Carlo Zinelli

christian berst art brut carlo zinelli une beauté convulsive carlo zinelli a convulsive beauty texte de / text by daniela rosi

christian berst art brut présente presents carlo zinelli une beauté convulsive

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christian berst avant-propos daniela rosi préface texts in english works works

christian berst art brut

L'art brut est l'expression d'une mythologie individuelle, affranchie du régime et de l'économie de l'objet d'art. Ces oeuvres sans destinataire manifeste sont produites par des personnalités qui vivent dans l'altérité – qu'elle soit mentale ou sociale. Leurs productions nous renvoient tantôt à la métaphysique de l'art c'est-à-dire à la pulsion créatrice comme tentative d'élucidation du mystère d'être au monde - tantôt au besoin de réparer ce monde, de le soigner, de le rendre habitable.

Art Brut is the expression of an individual mythology liberated from the system and economy of the art object. This work, produced with no clear audience in mind, is created by individuals who live in "otherness", be it psychological or social. Sometimes it draws our attention to the metaphysics of art - the creative urge as an attempt to elucidate the mystery of existence - and at others, to the need to repair the world, to care for it, to make it habitable.

christian berst avant propos

Carlo Zinelli commençait tout juste à peindre sur papier ce qu’il avait ébauché plus tôt en lacérant les murs de l’établissement avec des pierres et des morceaux de brique. Né en 1916, il a commencé par travailler à la ferme puis aux abattoirs. Volontiers solitaire, il se distinguait alors par son dandysme, son goût pour le dessin et la musique, avant que la guerre, qu’il fit comme chasseur alpin, n'exacerbât sa schizophrénie.

carlo zinelli : une beauté convulsive

à la fin des années 50, Dino Buzzati puis Alberto Moravia prenaient la plume pour signaler au monde le grand créateur qui venait de se révéler dans l’enceinte de l’asile San Giacomo à Vérone. confère à la composition un rythme d’une modernité effrénée.

Ceux qui l’entouraient disent de lui qu’il n’avait ni l’intention, ni la conscience de produire un work, et ce bien qu’à sa mort, en 1974, on estima à trois mille le nombre de ses dessins – la plupart recto-verso – mais dont seul un tiers a été retrouvé. Jean Dubuffet et André Breton en ont, sans en percer les arcanes, admiré la beauté qui, comme l’affirmait ce dernier, « sera convulSon work – sorte de conte autobiogra- sive, ou ne sera pas ». phique qui mêle ces épisodes ayant précédé l’internement – représente une véritable révolution formelle : tour à tour l’itération, la dislocation, le dédoublement, l’atrophie, la stylisation, l’absence de perspective, les variations de plan et d’échelle, l’écriture dans les interstices qui bat comme un pouls, et puis la couleur, la couleur donnant aux silhouettes une densité palpable, tout ceci 9

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daniela rosi préface carlo zinelli artiste connu, artiste méconnu

Responsable culturelle du centre de réhabilitation neurologique « Franca Martini » de Trente et de l’Observatoire national de Outsider Art à l’académie des Beaux-Arts de Vérone.

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Nous avons beaucoup appris par le sculpteur Michael Noble, initiateur et directeur de l’atelier de l’hôpital psychiatrique San Giacomo della Tomba à Vérone, où Carlo a commencé à s’exprimer par la peinture.

Ida Borletti - épouse de Noble et propriétaire du domaine sur le Lac de Garde où les habitués de l’atelier étaient hébergés de temps en temps - en a parlé aussi. De même que Pino Castagna, artiste de Vérone, qui, en ce même lieu, a mis à disposition ses compétences plastiques. Plus encore Vittorino Andreoli, arrivé à San Gia-

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On connait beaucoup de choses sur la vie de Carlo Zinelli. Elle nous ont été racontées par ceux qui l’ont connu et ont partagé avec lui une partie plus ou moins intense de vie : sa sœur bien aimée Caterina, son neveu Alessandro, ses amis d’enfance, la famille qui l’a hébergé comme « famiglio », pour qu’il les aide à travailler la terre alors qu’il était encore enfant . como della Tomba comme étudiant en psychiatrie quand Carlo avait déjà commencé à peindre. C’est notamment grâce à lui que le work de Zinelli est arrivée à Dubuffet et à Breton, et nous savons aussi que c’est à partir de cette rencontre que sa renommée artistique s’est développée. L’acquisition des works de Carlo dans la collection de « la Compagnie » sera fondamentale pour sa reconnaissance et cela a donc été la France, plus que l’Italie, qui l’a consacré « artiste brut ». Sans ce baptême, nous ne serions aujourd’hui probablement pas là à en parler.

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Depuis, les images des works de Carlo ont fait le tour du monde, elles sont utilisées comme affiches pour des congrès, comme couvertures de livres, comme motifs publicitaires. Reconnaissables sans équivoque possible, les thèmes récurrents sont déclinés à l’infini. Il faut dire que les dessins de Zinelli sont très nombreux. On estime qu’il a exécuté autour de trois mille works.

Certains soutiennent qu’il s’agirait plutôt de quatre mille, dont la plupart, recto-verso.

Dans le catalogue raisonné1 on en compte 923, mais tout n’est certainement pas recensé et beaucoup de ses productions ont été perdues ou détruites.

Nous connaissons aussi beaucoup de choses sur le contenu de cette immense masse de travaux. Plus précisément, nous savons que la peinture de Carlo connaît différentes phases, une initiale, fondatrice d’un vocabulaire qui, au fur et à mesure, se développera en conte autobiographique de plus en plus complexe, avec une période particulièrement heureuse qui atteint son apogée dans les années 1964-65. Cette phase la plus créative et mûre de l’artiste est suivie par deux autres, la période des écritures et des chasseurs alpins, et celle, finale, caractérisée par l’expérimentation de techniques nouvelles puis par un déclin graduel de la créativité, à partir du déménagement de l’atelier de San Giacomo au nouveau siège de Marzana, où les rela-

1. V. Andreoli & S. Marinelli. Carlo Zinelli. Catalogo generale. Venice: Marsilio, 2002.

tions humaines et l’organisation de la vie des patients changent.

Nous connaissons les éléments qui constituent le langage de la narration de Carlo : la nature avec les plantes, les fleurs, les animaux, les oiseaux surtout. Les sandole, embarcations typiques utilisées dans les vallées de Vérone par les pêcheurs dans les fossés et dans le fleuve Adige. Les machines et les objets des travaux de la terre. Les vélos, les hélicoptères, et différents véhicules à deux roues. Les processions de petits prêtres orants, les croix, les femmes avec leurs sacs à main, images typiques de la dévotion et de la vie dominicale dans les villages.

Les seringues, liées à sa maladie. Les chasseurs alpins, avec tous leurs symboles sacrés : le mulet, les petites étoiles, les chapeaux à plume noire, les fusils, les chars de combat, les civières des blessés, les cercueils. Et puis les variations infinies sur le même thème, hybridations, mutilations, métamorphoses, monstres, difformités.

Tout cela pour construire un univers mythique, archaïque, mystérieux, mais aussi futuriste à sa manière, un univers bien à lui qui ne nous laisse pas indifférent.

Nous connaissons le contexte strictement autobiographique de son conte. L’utilisation rythmique du numéro quatre. L’utilisation de la parole, presque toujours en dialecte,

Ce qui suivra se révèle être une reprise ou un développement de thèmes déjà traités.

Et il est significatif que Marinelli se reconnaisse définitivement une dette envers les études précédentes : « L’analyse exposée ici ne diverge ni n’ajoute d’éléments nouveaux considérables à ce qui a été écrit sur Carlo à partir du cahier de 19662, parce que la lecture purement formelle semble inévitablement amener à des résultats quasi univoques ».

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la réitération des lettres qui deviennent décoration et fond. Nous reconnaissons en lui et dans son work une série d’éléments qui caractérisent son appartenance au « genre brut » : le dandysme avant que la maladie ne se déclare, le bas niveau d’éducation, le début tardif comme peintre, qui justement intervient autour de la quarantaine, après son internement à l’hôpital psychiatrique.

L’obsession productive et aussi certains aspects d’horror vacui et de stéréotypie.

À en juger par cette somme de connais- Une affaire classée donc ? Bien sûr que sances, on pourrait déduire qu’il existe un non. Plutôt une page blanche à écrire. appareil critique énorme sur ce créateur.

En réalité, Zinelli est un artiste encore aujourd’hui très peu étudié. Pour preuve, dans le catalogue général qui compte 790 pages, seulement une trentaine sont réservées aux écrits dont une bonne partie sont signés par Vittorino Andreoli. De courts essais ou des articles, plus ou moins longs, ont été écrits pour les catalogues qui accompagnent ses expositions, ou publiés dans quelques revues. Parmi eux, ceux rédigés par des historiens ou des critiques d’art se comptent sur les doigts d’une main.

En outre, il faut signaler que les caractéristiques de sa peinture avaient déjà tous été évoqués dans l’article de Sergio Marinelli écrit à l’occasion de l’exposition de Castelvecchio à Vérone en 1992.

2. V. Andreoli, C. Trabucchi, & A. Pasa. “Carlo”, in Fascicule de l’Art Brut 6. Paris: Compagnie de l’Art Brut, 1966.

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chez jorge alberto cadi | at jorge alberto cadi’s place, 2019

texts in english

christian berst foreword

Dino Buzzati and Alberto Moravia took up their pens in the late 1950s to draw the world’s attention to the great creative spirit that had just come to light at the San Giacomo asylum in Verona.

“Carlo Zinelli was just beginning to use paper for his paintings, featuring the motifs that he had once roughly gouged into the asylum walls using stones and bits of brick. Carlo Zinelli (1916-1974) started out as a farmhand and later found work in abattoirs. Though always a solitary man, he was known as something of a dandy and enjoyed drawing and music. The war years, which he spent in a battalion of Alpine hunters, exacerbated his schizophrenia. His art – a kind of autobiographical narrative, blending together events from before his internment – represents a real revolution in formal terms, characterised by iteration, dislocation, multiplication, atrophy, stylisation, lack of perspective, variations in viewpoint and scale, writing in the gaps that throbs like a pulse, and colour that lends his silhouettes a pal-

pable density. All these elements give his compositions an intense rhythm of frenzied modernity. Those who knew him said that there was no intentionality behind his art, or indeed awareness that it was art. However, by the time he died in 1974, he was estimated to have produced some three thousand works, most of them double-sided, though only a third of this number has been located to date. Jean Dubuffet and André Breton understood the futility of trying to decipher the meaning of Carlo Zinelli’s art, while admiring its beauty which, as Breton wrote, “ if it exists at all, does so convulsively”.

carlo zinelli : une beauté convulsive

daniela rosi preface carlo zinelli neglected genius

Head of cultural activities at the Franca Martini neuro-rehabilitation centre in Trento and the National Observatory for Outsider Art at the Academy of Fine Arts in Verona.

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Many details are known about Carlo Zinelli’s life. They were recorded by the people who knew him and who shared his life through periods of greater or lesser intensity: his beloved sister Caterina, his nephew Alessandro, his childhood friends, the famiglio who took him in to work on the land when he was still just a child.

There was a great deal to be learned from the sculptor Michael Noble, who set up and directed the workshop at San Giacomo della Tomba psychiatric hospital in Verona, where Carlo first began to express himself in paint. Ida Borletti, Noble’s wife and owner of the property on Lake Garda where patients from the workshop stayed from time to time, also recorded aspects of his life. As did the Verona-based artist Pino Castagna, who shared his artistic

skills with the patients there. There was even more to be learned from Vittorino Andreoli, who came to San Giacomo della Tomba as a psychiatry student after Carlo had begun to paint. It was principally through Andreoli that Zinelli’s work came to the attention of Dubuffet and Breton, and we also know that his fame as an artist sprang from this encounter. The acquisition of Carlo’s works by the Compagnie de l’Art Brut was to prove a key step in his

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two others: a period of writings and Alpine hunters, and a final phase characterized by experiments with new techniques.

This was followed by a gradual decline in He would probably have been entirely creativity, beginning with the move from forgotten today were it not for this “bap- the San Giacomo workshop to new pretism”. mises in Marzana, where the patients had to adapt to new living arrangements and Carlo’s works have been seen round the get used to seeing new faces. world since then, on conference posters and book covers and in advertisements. The elements of Carlo’s narrative lanHis instantly recognizable, recurrent the- guage are familiar. They include plants, mes give rise to infinite variations. He flowers, animals, and above all birds; produced large numbers of drawings: it sandole, the boats traditionally used by has been estimated that he created some men from the Verona valleys to fish in three thousand works in all. Some claim the local gullies and the Adige river; mathe number is even as high as four thou- chines and tools for working on the land; sand, most of the works being double- bicycles, helicopters, and various twosided. wheeled vehicles; processions of priests

recognition as an artist and it was thus France, rather than Italy, that brought him consecration as an Art Brut creator.

at prayer, crosses, women clutching their The catalogue raisonné1 includes 923 handbags – typical images of religious works, but some of his works have cerdevotion and Sunday rituals from village tainly escaped attention and many have life; syringes, because of his illness. Then been lost or destroyed. came Alpine hunters, with all their sacred Much is also known about the content symbols: mules, little stars, black-plumed of this vast mass of works. To be more hats, rifles, tanks, stretchers bearing the precise, it is clear that Carlo’s artistic wounded, coffins. These represented activity went through various phases: the infinite variations on the same theme – initial stage established a vocabulary that hybridization, mutilation, metamorphosis, gradually developed into an ever more monstrosity, deformity, all contributing to complex autobiographical narrative, with the creation of a world that is mythical, a particularly happy period that reached archaic, mysterious – and, in a way, futuits peak in 1964-65. This phase – his most rist. It is a world all the artist’s own, which mature and creative – was followed by cannot be viewed with indifference.

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1. V. Andreoli & S. Marinelli. Carlo Zinelli. Catalogo generale. Venice: Marsilio, 2002.

The strictly autobiographical context of Zinelli’s narrative is likewise familiar: the rhythmical use of the number four; the words, almost always in dialect, and the repeated letters that become both decoration and background. Both the artist and his work display a series of characteristics typical of Art Brut: his dandyism before the disease took hold, his lack of formal schooling, the way he took up painting later in life, around the age of forty, following his internment on a psychiatric ward, and the productive obsession, the horror vacui, the stereotyping.

Marinelli himself explicitly acknowledged his debt to those earlier studies: “The present analysis neither diverges from nor adds significantly to the what has been written on Carlo since the 1966 journal2, since it seems inevitable that a purely formal reading of his work will lead to almost unambiguous results”.

So there’s nothing left to be said about Carlo Zinelli, then? Far from it. A new blank page awaits.

Going by the great deal that is known about the artist and his work, one might expect there to be a vast body of criticism about his art. In fact, Zinelli is still very little studied. Of the 790 pages of the general catalogue, only thirty or so are given over to articles, most of which are by Vittorino Andreoli. Brief essays and articles have been written for catalogues published to mark his exhibitions or for a handful of journals. Those written by art historians or critics can be counted on the fingers of one hand. It should further be pointed out that the characteristics of his painting were all described in Sergio Marinelli’s article written for the Castelvecchio exhibition in Verona in 1992. The article took up and developed themes previously explored elsewhere. It is worthy of note that

2. V. Andreoli, C. Trabucchi, & A. Pasa. “Carlo”, in Fascicule de l’Art Brut 6. Paris: Compagnie de l’Art Brut, 1966.

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sans titre untitled, circa 1970 gouache sur papier, 69.6 x 43.5 cm gouache on paper, 27.5 x 17 in

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sans titre untitled, 1956 gouache sur papier, 35 x 50 cm gouache on paper, 13.75 x 19.75 in

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sans titre untitled, 1957 gouache sur papier, 50 x 35 cm gouache on paper, 19.5 x 13.75 in

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vue de l’exposition face à face, commissaire gaël charbau, the bridge by christian berst art brut, 2020 view of the exhibition face to face, curator gaël charbau, the bridge by christian berst , 2020

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in catalogue raisonné : n° 802

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sans titre untitled, 1969 graphite et crayon de couleur sur papier, 70 x 50 cm graphite and colored pencil on paper, 27.5 x 19.75 in

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sans titre untitled, circa 1972 gouache sur papier, 49.5 x 69.3 cm gouache on paper, 19.5 x 27.25 in

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sans titre untitled, 1967 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

stand christian berst art brut, salon (off)icielle FIAC, 2014 booth christian berst art brut, (off)icielle FIAC art fair, 2014

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sans titre untitled, circa 1965 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

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sans titre untitled, 1969 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

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in catalogue raisonné : n° 420

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sans titre untitled, 1966 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

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[...] iteration, dislocation, multiplication, atrophy, stylisation, lack of perspective, variations in viewpoint and scale, writing in the gaps that throbs like a pulse, and colour that lends his silhouettes a palpable density. All these elements give his compositions an intense rhythm of frenzied modernity. [...] christian berst

[...] l’itération, la dislocation, le dédoublement, l’atrophie, la stylisation, l’absence de perspective, les variations de plan et d’échelle, l’écriture dans les interstices qui bat comme un pouls, et puis la couleur, la couleur donnant aux silhouettes une densité palpable, tout ceci confère à la composition un rythme d’une modernité effrénée. [...] christian berst

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sans titre untitled, circa 1970 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

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sans titre untitled, circa 1970 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

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sans titre untitled, 1967 gouache et graphite sur papier, 70 x 50 cm gouache and graphite on paper, 27.5 x 19.75 in

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sans titre untitled, 1966 gouache et graphite sur papier, 70 x 50 cm gouache and graphite on paper, 27.5 x 19.75 in

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sans titre untitled, 1965 gouache et graphite sur papier, 70 x 50 cm gouache and graphite on paper, 27.5 x 19.75 in

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sans titre untitled, circa 1965 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

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stand christian berst art brut, salon slick, 2012 booth christian berst art brut, slick art fair, 2013

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collection privée, Vérone, ant. collection du Dr Trabucchi

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sans titre untitled, 1968 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

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in catalogue raisonné : n° 597

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sans titre untitled, 1967 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

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in catalogue raisonné : n° 591

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sans titre untitled, 1967 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

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in catalogue raisonné : n° 500

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sans titre untitled, 1967 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

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vue de l’exposition carlo zinelli : une beauté convulsive, christian berst art brut, 2011 view of the exhibition carlo zinelli : a convulsive beauty, christian berst art brut, 2011

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in catalogue raisonné : n° 601

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sans titre untitled, 1967 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

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collection privée, Vérone, ant. collection du Dr Trabucchi

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sans titre untitled, 1968 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

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collection privée, Vérone, ant. collection du Dr Trabucchi

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sans titre untitled, 1968 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

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stand christian berst art brut, salon art paris art fair, 2013 booth christian berst art brut, art paris art fair, 2013

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sans titre untitled, 1965 gouache et graphite sur papier, 70 x 50 cm gouache and graphite on paper, 27.5 x 19.75 in

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sans titre untitled, 1966 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

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sans titre untitled, 1963 gouache et graphite sur papier, 70 x 50 cm gouache and graphite on paper, 27.5 x 19.75 in

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sans titre untitled, 1967 gouache et graphite sur papier, 70 x 50 cm gouache and graphite on paper, 27.5 x 19.75 in

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sans titre untitled, 1968 gouache et graphite sur papier, 70 x 50 cm gouache and graphite on paper, 27.5 x 19.75 in

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sans titre untitled, 1967 gouache et graphite sur papier, 70 x 50 cm gouache and graphite on paper, 27.5 x 19.75 in

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sans titre untitled, 1964 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

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collection privée, Vérone, ant. collection du Dr Trabucchi

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vue de l’exposition sur le fil par jean-hubert martin, christian berst art brut / galerie jean Brolly, 2016 view of the exhibition on the wire by jean-hubert martin, christian berst art brut / jean brolly gallery, 2016

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in catalogue raisonné : n° 602

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sans titre untitled, 1967 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

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in catalogue raisonné : n° 386

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sans titre untitled, 1965 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

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sans titre untitled, 1966 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

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in catalogue raisonné : n° 451

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sans titre untitled, 1966 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

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vue de l’exposition carlo zinelli : une beauté convulsive, christian berst art brut, 2011 view of the exhibition carlo zinelli : a convulsive beauty, christian berst art brut, 2011

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sans titre untitled, circa 1970 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

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in catalogue raisonné : n° 447

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in catalogue raisonné : n° 313

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vue de l’exposition carlo zinelli : une beauté convulsive, christian berst art brut, 2011 view of the exhibition carlo zinelli : a convulsive beauty, christian berst art brut, 2011

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in catalogue raisonné : n° 375

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sans titre untitled, 1970 gouache et stylo à bille sur papier, 50 x 70 cm gouache on paper, 19.75 x 27.5 in

145

146 carlo zinelli : une beauté convulsive

147

carlo zinelli : une beauté convulsive

in catalogue raisonné : n° 474

148

sans titre untitled, 1967 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

verso

149

carlo zinelli : une beauté convulsive

in catalogue raisonné : n° 478

150

sans titre untitled, 1967 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

verso

151

carlo zinelli : une beauté convulsive 152

sans titre untitled, 1960 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

153

carlo zinelli : une beauté convulsive 154

sans titre untitled, 1965 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

155

carlo zinelli : une beauté convulsive 156

sans titre untitled, 1967 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

157

carlo zinelli : une beauté convulsive 158

sans titre untitled, 1968 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

159

carlo zinelli : une beauté convulsive

in catalogue raisonné : n° 468

160

sans titre untitled, 1967 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

verso

161

carlo zinelli : une beauté convulsive

verso

in catalogue raisonné : n° 681

162

sans titre untitled, 1967 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

163

carlo zinelli : une beauté convulsive

verso

164

sans titre untitled, 1967 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

165

carlo zinelli : une beauté convulsive 166

sans titre untitled, 1967 gouache et graphite sur papier, 70 x 50 cm gouache and graphite on paper, 27.5 x 19.75 in

167

carlo zinelli : une beauté convulsive

in catalogue raisonné : n° 568

168

verso

sans titre untitled, 1967 gouache et graphite sur papier, 70 x 50 cm gouache and graphite on paper, 27.5 x 19.75 in

169

carlo zinelli : une beauté convulsive

verso

in catalogue raisonné : n° 575

170

sans titre untitled, 1967 gouache et graphite sur papier, 70 x 50 cm gouache and graphite on paper, 27.5 x 19.75 in

171

carlo zinelli : une beauté convulsive 172

sans titre untitled, 1967 gouache et graphite sur papier, 70 x 50 cm gouache and graphite on paper, 27.5 x 19.75 in

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174 carlo zinelli : une beauté convulsive

Photographies extraites du catalogue de l'exposition des clichés inédits de John Phillips de son reportage au centre San Giacomo de Vérone, 2011.

Photographs taken from the exhibition catalog of John Phillips' unpublished photographs from his reportage at the San Giacomo center in Verona, 2011.

175

carlo zinelli : une beauté convulsive 176

sans titre untitled, 1966 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

177

carlo zinelli : une beauté convulsive 178

sans titre untitled, 1967 gouache et graphite sur papier, 70 x 50 cm gouache and graphite on paper, 27.5 x 19.75 in

179

carlo zinelli : une beauté convulsive 180

sans titre untitled, 1966 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

181

carlo zinelli : une beauté convulsive 182

sans titre untitled, 1966 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

183

carlo zinelli : une beauté convulsive 184

sans titre untitled, 1965 gouache sur papier, 70 x 50 cm gouache on paper, 27.5 x 19.75 in

185

carlo zinelli : une beauté convulsive

in catalogue raisonné : n° 45

186

sans titre untitled, 1958 gouache sur papier, 50 x 35 cm gouache on paper, 19.75 x 13.75 in

187

carlo zinelli : une beauté convulsive 188

sans titre untitled, circa 1960 gouache sur papier, 34.8 x 49.6 cm gouache on paper, 13.75 x 19.5 in

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christian berst art brut catalogues publiés depuis 2007 catalogues published since 2007

in abstracto #2 texte de raphaël koenig, édition bilingue (FR/EN), 264 p., 2020

lindsay caldicott x ray memories texte de marc lenot, édition bilingue (FR/EN), 300 p., 2018

albert moser scansions textes de Bruce Burris et Philipp March Jones, édition bilingue (FR/EN), 200 p., 2020

misleidys castillo pedroso fuerza cubana #2 texte de karen wong, édition bilingue (FR/EN), 300 p., 2018

jacqueline b. l’indomptée texte de Philippe Dagen, édition bilingue (FR/EN), 280 p., 2019

jean perdrizet deus ex machina textes de j.-g. barbara, m. anceau, j. argémi, m. décimo, édition (FR/EN), 300 p., 2018

jorge alberto cadi el buzo texte de christian berst, édition bilingue (FR/EN), 274 p., 2019

do the write thing read between the lines #2 texte de éric dussert, édition bilingue (FR/EN), 220 p., 2018

japon brut la lune, le soleil, yamanami textes de yukiko koide et raphaël koenig, édition bilingue (FR/EN), 264 p., 2019

giovanni bosco dottore di tutto #2 textes de eva di sefano et jean-louis lanoux, bilingue (FR/EN), 270 p., 2018

anibal brizuela ordo ab chao textes de anne-laure peressin, karina busto, fabiana imola, claudia del rio, 240 p., 2019

john ricardo cunningham otro mundo édition bilingue (FR/EN), 180 p., 2017

josé manuel egea lycanthropos II textes de graciela garcia et bruno dubreuil, édition bilingue (FR/EN), 320 p., 2019

hétérotopies architectures habitées texte de matali crasset, édition bilingue (FR/EN), 200 p., 2017

au-delà aux confins du visible et de l’invisible texte de philippe baudouin, édition bilingue (FR/ EN), 220 p., 2019

pascal tassini nexus texte de léa chauvel-lévy, édition bilingue (FR/EN), 200 p., 2017

éric benetto in excelsis texte de christian berst, édition bilingue (FR/EN), 212 p., 2019

gugging the crazed in the hot zone édition bilingue (FR/EN), 204 p., 2017

anton hirschfeld soul weaving texte de nancy huston et jonathan hirschfeld, édition bilingue (FR/EN), 300 p., 2018

in abstracto #1 texte de raphaël koenig, édition bilingue (FR/EN), 204 p., 2017

zdenek kosek dominus mundi

dominique théate in the mood for love texte de barnabé mons, édition bilingue (FR/EN), 200 p., 2017

john urho kemp un triangle des bermudes textes de gaël charbau et daniel baumann, édition bilingue (FR/EN), 234 p., 2015

michel nedjar texte de philippe godin édition, bilingue (FR/EN), 300 p., 2017

august walla ecce walla textes de johann feilacher, édition bilingue (FR/EN), 190 p., 2015

marilena pelosi catharsis texte laurent quénehen, entretien laurent danchin, édition bilingue (FR/EN), 230 p., 2017

sauvées du désastre works de deux collections de psychiatres espagnols (1916-1965) textes de graciela garcia et béatrice chemama steiner, bilingue (FR/EN), 296 p, 2015

alexandro garcía no estamos solos II texte de pablo thiago rocca, édition bilingue (FR/EN), 220 p., 2016 prophet royal robertson space gospel textes de pierre muylle, édition bilingue (FR/EN), 200 p., 2016 josé manuel egea lycanthropos textes de graciela garcia et bruno dubreuil, édition bilingue (FR/EN), 232 p., 2016 melvin way a vortex symphony textes de laurent derobert, jay gorney et andrew castrucci, édition (FR/EN), 268 p. 2016 sur le fil par jean-hubert martin texte de jean-hubert martin, édition bilingue (FR/EN), 196 p., 2016 josef hofer transmutations textes de elisabeth telsnig et philippe dagen, édition bilingue (FR/EN), 192 p., 2016 franco bellucci beau comme... texte de gustavo giacosa, édition bilingue (FR/EN), 150 p., 2016 soit 10 ans états intérieurs textes de stéphane corréard, édition bilingue (FR/ EN), 231 p., 2015

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beverly baker palimpseste texte de philippe godin, édition bilingue (FR/EN), 148 p., 2015 peter kapeller l’work au noir texte de claire margat, édition bilingue (FR/EN), 108 p., 2015 art brut masterpieces et découvertes carte blanche à bruno decharme entretien entre bruno decharme et christian berst, édition bilingue (FR/EN), 174 p., 2014 pepe gaitan epiphany texte de johanna calle gregg & julio perez navarrete, bilingue (FR/EN), 209 p., 2014 do the write thing read between the lines textes de phillip march jones et lilly lampe, édition bilingue (FR/EN), 2014 dan miller graphein I & II textes de tom di maria et richard leeman, édition bilingue (FR/EN), 2014 le lointain on the horizon édition bilingue (FR/EN), 122 p., 2014 james deeds the electric pencil texte de philippe piguet, édition bilingue (FR/EN), 114 p., 2013

eugene von bruenchenhein american beauty texte de adrian dannatt, édition bilingue (FR/EN), 170 p., 2013

henriette zéphir une femme sous influence texte de alain bouillet, édition bilingue (FR/EN), 2011

anna zemankova hortus deliciarum texte de terezie zemankova, édition bilingue (FR/ EN), 146 p., 2013

alexandro garcia no estamos solos texte de thiago rocca, édition trilingue (FR/EN/ES), 2010

john devlin nova cantabrigiensis texte de sandra adam-couralet, édition bilingue (FR/EN), 300 p., 2013

back in the U.S.S.R figures de l’art brut russe texte de vladimir gavrilov, édition bilingue (FR/EN), 2010

davood koochaki un conte persan texte de jacques bral, édition bilingue (FR/EN), 121 p., 2013

harald stoffers liebe mutti texte de michel thévoz, édition bilingue (FR/EN), 132 p., 2009

mary t. smith mississippi shouting textes de daniel soutif et william arnett, édition bilingue (FR/EN), 121 p., 2013

made in holland l’art brut néerlandais texte de nico van der endt, édition bilingue (FR/EN), 2009

albert moser life as a panoramic textes de phillip march jones, andré rouille et christian caujolle, édition (FR/EN), 208 p., 2012

american outsiders the black south texte de phillip march jones, édition bilingue (FR/EN), 2009

josef hofer alter ego textes de elisabeth telsnig et philippe dagen, édition bilingue (FR/EN), 2012 rentrée hors les normes 2012 découvertes et nouvelles acquisitions édition bilingue (FR/EN), 2012 anibal brizuela charbons ardents texte de dino menozzi, trilingue (FR/EN/IT), 2011 guo fengyi une rhapsodie chinoise texte rong zheng, trilingue (FR/EN/CH), 115 p., 2011 carlo zinelli une beauté convulsive texte par daniela rosi, édition trilingue (FR/EN/IT), 72 p., 2011 joseph barbiero au-dessus du volcan texte de jean-louis lanoux, édition bilingue (FR/EN), 158 p., 2011

zdenek kosek dominus mundi

remerciements acknowledgments elisabeth berst, sophie bonnet, adriana bustamante, leonardo clementi, antoine frérot, carmen et daniel klein, paola et egidio maccararo, alice pepey, john phillips, daniela rosi, alessandro & simone zinell, zoé zachariasen.

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christian berst art brut Ce catalogue a été publié à l’occcasion de l’exposition carlo zinelli : une beauté convulsive à christian berst art brut, du 10 juin au 23 juillet 2011. édition revue et augmentée This catalog has been published to mark the exhibition carlo zinelli : a convulsive beauty at christian berst art brut from June 5 to July 23, 2011. revised and enlarged edition design graphique et réalisation graphic design and production élodie fabbri & élisa berst traduction text translation pamela diaz

© christian berst art brut, 2020

3-5 passage des gravilliers 75003 paris contact@ christianberst.com

du mardi au samedi 14h à 19h ou sur rendez-vous