à côté de la ville d’Inverness, le Loch Ness est un lac long de 39 km et large de 3 km. Il est bordé au sud et au nord par des montagnes et il peut atteindre plus de 200 m de profondeur. Quand on visite le lieu, on s’aperçoit que le lac est sombre, en raison de sa nature et des montagnes qui l’entourent. Mais, même en utilisant un équipement de haut niveau, on ne verrait rien en dessous de 2 m sous l’eau. Le lac est rarement agité, mais de plus près, on peut apercevoir une intense activité de bulles et de remous. Ajoutez à cela, un temps pluvieux ou de la brume, autant dire que l’endroit paraît curieux.
De multiples témoignages Dès le VIe siècle, apparaît la première description de Nessie, par le moine irlandais St-Colomban, qui aurait affirmé apercevoir une créature surgir du lac et replonger aussitôt. Pour avoir de nouveaux témoignages, il faudra attendre le XVI e siècle. Tous confirment avoir aperçu, en l’espace de quelques secondes, dans le lac, une sorte de gigantesque serpent portant sur le dos une ou deux bosses. Au XIXe siècle, plusieurs personnes disent avoir vu quelque chose dans le lac. Pour la plupart, ils avouent avoir vu un long cou d’animal surgir de l’eau en un instant. Mais c’est seulement en 1895, que quatre personnes (deux pêcheurs, un garde forestier et un hôtelier), situés à des endroits différents au bord du lac, attestent avoir vu comme une grande salamandre sur le lac. 1933 sera une grande année pour Nessie. Non seulement un nombre colossal de témoignages fait augmenter la liste des apparitions, mais le monde entier connaîtra le “Monstre du Loch Ness”, grâce au cliché du Dr. Wilson (en fait, la photo a été prise par un réalisateur, Ian Wetterwell, qui, pour plus de sérieux, l’attribua au docteur).
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C’est un engouement médiatique qui prend des proportions folles. Les journalistes, les photographes et d’autres reporters à la sauvette se précipitent vers le lieu mystérieux où rôde une créature très célèbre. Seulement Nessie à la mauvaise habitude de ne pas se montrer quand il le faudrait…! Ce n’est qu’en 1994, qu’on saura que cette photo était un canular. Le monstre était seulement un vulgaire animal en carton-pâte, accroché à une souche de bois.
De nombreuses expéditions scientifiques En 1960, un ingénieur en aéronautique, Tim Dinsdale, dévoile le document le plus authentique à ce jour. Son film montre une bosse rougeâtre qui traverse le lac, tourne légèrement puis disparaît. Le film a été étudié par des techniciens, qui ont attesté qu’il n'y avait aucun trucage sur la pellicule. Le professeur Rines, en 1972, organisa une expédition scientifique avec l’Académie des Sciences Appliquées. L’équipe aperçut dans le rayon du sonar les traces épaisses et noires d’une grande masse en mouvement. La caméra stroboscopique photographia les tâches détectées, mais en raison de l’opacité de l’eau, les vues étaient floues. Cependant, l’analyse par ordinateur révéla des images intéressantes : un grand aileron en mouvement de 1,20 à 1,80 mètre de long. En 1987, une expédition plus importante est mise en oeuvre. Devant 300 journalistes ainsi que les télévisions du monde entier, les responsables de l’expédition avouèrent n’avoir rien découvert d’extraordinaire. Seulement trois échos curieux, dont l’un fort et persistant, furent enregistrés. Toutefois cela aurait pu être un tronc d’arbre… Nessie apparaîtra pour la dernière fois en 1998.
Ainsi, Nessie serait une sorte de Plésiosaure, avec une tête reptilienne, un long cou et deux ou trois bosses sur le dos. La queue serait mobile et créerait des remous. Pour expliquer la présence d’un tel animal dans le Loch Ness, une des théories serait que ce lac fut en liaison avec l’Atlantique et qu’après une baisse soudaine des eaux, il se serait retrouvé emprisonné dans le lac. Aujourd’hui, d’un point de vue purement scientifique, il n’est pas possible qu’une telle créature vive dans le Loch Ness. Mais pourquoi ne pas imaginer qu’une nouvelle espèce, encore inconnue, puisse vive dans les eaux de ce lac sombre...
Ulisses 5e1
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Luis 5e5
C’est en 1997, qu’un groupe de recherche sous-marines, appelé National Oceanic and Atmospheric Administration, a détecté un son de fréquence ultrabasse, entendu sur la côte du Brésil, alors que le son a été émis dans l'océan Pacifique, près de l’Antarctique. Et il faudra attendre 2014, pour l’entendre à nouveau, au même endroit. Le son ressemble à celui de la chute d’un iceberg, mais les scientifiques disent que cela est impossible, puisque le son s’est produit à plus de 2 km de la banquise. Cependant, en guise de comparaison, si une baleine bleue mesure 34 mètres, ce qui a produit ce son doit mesurer près de 215 mètres ! (ou alors possède des cordes vocales plus puissantes que celles de la baleine bleue !)
Voici comment certains imaginent cette créature mystérieuse, mais… le mystère n’a pas encore été résolu...
João 5e1
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Les ailes déployées de ce drôle d’animal, cache une voiture peu ordinaire. Surnommée la « Papillon » ou « Gullwing » (ailes de mouettes en anglais), cet engin, dont les portières s’ouvrent à la verticale, est toujours une légende. Née en 1952, la Mercedes-Benz 300 SL (pour Sport L ight) est un coupé spor tif qui remporta de nombreux succès automobiles, comme la course des 24 Heures du Mans, la Carrera Panamericana ou celle des Mille Miglia. À cette époque-là, elle était la voiture la plus rapide du monde, avec 171 chevaux... Alliant légèreté et élégance, avec une carrosserie très aérodynamique, fermée et en aluminium, cette voiture révèle une véritable audace de la part de la marque allemande, avec ses portières s’articulant très haut dans le toit, comme les ailes d’un papillon. En fait, le châssis de la Mercedes 300 SL remontait si haut sur les côtés (à 88 cm du sol !) qu’il était difficile d’adapter un système d’ouverture de porte classique. L’accès à bord est pour le moins acrobatique : on « plonge » plutôt qu’on ne monte dans l’habitacle, le volant basculant à l’horizontal, pour laisser passer les jambes du conducteur.
Encore aujourd’hui, cette voiture qui fascine toujours autant les collectionneurs et les passionnés de belle mécanique, reste un véritable mythe...
Gustavo 5e5
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Le Labyrinthe Le Labyrinthe (titre original : The Maze Runner) est un film qui est sorti en 2014 et qui a été réalisé par Wes Ball. Ce film est tiré du livre “Le Labyrinthe”, premier tome de la saga “L’épreuve”, rédigée par James Dashner et publiée à partir de 2009. Un virus mortel a été introduit sur Terre et menace la population. Mais un groupe de personnes, les “Blocards”, regroupant une trentaine de jeunes garçons, ne sont pas contaminés. Le “Wicked” décide alors de les enfermer dans le “Bloc”, sorte de minivillage au milieu d’un labyrinthe, pour leur faire passer des épreuves de manière à voir comment fonctionne leur cerveau et ainsi trouver un remède. Au début de chaque journée, les murs qui entourent le Bloc s’ouvrent, laissant la possibilité aux “coureurs” d’explorer le labyrinthe, qui change toutes les nuits et peutêtre d’en trouver la sortie. Mais à la nuit tombée, les murs se referment et personne ne veut être enfermé dans le labyrinthe pendant la nuit, car il y a des monstres, les “griffeurs”, qui piquent et tuent avec un poison. Tous les mois, au milieu du Bloc, remonte la “boîte”, ascenseur qui relie le Wicked au labyrinthe et par lequel arrive le ravitaillement hebdomadaire de l’abri ainsi que les nouveaux Blocards… Une nuit, Thomas, l’un des coureurs, reste coincé en dehors du Bloc. Mais il arrive à survivre et c’est le seul depuis le début du Bloc ! Pour savoir ce que Thomas a découvert, regardez le film… ou lisez le livre ! Le Labyrinthe est donc un film de science-fiction, qui va intéresser les passionnés d’aventure, d’action et de mystère...
João Paulo 4e3 et Laura 5e5
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En décembre, le nouveau film de la saga STAR WARS va sortir sous le titre “STAR WARS VII : THE FORCE AWAKENS”. Plus de 30 ans après l’épisode VI, « Le Retour du Jedi », la suite de la saga « Star Wars VII : Le Réveil de la Force », va enfin être lancée, le 17 décembre, au Portugal. Le réalisateur, J.J. Abrams, qui garde secret le scénario du film, a réuni de nouveaux acteurs aux anciens personnages. On sait également qu’il y a une nouvelle planète « Jakku » et un nouveau sabre laser : un triple sabre laser !
En effet, l’année dernière, les élèves de CP ont réalisé 5 courtmétrages en classe, mais seul un film a été sélectionné au Portugal pour le “Prix National du Film d’Animation 2015” : celui de la classe des CP C. Pour en savoir plus, nous sommes allés interviewer l’institutrice de la classe, Mme Sophie Ravail. Comment est né ce projet ? Ce projet concernait toutes les classes de CP. C’est Hélène Tessier, une de nos collègues, qui nous a présenté le réalisateur et son assistante. Comment avez-vous réalisé ce film ? Le réalisateur est venu une fois pour montrer une animation aux enfants. Pendant cette période, les enfants faisaient les découpages et les dessins. Quel était le rôle des enfants ? Ils devaient dessiner les personnages, faire les voix et imaginer les scénarios. Pourriez-vous nous donner des conseils sur la réalisation d’un film ? Pour réaliser un film, il faut surtout de l’organisation et de la motivation. Plus personnellement, quel cinéma aimez-vous ? Quel est votre film préféré ? J’aime beaucoup les comédies, surtout l’humour anglais, et les films véridiques. Mais j’ai trop de films préférés pour les citer...
Pour découvrir ou redécouvrir ce court-métrage, allez sur le site Internet du LFCL ou à l’adresse http://youtu.be/SegKyTGd8gM
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Alexandre P. 5e5 et João 5e1
Inspiré par le jeu pratiqué à l’École des Sorciers, dans les romans de Harry Potter, le Muggle Quidditch connaît depuis quelques années, un succès grandissant. Mais si, comme moi, vous n’avez pas de pouvoirs magiques, savez-vous exactement comment on y joue ? Dans ses livres, Harry Potter et ses amis, élèves sorciers, jouent au “Quidditch”. Or, dans ce monde imaginaire, les nonsorciers sont appelés “muggle” et c’est cela qui donne l’origine du nom “Muggle Quidditch”, soit le Quidditch des non-sorciers. Ce sport a été créé en 2005, il est donc plutôt nouveau, mais il se joue dans le monde entier et a de plus en plus d’adeptes. Le Muggle Quidditch oppose donc deux équipes de sept joueurs chacune (qui peuvent compter parfois jusqu’à 20 joueurs). A cheval sur un balai, les joueurs s’affrontent sur un terrain rectangulaire, avec des coins arrondis, plus ou moins de la taille d’un terrain de hockey. Le but du jeu est de marquer le maximum de points avant qu’un des joueurs d’une équipe, appelé “seeker”, n’attrape la “snitch” (sorte de balle de tennis, enfilée dans une longue chaussette et qui est pendue au dos du short d’un joueur habillé en jaune). Si un seeker attrape la snitch, le jeu se termine et l’équipe gagne 30 points.
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Pour marquer des points, les “chasers’’ doivent lancer la “quaffle” (une balle de volley légèrement dégonflée) à travers des anneaux de différentes tailles, disposés au bout du terrain de chaque côté. Le rôle des “keepers” est de défendre son anneau, plus ou moins comme un gardien de but. Chaque balle marquée compte pour 10 points. Et pour compliquer, il y a les “beaters”, dont l’objectif est de lancer, avec une batte, des balles appelées “bludgers” contre les membres de l’équipe adversaire ! Pour faire avancer la balle jusqu’à l’autre côté du terrain, on peut la passer aux membres de son équipe, lui donner un coup de pied ou bien juste courir avec elle dans les bras. Pour qui est en train de se demander à quoi servent les balais, la réponse est : absolument à rien ! La seule chose à faire avec le balai, c’est le garder pendant tout le jeu entre les jambes ! Et si, par hasard, on le lâche, que ce soit dans un contact avec un autre joueur ou bien par méprise, on doit faire la même chose que lorsqu’on est touché par une “bludger”: aller vers notre but et le toucher avant de revenir dans le jeu. Personnellement, je n’ai jamais essayé de jouer à ce jeu, mais j’en ai vraiment envie. Ce serait super d’organiser un match avec quelques amis ! Peutêtre un jour, ce jeu remplacera le foot… Alors, envie d’essayer ce nouveau sport ?
Pour tout comprendre, un livre vous attend au CDI Collège !
Eduardo 5e1
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Des suggestions, des commentaires, envie de donner son avis, d’écrire un article… journal@lfcl.pt
Le F
tball australien
Le football australien, également connu sous le nom de “footy” a été inventé en 1857, par Tom Will, et est considéré le sport le plus dangereux du monde. Cependant, ce sport est très peu connu en dehors de l’Australie... L’inventeur du football australien, Tom Will, est né en Australie, mais il est allé étudier en Angleterre où, dans son école de la ville de Rugby, il est devenu capitaine de l’équipe de rugby. Rentré en Australie, il envoie une lettre au journal “Bell Sporting Weekly”, demandant la création d’un nouveau sport pour que les joueurs de cricket restent en forme pendant l’hiver, saison où l’on ne peut pas jouer au cricket. Et ce n’est que le 10 juillet 1858 que le premier club de football australien apparait : le “Melbourne Football Club”. Le premier match de footy, entre cette équipe et celle du Scotch College, durera 4 jours ! Les règles définitives sont rédigées en 1859 par Tom Will (après celles du Rugby, mais avant celles du Football !). Les premières compétitions officielles ont lieu dès 1861 et encore aujourd’hui, chaque état d’Australie a son club, qui participe tous les ans au championnat national. Le football australien se joue avec un ballon de rugby mais sur un terrain de cricket, mesurant de 110 à 155 mètres de large et de 135 à 185 mètres de long. Pour ceux qui ne le savent pas, le terrain de cricket est ovale et est recouvert d’herbe. L’équipe, formée de 18 joueurs professionnels, se répartit de la façon suivante sur le terrain : 2 lignes de 3 joueurs dans chaque demi-cercle de 50 mètres, 4 joueurs dans le carré central et 2 de chaque côté du carré central. Un match se déroule en 1 h 20, de quatre «quart temps» de 20 minutes, les équipes changeant de côté de terrain à chaque fois. Pour gagner, les joueurs doivent marquer le plus d’essais, c’est-à-dire envoyer le ballon de l’autre côté des quatre poteaux du terrain, sans se faire arrêter par les joueurs de l’équipe adverse. À vous de jouer maintenant...
Alexandre R. et Martim 5e3
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Jeux League of Legends ou LoL pour les fans, est un jeu de “combat d’arène multijoueurs en ligne” (MOBA en anglais), inspiré du mod Dota, comme celui de Warcraft III. Publié dès 2009, c’est en même temps un jeu MMO (jeu en ligne massivement multi-joueurs) et un jeu RPG (jeu de rôle). En 2013, il devient l’un des jeux les plus populaires, avec un classement de 9,2/10. Les créateurs décident alors de créer une chaîne Youtube pour les actualisations (animations, musique…), mais aussi une chaîne Twitch, pour la diffusion en direct de championnats mondiaux d’un nouveau sport, l’E-Sport, consistant à regarder des joueurs faire des compétitions de jeux vidéo… Dans LoL, deux équipes de cinq personnages s’affrontent pour défendre leur Nexus, qui est le cristal le plus important du jeu. L’objectif est donc de détruire le Nexus adverse tout en protégeant le sien ; mais pour cela, il faut détruire les Tours qui le protègent avec des lasers. Ainsi, tout au long du jeu, les Nexus créent des petits monstres, appelés minions (combattants qui luttent avec vous ou contre vous), pour aider les joueurs à tuer les adversaires, détruire les Tours et pouvoir atteindre et éliminer le Nexus de l’équipe adverse. Au début du jeu, chaque personnage choisit une des voies pour atteindre son but (la voie du haut, la voie du bas, la voie du milieu ou la jungle). Lorsque le jeu a commencé, le joueur qui quitte la partie désavantage son équipe (à 4 contre 5…). Chaque personnage, appelé champion, a plusieurs skins, c’est-à-dire qu’il change d’apparence mais il garde les mêmes attaques. Par exemple, le personnage Darius peut apparaître sous plusieurs formes différentes :
Ce jeu, original, est un MMORPG. J’aime y jouer car j’ai la liberté de choisir les personnages à chaque bataille et il y a d’excellentes musiques.
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João Paulo 4e1, Alexandre R. et Martim 5e3
Jeux Avez-vous bien lu le Dossier Spécial Animaux ? Serez-vous capable de retrouver tous les animaux cités dans les jeux ci-dessous ? Relevez le défi des mots croisés et des mots mêlés, proposés par notre passionné des animaux...
ANIMAL MYSTÈRE : _____________
Daniel M. 5e2
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Jeux Solution des jeux du journal n°5 Mots Mystère : JEUX OLYMPIQUES Mots croisés des vacances :
Tess 5e1
HEUREUSE ANNÉE 2016 26
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