L'écume de l'homme

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L'écume de l'homme

par Stéphane CROCHEMORE

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Du 9 au 15 Octobre 2011, je me suis amusé à pénétrer les couloirs sombres des sites de rencontres sur internet. J'ai reçu de ce laps de temps plus de 150 messages pour divers offres sexuelles. Dont plus de 5 000 vidéos à regarder gratuitement. 50 rencontres réels. Sous les pseudonymes de sexefort76, sexeformec et forrsexe76 j'ai « circulé librement des les couloirs de l'écume de l'homme. Je ne fais pas touts vous dévoilé de ce premier ouvrage mes, allez donc faire un tour dans un ou autre sites très réussi.

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Pour commencé, les histoires :

LA PIERRE D'ALGÉRIE

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Sur le chemin du retour de la station d' Adrar, sur la Nationale 6 d'Algérie, Josh revenait d'un périple dans le chaud désert du Sahara. Il filait vers la frontière du Maroc la peur au ventre et le coeur qui battait à tout rompre. Il ne pouvait croire ce qu'il avait expérimenté et ne pouvait en parler à qui que se soit. Lui et les trois autres membres de l'équipe d'archéologie à laquelle il appartenait, avaient terminé leurs recherches et retournaient dans leurs pays respectifs. LA

PIERRE

D'ALGÉRIE

Les fouilles n'avaient pas donné beaucoup d'informations et c'est un peu déçus qu'ils mirent un terme à l'expédition. Josh pour sa part, était moins déçu et plus troublé que les autres... À travers les menus fragments d'objets qu'ils ont délivrés du sol, Josh avait mis la main sur une petite pierre de la grosseur d'un raisin. Rien de particulier, elle était grise et un trait léger, peu profond et usé était taillé sur sa circonférence. «Un caillou», se dit-il. Il le glissa tout de même dans sa poche de chemise et continua son travail. Le soir venu, allongé dans la camionnette, il

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écrivait son rapport de fouilles et au moment de décrire la petite pierre il songea à la lancer et de ne simplement pas en parler, la croyant sans intérêt et s'évitant ainsi des linges inutiles dans ses notes. Il la sortit tout de même de sa poche pour l'observer une dernière fois avant de s'en défaire, et s'arrêta à ce léger détail. Ce trait qui faisait le tour de la petite pierre, comme une jonction. Il s’aperçut alors que les deux parties pivotaient l'une sur l'autre. «Calvaire, ça bouge!» se dit-il tout excité. Il fit un demi tour et... Lundi 29 août, les enfants sont dans la cour d'école, c'est la rentrée. L'énergie est à son comble, ils sont tous mignons avec leur nouvelle tenue vestimentaire, la petite boite à lunch et leur énorme sac rempli de cahiers, crayons, cartables et cent autres items qui font de chacun d'eux, la personne la plus heureuse du monde! Une cloche retentit et les parents, du moins ceux qui sont présents, guident leur enfant vers la porte de leur classe. Radieuse, Aurélie accueille ses jeunes dans leur nouvelle classe. Son sourire fend la lumière tant le bonheur l'envahit. Les parents quittent et les enfants prennent place un peu partout aux

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pupitres disposés en cercle autour du meuble de leur enseignante de sixième année. Soudain, les enfants commencèrent à se relever, riant et cherchant autour de la classe. Aurélie avait assigné les places et les enfants venaient de réaliser que leur nom apparaissait sur un joli carton apposé sur le côté de chaque chaise. Vingt quatre nouvelles petites frimousses, vingt quatre nouveaux sourires, vingt quatre nouveaux amours. En prenant les présences, Aurélie regardait les enfants les uns après les autres pour leur souhaiter la bienvenue. ... ... ... -Savard, Noémie. Achevait l'enseignante. -Présente! Répond la petite -Je te souhaite la bienvenue Noémie. Tremblay, Jessika. -Présente! -Je suis contente de te connaître Jessika. Verner, Josh. -Présent madame! Lance tout haut le petit pour se faire remarquer. -Bienvenue dans ma classe Josh, lui ditelle avec exactement la même joie qu'aux autres.

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En déposant la liste des élèves, Aurélie ne put s'empêcher de regarder Josh à nouveau. Son regard est vif, plus que les autres enfants. Sa façon de regarder, de scruter ou d'observer est différente... Revenu au Canada, Josh rentra chez lui et ce n'est qu'en fermant la porte de son appartement qu'il soupira enfin de soulagement. Cette pierre est fantastique et juste à l'idée que quelqu'un, tant un autre scientifique qu'un douanier ou même un ami mette la main dessus le hantait. Mais maintenant, il était chez-lui, seul et en sécurité. Sans même défaire ses valises, il mit la main dans sa poche de jeans et sortit le petit objet pour le regarder encore : «Quelle affaire!» pensat-il. Lorsqu'il fait pivoter les deux parties de la pierre l'une sur l'autre, une incroyable lumière jaillit de partout, le temps semble s'arrêter et une vision de sa dernière pensée lui apparaît comme une projection mais en trois dimensions. Même si l'horloge semble immobile, l'image qui s'anime devant lui continue de bouger au gré et à la fantaisie de ses pensées. Il ramène rapidement la pierre à sa position d'arrêt. Josh commence à imaginer une panoplie

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de situations où il se fait vedette et se demande bien ce que pourrait être la pensée qu'il aimerait soumettre à la pierre. Jouer les pilotes de formule 1, devenir un impitoyable combattant ninja ou se faire toutes les nanas qu'il désire! -AURÉLIE! Oui, c'est ça! Aurélie la fille de l'appartement voisin... Ishhhh, quelle femme! Lance-t-il tout haut. Tous les matins, Josh se fait un devoir de prendre son café devant la fenêtre, juste pour voir sa voisine quitter l'immeuble pour faire son jogging. Il longe alors sa main le long de sa jambe et sans détour la glisse dans son caleçon caressant doucement son pénis et ses testicules. Lorsque Aurélie court avec son superbe pantalon de course moulant bleu, qui lui dessine les fesses à la perfection, l'érection de Josh est quasi instantanée. Il désire cette femme à tel point qu'il crie parfois dans son appartement d'une voix rauque et primitive presque animale pour se libérer de ses pulsions. Et lorsqu'il se donne du plaisir, c'est à Aurélie qu'il rêve! Il ne lui a jamais parlé, même en la croisant dans le corridor, il fige. Pas un mot, pas un signe de tête, rien. Toutefois, lorsqu'il pose les yeux sur elle, la vie devient plus belle, il

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sent la joie dans sa tête, son coeur et ses veines! Il ne sait que peu de choses sur elle; son prénom, ce qu'elle fait dans la vie et qu'elle aime le latté de chez Second Cup. Mais lorsqu'il la regarde partir courir il craque : Il aime son regard, son sourire et disons-le, il ne cesse de penser à ses seins et à ses fesses! Il prend la pierre, pense à sa voisine enseignante de sixième année, il tourne fermement la pierre et la lumière jaillit! À la fin de cette première journée d'école où les élèves ont fait connaissance avec leur professeure, découvert leur nouvelle classe et leurs nouveaux livres, tous étaient joyeux, tant les enfants que Aurélie. Alors qu'elle terminait de ranger la classe avant de retourner chez elle, elle remarqua une présence dans le local. Elle se tourne et voit le petit Josh, toujours à son pupitre, le menton appuyé dans sa main et le regard rivé sur Aurélie. -C'est l'heure de quitter Josh! Dit Aurélie d'un ton doux et gentil. -Je sais mais je vous attends pour rentrer à la maison, vous voulez? -Mais où donc habites-tu? -Sur la rue Onésime-Voyer, le bloc appartement blanc et gris.

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-Mais c'est que... -Oui, je sais! Dit Josh le sourire fendu jusqu'aux oreilles. Vous habitez là vous aussi! -Je ne t'ai jamais vue là. -Mais oui, le voisin d'à côté, le 203... -Tu n'habites pas le 203 c'est un homme seul qui y habite. -Vous connaissez son nom? -Bien sûr et c'est pour ça que je sais que ce n'est pas toi car vous portez le même prénom petit malin! Lui répondit-elle en riant un peu de lui. -Vous le trouvez comment le monsieur? Aurélie rougit tout d'un coup, ne s'attendant vraiment pas à cette question venant d'un enfant de sixième. Elle lui tourna le dos pour terminer le rangement dans l'armoire de la classe et termina : -On ne pose pas ce genre de question Josh. Je crois que tu devrais maintenant retourner chez toi sinon je devrais appeler tes parents. Il n'y avait plus un son, plus un mot. La classe était silencieuse. Aurélie se retourne et le petit Josh avait quitté la classe sans faire de bruit et sans dire au revoir.

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-Toc

toc

toc.

Quelqu'un frappait à la porte de la classe côté corridor... -C'est

toi

Josh?

demande

Aurélie.

Un homme apparaît doucement dans la porte, plutôt grand, les cheveux bruns assez mince. -Oui, c'est moi, dit l'homme en entrant doucement dans la classe. -Ô mon Dieu, ô mon Dieu! Aurélie se sentait la tête tourner, elle ne savait plus quoi penser. Son voisin se tenait devant elle et ses idées s'embrouillaient. Suis-je en train de virer folle? Lança-t-elle. -Non Aurélie, c'est bien moi, ton voisin. Je veux te rassurer tout de suite, ce que tu vis est à la fois irréel et pourtant bien vrai. Tu est dans une sorte de rêve et lorsque nous en sortirons, rien de tout ceci ne sera arrivé sauf que nous aurons tous les deux le souvenir de ce rêve qui en plus, nous permet à loisir de décider et de faire des choix comme si nous étions éveillés. -C'est totalement idiot et ridicule, lui envoie-t-elle. -D'accord Aurélie, ferme ta main et

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imagine une marguerite. Vois la bien dans ton esprit et ordonne à cette fleur d'apparaître dans ta main puis ouvre la. -Ridicule! -Essaye! -Non! -Tu n'as rien à perdre, fais-le! -Il n'est pas question que je fasse quoi que se soit de si idiot. -D'accord, alors regarde. Josh ferme ses yeux et présente sa main fermée à Aurélie. Il ouvre ensuite les yeux puis sa main et dévoile une belle petite marguerite qu'il lui tend. -Je rêve? -Oui, tu rêves Aurélie et nous rêvons ensemble. Je t'ai choisie pour partager ce songe parce que j'avais envie de te rencontrer depuis longtemps et comme j'avais cette occasion je l'ai saisie! Josh se mit alors à raconter à Aurélie son périple dans le désert du Sahara à la base Algérienne de Adrar. Tout en lui faisant son récit, Josh s'approchait de Aurélie qui finalement écoutait son histoire avec intérêt et de plus en plus de confiance. Tant et si bien qu'ils se retrouvèrent tous les deux assis sur des chaises d'élèves au coin d'une petite table de travail. Lorsqu'il dût expliquer les pouvoirs de la pierre,

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Aurélie commençait à comprendre ce qu'elle faisait dans «ce» rêve. -Tu as des idées derrière la tête? Dois-je conclure que je suis ici dans ton fantasme? S'inquiète Aurélie. -Même s'il s'agit d'un rêve ou d'une fantaisie, je n'ai aucune intention de te forcer à quoi que se soit mais réfléchit bien si jamais tu as tout au moins un peu l'intention de continuer. C'est un rêve où nous ne garderons que le souvenir de ce qui s'est passé sans autre conséquence! C'est une occasion à saisir si tu crois que tu peux vivre avec ce souvenir. -Je peux vraiment fermer les yeux et imaginer ce que je veux faire apparaître? Demande-t-elle avec un soudain sourire aux lèvres. -Juste si c'est en lien avec mes pensées. Tu as le libre arbitre mais c'est mon rêve à moi et j'en décide les grandes lignes mais oui, tu peux si je veux, termine-t-il en souriant aussi. Aurélie ferme alors les yeux et en les ouvrant, elle est tout à coup vêtue tout autrement. Un superbe déshabillé noir voile son corps dont le tissus semble pendu au bout de ses seins. La

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transparence du vêtement laisse deviner qu'elle porte une petite culotte du même tissus bordé de dentelle qui dévoile ses fesses. Josh est bouche bée. Les yeux rivés sur la jolie femme, les lèvres qui semblent vouloir prononcer des mots mais il en est incapable. -Tu ne t'attendais pas à ce revirement, dit Aurélie rieuse. Je te choque? Je suis trop directe? -Nenon. Pas du tout! Tu es juste pis moi j'ai... Josh n'arrivait plus à s'exprimer tellement il était étonné et pris à son propre jeu. Aurélie s'offrait à lui et il en arrivait presque plus à assurer la suite des évènements. Sans se laisser distraire par le manque de réflexe de Josh, Aurélie quitta sa petite chaise et alla s'asseoir directement sur les suisses de Josh, face à lui et l'embrassant sans autre avertissement. Le cerveau de Josh était en feu, il a tellement voulu connaitre les fouges de sa voisine et maintenant qu'elle l’enlaçait de ses bras et de ses cuisses, il n'arrivait plus à y croire. Il voulait être le conquérant et il se retrouve dans la position du conquis... Il prit part aux élans de Aurélie en lui retournant son baiser

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puis un autre et s'abandonna finalement aux pulsions qui l'habitaient. Prenant Aurélie sous les bras, il se leva en guidant Aurélie pour qu'elle se retrouve debout avec lui. Il la faisait danser doucement, comme dans un slow de fin de party afin de savourer leurs baisers et aussi pour laisser leurs corps se rapprocher et s'apprivoiser. Se balançant tout doucement, les mains de Josh parcouraient le léger tissu noir longeant le dos, les épaules et les fesses de cette femme si douce. Il mis ensuite ses mains fermement sur les deux fesses de Aurélie et les serra, juste un peu en rapprochant son sexe du sien. Sans cesser la danse, Josh dirige le pas vers le gros pupitre, celui de Aurélie. Lorsque l'arrière de ses cuisses touchent le meuble, Josh dépose avec douceur et élégance sa partenaire sur la surface un peu froide. Sans arrêter de caresser sa peau il laisse glisser ses lèvres jusqu'à son entre-jambe. Il avait une envie, un appétit de rencontrer le sexe chaud de cette femme sensuelle, il lui écarta les cuisses et sépara les lèvres de sa vulve pour prendre goulûment ce clitoris gorgé d'envie dans sa bouche et de prendre contact avec sa langue dans un mouvement de langue et de succion

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alternés. Déjà elle gémissait. Elle aussi attendait depuis des lunes un moment comme celui-là et cette langue envahissante avait des répercussions dans tout son corps. Sans s'interrompre de lui prodiguer du plaisir, Josh mit la main droite dans son jeans alors que de la main gauche il tenait écartés les lèvres chaudes de la vulve qui s'offrait comme un fruit mur. Son membre viril se durcissait à mesure qu'il se délectait de donner des sensations à la délicieuse Aurélie dont le bassin balançait de plus en plus. Il retira son jeans, toujours sans que sa bouche ne quitte le clitoris qui se gonflait sans cesse, alors que Aurélie mouillait de plus en plus. Son membre viril bien en main, il se masturbait doucement lorsque Aurélie réalisa ce qu'il faisait. -Oufff Josh, ça m'excite quand tu fais ça. Mmm... mange moi fort, hmmmm, haaaa! -Viens ici, dit-elle. Aurélie reste couchée sur son pupitre et dirige Josh vers sa tête. Elle poursuit : «Mets-la dans ma bouche.» Elle tourne la tête et la verge de Josh s'engouffre dans la bouche affamée de

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Aurélie pendant qu'elle met la main à sa chatte mouillée et glissante pour poursuivre sa quête de jouissance. Sa main droite s'occupe maintenant frénétiquement de son clitoris alors que sa main gauche caresse le dessous du pénis et l'entre jambe de Josh. Il passe ses doigts dans les cheveux de Aurélie qui le suce comme jamais il n'avait pu en rêver! Il pouvait détecter le contact de ses lèvres autour de son pénis, la douceur de la bouche et de la langue et le mouvement indescriptible lui procurait des sensations partout dans son corps. Son plaisir augmente et le désir de jouir s'intensifie, il se retire de la bouche de Aurélie et s'en retourne devant elle, l'agrippant sous les genoux pour que son dard soit en ligne avec sa cible! Il enfonce doucement son pénis dans la chatte toute humide, ce qui fait soupirer Aurélie d'une légère vocalise. Lui debout, la verge durcie comme une arme, il atteint la paroi vaginale avec son gland qui rapidement avait trouvé le point sensible. Il faut dire qu'il est chercheur en archéologie et ce n'est pas un simple point G qui arrivera à se soustraire de ses recherches! Toujours allongée sur le dos, Aurélie sentait le mouvement de cet homme qui la

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tenait par les cuisses et qui lui entrait dedans avec un mouvement fort, presque dur. Sa tête était envahie de toutes ces sensations. Elle en voulait plus, plus fort, elle serrait les dents et gémissait de plus en plus fort. Josh se retire et encore un peu brusquement, relève le vêtement de Aurélie pour découvrir ses seins magnifiques, les mamelons pointant vers lui. Il lui prit les seins à deux mains, la bouche comme un siphon engloutit le premier faisant pousser un léger cri de surprise à Aurélie. Il massait, caressait, léchait chacun à tour de rôle laissant glisser la pointe du mamelon entre ses dents. Elle prit Josh par les cheveux, inondée de vibrations qui secouaient parfois tout son corps. -Pénètre-moi

encore,

l'exhorte-t-elle!

Josh sourit l'empoignant fermement en corps à corps et la remit sur ses jambes. Il la retourna et lança son missile par derrière, entre les cuisses chaudes et glissante de la belle coureuse! Dans cette position, Josh pouvait sentir la douceur et l'ardeur qui se confondaient. La

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vue de son pénis qui allait et venait, les fesses invitantes qui tapotaient sur son bas-ventre, les caresses sur ce joli dos et ses fesses de rêve donnaient un cocktail de sensations. Aurélie avait maintenant le visage appuyé sur le pupitre, ses yeux étaient clos et elle recevait toute cette fougue en elle. Elle sentait la force de l'homme qui la prenait par derrière, elle se soumettait, elle gémissait et elle jouissait, son souffle empreint de gémissements faisait foi de son plaisir. Les coups de verge qui étaient parfois si doux et parfois trop durs la faisaient imploser de satisfaction! Pour Josh ce mélange devenait très excitant et trop rapidement, ce qui risquait de provoquer son orgasme et son éjaculation. Courageux, il se sépara de cette folie, repoussant le magique cul qu'il tenait entre ses mains. Comprenant son exercice, Aurélie se retourna et lui mit un french-kiss cochon, sans aucune retenue en se frottant contre le bas ventre de Josh qui était secoué de mouvements involontaires. Les mains de Josh étaient partout, parfois ses doigts glissaient tranquillement dans la bouche de la belle ou tantôt s'enfonçaient dans la

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vulve ou dans l'anus de Aurélie. Elle le caressait tout autant, ses mains si douces empoignaient les fesse ou la verge de Josh. Soudain, il la souleva à la hauteur de sa taille, lui remettant sa bite dans le vagin et se redirigea vers le gros pupitre, il se retira de l'antre glissant et se remit à lui faire un cunnilingus sans pitié! Il suçait, léchait et titillait le clito de Aurélie. Il voulait la sentir bouger, vibrer et frissonner entre ses mains sous ses lèvres et contre son corps. Le rythme de la respiration de Aurélie se saccadait et s'intensifiait. On sentait l'escalade d'énergie qui prenait son corps tout entier. Elle perdait tranquillement le contrôle sur son corps et c'est cette tension qui se propageait dans tout son corps puis ensuite dans son esprit. Les mille mouvements de la bouche de Josh sur le sexe entier de Aurélie étaient maintenant tellement intenses que des cris prenaient la place des soupirs, ses bras se tendaient, son abdomen se durcissait, elle plia légèrement les genoux et n'avait visiblement plus le plein contrôle de ses mouvements, ses mains empoignèrent finalement chaque côté du bureau et dans un long cri Aurélie se mit à jouir et à jouir

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plus fort, le corps tout recourbé vers le haut comme un pont rejoignant les deux rives de la folie et du plaisir. Diminuant doucement d'intensité, Josh laissait aller Aurélie à son orgasme qui lui envoyait des spasmes dans les muscles. Elle sourit. Josh se redressa doucement et pénétra doucement et délicatement Aurélie question de la laisser reprendre le contrôle de son corps avec encore un peu de plaisir charnel. Revenue à elle, elle constatait bien que Josh était sur le point de jouir lui aussi mais au lieu de l'encourager et le laisser aller, elle le repoussa doucement se redressant elle aussi et reconduisant Josh à la petite chaise sur laquelle elle lui fit prendre place. Elle se mit à genoux devant lui et reprit son gland entre ses lèvres. Comme c'était doux pour Josh qui se sentait lui aussi devenir en proie à un orgasme intense. Aurélie mouilla son doigt sans cesser son action. Elle lui glissa tranquillement son index dans l'anus et lui fit une fellation de toute sa bouche. Les sensations étaient infinies : La langue, les lèvres le doigt, un bourdonnement dans la tête, tout se mélangeait. Ses

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fesses se contractaient, ses mains saisirent les barreaux de la chaise et Aurélie continuait de lui prodiguer un infini plaisir, s'en était trop! Comme la foudre qui lui aurait traversé l'épine dorsale, le corps de Josh devint raide, un son assourdi lui passait entre les dents. Il se mit à venir, à jouir et à éjaculer. Aurélie ne cessait de le manger, avalant au fur et à mesure et contrôlant les moindres réactions de Josh. C'est une force et une énergie impitoyable qui saisissait son être tout entier, son corps tremblait puis se ramollit. C'est maintenant une incroyable détente qui s'installait dans son corps. Josh prit le visage de Aurélie entre ses mains et l'embrassa intensément mais plus doucement. Leurs corps étaient maintenant échoués sur le sol, la tête de Aurélie reposait sur l'épaule de Josh. Ils fermèrent les yeux un instant. Un bruit léger venant de loin s'intensifiait doucement : «Drrrt! Drrrt! Drrrt! Drrrt! Drrrt! Drrrt! Drrrt! Drrrt!» Retentissait le réveilmatin de Aurélie. L'affichage numérique de l'appareil près de son lit indiquait 06:15. Elle regardait autour d'elle. Elle était seule dans son lit ne se souvenant aucunement d'être

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rentrée de l'école la veille ni d'avoir quitté Josh. En s'assoyant dans son lit, elle vit sur l'autre oreiller une jolie marguerite, celle que Josh lui avait donnée. Elle se remémora tout ce qu'elle avait vécu, cherchant une explication à toute cette histoire. Comme ses idées n'étaient pas claires dans sa tête, elle se leva et se dirigea vers son téléphone cellulaire pour y regarder l'affichage. Elle pouvait y lire 06H18 Lundi 29 août 2011, c'était le matin de la rentrée... FIN

Effets de lecture

Cela faisait un petit moment, déjà, que l’idée me trottait dans l’esprit de laisser ma voiture dans son boxe, pour me déplacer à vélo ; l’essence devenait de plus en plus chère et, devenant de plus en plus

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soucieuse de mon environnement, je voulais apporter ma petite pierre à l’édifice écologiste, en réduisant mes émissions de gaz à effet de serre. Un bon début, pour moi, était d’utiliser le vélo pour me rendre à mon travail ; cela ne faisait que 25 kilomètres, aller-retour, moitié en zone urbaine, moitié sur des routes de campagnes, ce qui me semblait facilement réalisable avec un peu d’entraînement. Mais plusieurs questions se posaient à moi : quel type de vélo acheter, quels types d’équipements utiliser en fonction des saisons, comment concilier mon tailleur jupe avec cette pratique… etc. Ma première idée fut d’aller demander conseils auprès de vendeurs dans deux grandes enseignes du sport ; je ne fus pas réellement convaincue par leurs explications, supposant, peut-être à tort, qu’ils me disaient ce que j’avais envie d’entendre, l’objectif étant de me vendre leurs matériel. Aussi, je me mis à parcourir le Net, à la recherche de sites, forums et blogs traitant du déplacement à vélo. Le hasard me fit découvrir un blog qui me plut très vite ; un père de famille avait fait

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du vélo son moyen de transport quotidien, entraînant sa famille dans ce qui allait très vite devenir leur passion commune : boulot, école, courses, vacances, femme, enfants et mari faisaient tout à vélo, à tel point qu’ils avaient décidé de vendre leur voiture qu’ils n’utilisaient plus. Par le biais de ce blog, j’entrai en contact avec cet homme, dont le mode de vie me semblait tout aussi déroutant que courageux, et obtins de précieux conseils de sa part. Deux semaines plus tard, je m’achetai mon premier Vélo Tout Chemin, idéal pour des déplacements mariant routes et sentiers forestiers peu accidentés. Pour ce qui fut du port de la jupe, il m’expliqua que, dès l’instant où elle ne retombait pas sur la chaîne, le plus gros risque, hormis un certain inconfort, serait de donner une idée de mes sousvêtements aux personnes qui me croiseraient. Il n’y avait aucun soucis pour la longueur, habituée à porter des jupes certes classes, mais tombant au dessus du genou ; quant à montrer ma petite culotte, l’idée ne me déplaisait pas vraiment. Néanmoins, j’écoutai les conseils de mon

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correspondant et investis dans des cuissards femmes ; la jupe dans une sacoche latérale étanche, je pouvais facilement me changer dans les toilettes de mon lieu de travail. Nous continuâmes à échanger régulièrement sur nos différentes expériences et, au fil des semaines, nous liâmes une bonne amitié, élargissant, peu à peu, notre champ de discussion. C’est ainsi que j’appris que le cycliste avait une autre passion : l’écriture. Il m’expliqua, dans un long mail, qu’il avait écris plusieurs petits textes, avant de se lancer, il y a peu, dans l’écriture d’un roman se situant au moment du débarquement des alliés, en juin 1944 ; il espérait pouvoir trouver un éditeur, une fois son œuvre achevée. Aimant beaucoup lire et piquée par la curiosité, je lui demandai s’il pouvait me faire lire quelques uns de ces textes. Il me répondit que ces derniers étaient destinés à un public averti, qu’ils comportaient des scènes sexuelles très explicites ; à 34 ans, je m’estimais faisant partie de ce public averti et, de plus, j’étais très friande de la lecture érotique ; mais cela, je m’abstins de le lui dire.

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Il mit deux jours avant de se décider, mais, sans doute dû à mon insistance, il m’envoya un texte intitulé « Rohan » dans ma boite mail. C’est au boulot, assise à mon bureau, que je découvris l’histoire imaginée par mon correspondant cycliste. Bien que les articles qu’il publiait sur son blog vélo fussent de bonnes factures, je ne m’attendais pas à recevoir une telle gifle d’émotion ; dès les premières lignes, je fus captivée par les sentiments qui se dégageaient de chaque mot. Très vite, je n’eus plus l’impression de lire, mais plutôt d’être devant un écran de cinéma ; je fus totalement transportée dans l’histoire, me voyant à la place de Marie, la maitresse du chevalier de Rohan, m’imaginant que j’étais la destinataire de ses caresses. L’histoire se terminait mal, Rohan trouvant la mort à l’issue d’une bataille, mais la description de la scène d’amour était si bien faite, qu’elle me laissa dans un état second… si vous voyez ce que je veux dire ! J’envoyai un mail à mon cycliste, que je découvrais sous un jour nouveau, lui expliquant que j’avais beaucoup aimé son

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texte et que j’aimerais énormément en lire un autre. Le soir même, de retour chez moi, j’allumai mon PC à la hâte et vis, avec satisfaction, que mon vœux avait été exaucé ; une nouvelle histoire m’attendait dans ma boite mail, celle d’une femme énigmatique, se faisant appelé Titia. Ce texte me fit encore plus d’effet que le premier ; sans peine aucune, je m’identifiai à cette mystérieuse Titia, même si, au fond, nous n’avions pas beaucoup de point commun elle et moi. Je lus et relus l’histoire à trois reprises ; mon excitation montait en puissance à chacune des lectures ; je n’arrivais plus à me défaire des images que l’auteur avait mis dans ma tête ; mon intimité s’était humidifiée, ma gorge asséchée. Pour tenter de reprendre mes esprits, je décidai de prendre une douche. Au lieu de me calmer, l’eau qui coulait le long de mon corps, acheva d’exacerber mes sens. Je me mis à savonner mes seins, avec une douceur infime, imaginant les mains de Rohan en lieu et place des miennes ; mes tétons s’étaient dressés, bien raides, bien durs. Je pris le pommeau de douche, afin de mieux en contrôler le jet ; je nettoyai ma

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poitrine du savon, descendit au nombril et m’arrêta sur ma toison dorée. L’eau vint délicieusement frapper sur mon clitoris sorti de son écrin ; je rapprochai un peu plus le jet ; de premiers picotements se firent sentir aux creux de mon ventre. Ma main libre alla prêter main forte au jet d’eau, écartant un peu plus les lèvres ; un frisson remonta tout le long de ma colonne vertébrale ; j’entrouvris légèrement la bouche, laissant échapper un gémissement. Brusquement, des images défilèrent devant mes yeux. Je vis Titia, masturbant un homme tout en le fouillant avec un gode ; mes jambes commencèrent à trembler sous la monté du désir ; mes doigts se mirent à masser mon bouton d’or ; mon rythme cardiaque s’accéléra. Puis se fut l’image de Luce qui m’apparut, sodomisée par un homme, tandis que Titia fouillait son vagin avec un sex-toy ; je pouvais la voir onduler sous le plaisir venant ; j’eus l’impression que mes gémissements se mêlaient aux siens. La caresse de mes doigts se fit plus pressante, plus rapide. Je sentis le raz-de-

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marée se soulever en moi ; un orgasme fulgurant me frappa de plein fouet, me faisant lâcher le pommeau de douche, me mettant à genoux, tremblante de tous mes membres, hurlant ma jouissance. Une fois remise de mes émotions et quelque peu calmée, je décidai qu’il me fallait rencontrer l’homme dont la plume m’avait mise dans un tel état. Je ne le lui avait pas encore dit, mais nous habitions tout prêt l’un de l’autre, a à peine une trentaine de kilomètres ; il fallait juste que je trouve une bonne excuse pour demander à le voir et le vélo m’en sembla une.

exhibée en tenue, cuir et chaines

bonjour a vous,toutes et tous,, suite a ma soumission,, a ma maitresse qui aime que je sois exhibée dans les tenues qu'elle m'impose et souvent avec

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les bijoux et percing sexuel,,deja le sexe percé ainsi que les tétons,, ornés de ses bijoux,,elle a trouvé pour moi,, une cage de sexe en acier inox,,qui se cadenasse et dont elle garde la clé,, je dois donc me maquiller pour etre assez pute et voyante,,mais tres classe quand meme pour ce qui est de mes tenues,,ai je oubliée de dire que je suis blonde,, cheveux tres longs suite a sa demande,, cela toute le temps, ma vie privée est la sienne,,donc je ne suis que sa chose,, finalement,, alors voici le dernier objet ou plutot ornemnt de chasteté que je porte pour elle,,cette cage en acier cadenassé,,qui empeche toute erection et donc toute jouissance,,je porte un stg cuir et chaines qui laisse libre les tétons,, ainsi que un porte jarretelles,, cuir et chaines,, bas resilles,, et cuissardes au dessus des genoux,,talons hauts évidement,, sans rien d'autres dessous a part un string fendu laissant voir mon sexe en cage,,mais pour sortir je dois mettre un manteau de fourrure,, car vus le temps les soirs,, , noir,, de préference,, mais j'ai aussi des fourures renard,, a mis cuisses,,ceci pour sortir tapiner,,je ne suis ainsi que offerte que par deux ouvertures,, bouche et l'arriere,,,c'est alors qu'une

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personne,, a ma vue a eu une idée!!ce qui est assez,,excitant,, et je me suis dite,, si y a preneur je l'assume!!! c'est donc sur un parking, comme cela se passe en general,, de me faire attacher les poignets aux rétroviseurs d'une voiture,, et les chevilles au pare choc,,ventre sur le capot afin que je ne vois pas qui me viole,,ce que j'ai accepté,,la suite c'est que j'aime realiser cela,,je suis dépendant de soumission a ce point,,, sylvie, dite la jument

en douceur

Arriver doucement par derrière. Poser un baiser dans le cou, très long le baiser. Juste posé. Sans bouger. Placer une main sur chaque sein. Par-dessus le chemisier. Pas de soutien gorge. Sentir les bouts se dresser instantanément. Laisser les lèvres

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sur le cou. S’enivrer du parfum qui reste. Descendre doucement les deux mains en même temps. S’attarder sur le ventre, un doigt cherchant le nombril. Puis descendre, directement, déboutonner et glisser entre la ceinture du short et la peau, forçant l’élastique de la culotte à faire de la place. Toujours les deux mains. Et toujours les lèvres dans le cou. Yeux fermés. Atteindre les poils. Douce caresse, une main s’arrête là. Le majeur de l’autre touche le haut de la fente. Soupir. Et continue. Elle mouille. Beaucoup. Le petit bouton se dévoile. Toujours cette question quand le doigt tourne, et qu’elle se crispe comme si elle avait mal. Sa main qui rejoint la mienne lève le doute. Le majeur continue et rentre profond, laissant son travail au pouce. Les fesses se pressent sur mon sexe, comme si les vêtements qui restent n’existaient pas. Et juste un mot. « Continues ! »Et ça va vite. Les deux doigts s’activent de plus belle, trempés. Jusqu’à ce que les cuisses se serrent en un spasme révélateur. « Je t’aime ! »

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malgré elle ??

Mon mari absent pour des raisons professionnelles, m'a demandé de le représenter lors d’une, car beaucoup de clients potentiels seront présents, et que notre absence lors de cette soirée serait néfaste pour la Sté. Je suis donc dans cette soirée déambulant parmi les convives, très hautaine, BCBG dans un fourreau noir, fendu sur le côté sans bas assez bronzée, avec des escarpins aux pieds et une veste de tailleur sur les épaules, je sourie et répond aux gens que je connais et plus particulièrement a un couple d'amis que nous côtoyons!..... Ce couple d’amis nous les avions déjà rencontrés à plusieurs reprises avec mon mari au cours d’une de ces soirées mondaines…. Jacques mon époux m’avait expliqué que Pierre était juge au tribunal chargé des enquêtes financière, qu’il était plutôt de bon ton de les côtoyer ; dans les affaires on ne sait jamais….. avait-il ajouté. Alice la femme de Pierre était vêtue d’une robe de lin, sur laquelle elle portait une veste trois quart, ouverte sur un décolleté

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plongeant entre ses seins. Mais ce que l’on remarquait surtout était son collier, un magnifique collier de jonc tressé d’argent et or qui tenait fermé par un superbe cadenas lui aussi en argent probablement….. Nous devisions ainsi de la pluie et du beau temps… Pierre s’adressant à moi ; me dit : « c’est bien l’entreprise de votre mari qui vient d’emporter l’appel d’offre de la mairie ? » Puis changeant de sujet : « en tous cas il a une femme ravissante…. » A son compliment je me senti rougir …. Bien que la première partie de sa phrase m’inquiéta un peu connaissant son poste professionnel. - « ces soirées finissent par être ennuyeuse, je vous invite à prendre un verre à la maison » Je compris immédiatement que je n’avais pas trop de choix, mais de toutes manières je pensais également que cette soirée commençait à tarder un peu. Alice dit à son mari qu’elle passait aux toilettes avant de partir et je l’accompagnais dans la salle de bain. Dans la lumière éclatante de la salle de bain, lorsqu’Alice retira sa veste je ne pu détacher mon regard de sa silhouette, sa

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robe complètement transparente ne marquait aucune trace de sousvêtements…. Elle avait remarqué mon regard et semblait gênée... -« si vous souhaitez que nous vous raccompagnions avant de rentrer.. Ditesle ? » « Non non » répondis-je pensant que cela serait mieux pour les affaire de mon mari; je l'entendis murmurer.. bon tant pis !! Le temps de saluer les personnes importantes et nous nous retrouvons au parking, Pierre marche le premier sa femme en retrait, il ouvre la voiture et je m’apprête à laisser passer Alice pour qu'elle s'installe à l'avant lorsque qu'il dit s'adressant à moi « installez vous ; l'autre salope se met à l’arrière » j'ai cru mal comprendre !!!! puis il ouvre la porte arrière et d'un ton qui ressemble à un ordre : « monte » Abasourdi par ce changement d’attitude … mes pensées commencent à se mélanger... il s'installe rapidement à la place conducteur … démarre la voiture... et s'adressant à moi : « Elle a sans doute essayée de vous convaincre de refuser mon offre ? » je repense à la phrase d'Alice aux toilettes...

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… puis il reprend « malgré son dressage, elle est toujours un peu jalouse quand je décide d'en baiser une autre... et puis ce soir elle se rappelle certainement qu'elle doit être punie.... » Je m'enfonce dans mon siège … mes pensées s'entrechoquent … alors pour lui je ne suis qu'une « bonne à baiser »... et puis ces mots de dressage de punition …. Quitter cette voiture … lui demander d’arrêter là … telles sont mes premières pensées, mais paradoxalement je ressens comme une envie malsaine de savoir ce qui va se passer… les consignes de mon mari finissent de me convaincre de rester.. en tous cas j’y trouve une justification….. Quelques minutes plus tard, nous entrons dans la propriété ; Pierre range la voiture devant l’entrée, coupe le moteur et ouvre la boite a gant située devant moi. Il saisit une laisse de cuir qui s’y trouvait, la tend à son épouse. Celle-ci les yeux baissés semblait s’attendre à ce geste car elle s’en saisit rapidement, et l’attache à son collier. Elle sort de la voiture et attend ainsi la laisse pendant devant elle, les mains au dos. Pierre contourne la voiture, prend la laisse et nous marchons ainsi lui et moi au

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même niveau sa femme tenue en laisse… j’ai l’impression d’halluciner d’entrer dans un autre monde… Il ouvre la porte d’entrée…. Se tourne vers sa femme : –« tu te mets à poil tu vas chercher la mallette et tu nous retrouves au salon » Puis s’adressant à moi : -« entrez donc et installons nous que désirez vous boire un digestif ? Je balbutie un « oui oui si vous avez un alcool léger Vous êtes sans doute un peu surprise de notre mode de vie … mais sachez qu’Alice est consentante ; qu’elle aime et même ressent le besoin de ce mode de relation…. Je n’ai pas le temps de répondre, d’ailleurs j’aurais été bien embêtée d’avoir à répondre ne sachant que dire ; Alice entre dans la pièce. Elle est complètement nue sa laisse pend entre ses seins, elle dépose une mallette sur la table devant son mari, se recule de quelques pas et se mets à genoux, joignant ses mains sur sa tête. Nos regards convergents vers elle, elle se tient le regard baissé ainsi sans bouger le dos cambré. Je suis fascinée par la situation, Pierre son verre à la main s’adresse à elle :

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« je t’écoute !!!! Monsieur, j’ai désobéi à vos ordres cet après midi, et j’ai tenté de convaincre Mme de ne pas nous accompagner…. Parle plus fort salope qu’on t’entende correctement et soit plus précise… Monsieur cet après midi … je … (nous sentons une hésitation) Alors !!! dit-il en élevant la voix Cette après midi je .. je me suis caressée Monsieur Tu t’es branlée comme une chienne en chaleur veux tu dire Oui Monsieur Et ce soir ? J’ai proposé à Madame de la raccompagner avant de rentrer ! Tu as des explications à donner ? Elle se met à pleurnicher … heu non Monsieur.. Enfin vous savez bien … c'est-à-dire soit plus précise je veux l’entendre de ta voix…. Pour cet apres mdi Monsieur cela fait longtemps que vous ne m’avez pas.. (les mots ont du mal à sortir de sa bouche) que vous ne m’avez pas ..baisée Je te rappelle que je te baise quand je pense que c’est nécessaire un point c’est tout et pour ce soir ? Je ne voulais pas que Madame me voit dans cette situation honteuse Monsieur…

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Tu reconnais ces fautes c’est déjà cela Punissez moi Monsieur s’il vous plaît fouettez moi ? Je le mérite .. je n'ai pas été obéissante... à ces mots je crois halluciner Pierre ouvre la mallette dans laquelle se trouve une longue cravache …. mets toi en position » dit il en saisissant la cravache, aussitôt Alice se lève et se met debout jambes écartées le buste penché les bras tendus, ses mains accrochées derriere ses genoux. Je suis abasourdi par la scène, comme tétanisée, pourtant malgré moi je sens mon ventre s'ouvrir, s'échauffer, sans m'en rendre compte j'ai décroisé les jambes, …. je me rend compte que mes tétons commencent à durcir et se dessinent sous l'étoffe de ma robe.... Pierre s'approche d'Alice et glisse sa main vers son entre cuisses.... la salope elle est déjà complètement trempée, venez voir dit-il ? Et me prenant par la main m’entraîne sans que j'ai le temps de réagir vers Alice toujours dans la même posture. J'ai beau tenter de résister, il positionne man main vers le sexe d'Alice.... moi qui n'ai jamais touché une autre femme !!!!!!! vous voyez bien dit-il ? J'ai honte pour elle … mais en même temps je ne peux résister au plaisir que

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me Pierre

procure la s'adressant

à

situation Alice :

Tu vas avoir tes 20 coups de cravaches pour punition mais avant je vais baiser devant toi cette belle petite bourgeoise que tu n'as pas réussi à convaincre de rentrer chez elle.... avec un sourire sardonique. Je comprend qu'il parle de moi … je reviens à la réalité .. mais pour qui se prend il ??? je m’écarte brutalement je cherche mon sac je veux partir …. je vais appeler mon mari dis je …. en fouillant dans mon sac pour trouver mon portable.. il me rejoint saisit mes mains et sans ménagement glisse sa main sous ma robe et atteint mon string qu'il écarte … j'ai eu le temps d'appuyer sur la touche appel de mon tel … qu'il saisit d'une main et dépose sur la table me tenant mains au dos de l'autre. Sans ménagement sa main droite revient vers mon entre cuisse. J'ai beau me tortiller essayer de me débattre ses doigts s'insinuent en moi. Et je mouille et je me liquéfie. Il arrache mon string …. et j'ai envie qu'il me prenne là .. et j'ai honte … et je prend plaisir à cette honte.... t'aime çà espèce de chienne jamais je n'aurais imaginé qu'on me parle sur ce

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ton ; pourtant ces mots résonnent en moi accentuant mon désir... il attrape une corde dans la mallette et en un tours de main rapide je me retrouve ligoté les mains au dos ; je suis la à sa merci... étonnamment je me sens mieux attachée, comme si ce qui pourrait advenir maintenant n'était plus de ma responsabilité mon portable sonne.... ce doit être Jean qui rappelle … il va me tirer de ce mauvais pas... l'espace d'une seconde un regret travers mon esprit... Pierre a repris mon portable il décroche et : » c'est toi Jean ? Entre la porte est ouverte. Glouppp !!!

menuisier

maitresse voulais me montrer comment satisfaire une maitresse ,et non pas a une

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simple partit de fesse,jusqu,a la elle avait eu raison ,et cela me facinai ,et j,aime l,inconnue . elle me demanda d,aller prendre un bain ,me raser et ce partout elle ne voulais aucun poil sur le corps,et me parfumé,car ce soir elle recevais c,est amie et j,étais l,invité spécial, tout en me lavant,maitresse ce mettais belle pour la soirée,c,étais vraiment une belle femme,rondelette comme je les aimes ,juste par son regard je pouvais avoir une érection,elle revetis un bustier de cuir noir qui laissais entrevoir c,est magnifique seins ,jupe et bas e nylon, soulier a talon haut enlacer juste aux mollet, une femme a qui on pouvais tomber facilement en amour,et elle connaissait c,est pouvoir. je sortie de la baignoire tout propre elle m,examina de fond en comble,elle repris le rasoir me rasais pres du rectum des endroit que je pouvais pas voir,et me parfuma,javais une légere érection, ne me decois pas dit t,elle devant mes amies ,c,est une soirée de maitresse,tu ne parle qui si on te le demande, tu ne regarde personne dans les yeux,tu regarde par terre a tes pieds tout aux long

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e la soirée,je n,est pas le temps de bien d,éduquer,car tu doit repartir dans quelque jour,je te demande de me faire confiance c,est tout . installe toi aux milieu du salon et attend comme elle me la demander ,je restais immobile attendant les évennements on sonna a la porte les dames entrais dans le salon ,discutais de moi comme si je ,n,étais pas la, ah c,est ton nouveaux soumis, il est mignon ,c,étais comme si j,étais aux musée ,il se mire a faire le tour de moi ,posais leur main sur moi,j,étais observer a la loupe. chaque dame avait apporter quelque petit présent,l,une d,entre elle dit, qui commence a déballer les petit cadeaux,il pigea aux sort. la premiere déballa la boite,et elle viens ver moi,me présentant l,objet une tige de métal un collier et deux bracelet de chaque bout ,elle referma le collier autour de mon cou et mise mes poignets dans les bracelet,elle regarda maitresse,maitresse dit il est beau ton cadeaux je l,aime bien merci, l,autre dame fit de meme elle me présenta

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une tige de métal,mes juste deux bracelet de chaque bout c,étais pour mes chevilles ,quel me fit mettre ,j,étais écarteler un peux de difficulté avec mon équilibre, maitresse la remercia du cadeaux. la troisieme dame me présenta un objet de plastique transparent,un genre de cache sex en deux parti et un cadenas ,elle pris mon pénis dans sa main le pressa fermement y inséra mes couilles dans les anneaux et l,autre partit y inséra mon pénis et mis le cadenas,elle remis la clé a ma maitresse ,j,étais pas habituer a avoir moi pénis pris dans une cage,moi qui voulais faire l,amour,javais une envie terrible,donc il f,allais que je me controle,maitresse la remercia la dame suivante sortie de la boite un phallus noir avec de grande frange cela ressemblais a une queue de cheval,le phallus devais mesurer tout pres de vingt centimetre,elle sorti un petit contenant de creme et l,enduit le phallus, je savais bien quelle me l,enfoncerais dans mon jolie cul,je remarquais que le phallus étais fait en conséquence une fois rentré a l,intérieur de l,anus il ne pouvais pas y ressortir tous seul, car l,extrémité étais tres petit,et il avait un arret rond et plate les laniere de cuir y étais tous attaché. elle mis introduit ce phallus lentement

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avec un va et viens ,javais une érection qui me fessais souffrir,mes javais un plaisir,elle m,enfonca le phallus tout aux bout ,comme il étais tres petit a l,extrémité mon anus ce referma, comme il est beaux ainsi, maitresse remercia la dame,j,avais beaucoup de difficulté a reste en équilibre car j,étais fatiguer a reste en place ,déja quelque heure sans bouger a la meme place, les dames chuchotais ensemble et riais, l,une vien me défaire les liens aux cheville,c,étais un soulagement,maitresse m,ordonna de courir comme un cheval le tour du salon,ce que je fis cela me fis dégourdir les jambe,par contre le phallus me genais un peux dans mes mouvement,15 minute de pas e course j,étais épuisée,je tombais a genoux par terre apres 30minute, maitresse me dit repose toi un peux prend ton souffle ,elle me souffla dans l,oreille me dit on ne fais que commencer a jouer

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Le grand nord Canadien

Attacher toutes ces femmes là, nues et quelque peu recouvertes de peau de bête ; tels des husky. Les attacher à un traineau et la mamelle pendante, fesses à l'air, les voir attelées, courir dans la neige à vous fouetter le sang. Elles poussent des cris de joie et des plaintes mi- rauques, mi- crillardes. C'est beau cette volupté affichée : ces culs explosés dans une nature affranchie. Il est doux de recueillir du fil du fouet, d'une mouche, les perles de jouissance ou les larmes honteuses mais amantes ; qu'il est gentil ... Elles ont toutes la peau d'une blancheur érotique, une chair rose et fraiche. Elles offrent parfois aux regards indiscrets leur féminité par leurs lèvres offertes. Et le feu qui flagelle entremêle déjà à ces chiennes le bivouac du soir, la chaleur

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animale

retrouvée.

Elles portent aux mains des gants de peau rare et belle ; elles se protègent ainsi. Elles s'arrêtent parfois, attendries de fatigue ; elles se lèchent mutuellement, s'accordant d'en dedans la caresse qui étouffe la morsure de l'hiver. Leurs yeux se tournent vers le traineau et braquent d'un œil vif et cruel le dernier arbre aux branches courbes. Ni de haine, ni de souffrance : ce regard est d'une vérité simple et banale. La cruauté des liens qu'irrigue les sens suffit à exprimer le toucher : cette ultime conscience d'elles. Les langues pourlèchent les lèvres d'en haut ; autant : les salives se glissent en une liqueur tombant jusqu'au plissures des lèvres basses. La neige retient les souffles comme les souvenirs ouatés, profonds et serrés, languissants et spasmodiques ... des charmes érectiles, refermés, de leur jouissance intime. Lorsqu'elles se vautrent corps à corps, formant le cercle, elles gisent ; lors le traineau gîte au gré des flammes qui

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louvoient,

convergent

et

couvrent.

Là, elles sont à elles- mêmes amoureuses de leurs seins, de leur ventre et vulves ; aimantes de leur bouche désireuse ; excitées des nuques aux cheveux ; des cheveu aux reins ; de ces reins au mont qui vallonnent les derrières rebondis. Alors je me jette à elles ; je veux devenir animal autant et prier la terre, les forces éthériques, les bruissements du vent, des feuillages et froissements de peau. Je les supplie de me prendre en leur sein et je jouis d'elles, de leur sinuosités, de ces plaintes rengorgées qu'elles me laissent happer de mes lèvres successivement affamées. Je descends et je sens ; je devine et je vais sillonnant les creux formées en cicatrices chaudes. Je hume et embrasse, baise ces chairs, ces effluves comme ces sueurs innocentes et délicieuses. Je mords chaque pouce ; j'avance et broie ma face, ma bouche, mon nez que j'enfourne au plus profond de leurs cuisses

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ouvertes ... je me repais de cela comme d'autres se fondent dans l'envie de l'autre. Je retourne le dos tors ; et je renforce par un cri absent la brisure courbée presque de mes reins appuyés. J'enfonce le pieu ; je dresse le front ... et surprend mon propre désir à sa mesure. Je jouis après ; me souciant si peu de ce qu'elles sont. Les étoiles illuminent les rouges, jaunes, blanches et frémissantes flammes : c'est mon image qui brule et mon corps qui ment. Je tords et tends ; je scrute l'étrange niche, la subtile cache que renferme la nuit. L'une d'elle geint : je la gifle et la fais "terre" ... Elle se morfond, s'approche et quémande du bout des seins la claque. Sa chatte qu'elle excite et caresse, vautrée. Une expérience dans une cabine de visionnement Auteur Anonyme

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C'étais un Vendredi après-midi d'automne pluvieux et j'avais eu une longue journée. Je me sentais malgré tout chaud car la jeune femme que j'avais croisée au restaurant me va allumer et je décidai d'aller me faire une petite branlette dans un salon de cabine de visionnement que je connais. La jeune caissière me fis un large sourire quand je lui apportas la pochette du DVD que j'avais chois. C’était un film sur de jeune écolières lesbiennes et fontaines. Elle me donna la cabine tout au fond de la pièce et en m'y rendant je pu voir quelques portes ouvertes et d'autres gars qui se masturbait devant leur film. Je mis le DVD et commença à regarder le film. De l'action dès le départ les quatre jeunes nymphettes se bouffais les seins, la chatte et le cul, déjà bandé j'ais eu de la misère à enlever mon pantalon et mes boxer. Puis quelqu'un ouvris ma porte me regarda bander en train de me masturber, s'excusa et referma la porte. Je me senti mal a l'aise sur le coup mais continua

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quand

même

de

me

masturber.

Puis un peu plus tard la porte s'ouvris de nouveau s'étais le même gars mais cette fois ci je pu voir qu'il était complètement nu avec une belle érection mais avec un truc de caoutchouc sur la queue. Il entra dans ma cabine et se mis a genoux devant moi et commença à me crosser et a me masser les testicules. J'étais hésitant au début mais pas insensible à ces caresses. Puis il mouilla un doigt et me l'enfonça dans l'anus. Je fus un peu surpris mais j'aimais cette sensation, puis il enleva ce truc autour de sa queue et me le mis sur ma queue toute dure et me masturba avec ce genre de vagin de latex. Puis il me releva sur mon fauteuil et me colla sa queue toute dure entre les fesses e t enfonça son gland tout en continuant de me masturber. Il n'en fallait pas plus pour que je gicle de longs jets de sperme tout chaud à travers son bidule de latex. Il s’empressa de venir chercher ma semence avec ces doigts au bout de ce que j'avais sur la queue et il le mit dans sa bouche se releva me regarda avec un grand sourire me dit merci et sorti de ma cabine.

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Je vais y retourner et j'espère le croiser de nouveau

rencontre impromptue

Nous nous sommes arrêtés dans un petit village de provence la semaine derniere en revenant de la cote D'azur. Ma femme se promene dans les boutiques et moi je visite. Une folle envie d'uriner me tenaille. avisant un homme qui a l'air du village je lui demande si il ya des toilettes publiques, "derriere l'eglise" me repont-il avec un sourire. Elle est a coté, j' y vais et decouvre un urinoir a plusieurs places sans separation entre les places. De plus je ne sais pas qui en en assuré la fabrication , mais le mur de l'urinoir est en inox ce qui fait miroir??donc même si vous ne voulez pas voir, vous voyez!!! et moi j'aime voir!!!A peine rentré et ma queue sortie, j'entends des pas et vois mon informateur arriver et se mettre a coté de

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moi. Tout de suite je regarde sa belle queue, il se tourne d'ailleurs legerement vers moi pour que je l'admire encore mieux. Il ya longtemps que j'ai fini d'uriner je reste la, a matter en me caressant doucement, sa belle bite qui me semble-t-il grossit. Ni tenant plus je lache ma bite pour prendre la sienne et la branle, lui fait de même , mais me plaque contre un mur et colle ses levres sur les miennes et enfonce sa langue dans ma bouche. On se galloche pendant quelques minutes tout en continuant a se branler l'un l'autre. Puis me lachant il met ses mains sur mes epaules"tu suces" et avant que j'ai le temps de repondre il m'appuis sur les epaules car ce n'est pas une question, mais un ordre. Je m'accroupit et prends sa bite maintenant bien raide dans la bouche. Je salive un maximum pour qu'elle glisse mieux. Lui m'agripe les cheveux par derrière et me baise la bouche en enfonçant sa queue au maxximum. Il me faut faire appel a tout mon savoir faire pour ne pas avoir de haut le coeur. Son gland vient frapper ma glotte. De la main je lui serre les couilles et de l'autre lui enfonce un doigt dans le cul. Il glousse de plaisir, me traite de pouffiasse, de salope, tire toujours

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fermement sur mes cheveux en m'enfournant sa bite. "tu vas tout avaler salope, et j'en ai en reserve" me dit-il La bouche bien pleine je ne peux que dire hum hum en hochant la tête. Un jet puissant me fait mereculer et j'en prend aussi plein le visage, je termine en aspirant des dernieres gouttes dans ma bouche. Je me releve, il me prends dans ses bras , me lèche le visage pour nettoyer sa semence et me dit" mais toi tes toujours raide, tu vas te branler devant moi" je baisse mon pantalon et prend ma queue et me branle. lui me dit de continuer, qu'il avait tout de suite vu que j'etais pd c'est pour ça qu'il m'a suivit. j'entends le bruit de quelqu'un qui arrive et veut me rabiller, mais lui me dit d'une maniére imperative "t'occupe pas continue". un autre homme rentre, surpris mais vite interessé me regarde me branler jusqu'a ce que je jute sur le sol. Mon telephone sonne, c'est ma femme qui m'attend pour aller au restarant. Je suis obligé d'interrompre une cession qui je pense aurait pu continuer. une demi-heure plus tard au restaurant qu'elle ne fut pas ma surprise de voir que

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le maitre d'hotel qui nous tend les menus et l'homme que je viens de pomper avec tant de plaisir ne font qu'une seule et même personne!!! Les petits sourires des serveurs entre eux pendant tout le repas m'ont fait penser qu'il n'etait pas resté discret sur notre rencontre. J'en etais tres honteux........et tres EXCITE. Quand je repense a cette avanture ma main ne peux resister a la branlette!

1429 lectures Vacance en France

J’ai vingt ans, je m’appelle Mélanie, je suis une femme qui fait de l’embonpoint. Je ne peux le nier, mais je vis bien avec. J’ai des formes très généreuses, une forte poitrine ferme et des fesses bien rondes. Je fais 5

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pieds 4, sur le plan sexuel, je suis très active, mais je préfère le faire en sole, que faire un ‘‘One Night’’. L’histoire que je vais vous racontez, c’est passé il y a quelques mois quand je suis allée en France. C’était mon troisième jour en France dans la ville de Lens. Il faisait plutôt chaud, ce qui était surprenant puisque l’été cédait place à l’automne. Je sortis de l’hôtel, où je logeais pour la semaine, pour aller visiter quelques musées. Au musée Du Louvres de Lens, je rencontrai une charmante demoiselle rousse. Son visage était parsemé de taches de rousseur. Ses yeux ardoisés encadraient son joli minois. Elle s’approcha se moi et me glissa à l’oreille « viens avec moi! » Charmée par sa voix mélodieuse, je la suivis sans hésiter. Nous partîmes de musée et nous rendîmes à une petite maison pas très loin de mon hôtel. Elle m’ouvrit la porte et me fit rentrer. Dès que la porte se ferma, elle mit le verrou et me sauta littéralement dessus. Elle m’embrassa à pleine bouche. Nos langues se titillèrent, tourbillonnèrent. Elle passa plusieurs fois sa langue sur mes lèvres. Elle m’entraîna dans la chambre et

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me fit basculer sur le lit. Sans plus attendre, elle déboutonna mon chemisier et caressa mes seins par-dessus la dentelle de mon soutien-gorge. Elle me fit cambrer, les bras renversés et appuyés sur le lit. Elle retira mon chemisier, retroussa mon soutien-gorge par-dessus mes seins et se mit à mordiller mes mamelons avec fébrilité. - C’est bon gémissant.

continue,

dis-je

en

Elle continua d’embrasser mes seins, tandis que ses mains caressaient mon bas ventre. Ses doigts sur mon corps étaient si enivrant, un vrai délice. Sa langue descendit le long de mon ventre, je frémissais de plaisir. Elle s’attarda, quand elle atteignit mon nombril. Elle le taquina, tourna sa langue autour et le pénétra, même si ce n’étais que ça, je gémis. Ma mouille inonda ma culotte. J’écartais les cuisses pour l’inviter, ce qu’elle fit. Elle descendit sa face entre mes cuisses. Elle sentit mon slip et le retira. - Tu as une odeur délicieuse, ma chérie! Dit-elle avec son sourire moqueur.

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Ses yeux ne quittaient pas ma fente, elle approcha sa bouche de mon sexe. Elle taquina mes lèvres avec sa langue et se mit à lécher mon minou, en petit coup de langue, comme un chat, elle me buvait littéralement la chatte. Des gémissements s’échappaient d’entre mes dents. Sa langue tourna autour de mon clitoris qui était bandé de plaisir, gorgé de sang, rouge de désir. Elle le suça, le tira, le titilla et le mordilla avec ses lèvres. Des frissons parcouraient mon corps. Je me cambrais, haletais, je lâchais des petits cris de plaisir. Je ne me contrôlais plus. Je jouis. Encore dans un semi engourdissement, je la tirais vers moi et l’embrassais passionnément. Elle décolla ses lèvres des miennes et se plaça tête-bêche audessus de moi, puis me présenta sa chatte à lécher, tandis que je sens sa langue à l’assaut de la mienne. Sa cyprine coulait le long de sa cuisse. Sans la faire attendre, je remontais sa cuisse jusqu’à sa fente, où je me mis à la pénétrer avec ma langue. Elle poussait de petits soupirs très alléchants. Puis, je glissais un doigt à l’intérieur de son petit minou, suivi par un deuxième. Ma langue folâtrait dans ses poils pubiens, tandis que mes doigts faisaient des vas et vient lents, mais

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profonds. Le plaisir étais tellement délicieux, mes doigts s’activaient de plus en plus vite en elle. Cette dernière gémissait, se cambra et jouis sur mes doigts. Je n’arrêtais pas pour autant les mouvements de pénétration. Sa mouille coulait sur mes doigts, tout ce qu’on entendait, était nos respirations et nos gémissements. Elle commença à me pénétrer avec ses doigts. Nous continuâmes jusqu’à ce que nous jouissions toutes les deux en même temps, ce qui ne tarda pas à arriver. Après notre débat, nous nous rhabillâmes et elle me fit signe que la porte se trouvait de l’autre côté et me fit sortir de la maison. Je retournai à mon hôtel, sans quoi penser. Je ne revis jamais cette petite rouquine, durant mes vacances et je ne sus jamais son prénom.

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16/9/11 11:18 PM 1640 lectures Le petit voyage!

J'étais dans un fin semaine de congés de trois jours, et j'avais décidé pour cette fin semaine-là d'aller magasiner à Montréal. Or comme je pouvais pas avoir ma voiture qu'elle était en réparation j'avais seulement un seul moyen de transport c'était les autobus voyageur pour me rendre à Montréal. Donc comme je m'avais renseigné pour les départs le samedi matin pour ma destination au près du terminus de ma ville, je pris la première autobus pour ma destination pour avoir le plus de temps pour magasiner. J'ai été surpris ce matin-là de voir beaucoup de voyageurs prendre l'autobus de bonne heure pour ce rendre à Montréal, car il y avait environ vingtaine de personnes pour le départ. Donc je monte à bord et environ au milieu de l'autobus je décide de prendre place, et la plupart des personnes prennent place en avant de moi, mais un seul homme avec son journal ce dirige vers moi, et rendu à ma hauteur il s'arrête et me regarde et me demande poliment est-ce que je peux prendre place à côté de vous?

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car je déteste de voyager seul et j'aimes avoir quelqu'un à côté de moi car je trouves la route longue quand je suis seul. Comme le messieurs avait l'air distingué avec son habit et sa cravate je l'ai invité à prendre place à côté de moi. Donc au départ je regarde autour de moi et en arrière, j'ai constaté que le monde étaient tous assis en avant de nous et qu'il y avait personne en arrière de nous. Et voilà que le chauffeur ferme la porte et nous mettons en route pour Montréal, moi je m'installe de manière pour regarder à travers la vitre car je suis assis sur le bord de la vitre et quand lui ouvre son journal pour le lire. Ça fait déjàs un bon quart d'heure que nous roulons, et je sens d'un coup sur ma jambe le genoux de la personne qui est assis à côté de moi, car il faut dire que l'espace entre le siège avant notre siège est très restrint, comme le messieur était assez grand il y a un peu les jambes repliées et son genoux arrive un peu contre ma jambe.Ça me dérange un peu, mais je le laisse faire sans dire un mot et je continue à regarder à l'extérieur. Mais soudain je sens qui commence à faire sauter sa jambe et son genoux se frotte contre ma jambe tranquillement, je me

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sens un rougir et d'un côté je ne déteste pas ça et il peut remarqué que je ne réagis pas. Alors de temps à autre je je regarde du coin d'oeil sa jambe qui me frotte ma jambe, et lui de son côté je peux remarqué qui fait la même chose, et même que je peux entendre sa respiration à augmenter légèrement un peu. Et je le vois il dépose son journal tout grand ouvert sur ses genoux et le journal arrive arrive un peu sur ma cuisse ou j'avais déposé mon avant bras et ma main, donc le journal cachait ma cuisse et mon bras. Et soudain il retourne sa tête vers ma direction avec un léger sourire en regardant, moi j'avais les yeux qui regardais le journal qui était étendue sur ma cuisse et je commençais avoir des sueurs et des frissons, et je vois qui passe sa main et son bras sous le journal et je sens ses doigts qui me touche le dessus de ma main pour me caresser, et sa respiration avait augmentée. Je relève mes yeux et je regarde les gens qui sont devants nous et qui son à leurs occupations, je commence avoir des fantasmes qui me passent`dans l'esprit, je le laisse faire et de voir ou que ça va nous conduires ce petit jeux. Comme il voit que ça pas l'air à me déranger et que je donne l'impression que je me détend, et soudain il dépose complètement sa main sur la

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mienne pour me flatter et la prend la lève pour la retournée sur ma cuisse et de son bout de doigt me chatouille le ceux de ma main, et je le regarde et nos yeux s'entrecroisent et il me signe de la tête comme s'il me demandait si je voulais et moi de la tête je lui fais signe que oui qui pouvait continuer. Donc il dépose ma main et il commence à me caresser ma cuisse doucement et le journal toujours ouvert sur nos genoux et de sa tête relevé vers l'avant pour rester très discret dans son plaisir. Moi je commençais à sentir le plaisir me monter en moi, et je sentis mon pénis se gonfler dans mon pentalon, et sa main remonte légèrement vers mon penis qui commence être dur et comme il remarque que mon gland est dur il referme sa main dessus et commence un vas-et-viens avec sa main pour me masturber à travers mon pentalon. Je commence avoir du plaisir à me tortiller sur mon siège et doudain il s'arrête et remonte sa main vers ma ceinture de pentalon pour le détacher et d'un geste tranquillement dessant doucement ma fermeture éclair pour rentrer sa main pour la passée sous mon slip et prendre mon penis dans sa main pour la mieux la sentir et ressos sa main

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de monpentalon pour saisir ma main pour la conduire sur son sexe qui bander très dur, et de son autre main détache son pentalon et prend ma main pour la rentrer sous son slip et je saisis son penis qui est gonfler à bloc et je commence à le masturbée et comme je le branle tranquillement, lui remet sa main sous mon slip et continue à me masturbée, et pendant une dizaine de minutes nous sommes entrains de nous masturbées jusqu'à nous explosions chacun dans nos slips et d'un plaisirs de soulagements. Ce fut pour moi un petit voyage extras cette journée-là.

bernadette est au point

depuis la visite de carole et samantha, il y a cela 2 mois, bernadette s'était enfin

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découverte et aussi, affirmée dans cette nouvelle relation, homosexuelle, c'est peu de le dire ! elle sentait cette transformation mais pas à ce point et surtout pas aussi vite en effet, la cuisine qu'elle avait fait redécorée par sam et carole comportait, pour un oeil exercé, certain avantage pour des jeux assez hard maintenant qu'elle se connaissait bien elle évoluait dans ce milieu avec une aise déconcertante, son directeur d'assurances, paloma, la cinquantaine était une homosexuelle aussi, elle ne l'a su que lors d'une soirée "pour les femmes" au bar fréquenté par ses copines, depuis, paloma et elle entretenait une relation amoureuse et trés hot, à l'invitation de paloma, bernadette était arrivée chez elle en jupe trés trés courte, à raz des fesses et un chemisier transparent, paloma l'accueillit en reine du soir, bustier en dentelle, string en dentelle, porte jarretelle et hauts-talons, le tout en vert pale cette couleur sur ses cheveux roux la rendait somptueuse, comme dab' paloma avait attendu sa sirène pour faire pipi,

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c'était un luxe qu'elle adorait, se payer le pipi de sa femme, quelque soit l'endroit, lorsqu'elle était avec bernadette, il fallait qu'elle fasse son pipi, elle jouissait de cela ! bernadette elle, était plutot libérée de ce coté là et acceptait mais ce soir, elle la ferait chanter car elle voulait que paloma s'occupe de sa crème, c'était la première fois que paloma devait faire cela et, d'abord surprise, elle invita sa femme chérie, à monter sur le canapé, retirer son string, et s'accroupir, bernadette fut étonnée de la rapidité de sa réponse et s'exécuta, le derrière en folie, j'espère que tu as ce qu'il faut car j'ai horriblement faim ma chérie, ne t'en fais pas lui dit bernadette, je me prépare depuis deux jours et crois moi, je suis bien pleine, avec deux doigts, paloma alla scruter le formidable anus dilaté de sa femme, en effet, l'intérieur était bien rempli, chaud et tendre, elle porta d'abord ce nectar à ses lèvres et fut heureuse de constater qu'elle ne s'était pas trompée, la crème de bernadette était délicieuse, la giflant sur les deux fesses de son derrière, paloma lui fit comprendre qu'elle aurait dut s'y prendre depuis le début de

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leur relation, que ce mets était divin et qu'elle ferait cela chaque fois que bernadette le demandera ! comme pour ton pipi lui bernadette ? comme pour mon pipi et bien plus si tu as de folles envies dans la journée, ce que je viens de gouter est un vrai délice, d'ailleurs je me demande si toi aussi tu ne gouterai pas à ma crème ! d'abord tu vas manger la mienne quelques jours et je verrai ensuite si je peux te faire ce don ! et bernadette, les muscles de ses jambes et cuisses se bandaient dans l'effort, était entrain de se vider complétement dans la bouche de paloma qui était aux anges, cette fois, elle avait tout pour être heureuse ....

Ballade Napolitaine

Je vous suis dans les méandres des

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venelles obscures d'une cité hypothétique. Il y fait chaud, vous êtes vêtue très légèrement : une robe flottante, légère, de couleur claire, sans rien dessous. Nous sommes tous les deux a flâner dans ces passages tantôt éblouissants de soleil, et parfois frais, a l'ombre. Les immeubles sont vieillots, parfois lépreux. Ces venelles sentent la cuisine du sud. Il y flotte des relents d'huile d'olive, d'origan. Nous nous trouvons dans les bas quartiers de Naples. La musique s'échappe paresseusement des fenêtres voilées, une musique sirupeuse. Nous croisons parfois des petits vieux assis sur des chaises, sur le pas de leur portes, jouant au dominos, avec des voix qui se veulent fortes mais qui vacillent sous le poids des ans. Vous avez chaud, vous êtes moite, et parfois vous frissonnez dès que nous passons sous des porches ou des étendages de linges encore légèrement humide. Nous passons aussi devant des petites bandes de jeunes adultes, ceux la nous dévisagent, se demandent ce que ce couple d'étranger viens traîner dans "leur" territoire.

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Ils sont assis, a moitié couchés sur des cageots, ils nous regardent passer, se regardent, souris en échangeant des paroles a voies basses, incompréhensible ce dialecte napolitain. Ceux la vous inquiètent, vous les regarder par en dessous, furtivement. Leur regard se fait trop pénétrant. Ils vous déshabillent lentement du regard. Vous comprenez soudain que cette petite robe légère, si agréable a porter est en même temps un piège pour les regard indiscrets qui abusent des effets du soleil. Votre nudité, vous apparaît comme trop évidente. Les pointes des tétons qui saillent sous le tissus, et en contre jour l'ourlé délicat mais bien dessiné des vos lèvres apparaissent, flagrantes, évidentes. Vous voulez presser le pas. Cette nudité qui vous excitait tout a l'heure, commence a vous peser. Vous la regretter. Vous me demander de rebrousser chemin, vous voulez rentrer a l'hôtel. Il y a plusieurs heures que nous marchons dans ce labyrinthe de ruelles. Du charme que dégage cet endroit, apparaît maintenant un autre aspect, plus feutré, mais plus violent, cette violence

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latente qui s'en dégage maintenant est plus conforme a la réalité. Nous rebroussons chemin. Mais pour aller ou ? Ce passage, a droite, ou celui ci, a gauche? De quelle ruelle somme nous venus ? Qu'a cela ne tienne, nous en prenons une, au hasard. Le soleil est maintenant haut dans le ciel. Il fait une chaleur torride. Les petits vieux ont désertés leur chaise, la musique se fait murmure. C'est l'heure de la sieste. L'angoisse vous fait transpirer, des auréoles se dessinent sous vos aisselles. Votre robe commence à se plaquer entre vos seins, faisant ressortir leur galbe. Nous marchons plus vite, nous sommes fatigués. Nous nous rendons compte que des pas font échos aux nôtres. Des rires aussi, plutôt des ricanements. On nous suit. Ils sont une dizaine. Devant ce groupe il y a une femme, celle qui semble être la plus âgée. Grande brune aux cheveux frisés, en short de jeans sale, baskets trouées et blouson de jeans. Derrière ils sont plusieurs a être dans ce même genre d'uniforme. Ils ont l’œil noir, la chevelure grasse.

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Nous pressons l'allure, mais ils ont toujours la. Nous nous engageons dans ce que nous croyons être une ruelle. Malheureusement ce n'est qu'un cul de sac. Quand vous comprenez que nous somme dans une impasse, vous me regardez et je vois dans vos yeux que vous comprenez que nous allons avoir des problèmes. Vous pâlissez à vue d’œil. Ils nous barrent le passage. Impossible de faire marche arrière. Peu a peu ils nous encerclent. La femme en short s'avance vers nous. Elle nous parle en italien, voyant que nous ne comprenons pas elle essaye l'anglais, puis le français. Bien qu'ayant un fort accent et un français approximatif, elle est assez a l'aise avec l'argot. Elle ouvre son blouson, sort un couteau a cran d'arrêt, l'ouvre. Elle fait un signe a gauche et un a droite. Soudain trois personnes me tiennent les bras et le cou. Et deux autres vous maintiennent les bras. Elle s'avance vers vous. Vous regarde au fond des yeux de son regard noir. Soudain elle tend sa main gauche, prend le haut de votre robe et de la main droite

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elle insère son couteau dans l'échancrure et descends sa lame. Elle coupe en deux votre robe. Elle écarte les pans de ce qui fut une belle robe printanière. Elle vous regarde, s'écarte et vous offre en spectacle a ses compagnons. Ceux ci, d'abord estomaqué devant ce fabuleux spectacle, poussent des petits sifflement et rient a gorges déployées. Quelques uns s'avancent veulent voir de plus près la blancheur de votre peau. La femme leur dis quelque chose. Ils avancent et commencent à mettre la main sur vous, sur vos seins. Ils les malaxent les pincent. Dans un sursaut vous essayer de vous débattre. Mais la femme est la et commence à vouloir vous faire sentir la pointe de son couteau. Elle le pose sous votre sein gauche et vous fait sentir que si vous vous debater plus, elle n'hésitera pas. A ce stade, vous comprenez que personne ne peut plus rien pour vous. Vous me lancer un regard déconfit, fait de peur, de résignation. La femme vous attache les mains dans le dos avec la ceinture de son short. Elle vous fait mettre à genoux.

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Elle rabat ce qui vous reste de robe sur vos coudes. Ainsi offerte vous êtes impuissante a toute rebellions. Comme vous baisser la tête, elle vous prend les cheveux a pleines mains et vous fait la redresser. Elle veut que vous voyiez. Et vous voyez. Elle fait signe au plus jeune d'avancer. Devant vous, il ouvre sa braguette, sort son sexe. La femme pousse alors votre visage en direction de ce sexe. Vous ouvrez la bouche. La femme toujours debout a coté de vous fait un mouvement de va et vient avec votre tête. Vous sentez ce sexe brûlant buter contre votre palais. Et puis c'est le tour d'un autre, et d'un autre, et d'un autre. Il y en a un qui, devant ce spectacle n'a pu se retenir; il a éjaculé sur votre visage quand il s'est retirer pour faire place à un autre. Ceux qui me tiennent sont remplaces par ceux qui sont déjà passe dans votre bouche, histoire qu'ils en profitent aussi. Vous avez eu le temps de les conter : 9. Ils sont neuf a être venu explorer votre bouche. Vous avez la mâchoire endolorie. Les cheveux qui vous font mal. Mais au fur et a mesure il y a une espèce d'alchimie qui se fait en vous.

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Alchimie du a la chaleur, aux odeurs de sexe, de transpiration acres, et du sperme qui s'est écoulé lentement du front en passant par l'arrête du nez et qui poursuit sur l'ourlé de vos lèvres constamment ouverte et remplies pour finir sur votre menton et couler en perle sur vos seins. Vous n'avez pas mal, vous êtes dans un état second, comme hypnotisée, anesthésiée. Une fois qu'ils sont passés dans votre bouche, la femme se met devant vous, toujours vous tenant les cheveux. Elle déboutonne son short, le baisse et vous plaque la bouche sur sa toison noire. Elle vous ordonne de la lécher. D'une langue malhabile, engourdie, vous cherchez comment faire. Vous dardez votre langue, elle entre en contact avec un petit bouton rond, chaud et humide. Vous vous activez dessus. L'alchimie du parfum et de la moiteur joue de plus en plus, vous trouvez cela presque agréable. Ensuite elle vous relève, vous embrasse à pleine bouche. Mais ce n'est pas fini. S'ils n'ont pas tous jouis dans votre bouche, c'est qu'ils vous réservaient une suite. Debout, la femme vous fait vous plier en deux. La un des hommes s'approche de

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vous et vous pénètre le sexe. A votre grand étonnement il est mouillé à outrance. Il rentre en vous sans douleur. Puis un autre et un autre. Certain préfère prendre votre cul, qu'ils bourrent consciencieusement, avec force. Vous ne pouvez vous empêcher de pousser des petits gémissements. Malgré votre situation votre plaisir commence à venir. La femme s'en rend compte, elle sourie. Dans son français, elle vous traite de salope, de chienne en chaleur et pour finir elle vous crache dessus. Vous ne savez pas si vous êtes en colère ou un petit peu contente de vous sentir prise comme une bête, comme un objet de tous les désirs. Le vôtre en tout cas est la, discret, n'osant pas l'avouer; mais votre chatte mouillée et repus, votre cul empli en témoignent. Quand tout le monde a limé votre chatte, fourré votre cul, elle vous fait ensuite mettre à genoux. La les neufs se masturbent sur vous. La femme vous tient la tête pour que vous ne perdiez pas une goutte du spectacle de ce sperme qui va se rependre sur vous. De longs jets de sperme brûlant vous fouettent les seins, le visage, les lèvres. Il dégouline lentement sur votre ventre.

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Vous êtes couvertes de traînées blanchâtres, avec toujours cette odeur qui vous enivre. Quand ils ont tous souillé votre corps la femme se penche vers vous, vous embrasse une dernière fois avant de baisser son short et d'uriner sur vous pour vous laver. Elle récupère sa ceinture, se rhabille, tourne le dos et vous laisse la a genoux trempée. Un dernier coup d’œil et un grand éclat de rire. Sous le soleil de ce cul de sac le spectacle que vous offrez est étonnant. A genoux, vous sécher, immobile. Hésitant entre la colère et la satisfaction.

Ma premiere aventure libertine.

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Tout d’abord, je me présente rapidement : je m’appelle Julie, j’ai 43 ans, je vis en couple. Ch. (mon homme) ne se doute de rien, mais je ne lui suis pas fidèle. En fait, j’ai commencé à le tromper au bout de trois ans de vie commune (cela fait neuf ans que nous sommes ensemble). Le souci, c’est que j’ai pris goût à ces aventures sexuelles qui fait que j’ai déjà couché avec plusieurs hommes différents. D’abord des anciens copains, un ancien collègue de travail, ensuite le patron de Ch. et même des inconnus rencontrés sur le net ! Même si j’avoue avoir honte de rendre Ch. cocu, toutes ces histoires me permettent de relancer ma libido et de sauter sur lui beaucoup plus souvent qu’au début de notre histoire, et ce n’est pas Ch. qui s’en plaindra ! Un soir, début Juillet, je me suis décidée à aller faire un tour toute seule dans un club échangiste à trente kilomètres de chez

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moi, d’abord pour me rincer l’œil, car j’adore regarder les gens faire l’amour, et peut-être pour prendre mon pied sauvagement avec un inconnu. Le jour J est enfin arrivé. Ch. ne rentre pas ce weekend, il est dans le Sud, en déplacement jusqu’à mardi, et mes enfants sont en vacances chez leur grands parents... J’ai consulté le site du club, les pantalons sont interdits pour les femmes et nous avons l’entrée gratuite jusqu’à minuit. Je passe une heure dans ma salle de bains à me maquiller lourdement, faux cils et rouge à lèvres fuchsia qui feront ressortir mes yeux verts. Je suis châtain clair mais j’ai décidé de porter une perruque couleur noir corbeau histoire de passer incognito. Nous sommes au mois de Juillet, j’enfile donc des bas noirs qui tiennent sans portes-jarretelles et une mini-jupe qui couvre tout juste le haut de mes bas lorsque je suis debout. J’enfile quand même un minuscule string noir histoire de retenir un peu ma mouille quand je serai trop excitée. Pour le haut, j’ai acheté spécialement un bustier de satin rouge qui s’agrafe sur le

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devant et qui rehausse admirablement bien mon 85 B. Je n’ai pas été très gâtée par mère Nature, mais comme j’ai la taille très fine, cela contraste assez bien. Pour finir, des faux ongles rouges et mes escarpins à talons aiguilles, et me voilà plus sexy que jamais, Ch. n’en croirait pas ses yeux ! Je pose devant le miroir en essayant de m’accroupir et de me pencher afin de voir comment ma jupe remonte et je constate que je suis vraiment à la limite de l’indécence. J’enfile un manteau long au cas où je tomberais sur un voisin en sortant, et glisse un préservatif dans mon sac à main pour le cas où. Il est maintenant vingt-trois heures trente, le parking du club est presque totalement rempli et je trouve une place assez éloignée de l’entrée, tant pis. Je presse le pas en traversant le parking qui semble désert et arrive seule devant l’entrée. Soudain, un homme arrive en courant : — Mademoiselle, s’il vous plaît, cela vous dérangerait de me laisser vous accompagner juste pour l’entrée ? Je le regarde, très surprise. Il a l’air plutôt pas mal malgré l’obscurité, grand et large

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d’épaules.

Je

lui

demande

alors

:

— Pourquoi ? — Les hommes seuls doivent régler une entrée plus chère, 200 € la soirée, alors que c’est moitié tarif si l’on est accompagné d’une dame. Je vous promets de vous laisser tranquille pour le reste de la soirée, c’est juste deux minutes de votre temps que je vous demande, à moins bien sûr que vous attendiez quelqu’un d’autre ? Je réfléchis un instant, et il me regarde alors avec des yeux qui me transpercent le cœur : — C’est d’accord, d’ailleurs je vous avoue que c’est la première fois que je viens et que je suis un peu intimidée. — Merci beaucoup, je me ferai un plaisir de vous faire visiter les lieux en tout bien tout honneur, si vous le désirez bien sûr. Il pousse la porte et me laisse passer devant lui, ce qui me laisse le temps de sentir son parfum et de le regarder plus attentivement, il est vraiment pas mal du tout. Il règle son entrée à l’hôtesse et nous nous débarrassons de nos manteaux, j’apprécie le fait qu’il ne me déshabille pas

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du regard immédiatement, car je me sens soudainement incroyablement pudique dans ma mini-jupe. La première salle est constituée d’une piste de danse assez réduite et de plusieurs bars dispersés un peu partout. Des couples dansent langoureusement en se touchant et se frottant les uns contre les autres, mais tous semblent encore habillés. Moi qui m’attendais déjà à les voir se sauter dessus comme des bêtes, je me suis fait des idées ! Mon guide me propose de boire un verre et de s’installer sur un canapé d’angle en velours. Je le suis et nous faisons ainsi plus ample connaissance. J’apprends qu’il est marié, je lui réponds que moi aussi, qu'il a 62 ans et qu'il s'appelle Michel. Nous discutons environ pendant une heure, puis il me propose d’aller faire un tour dans les autres salons. Nous descendons d’un étage et je le laisse me prendre la main pour nous faufiler parmi la foule. Je vois deux femmes qui s’embrassent avec passion alors que deux hommes les regardent. Un peu plus loin, un autre homme est allongé dans un fauteuil et se fait sucer par deux femmes

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en

même

temps.

Il y a aussi plusieurs petites pièces avec des lits, les unes ont des rideaux transparents tirés et les autres sont fermées par des portes coulissantes. Michel m’explique qu’il est interdit d’ouvrir une porte fermée sauf si l’on y est invité, et que si l’on refuse une invitation ou bien une approche, l’autre n’a pas le droit d’insister. Je commence à me sentir en confiance, et je pense que l’alcool m’aide à me sentir à l’aise. Je sens la main de Michel remonter et descendre dans mon dos dans une légère caresse. Nous nous installons dans un fauteuil et je me laisse aller contre lui. Face à nous, une femme est assise les seins nus dont chaque téton est sucé par un homme. Elle gémit très fort et écarte sans aucune pudeur les cuisses. Une femme vient s’agenouiller devant elle et lui retire son string. Je suis comme envoûtée. La main de Michel remonte sur ma cuisse, il m’embrasse dans le cou, je lui facilite le passage en écartant les jambes, et il atteint enfin mon clitoris tendu à travers le string.

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Je ne peux m’empêcher de regarder la femme qui jouit à répétition, un homme a remplacé la femme entre ses cuisses et la besogne violemment. Je sens l’orgasme monter en moi, et je me jette littéralement sur la braguette de mon partenaire. Je m’agenouille devant lui et avale son sexe d’un trait, je vois la surprise sur son visage, il ne s’attendait pas à me voir ainsi déchaînée ! Son sexe est énorme, aucun poil, je le pompe tellement fort qu’il m’accompagne en bougeant le bassin. Ses mains se crispent dans mes cheveux et j’en perds presque ma perruque. Soudain, une main se glisse sous ma jupe derrière moi et je n’ose pas me retourner. Michel a fermé les yeux et ne remarque pas la présence d'un autre homme derrière moi. Je continue, enhardie plus que jamais par ces gros doigts qui me fouillent le vagin, je lèche les couilles bien remplies, remonte le long de sa bite et enfourne le tout. Michel est au bord du supplice, et au moment où il ouvre les yeux et voit l’homme derrière moi, il crache enfin tout son foutre sur mon visage...

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Il me relève et je m’installe à califourchon sur lui, mon sexe est trempé de mouille et je retire mon string que l’inconnu a descendu sur mes chevilles. Bien sûr, celui-ci a disparu. Dommage, car je suis dans un tel état qu’il aurait pu me prendre sur-le-champ. Michel m’embrasse et goûte son sperme dans ma bouche, je me frotte contre son sexe ramolli qui ne tarde pas à durcir à nouveau. Nous décidons d’un commun accord de changer d’endroit, il se rhabille et nous traversons la salle. Nous arrivons dans une nouvelle pièce où trône une piscine hors du sol avec des vitres, de sorte que l’on peut voir ce qui se passe sous l’eau. J’aperçois une femme assise nue au bord, les jambes dans l’eau alors qu’un homme lui lèche la chatte. Un couple fait l’amour dans l’eau, et l’on peut voir les seins énormes de la femme s’écraser contre la vitre sous les assauts de son partenaire. Nous prenons place sur un matelas au bord de la piscine et Michel commence immédiatement à me sucer le clitoris. Je

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place mes pieds sur ses épaules et me laisse envahir par sa langue. Je gémis de plus en plus fort, à tel point qu’une femme vient m’embrasser et me pince les tétons à travers mon haut. La jouissance arrive enfin et je me sens emportée dans un tourbillon de plaisirs. Michel se déshabille alors complètement et me pénètre d’un coup de reins, j’entoure sa taille de mes jambes puis nous roulons sur le côté, et je me retrouve sur lui. Je fais durer le plaisir en ralentissant le rythme de mes hanches, et je vois la femme qui m’a embrassée revenir vers nous. Michel lui fait un clin d’œil et elle prend place face à moi en remontant sa jupe au-dessus de son visage. Elle me sourit et commence elle aussi à gémir rapidement, ses mains s’activent sur mon bustier qu’elle dégrafe de haut en bas. Nous nous embrassons profondément, je malaxe ses seins lourds, tire les tétons qui sont très gros par rapport aux miens. Je n’ai jamais touché les seins d’une femme et cela m’excite terriblement. Je les presse l’un contre l’autre et lèche le sillon du milieu. Ma partenaire crie de plus belle

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et excite de sa main mon clitoris. Je mouille aussi terriblement, et chaque pénétration de Michel s’accompagne d’un joyeux clapotis. Ma partenaire décide d’échanger nos places et Michel nous laisse prendre les choses en main, visiblement ravi de la tournure des évènements. Je prends ainsi le visage de mon amant entre mes cuisses dégoulinantes et l’autre femme commence d’abord par le sucer comme pour le laver de ma mouille. Elle s’empale ensuite sur lui en me tournant le dos et en me présentant son anus. Je caresse ses fesses et c’est alors qu’elle me demande ouvertement de lui mettre mon plus gros doigt dans le cul. Je suis tellement excitée que je m’exécute sans réfléchir, je lèche mon majeur et lui enfonce sans ménagement dans l’anus. Nous voilà toutes les deux en train de jouir en criant, et je n’ai même pas remarqué que trois hommes nous entourent et se branlent en nous matant. L’un d’eux s’approche de moi et m’interroge du regard, j’humecte mes lèvres en signe

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d’approbation et il promène son gland violacé sur mon visage. Je lèche, suce, avale presque entièrement ce gros sexe qui bande pour moi, et de ma main encore libre je masse ses couilles pleines et les fais rouler dans ma paume. Le type pousse des grognements de plaisir et accélère ses mouvements du bassin, il me dit : — Je viens, je viens, vas-y ma salope, avale tout mon foutre ! Je sens un premier jet chaud gicler contre mes amygdales, suivi de suite d’un second que je peine à avaler et d’un troisième qui me coule sur le menton. J’adore le goût légèrement salé et l’odeur du sperme, je termine mon travail correctement en léchant la queue encore dure alors que ma collègue jouit comme une folle toujours empalée sur Michel et avec mon doigt dans l’anus. Un des hommes qui nous entourent s’approche à son tour et vient m’embrasser en léchant encore le sperme sur mon menton. Il me relève et j’abandonne Michel qui a lui aussi éjaculé et qui reste allongé alors que l’autre fille le

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suce. Je suis l’homme qui m’emmène dans la piscine. Je suis à présent complètement nue et j’ai retiré ma perruque, mes cheveux sont attachés en queue de cheval. L’eau est chaude et je me laisse flotter à la surface sur le dos. Mon nouveau copain me suce les tétons qui ne cessent de pointer et qui sont devenus rouges à force d’être malmenés. Je m’accroche à lui et l’encercle de mes jambes, son sexe me pénètre instantanément. Il me soulève en rythme et je l’aide en m’appuyant sur ses épaules, je vois qu’il commence à fatiguer et je m’éloigne en l’entraînant par la main vers le bord. Une femme est justement en train de se faire brouter la chatte par un homme et nous nous installons à côté d’eux. Je lui tourne le dos et me hisse sur les avantbras, il me pénètre par l’arrière en me tenant les hanches. Mes seins frottent contre le carrelage rugueux, ce qui m’excite d’autant plus et me fait accélérer le mouvement. Je bute comme une enragée contre les couilles de mon partenaire sous l’eau, celui-ci me traite de grosse vicieuse et sort de mon vagin pour me prendre par mon petit trou. Je me laisse faire, trop occupée à me concentrer

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sur mon plaisir, car la femme d’à côté s’occupe à présent de mes nichons d’une main, en les malaxant. L’orgasme tant attendu arrive enfin et je crie de plaisir alors que mon partenaire n’a toujours pas craché et continue de me limer l’anus. Il prend à son tour place sur le bord et je commence une fellation toujours debout dans l’eau. La femme à mes côtés rentre dans l’eau et m’arrache presque la queue de la bouche pour l’enfourner dans la sienne. Elle suce avec une ardeur et une frénésie digne des plus grandes actrices pornos. Je profite de ce moment de répit et me place derrière elle pour lui tripoter les seins. Sa poitrine qui doit faire au moins du quatre-vingt-quinze D déborde largement de mes petites mains. Je lui tire et pince fortement les tétons et elle gémit la bouche pleine de la bite de notre homme. Ses fesses frottent contre mon pubis et je glisse une main entre ses lèvres pour trouver son clitoris. Elle écarte immédiatement les cuisses et je glisse deux doigts dans son vagin et alors que je la fourre, je sens le jet chaud d’urine qu’elle lâche dans l’eau de la piscine. Je frotte ma main à plat sur son bouton gonflé en lui murmurant à l’oreille :

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— Tu n’es qu’une cochonne, tu as pissé dans l’eau de la piscine comme une salope, tu mériterais que je t’encule pour te punir. Je pince fortement son clitoris et la voilà en train de pisser à nouveau et cette foisci je crois qu’elle se vide totalement, en plus, cette chienne. Je donne des coups de boutoir contre son cul qu’elle ne cesse de frotter en attendant quelque chose que je ne peux lui offrir et soudain notre homme crache enfin sa semence sur le visage de cette furie. Elle se retourne face à moi et me roule une pelle afin de me faire goûter le sperme. Je l’embrasse et continue de lui enfoncer presque ma main entière dans le vagin. Ses mains griffent mon dos et elle m’enfonce sa langue dans la bouche, je lui enfonce un doigt dans l’anus en même temps. Enfin, elle jouit en gémissant dans ma bouche et en contractant tous les muscles de son corps. Je suis épuisée. J’enfile un des peignoirs qui sont à disposition et retrouve Michel qui s’est rhabillé et m’attend avec mes vêtements au bar. Il me regarde avec malice et me demande si j’ai pris mon pied. Je lui réponds que oui et que je souhaite à présent rentrer chez moi.

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J’enfile ma jupe et mon bustier et je remarque que mon string a disparu, tant pis pour moi. Il me raccompagne aux vestiaires et nous récupérons nos manteaux. Arrivés à ma voiture, il me remet un bout de papier avec son téléphone pour le cas où je souhaiterais le revoir. Après un baiser très tendre, je quitte les lieux dans un semi-état de somnolence, bien décidée à aller me glisser dans mon lit au plus vite pour me remémorer les évènements de cette folle soirée. Chère Julie, première partie: les

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retrouvailles

On était au resto, pour ce qui se dessinait pour être une soirée plutôt standard. Or, pendant le souper, une jolie brunette s’arrête près notre table en s’exclamant : « Annie, est-ce que c’est bien toi? » Il s’agissait de Julie, sa co-chambreuse à l’université il y a maintenant plus de 12 ans. Elles ne s’étaient pas vraiment revues depuis. Elle se joint à nous pour le reste du repas. Après le dessert, on se dirige vers un pub, question de continuer à jaser. Pendant la soirée, lorsque Julie a besoin d’aller faire un tour au petit coin, Annie me glisse à l’oreille qu’elle et Julie avaient déjà eue des relations sexuelles à l’époque… Évidemment, cette révélation me laisse bouche bée. Julie nous invite chez elle. Annie répond par l’affirmative… Un scénario se dessine dans ma tête, ce qui me procure une érection. Elle nous donne son adresse et on se sépare. Dans le stationnement, en se dirigeant vers l’auto, Annie prend un vilain plaisir à me raconter qu’elle avait déjà léchée la chatte épilée de Julie. Je n’en peux plus! Elle de demande de m’asseoir sur le siège arrière. Puis,

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profitant de mon érection, elle me fait une fellation, « Question de décharger le fusil », me dit-elle. Chez Julie, on jase, on boit, et on rigole. Julie décide de mettre de la musique rythmée; les filles dansent, moi je reste assis sur le sofa. Je n’aime pas danser. Mais j’Admire le spectacle car les filles bougent bien; elles se trémoussent, se font aller le bassin, parfois même elles se frôlent… Puis le rythme change; c’est maintenant un slow…Les filles se collent… Les mains se baladent sur les bras, sur les épaules, dans le dos… Même sur les fesses… Il y a même un moment où leurs lèvres se frôlent… Annie glisse un mot à l’oreille de Julie. Cette dernière se met à rire. J’avoue ne pas trop comprendre. Ma copine s’éclipse alors pour aller aux toilettes. Julie en profite pour s’asseoir près de moi. « Comme ça, Annie t’as raconté nos petites fresques olé-olé à l’université ?» Je ne sais quoi répondre; en plus, je rougis comme un homard. « Elle m’a aussi raconté que tu avais bien aimé, qu’elle avait même dû te faire une pipe afin de s’assurer que tu aurais du sang ailleurs que dans ta queue… » dit-elle, sourire aux

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lèvres. Pour ma part, je commence à transpirer. Elle glisse ensuite sa main sur ma cuisse, et s’en va caresser mon entrejambes. « Et puis? » demande Annie à l’entrée de la pièce, me faisant sursauter par le fait même. « Lui reste-t-il de l’énergie? » « Je crois que oui », lui répond Julie avec complicité. Annie se glisse entre me jambe et détache mon pantalon, puis le retire. Je me laisse faire, abasourdi par la situation… mais follement excité. Elle sort ma queue de mon caleçon et se met à me branler tranquillement de la main. « Je confirme que c’est encore bien dure » confie-t-elle, puis elle se penche pour mettre sa bouche sur mon membre bien dressé. Pendant ce temps, Julie s’est remise à danser sensuellement au centre du salon, me dévisageant du regard, sourire aux lèvres. Elle glisse doucement ses mains sur son corps, finit même par soulever sa jupe et caresser son sexe par-dessus sa culotte. Malgré le fait que j’ai éjaculé quelques heures plus tôt, je sens l’orgasme venir. Annie accélère la cadence et je lui jouis, pour une deuxième fois ce soir, dans la bouche. Elle nettoies délicatement mon membre avec sa langue puis se retourne vers Julie : « Voilà, on est quitte. » Puis

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elle me fait signe; il est temps de partir. Sans trop comprendre, je le suis. Sur le trajet du retour, elle refuse de m’expliquer. À la maison, elle se déshabille, se couche sur le lit, ouvre les cuisses et me dit : « Chéri, c’est à mon tour! » Et j’obéi avec joie.

En attendant l'hôtel

J'arrive à Québec en milieu d'après-midi, et comme ma chambre d'hôtel n'est pas tout à fait prête, j'arrête au sauna qui est à 3 coins de rue et je vais me prendre un casier, en espérant trouver quelque chose d'intéressant pour combler mon appétit d'ici à ce que je puisse aller prendre ma chambre. Alors, je me déhabille, je mets ma serviette, et je commence à faire le tour. Pour te donner un visuel, il y a 4

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étages

différents:

- Le sous-sol, où on retrouve les casiers et deux petites salles isoloirs avec portes battantes, où il y a dans chacune d'elle une télé qui passe des films gays. - Le rez-de-chaussée, où on entre. Il y a un coin pour relaxer avec une télé qui passe des programmes réguliers, ainsi qu'un endroit avec bain tourbillon, bain vapeur et sauna. On peut aussi acheter des jouets sexuels si on veut. - Le 2e étage, où on trouve la majorité des chambres, ainsi que des douches. Parfois, en marchant dans les couloirs, on peut voir la porte de certaines chambres qui sont ouvertes, avec un gars couché nu, et s'il nous intéresse, on se montre un peu, et il nous fait signe s'il veut ou non. - Le 3e étage est là où l'action se passe principalement. Il y a quelques chambres, mais surtout, il y a un gloryhole où on peut se mettre et sucer les queues qui se pointent (mais quand c'est peu achalandé, c'est plate, car on peut attendre longtemps), un coin plus sombre où on peut tripper discrètement, et un coin télé XXX, avec 2 télés qui passent des films de

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cul et une double banquette, comme un escalier, où on peut s'asseoir ou se coucher et où il y a parfois de l'action. Alors, je commence à faire le tour tranquillement, je regarde au 2e étage, rien de spécial, puis je monte au 3e, je vais faire un tour dans le coin des télés pour voir s'il y a un ou deux gars qui sont là en train de regarder des films... Je regarde dans le coin, et c'est une véritable baise qui se passe... y'a un gars couché le long du mur, il est un peu corpulant mais a une très belle queue, au moins 7 pouces et demi bien large. Il a devant lui un autre gars à 4 pattes qui est en train de le sucer vraiment comme une salope, t'entends les bruits de bave et de succion quand il prend la queue du gars en pleine bouche. Il a le cul bien ouvert et est en train de se faire préparer l'anus par un 3e (moins bien membré et moins intéressant pour moi), et se fait crosser aussi entre ses jambes; sa queue est au moins aussi longue que l'autre gars, et encore plus large à première vue. Alors, je vois tout ça se dérouler devant moi et ça m'excite au plus haut point, donc je laisse tomber ma serviette pour qu'ils puissent voir ma queue bien bandée, et

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comme la queue du gars qui est à 4 pattes est libre, je m'approche pour la prendre dans ma main et pour la branler, puis je la mets dans ma bouche aussi loin que je peux... hummmmmm qu'elle était bonne, et elle remplissait très bien ma bouche. Et je pouvais sentir qu'il aimait ça, car je l'entendais sucer l'autre gars encore plus vite et encore plus fort, et le son qu'il faisait en le suçant me faisait bander encore plus fort... En plus, je pouvais voir le 3e gars lui préparer l'anus et se mettre un condom pour l'enculer! Je continue de sucer le gars qui est à 4 pattes, et là, le gars qui est en train de se faire sucer par le gars que je suçais me fait signe de m'approcher de sa bouche, ce que je fais... Alors, il prend ma queue et commence à me sucer, et hummmmmmmm, il sait s'y prendre, il me suce vraiment bien et fort, et c'est en plein comme j'aime. En plus, je suis bien placé pour le voir en train de se faire sucer et ça me fait bander encore plus fort, et là, je vois le 3e du trio mettre sa queue dans le cul du gars à 4 pattes, alors ouffffffffffff, ça commence à être vraiment cochon! Comme le gars est en train de se faire enculer, je profite de ce moment pour

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remettre sa belle grosse queue dans ma bouche, et je le suce avec appétit, j'ai vraiment le goût de sa queue chaude... je sens les couilles de l'autre passer tout près de mon visage pendant qu'il encule, et ça m'excite, et d'entendre les bruits de bave et de salive pendant qu'il suce me stimulent encore plus... J'essaie de faire attention, car je sens que ça pourrait me faire venir, et je ne voulais surtout pas que ça se retrouve sur une serviette, je voulais qu'ils en profitent ces cochons-là! Oufffffffffff Finalement, je me suis mis avec le gars qui se faisait enculer pour sucer avec lui son partenaire, car je voulais goûter à sa grosse queue moi aussi, et lui jouait avec la mienne et faisait monter mon plaisir à moi. Finalement, je n'en peux plus, je suis tellement excité que je ne peux plus me retenir et je sens l'éjaculation s'en venir... c'est à ce moment-là que le gars a arrêté de sucer son partenaire du début pour prendre ma queue dans sa bouche et me siphonner comme un pervers... j'ai joui comme un malade dans sa bouche et il a tout avalé comme une salope, avec les bruits qui venaient avec! ouffffffffffffffffffff... J'étais vidé mais contenté, et je les ai laissés pour qu'ils puissent continuer... j'ai

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pris une douche pour me laver et je suis parti pour aller à ma chambre d'hôtel qui était finalement prête.

11/10/11 01:31 PM 979 lectures faut pas rendre service !

Je rentrais en fin de week-end dernier sur la voie express menant de nantes à rennes après un court séjour en famille.

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J'étais seul dans ma voiture et roulais tranquillement pour rentrer sur la banlieue sud de rennes quand je fus intrigué au loin par un camion sur la bande d'arret d'urgence et un mec me faisant de loin des grands signes pour s'arretter... Habituellement, je m'arrette jamais pour prendre quelqu'un en auto-stop mais par curiosité, je décidais de ralentir quand même...histoire de voir ! Effectivement, le camion était sur le bas côté avec beaucoup de fumée qui sortait du capot ouvert et deux gars en train de l'ausculter... Je leur demandais ce qui se passait et ce que je pouvais faire pour leur rendre service. Ils me demandèrent si je pouvais les ramener chez un garagiste qu'ils connaissaient spécialise en camions.. Le premier monta devant côté passager et son collègue alla s'asseoir à l'arrière de ma voiture... Ils commencèrent à parler de leur boulot

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de chauffeur routier, de mécanique... A un moment donné, je sentais que mon voisin de droit discrètement frolait ma cuisse avec sa main mais compte tenu du gabarit, je me disais que l'étroitesse de mon véhicule expliquait ce frolement... Une bonne demie heure après, le passager arrière me demanda de m'arretter à une sortie pour soulager une envie pressante. Je leur rétorquais qu'à 2 kms de là, il y avait des toilettes prévues à cet effet mais ils me répondirent qu'ils n'en voulaient pas par soucis d'hygiène et que rien ne valait la campagne. Arrivé au fond d'un chemin, je me joignis à eux pour à mon tour soulager ma vessie... Bien évidemment, niveau mensuration, je faisais pale figure à côté d'eux... Le premier s'arreta d'uriner et se mit derrière moi pour me tapoter les fesses...ce qui me fir sursauter et faillit uriner sur mon pantalon baissé ! Il me demanda ce que je pensais d'eux physiquement en dessous de la taille, si je les trouvais bien "membrés" comme ils

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disent... Comparé à moi, c'est sur, on ne jouait pas dans la même division ! Ils m'avouèrent alors qu'en plus d'être collègues, ils étaient aussi gay et amants ! Je leur dis qu'étant tolérants, leur sexualité ne me dérangeait nullement vu que j'avais des amis gays dans mon entourage. L'un d'eux en profita alors pour mettre ses mains dans mon dos sur mes épaules afin de me mettre à genoux. Il bloqua ainsi ma position pour permettre à son comparse d'approcher son sexe de ma bouche... Je leur rétorqua que la dernière fois que j'avais sucé un mec c'était dans ma jeunesse et que cela faisait belle lurette. Celui qui prit ma main pour la poser sur son sexe me déclara alors que tout comme le vélo, avec un cours de révision, je réapprendrais à bien sucer... Ni une, ni deux, je me laissais faire et commenca à le masturber pour avoir un sexe bien dur devant moi qui termina dans ma bouche... Je sucais en essayant surtout de ne pas mordre... Le second demanda aussi sa part et ma bouche alterna alors sur les deux sexes... L'un d'eux se positionna derrière moi pour faire descendre mon jean et mon boxer et

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m'écarta les fesses pour lécher mon petit trou... Voyant mes fesses apprécier les léchouilles et mon anus palpiter sous les coups de langue, je sentis alors comme une trainée couler dans ma raie des fesses... Je lui demanda ce qu'il faisait : "t'inquiètes c'est juste ma salive pour humidifier ton petit trou!" Rapidement, je sentis quelque chose rentrer doucement, longuement et profondément dans mes entrailles... Mon sodomisateur me limait littéralement le fondement pendant que je continuais à sucer son partenaire... Au bout de quelques minutes, ils éjaculèrent l'un après l'autre dans ma bouche et mes fesses...

Je pris quelques kleenex pour essuyer m la rencontre surprise

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Ayant envis de m'adonner a la sodomie ,je decide de m'initier seul.Je me rends dans un sex shop pour trouver un objet de plaisir.Je ne savais que trop choisir ,le patron me demande alors si je veux de l'aide.Je luidis que je devrais trouver une objet qui me satisfait ,en m'empressant de lui dire qu'il est pour ma compagne...Le patron sourit est retourne a son comptoir ,je trouve l'objet du plaisir .Apres m'etre delectè avec mon achat que j'utilisais sans moderation ,je decide de retourner chez mon vendeur de produits de plaisir ,pour trouver un godemichet ressemblant a un vrai sexe d'homme ,dans le rayon je cherche et une personne a cotè de moi semble en faire de meme,mais cette femme me regarde avec amusement car elle m'a reconnu nous sommes voisin de pallier...La confusion ,la gene et un peu de honte me remplisse lorsque je la reconnais.Amuser elle me dit Tu aimes les godes et la sodomie je vois !! ne sachant que dire je baisse la tete et rougis un peu Je crois que tu n'as d'autre choix que de me suivre me dit elle avec autorité ,arrivé chez elle ,elle me soumit a son autorité me sodomisat des heures ..........et je continue

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a me rendre chez ma voisine qui a fais de moi son jouet...

15/10/11 08:07 AM 169 lectures et oui

Depuis peu le tiraillement de me travestir me reprend! Cochonne comme je suis , je viens de commander par internet des vêtement de femmes! Dessous,guêpières,bas,string,jupette, perruque...... Et la folie de me montrer ainsi est là ! Que du plaisir ! Mon vagin d'homme en bave déjà ! Et quelques jours plus tard ,enfin ma livraison arrive !!!!! Je ne tien plus je déchire l'emballage , je contemple mes achats ,je ne me suis pas trompé c'est bandant ,vite je passe sous la douche , je m'épile , me maquille ,et merde ou est la boite de maquillage , ouf dans ma précipitation elle était devant mes yeux et je ne la voyait pas ,fond de teint faux cils tout'y passe,perruque brune, enfin le plaisir d'enfiler ces bas ,et rabattre mon sexe entre mes jambes pour passer ce string ,mettre la guêpière , sans oublier

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de mettre mes faux seins ,passer ma jupette ras les fesses ,enfiler le bustier qui offre une vue sur mon décolleté et enfin les bottines a talons hauts , qui vont me faire onduler de la croupe a chaque pas , hum . Et me voici prête pour vivre mon fantasme! Je sort de chez moi ainsi vêtue de plaisir , et me dirige vers le parking , premier regard étonné des gens que je croisent ,cela m’excite ,je monte dans ma voiture , et part pour un moment d’errance ou je nargue ces femmes pudibondes ou jalouses de n’être pas regardées avec le même désir ! Oui le plaisir d’être en femme me fais jouir ! Je roule sans but ! Et ne sait comment j'en arrive a ce bar , me gare,et m'assoit a une table en terrasse , pose mon sac , en sort mon poudrier , le serveur s’approche et me dit que désirée vous madame , je commande un blue-mary ,je sens ces regards , qui me déshabillent, mon sexe , replié dans mon string , commence a ce durcir !Les regards se font plus insistants ,je leurs répond ,en croisant mes jambes , pour leurs faire voir me dessous , après avoir siroté mon verre , je me dirige a nouveau vers ma voiture !

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je me sens suivie !Mon vagin d'homme mouille ! Je m’engouffre dans ma voiture qu'elle conne ! il me suit , La p....va au cinéma

J'étais chez moi, choisissant avec soin mes parures, comme chaque fois que je sortais le soir en ville. Un corset de satin noir à 6 jaretelles sur lesquelles je fixe mes bas de nylon noir à coutures, rehaussés d'une large bande de dentelle de même couleur. Sur mes petits seins aux tétons percés d'un fin anneau d'or, je pose un soutien gorge à balconnet de dentelle noire qui rehausse ma petite poitrine. Ensuite un string ficelle avec un petit triangle de dentelle noire sous lequel je loge mon petit olisbos. J'enfile sur le tout une combinette de voile noir – nous sommes en hiver et le froid commence à s'installer – et je choisis ensuite, la tenue qui va recouvrir ces dessous froufroutants... Un cache coeur en mohair rose, qui libère ma gorge et fait ressortir ma poitrine, une jupe de voile bleu nuit à pois blancs qui s'arrête bien au-dessus de mes genoux, puis j'enfile mes escarpins, des stilettos de cuir fauve à lanières avec

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des talons aiguille de 13cm. Ainsi apprêtée, je m'asseois devant la glace de ma coiffeuse, pour terminer mon maquillage, choisir mes bijoux et peigner ma courte perruque blonde choisie ce soir. Je m'admire devant la glace, me trouve affriolante et bandante; je sens mon petit sexe tendre le voile arachnéen de mon string, mais je résiste à la tentation de le caresser, ne voulant pas briser cette douce excitation qui monte en moi durant ces préparatifs... Enfin prête, je mets mes papiers et mes clefs de voiture dans mon sac à bandoulière, choisis dans ma panière une étole de voile panthère que je nous doublement autour de mon cou, avant d'enfiler une paire de gants de cuir noir, rehaussés au poignet d'une fourrure de même couleur. J'enfile ensuite ma veste ¾ de fourrure, et noue autour de mon visage un carré Hermès rose et or, dont je ramène ensuite les pans autour de ma nuque pour un second noeud. Je suis prête ! Un dernier regard dans la glace de l'entrée, et je claque la porte, prend l'ascenseur et descend au parking rejoindre ma voiture. J'ai tourné un long moment ce soir-là, avant de trouver une place dans l'une des petites rues derrière le boulevard des

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Italiens. Une fois garée, j'ai remonté vers le boulevard en faisant claquer mes talons aiguille sur le trottoir, croisant des hommes esseulés qui me regardent avec désir, mais n'osent m'aborder. Je me dirige rapidement vers l'entrée du petit cinéma transformé en club privé, situé à quelques dizaines de mètres du boulevard, où je dois retrouver l'ami avec qui j'ai rendez-vous ce soir. Le patron, qui est à la caisse me regarde arriver. Il discute avec un homme en pardessus noir, qui se retourne et me sourit en me demandant si je suis bien Sylvia ?... Je réponds par l'affirmative, et prenant mon bras, il me fait alors des compliments sur mon allure,générale, me détaille visiblement sous le charme, puis me fait entrer dans la petite salle où la projection a déjà commencé... Nous nous asseyons au milieu de la salle, où quelques couples sont déjà enlacés, tandis que sur l'écran, une femme en bas noir se fait prendre en levrette par deux hommes très bien montés... “Ouvre ta fourrure et écartes tes cuisses” me glisse-t'il à l'oreille; j'obeis et retirant mes gants et mon foulard, Je relève ensuite ma courte jupe pour laisser apparaître le haut de mes bas et leur liseré de dentelle noire. La main de mon

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voisin se pose sur ma cuisse et commence à me caresser la part de chair nue entre la jaretelle et mon bas... Je commence à feuler doucement au moment où un couple vient soudain s'asseoir à ma droite et l'homme pose aussitôt, lui aussi, sa main sur mon autre cuisse. La femme à ses côtés a dégrafé la braguette de l'homme, et extirpé de son pantalon une queue déjà dressée, vers laquelle elle s'incline pour la prendre entre ses lèvres. De ses doigts, mon ami a dégagé mon petit sexe de son enveloppe de dentelle noire, et l'homme assis à ma droite l'a pris dans sa main pour commencer un léger va et vient destiné à le faire durcir... L'excitation monte lentement en moi, j'agite mon bassin et les doigts de mon ami se glissent alors sous mes fesses, écartent la ficelle du string et cherchent à pénétrer dans mon intimité. Il retire sa main, humecte ses doigts et retourne apprêter mon orifice culier de son index lubrifié. Je ronronne de plaisir sous cette double caresse, et sens qu'un second doigt à rejoint le premier pour détendre et écarter mon entrée... Je suis de plus en plus excitée, je sens que je deviens très salope, et prête à toutes les folies. Mon voisin se met soudain à jouir en longues

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saccades dans la bouche de sa compagne, aux lèvres toujours accrochées à son sexe. Elle lui caresse les bourses de ses ongles écarlates, comme pour l'inciter à entièrement se vider dans sa gorge. Puis elle relève doucement la tête, et nettoie de sa langue cette superbe bite au gland décalotté qui se dresse près de moi. Je me penche alors vers lui, et prend à mon tour son sexe entre mes lèvres pour éviter qu'il ne débande, sa main gauche continue de caresser mon sexe tendu tandis que son autre main vient se poser sur ma tête pour accompagner la caresse de mes lèvres sur sa hampe... Et je sens sa vigueur revenir doucement. Mon ami lui propose alors de venir nous suivre dans les toilettes du cinéma. L'homme acquièse d'un hochement de tête, et les doigts de mon compagnon toujours enfoncés dans mon cul, je redresse la tête, me penche alors vers sa compagne et pose mes lèvres sur les siennes... Nous nous embrassons goulûment, nos langues se frottent et je retrouve le goût du sperme qu'elle vient d'avaler dans ce baiser sensuel. Je me lève alors de mon siège, ma fourrure retroussée montrant les doigts de mon ami toujours fichés dans mon intimité,

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et nous partons ensemble vers la porte des toilettes qui se trouve au bout de la salle près de l'écran. Nous devons avoir fière allure, moi, fesses à l'air et mon ami me suivant la main toujours enfouie dans ma culotte... Des spectateurs nous regardent intéressés gagner la porte des toilettes qui s'ouvre en grinçant et nous descendons un petit escalier qui nous mène dans une petite salle carelée, peu éclairée sur laquelle s'ouvrent deux cabines pour l'instant inoccupées. Je me colle face au mur, et mon ami continue de me lutiner de plus en plus vivement, faisant tourner ses deux doigts pour écarter au maximum mes sphincters... J'entends la porte grincer à nouveau, et le couple qui s'était assis à nos côtés nous rejoint dans ces toilettes sordides. La compagne de l'homme s'approche de moi, et passant ses bras autour de mon cou, me ré-embrasse avec passion. Son compagnon s'est mis derrière moi, et je comprends qu'il s'apprête à me prendre. Mon ami retrousse complètement mon manteau de fourrure, et fait glisser le long de mes jambes gaînées de nylon noir, mon string de dentelle, qui tombe sur mes chevilles. L'autre homme a du se rapprocher car je sens alors ses mains se poser sur mes hanches, et un galet dur se

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présenter à l'entrée de mon petit “temple d'amour”. Il s'enfonce soudain fortement en moi, m'arrachant un râle lascif. Il s'arrête un moment, puis d'une profonde impulsion, s'enfonce complètement en moi. Je sens sa verge m'emplir totalement puis commencer à bouger en m'arrachant de petits cris de plaisir. Il me pillonne maintenant avec régularité et je bascule dans une excitation de plus en plus forte. Sa compagne a dénoué mon cache-coeur et de ses doigts manucurés la voici maintenant qui triture de plus en plus fortement mes tétons dressés de désir. Elle a découvert avec curiosité les anneaux qui les décorent, et y passant ses index, elle se met à me les étirer très violemment. Je ne peux retenir un cri mais tandis que son ami me sodomise avec la régularité d'un métronome, l'homme qui m'a donné rendez-vous se met soudain à me cingler les fesses avec sa ceinture... Je crie maintenant sans retenue sous l'effet conjoint des coups administrés, de la douleur qui irradie mes seins, et du plaisir qui me submerge sous les coups de boutoir de l'homme qui m'encule. La femme a laissé l'un de ses tétons, et s'est mise à caresser mon sexe dressé comme un étendard. Je sens que je vais hurler de plaisir,mais les mains de l'homme qui me

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sodomise se crispent soudain sur mes hanches, et je le sens soudain jouir en poussant un long feulement... Sa semence coule en moi, sur mes fesses et mes cuisses lorsqu'il se retire brutalement, et c'est le moment où je jouis violemment, aspergeant de longues saccades la porcelaine murale contre laquelle je suis plaquée... Je m'affaisse ensuite sur le sol, et découvre autour de moi, une demidouzaine de spectateurs qui nous ont rejoint et se branlent doucement face à moi.. “Ejaculez sur elle !” ordonne soudain mon compagnon, et j'ai à peine conscience, après ce formidable plaisir, de recevoir des saccades de foutre chaud, qui viennent s'étaler sur mon visage, mes cheveux et mon cou, que j'essaie de récupérer de ma langue avide de salope comblée...Puis il m'aide à me relever, couvre mes épaules de mon manteau de fourrure, et en claudiquant un peu, je le suis dans l'escalier qui nous ramène dans la salle de cinéma. Fantasme de jeune salope Auteur Anonyme

Ça fait maintenant quelques mois que je me travesti et j'ai rencontré une fille sur

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internet qui était intéressé à me rencontrer et à m'aider dans mon nouveau hobby. Elle m'invites chez elle une fin de semaine pour que nous fassons connaissance. Elle 37 ans célibataire vivans seule dans une maison de banlieu parfais pour moi, car j'ai besoin de discretion. Arrivé chez elle, elle m'acceuile chaleureusement avec un verre pour détendre l'atmosphère et pour commencer les choses sérieuses. Elle m'invite à sa grand chambre à coucher avec un grand garde robe walk-in avec une belle collection de linge et lingerie. Elle me sort une belle robe sexy avec un porte jartelle, des bas, et un soutif très sexy. Je vois aussi qu'elle à des perruques. Elle m'habille et me sors une paire de talon, m'enfile la perruque et ensuite me maquille pour que j'aille l'air de la vrai salope que je suis. Elle m'amène devant un mirroir et j'en crois pas mes yeux. J'ai vraiment l'air d'une belle salope. Je suis complètement dure sous ma jube et elle le vois bien. Elle me pousse sur le lit et commence à m'embrasser pleinement. Elle se frotte et

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m'agrippe le sexe en main. Je suis complètement inondé de pre cum tellement je suis excité. Elle me baisse ma culotte mi cuisse soulève ma jupe et commence une fellation d'enfer. Elle me prends jusqu'à la base. Elle continue tout en descendant vers me testicules et mon anus complètement rasé. J'aime me rasé le corps complètement. Je n'aime pas le poil. Elle m'enfonce un doigt tout en continuant sa fellation. Et puis deux doigt, jusqu'à trois et elle s'arrête. Elle retourne dans son placard deux secondes et ressors avec un strap on avec un dildo très réaliste qui dois faire 7 pouce et assez large. Elle s'enfile le strapon et me présente cet énorme sexe à ma bouche et ma prend la tête. C'est énorme j'ai de la difficulté à la prendre dans ma bouche tellement elle est grosse, mais je m'applique. Elle me fait la sucer et je suis complètement dure. Je sais ce qui s'enviens, elle prend du lubrifiant et m'en enduis mon petit trou et me faire me tourner à 4 patte comme la chienne que je suis. Elle en met sur sa belle queue et commence à me l'enfoncer doucement dans mon trou. C'est la première fois que j'ai un dildo dans les fesses et j'adore. Une fois enfoncé jusqu'à

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la base elle commence de lentement vas et viens tout en me prenndant par les hanches. Elle donne de plus en plus grand coup tout en me traitant de salope : oui je suis ta salope. Elle me masturbe en même temps jusqu'à ce que je viennes sous ses coups de bassin. Ensuite elle me prends en bouche en récolte les dernières goutes. Nous nous embrassons pleinement par la suite et en ouvrant les yeux je vois qu'un beau grand gars de 30 ans environ était nu dans le cadre de porte de la chambre nous regardans tout en se masturbant .... À suivre ... simone et sa belle inconnue

simone se sentait vraiment heureuse depuis que suzanne "sodome" était sa partenaire de jeux elle se sentait secrétement amoureuse mais n'en disait rien, et était-ce vraiment de l'amour ? quioiqu'il en soit, elle avait une liaison avec sa secrétaire depuis 3 mois et tout allait à merveille lorsqu'un jour, suzanne annonça, madame simone, la jolie personne qui avait oublié

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son morceau de tissu sur votre moquette me demande si elle peut monter vous voir ? oui sodome, faite là monter et disposez de votre après-midi ! jalouse, sodome acquiesa et donna son congé à sa maîtresse si madame simone à besoin de moi, pour n'importe quoi, je suis à sa disposition ! je sais, ja sais, sodome mais ca ira bien, merci la belle inconnue de la faute entra dans le bureau, toujours aussi magnifique, j'espère que tu ne partira pas aussi vite que la dernière fois ? ne t'inquiète pas, j'ai tout mon temps ! au faite tu m'avais demandé un service la dernière fois ? oui, je t'en avais parlé mais finalement cela c'est arrangé ! moi par contre, j'en ai un a te demander ! tu as vu ma secrétaire ? oui, trés jolie plante ! nous sommes amante depuis 3 mois, grace à toi, j'ai découvert le bonheur de l'homosexualité et maintenant elle est ma soumise ! ta soumise ? oui et a ce propos, j'aimerai connaître la soumission, je ne peux le faire avec elle car je suis sa patronne, je ne voudrai pas

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qu'un jour elle inverse les rôles, tu comprends ? oui, trés bien même ! mais pourquoi veuxtu que je te dresse ? parce que encore aujourd'hui, je ne cesse de penser à nos premières étreintes et je t'avoue que je t'aime follement ! je ne tiens pas avec sodome, ma secrétaire, être dréssée par elle telle une chienne que l'on emmène à l'abattoir ! avec toi oui, je veux tout subir car je t'aime profondément ! peux-tu faire cela pour moi, une fois au moins ? et tu veux faire ton initiation ou ? là, derrière cette porte ! ouvre pour voir ? hé bien mince alors, tu n'as pas perdu de temps ! tu es d'accord alors ? oui, déhabille toi tout de suite ! quoi, ici maintenant ? oui, tu veux que je te dresse oui ou non ? pardon, je le fais, simone se déhabilla lentement et se trouva complétement nue à la demande son inconnue elle lui avait fait retirer ses bagues, colliers et chaussures, elle était vraiment nue ! si jamais ta sodome entre, que dois-je faire ?

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tu l'as punie violemment ! elle ne devait pas être là ! d'accord, écarte moi tes cuisses salope, que je sente ton parfum qui ne m'a jamais quitté non plus, car je t'aime aussi simone, ma salope ! tu ne peux savoir comme tu me rends heureuse, mais au faite, quel est ton prénom ? gardons un peu de mystère et je te le dirai peut-être un jour ! et comment dois t'appeler en attendant ! appelle moi gomore et un jour peut-être, auras-tu pour amantes sodome et gomore ! pas mal du tout gomore, cela te vas bien ! gomore pris la main de simone et l'emmena dans le vestibule, là, elle l'attacha, poignées vers le haut aux deux paires de menottes faites pour ca ! le fouet d'un seul coup cingla dans la pièce, simone allait être servi, les coups pleuvaient sur son bassin, ses fesses et son dos, bientot son corps ne fut que meurtrissures et pourtant elle en réclamait encore, finalement, gomore la détacha , la fit mettre a quatre pattes et lui mit un collier que l'on mets plus aux chiens, ou aux chiennes, une sangles descendait de son coup à sa

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chatte pour remonter en une ceinture au bassin, à la hauteur du sexe, cette sangle était munie de picots qui avaient la mission de rentrer dans le sexe lorsque sa propriétaire se redressait ! gomore connaissait bien ce genre de traitement, merveilleux et pénible à la fois ! tenue en laisse et avec un martinet, gomore l'a promenait dans tout l'étage de l'immeuble ! simone s'était plainte avec vigueur et refusait d'accéder à cette folie, si on l'a voyait !! mais gomore la faisait chanter et fit mine de tout arréter et de la plaquer sur le champ ! simone, en larmes s'exécuta et se dit que finalement, il n'y avait que sodome qui pouvait sortir de l'ascenseur ! le corps meurtri, elle dandinait à quatre pattes dans les couloirs de sa société ! tout à coup l'ascenseur arriva, elle eu peur, vraiment peur, gomore, afin de lui faire voir qui était le maître redoublait de coups de martinet simone suppliait d'arréter et avait peur aussi que gomore, son premier amour, s'en aille finalement, l'ascenseur passa son chemin et gomore ramena au bureau son esclave à quatre pattes !

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ce soir simone, je suis invitée à une séance entre femmes et nous pouvons amener notre esclave, voudrais tu y participer avec moi ? non, non, si on me reconnais ? pas de danger, nous serons quatre couples et nous serons masqués toutes les deux ! pas les autres ? non, je fixerai mes conditions ! alors ca te dirai de venir en tant qu'esclave, dans le parfait anonymat ? comme tu es en ce moment ? ca devrai être exitant, et je pourrai faire d'autres connaissances aussi, pourquoi pas ! oui et tu risqueras aussi de te faire abuser, ligotée, enchainée, fouettée aussi simone ! mais, moi aussi je pourrai ? oui bien entendu, alors c'est d'accord ? surtout que je suis certaine que tu connais de braves personnes, mais qui en réalité, sont des femmes extrémement pervertes, rien que pour voir cela ca marche, totalement et maintenant que fais t'on ? je te ramène à la niche, tu vas faire tes besoins, je vais t'essuyer et tu te rhabilleras ! 9/9/11 07:53 AM 423 lectures simone et sodome

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simone était assise sur le coin du bureau, jambes croisées trés haut, les mains en appui en arrière, elle avait découverte cette pose suggestive grace à sa belle inconnue du déjeuner, tout juste pouvait-on apercevoir la fine raie blonde de son duvet qui prenait pourtant naissance sur les cotés de sa vulve en remontant étroitement sous le nombril son port était gracieux et, les deux centimètres bouclés de sa toison réhaussait en un port majestueux le merveilleux bassin de simone pour 1m64, simone portait gracieusement ses 59 kgs ce qui rendait un panorama difficilement insensible sur son bassin avec de trés bonnes cuisses, simone était décidément bien charpentée, à peine un peu de cellulite mais qui donnait à cette femme, en pleine possession de son corps, une maturité incontestable. face à elle, sodome son esclave, une jolie secrétaire de 53a, une poitrine de 95c, un tour de hanches de 38, elle mesurait 1m66 pour un poids de 61 kgs telle une déesse, sodome se laissait oter le fin chemisier et sa jupe. le tour de hanche était si étroit que madame simone

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eu un peu de peine à faire glisser la fermeture éclair. délicatement elle fit glisser la jupe de sodome et deux énormes globes commençaient à respirer plus celle-ci déscendait. ses dessous était merveilleusement prononcées, la detentelle de soie rose venait éffleurer les tétons, joliment dréssés et la fine dentelle, d'un rose transparent, qui servait de cache sexe, était réhaussée par le roux pubien de sa propriétaire, une trés fine dentelle se perdait dans cet énorme sillon tant son dérrière semblait gonflé. une jeune femme de vingt cinq ans aurait envié se port altier, ces merveilleux contours, ses escarpins fuschia, ouverts, donnait à cette femme du haut de ses 12 cm de talons, une invitation au viol, sodome avait été bien baptisée mar sa maîtresse, et celle-ci comptait bien en profiter madame simone se leva du bureau, dégrafa le soutien gorge et baissa la culotte de sodome cote à cote, elles pouvaient, toutes les deux, froler le corps de l'autre, sentir cette peau, la douceur de leur duvet respectif et aussi, la chaleur dégagée par leur vulve. madame simone, un peu troublée, repris

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les rênes du couple, elle invita séchement sodome à se pencher sur le bureau, a plus tard pour une autre histoire madame simone

simone ne voulait en aucun subir l'initiation de l'homosexualité par sa secrétaire, sodome, qui elle, était une ravissante gouïne depuis des lustres. elle était patronne et comptait le rester sur tout bien sur de temps à autre il faudra bien qu'elle retire des leçons de la façon dont se comportera sa salope de secrétairemais, en attendant, c'est elle qui décidai et décidera sodome, nue et ayant gardé ses escarpins était à présent penchée sur le bureau de madame simone, les cuisses écartées, la profondeur du sillon et je diamètre de son joli trou fit un peu tourbillommer simone, cette vue était majestueuse ! sans un mot, elle titilla l'oeillet avec son stylo en or ! sodome, j'aimerai que vous me fassiez des contractions anales afin de vous introduire ce stylo ! bien madame simone, au vu des muscles qui se tendaient sur

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ses cuisses, simone vit que sodome y mettait toute son énergie, son oeillet gonflait à chaque contraction, le stylo était à présent bien enfoui et sa patronne jouait avec le coté brunâtre du stylo enchantait la patronne, bientot, elle le retira, demanda à sodome de se retourner, tourne toi sodome, maintenant lèche moi entièrement ce stylo ! sodome était aux anges, faire cela devant sa patronne la comblait, elle se frottait, sur l'angle du bureau, l'anus tout en mangeant avec passion ce fruit juteux sortit de ses entrailles, montre moi ce que tu lèches sodome, porte le à ma bouche délicatement ! voilà ainsi, ta crème est succulente et j'aimerai la retremper dans ton bol et jouir de cette épaisse confiture de marron dans la bouche, en as-tu encore à en proposer à ta maîtresse sodome ? o oui madame simone, j'en ai encore tout plein si vous le désirez ! et quel cul tu as ! tu as déjà vu ton ouverture sodome ? non madame simone, pas encore et pourtant cela fait des années que je fais cela ! es-tu seule en ce moment ? complétement libre et j'aimerai, si vous le

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voulez bien, être à vous autant de fois qu'il vous plaira ! bien sodome, bien, j'aime t'entendre me parler ainsi, toute dévouée, enfin, dorénavant je peux compter sur ma petite traînée au bureau ! au bureau et ailleurs madame simone, où, quand, comme il vous plaira, je ne suis pas fière lorsque j'appartiens à quelqu'un, et avec vous madame simone, je vais tout faire pour exaucer vos souhaits, dores et déjà je vous appartiens entièrement, sodome tu vas t'accroupir devant ma chatte, je vais m'asseoir sur le bureau et je vais me vider sur toi, va me chercher la nappe en plastique que nous mettons sur le bureau lorsque j'invite les clients à prendre l'apéritif ! va ! bien madame, sodome revint avec, étala la nappe au pied du bureau en prenant soin de bien l'étaler, bien sodome car lorsque je voudrai cela, tu feras pareil de suite, j'aime me libérer sans retenue, et si j'urine ailleurs que dans ta bouche, sur tes seins par exemple ou ton corps entier, je ne voudrai pas en mettre sur la moquette ! peut-être puis suggérer à madame simone d'en acheter une plus grande et plus épaisse au cas ou madame voudrai faire

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plus que son pipi ! oui, je te conseille de faire cela dés cet aprés-midi dorénavant je ne veux plus passer devant ton bureau pour aller aux toilettes sodome, tu seras mes toilettes, je n'attends que ca madame, je n'attends que ca !! simone fut sur un nuage lorsqu'elle se vida sur sodome, dorénavant, elle avait une putain pour elle seule, jour et nuit, son aventure commençait bien, elle fit même se tourner sodome, qui, assise sur ses cuisses, offrait un dos admirable, simone était ravie de dominer cette superbe femelle et la puissance de son jet jaune sur le dos de sa secrétaire lui donnait un sentiment de puissance, de domination, sodome dut ensuite lécher à grand coup de langue la chatte de sa maîtresse, voulant connaître un peu plus se sentiment de domination, simone demanda à sodome de se relever, de se courber légèrement, en appui des deux mains sur ses genoux, et de faire son caca devant elle sodome s'exécuta sans rien dire et dut, à la demande de sa maîtresse, se mettre à quatre pattes, recueillir un morceau dans

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sa bouche et de venir le faire gouter à sa maîtresse quel moment merveilleux de voir "sa chose" toute nue, s'abaisser, manger quelques morceaux et, au moment de se relever, la maitresse lui demanda de tremper ses tétons dedans, pleinement, il y avait tellement de grace dans la position de sodome que simone en fut troublée ! à présent, debout devant sa maîtresse, sodome avait la bouche ouverte, remplie de caca, les seins inondés par la même substance, et elle attendait, simone lui pris les seins dans ses mains fermement et la massait, la pétrissait jusqu'à que cette crème brunâtre entre complétement dans sa peau, sodome jouissait de plaisir, elle urinait et une grosse flaque commençait à tremper ses pieds, elle retira d'elle même ses escarpins afin de mieux baigner ses pieds, simone embrassa son esclave à pleine bouche et, de ses mains souillées, elle se mit en même temps à caresser le corps de sodome, vous me plaisez ainsi sodome, j'aime votre soumission et votre crème, je l'ai dit à madame, vous pouvez faire ce que vous voulez de moi, je suis votre chose, je ne demande qu'à être manipulée

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! je sens que ma vie n'aura plus de sens sans vous à mes cotés, abusez de moi autant qu'il vous plaira mais je vous en supplie, ne m'abandonnez pas maintenant que je connais vraiment l'amour ! permettez moi de vous aimez et vous ne le regretterez jamais, je ne vous demande rien ! laissez moi vous aimez comme je l'entends, dans la plus totale des soumissions ! le voulez-vous madame simone, je te le permets sodome mais, sache qu'entre-nous il n'y aura jamais qu'une seule seule soumise, tu as compris cela j'espère ? depuis le moment ou j'ai apercu cette petite culotte sur le bureau, je savais déjà que je serai à vous corps et âme ! au moins cela est clair au faite sodome, vous devez connaître un ébéniste ! faite nous faire une chaise dont les quatre pieds seront en forme de phallus, de diamètre différents, et faites qu'ils soient bien gros, j'ai hâte de vous empaler ainsi ! bien madame, cela sera fait, rien d'autre madame ? achetez aussi quelques bonbonnes de déodorant, le bureau va en avoir besoin ! si je peux me permettre, il y a derrière cette porte madame simone, un grand

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vestibule qui ne sers à rien, vous pourriez le faire aménager ? excellente idée sodome, je vais y penser, préparez moi un carnet d'adresses avec qui je vais pouvoir travailler pour cela, vous avez bien cela ? O oui madame simone j'ai cela et les personnes auront se montrer discrètes ! je vous avoue, sodome, que vous commencez à me plaire ! j'en suis ravie trés ravie !! a bientot pour la suite

le massage de madame

je répond a une petite annonce disant ceci couple recherche homme pour massage sensuel de madame. je n,étais pas a mes début,car mon ex épouse étais massothérapeute alors j,ai de bonne connaissance

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apres quelque discutions j,ai pris rendez vous,j,avais 5 hrs de route a faire,une bonne distance de chez moi une fois rendu le couple m,invita a prendre une collation, ce n,étais pas de refus ,et nous discutions ,l,homme voulais etre présent pour la séance ,et voulais me voir nu une demande spécial ,j,ai accepter nous nous installons dans la chambre a coucher sur la table de massage, la dame ce déshabilla ,elle avais encore un beaux corps pour c,est 60ans de beaux seins son corps tous bien épilé,je commencais par le dos avec un massage tout en douceur caressent son dos en prennent soin de bien huilé,je descendis mes main sur c,est belle fesses, caressent en passent son anus et c,est entre jambes, revenent a son dos et redescendre a c,est fesse et son anus un mouvement de mon doigt ciculaire a l,entré ,je voyais quel commencait a prendre plaisir a la chose, c,est petit gémissement de plaisir j,ai fait dure ce petit plaisir 30 minutes pour ensuite quel ce retourne sur le dos,j,ai mis généreusement de l,huile sur son vendre et l,étendre sur tout son corps sur c,est seins ,c,est petits téton qui durcissais lui

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caressent, l,homme en face de moi je voyais son pénis durcir,il aimais voir sa femme prendre plaisir,je luis caressais son clito bien huilé a quelque reprise tout en douceur,ne pouvant plus ce retenir elle poussait un petit cris de jouissance ,cela me donna une érection,la dame prit mon flacon huile ce mit huile sur paume de la main et me huila mon pénis et passa sa main ver mon anus pour y mettre un peux de l,huile caressent mon pénis avec sa bouche,je voyait bien quel voulais gouté a mon nectar, me caressent avec sa bouche et c,est petite main encore huilé ,elle me donnait le plaisir quel a recu, son marie s,approchait de moi ,avec son pénis bien en érection sa femme mis généreusement de l,huile sur son pénis, et continuait a me faire une fellation durant ce temps la l,homme me contournait me fit mettre la tete sur la table de massage et penché ver l,avant la dame me suces et lui avec son pénis dur comme du roc me pénétrais mon anus huilé,moi qui est juste hétéro j,ai pris plaisir ,j,ai eu autant de plaisir a me faire ramoner mon petit cul ,que de me faire sucer,vraiment j,ai eu du plaisir,cela valais mon déplacement, la dame et son mari me donnant la main me disent qu,il aimerais me revoir pour une séance de massage, je lui donnais mon numéro de

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téléphone,je donnais un baiser sur la joue de la dame et repartie

Le Serveur

Ca faisait longtemps que je tannais mon épouse pour que nous nous essayions au libertinage. Nos discussions tournaient toujours en disputes. Elle ne comprenait pas pourquoi j’étais si insistant et je lui expliquais que pour moins si nous faisions moins l’amour qu’auparavant c’est parce qu’elle s’était lassée de moi. Elle répondait toujours que c’était du grand n’importe quoi et que c’était simplement parce qu’elle avait pris du poids et qu’elle ne se plaisait plus…. Bref, je trouvais cet argument complètement farfelu. Nous avons 39 et 36 and elle et moi, ça fait 10 ans que Caro et moi sommes ensemble et nos premières années étaient très

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chaudes, voir perverses et aujourd’hui, presque plus rien… Pourtant parfois, quand elle regarde les autres hommes, son regard trahis de l’attirance, donc pour moi il n’y a pas de doute. Bref, nous avions décidé de laisser les enfants à mes parents et de nous accorder un petit week-end dans un hôtel/spa. Nous avons passé l’après-midi de ce samedi à nos prélasser entre sauna, jacuzzi et massages. Le soir venu, nous prenions une table dans la salle de restaurant de l’hôtel. Nous sommes accueillis par une ravissante hôtesse qui nous installe dans un petit coin de la salle. Je lui esquisse un large sourire que remarquait mon épouse qui s’empressait de m’en faire le reproche : « Dis donc, tu veux que je t’aide ? » « Quoi ?!? » demandais-je. « Oh hey, tu crois que je n’ai pas vu ton grand sourire là ? » répliquait-elle « Oui et alors ? » répondais-je « Rien, tu veux pas lui rouler une pelle aussi ?!? » poursuivait-elle « Je ne dis pas non… Et même plus aussi… » Répondais-je pour la taquiner. « Oui bon ben ça y est… » Répondait-elle agacée. Nous regardions toujours la carte, quand

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un serveur s’approchait de nous : « Vous désirez un apéritif pour commencer ? » « Oui, un américano pour moi et toi chérie ? » « Heu…Un kir s’il vous plait » « Qu’elle parfum votre kir : Mûre, Cassis, Pêche, Banane ? » « Oh tiens banane, j’ai jamais essayé avec la banane » « Menteuse… » Disais-je en souriant. Le serveur se mit à rigoler, ma femme à rougir. Nous commandions donc un américano et un kir, puis le serveur poursuivait : « Vous avez choisi ? » « Moi oui, mais madame je ne pense pas… » « Heu, non je suis désolée, pas encore, je suis assez longue à choisir » « Prenez votre temps, vous savez ce qu’on dit… Je repasserais » disait-il. Quelques minutes après, le serveur nous apportait nos apéritifs. « Vous avez-choisi ? » « Oui, cette fois, c’est bon. Vas-y » disaisje en faisant un petit signe à ma femme. « Une grande salade forestière, s’il vous plait » disait-elle. « C’est tout ? » lui demandais-je.

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« Oui, c’est bon pour ce que j’ai… et puis, il y a des noix dans la salade. Elles sont fraîches vos noix ? » Disait maladroitement Caro. Le serveur et moi ne pouvions nous empêcher d’avoir un petit rictus. Caro venait de comprendre elle se mit à rougir et a rigoler. « Oui madame, mes noix sont très fraîches » insistait le serveur en rigolant. Le serveur terminait de prendre la commande puis quittait notre table. « Oh là là, la honte, oh la blonde » disait Caro. « Oh, c’est rien, c’était marrant ! » « Heureusement qu’il est sympa… » « Oui et puis il est pas mal non plus… d’ailleurs je crois que tu lui plais… » « Mais ça va pas non ?!? » « Alors là, je suis sur qu’il ne dirait pas non, tu as vu un peu les allusions… » « Oh arrête, tu ne vas pas recommencer avec tes conneries… » « Et voilà, c’est reparti… Ne me dis pas qu’il ne te plait pas… » Caro le regardait aller et venir, leurs regards se croisaient, ils échangeaient des sourires. Je ne disais rien, j’observais pendant que nous sirotions notre apéro. Il

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venait

nous

servir.

Il posait mon plat devant moi et il disait tout en posant le plat de Caro « Madame votre salade avec des noix bien fraîches accompagné d’une bonne sauce à la crème ». Il tournait les talons et Caro le regardait partir. « C’est vrai qu’il est pas mal, il a un joli cul. » « Ah tu vois qu’il te plait… » Insistais-je « Oui, c’est vrai, il est pas mal » Alors que nous commencions à manger, je regardais Caro avec insistance. « Qui y a-t-il ? » me demandait-elle. « Rien je me disais que ce serait peut-être l’occasion d’essayer… » « De quoi tu parles ? » demandait-elle « Avec le serveur… » Poursuivais-je « Ah ça y est, tu recommences …» A ce moment là, il passait au niveau de notre table et regardait Caro en lui souriant. « Tu vois que tu lui plais …» disais-je. « Oh arrête ! » répondait-elle. Je la sentais mal à l’aise, elle rougissait, trahissant son attirance pour lui. « Je ne te comprends pas, je vois bien qu’il t’attire, tu vois bien que tu lui plais, pourquoi pas dans ce cas ? » insistais-je. « Mais arrête donc, mange et tais-toi. »

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me dit-elle. La salle s’était remplie et il faisait de plus en plus chaud. Caro enlevait son gilet, laissant apparaitre son décolleté. Elle avait tendance à mettre des vêtements un peu large pour masquer ses rondeurs et j’avais pour habitude de lui faire la remarque quand son décolleté devenait trop voyant. Ce soir, au contraire je décidais de ne rien lui dire et au fur et à mesure du repas, son décolleté devenait de plus en large, jusqu'à ce que sa poitrine devienne bien visible, dévoilant très clairement la dentelle de son soutien-gorge. Tout ceci étant mit en valeur par son pendentif qui arrivait à la naissance de ses seins. Le serveur venait débarrasser nos assiettes et son regard venait plonger à plusieurs reprises dans le décolleté de Caro. Il revenait nous apporter les cartes pour le dessert et ne pu s’empêcher de plonger son regard une nouvelle fois dans le décolleté de ma femme. « C’est un joli pendentif hein ? » lançais-je. « Heu… oui, très joli… » Disait-il très gêné. Caro était elle aussi très mal à l’aise d’un seul coup, elle venait de se rendre compte que son décolleté était très prononcé. « C’est une Tongue ? » demandait-il. « Oui... mais allez-y regarder de plus près » disais-je. «

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Vous permettez ? » demandait-il à Caro en tendant la main. « Heu...oui » Caro se redressait pour qu’il puisse attraper le pendentif. Au lieu de le prendre avec ses doigts, il passait délicatement sa main sous celui-ci tout en caressant la peau de Caro du dos de la main. Elle en avait un frisson. « Très joli… » Disait-il. Caro était rouge comme une pivoine. « Je vous laisse choisir et je reviens… » Poursuivaitil. « Tu aurais pu me le dire quand même qu’on voyait mon soutif … » « Pourquoi ? Il aurait tout loupé… Si tu l’avais vu maté tes seins ! » « Oui, bon ben ça y est ! » « Tu lui plais je te dis… » Disais-je à Caro. « C’est dingue ça ! D’accord, je lui plais et tu va faire quoi ? Aller le voir et lui dire ça vous dirait de baiser ma femme ?!? » « Ah tu vois que tu serais d’accord… » « Mais merde, arrête à la fin, t’es pénible là, vraiment… » « Moi pénible ?!? Assume un peu, tu crois que je n’ai pas vu le petit frisson qui t’a traversée quand il t’a touchée ? » « Quel frisson ? » « Oh arrête ! » « Bon oui et alors, ça ne veut rien dire… » « Mais bien sûr, tu va aussi me dire que tu ne mouilles pas… »

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Elle ne répondait pas tout de suite, elle me regardait puis fini par dire « Bon il m’attire et alors tu compte faire quoi ?!? » « Ecoute, on fait un deal toi et moi : S’il ne dit plus rien on oubli tout ça, mais il fait une autre allusion alors cette fois on y va et tu te lâches !! » « Onze et onze ? » « 22… » Répondais-je. « N’importe quoi… » Murmurait-elle. Elle pensait surement que je plaisantais. Le serveur revenait prendre la commande de nos desserts. « Vous avez choisi ? » « Oui, un café liégeois pour moi s’il vous plait » disais-je « Et vous madame ? » demandait-il à Caro. « Je ne sais pas, j’hésite… » Disait-elle. Il se penchait sur elle, je pense pour avoir une meilleure vue sur son décolleté. « Si vous êtes gourmande… » Caro l’interrompait « Ca se voit tant que ça ? » « Ce n’est pas du tout ce que j’ai voulu dire, bien au contraire… heu oui, donc je disais je vous conseille celui-là, ‘le doux délice’, c’est un dessert tout en rondeur très appétissant et délicieux. » Caro lui répondait « Très bien je me laisse guider… » tout en me regardant d’un air que j’interprétais comme une façon de me

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dire qu’elle voudrais bien aller au bout de chose avec lui. « Je crois que c’est on ne peut plus clair… » Lui disais-je juste après de départ du serveur. « Oui, tu avais raison, je crois que je lui plais… Et maintenant, on fait quoi ?!?» « On attend nos desserts, pourquoi ?!? » « Oui mais ce n’est pas de ça que je parle… » « Et bien on avait passé un accord, donc… » « Attend tu ne vas quand même pas oser…. » « Crois-tu ? » « Et tu vas faire comment ?!? » « Laisse moi faire, tu verras…. » Le serveur nous apportait nos desserts. « Vous terminez votre service à quelle heure ? » lui demandais-je. « Je suis du 1er service ce soir, je fini à 22h30 » répondaitil. « C’est parfait ! » continuais-je « Parfait pourquoi ?!? » demandait-il surpris. « Et bien nous voudrions prendre un digestif après le repas… mais nous voudrions le prendre dans notre chambre, cela vous ennuierait-il de nous le monter

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avant de partir» lui demandai-je en lui faisant un clin d’œil. « Oh non, bien au contraire, Qu’est-ce qui vous ferait plaisir ? » disait-il en me faisant un petit sourire malicieux « Un Bailey pour madame et un armagnac pour moi SVP ». « Merci.» « Tu es gonflé quand même pourquoi tu lui a demandé ça ? » demandait Caro. « Simplement pour que nous nous retrouvions seuls avec lui ma chérie… » Répondais-je Caro commençait à être un peu anxieuse, cela se voyait sur son visage. « Détend toi ma chérie… » Lui disais-je. « Tu es marrant toi, tu te rends compte un peu de ce que tu veux me faire faire ?!? » « Ce que je veux te faire faire ?!? Tu en as envie, donc ce que je veux te faire faire comme tu dis, c’est simplement assouvir tes pulsions…. » Nous avions terminé notre dessert, il était temps de regagner notre chambre. Au passage je faisais signe à notre serveur qui acquiesçait d’un signe de tête. Caro était de plus en plus anxieuse, dans l’escalier, elle ne décrochait pas un mot.

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Arrivés dans la chambre, je commençais à me déshabiller pour mettre un caleçon plus large et un T-shirt. « Qu’est-ce que tu fais ?!? » me disait-elle. « Et bien je me mets à l’aise… D’ailleurs tu devrais en faire autant…. » « Mais ça ne va pas non ?!? Le serveur va bientôt arriver… » Disait-elle. « Et bien oui, justement, ça serait plus simple si tu étais un peu moins habillée… » « Plus simple pourquoi ? » Elle ne se semblait toujours pas être convaincue de ce qui allait se passer. « A ton avis, pourquoi crois-tu qu’il a accepté de nous monter un digestif le serveur ? » « Arrête donc ! Il est simplement serviable c’est tout ! Je ne vois pas pourquoi il voudrait autre chose… » On frappait à la porte. Caro ne savait plus ou se mettre elle restait debout comme pétrifiée. Je dois bien avouer que sa dernière remarque me décevait un peu, je croyais qu’elle était décidée à se lâcher, mais cela semblait un peu compromis pour l’instant. J’allais donc ouvrir la porte notre serveur tenait un plateau avec des mignonettes d’armagnac, de Bailes et un seau de glaçons. Il s’était changé, pantalon en toile et chemise noire

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largement ouverte. « Entrez… » Caro était toujours mal à l’aise, elle devenait rouge pivoine pour la deuxième fois de la soirée. Nous nous asseyons en tailleur autour de la petite table basse. Nous trinquions et nous apprenions qu’il s’appelait Jérôme et qu’il avait 28 ans. Caro était toujours un peu coincée mais je remarquais qu’elle ne pouvait s’empêcher de mater le torse de Jérôme. Elle était rouge, ses yeux pétillaient, était-ce l’excitation ou l’alcool ?!? Surement un peu des deux. Elle se levait en s’excusant d’une envie pressante. En son absence, Jérôme qui semblant s’impatienter me demandait « J’ai peut-être mal compris, mais je pensais que… » Je l’interrompais « Oui tu as bien compris, seulement c’est une grande première donc elle est un peu coincée. J’ai une idée pour bousculer un peu les choses, je pourrais renverser de l’Arman… » Caro sortait des toilettes à ce moment là et je n’avais pas le temps de finir ma phrase. Jérôme semblait avoir compris, il s’écartait de la table et posa ses mains sur le sol et me faisait un léger signe de la tête. Je prenais mon verre et simulais une malencontreuse glissade entre mes doigts. Le pantalon de Jérôme était imprégné d’armagnac. « Merde ! Oh je suis vraiment désolé, quel imbécile !»

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criais-je. « Oh, ce n’est pas grave, il suffit que passe un coup d’eau tout de suite pour ne pas que ça tâche » « Un coup d’eau, certes, mais vu qu’il y en a partout, tu devrais enlever ton pantalon pour bien le rincer et le faire sécher sur le sèche-serviettes. » reprenais-je. Jérôme se relevait et je remarquais que sans le vouloir, j’avais aussi tâché le bas de sa chemise. « Oh, regarde ta chemise, tu devrais l’enlever aussi. » Jérôme enlevait donc son pantalon et sa chemise, laissant apparaitre son torse de sportif, musclé mais sans excès et un boxer blanc, que l’on devinait bien rempli. Caro le regardait avec des yeux lubriques, elle rougissait, puis tournait la tête. Jérôme se dirigeait vers la salle de bain elle le matait avec insistance. « Tu attends quoi ? » lui demandais-je. « Quoi ?!? » répondait-elle l’air surprise. « Mais c’est dingue ça ! Tu t’es vue ?!? Tu n’en peux plus… » Poursuivais-je. « Ah toi et tes idées alors… » A cet instant, Jérôme nous rejoignait. « Ca va ? » demandait Caro. « Oui, ça n’a plus qu’à sécher maintenant. » répondait-il. « Tiens, c’est dôle ça, je connais autre chose qui est bien mouillée et qui a besoin de sécher… ». Caro rougissait encore plus que les fois précédentes. Jérôme avait un petit rictus,

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ma remarque l’amusait beaucoup et il se mit à poser un regard insistant sur Caro qui était tétanisée. Il se levait et s’approchait d’elle. Il lui prit la main et la posa sur son pénis. Il tenait toujours la main de Caro et commençait à la faire le caresser. Caro sentait le pénis de Jérôme grossir sous sa main, son boxer gonflait à vu d’œil. Caro le caressait maintenant d’elle-même, ses mouvements étaient amples et délicats. Elle me regarda un court instant, se mit à genou puis enlevait son haut, dévoilant sa belle poitrine enveloppée dans ses dessous en dentelle. Elle continuait à le caresser à travers son boxer en le regardant avec des yeux gorgés d’excitation. Elle glissa ses mains sous les élastiques autour des anches de Jérôme et tira délicatement son boxer vers le bas en l’écartant pour laisser passer le sexe de Jérôme qui était d’un gabarit imposant. Elle glissa le boxer de Jérôme jusqu'à ses pieds et lui retira. Elle prit le sexe de Jérôme en main et commençait à le masturber tout en lui léchant les testicules. Elle se redressait un peu plus pour lui léchouillait le gland avant de s’enfourner ce magnifique pénis dans la bouche. Elle le suçait avec amour et énergie. Jérôme lui avait attrapé les cheveux et la tirait la tête vers le haut «

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Attend un peu, lève toi… » Lui dit-il. Elle se levait en laissant sa langue courir sur le corps de Jérôme et se collant à lui pour bien sentir son sexe raide et chaud sur sa peau. Ils s’embrassaient et Jérôme en profitait pour lui dégrafer le soutien-gorge et il lui murmurait « Déshabille-toi ». Elle baissait son pantalon, hottait son shorty pendant que Jérôme lui caressait les seins. Il l’embrassait de nouveau, lui repris les cheveux et lui faisait pencher la tête en arrière pour lui lécher le cou et les seins. Ma femme se lâchait enfin, en les voyants tous les deux comme ça, je retrouvais les gestes et les postures de nos débuts. Même si j’avais un pincement au cœur, la voir comme ça, savoir qu’elle allait retrouver le plaisir du sexe me faisait bander comme un âne. En plus la scène était d’un érotisme à couper le souffle. Il lui tenait toujours les cheveux et avait plaqué le visage de Caro sur son torse qu’elle embrassait et léchait sans demander son reste. Petit à petit, il la faisait descendre. Elle se remettait à genou et lui tenait la tête, lui défonçant littéralement la bouche avec son engin. Caro lui pris les mains et les écartait. Je pensais qu’elle voulait lui faire comprendre que cela ne lui plaisait pas mais bien au contraire, elle le regarda et lui dit « Laisse-moi faire… ». Elle posait

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ses mains sur les fesses de Jérôme y enfonçait ses doigts et engloutissait le sexe de Jérôme dans sa bouche en faisant d’amples et violents va-et-vient de la tête. Elle le regardait avec un regarde lubrique l’air de dire « Tu vois je n’ai pas besoin que tu me tiennes, j’aime que ta queue me défonce la bouche ! ». Elle continuait sans cesse, je ne débandais pas et Jérôme non plus d’ailleurs. Je faisais le tour de la table pour me placer derrière elle, je m’agenouillais et passait ma main entre ses cuisses, elle dégoulinait de mouille, son entre-jambes était trempé. Je la caressais, elle écartait les jambes, je pouvais enfoncer mes doigts dans sa chatte avec une facilité déconcertante. Elle commençait à gémir, Jérôme avait lui aussi passé une étape et n’avait pas envie de partir comme ça. Du coup, il l’arrêtait dans son élan et lui disait d’aller sur le lit. Elle se relevait, rouge, chaude comme les braise les yeux révulsés par l’excitation. Elle montait à quatre-pattes sur le lit, il lui attrapait les jambes pour l’empêcher d’avancer. Il plaça ses pouces entre ses fesses, juste sous son anus et écartait, la forçant à se cambré en poussant avec ses mains. Caro avait la tête enfuie dans le dessus de lit, le cul en l’air, fortement

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cambrée. Jérôme se mettait à la lécher goulument, de bas en haut, tout y passait. Caro montait rapidement en pression, gémissant de plus en plus fort, criant « Oh oui vas-y là, oui là, là comme ça ». Je ne loupais pas une miette du spectacle, j’avais même sorti le caméscope. Je n’avais pas débandé, mes couilles me faisaient mal tellement j’étais excité. Caro ne voyait pas que je filmais, elle criait le souffle court, « Arrête ! Tu vas me faire jouir, viens dans moi ! » Jérôme arrêtait de lui bouffer le minou et se mettait à la doigter violement, elle était très dilatée, elle couinait de plaisir. « Arrête avec tes doigts, mets moi ta queue ! » le suppliaitelle. Jérôme ne se faisait pas prier, il la faisait avancer sur le lit, montait à son tour. Caro tournait la tête, pendant que Jérôme enfilait un préservatif. De peur qu’elle ne me voit filmer, je cachais le caméscope. Dommage j’aurais bien aimé avoir sur bande ce regard lubrique et impatient qu’elle lui jette. Elle le regardait toujours au moment ou il allait la prendre, il lui écartait les fesses et enfonçait son énorme pénis dans le vagin. Caro eu un profond soupir et posait sa tête sur le lit. Je recommençais à filmer. Il commençait à la prendre lentement dans de profonds et amples coups de reins. Caro soupirait de

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plaisir à chaque coup de butoir, petit à petit il accélérait le rythme, Caro gémissait, puis se mit à crier « Oui ! » « Vas-y ! » « Fort ! » « Défonce-moi ! » J’hallucinais, elle devenait vulgaire dans ses propos, c’était une autre femme, j’avais l’impression d’être le cameraman d’un film porno. Jérôme la défonçait littéralement, sa poitrine ballotait brutalement, elle s’agrippait aux draps de toutes ses forces. Ses cris devenaient de plus en plus rapprochés, elle était au bord de l’orgasme, « Oh ouiiii, encore ! encore ! » Criait-elle. Jérôme la retourna alors brutalement, lui levait les jambes, s’appuyait sur ces cuisses et enfonça de nouveau sa verge dans le vagin de ma femme, encore plus profondément. Caro en écarquillait les yeux tellement elle semblait bien la sentir, pendant un court instant je pense même qu’elle a grimacé de douleur. Je me déplaçais sur le côté du lit, elle remarquait que je filmais et se figeait un instant, puis, se détendait de nouveau, tournant la tête vers Jérôme en lui disant « Vas-y, baise-moi ! ». Jérôme continuait de plus belle, Caro tournait de nouveau la tête vers moi, son regard se posait sur mon caleçon gonflé par cette érection qui ne me quittait pas « Viens… » Me dit-elle le souffle court. Je

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m’approchais d’elle, elle me déballait le sexe et je lui enfonçais dans la bouche. Elle me suçait comme elle pouvait, perturbée par les soubresauts et l’orgasme qui montait en elle. Je la filmais en gros plan, difficilement je dois bien l’admettre. Elle se crispait, elle allait jouir, je m’écartais pour mieux la filmer. Elle se mettait à trembler en poussant un grand cri strident, à mon grand damne je ne l’avais jamais entendu jouir comme ça. Elle restait recroquevillée sur elle-même, murmurant en suffoquant « oh putain, ce n’est pas possible, ce n’est pas possible… ». Jérôme n’avait pas jouit, il essayait le lui écarter les jambes pour la prendre de nouveau. Elle refusait catégoriquement et gardait les jambes serrées « Non arrête, je n’en peux plus, c’est chaud… ». Jérôme le sexe toujours bien tendu descendait du lit et allait prendre le seau de glaçons sur la table basse. Il remontait sur le lit, commençait à passer le glaçon sur minou de Caro qui sursautait « Arrête, c’est froid ! », elle serrait les jambes. « Aide-moi ! » me disait-il. Je posais le caméscope, je montais sur le lit, Caro ne réagit pas tout de suite, mais se mit à paniquer et à se débattre quand je lui attrapais les jambes, elle ne pu résister bien longtemps tant elle était épuisée « Arrêtez, mais qu’est-ce

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vous faites, arrêtez ! » criait-elle. Jérôme lui frottait les lèvres et le clito avec le glaçon. « Non…Non…Non, arrêtez ! » Petit à petit, elle commençait à prendre plaisir et à se ressaisir, ses « Non » se transformaient en « Mumm, Mmmmm » et elle fini par me crier en m’écartant « Lâche-moi les jambes ! ». Elle s’attrapait les jambes et regardait Jérôme en train de lui glacer le minou. Il lui enfonçait un glaçon dans le vagin, elle eu une contraction et poussa un petit cri, comme si elle avait eu un orgasme fulgurant. Jérôme lui enfilait encore quelques glaçons et elle eu la même réaction à chaque fois. Il approchait maintenant son pénis de l’anus de Caro. Je m’attendais à une réaction négative, à nos débuts elle me le demandait souvent, mais depuis pas mal de temps elle s’y refusait. Il posait son gland sur son anus et alors que je m’attendais à un « Non, pas derrière ! », Caro se mit à maintenir ses jambes plus fermement et s’offrant à Jérôme le plus naturellement du monde le regardait fixement dans les yeux et lui dit vulgairement « Vas-y fourre ta queue dans mon cul et défonce moi ! ». Jérôme forçait délicatement le rectum de Caro, elle grimaçait « Doucement… tu me fais mal. » Il continuait de s’enfoncer puis ressortait

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doucement et s’enfonçait de nouveau « Aaah » criait Caro. Petit à petit il s’enfonçait de plus en plus facilement, il accélérait le mouvement. « Mmmm, oui, encore » s’exclamait Caro. J’avais repris le caméscope, gros plan sur cette queue qui défonçait le cul de ma femme. Je tournais le caméscope vers le visage de Caro « Ca t’excite mon chérie de voir ta femme se faire baiser ?!? » disait-elle en suffoquant. « Défonce-moi ! Défonce mon cul ! » criait-elle à Jérôme. Après un bon moment, Jérôme jouissait dans un râle très viril alors que Caro lui criait « vas-y jouis j’en peux plus ! ». Caro s’asseyait sur le lit attrapait la queue de Jérôme. Elle se mit à le sucer et s’y frotter le visage, elle avait l’air encore bien excitée. Elle me faisait signe de m’approcher et se mit à me sucer. Elle s’arrêtait un instant, me regardait et me dit avec cet air toujours aussi lubrique « Alors tu aimes ça quand je fais ma salope ?!? » Elle me reprenait en bouche tout en continuant à tripoter Jérôme et je lui répondais « Oui, c’est comme ça que je t’aime ! » Elle sentait que je n’allais pas tarder à jouir, elle se mit à me branler en maintenant ma queue à raz de son visage « Vas-y fout m’en partout ! ». Elle ne pensait pas si bien dire, je lui ai littéralement arrosé le visage de

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sperme. Elle tournait la tête vers la queue de Jérôme et étalais mon sperme sur sa queue en se frottant le visage, et recommençait à le sucer « Tu crois que tu as encore du jus ?!? » disait-elle. Elle le suçait furieusement jusqu’à ce que ce cher Jérôme la gratifie une nouvelle fois de sa semence. A peine avait-elle fini qu’elle s’allongeait sur le lit, épuisée. Nous nous asseyions à côté d’elle, une main sur chacune de ses cuisses, elle nous regardait tout à tour avec un sourire béat, puis finir par s’assoupir. Elle était en sueur, les orifices dégoulinant de plaisir, le visage souillé de notre semence. Nous la couvrions de peur qu’elle attrape froid. Jérôme se rhabillait discrètement puis avant de me saluer et je venais m’allonger à côté de ma chienne retrouvée. simone panique

sodome était comme elle, a quatre pattes, au pied de sa maitresse. malgré cette soumission de chienne en chaleur, sodome conservait se port altier, elle était d'une extrême beauté, son corps nu dans cette position était une invitation au viol, a la punition. sa maitresse était le directeur d'agence

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d'en face, une femme d'un certain age, 45a peut-être, trés stricte au demeurant et ici, si sure d'elle en esclavagiste. l'autre couple était la directrice d'agence bancaire du coin de la rue et sa première caissière, celle qui faisait la chienne était la directrice (chikitita), 57a et celle qui souriait, la caissière devait avoir 40a. trés jolie femme et qui plaiarait a simone, voyant le regard de simone sur la caissière, celle-ci se pris un coup de fouet sur les reins, pas maintenant salope, pas maintenant lui disait gomore. elle te montera tout a l'heure, pour l'instant va lécher chikitita, elle bave de jus sous sa croupe et crois moi, son jus est succulent. simone alla derrière chikitita et lécha son derrière, la brave chienne en profita pour faire ses besoins, simone, apres plusieurs coups de fouets des membres, du lécher toutes ses crottes jusqu'à la dernière ! gomore était fière de sa chienne, elle était bien dressée ! maintenant sur le dos et les quatres pattes en l'air, de la pointe des pieds des chaussures hauts-talons, gomore s'amusait à écarter le sexe de sa chienne et lui entrait le bout de la chaussure ! la directrice de la banque demanda la permission d'y mettre la papatte de devant

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dans la chatte et sodome pria pour qu'elle puisse y mettre la main jusqu'au poignet dans le derrière de simone, voyant toutes ce désir d'assister a un beau spectacle, elles furent délivrées de leur laisse. quand a simone ette resta attachée ! et dire qu'elle allait se faire sodomiser par sa secrétaire et que celle-ci n'en savait rien !! simone était heureuse de la tournure des choses, au bureau c'est elle qui menait la dance mais ici, sans qu'elle ne le sache, c'est sa secrétaire, sodome, qui se la faisait. si elle savait ... à un moment donné, sodome, en pleine intrspection, mis sa papatte à son nez et confia a simone "mais je connais ce parfum, il n'y en a pas deux pareils, comment t'appelles-tu ? cadeau dune culotte

jai ce fétichisme des petite culotte jai offerte une culotte a une correspondante,ici elle ma promise de la porter quelques heurs et meme de faire un petit pipi dedans et de me les retourner ce quelle a fait lodeur de sa chatte et de son pipi mélanger ensemble est un vraie délice

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jadore les sentir et me carresser avec ces culotte je bande et je rebande jaime jouir dans ces culotte. jespere un jour partager ce gout avec dautre femme qui ca exiteras merci une soirée en vinyle

Le week end dernier mon ami m'a proposer d'aller prendre un pot en ville puis d'aller au ciné .Il y avait bien longtemps que nous n'étions pas sorti ainsi . J'ai accepté cette invitation et il me dit "Chéri j'aimerai que tu portes ton ciré noir et tes bottes en vinyle tu es si belle comme ça ! " Il sait très bien que j'adore cette tenue et quand il parle de moi au féminin je suis au anges . Il a rajouté " Ne mets rien en dessou j'aimerai que tu sois entièrement nu sous ton ciré c'est un phantasme que j'ai depuis un moment . " A ma tête il a bien vu que j'étais un peu réticent à cette idée et il me dit "Aller il n'y aura que nous pour le savoir et ton imper est à double boutonnage personne ne pourra voir que tu es à poil sous ton imper . En plus le temps est gris donc ta tenue ne surprendra personne . " J'ai finis par accepté . Je suis allé dans la

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salle de bain pour prendre une douche et une fois sec j'ai commencer par mettre mes bottes qui sont assez montante limite cuissarde . Mon petit copain me dit " Domage que tu doives mettre ton ciré car je te trouve craquant comme cela mais il faut être raisonnable . " Je lui ai souris et je me suis dirigé vers la penderie de l'entrée . J'ai pris mon ciré , le long car j'en possède plusieurs mais vu les circonstances je n'avais pas le choix ! Lorsque j'ai enfilé cet imper il était froid ce qui je l'avoue était assez excitant ; J'ai bien pris soin de le boutonné . Je me suis regardé dans le miroir de l'entrée et je me suis senti comme si j'étais devenu une femme . Nous avons pris le bus pour nou rendre en ville . J'avais l'impression que tout le monde avait les yeux brqués sur moi ! Vous savez lorsque vous avez un bouton sur le visage et que vous croyez que tout le monde ne voit que ça ! Une fois en ville nous avons choisit un bar gay que nous connaissions c'était mieux pour moi . Le serveur qui nous connaissait me dit " Super ta tenue tu es à croqué mon chou ; bien sûr avec tout le respect de votre couple . " Après avoir bu nos consommations nous

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sommes allé au ciné . Dans la salle il n'y avait pas grand monde,nous nous sommes installé vers le milieu . Un homme m'a demandé si la place à coté de moi était libre et je lui ai répondu qu'il pouvait la prendre ; Les lumières se sont éteintent et le film a commencé . Au bout de 10 minutes mon ami a mis sa main dans une de mes poches de mon ciré et comme elles sont ouvertes j'ai senti sa main chaude sur mon corps.Ce geste me fit me dandiné sur mon siége. Mon voisin remarqua et me dit "Si vous voulez je peux mettre ma main dans l'autre poche où bien déboutonné votre imper et je vous suce" Mon ami ayant entendu me dit "Aller sort ton sexe monsieur te propose une pipe et je suis d'accord !! " J'étais tellement excité que j'ai déboutonné mon imper et l'homme s'est mis à genou et m'a sucé . A la fin du film je me suis rhabillé et nous avons été chez ce nouveau partenair où nous avons passé une nuit de plaisir !!!! 35 ans aprés

Hier soir j'avais en vie de me taper un homme . J'ai mis ma tenue en vynyl , pantalon blouson et casquette. Je me suis

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rendu sur un lieu de drague homo mais il n'y avait pas d'homme à mon goût.J'ai donc décidé de me rendre dans un bar gay il y avait un bon kilomètre à faire mais ça ne me faisait pas peur .Au coin d'une rue une voiture s'arrêta à ma hauteur et le conducteur m'a appelé " S'il vous plaît connaissez vous la direction de Paris je suis un peu perdu merci ?" .je me suis penché et que ne fut pas ma surprise de constaté qu'il s'agissait d'un ancien prof de science que j'avais eu il y a 35 ans . Je me suis dit il ne va pas me reconnaître il a eu tellement d'élèves . Je lui ai dit "Vous prenez la prochaine à droite et " Il ne m'a pas laissé le temps de finir et m'a dit "Excusez moi mais n'êtes vous vous pas Michel P. je vous ai eu dans ma classe ? " A ses mots je ne savais pas quoi répondre il a enchaîné par " Toujours attiré par les cirés déjà à l'époque j'avais été surpris par votre imper ciré que vous portiez assez souvent que devenez vous ? " J'ai répondu " Je suis routier et comme vous pouvez le constaté je suis gay ma tenue ne laisse aucun doute à ce sujet et vous à la retraite ?"

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"Quand j'étais votre professeur je me doutais que vous étiez déjà attirer par les garçons et plus d'une fois je me suis masturber en pensant à vous , bien sûr personne n'en a jamais rien su mais votre ciré vous donnait un coté féminin comme ce soir ; voulez vous que l'on passe un moment ensemble pour ma part je suis plutôt actif ça vous tente ma femme est absente on peut aller chez moi ? A ses mot je commençais à bander ce qui constata tout de suite . Je suis monté dans sa voiture et il a démarré et comme je n'étais pas à l'aise il a posé sa main sur ma cuisse ;Je lui ai dit " Monsieur je suis déjà assez excité comme çà je risque de jouir dans ma culotte " " Mais Michel ce n'est pas grave petite salope tu n'es qu'une tapette et je vais te donné une bonne correction ." Sans m'en rendre compte nous étions déjà en pleine campagne et il s'est arrêté à coté d'un bois il m'a ordonné de le sucer . Lorsque j'ai vu son sexe je me suis dit pourvu qu'après il me prenne par derrière j'aimerai bien avoir un tel engin dans mon petit cul . Je n'ai pas eu à le regretté . Je l'ai pomper , j'ai bu son nectar . Nous sommes descendu de la voiture il a ouvert son coffre et en a sorti un imper ciré rose ;

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j'ai su que c'était celui de sa femme ; il l'a enfilé . Nous avons pénétrés dans le bois ;J'ai baisser mon pantalon il m'a mis à 4 pattes et sans prélèminère il m'a enculer d'un coup .Heureusement pour moi je mouille beaucoup de l'anus . Il a ressorti sa queue et je l'ai sucer. Ce fut exquis Il m'a promis de me revoir et en plaisantant il m'a dit c'est beaucoup mieux que vos devoir je vous mets 18 pour la pipe et 20 pour votre ans ;J'ai hâte de recommencer

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EDITION BLAISE

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