Une fois l'ailleurs

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Une fois l'ailleurs

Par Stéphane CROCHEMORE

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Ce récit est une fiction issue d’une histoire vraie, Si j'ai mis des prénoms et des noms que je connais bien, c'est pour bien dire que cela a très bien pu exister et le dire sans honte. Mais cela reste dans le domaine d'une fiction

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Le chemin des morts est une expérience avec la mort que j’ai connu il y a quelques années. La mort ne m’a pas retenu, elle m’a même rejeté pour le moment. Mais la mort m’a appris une chose, c’est qu’elle n’existe pas, rien n’est mort dans l’univers. Regarde ou tu ne vois pas, regarde en toi et tu verras se qui est en dehors de toi, la vie. Nous sommes les parasites de notre univers, apprenons à être des colons, nous les éternel rebelle de la vie qui croyons à la mort, sachons profiter de la vie est vivre la vie éternel que nous portons on nous. Nous qui avons créé le juges, apprenons à être notre propre juge et à juger justement avant de voir confié la lourde tâche de se condamné soit même aux enfers des 5


damnés. Comment juger un mort ? Faite le renaître et donner lui une bougie, s’il la souffle c’est qu’il est bien vivant, si écrase la flamme avec ses doigts c’est qu’il est probablement bien mort. Un mort ne respire pas il est vrai, mais le souffle de la vie existe tant qu’il respire le feu sacrée de l’esprit. Si l’esprit et vide c’est qu’il est vivant mais qu’il n’est plus présent. Ou est-il ? Personne ne vous le dira, surtout pas moi mais je sais, que l’esprit ne s’éteint pas, jamais !

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Le chemin des morts Dix ans, dix ans que je vis avec cette femme que je trouvais charmante, devenue insolente, dans toutes ses exigences car elle pense, que c’est elle qui pense. Oui elle réfléchi, surtout bien des âneries, mais c’est vrai, qu’elle à du combattre pour être ce qu’elle est devenue, une femme et mère à la fois. Cela ne parait pas un gros exploit, pour une femme ordinaire mais elle, elle ne marche et marchera jamais. Cloué sur son fauteuil elle ne se résigne pas, à être ce qu’elle n’admettra pas. Elle a passé un bac littéraire, fréquente l’école des beaux arts, passe le Brevet d’Aptitude Sociaux Éducative et devient régisseuse d’une troupe de théâtre de marionnettistes sur Paris. Elle y fréquentera un homme qui lui fera un enfant, dont elle avortera à Nancy. De 7


retour à Paris elle rencontre à nouveau ce type qui va la violer, surement à plusieurs reprises car il l’a mettra à nouveau enceinte, de nouveau elle avortera. Je la rencontre au printemps 1985 à Vandoeuvre, sur le stand évangélique des Nations. Elle cherche une personne capable de faire une démonstration en informatique pour quatre soirées d’évangélisation avec un prédicateur dont le nom à disparu de ma mémoire. Je lui réponds favorablement et en même temps je m’intéresse à ce qu’elle fait, du spectacle d’ombre avec des marionnettes. Un peu comme le théâtre Chinois mais moins rigoureux, je deviens vite bon et même doué dans cette matière nouvelle pour moi. Moi qui ais passé le BAFA en 1983/1984, en même temps que mon service national, je suis près à découvrir ce qui m'approchai d’une femme que je n’aurais pas dû rencontrer, Marilyne un être indigne, qui crée la polémique et qui rejette sur sa proie ses propres défauts. Je suis tombé sous son emprise mentale, elle était mon mentor, j’étais son élève et comme beaucoup d’élèves, je me suis amouraché de mon professeur. Elle avait beau être en fauteuil roulant 8


cela ne m’était que trop égale mais je ne voyais pas, je en savais pas qu’elle me ferait vivre un enfer. Tout beau, tout rose au début, j’apprenais d’elle comme elle apprenait de moi, le fait d’avoir connu une personne handicapée durant mon enfance à du m’aider à accepter la différence. Je me suis mis à l’aimer alors que dès le départ elle me rejetée, j’aurais du comprendre et ne pas insister mais j’étais convaincu que Dieu m’avais confié une mission auprès d’elle. Je lui en parle donc et elle semble me croire, tombe semble til soit mes avances puis nous décidons de nous fiancer. A l’annonce de ce projet, ma mère s’effondre en larme, elle ne comprend pas que je puisse aimer un être différent, une personne qui n’a rien demandé à personne et qui du jour au lendemain, à cause d’une simple polio, se retrouve à vie, bloqué sur un fauteuil roulant. Le pire c’est que je l’aimer vraiment. Mon père acceptera mieux cette annonce, de toute façon que ce soit ma mère ou mon père, ils en ont jamais eu 9


rien à faire de moi. L’amour de leurs enfants ils ne connaissent pas ! Nous n’inviterons que nos parents et nos témoins à nos fiançailles, ce qui mettra de l’animosité dans les familles mais nous avons du tout payé, surtout le mariage qu’à par la pièce montée offert par ma belle mère, nous avons touts pris sur nous de régler. Mon père ne viendra pas aux fiançailles, pour le mariage il était mort entre temps, suicidé d’une balle, calibre 22 LR en pleine tête, une Samedi matin dans sa salle de bain. J’aurais du tout arrêté, ne pas me marié mais touts était décidé, il me fallait suivre se que nous avions projeté, j'ai continué à croire que le mariage me ferais du bien, que ce serait une bonne thérapie mais je ne savais pas que j’avais pris comme épouse un monstre qui ne comprend rien à rien. Jamais je n'ai pu lui dire que mon père c’était livré sur moi à des pratiques sexuelles douteuses, que me mère pour garder son petit confort personnelle elle fermer les yeux sur des choses là. N’importe qu’elle mère digne de se nom, aurait réagit, ne se serait pas défilé à ses responsabilités, en me dite pas qu’elle ne 10


savait rien, ou du moins qu’elle ne se doutée de rien. Nous nous somme donc marié le 28 Juin 1986 en la Mairie de Saint Nicolas de Port. De cette unie naitrons deux filles, Nadeige en 1988 et Elodie en 1992. Heureuse d'avoir pu procrée malgré ses deux avortement, ma compagne commence à devenir pénible et me rejette petit à petit. Alors je me mets à boire et à fumer, chose que j’avais arrêtée en me faisant baptiser par l’église évangélique de Vandoeuvre. Celle que je croyais aimer me tourne chaque jour un peu plus le dos, le fait d’avoir était licencié de mon entreprise en 1988 n’arrange rien et pourtant, j’ai suivit une formation en informatique entre 1988 et 1990 qui m’a amené à un niveau d’étude de BAC plus 2, les propositions de poste n’ont pas manqué mais ma compagne voulait que je trouve un poste, pas trop loin et à mitemps. C’était d’un ridicule quand je pense maintenant de la façon qu’elle m’a jeté. De me retrouvé toute la journée, avec elle à la maison mes nerfs n'ont pas tenue le coup, moi qui ais un terrain favorable à la dépression de vais 11


commencer à me faire du mal, beaucoup de mal, punir se corps qui à fécondé un corps que je commence peu à peu à ne plus aimer voir même à détesté. Je torture mon esprit, je torture mon corps, je cherche à me nuire voir même à me détruire. Je cherche l’oubli, oublié le passé oublié de m’être fait enculé par mon père qui avait l’air d’apprécier. C’est dur de se débarrassé d’époux surtout quand il ramène l’argent du foyer, que c’est grâce à lui que toi ma mère, tu as ton petit confort. Tu nous as abandonné à ce taré, à ce personnage vicieux, violent et pédophile. Notre signale de détresse tu n’en a pas tenu compte, tu l’as ignoré, dois-je un jour te pardonner. Je suis resté douze ans avec cette femme, Marilyne le temps de lui donner deux enfants, de lui assurer le confort et pour le reste elle s’en ait chargé, en me faisant interner en psychiatrie. La souffrance que mon corps endurait depuis des années à commencé à me submerger, à prendre sur moi l’ascendance et la dépression et devenu permanente, maniaco-dépressive me dit12


on avec des périodes bipolaire ou je change totalement de personnalité, je deviens un autre avec des poussés sexuel délirante mais en tant que femme, dans la peau d’une femme. Je trouve les mots, je ressens les sensations d’une femme mais je garde le désire de resté homme. La vie et la mort en moi se combine, pour faire naitre des choses en moi presque divine et pourtant si morbide. Je reste un instant sur cet esprit de jouissance et de souffrance en même temps. Mais en moi c’est la souffrance qui domine et culmine toujours et chaque fois que je me souhaite devenir un adulte ordinaire mais il y à au fond de moi trop de choses amer, des choses que naguère me détruisant et aujourd’hui le fruit et bien mûre. Mon père autrement était un très bon bricoleur, sa voiture il la connaissait par cœur. Je l’accompagné parfois dans ses montages de meuble qu’il crée luimême, les naufrages d’autres bricolages qu’il voulait détruire, mais récupérer le moindre clou la moindre vis, qu’il mettait dans des boites bien rangé sur une étagère. Il était un peu maniaque sur le rangement et la propreté, ma mère 13


devait faire les choses bien propre et à sa façon. Nous avons toujours aimé les bêtes, surtout les oiseaux. Pour un chardonneret que nous avions récupéré tombé du nid, quelques années plus tard nous nous somme retrouvé avec toute une volière d’une cinquantaine d’oiseaux. La grande volière je l’ais construit avec mon père, elle était monté sur les roulettes de la vieille machine à laver. Les oiseaux ont fini par la fenêtre un soir que mes parents se soient encore une fois querellés. Comme ils voulaient touts deux avoir le dernier mot, mon père s’est écrasé mais ma mère une fois couché, mon père à ouvert la volière et dehors à chassé les oiseaux. Il n’a pas voulu démonter la cage, c’est moi qui m’en suis chargé, clou par clou, vis par vis, en deux jour la volière fut démonté. Des morceaux qu’en a-t-il fais ? Je me le suis longuement demandé, la seule chose qu’il m’a dit sur celle affaire, c’est que notre oiseau adoptif, « titi » le chardonneret s’en était allé en direction du foyer de personne âgés. A mon avis seul dans la nature il à du mourir de faim car il n’était pas habitué à seul s'alimenta. 14


La chasse aux oiseaux de volière fut ouverte tout le Week-End pour l’entourage qui, avec des épuisettes ou des filets à papillons, cherchait à attrapé nos oiseaux. Nous ne devions en aucun cas en récupérais ne serais-ce qu’un seul, les oiseaux pour nous c’était fini pour toujours. Les oiseaux partis, place peu à peu à la sodomie. Il me disait que cela était ordinaire, qu’entre un fils et un père cela est naturel alors moi je le croyais. Je ne voyais rien de mal, de lui faire des fellations jusqu'à l’éjaculation pendant son érection mais si je trouvais cela dégueulasse, il me tenait la tête sur son pénis et me disait « suce, mon fils suce, cela fait du bien tu en prendras l’habitude ! ». D’autre fois c’était la pénétration de son « zizi » dans mon anus, il me chauffait avec ses mouvement d’arrière en avant, jusqu'à se que sans en moi un corps liquide est plus froid s'écoula, il étouffé une profonde jouissance puis se retiré. Je lui demandais pourquoi il faisait ses bruits, il me répondait que je comprendrais plus tard. J’ai voulu en parlé à ma mère mais ce n’était jamais le moment, elle trouvait 15


naturel que mon père nous rejoigne le Dimanche dans la salle de bain pour « soit disant » nous laver le pénis avec de l’alcool se qu’il faisait cela dit, mais pas tout de suite, non avant Monsieur prenait son pied. Et puis ma mère nous ne devions jamais la contrarier ni lui dire des choses qu’elle ne voulait pas entendre, si nous elle nous collait elle-même une bonne raclée avec le martinet qu’elle avait toujours sous la main. Quant elle piquait ses crises de nerf nul ne devait se trouvé sur son chemin ou alors nous étions quitte pour ne pas aller à l’école qu’elle que jours tellement nous étions marqué. Ou alors elle prétendait que nous étions enrhumés et que nous devions rester bien couverts même en classe. Heureusement pour elle qu’à cette époque et à Saint Nicolas de Port, il n’y avait pas de piscine autrement l’institutrice aurait vue les marques. Le sentiment pourri, d’avoir été trahi, par des adultes en qui j’avais tellement confiance durant toute mon enfance, je me suis dégouté de toute la société. J’ai appris à ma méfier du moindre ami, de mes collègues et quand je fais confiance, ce n’est pas pour faire semblant, mais je crois que je serais 16


toujours déçu. Sauf peut-être par certaines personne mais surtout pas par des hommes ! La seul fois que mon père m’a appelé « mon fils », c’est le jour ou il à fait du fromage de tête avec sa cervelle et une balle de 22 long LR Je m’en rappellerais toujours car pour moi se fut la fin d’une page de mon existence, la mort d’une partie de mon enfance, le démon était mort. Il avait choisi de partir à sa façon, qui allait dire que moi-même je chercherais, quelques années plus tard, à mettre fin à mes jours. T’elle père, t’elle fils, regardait plutôt ma grand-mère, comme elle je suis têtue et bornée, je n’aime pas être contrarié dans mais plans, je suis mes idées jusqu’au bout sans m’en écarter. Je pense avant que l’on ne me demande certaine choses. Comme si je devinais les pensées des gens qui me font face. Je dis toujours « j’aime les problèmes car il y a forcement une solution ». Du chemin de ma naissance, sur la route de mon existence touts n’a étais que mensonge, silence et violence. Comment voulez vous que je ne veule pas mettre un terme à mon existence ? Les deux seuls fils qui me retiennent à la 17


vie sa ma compagne actuelle et ma psychiatre. Sans eux je suis mort pour touts et cela je le dis haut et fort, elles ne seraient pas la il y a bien longtemps que j’aurais mis un terme à ma vie. Seulement il faut dire aussi que la vie elle-même un jour a un terme, que l’on peu estimer ou définir à l’avance ; Moi cela je l’ais fais sans être voyant ni prophète j’ai décidé que dans x années je devais cesser d’exister ! Le chemin de la mort, C’est celui que j’ai suivit, En me mariant avec cette abrutie, Le chemin de la mort, Trop tard je l’ai compris, Que ma compagne et impie, N’a jamais cherche à comprendre, Elle n’a jamais eu le cœur tendre. A part pour ses désirs, Moi, je pouvais moisir, Dans cette église, en apparence, Ou on loue l’existence, D’un Dieu que l’on vénère, Sans commettre l’adultère, De prier d’autres Saint en son sein, Mais prier et partir l’esprit serein, C’est très facile pour les crétins. Cela semble facile pour ceux qui suivent et se taisent, 18


Moi j’avais trop de rancœur en moi qui me pèse, Je n'ai pas de nostalgie de mon enfance, J’en garde surtout l’énorme souffrance, Celle de ne pas avoir été épargné, Cette vie je veux donc l’abréger.

La route imaginaire que je m’étais fixé, Mon père et ma mère y on mit des lacés, Sur lesquels je ne doit pas dérapé, Je ne dois pas être un rescapé, Je dois avec eux survivre, Même s’il me faut souffrir. D’une enfance radieuse, rieuse et qui passe sans la moindre joie, Quand le soir, après le compte rendu, mon père sans donnait à cœur joie, Il prenait l’un de nous pour un punchingball, C’est souvent Sylvère qui en tenait le rôle, Ma mère de nos cris, Calme dans son lit, Trouvait cela normal et très bien, Faisait celle qui n’entendait rien, 19


Pourtant comment les hurlements de mon frère, Me faisait prier en moi le prince des enfers, Pour qu’il hôte à mon père cette vie, Le paradis pour moi c’était fini. La douleur de ses coups je m’en foutais, La rage et son courroux il m’enchantait. Mon père je le haïssais, Comme je maudissais, Les freins de sa voiture quand il s’arrêtait, Tout près de la porte de notre entrée. Il descendait de voiture et la porte il ouvrait, Au point mort, sa voiture doucement il entrait, Comme j’entendais, très inquiet, Les mouvements quand il se déplaçait, La maison qui parcourait et s’arrêtait, A la salle de bain pour se déshabillé, Son pyjama il mettait, Allait aux cabinets, Dans sa chambre il montait, Ma mère elle l’attendait, Toute sa journée avec nous elle lui racontait, Alors c’était l’heure maudite des raclées. 20


Quand venait mon tour c’était pour moi comme une délivrance, L’angoisse, le stress venait alors la brutale souffrance, Ensuite le calme revenait avec quelques pleurs à peine étouffés, Mon père et ma mère eux devaient être parfaitement satisfait, Mis à part pour elle-même c’est vrai, Jamais vu de ma vie ma mère pleurer, Peut-elle seulement avoir de la pitié, J’en doute elle est comme de l’acier. Les Eglises sont faites pour les gens bien portant, Pour tous ceux qui peuvent donner de l’argent, Pour les exclues de la société, Il y a de nombreux foyers, Aux résidents bien souvent alcoolisées, Se regardent dans un écran de fumé, L’alcool et le tabac il y a de quoi se ruiner, Alors pour compensé ils font peu a diner, Dans la plupart de ces foyers, Qui ne sont pas malfamés, Il est facile d’y entrée, Mais pour le quitter, Il faut beaucoup de volonté, 21


Car il te faut sacrifier, Les mauvaises habitudes que tu y as attrapées, Moi j’y ais vécu la solitude, le mensonge, le rejet. Dans le foyer ou je suis allé, Le temps passe devant la télé, A l’heure du repas les résidents te regarde manger, Eux sont en train de s'alcooliser et t’enfumer, Et de commenter ta moindre bouchée, De te dire que sait bien cuisiner. J’ai pris un temps, l’habitude de les accompagner, De massacré gravement la modeste santé, Nous nous racontions les histoires de chacun, Minou qui ne rentait que le matin, Prétendait avoir passé la nuit avec une belle inconnue, Alors que ivre, il été resté au poste en garde à vue, Oui tout cela je l’ais connu et entendu, Car moi-même je fus un de ses exclus. Après la naissance de Nadeige en 1988, l’ambiance chez moi à commencé à se détérioré, ma femme n’a pas supporté 22


de passé au deuxième plan car il y avait le bébé. Elle n’avait don plus au lit, son petit déjeuner. Moi qui ne m’étais jamais battu pour un poste, je me retrouvé au chômage, je découvrais l’ANPE et les ASSEDIC. Pas pour longtemps car je débutais vite une formation d’analyste programmeur, de niveau 3. J’eu en suite divers propositions de postes sur la ville de Metz mais à plein temps, ma femme voulant que je m’occupe d’elle et du bébé qui avait à ce moment, un peu plus d’un an, voulait, exigée que je trouve un temps partiel, ce qui est impossible à ce niveau d’étude. Je me mis à déprimer, à m’alcooliser et cherche à mettre fin à mes jours à plusieurs, reprises. Grâce au soutient de ma Généraliste je parviens à faire face à mes « démons » et quant Elodie est née en 1992 je travaillais comme animateur scolaire pour la compte de la Mairie de Nancy en ateliers informatique dans divers écoles et un centre social. L’été j’étais technicien vélos et Monsieur clés au centre aéré de Gentilly, mais l’alcool que je commencé à consommé de plus en plus souvent et en quantités plus importante devint un problème. Je dénigrais mais les faits été 23


la, je suis devenu alcoolique dépendant entre 1993 et 1997, ces quatre années furent les années d’installation de mon alcoolisme. Avant je buvait normalement, j’étais capable de me passé d’alcool pendant plusieurs semaines voir des mois alors que dès 1993 l’alcool devint pour moi aussi « utile » que de consommer un verre d’eau. Je prenais conscience de mon état, je me maudissais et pourtant je prenais l’habitude de boire au moins un demi-litre de bière toutes les heures. Après des tentatives de suicides ratés, je cherchais une prise en charge psychiatrique, je demande conseil à des amis, à chaque fois je tombe sur des hommes qui se foutent de moi, du moins c’est l’impression qu’ils me donnent, alors je demande à ma Généraliste qui me conseil une femme, la psychiatre qui me suis toujours à cette heure en 2011. Mais j’ais beaucoup de problème dont certains je n’ose lui avouer, alors je continu à déprimé et à faire des tentatives de suicides et à m’alcooliser. En 1998 rien ne va plus, je suis désormais alcoolo-dépendant et je prends en plus des antidépresseurs, je me retrouve interné de force en Hospitalisation à la Demande d’un Tiers 24


« HDT », pendant 6 semaines. Je trouverais le moyen de t’entailler le bras gauche pendant mon hospitalisation, ils me mettront cinq jours en isolement. Ma femme de ne me rendra pas une seule visite, seul ma mère viendra de temps en temps avec quelques friandises permis par l’hôpital, après tout nous ne sommes pas des bêtes en psychiatrie. Mais j'ai fais une promesse à la psychiatre qui me suivait dans l’unité de soins ou j’étais. Je lui ais dis que : si ma femme me fait la gueule ou que sa se passe mal à ma sortie, je me suicide en sortant. Je sors en Juin 1998 de l’unité, c’est ma mère qui vient me cherche pour me ramener à Pulnoy à mon domicile. J’arrive, je somme, il n’y a personne, je soulève les oies à l’entrée de la maison, les clés sont en dessous alors je rentre chez moi. Première chose je regarde le jardin, je pense qu’une bonne tonte ne lui ferait pas de mal alors je décide, après une petite bière, de tondre la pelouse quand le téléphone sonne. (c’est une tondeuse électrique presque silencieuse et la téléphone gueule fort). Halo …..

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C’est toi Stéphane, que-est-ce que tu fais là ? Je croyais que Marilyne avait demandé le divorce ! Je n'ai pas de dire deux mots qu’elle raccroche ! Je ne fini pas de tondre la pelouse, je nettoie la tondeuse, je ferme le garage et part tranquillement à la pharmacie. Ma femme me trouvera quelques heures plus tard, sur le lit de la chambre d’ami, dans le coma. A cet instant, personne ne le sait encore mais pour moi, commencera un voyage et j’entre verrais un monde que je n’aurais de cesse de vouloir voir encore une fois, le chemin des morts ! Quelques jours je me réveille avec des tuyaux partout que je m’empresse d’arracher, on m’attache et me rebranche, du moins en parti puis-ce-que je respire seul. Pourquoi la mort m’a-telle rejetée, je ne puis accepter cette défaite et suis bien décidé à recommencer à la première occasion. Mais pour le moment je dois sortir de la et, comme ensuite on me conduit à l’hôpital psychiatrique pour y voir mon médecin qu’elle prenne avec moi la décision qui me convient le mieux pour le 26


semaines voir, les mois à venir, je laisse les choses se faire. Nous conviendrons d’une hospitalisation de jours, c’est le CMP qui me donnera chaque jour mon traitement. J’accepte le compromis pour le moment, et pour ce qui est de l’hébergement, je résiderais pour un temps chez ma mère mais attention, me dit-elle en arrivant, « je ne veux pas voir d’ambulance devant la maison ! ». Les choses étant claires je me contenterais de m’alcooliser modérément et de faire mes besoins pressens derrières le bureau près de la fenêtre. C’est vous ce que la bière donne envie de pisser. Quelques mois plus tard je pars un matin de la maison de ma mère après une Xième querelle et je passe ainsi mes journées en hôpital de jour et mes nuits, sous un pont sur lequel passe le canal de la Marne au Rhin, qui enjambe la Meurthe dans une ville du Nom de La Madeleine à quatre ou cinq kilomètre de la maison de ma mère. Finalement une amie de l’hôpital de jour me conduit le soir au CCAS de la Ville de Nancy, je passerais quelques semaines dans un dortoir, en accueil d’urgence. Pas question d’alcool dans cet endroit. 27


Je suis orienté vers un foyer pour les sans abris, je fréquente toujours à se moment là le CMP en hôpital de jour. Mais le médecin responsable du service change, cela m’affecte beaucoup, un matin je viens au CMP la tête rasé et complément ivre. Je passe le vendredi à l’infirmerie du CMP avant que le médecin décide de m’hospitaliser dans l’unité ou j’étais. J’y resterais quatre jours puis à ma sortie je dis au médecin de l’hôpital de jour que je ne le supporte pas, que pour moi c’est un incompétent. Il décide de me faire sortir du système psychiatrique hospitalier, je reprends donc mes rendez-vous avec ma psychiatre libérale qui accepte si j’y mets de la bonne volonté. De la volonté j’en mets mais pas toujours pour me sortir de mes problèmes. En 1999, le bras gauche qui s’était nécrosé suite à une injection volontaire de mercure en Juin 1998, me fait de plus en plus mal, je cherche à soulagé la douleur comme je peux mais de cette façon la, ce n’est pas la plus conseillé, je m’entailler la partie nécrosé avec un cutter, une infirmière qui doit venir me faire des soins deux fois par jours me découvre dans une marre de sang, appel 28


le surveillant, qui appels les pompiers et la police vient en renfort. Avec l’injection en intramusculaire d’alcool à 70° que je me suis fais, je ne maitrise plus rien et j’envoie le premier venu à coup de poing valser sans préavis, c’était un policier. Il décident de m’embarquer à l’hôpital, je m’accroche à la rampe d’escalier, pour me faire lâcher prise, un bon coup de rangers dans le main droite, je lâche les barreaux et dans un dernier effort de lucidité, je demande que l’on m’attache les mains dans le dos. Ils me passeront donc à ma demande, les menottes. Arrivée à l’hôpital je suis sans connaissance et quant je me réveille je suis en compagnie d’un infirmier. Il me suivra partout même à la radio pour voir ma main, il y a deux doigts de cassé suis au coup de rangers. Voulez vous porter plainte pour coup et blessures me demande t-ont, moi se que je veux savoir c’est se qu’a comme blessure la personne que je me souviens avoir frappé. Aucune idée me répond t-ont d’un ton sec, alors je réponds que je ne porte pas plainte. J’échappe à l’hospitalisation d’office de je suis placé en « HDT » dans une unité psychiatrique. Moi se que je veux c’est crever, que je n’ai de cesse de dire. 29


Mais au bout de dix jours le médecin, très sympa, m’autorisera une sortie d’une heure par jour, les après midi à l’extérieur de l’hôpital. Jamais durant toute mon hospitalisation qui va durée plus de trois mois, je ne trahirais la confiance du médecin. Je ne recevrais aussi aucune visite, car ma mère et moi nous faisions encore une fois la guerre froide. Ma sortie sera conditionnée par deux choses, mon opération du bras, que l’on me retire une bonne fois pour toute le mercure que j’ai dans le bras gauche et les disponibilités de chambre dans le foyer ou j’étais. Je refuserais en premier lieu l’opération du bras, puis je finirais par accepter au bout de bien des négociations. Le mercure réagissant à la chaleur, l’opération ce fera en salle froide. Pendant l’intervention il y eu comme une micro coupure avec le monde des vivant puis-ce-que je suis allé rôder sur le chemin des morts, j’y est vue cette lumière magique, attirante et inquiétante qui nous donne envie d’aller de l’autre côté, mais la j’y suis allé juste pour que l’on me dise que maintenant, chez les vivant encore je dois rester. 30


A ma sortie d’hôpital je retourne dans mon foyer pour les sans abris puis je suis orienté vers un autre foyer, celui dont je parlé au début sans le citer, il ne vos peut-être pas, c’est mieux ainsi. C’est dans se foyer, dirigé par un bon vivant, encadré par un alcoolique et surveillé par un concierge bipolaire et lunatique, que je me suis retrouvé. Au début, de 2000 à Octobre 2001, je buvais beaucoup, j’étais même profondément alcoolisé du soir au matin et du matin au soir. Sans une certaine dose d’alcool dans le sang je ne me sentais pas bien, sueurs, tremblement, la tête qui tourne. Je me mentais sur mon état, je mentais à touts sur ma consommation, avant ma cure de sevra en Octobre 2001, je buvais onze litre de rosé par jour. Sans était trop, mon frère qui se suicide en plus, pour couronner le tout alors que je m’étais juré d’être le prochain de la famille à disparaître, aura faussé les pistes, je suis dans la famille désormais le seul garant d’un héritage psychique, je dois trouver une personne à qui le transmettre avant de partir si non personne ne sais ce qu’il adviendra de se don. A partir de cet instant tout devient de l’amusement, de la fantaisie, si ma 31


maladie est bien là, mes demandes et mes appels aux secours sont plus dans l’appel d’un besoin de soins plus important, qu’un désir de me suicider même si parfois, je joue vraiment avec le feu. L'Église ne tend pas la main aux français désespérer, Mais elle tend les bras aux étrangers et aux réfugier, Même les choses qu’à l’église nous avons donné, Elle se permet de les faire payer aux français, Quand on voit des étrangers en BMW, Venir aux secours catholique de faire donner Cela donne envie de détruire, de jeter, Les vêtements que l’on à chèrement payer, Même dans les foyers ils sont favorisés, Les fournitures des enfants leurs sont payés, Ils sont touts scolarisé, Avec des cours particuliers. Je ne trouve pas cela injuste mais dégueulasse, Que nos concitoyens dorment dans la crasse, Trop souvent bien alcoolisée, 32


D’un alcool de mauvaise qualité. France, pays des droits de l’homme et du citoyen, As-tu oublié ce que c’est d’être vraiment citoyen. Je ne suis pas raciste ni chauvin mais français, J’ais servi mon pays pendant toute une année, Rendons seulement justice, accueillons nos français, Laissons les étrangers ou ils veulent, mais ce démerder.

Dans les foyers, A la nuit tombée, L’alcool le brouille de ses vapeurs, Il se jette sur femme en chaleur, Touts deux nue ils vont baiser, Elle les cuisses bien écartées, Et les deux corps flasque de mollusques fait pitié à voir, Baiser et boire c’est le quotidien dans ce triste mouroir. Le temps que j’ai passé dans cet endroit, Je n’en ais pas eu le moindre choix, C’était cela ou mourir de froid, 33


J’ai donc choisi cet endroit. Mais le foyer cela va pour un temps, Si tu ne veux pas faire semblant, Tu te retrouve dans tes retranchements, Et la mort s’approche de toi lentement. Aujourd’hui les amis que j’avais, Furent virés, déménagé ou décédés. On a probablement du m’oublier, Je ne crois pas que je sois regretté, Tout n’a fait que simplement passé, Pour eux même l’avenir appartient au passé. Ils sont des piliers d’une micro société, Qui tourne en circuit fermé, J’en suis sorti je ne le regrette pas, Cette demeure n’était pas pour moi. Ne recherche jamais la vérité dans ces foyers, Le mensonge, la trahison sont les plus courantes des monnaies, Le chemin de la mort, T’a jeté le pire des sorts, Alors regarde-toi, Et surtout tais toi. La vie reste même si tu vécu avec des abrutis, Toi tu dois vivre dans un monde même impie. 34


Je n’éprouve aucun plaisir de mon enfance, La peur, l’angoisse et la violence, Ce fut l’horreur du quotidien, Mon père de ma mère avait le soutien, Cette mer d’égoïsme sans fond dont les rivières, N’irrigue que ses propres petites affaires. De ses enfants elle n’en a strictement rien à faire, Mon seul frère dont elle fut vraiment fier, C’est celui d’un homme qui n’est pas mon père, Il est mort mais son esprit règne dans l’atmosphère. Mais ne croyait pas qu’elle se moque totalement de nous, Non, je dis simplement qu’elle ne dit que du mal de nous. Elle n’aime pas que l’on contredise ses plans, Touts doit être écrit noir sur blanc, Qu’il ne soit plus possible de faire autrement, Les choses parfois vont avec le temps. Cela elle ne le comprend pas, Ou elle ne le veut pas. La contrarier, 35


Ne pas y penser, Ce serait mettre des relations en danger, Mais avec touts ce qu’elle n’a pas fait, Afin de nous protéger, Mère tu dois être jugé. Mourante et seule au monde, Seule dans se lit immonde, Personne pour te tenir la main, Personne que ce maudit papier peint. La vie nous prépare à la mort, Mais quand celui-ci nous poursuit, Qu’il face jour ou qu’il face nuit, Y a-t-il une arrivée au port ? Dans cette longue vie dont j’ai souvent voulu mettre un terme, Mais le chemin de la mort devant moi à chaque fois se ferme, Depuis ma naissance mon esprit est en errance, Entre la révolte et l'apaisement il y a violence. Je vie ne m’a jamais rien apporté de valable, Seulement de petits plaisirs, des trucs jetables, Du près à consommer, D’où je me suis résigné, A prendre comme un passager, Prend un croissant avec un café, 36


Au bar place du marché, Il croise les habitués. Des sentiments, quel sentiment, Je passe ma vie à faire semblant, N’est t-il pas l’heure d’arrêter le temps, De prendre pour moi un long moment, Et sans mentir d’aimer vraiment, En 2006 ce fut un événement. Amoureux je le suis véritablement, Le meilleur c’est qu’elle m’aime autant.

Ma mère Élise nous a toujours menti. Pour commencer elle nous à dit s’être marier à sa majorité alors qu’elle avait 19 ans, avec Mr Fernand Marcel Gaston SOYER. Il est à noter que cela c’est passé le 25 Octobre 1954 ! A cette époque la majorité était à 21 ans, ma mère étant née le 3 octobre 1935, elle n’avait pas 21 ans en 1954 ! De cette union naitra un fils Serge en 1955 mais le mariage fut dissous le 9 Avril 1957. En fait elle quittera son mari le lendemain du mariage prétextant des violences conjugales. J’ai rencontré Mr SOYER en 1984 au Havre, ce dernier m’a confirmé mes soupçons par lequel ma 37


mère c’est marié avec lui pour avoir un gosse et surtout, afin d’obtenir la majorité anticipé ! Il prêtant n’avoir jamais levé la main. Le mariage fut dissous le 9 Avril 1957, elle se remarie le 14 Avril 1958 avec Michel Georges Paul CROCHEMORE. De cette union naitra Olga CROCHEMORE en Mai 1958 ! Mon père me confiera plus tard qu’il s’est marié avec elle par obligation car elle était enceinte de lui d’après ce qu’elle lui avait affirmé. La meilleur fin que l’on puisse souhaiter à ma mère, qui n’a pas sus protéger ses enfants à temps, qui joue l’ignorante à présent, c’est de resté en vie le plus longtemps possible et de voir ses enfants, partir un à un inexorablement. Qu’elle n’est plus personne pour venir la voir, plus personne à la maison pour lui dire bonsoir, ni le matin pour chercher son pain. Quelle n’est que ses murs comme seule compagnie, sa vieille barque en ciment, comme lieu d’hébergement. Elle qui à tant voulu d’enfant qu’elle en soit la seul survivante. Dans la famille nous somme touts suicidaire ou à la veille d’un cancer, faisons par notre absence, gouter 38


à ma mère les joies de l’enfer, d’être délaissé, abandonné comme moi je l’ais été. Mes amis m'ont trahi, ma famille ne me donnait plus signe de vie jusqu’au moment ou il y a eu un mort. La encore c’est la secrétaire du foyer qui me l’a appris. Je ne fus pas invité aux obsèques mais il y à un secret une chose que ne peut contrôler que si la mort nous vient en aide. Ce sont nos dons, des dons qui nous viennent de notre grand même paternel personne dans la famille ne le sais ou ne le crois, cela ne se fait pas avec des bouts de papier comme les cartes, ni avec du marre ni rien de matériel comme support, le don vient naturellement, il se réveille généralement à la puberté. Moi au départ je croyais que d’autres lisait en moi comme je pouvais lire en eux. J’ai du apprendre à triché sur mes pensées, à induire en erreur ceux qui cherché à lire au font de moi. Je suis donc devenu un parfais menteur, capable de trompé froidement un détecteur de mensonge pour ne pas que l’on lise en moi. La logique et mon esprit d’analyse joue également un grand rôle dans les capacités que j’ai. J’ai commencé à m’apercevoir de mes aptitudes lorsque mon père et moi, à maintes reprises, 39


nous avions les mêmes idées, au même moment, au même instant, cela était surprenant. Impossible de savoir qui avait eu l’idée avant l’autre. Ma vie ne fut ponctuée que de choses, que je savais avant la ou le principale intéressé, cela en à étonné plus d’un, moi maintenant cela me laisse froid. C’est n’ai plus un don pour moi, cela fait parti des mes sens du quotidien, je n’en fais plus cas ni même, plus attention que le fait d’entendre ou de voir. Voir, entendre, savoir…… savoir ce que l’on ne veut pas nous dire car on en à parfois honte, mais pourquoi ? Pourquoi trahir une confiance car on à peur d’aide mal vue, d’être couvert de ridicule, d’être considéré comme une mauvaise mère. La honte et le ridicule ne tue pas, le mensonge par contre se paie cher. Que faire ? Entre un père qui prend des plaisirs mal-saint et une mère ne faite rien. Que faire ? Quant ma mère me dit qu'elle m'a nourrir au sein alors que sur les photos, touts jeune, on voit qu'elle me donne le biberon. Le sein c'était que pour faire bien, pour dire qu'elle à fait comme les autres alors que sur le fond, elle ne faisait que de l'eau, elle n'a jamais eu de lait. Combien de fois 40


mon père m’a dit, qu’il se plaignait d’elle car elle mettait plein de liquide incolore dans le lit après avoir eu un enfant. Elle n’avait pas de lait mais sa poitrine était gonflée d’un liquide comme de l’eau. Elle n’aurait jamais put nous nourrir au sein car elle était incapable de produire du lait, elle ne faisait que semblant, pour faire comme sa mère et dire, prétendre avoir nourri elle-même ses enfants. A quoi cela sert-il de mentir sur ce sujet ? Ma mère nous à menti aussi pour sa mère, elle dit que sa mère voulait lui prendre mon demi frère Serge par jalousie, elle nous à toujours dit que sa mère la croyait incapable « d’élever » j’insiste sur le terme élevage, comme si nous étions des bêtes, je disais donc élever des enfants. Ce n’est pas vrai, en fait sa mère doutait de sa capacité à nous apporter le minimum qu’une mère doit savoir prodiguer à ses enfants, nourriture, protection et abris. En fait quand ma grand-mère à récupéré Serge lorsqu’il était Bébé, il était rachitique, maigre comme une arête de poisson, il manquait du nécessaire pour sa croissance, pour son évolution. En fait ma mère le nourrissait au sein et dans ses seins, il n’y avait RIEN, pour permettre à 41


l’enfant de prendre du poids et grandir normalement. Ma grand-mère à souhaité le meilleur pour mon frère qui était de le prendre avec elle pour lui apporter, ce que ma mère était incapable de lui donner. Ma mère c’est donc battu pour récupérer son fils, elle à fait un procès à ma grand-mère qu’elle à gagné, mais ma grand-mère ayant droit de visite et de regard sur l’enfant Serge, ma mère et mon père ont demandé leur mutation à Nancy alors qu’il habitait à cette époque la ville du HAVRE. En se retrouvent à 512 kilomètres de sa mère, elle était sûr que cette dernière n’irait pas fouiner dans ses affaires. Ma mère et mon père nous mentaient, ils nous a toujours menti c'est pour cette raison, entre autre, que nous sommes incapable de leurs accorder la moindre confiance. Que faire ? Si au moindre problème, mon père s'enferme dans sa voiture, tremblant de peur, et nous dit de nous occupé de la terreur qu'est devenue notre mère. La solution c'est d'appeler le médecin pour qu'il lui face une piqûre, mon père en suite, lorsque tout est redevenu calme, sort de sa voiture dont il à besoin tôt le matin pour travailler. Il 42


par tranquillement se couché, comme si de rien été. Moi j'en profite pour lui neutralisé ses vises platinées, le matin impossible de démarré il devra se rendre à pied sur la route principale de Saint Nicolas de Port, pour prendre un bus et allé travailler. La terreur et la peur réglaient l'angoisse de l'ordinaire chez nous, avec un père vicieux, une mère qui en vos pas mieux et qui trouve normal de laisser son mari, chauffeur de bus sans la moindre qualification, le moindre diplôme ou brevet, faire des injections intramusculaire à ma grande sœur Olga, il aurait put lui fusiller cent fois le nez sciatique. Il l'aurait rendu handicapée par son incompétence et par l'indolence et genre foutisme de ma mère. Mais le pire c’est que mon père ne faisait cela que pour voir le joli petit cul de ma grande sœur Olga. Il l’a même pénétré par le vagin, alors qu’elle était encore toute jeune pour, soit disant, lui stabilisé ses règles. Il m’en à parlé lui-même en me disant que la meilleur façon d’être régler pour une femme c’est d’avoir au moins un rapport, il ma dit lui avoir mis les doigts puis la poire à lavement anal. Je ne savais pas à l’époque, que cet acte 43


était considéré comme un viol, un acte pédophile et pervers. Ma mère elle regardait et laissait faire, complicité passive d’une femme soumise. Soumise au point de nous laisser nous faire enfermer dans le noir pendant des heures pour nous punir, soumise au point de nous laisser nous faire massacrer le soir quand il rentrer, soumise au point de nous laisser pendant des heures à genoux, le dos bien droit, sur du gros sel, soumise et j'en passe......... Elle a toujours regardé à l'argent, ce qu'elle dépense, ce que mon père gagne et ce que nous devions ne pas dépense. A 18 ans nous devions travailler pour occupé nos vacances, pas question de glandouiller à la maison, l'argent que nous gagnons pendant nos vacances était mis sur une compte pour que cela nous rapporte, puis nous nous faisons un budget pour l'année avec l'argent mensuel à dépenser et celui à économiser absolument. C'est comme cela que j'ai pus inviter ma petite sœur Elisa à venir en sortie avec mes copains, mon amie et moi même. Mon père, un éternel malade, quand nous allions chez le médecin avec 44


lui, il parlait tellement de ses petits bobos qu'il oubliait parfois de nous faire ausculter. C'est quand le docteur, nous entendant tousser, qu'il voulait voir cela de plus près et nous soignait. Mais la encore mon père se permettait un diagnostique faux mais..... C’est le médecin qui c'était trompé, alors il nous faisait prendre ce qu'il lui semblait être justifier, selon lui. Pour un père qui donne du Valium à ses enfants, le soir pour ne pas qu'ils faces de bruit, pour qu'ils dorment plus vite, son royaume c'était son atelier et surtout, sa très grande armoire à pharmacie. Autant qu'il était doué pour le bricolage, tout était fait solidement mais très grossièrement, il ne fallait pas compter sur lui pour les finitions, nos ceux-ci était réservé à de petites mains comme les miennes à l'époque. Mais dans touts les bricolages que je faisais avec lui, il y à une domaine que je n'ai jamais voulu touché, c'est le gaz ! J'ai terriblement peur du gaz et du feu, au point que j'en suis devenu une manique de la prévention et de la sécurité en se domaine. Je n'ai pas peur de toucher à une chaudière mais à condition d'avoir coupé le gaz en amont, la ensuite je 45


démonte radiateur et autres périphéries reliés à la chaudière, mais je ne touche pas à la chaudière, jamais ! Le mensonge dans la famille était devenu un mode de vie, une façon comme une autre de communiquer, mais quand la vérité se révèle au grand jour alors on ment encore et on s’enfonce, jusqu'à pousser des colères et faire taire celui qui par malheur a raison. Avec le mensonge ma mère à construit sa vie et son devenir, avec le mensonge et son regard parfois inquiétant, elle cherche à dominer toutes les personnes qui ne sont par en accord avec elle. Elle est vorace de jalousie mais ne partagera avec les autres se qu’elle a uniquement, en échange de bons compris. Ses amis elle les achète avec de belles paroles et des vantardises qui n’ont rien de réel, rien de vrai, juste un peu imaginaire. Je n’envie son mode de vie qui est sans vie, chaque jour son menu, chaque semaine ses habitudes, chaque repas son vocabulaire, « comment c’est ? C’est bon ! » Point bar on passe à autre chose. Celui qui apprend à vivre se prépare à mourir ! On apprend quand on ne sait pas, quand on ne sait plus, vivre quoi de plus 46


naturel dans la vie que vivre. Si tu ne sais pas vivre c’est que tu as commencé à mourir, que tu n’as plus goût à rien et que tu veux en finir. Choisir la vie c’est refuser de mourir, peut-on refuser de mourir alors que cela même est aussi naturel. Moi je prends la vie et j’accepte le compromis de mourir un jour. Le chemin des morts est long, le tunnel que je croyais froid et désert ne l’ait pas, moi je l’ais vu vivant et plein de mouvement. Le centre blanc n’est pas véritablement blanc, il semble figé mais n’est pas fixe, il ondule et vibre, donne l’impression de respirer comme un poumon, sans pour autant faire de bruit. Mais cela ne veux pas dire que tout est calme, loin de là, il y a des murmures, de subtile souffle léger qui vous passe à proximité et vous dit dans son langage : « que fais tu la, tu n’es pas sur la page ! ». Le chemin des morts n’est pas un endroit mort, il bouge, tourne et reçois sans cesse en présent, l’âme de chacun des défunts, l’esprit qui par, monte et s’engloutit dans cette lumière appelante, douce et si agréable que l’on veut la touché, y mettre la main et se faire 47


absorbé. Une douceur de lait, une odeur de si fine que l’on n’a pas encore goutée mais qui se laisserait tenter. Le chemin des morts est ponctué de nuées, d'éclairs bleutées et d’ombres pressées. A quoi ais-je du ressemblés dans cette étrange tunnel de l’éternité. J’ai vu, mon âme à vu en esprit cet endroit par deux fois, coïncidence ou unique sentence, es deux fois était dans une contexte différent, j’étais peut-être dans le même hôpital mais la raison de mon EMI n’était pas la même. La première fois j’avais tenté de me suicider, la deuxième fois je me faisais opérer. J’étais donc sous anesthésie la seconde fois alors que la première fois j’avais absorbé d’énormes quantité de barbituriques. Toujours est-il que ce que j’ais vu, je ne l’ais pas inventé, j’y suis allé et j’aurais bien aimé y rester. Est-ce-que j’ais véritablement traversé cette substance laiteuse et sec, douce et lisse d’où émane tant de lumière. Oui je le crois et j’en suis même certain. J’y ais rencontré nos pères, parfois six, parfois douze, je les ais surnommés mes entités, femmes ou hommes je n’en sais rien, ils se tiennent chaque fois debout devant moi pour me 48


dicter ce qui est bon pour moi. Certains me diront que je suis victime l’hallucination mais alors, commence expliqué que je suis au courent que choses que personnes, mis à part les morts ou ceux qui sont vivant, mais qui le cachent profondément, qui ne veulent absolument rien dire ni reconnaître, que je sais les choses qui se sont passé avant ma naissance et dont-on ne m’a jamais rien dit. On se croit sauvé quand les témoins sont morts, mais la mort n’épargne personne, surtout les vivants. Le conseil des anciens, les entités vont un jour me quitter, mais ce sera pour rejoindre la ou les personnes dont j’en ferais hériter. La connaissance n’est pas celle de se monde, elle appartient à un monde meilleur mais parfois vengeur. Alors ne croyons pas être épargne par celui que l’on à blessé, en fonction de se que l’on a fait ou de se qu’on en a fait de se que l’on a fait, une sanction tombe ou ne tombera jamais. La mort épargnera ou n’épargnera pas ceux qui se croient à l’abri de toutes choses malgré la destruction qu’il ou qu’elle a semée. Les mort ne sont pas condamné au silence, ils crient vengeance, alors petite sœur, toi qui fut épargné et qui ose protester et te 49


levé contre celui qui t’a protégé, sache que ta vie durant tu va gouter à l’amer outrage des adultères bien cachés, tu auras la honte d’être la risée d’être cocufié par un époux qui n’aura de cesse de se parjurer. Le pardon, qui a inventé le pardon ? Quel belle ânerie, ceux qui prétendent pardonner sont les pires des menteurs car en fait, ils se vengent un jour ou l’autre. Prenait exemple sur ma grande sœur, il à chanté à touts le monde je j’étais puceau avant mon mariage et que nous n’avions (mon ex-épouse et moi), jamais fait l’amour avant de nous passé la bague au doigt, s’était fait, je n’étais pas puceau, mon ex-épouse s’était fait avorté deux fois, à cause d’un autre homme mais, qu’en savait-elle des nuits que je passais chez ma fiancée. Les belles règles de l’église évangélique de Vandoeuvre, des bêtises que l’on applique selon la tête du client, ce n’est en fait qu’une association cultuelle, comme il y en à des milliers en France qui font leurs règles selon que vous vous investissiez ou non. Toute est affaire d’argent comme dans toutes les sectes, si vous êtes rentable alors on vous garde, si vous ne faites pas les 50


choses comme eux l’ont décidé, on vous vire. Moi j'ai pris le parti de servir le Dieu de la Bible, de toute évidence se n’est pas le leur ! Prétendre être vierge alors qu’elle s’envoyait en l’air avec un homme marié, c’est d’une grossièreté immonde. Pourtant c’est la vérité, prétendre être vierge alors qu’elle sait parfaitement que sont père l’a pénétré avec divers objets qui ne l’on plus rendu vierge au sens physique tu terme. Elle en a probablement honte mais qu’elle ne chante pas se qu’elle ne sait pas. Ne pas confondre et s’indure en erreur, la Bible n’est pas Sainte, elle à était écrite pour permettre à l’homme de servir Dieu, la Bible n’est pas Dieu ! Respecter la bible c’est lui accorder l’importance qu’elle n’a pas, qu’elle n’a jamais eu, la bible n’est qu’un bouquin comme un autre à la différence, c’est qu’elle est un mode d’emploi pour servir un Divinité. Alors maintenant venons en à cette divinité, croyez-vous que Dieu existe ? « Le croyant répondrons de suite OUI ». Faites-vous confiance à Dieu ? « Logiquement c’est la même réponse », au XXIème siècle vous demandez à un Chrétien si, devant vous, à cet instant 51


précis, il est près à mourir maintenant au nom de Dieu, il trouvera toujours une excuse pour vous dire que ce n’est pas le moment, pourtant dans les premiers siècles de nombreux Chrétiens l’on fait et ils n’ont pas inventé d’excuses ! Non, les sectes et les églises d’aujourd’hui sont les premières des escroqueries, ils ne sont intéressé que par la gloire ou par l’argent, ils ne font plus dans le sentiment, paroles et encore des paroles, jamais rien de concret, mis à parle la bonne vieille église Romaine je parle des églises Catholique, Orthodoxe ou même encore, l’armée du salut, les autres c’est de la foutaise, bonnes à jeter aux punaises. Pour ce qui est des sectes comme les plus connues telle que les témoins de Jehova, le mormons, les évangélises quelque soit leur dérivés, leur enseigne dirais-je. Il y à comme marqué sur la boite, « lisez le mode d’emploi avant d’ouvrir », puis en tout petit, presque invisible il y a d’écrit « attention danger, contamination mortelle ». Touts ces imbéciles qui nous déblatère l’avenir de l’homme au travers de ce bouquin qu’il appel la bible, ce sont des crétins, qu’ils la bouffe leur bible, qu’ils la prennent en 52


pleine gueule et qu’on en parle plus. Un peuple élus ! Ces gens la se mettent au garde à vous devant le nom de Dieu, comme une bite se dresse devant une femme nue, le pénis lui est utile eux ne servent à rien. Une mère, Amer, Ce met en colère, La crise de nerf, Sur sa progéniture, Plus aucun murmure, Juste les murs, Et c’est bien dur. Comme un chat sur un arbre, Veux attraper l’oiseau, Perché au bout de la branche, L’oiseau s'envole de son arbre, Le chat tombe dans l’eau, Du bac placé sous la branche. Un réveil après avoir connu l’expérience de la mort, c’est comme une douche froide après un bon bain chaud. On regrette aussitôt le bain, mais cela stimule assez pour ne pas avoir envie d’y retourner de suite. Est-ce-que j'ai vraiment choisi le meilleur endroit pour en finir avec la vie ? J'en doute autrement je ne serais plus la 53


pour vous raconter ma vie. Mais cet instant où j'ai cru que mon heure était enfin venu, je m'en souviendrais toujours. Ce fus une lente descente au font de moi, dans les entrailles de ma conscience ou, si l'on veut, de mon inconscience. Puis touts devient irréel, le tunnel ne ressemble pas à celui que certains m'ont décrits, la vie dans ce milieu n'est ni aérien, ni sous-marin, il est un mélange des deux. Ce qui devrait être lourd ne l'ait pas, se qui semble à vue d'œil léger pèse des tonnes et colle au sol comme une tache. La vie n'est qu'une illusion, les choses que je croyais être pures ne le sont pas, ceux que je croyais horrible et mauvaises ne le sont pas. Mais qu'est-ce qui est vrai dans se monde, qui a t-il de bon ? La réponse je la trouverais en moi, comme elle est en chacun de nous, elle nous appartient et n'appartient qu'à nous. Nul ne peu se l'approprier à notre place, elle est une et une seule uniquement, la vérité vient du désert aride calme et sans vent, comme elle vient des océans fougueux et rageurs de pluies et de vent violent. La vérité vient de la tempête de sable qui pénètre partout et qui déplace les dunes, comme 54


elle vient du soleil brulant en plein océan. Impossible de boire sans devenir totalement fou. Ma vérité est que Dieu n'a pas élu un peuple ou une église, Dieu dont le don d'être un est plusieurs à la fois ne fais aucun doute, se montre selon la face qu'il décide de montré, je n'ai pas vu Dieu non car en fais il n'existe pas ! Se suicider c'est décider de tenir le diable par queue, sa passe ou sa casse ! Soit tu réussi et s'en est fini avec ta vie, soit tu te rate est tu en aura toute ta vie les séquelles, visibles ou totalement invisible mais elle sont là. Tu les retrouveras dans tes rêves ou tes cauchemars, dans les œuvres que tu feras mais ne laisse jamais faire à ta place ce que ton imagination aura commencé, ce ne sera pas se qui t'auras été dicté de créer. La volonté est une histoire de conscience projeté vers un objectif à atteindre, ne te fis pas aux autres, fais selon qu'il t'ait donné de faire, tes dons ne doivent pas êtres mis en danger par un ami qui va tout saccager. Sache que ton pire ennemi réside en ton esprit, il n'est ni à tes côtés, ni devant, ni derrière il est en toi, dans ton cœur et ton corps. Ne cherche pas à 55


l'en déloger, le mal fait parti du bien, il sert à montré le chemin qui te servira demain, à trouvé la voix qui t'emmènera vers un horizon juste, qui n'appartient qu'a toi. Ne cherche pas de miracle dans la vie, le seul miracle c'est que rien ne se fini jamais, il y a un commencement puis une éternité après un moment plus ou moins long, dans un corps fragile et stupide, qui ne sais rien, qui crois touts mais en fait, que savons nous vraiment. Simplement ce que l'on nous apprend, c'est-à-dire rien si non à faire la guerre et à nous maudire entre gens de sang et de chaire. Que sont les humains si non des être de chaire et de guerre, personne dans un monde ordinaire aimerais faire la guerre, seul un humain faible en esprit et en actes croit que pour être fort il faut dominer les autres. La plus grande des forces c’est savoir renoncer à soit même pour être un avec l’univers, le monde des humains n’est rien, il n’est en rien comparable à celui des morts mais pourtant ne fait qu’un avec ce dernier. Il faut vivre pour mourir, exister pour pouvoir décéder, un humain ne peu, ne doit pas prendre se qui nous est donner d’être, d’avoir été. 56


Exister puis disparaître n’appartient pas à ce monde dans lequel nous évoluons, il n’est pas donner à l’humain de ne plus être. L’anéantissement, seul les impies et ceux qui on un cœur vide peuvent croire que tout peu disparaître. Même les imbéciles croient qu’il existe ce qu’ils appellent le paradis, alors pourquoi les crétins le croient et pas ceux qui ce disent intelligents. Il faut croire que la connaissance et l’intelligence ne sont pas la même chose que d’avoir vu et connu les choses. Je vivais dans un monde en buées et floue, j’ai connu la mort et en suis revenu et je sais maintenant que de tenter les choses, elles ne viennent pas à point. Je nommerais la mort le jour elle viendra me cherche, je la laisserais me prendre sans faire de difficulté, même si de souffrances, je dois la payer. L’instant viendra où ma vie prendra le chemin des morts, celui de l’infini d’un monde sans frontière sans guerre ni conflit. Je vivrais alors la vie que j’aurais choisi, sans rien pour me nourrir, sans personne pour me pourrir l’existence, ceux ou bien accompagné je serais avec ceux que j’aurais choisi d’aimer. La mort ne coup aucun pont, la mort n’est pas un pont vers un autre moi, je ne compterais plus 57


les mois car le temps ne dépendra que de moi. La mort m’a appris aussi une chose, c’est de ne jamais vouloir persuader les personnes qui prétendent détenir la vérité, ils on touts raisons mais en faits ce sont des cons. Trace ta route trace, les aux imbéciles le choix de leurs voie, trace ta route trace, ils ont touts une jambe de bois, leurs chemin vire à tribord et ils tournent en rond dans leur débilitée. Je ne crois pas et j’en suis même certain, que la foie n’a rien à voir dans le fait d’aller ou non dans une sorte d’endroit ou un autre. Il y a le fait indéniable qu’il y a réellement un ailleurs et que ce dernier nous fait signe, il nous fascine mais pour communiqué avec lui, il faut mourir un jour. Bien venu chez les vivants toi qui est aujourd’hui décédé car tu va vraiment goûter à la vraie vie, celle qui est dessinée pour toi depuis l’aube de l’humanité, celle qui t’a été préparé pour que tu puisses l’occupé mais en ton temps. Ne soit pas gourmand et prend seulement ce que l’on te tend. Inutile de faire plus ni moins pendant ton vivant dans la chaire, mortelle mais fait selon qu’il t’ait donné de faire. Ne donne point 58


se qui ne te soit acquit pour redonner, garde se qui te faut garder. La vie d’autrui ne t’appartient pas, ne la prend pas, elle se retournerait contre toi d’une façon ou d’une autre. Ne prend pas même ta vie pour partir vers l’infini, cela non plus n’est pas permis, mais choisi de faire de ta vie une offrande mais surtout, ne joue pas les martyrs car tu souffrira cent fois, du sang des innocents que tu aura pris. Ne crois jamais que le pardon et acquit à chaque fois que tu te confesse, que tu demande le pardon, les rancunes peuvent être tenace, encore plus chez les pratiquants d’une religion ou d’une secte. Il n’y à pas plus athée que le croyant qui va chanter la gloire de Dieu, car il ne connaît pas ce DIEU ! On ne connaît que ce que l’on à gouter, gouter à DIEU c’est dire qu’il n’existe pas au sans qui ne se voit pas, il ne se touche pas, DIEU c’est toi, c’est lui, c’est moi. Il n’y a pas d’élu, il n’y a pas de bannis et plein toi, meurt si tu le veux mais sache que mourir c’est aller d’un endroit à un autre, faire le voyage infini et prendre la place qui nous est acquit dès notre fécondation. Admettre le bigbang c’est admettre qu’il y à eu un commencement et donc qu’il 59


puisse y avoir une fin. En fais se que je sais c’est qu’il y avait, que ce fut anéanti pour qu’autre chose soit créer. Cela est ainsi est se poursuivras éternellement, il n’y aura ni fin comme il n’y a jamais eu de commencement. La vie était, est et sera, c’est comme cela et ça ne changera jamais. L’univers change, les hommes change, le monde change mais l’existence sera toujours présente d’une façon ou d’une autre. Depuis la naissance de la Terre, le sexe a toujours fait parti d’un mode de vie particulier, de pratiques particulières. La méthode sauvage et brutale de l’être dans la préhistoire, à la manière pudique et presque secrète du moyen âge. Mais en touts temps elle à connu ses dérives de plus en plus courantes, plus fréquentes de nos jours. Les homosexuelles bannies autrefois sont devenues à la mode, même une référence et ne doivent surtout pas souffrir de discrimination. Être un enculé ce n’est plus une insulte, c’est normal car presque touts le monde y passe un jour ou l’autre. Cela est presque une fierté de s’annoncer bi ou homo, moi cela ne me gène pas mais il ne faut pas me prendre pour un con, comment voulait vous avoir 60


des enfants entre deux mecs ou deux femmes. Cela serais contre nature, de na pas laissé à la nature, la manière de procrée. Choisi d’être un enculé, ce n’est pas donné à tout le monde car le faire subir à un enfant, cela est horrible. Mais entre adulte c’est leur choix, ne jugeons pas mais alors, qu’ils ne s’en vantent pas car ça, c’est de la connerie à l’état pure ! Le chemin des morts n'est pas celui que l'on crois, il n'y a aucun morts, il n'y a que des esprits vivants. Certains se croient bannis mais en fait il le croient simplement car ainsi le ressent leur esprit. Mais dans l'immense univers, chacun a sa place, la sagesse et faite pour ceux qui n'en on pas par nature. Celui qui la dispense doit savoir se remettre en question, il est hors de propos de dire à un individu, qu'il doit suivre des instructions propres à sa destruction. L'anéantissement ne pouvant être total, l'être en question se voit privé d'un avenir pour lequel il était fait. Il fait froid, l'univers est froid, le cosmos est froid dans la nuit étoilé mais les étoiles, ne sont-elles pas des 61


fournaises nucléaire indomptable. Sur les planètes même sur lesquels la vie n'a jamais exister, les volants jaillissants à l'improviste. La puissante colère des entrailles de la planète, nous montre que touts est née de là, du centre des planètes née une forme de vie primaire, de la lumière de l'astre née une vie plus évolué. Une étoile, un soleil pour une planète avec des milliards de personnes, imaginez se que cela donnerait avec un trou noir à proximité. Une distorsion temporel dans un univers à trois dimensions, quelle forme d'existence physique et mentale aurait cette vie. Probablement quelque chose de très complexe et particulièrement évolué, si cette vie existe, si elle se trouvait à proximité de nos ou même parmi nous. Pourrions nous les voir, aurions nous seulement conscience de leurs présence, est si ils se faisaient passé pour des DIEUX, ils n’en auraient probablement aucun mal. Notre technologie actuel n'a rien de magique pour nous à notre époque mais il y a seulement deux cent ans, les téléphone portable était du domaine de l'impensable, du surréalisme. De grands visionnaires se sont fait passé pour des fous, alors qu'ils ne disaient en 62


leur temps que des choses d'une évidence basique à notre époque. Savant je ne le suis pas, ni visionnaire et encore moins prophète mais il y a une chose dont je suis certain, c'est que nous avons, pas très loin de notre système solaire un trou noir. Les êtres qui en sont issues ont colonisés depuis très longtemps notre terre et nous vivons en parfaite harmonie avec eux. Mais qui sont les vrais terriens, nous qui sommes nés sur cette Terre ou eux qui l'ont colonisé bien avant que nous apparaissions à la surface du globe. Ils ont simplement commis l'erreur de détruire nos prédateurs, faisant de nous le prédateur suprême. Ils font avec nous, pour le moment, mais pendant combien de temps encore ? Je m'aventure très loin en disant cela, mais qui est maître de cette planète, l'occupant ou son parasite, ne va t'en pas un jour détruire le parasite afin de laissait l'occupant évoluer en paix. A moins que le parasite dans sa folie détruise touts et face fuir l'occupant, mais le parasite peut-il vraiment évoluer à un point ou il ne serait plus un parasite bon à tuer son prochain. Le parasite peut-il se comporté comme une créature 63


véritablement évolué, ne pas se laissé berné par des choses basique, primaire comme les DIEUX, mais croire en une évidence plus concrète. La logique veux que pour passé d'un endroit à un autre, le plus cours chemin soit la digne droite. Regarder un objet qui entre dans l'atmosphère, s'il ne veut pas bruler, être détruit par ce qui protège la planète et qui lui à donner la vie, c'est de tourner autour. La ligne droite peu parfois être synonyme de destruction. Croire en des choses simpliste peu être parfois évidente, mais très dangereuse, alors simplement faisons comme la nature nous l'indique, tournons et examinons les choses avant d'y adhérer. La créature à besoin d'un maître, d'un être supérieur pour commettre des exactions, s'en croire permis. Quant serait-il s'il était livré à lui même et, que c'est en face de lui même qu'il aurait un jour des comptes à rendre. Ni mal, ni bien, que lui face à lui même sans jugement si se n'est sa propre conscience contre sa conscience. Cruel sentence que de se juger soit même, de se dire à soit même, je mérite en mon 64


âme et conscience cette avenir pour moi même, maintenant et pour l'éternité. Prouver une évidence à un aveugle en lui indiquant un endroit et lui demandé comment il le trouve, c'est de la bêtise. Alors imaginez prouvé à des scientifiques que le monde n'existe pas, qu'il n'est qu'une grande farce, une énorme illusion, qu'il est mort, c'est faire croire à un muet qu'il peut parler, qu'on l'entend très bien. Les bactéries et les microbes ont toujours était, bien avant nous, au temps des dinosaures ils existaient déjà. Elles sont incroyablement petites, pourtant elles peuvent nous tuer ou nous aider à vivre, cela dépend de leur origine, de ce qu'elles sont. Parfois nous devons faire le choix de détruire dans notre corps, touts notre système immunitaire, car celui-ci est devenu comme fou. Les bon comme le mauvais va disparaître en attendant que les médecins aident le corps à en reconstruire un nouveau. Pendant se temps l'individu est placé en isolement total car il peut attraper toutes sorte de maladie, il ne peut plus se défendre. Ne soyons pas les bactéries ni les microbes de la Terre, soyons un peu plus que cela. Ne soyons pas les parasites, 65


certain bien que très utiles au cycle de la vie ils rejoindront les morts en leur temps. Les hommes ne servent de toutes façon à rien dans cette univers, à part faire la guerre et se qui est inquiétant, c'est qu’ils trouvent toujours leurs victimes comme dangereuse. Ce sont les autres qui mettent le feu, jamais celui qui tient le combustible et l'allumette. Nous devons savoir que l'avenir de l'homme est en sursis, un jour viendra ou tout sera fini, l'homme retournera dans les entrailles de la Terre dont-il est sorti. Le verre est utile à la terre car il l'aère, cela est bon pour les cultures, le verre est bon pour la pêche, son existence à cette instant devient cours. Le verre d'eau pour boire ce liquide précieux qui donne la vie. Le ver du poète rythme la vie des chanteurs, la poésie est précieuse mais le verre est fragile. A force de servir il fini pas casser, il s'use ou on le délaisse par dépit. Ainsi ce que l'on croit acquit, durable n'est qu'une illusion, une fantaisie, de la contrefaçon, de la comédie. N'oublie pas que jadis tu es sorti d'un pénis et que tu t'es développé dans une corps étranger. Même si celui si ne l'a fait que pour ses intérêts, par plaisir ou pour se venter, 66


leurs corps se sont entremêlée pour te féconder. Tu est, tu existe et existera, mais qu'en sera-t-il de toi, aura tu ne serais-ce qu'un toit pour te mettre à l'abri. Ta vie dépend de toi et de toi seul, le pardon n'existe pas plus que l'amour, touts cela ne sont que des paroles, de l'hypocrisie au nom d'un Dieu. Dieu n'est fait que pour les gens immoraux, c'est à dire les gens normaux, les autres en on pas besoin car ce sont des assassins, des barbares ou des crétins ou alors ils sont déjà mort, mort à la vie mes vivant dans la mort. Ne crois pas que ton corps soit sauvé, il ne le sera que si tu admet que la vie mérite qu'il soit sacrifié à l'existence pour lequel y a été créé. Donne ta vie, ton argent la mort s'en fout, c'est ta vie qui sera sauvé le moment venu. Mon ami, Te crois-tu à l'abri ? Mais la pluie, Elle mouille des habilles, Une nuit, Tu seras engloutie, Car la mort, Te prendra quand tu dors ! Moi elle m'a épargnée, J'en ais eu des regrets, 67


Mais la vie en moi se poursuit, J'avais une œuvre non accomplie, Est-ce que cela maintenant est fini, J'attends donc mon heure dans mon lit. Chaque jour qui passe, Chaque une vie s'efface, De la Terre sans moi, Je compte les jours, les mois. Pourquoi lui s'en va et pas moi, Cela est injuste mais c'est comme ça. Je tire sur la corde raide de la vie qui s'écoule en moi, J'écoule mon expérience mais on ne me crois pas, Cela devient pénible mais je fais avec, Quand ils auront les os bien sec, Peut-être auront-ils compris que nul n'existe, Sans qu'en eux une chose reste, subsiste, Une chose immortelle qui est et sera à l'infini, Une âme sensible et dure, sera peut-être leur ennemi, Selon non pas qu'il aura accomplie, Selon qu'il aura avec leurs dons, servis. L'existence n'est-elle par la pire des sentences pour ceux qui ne croient pas en la poursuite d'une vie ailleurs et autrement ? 68


L'existence n'est-elle pas une souffrance pour ceux don la vie, pour eux, s'arrête à la mort, à quoi bon vivre si c'est pour périr un jour, pour toujours. L'existence rebelle, belle et parfois presque irréelle, mais elle reste une demoiselle car on ne peut la marier avec la mort, qui n'existe pas ! L'existence n'aurait pas de sens si elle avait une fin, as tu faim de connaître se qui suis le défunt, rien n'est permis, juste un peu le tracé en est donner à ceux qui furent rejetés de cette mort, qui n'a pas voulu d'eux. La mort n'a pas de toit, elle ne veut pas de toi, alors marque le pas et avance dans le chemin des morts. Reste en vie mais ton esprit est désormais ailleurs, avec les morts qui ne se réveillent jamais. Être ici est ailleurs à la fois, absent du réel, un être presque vivant mais mort dans sont esprit. Il crée sans le moindre souci les choses de la vie avec une facilitée déconcertante, mais en lui ne raisonne plus aucune vie, il est mort dans sont corps et pourtant, il est bien en vie. Il sourit, ile aime et suis celle qu'il apprécie mais il ne fait que suivre se que sont corps lui dicte, son âme est avec la 69


mort et attend, elle suit est le dirige mais ne peut intervenir dans sont futur destin. Elle attend qu'il ce décide enfin à faire une pause, qu'il se repose pour toujours alors, elle le prendra elle ils iront par delà des horizons de la raison. La ou ils ne sont pas encore allé vers les allées de la mort. Qui d'entre les vivants est mort, personne ne le sais, personne ne te le dira car on ne se reconnaît pas. Si tu veux subsister, Ou tu as existé, Sache qu'il te faut rester, Encore un peu de temps. Si pour toi être aimer, Se conjugue au passer, Mais ne soit pas pressé, Chaque chose arrive à temps. Lourde peine pour celui qui s’en va, Il à pris le choix de passer le pas, Mais pourquoi est-il parti, N’avais-t-il plus d’ami ? Le monde s’est assombrit, Depuis que tu es parti. Reste la vie de celui, Qui prend la force en lui. 70


Reste la vie de celui, Qui ne se fait pas d’ennemi, Mais combien de gens trahi, Combien d’être incompris.

Je veux par cet ouvrage, rendre un hommage à ceux qui sont morts dans la sombre nuit, qui ont mit fin à leur vie, qui on décidé d’éteindre la lumière de leur vie sur cette Terre. Je veux dire que ces personnes, que j'ai connu ou non, parents ou ami ou illustres inconnu de ma vie. Je dis que la vie pour eux n’est pas finie, elle se poursuit quelque part, ailleurs dans autre monde infini. La mort ne nous prend pas, elle n’embrasse personne, c’est nous ou notre corps qui décide de marquer le pas de l’absence. L’ignorance souvent nous fait croire que nous mettons ainsi un terme à notre existence, la vie prend fin c’est tout. 71


Pour finir je compter une histoire.

vais

vous

Il y avait dans un empereur qui régnait sur d’immenses contrées, un très vaste domaine grand comme notre continent Européen, qui voulait aller et venir à sa guise, de la vie à la mort. Il se rendit voir des mages, des magiciens et des sorciers afin de connaître le secret, qui pourrait lui faire travers cette frontière. On lui dit : Non, cela c’est gère possible ! Il insista et proposa d’énormes sommes d’or et d’argent. Mais l’argent n’est pas le problème, cela ne se fait pas ! Il offrit sa fille, son fils, toutes sa famille en sacrifice, mais cela ne changea rien, ce n’est pas possible. Alors il tua, massacra, extermina tout son empire, jusqu’à se qu’il n’en reste qu’un, lui-même. 72


Alors une nuée argente venu d’on ne sait ou, vient vers lui est l’enveloppa, il devient sec comme son cœur, dur comme la pierre et resta la, des années ou des siècles, le temps prenait son temps. Puis un jour il cassa, son âme libéré de la pierre s’en alla dominer un désert de pierres, il n’en revient jamais.

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Stéphane CROCHEMORE

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FIN

EDITION BLAISE 78


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