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On Revelation, Truth or Freedom
I read David Nebreda to deal with something so complex: “Discovery allows revelation to be recognized; it is the hidden truth that highlights everything that is missing from everything, the imperfection of bodies or, indifferently, the imperfection of truth, because what matters is the amorphous substance of revelation that is always related to reality, the future, hope, which transforms or shapes, and becomes truth, a verifiable term in dispute with revelation itself, as well as discovery. ”
Each step or each stroke represents a small find and as Nebreda says, it is the discovery that slowly makes the revelation visible. But how do we approach revelation if it predicts a painful process as it approaches? In one part of his text he also refers to revelation as a scar: once you accept this eternal process, there is no way to go back and it is impossible to escape unscathed.
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Every revelation is a scar, we look at our body and there are wounds everywhere that want to close. What is the appeal of revelation? Is it the ecstasy of discovery or is it the serenity that precedes the fact of approaching knowledge? Or are them both things? Ecstasy is the impulse, but it is fortuitous. Instead, this serenity and knowledge remain forever and ever, bringing us closer to the truth and the freedom to keep moving where we live, where we inhabit.
Sur la Révélation, la Vérité ou la Liberté
J’ai lu David Nebreda pour traiter de quelque chose d’aussi complexe : « La découverte permet de reconnaître la révélation ; c’est la vérité cachée qui révèle tout ce qui manque à tout, l’imperfection des corps ou, indifféremment, l’imperfection de la vérité, car ce qui importe, c’est la matière amorphe de la révélation qui est toujours liée à la réalité, à l’avenir, à l’espoir, qui transforme ou façonne, devient vérité, terme vérifiable en conflit avec la révélation elle-même, ainsi qu’avec la découverte.
Chaque passe ou chaque coup représente une petite découverte et, comme le dit Nebreda, c’est la découverte qui rend lentement la révélation visible. Mais comment aborder la révélation si elle prédit un processus douloureux à aborder? Dans une partie de son texte, il évoque également la révélation comme une cicatrice : une fois que l’on accepte ce processus éternel, il n’y a plus de retour en arrière et il est impossible d’en sortir indemne.
Chaque révélation est une cicatrice, nous regardons notre corps et tout est blessures qui veulent se refermer. Quel est l’attrait de la révélation ? Est-ce l’extase de la découverte ou la sérénité de la connaissance qu’elle augure ? Ou les deux? L’extase est l’impulsion, mais elle est fortuite. Au lieu de cela, cette sérénité et cette connaissance restent pour toujours, nous rapprochant de la vérité et de la liberté de continuer à nous déplacer là où nous vivons.
Títol: Pink Room o Salomé

Autor: D Loves The Sodomites
Performer: D Loves The Sodomites
Any: 2020
Mida: variable
Tècnica: vídeo digital (monocanal) i performance site-specific
Duració: 5’34’’
Lloc de realització: Barcelona
Títol: Sense Títol (triangle de neons roses)
Autor: D Loves The Sodomites
Any: 2015
Mesures: 120 x 120 x 120 cm
Tècnica i materials: Instal·lació triangular de neons i fusta
Títol: PINK ROOM
Any: 2021
Mesures: 14 x 12,5 cm
Tècnica: Video y música digital
Soporte: CD i DVD

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