Portfolio Déri DériChristelle Christelle
Portfolio Déri Christelle en Master 2 à L’ENSA-V
Sommaire architecture / urbanisme / autres
Architecture
Autres... Curriculum Vitae
Architecture de plastique
6
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Pôles musical et aquatique
8
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Déguisement pour l ‘exposition «Dreamland»
Espace culturel Catoiu 10
24
Reportage sur les grafitis à la Butte aux Cailles
Logements collectifs à Mantes-la-Jolie 12
26
Voyage
Architecture et Musique 14
Urbanisme Transport Filaire à Lozère 16 Gucun Park Station 18 Looking Backward Utopia
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Mémoire
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Curriculum Vitae Christelle DERI
Formations 2008: Bac S à FANB Monaco 2008-2011: Licence d’architecture à l’ENSA-V
Experiences Architecture : 2009 : stage en chantier SATRI : entreprise de contruction à Monaco 2010 : stage en cabinet d’architecture Alexandre Giraldi DPLG à Monaco Autres : 2011: Trésorière de l’association fanfare «Wonderbrass» 2011-2012: Délégué de promotion à l’ENSA-V 2012: Responsable communication des «Wonderbrass» 2012: Hôtesse d’accueil et assistante club de plongée
Competences Linguistiques: Anglais (bon niveau) Espagnol (bon niveau) Informatiques: Microsoft Excel-Microsoft Word Photoshop/Indesign/Illustrator... Autocad Rhinocéros 3D
Activites Plongée Tromboniste de fanfare
Architecture de plastique Fernando et Humberto CAMPANA Luc REGIS
#Micro architecture Ce travail collectif, réalisé avec l’aide des frères Campana, combine une réflexion sur la nécessité d’une architecture écologique, voir recyclable et une recherche importante sur les possibilités esthétiques mais aussi constructives du plastique des bouteilles que nous cotoyons chaque jour. Ce matériaux inédit permet de jouer sur la transparence et offre un éventail de formes très important.
P么le musical et aquatique Olivier GIRARD
#Pôle multi-activités Le programme le permettant, le complexe se divise en une multitude de bâtiments qui sont autant de fonctions, tel un micro-tissu s’infiltrant entre les autoroutes ou grimpant le long de la colline. Leur disposition en arc de cercle autour d’un bassin extérieur (qui une fois l’hiver venu devient une marre en prolongation du parc) crée un espace dédié au piéton (oublié dans cette partie là de Paris). Tout est conçu pour le mettre en valeur, de la volonté de conserver une échelle humaine à la mise en évidence des circulations. La partie musicale complètement éclatée est conçue comme un festival où le public est libre de circuler entre les différentes salles. Le hall est commun aux deux programmes afin de faciliter les échanges sociaux. Plan de toiture
Coupe longitudinale
Espace culturel Catoiu Studio
#Mutation d'un ouvrage d'art Au coeur de la Calabre italienne serpente une vieille autoroute dont la construction a nécessité la mise en place de nombreux ouvrages d’art. Désormais hors-normes pour la circulation automobile rapide, ces ouvrages sont voués à la destruction. Le but de ce studio était donc de réfléchir sur d’éventuelles réhabiliations. Ici il s’agit d’un tunnel semi-enterré situé entre deux viaducs et offrant entre ses arches une vue imprenable sur la mer d’Italie . Décision est prise de conserver cette oeuvre massive à l’esthétique brute comme point central d’un projet de musée qui, lui, viendrait se fondre au coeur de la montagne. Un immense puit de lumière accueillant un escalier à double hélice est ainsi creusé au coeur de la roche et sert de noyau aux diverses galeries. Le toit, en continuité du viaduc, est conçu comme une immense esplanade boisée afin de se fondre totalement dans le paysage et offrir une magnifique vue.
Logement Collectif Ă Mantes-la-Jolie Mathieu GELIN
#Intimite et mur actif La famille se compose de différents individus nécessitant chacun leur part d’individualité pour se définir et se ressourcer. Un logement doit donc être composé d’un essemble de cellules plus ou moins grandes offrant des degrés différents d’intimité et adaptées aux différentes activités du quotidien Ici des cloisons coulissantes permettent à chacun des occupants d’ouvrir ou fermer à son gré sa bulle d’intimité. Lorsque toutes les parois sont ouvertes l’appartement devient un grand espace dédié à la famille s’organisant autour d’un mur actif .
Plan T3
Coupe T3
Logement Collectif Ă Mantes-la-Jolie Mathieu GELIN
#Communauté et square Se définir en tant qu’individu c’est également se défnir au travers du regard des autres, appartenir à une communauté etc. C’est pourquoi l’aménagement d’espaces communs propices aux rencontres et aux échanges est indispensable. Ici le coeur d’îlot devient un square ouvert à tous, comme une place de village où l’on peut interpeler ses voisins à leur terrasse et faire chaque jour la connaissance de nouvelles personnes.
Plan RDC
Coupe longitudinale
Transport filaire à Saclay Emmanuel COMBAREL Luc REGIS
#Lozère: gare de téléphérique
Axonométrie projet
Plan masse
Coupe gare
Dans le cadre de recherches sur les possibilités d’intégration d’un téléphérique à l’aménagement urbain futur du plateau de Saclay, le choix s’est porté sur la gare de Lozère comme lieu de départ de par sa position stratégique. Elle a ainsi été repensée comme une plateforme de lien entre le RER et le futur téléphérique accueillant de nombreux programmes annexes (marché, espace numérique etc.) qui la dynamisent. Dans cet optique, la vieille gare réhabitlitée accueille un café. A cette recherche de faisabilité s’ajoute un enjeux environnemental. En effet l’installation d’un téléphérique implique une certaine déforestation. Un parc urbain est alors aménagé comme cicatrisation de la fôret et permet ainsi un accés piéton au haut du plateau.
Gucun Park Station Patrice NOVIANT Florian HERTWECK
#Gare/Centre commercial Ce projet s’inscrit dans une rélfexion de groupe sur une volonté de redynamisation et de mise en valeur de la ceinture verte de Shanghai.
-2.00
-1.50 -1.00 -0.50
-0.50
-3.00
-4.00
-1.50
±0.00 ±0.00
±0.00
/gare
-6.00
-5.40
-2.00
-4.80 -1.50 -4.20 -2.40
-1.00
-3.60
-0.500
-3.00
-2.40
-1.80
±0.00
-1.20
-0.60
±0.00 -0.500
-0.200 -0.300
-0.500
Axonométrie éclatée
-0.400
Plan RDC
Le Gucun Park est l’un des parcs de cette ceinture. Il est connu pour son festival de fleuraison des cerisiers qui attire une importante partie de la population de Shanghai mais demeure quasimenent vide le restant de l’année. La station de métro qui s’y arrète est ainsi repensée afin de créer un lien nouveau avec le parc (celui-ci descend jusqu’au coeur de la gare) mais aussi avec le tissu urbain d’habitations proche afin de redynamiser l’ensemble. Afin de minimiser son impact sur le site la gare/centre commerciale est entièrement enterrée et c’est une nappe de circulation extérieure qui vient lier les différents niveaux de sol mais aussi les différents tissus urbains. Les «arbres» qui soutiennent cette circulation aériennes assurent également l’acheminement des différents flux (électricité, eau, piétons, marchandises) à l’intérieur du complexe ou accueillent des programmes nécessaire à une animation de la vie de quartier
Coupe longitudinale
Looking Backward Utopia
Workshop Ă la WHY FACTORY
#Utopia city Ce workshop réalisé avec les élèves de la Why factory avait pour but de réinterpréter et d’adapter à l’aide des statistiques urbanistiques de Rotterdam des utopies pré-selectionnées. Ici il s’agit d’une réinterprétation de «Looking Bacward» de Edward Bellamy, une utopie basée sur l’égalité sociale où la ville se compose d’une multitude de quartiers pavillonaires tous identiques et où seuls les bâtiments de l’Etat se détachent du panorama par leur monumentalité.
Plan place
Dans cette réinterprétation, l’Etat n’a plus l’importance qui lui est donné dans le livre et les bâtiment monumentaux aux formes géométriques simples viennent habriter toutes les fonctions de la villes qui ne sont pas du logement. Ces derniers viennent se nicher dans les immenses socles et les pourtours des places qui créent une véritable mise en scène autour des monutments. La réinterprétation est à la fois urbanistique donnant forme aux descriptions du livre mais aussi sociale concervant les idées d’égalité mais en leur donnant une réalité spaciale.
Habitat Magasins Loisirs Education Bureaux Santé Industries Agriculture
Coupe programmatique
L’internet au service du projet urbain participatif Mémoire dirigé par Manola ANTONIOLI
«Faire la ville c’est mettre ce débat sur la place publique. » écrit Patrick Norynberg dans son livre Faire la ville autrement. L’espace public n’est plus désormais le seul lieu du débat mais aussi le sujet de celui-ci, son enjeu. La ville ne peut désormais plus être réfléchie et se faire sans non seulement l’avis mais aussi la participation active de ses habitants, de ses usagers, de ceux qui la pratiquent. Ils sont les experts de leur ville, de leur quartier, de leur environnement et en détiennent ainsi de nombreuses clés indispensables à leurs compréhensions. Leur implication est d’autant plus nécessaire que les systèmes déléguaires et représentatifs ont depuis longtemps montré leurs limites. Il faudra toujours plus de délibérations mais surtout de co-productions afin de faire naitre des projets d’avenirs pour une ville aux qualités spatiales mais aussi sociales. « L’appropriable est une des dimensions du durable ». Peu à peu émergent dans l’espace urbain des « expériences » de projets participatifs voyant la collaboration du triptyque élus/professionnels/habitants tout au long du processus de conception, c’est à dire de la recherche des problématiques urbaines à solutionner jusqu’à la construction du projet et même parfois après dans son suivi. Une telle conception de l’urbanisme semble être l’avenir de la ville durable de demain. Elle implique une modification des échelles de réflexions et de conception de projet vers toujours plus de local afin de mobiliser toujours plus de citoyen sans pour autant faire fi d’une dimension globale de la ville. Chaque projet, bien que mené indépendamment vient enrichir la ville toute entière dans une toute nouvelle dynamique de création de cette dernière. Néanmoins de nombreuses limites persistent et constituent un frein au développement d’une telle démarche. Face à cette nécessité grandissante d’un urbanisme nouveau s’ajoute un constat. L’évolution des technologies de l’informatique et de la communication a modifié de façon conséquente voire radicale notre quotidien, changeant les modes de consommation, d’organisation du temps et les pratiques sociales. Le numérique fait désormais partie intégrante de nos
vies et se révèle être une nouvelle couche de l’espace urbain, dont on doit désormais tenir compte pour la compréhension de la ville mais aussi dans sa conception. Le monde physique et le monde numérique ont fini par se fusionner et se coordonner pour devenir indispensables et indissociables l’un de l’autre : le premier permet l’enracinement et la concrétisation du deuxième, tandis que celui-ci en peut rendre plus facile la lecture, la description voir l’appropriation. Ainsi émerge peu à peu une « ville 2.0 », une « ville augmentée » avec ses nouvelles caractéristiques induisant des nouveaux modes de vie et de consommation de l’espace urbain. De plus l’internet est le lieu où se fait désormais en premier et en majorité le débat public au travers des réseaux sociaux et autres forums. Les sujets de discussions sont illimités et l’échange est permanent. Il présente ainsi un pouvoir fédérateur et omniprésent. Mieux, on voit peu à peu naitre des systèmes de collaboration basés sur la libre participation de chacun et ayant atteint aujourd’hui pour la plupart une certaine pérennité. Ils permettent l’échange de biens, d’information, d’astuces etc. Ses stratégies participatives (libres encyclopédies, sites d’échanges de particulier à particulier etc.) aussi multiples qu’elles soient, ont désormais fait leurs preuves et continuent sans cesse de s’améliorer dévoilant toujours plus de mécanismes pour assurer leur longévité et leur crédibilité face à un monde numérique du constant renouvellement. La nouvelle conception de l’urbanisme qui voit le jour, dans sa volonté de démarche collaborative pourrait alors apprendre intéresse. Déjà les individus mais aussi les collectivités s’appuient de plus en plus sur les outils et réseaux numériques pour résoudre des problèmes locaux. C’est le cas par exemple des réseaux de quartiers qui recréent un lien parfois fragile voir inexistant, et augmentent les capacités d’échange indispensable à l’action collective. Mais les capacités d’internet ne s’arrêtent pas à l’échange de simples informations. Le potentiel quasi illimité du net permet et permettrait la multiplication des
pratiques pour en faire une interface efficace, interactive et en constante évolution entre les habitants, les élus et les techniciens de l’urbanisme. Une interface qui serait alors un des outils du processus de projet participatif et qui l’inscrirait dans une démarche toujours plus itérative. C’est cette possibilité d’un internet au service du projet urbain participatif qu’il s’agit de tenter d’explorer dans ce mémoire. Elle passe tout d’abord dans un premier chapitre par la compréhension de ce qu’est le projet urbain participatif dans sa méthode, dans ses volontés. Après un bref historique, il s’agira d’en dévoiler et d’en expliquer les processus mais aussi d’en cerner les limites. Dans un second chapitre, il faudra aussi aborder les stratégies participatives en place sur le net pour en saisir toutes les mécanismes et voir ensuite lesquels sont applicables au processus de projet et ce en captant toutes les possibilités de l’internet afin que celuici ne reste pas un lieux d’échanges mais deviennent surtout un lieu de création, de conception, une sorte de page blanche munie d’un crayon numérique qui permettrait à tous d’apporter sa brique à l’édifice du projet. Enfin dans la dernière partie, après un récapitulatif des liens qui unissent désormais la ville physique et la ville numérique, la volonté de ce mémoire sera de définir les chemins possibles vers une interface pertinente du projet urbain participatif et les outils et mécanisme qui la rendront pérenne.
Art Plastique/ Sociologie Contrat avec le Centre George Pompidou Recherches
#Big Ben Dans le cadre de l’exposition «Dreamlands» au centre Georges Pompidou, des danseurs accompagnent les visiteurs tout au long de leur parcours. Des costumes inspirés des monuments du monde ont donc été créés pour eux. Celui-ci est une réinterprétation de Big Ben au travers du tableau de Dali «persistance de la mémoire» où les horloges semblent fondre. Dali étant un des créateurs du mythique «dreamland» originel.
#Graffitis Au coeur de la Butte aux Cailles, se niche un collectif d’artistes, les «Lézarts de la Bièvre» qui chaque année invite un graffeur connu à venir recouvrir les murs du quartier de ses réalisations. Ainsi depuis des années se cotoient et se répondent les oeuvres de ces différents intervenants ainsi que celles tout aussi élaborées d’anonymes. Un lieu idéal pour une réflexion sociologique sur le passage dans les mentalités d’un acte considéré comme vandaliste à un acte artistique, un art urbain.
Photographies
De Shanghai Ă PĂŠkin