Il était une fois, dans les années 1970, un ingénieur agroalimentaire passionné par l’art africain. À la recherche de trésors artistiques, il parcourait le Congo, le Gabon et le Cameroun, découvrant des œuvres extraordinaires au sein de villages isolés.
Cet ingénieur discret, dont le nom ne sera jamais révélé par simple discrétion de ses enfants, avait une manière unique de dénicher des trésors artistiques. Son expertise en ingénierie agroalimentaire se mêlait harmonieusement à sa passion pour l’art, créant ainsi un lien exceptionnel avec les communautés rencontrées.