Die Politik / La Politique 6/2016

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DIE

POLITIK LA POLITIQUE LA POLITICA Ausgabe 6, März 2016 / Numéro 6, mars 2016

CHF 5.–

Zeitung der CVP Schweiz Le journal du PDC suisse

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DIE POLITIK LA POLITIQUE

Impressum

LA POLITICA

Inhalt Sommaire 3 4–7 8–11 12–13 14–15 16–18 19 20–23 25 26–27

Editorial Christophe Darbellay Agenda Abstimmung Votations Delegiertenversammlung CVP Schweiz Assemblée des délégués du PDC Suisse CVP-Bundeshausfraktion Groupe PDC Vereinigungen und Kantone Groupements et cantons Wahlen 2016 Elections 2016 CVP-Fraktion Groupe PDC Kolumne Columna Hintergrund Colonna

Herausgeberin / Verlag CVP Schweiz, Klaraweg 6, Postfach, 3001 Bern

Editeur PDC suisse, Klaraweg 6, case postale, 3001 Berne

Redaktionsadresse CVP Schweiz, DIE POLITIK Klaraweg 6, Postfach, 3001 Bern Tel. 031 357 33 33, Fax 031 352 24 30 kommunikation@cvp.ch, www.cvp.ch

Adresse de la rédaction PDC suisse, LA POLITIQUE Klaraweg 6, case postale, 3001 Berne Tél. 031 357 33 33, fax 031 352 24 30 kommunikation@cvp.ch, www.pdc.ch

Redaktion Béatrice Wertli, Thomas Jauch, Laura Curau, Philipp Chemineau, Michaël Girod, Sarah McGrath-Fogal, Sarah Perruchoud

Rédaction Béatrice Wertli, Thomas Jauch, Laura Curau, Philipp Chemineau, Michaël Girod, Sarah McGrath-Fogal, Sarah Perruchoud

Gestaltung und Layout Sparn Druck + Verlag AG, Floriana Barman Brüelstrasse 37, 4312 Magden Tel. 061 845 80 60, info@sparndruck.ch www.sparndruck.ch

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Nächste Ausgabe Mai 2016

Prochain numéro Mai 2016

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Editorial

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Abschied nehmen

Ouvrir un nouveau chapitre

Es ist nicht einfach, nach zehn aufregenden, inspirierenden und intensiven Jahren als Parteipräsident der CVP Schweiz Abschied zu nehmen. Für die Zeit, die ich mit der Basis, der Fraktion und all jenen Menschen, die sich für die Partei tagein, tagaus einsetzen, verbringen durfte, bin ich unendlich dankbar. Trotzdem ist es nun Zeit, einen neuen Weg einzuschlagen und meinem Nachfolger viel Erfolg zu wünschen in einem Amt, von dem jemand mal gesagt hat, nur Papst zu sein sei schöner. Ich danke allen, die mich begleitet haben. Ich danke insbesondere unseren 100 000 Mitgliedern und Sympathisanten von Herzen, den sie geben unserer Partei ein Gesicht.

Pas facile de dire « au revoir » à son parti après 10 années captivantes, intenses, et passionnantes passées à sa tête en tant que président. Les rencontres quotidiennes avec notre base et toutes celles et ceux qui s’engagent chaque jour pour notre parti ont été un enrichissement sans équivalent. Quoi qu’il en soit, le moment est venu d’écrire un nouveau chapitre. Je souhaite plein succès à mon successeur dans cette fonction qualifiée par quelqu’un comme étant la plus belle après celle de pape. Je remercie particulièrement chaleureusement nos 100 000 membres et sympathisants qui donnent un visage à notre parti.

Die CVP steht heute im Zentrum des politische Spektrums, leicht rechts der Mitte, dort, wo der Platz ist für die Schweiz, die Familien, für den Mittelstand und für die KMU. Mit zwei Volksinitiativen haben wir das Thema Familie wieder auf die politische Agenda gebracht. Auch wenn momentan die Enttäuschung über die verlorenen Abstimmungen gross ist, so dürfen wir doch stolz darüber sein, dass wir bei der Initiative zur Abschaffung der Heiratsstrafe ein klares Ständemehr erreicht haben. Ausserdem haben uns 49,2 Prozent der Bevölkerung zugestimmt. Das ist das Vierfache unseres Wähleranteils. Ein Erfolg, der nur dank Ihres Engagements möglich wurde. Dafür danke ich Ihnen von ganzem Herzen. Und ich verspreche Ihnen: Die CVP wird sich auch in Zukunft weiter für die Abschaffung der Heiratsstrafe und für alle Familien in unserem Land einsetzen.

Le PDC est au centre de l’échiquier politique, légèrement à droite du Centre. C’est la bonne posture pour défendre la Suisse, les familles, la classe moyenne et les PME. En faisant aboutir deux initiatives, nous avons remis le thème de la famille à l’agenda politique. Même si la déception d’avoir perdu le 28 février dernier est encore grande, nous pouvons être fiers d’avoir convaincu la majorité des cantons du bien-fondé de notre projet de supprimer la pénalisation du mariage. De plus avec 49,2 % des suffrages exprimés, nous avons multipliés par quatre notre pourcentage électoral. Ce succès a été possible grâce à votre engagement. De tout cœur, merci. Et soyez certains que le PDC continuera à s’engager pour la suppression de la pénalisation du mariage et pour toutes les familles de ce pays.

Am 23. April wählt die Delegiertenversammlung in Winterthur meinen Nachfolger. Ich freue mich sehr, Sie dort zu treffen!

L’assemblée des délégués du 23 avril à Winterthur élira mon successeur. Je me réjouis d’ors et déjà de vous retrouver à cette occasion !

Herzlich, Ihr Christophe Darbellay Präsident CVP Schweiz und alt Nationalrat (VS)

Cordialement. Christophe Darbellay Président du PDC suisse et conseiller national (VS)

(Den gesamten Rückblick von Parteipräsident Darbellay finden Sie ab Seite 6.)

(Vous pouvez lire la rétrospective complète de Christophe Darbellay en page 6.)


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Christophe Darbellay

« La plus belle fonction après celle de pape » Pas facile de prendre la plume pour dire « adieu » ou plutôt « au revoir » à son parti après dix ans à sa présidence, selon Franz Müntefering, la plus belle fonction après celle de pape… Mon premier mot est celui de la gratitude profonde envers nos 100 000 membres et sympathisants. Sans eux le PDC ne serait rien, une coquille vide. Les rencontres quotidiennes avec notre base a été l’enrichissement le plus précieux de cette période aussi longue qu’intense, du Tessin au Jura, de Genève à SaintGall. Ma gratitude va aussi vers tous ceux qui assument des responsabilités, élus PDC à tous les niveaux du pouvoir fédéral, responsables de sections, membres de commissions, de comités, petites mains bénévoles lors d’assemblées ou sur les stands de marchés. A l’heure du désengagement et de l’individualisme, j’aimerais saluer cette somme impressionnante de bonnes volontés pour le bien commun. Le PDC est sous pression, mais il regorge de personnalités de grande valeur. Je crois beaucoup au potentiel des jeunes, des nouveaux membres issus de l’immigration, aux familles qui voient dans le PDC le parti qui se préoccupe de leur sort, aux patrons d’entreprises familiales. En dix ans, le parti s’est rajeuni, il est devenu plus militant et contrairement à d’autres, capable de faire aboutir une initiative ou un referendum. Le PDC, version 2016, est mieux à même de faire campagne. Il s’est doté d’une équipe hautement compétente et motivée à son secrétariat général. Sur le plan financier, il est nettement plus solide, même si nos concurrents disposent de moyens qui font penser qu’ils viennent de gagner à l’EuroMillions. Notre mission : des solutions pour tous L’un de mes prédécesseurs, Carlo Schmid a dit un jour, que la mission historique du PDC était remplie. S’il s’agit de l’intégration des catholiques dans l’Etat fédéral, il a raison. S’il s’agit de recréer les bases d’une politique de dialogue et solutions, le PDC a encore de beaux jours devant lui. La Suisse est un

S’il s’agit de l’intégration des catholiques dans l’Etat fédéral, il a raison. S’il s’agit de recréer les bases d’une politique de dialogue et solutions, le PDC a encore de beaux jours devant lui. pays extraordinaire, basé sur des équilibres fragiles. Ce pays a besoin plus que jamais de forces politiques constructives, capables de bander leurs muscles mais pas seulement, car la Suisse a plus que jamais besoin de consensus, de compromis équilibrés. Les grandes questions qui préoccupent la Suisse aujourd’hui – l’emploi, le sauvetage des relations bilatérales avec l’UE, la sécurité au quotidien, le financement durable de l’AVS et du 2e pilier, la nouvelle politique énergétique, la formation, l’immigration – requièrent toutes un centre fort. Au Conseil des Etats, nous sommes encore et toujours la force incontournable qui donne le la. Au National, c’est plus compliqué. Nous ne pourrons imposer nos solutions que dans la mesure où nous serons unis. Et là, il faut reconnaître que nous avons quelques progrès à faire. Le lien entre le parti et le groupe parlementaire doit être renforcé. Celui qui s’engage au PDC a un devoir de loyauté envers sa base, envers son programme. Non, le PDC n’est pas un self-service où les élus prennent ce qui les arrange, du moins sur les questions essentielles. Ces dernières années le PDC a été en mesure de gagner tous les combats contre les initiatives de gauche qui menaçaient le succès de la Suisse. Je pense à nos combats victorieux contre l’impôt sur les successions, l’abolition des forfaits fiscaux, l’initiative 1:12, le salaire minimum. Notre tâche se complique

lorsque les attaques proviennent de la droite. Je pense ici à la déconvenue majeure de la dernière décennie : l’acceptation calamiteuse de l’initiative UDC sur l’immigration de masse. Deux ans plus tard, nous ne sommes pas sortis de l’auberge. Garder le cap L’enjeu politique pour notre parti est d’affirmer encore plus fort et encore plus clairement sa position au centre de l’échiquier politique et de refonder un Centre moderne, ouvert, populaire, attractif. Le PDC est proche de l’économie et des PME en particulier. Il est fier des valeurs de la Suisse, mais ouvert sur le monde. Il croit en l’avenir de Zurich et de Bâle aussi fort qu’en celui du Malcantone, de Conches ou de l’Ajoie. Le PDC se bat pour des finances saines et une solidarité confédérale forte, mais le fric n’a jamais été une fin en soi. Il doit demeurer un moyen d’atteindre les buts que le pays s’est démocratiquement fixé. Le PDC possède un bel avenir, j’en suis certain, s’il garde les pieds ancrés dans

Nous devons regagner le cœur des électeurs, être plus simples, plus proches et plus directs. ses fiefs historiques et sur les trottoirs de nos villes. Nous devons regagner le cœur des électeurs, être plus simples, plus proches et plus directs. Même à l’heure d’Internet et de la fibre optique dans les vallées alpines les plus reculées, le contact direct reste le lien le plus important. Et puis surtout le PDC, qui se situe clairement dans le camp bourgeois, ne doit pas oublier la maxime « be different or die ». S’il s’allie le plus souvent avec la droite, il peut s’allier avec tous les partis, lorsque cela sert ses projets. En Suisse, il n’y a pas de solutions sans alliance stable de trois grands partis. En ce


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sens, nous ne devons avoir aucune inhibition. Une majorité pour la création de places de crèches avec la gauche ou pour la dépénalisation fiscale du mariage avec l’UDC ne veut pas encore dire que nous couchons avec le diable. Ainsi le PDC se doit de revendiquer des positions offensives en politique familiale et d’assumer comme parti une responsabilité sociale pour suppléer aux radicaux, modèle 1848. Il en va de même sur les questions énergétiques, éthiques et environnementales, comment pourrait-il en être autrement pour un parti chrétien ? Bon vent à mon successeur et à son équipe Le PDC suisse est aujourd’hui clairement positionné au centre de l’échiquier politique, légèrement à la droite du Centre. C’est la bonne position pour la Suisse, pour les familles, la classe moyenne et les PME. Nous avons remis le thème de la famille sur l’agenda politique et fait aboutir deux initiatives populaires. Deux fois en un peu plus de 100 ans d’histoire. Ainsi nous sommes plus profilés. Nous devons faire encore mieux, être plus unis et plus engagés encore sur les grands

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thèmes qui préoccupent nos concitoyens et là il est inutile de viser les places d’honneur, il faut être le numéro 1 sur l’un ou l’autre thème les plus importants aux yeux des Suisses. Force est de constater que la famille et le sort de la

Mon parti préféré met l’être humain au Centre de l’action politique, il respecte le pouvoir des communes, des cantons dans un Etat fédéraliste et solidaire, respectueux des minorités. classe moyenne, là où nous sommes les leaders ne sont pas (encore) considérés comme les préoccupations majeures du X XIe siècle. Cela ne veut pas dire que

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nous nous en désintéressons. Au contraire, gardons le cap ! Je souhaite bon vent à mon successeur et à la nouvelle équipe de présidence. Garant du fédéralisme et du respect des minorités La politique suisse a fortement évolué en dix ans. L’omniprésence des medias, l’accélération et la complexification des sujets politiques, l’agressivité du débat public, l’emballement de la démocratie directe, l’imprévisibilité des décisions… Ce monde-là ne nous facilite pas la tâche. Ce monde-là aime les extrêmes, les slogans simplificateurs, le blanc et noir. Je demeure toutefois convaincu que ce monde a besoin plus que jamais de réconciliateurs, de solutions et de couleur. La mienne est orange. Mon parti préféré met l’être humain au Centre de l’action politique, il respecte le pouvoir des communes, des cantons dans un Etat fédéraliste et solidaire, respectueux des minorités. Le PDC en restera le garant. Christophe Darbellay Président du PDC suisse, anc. conseiller national (VS)


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«Nur Papst sein ist schöner» Parteivorsitzender zu sein, sei das schönste Amt neben dem als Papst. Mit einer solchen Ansage des ehemaligen deutschen Vizekanzlers und Parteichefs, Franz Müntefering, scheint es nicht gerade einfach, nach zehn Jahren als Parteipräsident «Adieu» oder vielmehr «Auf Wiedersehen» zu sagen. Meine erste Empfindung ist eine grosse Dankbarkeit. Ich danke unseren 100 000 Mitgliedern und Sympathisanten von ganzem Herzen. Es sind die Menschen, die einer Partei ein Leben und ein Gesicht geben. Un immense merci à vous! Die häufigen Treffen mit unserer Basis sind für mich die wertvollste Bereicherung einer langen und intensiven Zeit gewesen, sei es im Tessin oder im Jura, in Genf oder in St. Gallen. Meine Dankbarkeit richtet sich auch an alle CVP-Mandatsträger auf allen Stufen – Bund, Kanton, Gemeinde-, Kommissions- und Vorstandsmitglieder, freiwillige Helfer bei Versammlungen oder Standaktionen. Das Engagement für eine Partei ist umso bemerkenswerter, als dass wir in einer

Die häufigen Treffen mit unserer Basis sind für mich die wertvollste Bereicherung einer langen und intensiven Zeit gewesen. Zeit leben, in der Trend zur Individualisierung in der Gesellschaft stärker wird und Freiwilligenengagement zurückgeht. Bravo, an all jene Menschen, die sich für das Gemeinwohl einsetzen und sich dafür verpflichten. Die CVP steht unter Druck, doch sie verfügt über eine Vielzahl wertvoller Persönlichkeiten. Ich glaube fest an das Potential der Jungen, der Neumitglieder, der «Patrons» von Familienunternehmen, der Familien, welche die CVP als die Partei betrachten, die sich ihrer annimmt. In zehn Jahren ist die Partei jünger gewor-

den, kämpferischer und – im Gegensatz zu anderen – fähig, eine Initiative oder ein Referendum zustande zu bringen. Die CVP Version 2016 ist stärker im Campaigning. Das Generalsekretariat ist jetzt mit einem hoch kompetenten und stark motivierten Team ausgestattet. Finanziell ist die Partei nun deutlich stabiler aufgestellt, auch wenn die Konkurrenz über Mittel verfügt, die einen Lotto-Gewinn vermuten lassen. Unser Auftrag: Lösungen für alle Einer meiner Vorgänger – Carlo Schmid – hat einmal gesagt, der historische Auftrag der CVP sei erfüllt. Dabei hat er die Eingliederung der Katholiken in den Bundesstaat gemeint; und das stimmt auch. Doch was die Schaffung einer politischen Grundlage für Dialog und Lösungen angeht, so ist die CVP noch lange kein Auslaufmodell. Die Schweiz ist ein aussergewöhnliches Land, das auf einem empfindlichen Gleichgewicht aufbaut. Mehr denn je braucht dieses Land konstruktive politische Kräfte, die Stärke beweisen. Genauso braucht die Schweiz Konsens und ausgeglichene Kompromisse. All die wichtigen Anliegen, welche die Schweiz aktuell beschäftigen – Arbeitsplätze, Rettung der Bilateralen, Sicherheit im Alltag, langfristige Finanzierung der AHV und der 2. Säule, neue Energiepolitik, Ausbildung, Zuwanderung – erfordern ausnahmslos eine starke Mitte. Im Ständerat sind wir immer noch die stärkste Kraft, die den Ton angibt. Im Nationalrat ist es etwas komplexer. Dort können wir Lösungen nur dann durchset-

zen, wenn wir geschlossen auftreten. Da gibt es Verbesserungsbedarf. Die Zusammengehörigkeit und Zusammenarbeit

Die Annahme der MasseneinwanderungsInitiative ist eine der ärgsten Enttäuschungen des Jahrzehnts. zwischen Partei und Fraktion muss weiter verstärkt werden. Wer sich bei der CVP engagiert, hat eine Treuepflicht gegenüber der Basis, gegenüber dem Parteiprogramm. Die CVP ist kein Selbstbedienungsladen, in dem die Mandatsträger das einkaufen, was ihnen gerade dient – zumindest in zentralen Fragen. In den letzten Jahren war die CVP immer in der Lage, die gefährlichen und bedrohlichen Initiativen der Linken zu bekämpfen. Ich meine damit unsere Siege gegen die Erbschaftssteuer, die Abschaffung der Pauschalbesteuerung, die 1:12-, und die Mindestlohn-Initiative. Schwieriger wird es, wenn der Angriff von der Rechten kommt. Die Annahme der Masseneinwanderungs-Initiative ist eine der ärgsten Enttäuschungen des Jahrzehnts. Und sie hat verheerende Folgen. Zwei Jahre später sind wir immer noch nicht aus dem Schneider.


Christophe Darbellay Agenda Auf Kurs bleiben Es ist die politische Herausforderung für unsere Partei, ihre Position im Zentrum noch stärker und unmissverständlich zu behaupten und eine moderne, offene, volksnahe und attraktive Mitte zu schaffen. Die CVP ist wirtschafts- und vor allem KMU-nah. Sie ist stolz auf die schweizerischen Werte und weltoffen. Sie glaubt an die Zukunft von Zürich und Basel genauso fest wie an jene vom Malcantone, vom Goms oder von Ajoie. Die CVP kämpft für gesunde Finanzen und eine starke eidgenössische Solidarität; doch Geld war noch nie ein Selbstzweck. Die CVP hat eine schöne lange Zukunft vor sich, davon bin ich überzeugt – vorausgesetzt sie bleibt weiterhin mit beiden Füssen fest auf dem Boden ihrer Hochburgen und auf den Strassen unserer Städte stehen. Wir müssen das Herz der Wähler erobern; wir müssen bescheidener, volksnaher und direkter werden. Auch im Zeitalter des Internets und der Glasfaser in den abgelegensten Tälern bleibt der menschliche Kontakt der wichtigste. Die CVP befindet sich klar im bürgerlichen Spektrum. Dabei darf die CVP das Motto nicht vergessen: «Be different or die.» In den meistens Fällen spannt die CVP mit den Bürgerlichen zusammen. Sie kann dies aber auch mit jeder anderen Partei tun, wenn es ihren Vorhaben dient. In der Schweiz gibt es keine Lösungen ohne einen festen Zusammenschluss drei grosser Parteien. In diesem Sinne dürfen wir keine Hemmungen haben. Eine Mehrheit mit der Linken für mehr Krippenplätze oder mit der SVP gegen die Heiratsstrafe bedeutet noch lange nicht, dass wir mit dem Teufel einen Pakt schliessen. So soll die CVP in der Familienpoli-

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tik eine offensive Haltung einnehmen und als Partei eine gesellschaftliche Verantwortung übernehmen. Das Gleiche gilt auch für Anliegen zum Thema Energie, Ethik und Umwelt. Wie könnte es bei einer christlichen Partei anders sein? Viel Erfolg meinem Nachfolger und seinem Team Heute ist die CVP Schweiz klar im Zentrum des politischen Spektrums, leicht rechts der Mitte. Das ist der richtige Platz für die Schweiz, für die Familien, für den Mittelstand und die KMU. Wir haben das Thema Familie wieder auf die politische

Es bringt nichts, die Ehrenplätze anzustreben. Wir müssen die Nummer 1 bei dem einen oder dem anderen wichtigen Anliegen der Schweizer sein. Agenda und zwei Volksinitiativen zustande gebracht. Drei Mal in etwas mehr als 100 Jahren Geschichte. Heute sind wir profilierter. Wir müssen aber bei den Anliegen unserer Mitbürger besser, geschlossener und engagierter werden. Es bringt nichts, die Ehrenplätze anzustreben; wir müssen die Nummer 1 bei dem einen oder dem anderen wichtigen Anliegen der Schwei-

Agenda 23.04.2016 25.04.–29.04.2016 30.04.2016 30.05.–17.06.2016 05.06.2016 20.08.2016 27.08.2016 12.09.–30.09.2016 20.09.2016 23.09.2016 25.09.2016 28.09.2016 29.10.2016 05.11.2016 12.11.2016 27.11.2016 28.11.–16.12.2016 06.12.2016

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zer sein. Wir müssen zwar zugeben, dass die Familie und das Schicksal des Mittelstands – Bereiche in denen wir eine Führungsposition innehaben – (noch) nicht als Hauptanliegen des 21. Jahrhundert gelten. Das heisst aber nicht, dass wir uns davon abwenden sollen. Im Gegenteil: Bleiben wir auf Kurs! Ich wünsche meinem Nachfolger sowie dem neuen Team des Parteipräsidiums viel Erfolg. Garant des Föderalismus und für die Rücksicht auf unsere Minderheiten Die Schweizer Politik hat sich in zehn Jahren sehr verändert. Die Medien sind allgegenwärtig. Das politische Geschehen wird schnelllebiger, die Themen komplexer. Die öffentliche Debatte wird aggressiver geführt und die Überbordung, welche die direkte Demokratie begleitet, wird immer stärker. Entscheidungen werden zunehmend unvorhersehbar… Diese neue Welt macht unsere Arbeit nicht leichter. Diese neue Welt steht auf Ex treme, auf simplifizierende Slogans, auf Schwarz-Weiss-Gegensätze. Ich bleibe dennoch überzeugt, dass diese Welt mehr denn je Brückenbauer, Lösungen und farbliche Vielfalt braucht. Meine Farbe ist Orange. Meine Lieblingspartei stellt den Menschen ins Zentrum ihres politischen Handelns. Sie respektiert die Hoheit der Kantone und Gemeinden in einem eidgenössischen und solidarischen Staat, der Rücksicht auf die Minderheiten nimmt. Die CVP ist und bleibt Garant dafür.

Christophe Darbellay Parteipräsident CVP Schweiz, alt Nationalrat (VS)

Alle Events auf www.cvp.ch/events CVP Schweiz JCVP Schweiz

CVP Schweiz JCVP Schweiz CVP Schweiz CVP 60+ Schweiz AWG Schweiz CVP Schweiz JCVP Schweiz CVP Frauen Schweiz

CVP Schweiz

Delegiertenversammlung Sondersession Nationalrat Delegiertenversammlung Sommersession Eidgenössische Volksabstimmungen Sommerparteitag Delegiertenversammlung Schweiz Herbstsession Forum politique suisse FPS Parteitag Eidgenössische Volksabstimmungen Herbstanlass Bern Delegiertenversammlung Delegiertenversammlung Herbsttagung Eidgenössische Volksabstimmungen Wintersession Forum politique suisse FPS

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Winterthur Bern Tessin Bern Schweiz Appenzell Innerrhoden Bern Bern Schweiz Bern Schwyz

Schweiz Bern Bern


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Abstimmung

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Unser Auftrag bleibt die Abschaffung der Heiratsstrafe Das Stimmvolk hat am 28. Februar 2016 die CVP-Initiative zur Abschaffung der Heiratsstrafe äusserst knapp abgelehnt. Die Enttäuschung ist natürlich gross, dass wir mit unserem Anliegen beim Volksmehr nicht durchgedrungen sind. Das klare Ständemehr ist aber ein grosser Erfolg, der nur dank Ihrem Engagement möglich wurde. Die CVP wird sich weiter für die Abschaffung der Heiratsstrafe einsetzen. Dank dem Einsatz von tausenden Mitgliedern und Sympathisantinnen hat die CVP mit ihrer zweiten Familieninitiative nur hauchdünn verloren. 1'609'238 Schweizerinnen und Schweizer haben unserer Vorlage zugestimmt. Die 49,2 Prozent, die ein Mehrfaches über den Wähleranteil der CVP liegen, sind ein Erfolg für die Partei. Heiratsstrafe gehört abgeschafft Das Nein des Volkes ist kein Ja zur Beibehaltung der Heiratsstrafe. Mit Klagen über Steuerausfälle, Spardrohungen und Nebenschauplätzen wurde die Abstimmungsvorlage, die eine Lösung für das jahrzehntelange bestehende Problem geboten hätte, bekämpft. Die Gegnerparteien und der Bundesrat sind nun in der Pflicht, die Heiratsstrafe gemeinsam zu beseitigen. Der Bundesgerichtsentscheid von 1984 muss endlich umgesetzt werden. Zehntausende von Doppelverdiener-Ehepaaren sowie ein Grossteil der Rentner-Ehepaare werden durch die progressive Wirkung des Ja-Wortes bei den Steuern diskriminiert. Die Heiratsstrafe lässt sich weder ökonomisch noch familienpolitisch rechtfertigen. Bürokratiemonster Individualbesteuerung verhindern Die kantonale Finanzdirektorenkonferenz hat sich mehrmals gegen die bürokratische Individualbesteuerung ausgesprochen. Dies vor allem auch, weil die Individualbesteuerung einem administrativen und finanziellen Mehraufwand für die Kantone gleich kommt: 1,6 Millionen zusätzliche Steuererklärungen würden

Viel zu wenig diskutiert wurde im Abstimmungskampf die Benachteiligung der Rentnerpaare bei den Renten. eine massive Mehrbelastung der kantonalen Steueradministration bedeuten. Auch das klare Ständemehr zur CVP-Initiative ist ein starkes Zeichen für die gemeinsame Besteuerung. Bundesrat und Parlament sind angehalten, für die Abschaffung der Heiratsstrafe ein Modell einzuführen, welches nicht im Konflikt mit den kantonalen Steuersystemen steht. Sollte sich das Parlament mehrheitlich für die Individualbesteuerung aussprechen, behält sich die CVP die Option vor, das Referendum dagegen zu ergreifen. Willkürliche Plafonierung anpassen Viel zu wenig diskutiert wurde im Abstimmungskampf die Benachteiligung der Rentnerpaare bei den Renten. 87 Prozent der eingetragenen und verheirateten Rentnerpaare in der Schweiz sind von einer Plafonierung bei der Rente betroffen. Während Konkubinatspaare 200 Prozent der Rente erhalten, ist diese für sie auf 150 Prozent begrenzt. Die kommende AHV-Revision bietet die Gelegenheit, Korrekturen vorzunehmen. Eine Gesamtbetrachtung der Leistungen der Sozialversicherung ist hier zwingend, jedoch darf die Witwenrente nicht mit der Rente gleich gesetzt werden. Danke für Ihren engagierten Abstimmungskampf Ich danke allen, die sich in den letzten Jahren mit Herzblut, Engagement und viel Zeit für die Initiative zur Abschaffung der Heiratsstrafe eingesetzt haben ganz herzlich. Vom Sammeln der Unterschriften über die Plakatierung bis hin zur Verteilung von 12 000 Rosen: Ohne die aktive CVP-Basis hätten wir ein so gutes

Resultat nicht geschafft. Ich freue mich, auf Ihre Unterstützung auch bei den weiteren Schritten hin zur Abschaffung der Heiratsstrafe zählen zu können.

Gerhard Pfister, Nationalrat (ZG), Projektleiter Abstimmungskampagne, Mitglied des Initiativkomitees


Votations

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Notre but reste l’égalité fiscale du mariage Le 28 février 2016, une très faible majorité du peuple a rejeté l’initiative du PDC pour l’égalité fiscale du mariage. Nous sommes bien sûr très déçus de n’avoir pu convaincre la majorité de la population du bien-fondé de notre initiative. En revanche, la majorité au Conseil des Etats est une victoire mémorable qui n’a été rendue possible que grâce à votre engagement. Le PDC continuera à s’investir en faveur de l’égalité fiscale du mariage. Grâce à l’engagement de milliers de membres et de sympathisants, la seconde initiative du PDC pour les familles n’a été rejetée que d’un cheveu. 1 609 238 Suisses ont voté en faveur de notre projet. Ces 49,2 % – bien plus que le pourcentage d’électeurs du PDC – sont une victoire pour le PDC. La pénalisation du mariage doit être supprimée Le NON du peuple n’est pas un blancseing au maintien de la pénalisation du

mariage. Le projet de résoudre une problématique qui subsiste depuis des décennies a été combattu à grands coups de menaces de pertes fiscales, de mesures d’économies et d’autres instrumentalisations. Les adversaires de l’initiative et le Conseil fédéral ont désormais la responsabilité d’œuvrer ensemble en faveur de l’égalité fiscale du mariage. L’arrêt du Tribunal fédéral de 1984 doit être enfin appliqué. Des dizaines de milliers de couples mariés à deux revenus, ainsi qu’une grande partie des couples de retraités, sont discriminés en raison de l’effet progressif de l’impôt. La pénalisation du mariage n’est ni justifiée économiquement, ni en matière de politique familiale. Eviter le monstre bureaucratique qu’est l’imposition individuelle A plusieurs reprises, la Conférence des directeurs cantonaux des finances a pris position contre la bureaucratique taxation individuelle. Et ce, surtout parce que l’imposition individuelle constitue pour les cantons une charge administrative et financière additionnelle considérable : en effet, les administrations cantonales devraient traiter 1,6 millions de déclarations d’impôts supplémentaires. La majorité sans équivoque du Conseil des Etats en faveur de l’initiative du PDC est également un signal clair en faveur de l’imposition commune. Le Conseil fédéral et le Parlement sont enjoints d’introduire un modèle d’égalité fiscale du mariage qui n’entre pas en conflit avec les systèmes fiscaux cantonaux. Si une majorité du Parlement devait s’exprimer en faveur de la taxation individuelle, le PDC se réserve le droit de saisir le referendum. Corriger le plafonnement arbitraire La discrimination des couples de retraités a bien trop peu été abordée durant la campagne de votation. 87 % des couples mariés et des partenaires enregistrés à la retraite dans notre pays sont concernés par un plafonnement de leur retraite. Tandis que les couples concubins

La discrimination des couples de retraités a bien trop peu été abordée durant la campagne de votation. touchent 200 % de retraite, cette dernière est réduite à 150 % pour les autres couples. La révision de l’AVS à venir offre l’opportunité de procéder à des corrections. Il faut absolument considérer les prestations des assurances sociales dans leur ensemble, sans toutefois les assimiler à la rente de survivants. Merci de votre engagement durant la campagne de votation Je remercie de tout cœur ceux qui, ces dernières années, se sont engagées avec ardeur et ont investi beaucoup de temps en faveur de l’initiative pour l’égalité fiscale du mariage. De la récolte de signatures, en passant par la pose d’affiches, jusqu’à la distribution de 12 000 roses : sans sa base aussi active, jamais le PDC n’aurait obtenu un si bon score. Aussi, je me réjouis à l’idée de pouvoir continuer à compter sur votre soutien dans nos efforts en vue d’obtenir l’égalité fiscale du mariage.

Gerhard Pfister Conseiller national (ZG), responsable de la campagne de votation, membre du comité d’ initiative


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12 000 Rosen verteilt – ein grosses Dankeschön an alle! Einen Tag vor dem Valentinstag hat die CVP in der ganzen Schweiz 12 000 rote Rosen verteilt. Sie machte damit am Tag der Liebe auf die Abschaffung der Heiratsstrafe aufmerksam. Wir danken allen Beteiligten ganz herzlich für ihren Einsatz!

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Votations

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12 000 roses pour la justice et l’égalité fiscale du mariage ! Aujourd’hui, un jour avant la Saint-Valentin, le PDC a distribué 12 000 roses dans toute la Suisse. Il profite de la fête des amoureux pour attirer l’attention sur l’égalité fiscale du mariage. Le 28 février, le peuple aura la possibilité de mettre enfin un terme à cette discrimination qui dure depuis des décennies.

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Delegiertenversammlung CVP Schweiz

Delegiertenversammlung wählt neue Parteileitung An der Delegiertenversammlung vom 23. April wird die CVP ein neues Parteipräsidium wählen. Eine besondere Bedeutung bekommt diese Wahl, weil der bisherige Präsident, Christophe Darbellay, und der bisherige Vizepräsident, Dominique de Buman, nicht mehr antreten werden. Eine Findungskommission bereitet die Wahlen vor. Die Delegiertenversammlung wird einen neuen Vorsitzenden, zwei stellvertretende Vorsitzende und sieben weitere Mitglieder des Parteipräsidiums wählen. Ständerat Filippo Lombardi gehört dem Parteipräsidium als Fraktionspräsident von Amtes wegen an. Die Vorbereitung der Wahlen obliegt einer Findungskommission, die von Ständerat Konrad Graber geleitet wird. Weitere Mitglieder der Findungskommission sind der scheidende Parteipräsident Christophe Darbellay, Ständerat Filippo Lombardi (Fraktionspräsident), Nationalrätin Viola Amherd (Vize-Fraktionspräsidentin) und Nationalrat Marco Romano (Präsident Groupe latin). Pfister als Präsident vorgeschlagen Die Findungskommission führte mit diversen Personen intensive Gespräche über eine mögliche Kandidatur für den Parteivorsitz. Nach einem Hearing, in dem die gegenseitigen Erwartungen besprochen wurden, nominierte sie als neuen Präsidenten den Zuger Nationalrat Gerhard Pfister. Sie ist überzeugt, dass er in der Lage sein wird, diese anspruchsvolle Aufgabe zum Wohle der Partei und der Schweiz zu übernehmen. Gegenüber der Findungskommission und auch in öffentlichen Stellungnahmen erklärte Pfister, dass er mit seiner Kandidatur keine Neuausrichtung der Partei wolle. Als Parteipräsident würde er dem Zusammenhalt der CVP einen besonderen Wert beimessen. Vizepräsidenten: Kontinuität und Erneuerung Als stellvertretende Parteivorsitzende schlägt die Findungskommission die Luzerner Nationalrätin Ida Glanzmann und den Walliser Nationalrat Yannick Buttet

vor. Ida Glanzmann gehört seit 2001 dem Parteipräsidium an und ist seit 2008 Vizepräsidentin. Yannick Buttet soll den bisherigen Vizepräsidenten Dominique de Buman ersetzen und so die Romandie repräsentieren. Der 1977 geborene Nationalrat ist Präsident der Walliser Gemeinde Collombey-Muraz. Begehrte Präsidiumsplätze Als weitere Mitglieder des Parteipräsidiums kandidieren (alphabetische Reihenfolge): Claude Béglé, Nationalrat Waadt (neu) M arianne Binder-Keller, Grossrätin und Präsidentin CVP Aargau (bisher) P irmin Bischof, Ständerat Solothurn (bisher) M artin Candinas, Nationalrat Graubünden (bisher) R aymond Loretan, ehemaliger CVP-Generalsekretär, Genf (neu) Stefan Müller-Altermatt, Nationalrat Solothurn (bisher) Reto Nause, Gemeinderat Stadt Bern, ehemaliger CVP-Generalsekretär (neu) T ino Schneider, Präsident JCVP Schweiz (neu), Grossrat Graubünden

Elisabeth Schneider-Schneiter, Nationalrätin Basel-Landschaft (bisher) A nne Seydoux-Christe, Ständerätin Jura (neu) Wie geht es weiter? Die Findungskommission beurteilt alle sich zur Verfügung stellenden Kandidatinnen und Kandidaten als wählbar. Alle erfüllen das geforderte Profil und haben sich zudem verpflichtet, sich für die Partei zu engagieren und aktiv als Mitglied des Parteipräsidiums mitzuwirken. Die Findungskommission verzichtet deshalb auf eine eigene Auswahl und überlässt dies den Delegierten. Das Parteipräsidium hat bereits entschieden, dass die Wahlen geheim stattfinden werden. Alle Kandidierenden werden auf der CVP-Website (www.cvp.ch) vorgestellt, so dass sich alle Delegierten und Mitglieder rechtzeitig informieren können.

Konrad Graber, Ständerat (LU) und Präsident der Findungskommission

Programm Delegiertenversammlung 23. April in Winterthur Ab 9.15 Uhr Anmeldung beim Tagessekretariat und Begrüssungskaffee 10.00 Uhr Beginn der Delegiertenversammlung Begrüssung Eröffnungsrede Jahresbericht 2015 Wahl Kontrollkommission und Schiedsgericht Wahl Parteipräsidium CVP Schweiz Abstimmungsparolen Ä nderung des Asylgesetzes Volksinitiative «Für eine faire Verkehrsfinanzierung» 12.30 Uhr Stehlunch 13.30 Uhr Abstimmungsparolen Ä nderung des Bundesgesetzes über die medizinisch unterstützte Fortpflanzung Volksinitiative «Für ein bedingungsloses Grundeinkommen» Volksinitiative «Pro Service public» Rede Bundesrätin Doris Leuthard Resultat Präsidiumswahlen und Abstimmungsparolen 15.00 Uhr Ende der Veranstaltung Ort

Kongresshaus Liebestrasse, Liebestrasse 3, 8400 Winterthur


Assemblée des délégués du PDC Suisse

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LA POLITICA

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L’assemblée des délégués élit la nouvelle direction du parti Le 23 avril, l’Assemblée des délégués du PDC suisse élira une nouvelle présidence. Cette élection revêt une signification particulière parce que le président actuel, Christophe Darbellay, et le vice-président actuel, Dominique de Buman, ne se représenteront pas à leur propre succession. Une commission de recherche a été chargée de préparer les élections. L’assemblée des délégués élira un nouveau président, deux nouveaux vice-présidents et sept autres membres de la présidence du parti. En tant que président du groupe parlementaire, le conseiller aux Etats Filippo Lombardi est membre d’office de la présidence du parti. La préparation de ces élections a été confiée à une commission de recherche, sous la direction du conseiller aux Etats Konrad Graber. Ladite commission est également composée du président sortant Christophe Darbellay, du conseiller aux Etats Filippo Lombardi (président du groupe parlementaire), de la conseillère nationale Viola Amherd (vice-présidente du groupe parlementaire) et du conseiller national Marco Romano (président du Groupe latin). Gerhard Pfister pressenti pour la fonction de président La commission de recherche a mené des entretiens approfondis avec diverses personnes en vue de trouver le candidat idéal pour le poste de président du parti. Après une audition au cours de laquelle les attentes respectives ont été discutées, elle a désigné le conseiller national zougois Gerhard Pfister comme nouveau président. Elle est convaincue qu’il est en mesure de remplir cette mission exigeante pour le bien du parti et de notre pays. Monsieur Pfister a déclaré à la commission de recherche – mais aussi dans des déclarations publiques – que sa candidature ne serait pas synonyme de changement fondamental pour le parti. En tant que président du parti, il accordera une importance toute particulière à la cohésion du PDC.

Vice-présidents : continuité et renouvellement Pour les fonctions de vice-présidents du parti, la commission de recherche propose la conseillère nationale lucernoise Ida Glanzmann et le conseiller national valaisan Yannick Buttet. Ida Glanzmann est membre de la présidence du parti depuis 2001 et vice-présidente depuis 2008. Yannick Buttet est pressenti pour prendre la place du vice-président sortant Dominique de Buman et ainsi représenter la Suisse romande. Le conseiller national né en 1977 est président de la commune valaisanne de Collombey-Muraz. Des sièges convoités au sein de la présidence Les personnes suivantes sont candidats pour devenir membres de la présidence du parti (par ordre alphabétique) : C laude Béglé, conseiller national (VD), nouveau M arianne Binder-Keller, députée au Grand Conseil et présidente du PDC Argovie, sortante P irmin Bischof, conseiller aux Etats (SO), sortant M artin Candinas, conseiller national (GR), sortant R aymond Loretan, ancien secrétaire général du PDC (GE), nouveau S tefan Müller-Altermatt, conseiller national (SO), sortant R eto Nause, conseiller communal de la Ville de Berne, ancien secrétaire général du PDC suisse, nouveau T ino Schneider, président des JDC Suisse, nouveau Elisabeth Schneider-Schneiter, conseillère nationale (BL), sortante A nne Seydoux-Christe, conseillère aux Etats (JU), nouvelle Et la suite ? La commission de recherche estime que tous les candidats qui se sont présentés sont éligibles. Tous les candidats correspondent au profil exigé ; ils sont prêts à fournir l’engagement nécessaire en faveur du parti et à être des membres actifs de la présidence. C’est pourquoi la

commission de recherche renonce à opérer une sélection plus restreinte et laisse aux délégués le soin de faire un choix. La présidence du parti a d’ores et déjà décidé que le vote aurait lieu à bulletins secrets. Tous les candidats seront présentés sur le site Web du PDC (www. pdc.ch) de manière à ce que tous les délégués et membres puissent s’informer préalablement. Konrad Graber Conseiller aux Etats (LU) Président de la commission de recherche


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CVP-Bundeshausfraktion

LA POLITICA

Unser Team für eine erfolgreiche Schweiz! > Nationalrat Conseil national Viola Amherd / VS

Thomas Ammann / SG

Guillaume Barazzone / GE

Claude Béglé / VD

Yannick Buttet / VS

Martin Candinas / GR

Dominique de Buman / FR

Jakob Büchler / SG

Christine Bulliard-Marbach / FR

Daniel Fässler / AI

Ida Glanzmann-Hunkeler / LU

Alois Gmür / SZ

Andrea Gmür-Schönenberger / LU Jean-Paul Gschwind / JU

Ruth Humbel / AG

Christian Lohr / TG

Géraldine Marchand-Balet / VS

Leo Müller / LU

Stefan Müller-Altermatt / SO

Gerhard Pfister / ZG

Fabio Regazzi / TI

Kathy Riklin / ZH

Markus Ritter / SG

Marco Romano / TI


Groupe PDC

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LA POLITICA

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Notre équipe pour und Suisse qui gagne !

Barbara Schmid-Federer / ZH

Roberto Schmidt / VS

Elisabeth Schneider-Schneiter / BL Karl Vogler / OW

Isidor Baumann / UR

Pirmin Bischof / SO

Ivo Bischofberger / AI

Stefan Engler / GR

Erich Ettlin / OW

Jean-René Fournier / VS

Konrad Graber / LU

Brigitte Häberli-Koller / TG

Peter Hegglin / ZG

Filippo Lombardi / TI

Beat Rieder / VS

Anne Seydoux-Christe / JU

Beat Vonlanthen / FR

> Ständerat Conseil aux Etats

> Bundeskanzler Chancelier de la Confédération

> Bundesrätin Conseillère fédérale Doris Leuthard

Walter Thurnherr


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Vereinigungen und Kantone

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Junge Bürgerliche reichen in Basel die Zweiradinitiative ein Nachdem die Regierung des Kantons Basel-Stadt vor einem Jahr den letzten nötigen Beschluss im Grossen Rat abgeholt hatte, sollte Basel die erste Schweizer Stadt werden, in der auch Parkgebühren für Zweiräder bezahlt werden müssen. Die Junge CVP Basel-Stadt, die sich schon lange gegen dieses Vorhaben gewehrt hatte, stand nun vor einer gewichtigen Entscheidung: Da der Grossratsbeschluss nicht referendumsfähig war, musste entweder kapituliert oder aber eine Volksinitiative lanciert werden. Die Jungpartei «drohte» bereits im Vorfeld mit der Volks-

initiative und konnte sich in wenigen Tagen auch die Unterstützung aller bürgerlicher Jungparteien (Jungfreisinnige, Jungliberale und Junge SVP) sichern. 3000 Unterschriften gesammelt Im Januar 2015 wurde die Zweiradinitiative lanciert, die folgende Ergänzung in der Kantonsverfassung fordert: «Zweiräder parkieren auf Allmendgebiet kostenlos. Der Kanton stellt die Flächen zur Verfügung». Mit dieser Volksinitiative könnten also die Parkgebühren verhindert und künftigen solchen Ideen ein Riegel vorgeschoben werden. Nach einem Jahr intensiven Unterschriftensammelns ist es nun geschafft: Die bürger-

lichen Jungparteien haben die nötigten 3000 Unterschriften zusammen und diese am 3. Februar eingereicht! Auch für die Abstimmung sieht es nicht schlecht aus. Die bürgerlichen Mutterparteien haben ihr Wohlwollen bereits geäussert, ebenso einige grosse Verbände. Wirkliche Gegnerschaft ist bisher (noch) nicht auszumachen und so sind wir frohen Mutes, dass die erste Volksinitiative in der Geschichte der Jungen CVP Basel-Stadt auch vor dem Volk gute Chancen hat! Co-Präsidium des Initiativkomitees: Tiziana Conti, Vizepräsidentin JCVP BS Patrick Huber, Präsident JCVP BS

Junge CVP Graubünden und Filippo Lombardi fiebern mit dem HC Ambrì-Piotta mit Die Junge CVP Graubünden wurde vom Tessiner Ständerat und Präsidenten des HC Ambrì-Piotta Filippo Lombardi zum Strichkampf zwischen Ambrì und Bern eingeladen. Die rund 20 jungen Bündnerinnen und Bündner erlebten einen spannenden Eishockey-Krimi, den die Gastgeber zum Leidwesen (fast) aller in der Verlängerung verloren. Nichtsdestotrotz war es für die Junge CVP Graubünden ein gelungener Anlass, um sich selber für die Strapazen der vergangenen Nationalratswahlen ein wenig zu belohnen und die neusten Mitglieder der Jungpartei mit einem attraktiven Anlass willkommen zu heissen. Obwohl den Zuschauern auf dem Eis ein Spektakel geboten wurde, kam auch die Politik nicht zu kurz. So wurden gerade in den Pausen intensive Gespräche geführt. Auch die feurige Ansprache von Filippo Lombardi hat die Bündner JCVP motiviert, auch in Zukunft Vollgas zum Wohle unseres Kantons und unserer Schweiz zu geben! Tino Schneider, Präsident JCVP Schweiz, Grossrat (GR) JCVP Graubünden

CVP Schwyz am Puls der Wirtschaftspolitik An der 26. Wirtschaftstagung der CVP des Kantons Schwyz gingen Fachleute aus Wissenschaft, Verbänden und Unternehmen der Frage nach, ob es einen Exodus der Arbeitsplätze aus der Schweiz gibt. Ihr Fazit ist klar: Das Glas ist zu 9/10 gefüllt. Die bewährten Stärken der Schweiz sind aber nicht in Stein gemeisselt. Ein Jahr nach dem Entscheid der Nationalbank, den Mindestkurs des Frankens zum Euro aufzugeben, stellt sich die Frage: «Exodus der Arbeitsplätze?» Der Volkswirtschaftsprofessor Mathias Binswanger, Swissmem-Präsident Hans Hess sowie die beiden

Unternehmervertreter Roger Ruggli von der HLM AG in Einsiedeln und Josef Meier von der WSW AG in Reichenburg, nahmen aus unterschiedlicher Perspektive Stellung. Alle vier Referenten sind zuversichtlich: Die Schweiz kann weiterhin wirtschaftlich erfolgreich agieren. Gute Berufsbildung, liberaler Arbeitsmarkt, wenig Bürokratie und stetige Innovation sind Garanten dafür. Die CVP Schwyz setzt sich dafür ein, dass bei diesen Stärken angesetzt wird. Markus Hauenstein Wahlkampfleiter CVP Kanton Schwyz


Groupements et cantons

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LA POLITICA

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Martin Pfister in den Regierungsrat gewählt Weil Peter Hegglin als Ständerat gewählt wurde, fand am 17. Januar 2016 im Kanton Zug eine Ergänzungswahl für den Regierungsrat statt. Parteipräsident Martin Pfister musste sich mit einem SP-Herausforderer und einem Piraten messen. Nach einem engagierten Wahlkampf unter der Leitung von Nationalrat Gerhard Pfister konnte die CVP des Kantons Zug den Sitz verteidigen. Martin Pfister erzielte fast doppelt so viele Stimmen wie der zweit-

platzierte SP-Mann, ein glänzendes Wahlresultat also. Die CVP ist mit Beat Villiger (Sicherheitsdirektor) und Martin Pfister in der siebenköpfigen Zuger Regierung ver treten. Die CVP Kanton Zug gratuliert Martin Pfister zu seiner Wahl und wünscht ihm viel Erfolg als Zuger Gesundheitsdirektor.

Eugen Meienberg Geschäftsstellenleiter CVP Kanton Zug

Die Chance des Jahrzehnts in der Nordwestschweiz Ende Juni 2015 haben mein Kollege Thomas Weber, Volkswirtschafts- und Gesundheitsdirektor Basel-Landschaft, und ich unsere Absicht bekannt gegeben, die Planung der Gesundheitsversorgung der beiden Basel gemeinsam anzugehen und die Gründung einer gemeinsamen Spitalgruppe zu prüfen. Bei der Vorstellung des Projektes haben wir die übergeordneten Ziele genannt: Eine optimierte Gesundheitsversorgung der Bevölkerung beider Kantone, eine

deutliche Dämpfung des Kostenwachstums im Spitalbereich und eine langfristige Sicherung der Hochschulmedizin in unserer Region. Die anstehenden Investitionen sollen koordiniert, stationäre Überkapazitäten abgebaut und eine Verlagerung auf ambulante Angebote gefördert werden. Gesundheitsversorgung über die Kantonsgrenzen hinweg Ich bin überzeugt, dass sich für die beiden Basel die Chance des Jahrzehnts bietet. Wir haben die einmalige Gelegenheit,

die Gesundheitsversorgung über die Kantonsgrenzen hinaus anzugehen. Viele Zeichen stehen dafür so günstig wie selten zuvor. Ich hoffe, dass wir diese Chance in der Nordwestschweiz nutzen können. Dr. Lukas Engelberger Regierungsrat CVP und Vorsteher Gesundheitsdepartement Basel-Stadt Weitere Informationen finden Interessierte unter www.chance-gesundheit.ch

Binder-Keller ist neue Kantonalparteipräsidentin Die Delegierten der CVP Aargau haben am Parteitag Marianne Binder-Keller zur neuen Präsidentin gewählt. Damit tritt sie in die Fussstapfen von Markus Zemp, der die Partei fast vier Jahre lang kompetent, gradlinig und umsichtig geführt hat. Marianne Binder-Keller dankte den Delegierten für das Vertrauen, das man in sie setzt. «Ich habe Respekt vor dieser Aufgabe. Ich freue mich aber auch darauf, sie zusammen mit meinen Kolleginnen und Kollegen in der Parteileitung und im Sekretariat anzupacken. Für mich ist die CVP diejenige Partei, welche die politische Tradition der Schweiz in bester Manier abbildet. Wir sind nicht gemacht für ein Regierungsund Oppositionssystem. Die CVP ist die entscheidende Kraft des weltweit einmali-

gen Konkordanzsystems. Diese Kraft wieder zu stärken, ist das Ziel, das wir nur gemeinsam erreichen können. Dazu gehört auch, selbstbewusst zu unseren gut durchdachten CVP-Positionen zu stehen. Einfach als bequeme Mehrheitsbeschafferin der Positionen von links und rechts zu dienen, genügt mir nicht. Denn damit verlieren wir Profil. Man soll sich ruhig auch an uns die Zähne ausbeissen.» Mit der Grossrätin Marianne Binder-Keller hat die CVP Aargau eine aktive, motivierte und auch in Bern bestens vernetzte Wahlkämpferin an ihrer Spitze. Gerade im Grossratswahlkampf wird diese Eigenschaft besonders gefragt sein.

Susan Diethelm Geschäftsführerin CVP Aargau

Marianne Binder-Keller


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Groupements et cantons

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Keine Barauszahlung mehr Der Bundesrat nimmt mit der Ergänzungsleistungs-Reform endlich ein Problem auf, das uns schon lange beschäftigt. Neben einer ganzen Reihe von wichtigen Änderungen in dieser Vorlage scheint mir die beabsichtigte Regelung der Ausrichtung des Alterskapitals der zweiten Säule der zentrale Revisionspunkt. Konkret geht es um die Barauszahlung von Altersguthaben. Heute ist es möglich, sich bei der Pensionierung das Altersguthaben aus der beruflichen Vorsorge bar ausbezahlen zu lassen, statt sie in Rentenform zu beziehen. Geprellt sind dann jene, die fürs Alter gespart haben Wie nun durch viele Medienberichte belegt, führt diese Praxis in zunehmenden Fällen dazu, dass das ausbezahlte Alterskapital mit überbordender Reisetätigkeit oder nicht angemessenen, zu hohen Lebensstandards einfach verjubelt oder gar ver-

spekuliert wird. Und wenn dann die AHV nicht reicht, hält man dem Staat die hohle Hand hin und bezieht Ergänzungsleistungen. Geprellt sind dann jene, die fürs Alter gespart haben und selber für ihre Kosten aufkommen. CVP 60+ für Barauszahlungs-Verbot im ganzen obligatorischen Teil Der Bundesrat will nun für den obligatorischen Teil der 2. Säule die Ausrichtung des Altersguthabens in Kapitalform bei der Pensionierung ganz oder teilweise verbieten. Der Vorstand von CVP 60+ spricht sich einstimmig für die härtere Variante aus, d. h. dieses Barauszahlungs-Verbot soll für den ganzen obligatorischen Teil gelten. Norbert Hochreutener Präsident CVP 60+ Schweiz alt Nationalrat (BE)

Bräutigam ersetzt Hatebur als Generalsekretärin Christina Hatebur hat das Generalsekretariat der CVP Basel-Landschaft per Ende Oktober verlassen, um ihre neue Stelle als Kommunikationsbeauftragte von Nationalrat Christian Lohr anzutreten. Als Nachfolgerin tritt Patricia Bräutigam das Amt der Generalsekretärin an. Im Namen des Parteivorstandes danke ich Christina Hatebur herzlich für die tolle Zusammenarbeit und ihr wertvolles Engagement für unsere Partei. Als Generalsekretärin folgt ihr mit Patricia Bräutigam eine junge Persönlichkeit, die durch ihre Kandidatur für die JCVP bei den Nationalratswahlen tiefe Einblicke in die Abläufe und Strukturen innerhalb der CVP Basel-Landschaft

Christina Hatebur

Patricia Bräutigam

erfahren durfte. Durch ihr Studium der Politikwissenschaft und Soziologie bringt sie zudem Kenntnisse über die politischen Prozesse in unserem Land mit. Wir freuen uns auf die Zusammenarbeit mit Patricia Bräutigam. Marc Scherrer, Präsident CVP Basel-Landschaft

Le PDC Fribourg a une nouvelle secrétaire politique Magali Corpataux-Schmutz, 39 ans, a été nommée au poste de secrétaire politique du PDC fribourgeois au 1er février 2016. Forte d’une longue expérience dans le domaine de la communication et des relations publiques, elle a notamment été active au sein de faîtières où elle était chargée de la défense des intérêts au niveau de la politique nationale.

Madame Corpataux-Schmutz évoque ainsi son rôle : « Notre système de milice est une richesse, gage de la santé de nos institutions politiques. Nos politiciens évoluent dans « la vraie vie » et sont donc légitimes pour représenter le peuple. Le revers de la médaille, c’est l’énorme charge de travail que s’imposent ces miliciens, avec des doubles voire triples journées. Dans ce contexte, la communication et la coordination sont souvent le maillon faible au sein des organisations. Ainsi, je me considère comme « liant », facilitatrice de cette communication et donc garante d’un meilleur flux entre les différents acteurs de notre politique cantonale. » Magali Corpataux, PDC Fribourg


Wahlen 2016 Elections 2016

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In acht Kantonen finden 2016 noch kantonale Wahlen statt – ein Überblick Kanton Aargau Wann sind die Wahlen? 23. Oktober 2016: 1. Wahlgang Kantons- und Regierungsrat 27. November 2016: 2. Wahlgang Kantons- und Regierungsrat Welche Ziele will man erreichen? Wir sichern die Nachfolge des zurücktretenden Regierungsrates Roland Brogli, der in den letzten 16 Jahren eine hervorragende CVP-Finanzpolitik im Kanton gemacht hat. Die tragende Rolle der CVP für die Aargauische Wirtschaft, die Arbeitsplätze und die Lebensqualität im Kanton wollen wir erhalten und in einem engagierten Grossratswahlkampf unter Beweis stellen. Info: www.cvp-aargau.ch

Kanton Basel-Stadt Wann sind die Wahlen? 23. Oktober 2016: Kantons- und Regierungsratswahlen Welche Ziele will man erreichen? Regierungsrat Dr. Lukas Engelberger bestätigen, Sitzerhalt oder -gewinn im Grossen Rat und das Erreichen einer bürgerlichen Mehrheit in Regierung und Parlament, zusammen mit LDP, FDP und SVP als geeintem bürgerlichen Block gegen die starke Linke im Kanton. Info: www.cvp-bs.ch

Kanton Freiburg Quand auront lieu les élections ? 6 novembre 2016 (27 novembre 2016 pour le 2e tour) : élections cantonales (Grand Conseil, Conseil d’Etat et préfectures) Quels sont les objectifs ? Faire rayonner les valeurs d’un centre fort ! Lors des cantonales, l’enjeu sera de conserver les trois sièges PDC. Info: www.pdc-fr.ch

Kanton Luzern Wann sind die Wahlen? 1.Mai 2016: Erneuerungswahlen aller Gemeindebehörden und -parlamente. Welche Ziele will man erreichen? Anlässlich der Wahlen vom 1. Mai 2016 werden in 83 Gemeinden insgesamt 393 neue Gemeinderätinnen und Gemeinderäte gewählt. Insgesamt tritt gegen ¼ aller Exekutivmitglieder zurück. Aktuell umfasst die CVP-Vertretung gegen 50 Prozent aller Gemeinderäte (191). In 44 Gemeinden hat die CVP die Mehrheit im Rat. Es ist das Ziel, der CVP Kanton Luzern, die starke Delegation der CVP-Gemeinderätinnen und -Gemeinderäte zu halten. Sämtliche Ortsparteien sind motiviert und die Kantonalpartei unterstützt die Parteileitungen auf diesem Weg Info: www.cvpluzern.ch

Kanton Schaffhausen Wann sind die Wahlen? 28. August 2016: Regierungsratswahlen 25. September 2016: Kantonsratswahlen Welche Ziele will man erreichen? Sitzerhalt in allen Gremien (Gemeindeund Einwohnerrat Neuhausen, Grossstadtrat und Stadtschulrat Schaffhausen, Kantonsrat). Zugewinn auf kantonaler Ebene um einen Prozentpunkt. Aufsteigen zur stärksten Kraft in der Mitte (bisher ist ÖBS/GLP noch vor uns). Info: www.cvp-sh.ch

Kanton Schwyz Wann sind die Wahlen? 20. März 2016: 1. Wahlgang (Regierungsrat- und Kantonsratswahlen) 1. Mai 2016: 2. Wahlgang Nachwahl Regierungsrat, Wahlen Gemeinde- und Bezirksrat 5. Juni 2016: Nachwahl Bezirks- und Gemeinderat Welche Ziele will man erreichen? Die zwei Regierungsratssitze zu verteidigen und den 2010 verlorenen Sitz zurückgewinnen mit dem bisherigen Regierungsrat Othmar Reichmuth und den beiden Kandidaten Andreas Meyerhans und Michael Stähli. Bei den Kantonsratswahlen kommt erstmals das neue Wahlgesetz nach dem Doppelten Pukelsheim zur Anwendung Info: www.damit-es-gut-kommt.ch

Kanton Thurgau Wann sind die Wahlen? 10. April 2016: Wahl der Mitglieder des Grossen Rates Welche Ziele will man erreichen? Weiterhin die zweitstärkste Kraft im Thurgau bleiben. Info: www.cvp-thurgau.ch

Kanton Uri Wann sind die Wahlen? 10. April 2016: 2. Wahlgang Gesamterneuerungswahlen für Landrat und Regierungsrat Welche Ziele will man erreichen? Weiterhin die stärkste politische Kraft im Kanton bleiben, die bisherigen drei Mitglieder im Regierungsrat bestätigen und die Landratsmandate um ein bis zwei erhöhen. Info: www.cvp-ur.ch


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CVP-Fraktion

Klausurtagung der CVP-Fraktion im Kanton Schwyz Dieses Jahr führte die CVP-Fraktion der Bundesversammlung ihre traditionelle Klausurtagung am 15. und 16. Januar in Pfäffikon (SZ) in Anwesenheit von Bundesrätin Doris Leuthard und des neugewählten Bundeskanzlers Walter Thurnherr sowie des Parteipräsidenten Christophe Darbellay durch. Auf der Tagesordnung dieser zweitägigen Retraite standen vor allem Beratungen zu wichtigen Themen, die das Parlament dieses Jahr behandeln wird. Immer im Januar trifft sich die CVP-Fraktion zu einer zweitägigen Retraite ausserhalb des Bundeshauses. Nachdem sie sich 2013 bis 2015 in Flüeli-Ranft (OW) versammelt hatte, hat sie sich dieses Jahr in Pfäffikon (SZ) zusammengefunden. An dieser ersten Retraite der 50. Legislaturperiode wurden intensive Gespräche zu verschiedenen Schwerpunktthemen der politischen Agenda 2016 geführt. Diese sind vorerst von mehreren Arbeitsgruppen ausführlich behandelt und anschliessend von der gesamten Fraktion diskutiert worden. Wirtschaft und Finanzen: Die Fraktion hat sich unter anderem mit dem Projekt von Lenkungssystem im Klima- und Energiebereich (ökologische Steuerreform), zweite Etappe der Energiestrategie 2050 sowie mit dem Stabilisierungsprogramm 2017–2019 auseinandergesetzt. Die Fraktion vertritt die Meinung, dass die von Bundesrätin Doris Leuthard getragene erste Etappe der Energiestrategie 2050 prioritär ist, und dass es keinen Anlass gibt, sich in die zweite Etappe zu stürzen, da noch viele Fragen zu diesem Projekt unbeantwortet sind. Im Bereich Finanzen anerkennt die Fraktion den Wunsch des Bundesrats, mit dem vorgeschlagenen Stabilisierungsprogramm die Bundesausgaben in Schach zu halten. Die Fraktion ist aber über den Ausgabenanstieg besorgt. Die Vorlage ist allerdings wichtig und alle Ausgaben müssen gründlich durchleuchtet werden.

Nationalrat Alois Gmür (SZ) und Bundesrätin Doris Leuthard an der Klausurtagung der CVP Schweiz im Kanton Schwyz. Europa- und Migrationspolitik: Hier standen vor allem die Umsetzung der Masseneinwanderungs-Initiative und die Sicherung der Bilateralen im Fokus der Arbeit. Viele Fragen sind immer noch offen und die Fraktion erwartet vom Bundesrat, dass er so schnell wie möglich klare Antworten gibt, beispielsweise wie die vorgeschlagene Schutzklausel zur Umsetzung der Initiative auszusehen hat, und wie sie aktiviert werden soll. Für die CVP-Fraktion kann die Einwanderung vor allem durch eine bessere Ausschöpfung des Potenzials an inländischen Arbeitskräften eingedämmt werden, durch gezielte Massnahmen im Bereich der Ausbildung von Fachkräften und der Vereinbarkeit von Beruf und Familie sowie Massnahmen zur Förderung älterer Arbeitnehmer. Sozialversicherungen: Hier stand vor allem die Reform der Altersvorsorge 2020 zur Diskussion. Für die Fraktion steht ausser Zweifel, dass diese Reform unabdingbar ist, um die Zukunft

unserer Renten zu sichern, und dass das Parlament einen in der Bevölkerung mehrheitsfähigen Kompromiss finden muss. Der Ausbau der Invalidenversicherung sowie die finanzielle Entlastung der Familien hinsichtlich der Krankenversicherungsprämien standen ebenfalls auf dem Programm. Weiter haben Parteipräsident Christophe Darbellay und Generalsekretärin Béatrice Wertli der Fraktion einen ersten Auswertungsbericht der Wahlen 2015 vorgetragen. Es steht jetzt schon fest, dass das neu zusammengesetzte Parlament in den nächsten Monaten für unser Land entscheidende Themen behandeln wird. Wie seit jeher wird sich die Fraktion dank ihrer nachhaltigen und lösungsorientierten Politik für den Erhalt des Erfolgsmodells Schweiz stark machen! Florian Robyr Politischer Fraktionssekretär CVP-Bundeshausfraktion


Groupe PDC

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Retraite du Groupe PDC dans le canton de Schwyz

Höfner Volksblatt

l’immigration de masse et la sauvegarde des bilatérales. Beaucoup de questions restent ouvertes et le groupe attend du Conseil fédéral qu’il apporte au plus vite des clarifications, par exemple sur la manière dont la clause de sauvegarde proposée doit être formulée et activée. Pour le Groupe PDC, l’immigration pourra avant tout être freinée par une meilleure valorisation du potentiel des travailleurs indigènes, notamment par des mesures ciblées en matière de formation de la main-d’œuvre qualifiée, de conciliation entre vie familiale et professionnelle, et en faveur des travailleurs plus âgés.

Cette année, le Groupe parlementaire PDC de l’Assemblée fédérale a tenu sa traditionnelle retraite les 15 et 16 janvier à Pfäffikon (SZ), en présence de la conseillère fédérale Doris Leuthard et du nouveau Chancelier de la Confédération Walter Thurnherr, ainsi que du président du PDC, Christophe Darbellay. Au programme de cette retraite de deux jours figuraient principalement des discussions sur d’importants thèmes dont le Parlement aura à traiter cette année. Chaque année au mois de janvier, le Groupe parlementaire PDC se réunit pour deux jours de retraite hors des murs du Palais fédéral. Après s’être rendu de 2013 à 2015 à Flüeli-Ranft dans le canton d’Obwald, le groupe s’est réuni cette année dans le canton de Schwytz, à Pfäffikon. Au menu de cette première retraite de la 50 e législature figuraient d’intenses discussions sur différents thèmes centraux à l’agenda politique 2016. Ceux-ci ont dans un premier temps été traités en détail au sein de plusieurs groupes de travail, avant d’être discutés par l’ensemble du groupe.

Economie et finance : le groupe s’est penché notamment sur le projet de système incitatif en matière climatique et énergétique (réforme fiscale écologique), deuxième étape de la stratégie énergétique 2050, ainsi que sur le programme de stabilisation 2017-2019. Le groupe est d’avis que la première étape de la stratégie énergétique 2050 portée par la conseillère fédérale Doris Leuthard est prioritaire, et qu’il n’y a pas lieu de se précipiter dans l’élaboration de la deuxième étape, d’autant que beaucoup de questions concernant ce projet restent encore ouvertes. En matière de finances, le Groupe PDC reconnaît la volonté du Conseil fédéral de contrôler les dépenses de la Confédération avec son programme de stabilisation. Il s’inquiète malgré tout de la croissance des dépenses. Le projet est toutefois essentiel, et doit évaluer de manière approfondie tous les postes de dépenses. Politique européenne et migratoire : le travail a porté en particulier sur la mise en œuvre de l’initiative contre

Assurances sociales : les discussions ont porté principalement sur la réforme de la prévoyance professionnelle 2020. Il ne fait aucun doute pour le Groupe PDC que cette réforme est indispensable pour sécuriser les rentes futures, et que le Parlement doit parvenir à un compromis susceptible d’être soutenu par la population. Le développement de l’assurance-invalidité ainsi que l’allégement de la charge financière des familles en matière de primes d’assurance-maladie figuraient également au menu des discussions. Le Groupe PDC a en outre pris connaissance d’un premier rapport d’évaluation sur les élections fédérales 2015 présenté par le président du PDC Christophe Darbellay et la secrétaire générale Béatrice Wertli. Il ne fait d’ores et déjà aucun doute que le Parlement, dans sa nouvelle configuration, aura à traiter dans les mois à venir de thèmes centraux pour notre pays. Le Groupe PDC s’engagera avec force en faveur du maintien du modèle suisse à succès par sa politique durable et axée sur des solutions, comme il l’a toujours fait !

Florian Robyr Secrétaire politique du Groupe parlementaire PDC


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CVP-Fraktion

LA POLITICA

Neue CVP-Parlamentarierinnen Auch in dieser Ausgabe stellen wir Ihnen drei neue Parlamentarierinnen und Parlamentarier vor. Es sind dies Beat Vonlanthen, Ständerat aus dem Kanton Freiburg, Géraldine Marchand-Balet, Nationalrätin aus dem Kanton Wallis, und Erich Ettlin, Ständerat aus dem Kanton Obwalden.

Le point de vue d’une nouvelle élue au Conseil national Le début de cette 50 ème session est marqué par l’élection du Conseil fédéral, du chancelier de la Confédération et l’acceptation du budget 2016. L’UDC ne peut plus se permettre de mettre en danger son 2ème siège et connaître les échecs des précédentes législations. Notre stratégie sera déterminante, nous ne devons pas perdre de vue que la collégialité et le respect de notre état de droit doivent prédominer notre choix. Il est à relever qu’il devient de plus en plus comLe PDC a connu un très beau succès en Valais lors des dernières élections fédérales. Quatre représentant-e-s ont été élu-e-s, dans un parfait équilibre : deux hommes – deux femmes, deux personnes du Haut-Valais et deux du Valais romand. Même si les résultats au niveau suisse sont relativement satisfaisants, nous ne devons pas perdre de vue la nécessité de fournir un travail soutenu, rejeter les solutions extrêmes et défendre une délégation forte de centre droit plus que nécessaire au bon fonctionnement et à l’équilibre des décisions parlementaires.

Trois grands dossiers nous attendent durant cette législature plexe de voter un budget sans devoir se battre pour le maintien de prestations étatiques indispensables au bon fonctionnement politique de notre pays, des montants alloués à la péréquation financière nécessaire au développement des

voies de communication et de la sécurité des cantons périphériques. Les défis de cette législature Trois grands dossiers nous attendent durant cette législature, à savoir la réforme de la Prévoyance vieillesse 2020, la migration ainsi que la Stratégie énergétique 2050 et son soutien à l’hydraulique. Mon intérêt pour l’agriculture, la viticulture et le tourisme avec ses composantes commerciales et hôtelières sera sans faille ; notre canton en a grand besoin. Je remercie tous mes collègues PDC pour leur accueil chaleureux et leur soutien dans ma nouvelle fonction. Je souhaite travailler dans un esprit ouvert et constructif pour le bien de notre pays, de mon canton et les intérêts des générations futures.

Géraldine Marchand-Balet Conseillère nationale (VS)

Assumons nos responsabilités vis-à-vis des générations futures aines années sont incommensurables ; il faut donc plus que jamais mener une politique du centre empreinte de responsabilité et axée sur l’avenir.

Les défis que la Suisse doit relever aujourd’hui et devra relever ces proch-

Le Conseil des Etats est la chambre de réflexion et du compromis, et à ce titre il fait contrepoids au Conseil national. Il garantit par ailleurs que le développement du modèle de réussite suisse soit poursuivi. En tant que conseiller aux Etats PDC fribourgeois, je veux jeter des ponts et m’engager entre autres pour les points suivants. Les cantons devront pouvoir continuer à remplir leur rôle essentiel. Le fédéralisme

est le secret de notre réussite. A cette fin, il est important de poursuivre notre système de péréquation financière. Au vu de la désindustrialisation qui nous menace, nous devons continuer à améliorer les conditions-cadres économiques. Une mise en œuvre rapide de la réforme de l’imposition des entreprises III est le fondement de notre attractivité économique. Espérons que la transition énergétique a franchi le point de non-retour. Vu les importants défis qu’il reste à relever, notamment dans le domaine climatique, nous n’échapperons pas à un renforce-


Groupe PDC

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und Parlamentarier stellen sich vor Dans cette édition nous vous présentons également trois nouveaux parlementaires. Beat Vonlanthen, conseiller aux Etats du canton de Fribourg, Géraldine Marchand-Balet, conseillère nationale du canton du Valais et Erich Ettlin, conseiller aux Etats du canton d’Obwald

Verantwortung übernehmen dene Tätigkeiten in politischen Gremien und Organisationen motivierten mich dann, 2015 für den Ständerat zu kandidieren. Aufgrund meines beruflichen, politischen und familiären Hintergrundes werde ich mich

Für die Abschaffung der Heiratsstrafe Die Familien und der Mittelstand sind vor Nachteilen bei den Steuern und Gebühren zu schützen. Ein wichtiger Meilenstein dazu

Wir sind schon aufgrund des demographischen Wandels darauf angewiesen, dass vor allem die Frauen im Erwerbsleben bleiben. Die Wählerinnen und Wähler des Kantons Obwalden haben mir im zweiten Wahlgang am 15. November 2015 das Vertrauen geschenkt und mich für unseren Kanton in den Ständerat gewählt. Dieser Vertrauensvorschuss bedeutet für mich eine grosse Verantwortung, die ich gerne übernehme. Als Betriebsökonom FH und diplomierter Steuerexperte habe ich meine berufliche Laufbahn vor allem in der Beratung verbracht. Zuletzt als Mitglied der Geschäftsleitung der BDO AG. Daneben durfte ich aber von 1996 bis 2002 die Steuerverwaltung des Kantons Obwalden leiten. Verschie-

weiterhin stark für den Mittelstand, die Familien und vor allem die KMU einsetzen. Diese drei Pfeiler sind die Stütze, nicht nur meines Kantons, sondern der ganzen Schweiz. Weniger Bürokratie für KMU Aber nichts ist selbstverständlich und es braucht weiterhin grosse Anstrengungen, um unseren Wohlstand und das Erreichte zu erhalten. Dies sehe ich als wichtigsten Teil meiner Aufgabe an. Deshalb setze ich mich für den Abbau von Administrationshürden bei den KMU ein. Ich vertraue in die Selbstregulierungskräfte der Unternehmen, ihren Inhabern und Mitarbeitern.

Nous n’échapperons pas non plus à une harmonisation durable de nos relations avec l’Europe ment de la production énergétique renouvelable, en particulier l’hydraulique. Le Conseil des Etats a conçu la réforme des retraites 2020 de manière à convenir à une majorité. Nous ne pouvons pas nous permettre un échec de cette

réforme. Nous devons garantir la pérennité des rentes. Le projet de réforme en constitue la base. Nous n’échapperons pas non plus à une harmonisation durable de nos relations avec l’Europe, le but étant une application souple de l’initiative sur l’immigra-

ist die Abschaffung der Heiratsstrafe, für die ich mich aktiv einsetze. Zudem muss sich Leistung lohnen. Die Aufnahme oder Erweiterung einer Erwerbstätigkeit (z. B. eine Ehepartners) darf nicht nachteilig sein. Wir sind schon aufgrund des demographischen Wandels darauf angewiesen, dass vor allem die Frauen im Erwerbsleben bleiben.

Erich Ettlin Ständerat (OW)

tion de masse et la sauvegarde des accords bilatéraux. « Conscients de notre responsabilité envers les générations futures » : même à Berne, ce principe inscrit dans le préambule de la constitution cantonale fribourgeoise me servira de point de repère. C’est rempli d’énergie et d’enthousiasme que je veux me mettre à l’ouvrage avec mes collègues du Conseil des Etats. Je m’en réjouis.

Beat Vonlanthen Conseiller aux Etats (FR)


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Kolumne Columna

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Das Ticken der Jugend Was denken die 17-Jährigen über die wichtigen Fragen, die sich unserer Schweizer Gesellschaft stellen? Die Eidgenössische Kommission für Kinder- und Jugendfragen hat eine Umfrage «Ich und meine Schweiz» veröffentlicht, die aufschlussreich ist. Die Antworten der Jungen, von denen erfreulicherweise volle 66 Prozent geantwortet haben, stimmen mich zuversichtlich. Dies insbesondere, wenn ich die schwierige allgemeine Situation in Betracht ziehe, in der wir stehen. Es zeigt sich, die 17-Jährigen wollen sich aktiv einbringen! Ausbildung, Beruf, Partnerschaft, Familie und Freizeit haben bei den 17-Jährigen einen hohen Stellenwert. Junge Frauen und Männer sind aber nicht überall gleicher Meinung, zum Beispiel was die Aufteilung der künftigen familiären Aufgaben anbelangt. 29 Prozent der Männer, aber nur 15 Prozent der Frauen, wollen am traditionellen Arbeitsmodell festhalten, das heisst der Mann ist berufstätig und die Frau kümmert sich um Kinder und Haushalt. Die jungen Frauen befürworten grossmehrheitlich Teilzeitarbeit für Frauen und Männer. Was heisst das für die Zukunft und Prosperität der Schweiz? Es ist wichtig, die Vereinbarkeit von Beruf und Familie weiter zu fördern und ihre Bedeutung zu erläutern. In Bezug auf die ausländische Bevölkerung vertreten die Jugendlichen eine gemässigte Meinung und bringen das Thema Immigration weniger oft mit Kriminalität in Verbindung als der Rest der Bevölkerung. Und auch die Beziehung zu unseren Nachbarländern ist unverkrampft. 62 Prozent finden die Personenfreizügigkeit eine

gute Sache, obwohl nur 9 Prozent der 17-Jährigen den EU-Beitritt befürworten. In einem EU-Land leben und arbeiten würden die Jungen gerne. Es zeigt sich glücklicherweise, unsere Jungen wollen keine geschlossenen Grenzen. Was mich aber sehr nachdenklich stimmt: Beinahe 20 Prozent der 17-Jährigen haben keinen Schweizer Pass, etwa ein Viertel sind Doppelbürger. Nur gut die Hälfte der Jungen hat nur die Schweizer Staatsbürgerschaft. Müssten wir unser politisches System nicht ändern? An die Folgen der SVP-Abschottungspolitik gar nicht zu denken, die auch Einbürgerungen erschwert und zu einer Zweiklassengesellschaft führt. Zum Glück wurde nun die Durchsetzungsinitiative abgelehnt, welche für junge Menschen ohne roten Pass ein ganz schlechtes Signal gewesen wäre.

Kathy Riklin Nationalrätin (ZH)

Era las regiuns da muntogna drovan igl internet Tochen avon enzacons onns deva igl internet pauc da discuorer. Sur la lingia da telefon s’annunziavan ins egl internet cun l’intenziun da spert puspei bandunar tal per buc occupar memia ditg la lingia da telefon. Quei ei tut historia. Il svilup digital ei staus ils davos onns enorms e vegn ad esser egl avegnir aunc pli sperts. Aschia quentan experts cun ina duplicaziun dalla spertadad digl internet mintga dus onns. Aschia investescha la Swisscom, denton era ils gestiunaris da reits da cabels, onn per onn milliardas, quei cunzun els marcaus ed ellas aglomeraziuns. Naturalmein ha ei era dau investiziuns ellas regiuns da muntogna, denton mai ella medema dimensiun. Ils gronds daners san ins naturalmein buc fadigiar ellas regiuns muntagnardas cun uclaus pigns e spatitschai. Aschia dat ei en biars loghens ellas regiuns da muntogna negina concurrenza denter la Swisscom ed ils differents gestiunaris da reits da cabels, quei che ha consequenzas negativas sin las investiziuns. Cunquei ch’igl avegnir economic vegn adina pli digitals ei quella tendenza fetg malsegira. Era las regiuns da muntogna drovan oz bunas colligiaziuns d’internet, quei naven dall’agricultura, sur il commerci e la branscha da construcziun tochen tier il turissem. Ella hotellaria ein bunas colligiaziuns d’internet indispensablas. Adina puspei ei da leger che vitgs muntagnards piteschan davart

ina colligiaziun d’internet insufficienta. Las stentas per migliurar la colligiaziun d’internet ellas muntognas ston vegnir rinforzadas. Nus discurrin oz savens sur da colligiaziuns da vias e da viafier ed emblidein savens la colligiaziun d’internet. Gest las regiuns da montogna drovan buc mo investiziuns en betun, mobein era en bits. Biaras vischnauncas muntagnardas ston oz secuntentar cun ina spertadad ch’ei 500 gadas pli bassa ch’els marcaus. Che tala spertadad corrispunda buc allas pretensiuns hodiernas secapescha da sesez. Per la cohesiun naziunala eis ei central che nus prendin serius quellas sfidas digitalas, sche nus lein buc riscar in foss digital cun consequenzas fatalas per las regiuns da muntogna.

Martin Candinas Cusseglier naziunal (GR)


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Hintergrund

Die Energiestrategie ist Im September 2013 hat der Bundesrat die Energiestrategie 2050 verabschiedet. Rund drei Jahre später wird die Verabschiedung im Parlament anstehen. Die Entwicklung der Technologie und des Marktes haben uns als Befürworter Recht gegeben. Es war ein eindrückliches Erlebnis, neulich an einer Podiumsveranstaltung in Solothurn. Etwa fünfmal musste der Vertreter der Stromwirtschaft den Vertreter der SVP ermahnen, er solle doch jetzt bitte aufhören, von neuen AKW zu reden. Die seien längst erledigt. Wurde der Ausstiegsentscheid nach Fukushima noch als überstürzt tituliert, ist er heute eine Selbstverständlichkeit. Unterstützung für die Wasserkraft Die Marktsituation beherrschte die parlamentarische Beratung zur Energiestrategie. Denn die tiefen Preise haben nicht nur den Vorteil, dass ausser ein paar Ewiggestrigen niemand mehr an neue AKW glaubt, sie haben auch schwere Nachteile: Sie bringen ganz zuerst die einheimische Wasserkraft in Bedrängnis. Das Parlament sah sich im Laufe der Beratungen der Energiestrategie immer stärkerem Druck ausgesetzt, die Wasserkraft stützen zu müssen. Die Kommission für Umwelt, Raumplanung und Energie des Nationalrats hat schliesslich nachgegeben und eine Subvention für die Wasserkraft in die Vorlage eingebaut. Der Vorschlag dürfte Bestand haben. Die Energiestrategie ist aber weit mehr als nur AKW-Ausstieg und die Frage nach der zukünftigen Stromversorgung. Schliesslich macht der Strom bloss gut einen Viertel der in der Schweiz konsumierten Energie aus. Wollen wir unsere Klimaziele erreichen und die Abhängigkeit vom ausländischen Öl reduzieren, müssen Fortschritte bei der Energieeffizienz her und es müssen Anreize geschaffen werden, um nicht mehr mit fossilen Brennstoffen heizen zu müssen. Und genau darum werden die tiefen Energiepreise zum Verhängnis: Alle «weichen» Massnahmen mit Beratung, Information, Leuchtturmprojekten und Demonstrationsanlagen nützen wenig, wenn sich am Schluss die Investitionen in die Energieeffizienz nicht lohnen. Deshalb kommt die Energiestrategie 2050 auch in diesem Bereich nicht umhin, die bestehenden Fördergefässe fortzu-


Hintergrund Colonna

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auf der Zielgeraden schreiben, damit sie irgendeinmal in den 2020er-Jahren von einem Lenkungssystem abgelöst werden können. Technologischer Forstschritt beeinflusst die Energiedebatte Wann genau diese Ablösung der Förderung durch die Lenkung stattfinden wird, hängt vom Energiemarkt, insbesondere aber auch vom technologischen Fortschritt ab. Letzterer findet sehr rapide statt – und beeinflusste die Debatte um die Energiestrategie fast so stark wie der Fall der Energiepreise. Tesla entwickelte eine Batterie für das Eigenheim, Solarmodule werden in Massenserien hergestellt und die Wärmepumpen haben den Markt komplett durchdrungen. Vor diesem Hintergrund des kollabierten Marktes und der rasanten technischen Entwicklung hat das Parlament in den vergangenen zweieinhalb Jahren die Energiestrategie beraten. Herausgekommen ist eine Vorlage, welche der Macht des

Faktischen gehorcht, trotzdem aber die richtigen Weichenstellungen für die Zukunft stellt. Konkret heisst das: Das Neubauverbot für AKW wird bestätigt. Die Förderung der neuen Erneuerbaren wird erhöht, gleichzeitig aber zeitlich befristet, um den Weg für die Lenkung frei zu machen. Die Wasserkraft wird mit Bundesgeldern gestützt. Die Vorschriften für Geräte und den Neuwagen-Import werden verschärft. Pilot- und Demonstrationsanlagen werden unterstützt, Geothermieanlagen gegen das Fündigkeitsrisiko abgesichert. Es ist ein umfassendes, trotzdem aber realpolitisch tragfähiges Paket. Die Energiestrategie ist auf der Zielgeraden Persönlich bin ich enttäuscht, dass eine Regelung des Langzeitbetriebs der AKW ebenfalls an der Realpolitik scheiterte. Gleichzeitig ist das Scheitern des «Langzeitbetriebskonzepts» ein Fingerzeig an

die Gegner der Energiestrategie. Sie müssen erkennen, dass die Vorlage zukunftsgerichtet und gleichzeitig ausgewogen ist. Und so lange sie keine Alternative zur Energiestrategie präsentieren, kann eine Ablehnung kaum begründet und somit ein Referendum gegen die Energiestrategie kaum gewonnen werden. Es ist so: Die Energiestrategie ist auf der Zielgeraden.

Stefan Müller-Altermatt Nationalrat (SO)

Con l’apertura di Alptransit inizia il futuro Il 1. giugno 2016, 17 anni dopo la prima esplosione nel cunicolo principale, la galleria ferroviaria più lunga del mondo sarà inaugurata ufficialmente. La Svizzera ha un buon motivo per festeggiare e lo farà invitando ospiti d’onore elvetici e internazionali all’evento di inaugurazione così come l’intera popolazione a un’indimenticabile festa per gravare negli annali l’opera del secolo. Ferrovia e sviluppo economico Per il Ticino, le opere di grande ingegneria ferroviaria hanno sempre segnato una svolta storica. Per l’economia ticinese, confrontata con molti problemi, hanno rappresentato un’opportunità straordinaria, lo sbocco verso Nord a lungo agognato. Si pensi all’industria del granito, che poteva fornire la pietra agli agglomerati del Mittelland in pieno sviluppo. Ma si pensi anche al turismo, all’«industria dei forestieri», come si diceva allora. Dalle carrozze della Gotthardbahn scendevano frotte di confederati, di tedeschi e di inglesi sedotti da questa incatevole regione che era ed è il Ticino. Si parlò allora di un Ticino delle belle speranze. Quindi, dal lato economico, un significato evidente, e senz’altro benefico. Ferrovia e coesione nazionale Ma la ferrovia ebbe anche un impatto politico e simbolico. Politico: l’integrazione del cantone nella Confederazione come membro a pieno titolo; simbolico perché col treno arrivavano la modernità, la tecnologia, la scienza. Credo che si possa

affermare che il treno mise definitivamente fine all’ «Ancien Régime» al sud delle Alpi. L’apertura di AlpTransit segna dunque un altro passo epocale. Con i suoi 57 chilometri di lunghezza, l’arteria principale del nuovo collegamento ferroviario nord-sud attraverso le Alpi è anche l’immagine di una nuova politica dei trasporti sostenibile. I treni passeggeri sfrecceranno a una velocità fino 250 km orari attraverso questa galleria più lunga del mondo, accorciando distanze e aumentando il trasporto delle merci. Unico neo, con l’apertura di AlpTransit il futuro della vecchia tratta di montagna appare incerto. Per la manutenzione di questa tratta alpina occorreranno una cinquantina di milioni franchi all’anno e il rischio di diventare un binario morto non è peregrina. Ma di questo dovrà ovviamente occuparsi la politica.

Fabio Regazzi Consigliere nazionale (TI)



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