En collaboration avec le Salon du bénévolat et de l’engagement citoyen qui se déroulera aux Promenades de Sorel le 20 avril 2024 entre 10 h et 15 h
Faire du bénévolat, vraiment? Les jeunes ne s’impliquent dans rien, vraiment? Le gouvernement règlera tous les besoins sociaux avec mes taxes, vraiment?
Alors que l’inflation étire la sauce sur un fond de récession, certaines carrières deviennent précaires et plusieurs doivent trouver un deuxième boulot pour joindre les deux bouts. Bien entendu, l’idée de s’impliquer pour aider son prochain n’est pas nécessairement à la portée de tous.
En fait, l’entraide est un relais. En effet, la vie n’étant pas un long fleuve tranquille, tôt ou tard nous serons appelés à aider d’une façon ou d’une autre et inversement, à requérir de l’aide pour nous-mêmes ou pour un proche.
Malheureusement, la tarte des besoins grandit beaucoup plus rapidement que les ressources et chaque petit geste individuel et collectif contribue à nourrir tout un écosystème qui fourmille en silence et dans l’ombre : le milieu communautaire. Nos organismes locaux font une énorme diffé-
rence pour notre collectivité et contribuent largement à soutenir tout le système et ses angles morts.
Tout un monde à découvrir!
Rien n’est plus gratifiant et enrichissant que d’aider; l’impact est inestimable et surtout, les façons de le faire sont illimitées.
Que ce soit en tendant la main ou l’oreille, en partageant ses connaissances ou son réseau, en faisant un don de sang, d’un peu de son temps ou d’argent pour faire avancer une cause, si on y pense, on a tous quelque chose à offrir.
Et c’est même une magnifique façon de resserrer les liens entre collègues, entre amis ou en famille. Et pourquoi pas, en profiter pour choisir la cause qui touche nos valeurs, celle qui nous fera grandir!
Pour de nombreux retraités, c’est l’occasion de rester actif et de socialiser enfin à son rythme, tout en partageant la richesse de leurs expériences.
Pour les jeunes, c’est un cadeau du ciel pour forger sa fierté et développer certaines
Le Centre d’action bénévole du Bas-Richelieu inc. et la Corporation de développement communautaire Pierre-De Saurel sont fiers d’organiser la première édition du Salon du bénévolat et de l’engagement citoyen ce samedi 20 avril, entre 10 h et 15 h, aux Promenades de Sorel.
Ce salon est venu d’un constat commun entre les deux organismes : qu’il faut mieux faire connaitre les différentes possibilités de bénévolat et d’engagement citoyen auprès de la population de la MRC de Pierre-De Saurel ainsi que de faire mieux connaître les organismes d’action communautaire autonome (ACA) et les organismes à but non lucratif (OBNL) de la région.
Une fois ces constats faits, l’idée d’un salon pour mettre en valeur le bénévolat et l’engagement citoyen a pris tout son sens. C’est une occasion idéale de répondre à ces
besoins exprimés par les organismes de la MRC de Pierre-De Saurel.
C’est donc une quarantaine d’organisations qui ont répondu présents à cet appel. Ils souhaitent faire rayonner leur mission auprès des citoyennes et citoyens de la région et à susciter une volonté de s’engager et faire une différence sur notre territoire. La population aura ainsi la chance de rencontrer directement des gens de cœur qui soutiennent des missions variées couvrant différents secteurs d’activités.
En s’engageant, une citoyenne ou un citoyen doit choisir une organisation dont la mission rejoint ses valeurs, car c’est d’autant plus facile de faire du bénévolat quand la mission nous touche, mais c’est aussi gratifiant de sentir que notre engagement fait la différence dans notre société.
De plus, à 11 h et 13 h, il y aura un partage de l’expérience de bénévoles et de personnes engagées provenant de différents horizons qui seront là pour s’exprimer à
Éditeur : Benoit Chartier
Directeur général : Marcel Rainville
Rédacteur en chef : Martin Bourassa
Directeur de production : Alex Carrière
Chroniqueurs : Denis Marion
Louise Grégoire-Racicot
Photographes : Pascal Cournoyer Steve Gauthier
Caricaturiste : Gilles Marcotte
compétences, tout en enrichissant son réseau d’affaires et son CV. Le tout dans un climat nettement plus vrai et plus sain que celui des réseaux sociaux.
Au journal, nous sommes privilégiés d’être un premier contact avec les citoyens au quotidien. Incidemment, l’engagement a toujours naturellement fait partie de nos racines autant qu’il nous est possible avec notre petite équipe et nos défis. C’est toujours très enrichissant et stimulant et cela me rend d’autant plus fier de mon équipe!
En cette ère dite de repli sur soi, notre région regorge d’exemples de générosité et d’entraide. Ajoutons ces faits à nos fiertés régionales, un autre signe de notre richesse. Cela nous ramène sur la vraie vie, sur notre place dans la société. Signe que tout n’est pas qu’une question d’argent et de possession, heureusement!
C’est pourquoi c’était tout naturel pour le journal
Les 2 Rives de nous associer à cette initiative du premier Salon du bénévolat et de l’engagement citoyen, en collaboration avec la CDC et le CAB et même d’y consa-
Mathieu Brochu, directeur général de la Corporation de développement communautaire Pierre-De Saurel. Photo NathB
propos de leur engagement et comment le conjuguer avec sa vie personnelle et professionnelle. Ces bénévoles témoigneront des bienfaits du bénévolat, ce que ça leur apporte et comment ils peuvent avoir un impact sur la vie des gens de leur entourage.
Que vous ayez quelques heures par semaine, par mois ou par année, toutes et
Coordonnatrices aux ventes : Mélissa Giard Marie-Pier Robidoux
Distribution
Marcel Rainville, directeur général du journal
Les 2 Rives Photo NathB
crer le thème central de cette sixième édition Ma famille, ma région, afin de mettre en lumière tout le travail et les besoins des organismes en plus de dresser quelques exemples très inspirants d’engagements citoyens et leurs retombées.
Si vous souhaitez aider sans savoir exactement comment faire le premier pas, vous êtes ici à la bonne place et une visite s’impose au Salon le 20 avril prochain. Bonne lecture!
Marcel Rainville, directeur du journal
Les 2 Rives
Ando Andrianady, directeur général du Centre d’action bénévole du Bas-Richelieu. Photo NathB
tous sont invités à participer à l’événement et venir explorer les différentes façons de s’engager. C’est un rendez-vous le samedi 20 avril de 10 h à 15 h aux Promenades de Sorel.
Mathieu Brochu et Ando Andrianady, au nom du comité organisateur composé de la CDC Pierre-De Saurel et du CAB du Bas-Richelieu
Tél. : 450 742-9408
Directeur de l’information : Jean-Philippe Morin
Journalistes : Alexandre Brouillard
Stéphane Fortier
Contrôleur : Monique Laliberté
Publicitaires : Carole Pettigrew Kevin Arseneault
Marie-Soleil Parent et Rolland-Pierre B. Chalifoux sont respectivement à la présidence du Centre d’action bénévole du Bas-Richelieu (CABBR) et de la Chambre de commerce et d’industrie de Sorel-Tracy (CCIST). Maman à la maison et entrepreneur bien établi à Sorel-Tracy, le couple réussi à démontrer qu’il est possible de concilier travail-famille et bénévolat.
« En tant que couple, tout passe par la communication et la reconnaissance de nos forces respectives. Je trouve ça beau de voir Rolland-Pierre s’impliquer dans la communauté. L’organisme qu’il a choisi le représente bien. L’économie est sa force et moi, c’est tout le côté humanitaire. Ce sont également de belles valeurs que l’on veut partager à nos enfants. La communauté nous donne et il faut être capable de redonner à la communauté », lance d’emblée Marie-Soleil Parent.
C’est en 2019 que Rolland-Pierre B. Chalifoux a entamé son projet d’entreprise spécialisée dans la fabrication de joints préroulés de marijuana. Nuances MJ, située dans l’ancienne prison de Sorel, a commencé ses opérations en 2021.
« Malgré tout le travail que cela demande de démarrer une entreprise, je voulais m’impliquer dans la région, surtout durant la période de COVID-19. Tout était plus tranquille et je trouvais qu’on ne mettait pas suffisamment de l’avant les entrepreneurs et les commerces. Ce que j’aime à la Chambre
On apprend énormément en partageant nos difficultés respectives. C’est important de ne pas rester isolé », explique celui qui a été élu à la présidence de la Chambre de commerce et d’industrie de Sorel-Tracy en 2023 après avoir siégé comme administrateur pendant un mandat.
« De mon côté, j’ai découvert le CABBR lors d’un 5 à 7. J’ai eu les larmes aux yeux en
ment dans mes valeurs. Je m’y implique, car ils font un travail remarquable au sein de la communauté. Je souhaite faire une différence en aidant l’organisme à poursuivre sa mission. J’invite également les gens à se joindre à nous. Qu’importe le nombre d’heures que vous avez à consacrer, nous avons toujours besoin de bénévoles », ajoute Mme Parent.
mettent aujourd’hui à Marie-Soleil de demeurer à la maison et de prendre soin des enfants. Je suis conscient que ce n’est pas la réalité pour tout le monde aujourd’hui. Cependant, je crois que tout le monde est capable de s’impliquer bénévolement d’une façon ou d’une autre dans la société. C’est extrêmement gratifiant et bénéfique pour toute la région », de conclure Rolland-Pierre B. Chalifoux.
C’est le 20 avril prochain entre 10 h et 15 h qu’aura lieu, aux Promenades de Sorel, la première édition du Salon du bénévolat et de l’engagement citoyen. L’événement est organisé par la Corporation de développement communautaire Pierre-De Saurel (CDCPDS) et le Centre d’Action bénévole du Bas-Richelieu (CABBR).
« À la CDC, plusieurs de nos membres qui nous appellent, c’est parce qu’ils cherchent des bénévoles. La problématique est provinciale. Pendant la pandémie, plusieurs bénévoles ont tenu les organisations à bout de bras et considèrent maintenant qu’il est temps de passer le flambeau à quelqu’un d’autre. On remarque également que ce sont souvent les mêmes personnes qui sont sollicitées. L’un des objectifs du Salon est d’agrandir le cercle de bénévoles dans la région en faisant connaître les différents organismes qu’il existe sur le territoire », explique le directeur général de la CDCPDS, Mathieu Brochu.
Pour cette première édition, la présidence d’honneur a été confiée à Alex Trudel, animateur de l’émission matinale Y’a de ces matins à CJSO 101,7 FM. « Nous retrouverons sur place une quarantaine d’exposants. Nous avons ouvert la porte à tous les organismes à but non lucratif du territoire. C’est l’occasion pour eux de vendre leurs missions. On a bien fait comprendre que même s’ils n’ont pas besoin actuellement de bénévoles, ce sera peut-être le cas dans quelques années. En se faisant connaître de la population, on augmente les chances d’intéresser quelqu’un à notre organisme et de faire en sorte que les citoyens s’y impliquent d’une façon ou d’une autre », ajoute M. Brochu. De plus, afin d’intéresser la population, différents conférenciers prendront la parole à divers moments de la journée, dont Kévin Arseneault (citoyen engagé dans plusieurs organisations), Annie Lavallée (ancienne membre du conseil d’administration du CABBR), Jean-Charles Gouin (Association des personnes handicapées Sorel-Tracy), Djamila Benmouffok (Club d’Animation Féminine) et Charles Frenette (Groupe Scout Pierre-De Saurel). res qui travaillent avec les nouveaux arrivants. Il y en a beaucoup qui veulent s’engager dans la communauté. C’est pour eux une façon de redonner à leur société d’accueil. C’est également une belle façon de s’intégrer et de se faire un réseau de contacts. Je ne parle pas nécessairement que des
La CDCPDS et le CABBR, autant leurs bénévoles que leurs membres et employés, invitent la population à assister au premier Salon du bénévolat et de l’engagement citoyen le 20 avril, aux Promenades de Sorel.
gens issus de l’immigration. Toute personne qui débarque dans une nouvelle région devrait faire du bénévolat afin de se faire connaître et d’en apprendre davantage sur son nouveau milieu de vie », de conclure Mathieu Brochu, qui planche déjà sur une deuxième édition du Salon du bénévolat et de l’engagement citoyen.
Il serait inimaginable qu’à Sorel-Tracy, un organisme comme Carrefour naissance-famille ne soit pas là pour soutenir et conseiller les mamans et les papas tellement, au fil des années, ses services sont devenus indispensables.
Si, au fil du temps, les services offerts ont grandement évolué et se sont multipliés, l’organisme a débuté bien modestement en avril 1984, il y a donc 40 ans. « Tout a commencé simplement avec un groupe de mères. Elles ont décidé d’offrir du soutien et de l’accompagnement avec de l’aide à l’allaitement et aux relevailles à celles qui en avaient besoin. La nécessité était là de soutenir les nouvelles mamans, de créer un cercle et de faire en sorte qu’elles ne se retrouvent pas seules à la maison », explique Julie Naud, directrice générale de Carrefour naissance-famille qui révèle qu’à l’époque, l’organisme se nommait Entraide maternelle mamie.
« Il y avait beaucoup de mamans au foyer à l’époque et elles avaient besoin de
références, de savoir ce que d’autres mères vivaient. C’était aussi une façon également de briser l’isolement des mamans », de poursuivre Mme Naud.
En 1985, un organisme appelé Harmonie naissance offrait également des services pour les nouvelles mamans. « En 1989, les deux organismes ont fusionné pour créer Carrefour naissance-famille et la
mission est restée la même, soit de répondre aux besoins des mamans », nous dit Dominique Verrette, agente à l’accueil et aux communications.
Multitude de services
Au fil du temps, Carrefour naissancefamille a grandement élargi sa palette de services offerts. « L’organisme est devenu
rapidement de plus en plus reconnu et crédible », fait remarquer Mme Verrette.
« Une foule d’ateliers s’y sont greffés au fur à mesure des besoins. Des ateliers traitant par exemple du développement parentenfant (ateliers de stimulation et de développement) par tranche d’âge. Ces ateliers et activités contribuent à créer des liens d’amitié et permettent aux parents et aux enfants de faire des activités ensemble », rappelle Julie Naud.
Évidemment, des services en lien avec les relevailles et l’allaitement ont été conservés et développés, ces derniers demeurant fort importants, mais aussi des services en lien avec la périnatalité (avant la naissance) qui sont complémentaires au cours prénatal que les parents peuvent suivre.
« Il y a aussi des interventions ponctuelles comme l’apprentissage de la propreté chez l’enfant, ceux et celles qui ont besoin d’aide au niveau de la discipline, du sommeil, des crises. Ce sont toutes des activités des plus concrètes », affirme la directrice générale, qui est à la tête de l’organisme depuis six ans.
Et les papas ont droit, eux aussi, à leurs services. Par exemple, le lieu d’échanges et
de partages appelé Boomerang pour hommes ayant des enfants.
La halte-garderie, pour les 0-5 ans, est une garderie de dépannage. « Nous accueillons une douzaine d’enfants par jour, et sauf exception, jamais les mêmes d’une journée à l’autre. Ça change tous les jours. Nous pouvons offrir une journée complète ou une demi-journée. Nous sommes très flexibles. Ça roule continuellement ici », décrit Julie Naud.
Au Carrefour naissance-famille, on dispose même d’une boutique où on peut trouver différents items pour la famille. « C’est une boutique sans taxe et on offre vraiment de tout pour prendre soin de la famille. Nous sommes vraiment à leur écoute. Nous avons des produits d’une soixantaine de compagnies dont les trois quarts sont québécoises. Les profits générés par la boutique sont réinvestis dans notre mission », de dire la directrice générale du Carrefour naissance-famille.
L’organisme aimerait réactiver l’activité Les trésors de Taquine, un marché aux puces permettant aux parents de se procurer du matériel dont d’autres familles n’ont plus besoin et qui sont encore en excellent état.
« C’est une façon de donner une deuxième vie à ces choses. Nous sommes
présentement à évaluer le retour de cette activité. Nous sommes conscients que bien des gens attendent le retour de cette activité et aimerions le réactiver en septembre. »
Actuellement, le Carrefour naissance famille dessert 470 personnes qui sont membres en plus d’une trentaine de personnes non membres. Mais il est beaucoup plus avantageux de devenir membres d’autant qu’il n’en coûte que 30 $ par année pour profiter de tous les services. « Et c’est ouvert à tous. Nous sommes vraiment inclusifs », insiste Julie Naud qui supervise une équipe d’une douzaine d’employés et d’une trentaine de bénévoles.
Avec tous ces services, cette dernière est fière de dire que l’organisme contribue à alléger le fardeau du système de santé. « Et nous avons de très bons liens avec d’autres partenaires. Il nous arrive de référer des parents vers d’autres ressources plus à même de les aider dans certaines situations », de mentionner Mme Naud.
L’organisme offre encore bien d’autres ateliers, services et formation, mais il serait fastidieux de les énumérer tous. La meilleure façon d’en savoir plus, c’est de se rendre au www.carrefournaissancefamille.com.
Les activités sont variées au Carrefour naissance-famille. On peut même se mettre en forme avec les petits. Photo gracieuseté
Stéphane Martin | Les 2 Rives
Le bénévolat est décrit par plusieurs comme une expérience enrichissante qui permet de tisser des liens. Les bénéfices retirés sont palpables, qu’importe l’âge de la personne bénévole.
Du haut de ses 82 ans, Guy Pépin cumule plus de 27 années de bénévolat à la Popote roulante du Centre d’action bénévole du Bas-Richelieu (CABBR).
« J’ai pris ma retraite au mois en décembre 1996 en tant que directeur de l’école Martel de Saint-Joseph-de-Sorel. J’étais déjà impliqué à la Guignolée et je suis rapidement embarqué sur le comité de Popote roulante. J’ai passé ma vie dans l’éducation comme professeur et directeur. Ça me fait du bien de sortir de ce milieu et de rencontrer des gens qui ont un peu plus de difficulté dans la vie. On s’enrichit en faisant du bénévolat et ça donne une meilleure compréhension de ce qui se passe dans la société », explique l’homme au regard vif.
« On me demande souvent pourquoi je continue à m’impliquer à mon âge, ajoute-til. Ce n’est pas compliqué, j’aime les gens et
ça me fait sortir de chez moi. Ça garde mon réseau de contacts actif. C’est important d’être bien entouré. »
mencé les scouts à l’âge de 9 ans où j’ai fait tout mon parcours. Mes parents m’ont tou-
volat. À 15 ans, je suis devenu animateur chez les scouts. Je voulais redonner tout le bien que j’avais reçu. Pendant neuf ans, j’ai animé auprès des jeunes et je suis toujours resté impliqué par la suite. Actuellement, je suis président et je m’occupe plus de l’administration afin de pouvoir faire vivre le scoutisme pendant plusieurs années encore pour les jeunes de la région et leur donner l’occasion de vivre de belles expériences. Ça me permet de redonner à la collectivité et de vivre de nouvelles expériences en dehors de mon travail », raconte celui qui occupe un emploi comme préposé aux bénéficiaires et délégué syndical.
« La plus belle paie, c’est quand on se fait reconnaître quelques années plus tard en se faisant appeler par notre nom d’animateur et qu’on nous confie à quel point nous avons fait une différence dans la vie d’un jeune. C’est quelque chose qui me touche énormément », ajoute M. Frenette.
« Le bénévolat, c’est un don de soi sans rien attendre en retour. C’est la meilleure façon de voir les choses pour éviter les déceptions. Je n’ai jamais été déçu de faire du bénévolat parce que je donne sans attente », de conclure sagement le vétéran bénévole, Denis Pépin.
Les dirigeants de la Ville de Sorel-Tracy sont catégoriques sur l’importance du travail bénévole au sein de la communauté. En comptabilisant la centaine d’organismes sur le territoire, c’est un peu plus de 2500 bénévoles qui font la différence dans la collectivité.
Pour le maire Patrick Péloquin, cet apport bénévole est essentiel au développement de la région. « Une communauté ne peut pas vivre sans son bénévolat. Que l’on parle d’organismes communautaires, culturels ou sportifs, cela représente un apport extrêmement important à la région. Cela contribue à développer le sentiment d’appartenance et la fierté d’être Sorelois. Il y a plusieurs de ces bénévoles qui ont été consultés pour la planification stratégique de la Ville. Pour nous, c’est vraiment essentiel le bénévolat et on remercie tous les gens qui donnent de leur précieux temps à la Ville. »
M. Péloquin souligne également l’implication de certains citoyens qui siègent sur les différents comités chapeautés par la Ville. « Le plus connu est certainement le comité
consultatif d’urbanisme (CCU). Il y a également le comité du patrimoine où l’on retrouve des passionnés d’histoire ainsi que le comité de développement social et de l’accessibilité. Il y a d’autres comités qui se
– Patrick Péloquin, maire de Sorel-Tracy
dations au conseil municipal qui ont un impact sur la vie des citoyens », explique le maire de Sorel-Tracy.
Ce dernier se cite lui-même en exemple afin de démontrer que le bénévolat peut mener à de grandes aspirations. « Le bénévolat, c’est une action que l’on pose pour changer et enrichir la collectivité. Le bénévolat m’a mené en politique. J’ai commencé comme bénévole à la Société historique Pierre-de-Saurel et ça m’a amené à me présenter comme conseiller municipal. Aujourd’hui, je suis maire de la Ville de Sorel-Tracy. Je me suis impliqué bénévolement dans ce qui me passionnait et maintenant, je continue d’exercer mon métier avec la même passion », commente Patrick Péloquin.
mettront en place éventuellement, notamment le comité de l’environnement et des changements climatiques. Les citoyens qui siègent sur ces comités ont un rôle extrêmement important, car ils font des recomman-
« Même si quelqu’un n’a qu’une heure à consacrer au bénévolat, collectivement, quand on additionne les heures de tout un chacun, cela représente un grand mouvement. Une ville est riche de ses bénévoles. Ça nous aide dans notre démarche pour l’obtention des Jeux du Québec, car nous sommes capables de démontrer la mobilisation des bénévoles sur notre territoire », de conclure la maire de Sorel-Tracy.
Créé le 5 juillet 2023 par L’Orienthèque et le Carrefour jeunesse-emploi (CJE) Pierre-De Saurel, le conseil jeunesse interculturel a pris son envol. Des jeunes de 14 à 25 ans, issus de l’immigration ou non, se mobilisent autour d’enjeux qui les touchent afin de s’impliquer dans la communauté et mieux s’y intégrer.
Guillaume Gauthier, du CJE Pierre-De Saurel et Junior Boucher, de L’Orienthèque, sont les deux responsables de ce conseil composé en ce moment de cinq jeunes, dont deux sont issus de l’immigration. Une fois par mois, tout ce beau monde se réunit et les jeunes choisissent ensemble les activités à faire.
Par exemple, les dernières réunions ont permis d’organiser une activité à Montréal le 6 avril dernier. Trois des cinq jeunes impliqués dans le comité, en compagnie de MM. Gauthier et Boucher, ont pu visiter la grande ville pour la première fois, utiliser le
métro, explorer le Biodôme, découvrir différents quartiers et se promener dans le Vieux Port. « Un des deux Camerounais du groupe me disait à quel point c’était une journée inoubliable. C’est le groupe qui a décidé de cette activité et c’est ce que permet le conseil jeunesse interculturel : choisir des activités pour interagir ensemble et s’intégrer dans la communauté », explique Guillaume Gauthier.
D’autres activités suivront bientôt, comme une corvée de nettoyage dans le secteur Tracy le 24 avril prochain dans le cadre du Jour de la Terre ainsi que le visionnement de la pièce de théâtre Zéro le 26 avril au Marché des arts Desjardins, dont le sujet porte justement sur l’immigration. Le comédien de la pièce, Mani Soleymanlou, sera d’ailleurs disponible pour rencontrer les jeunes du conseil.
En recrutement
Le conseil interjeunesse a fait du chemin depuis sa création il y a bientôt un an, mais les deux intervenants jeunesse espèrent aug-
menter le nombre de membres au cours des prochains mois. « Dans un monde idéal, on aurait 12 jeunes, mais si d’ici un an on a 10 jeunes, je serais bien content. On a aussi comme mandat d’avoir 50 % de jeunes issus de l’immigration puisque c’est dans notre mission de faire interagir des jeunes de la communauté d’accueil et les immigrants », souligne M. Gauthier.
C’est d’ailleurs pour cette raison que MM. Gauthier et Boucher ont tenu un kiosque pendant une semaine, à la mi-mars, à l’école secondaire Fernand-Lefebvre afin de rencontrer des élèves susceptibles d’intégrer ce conseil jeunesse interculturel. « Ce qu’on
aimerait, c’est que le jeune qui s’implique comprenne que s’il veut que quelque chose change dans sa communauté, il doit s’impliquer. Les élus sont parlables et s’ils veulent faire bouger les choses, ils doivent se lever et poser des actions. S’impliquer dans le conseil, ça amène une expérience unique, des activités d’apprentissage, de gang. Ça crée des ponts entre les communautés », assure Guillaume Gauthier.
Pour donner son nom afin de s’impliquer auprès du conseil jeunesse interculturel, il faut avoir entre 14 et 25 ans et appeler Junior Boucher au 579 369-1304 ou écrire un courriel à cjipds@gmail.com.
Un tout nouveau jeu de société familial imaginé et créé par un Sorelois
Le Sorelois Éric Cournoyer a récemment mis en marché un tout nouveau jeu de cartes, appelé Colo6, issu de sa grande créativité d’artiste.
La pandémie nous aura permis à tous de tuer beaucoup de temps en nous consacrant à nos passions actuelles et nouvelles et c’est ce qu’Éric Cournoyer a fait. Enseignant de musique à son domicile, et confinement oblige, Éric Cournoyer avait donc du temps pour faire travailler son imagination. « J’ai toujours aimé les jeux, mentionne celui qui est musicien, enseignant et infographiste. Je suis parti de rien. C’est le premier jeu que je crée qui se rend à l’étape de la production. »
Oui parce qu’Éric Cournoyer n’en est pas à ses premiers essais. « J’ai un autre jeu en attente, le premier que j’ai conçu pendant la pandémie, qui s’appelle Contraste et qui se joue sur une plaque, mais avec des dés, pas avec des jetons. Mais il coûtait trop cher à produire et je l’ai mis en veilleuse. J’espère que les profits engendrés par les ventes de
mon Colo6 me permettront d’aller chercher assez de sous pour mettre Contraste en marché », souhaite-t-il.
Jeu de cartes
Colo6 est un jeu de cartes pour deux à quatre joueurs de sept ans et plus, visant à construire des ensembles de cartes de même couleur. Trois jeux sont disponibles dans une boîte, et selon l’âge ou l’envie de défi des participants, trois avenues sont offertes.
Au mode simple, il suffit de rassembler des cartes d’une même couleur. Au mode normal, les points entrent en jeu, ce qui demande d’accumuler un pointage élevé, pas seulement de terminer le premier. Le mode expert, lui, permet d’assembler des colonnes spéciales, de mélanger les couleurs primaires et secondaires et de satisfaire les joueurs en quête de stratégie. « Chaque forme équivaut à une couleur. Il est donc accessible même aux personnes qui doivent conjuguer avec le daltonisme », précise-t-il.
Évidemment, les étapes pour en arriver à mettre un jeu en marché sont nombreuses
fallu passer par une foule d’étapes. « Heureusement que j’ai toujours aimé créer, que j’ai l’amour de la création, car il y avait beaucoup de murs à franchir, ne serait-ce que d’acheter un code-barre international par exemple. Passer de feuilles brouillons à un millier de boîtes prêtes à atteindre les tablettes de magasins, c’est tout un processus », confirme celui qui travaille également à la bibliothèque Marie-Didace.
Grâce à ses relations, son jeu s’est retrouvé un peu partout dans le monde. En passant, l’auteur ludique tient à remercier ses amis et connaissances qui ont déjà fait parcourir le
monde à son jeu. « En quelques mois, le jeu a sillonné les Amériques en se rendant au Mexique, aux États-Unis et dans le reste du Canada pour ensuite traverser l’océan pour atterrir en France, en Angleterre et en Chine », révèle Éric Cournoyer.
Mais, parlant de diffusion, il faudra que Colo6 trouve sa niche un peu partout, tant sur le web que dans les boutiques spécialisées ou non. En attendant, il est disponible à la librairie La Cargaison de Sorel-Tracy, située en face du carré Royal. Il en coûte 20 $, taxes comprises pour se procurer Colo6. Le jeu est aussi disponible à la location à la bibliothèque Le Survenant.
Après cinq ans de dévouement, le président-éditeur de DBC Communications et éditeur du journal Les 2 Rives, Benoit Chartier, quitte la tête haute ses fonctions de président d’honneur des campagnes de financement annuelles de Centraide Richelieu-Yamaska. La campagne 2023 a permis d’amasser un montant record de 2,3 M$, ce qui a valu un prix à M. Chartier pour son importante contribution.
Lors de la deuxième édition de la Soirée des alliés, le 4 avril, le prix Centraide Émérite lui a été décerné pour son incarnation des valeurs de Centraide de façon exceptionnelle. « Au cours des cinq dernières années, M. Chartier a dirigé nos campagnes avec un incroyable dévouement et un leadership inspirant. Son engagement a été une source d’inspiration pour nous tous et nous sommes profondément reconnaissants pour ses efforts. Benoit, au nom de toute l’équipe de Centraide Richelieu-Yamaska, je tiens à t’exprimer notre plus sincère reconnaissance pour ton dévouement à faire briller et promouvoir notre organisation. Ton soutien continu a eu un impact significatif sur notre communauté et nous sommes fiers de te décerner cet honneur bien mérité », a affirmé Renée-Claude Legault, présidente
Le président-éditeur de DBC Communications, Benoit Chartier, a annoncé qu’il quittait ses fonctions de président d’honneur des campagnes de financement annuelles de Centraide Richelieu-Yamaska après cinq ans. Il a reçu des mains de Renée-Claude Legault, présidente du CA de Centraide Richelieu-Yamaska, le prix Centraide Émérite pour son dévouement.
du conseil d’administration de Centraide Richelieu-Yamaska.
Benoit Chartier a raconté qu’il avait été approché à l’époque par l’ancien président
La campagne annuelle 2023 de Centraide Richelieu-Yamaska a permis d’amasser un montant record de 2 323 854 $. Photo La Rivest - Créatrice d’image
du conseil d’administration de Centraide Richelieu-Yamaska, Yves Brouillette. Il a accepté ce mandat avec plaisir d’abord pour un an, puis a décidé de renouveler l’expérience.
M. Chartier a mentionné qu’à son arrivée, il y a cinq ans, ce sont plutôt 1,7 M$ qui avaient été récoltés. Malgré les aléas de la pandémie, il a constaté que Centraide Richelieu-Yamaska avait su continuer sans relâche.
« Nous avons passé au travers et avons pu voir la résilience, la profondeur de l’organisme et le grand pouvoir de donation de la région », a-t-il déclaré. Durant son mandat, près d’une centaine d’organismes et de projets communautaires sur le territoire des sept MRC desservies ont été appuyés financièrement grâce aux plus de 10 M$ amassés.
Parmi les projets soutenus dans la MRC de Pierre-De Saurel pour l’année 2023-2024, le Carrefour naissance-famille a pu payer des ateliers d’accompagnement pour la transition vers l’école et le Centre d’action bénévole (CAB) du Bas-Richelieu a reçu une aide financière pour l’accessibilité aux activités parascolaires. La Maison Le Passeur a aussi pu implanter des ateliers sur la non-violence en milieu scolaire.
« J’ai donné cinq ans avec grande bonté, grande joie et enthousiasme et, maintenant, je suis prêt à passer le flambeau. Ce fut une réussite. Je suis très fier du résultat. Je suis extrêmement fier d’avoir fait partie de cette équipe. Je suis certain que les années qui vont suivre seront aussi marquées par une grande générosité », a conclu Benoit Chartier.
Les écoles et les citoyens sont conviés à la corvée de nettoyage
Le printemps est là et le temps est venu de participer au nettoyage de nos espaces, et ce, tant pour les élèves de nos écoles que pour les citoyens en général.
En effet, dans le cadre du Jour de la Terre, la MRC de Pierre-De Saurel, la Ville de SorelTracy, avec le conseiller municipal Martin Lajeunesse, ainsi que la Ville de Saint-Josephde-Sorel et surtout le Mouvement écologique du comté de Richelieu (MECR), en partenariat avec le Carrefour naissance-famille (CNF), le Carrefour jeunesse-emploi (CJE) et un groupe d’étudiants du Cégep de SorelTracy du cours Agir pour l’environnement, invitent toute la population à participer aux deux corvées de nettoyage qui se dérouleront les 22 avril (Jour de la Terre) pour les écoles et le 27 avril pour la population.
Grande corvée des écoles
Lors de la Grande corvée des écoles (primaires et secondaires), organisée conjointement par le CNF et le MECR, les professeurs des écoles de toute la région sont invités à sortir avec leurs élèves durant la journée pour ramasser les déchets dans la cour d’école et les environs, à l’heure qui leur convient. Mais d’où vient cette idée pour les écoles?
« J’ai travaillé dans les écoles où je faisais de la suppléance, notamment à l’école Laplume où des élèves de cinquième année ont voulu former un comité vert. Dès lors, l’idée de la collecte de déchets dans la cour d’école est venue tout naturellement », relate Marie-Pier Arseneault, qui œuvre aujourd’hui au Carrefour naissance-famille comme intervenante famille.
« Nous avions sensibilisé aussi les élèves à se préparer des boîtes à lunch plus vertes. Et il y a deux ans, une corvée de nettoyage a été organisée et pas moins de 22 élèves ont participé. Nous sommes même sortis de la cour d’école », de poursuivre Marie-Pier.
Cette idée lui est restée en tête et l’année dernière, l’école Saint-Gabriel-Lalemant a emboité le pas à l’occasion du Jour de la Terre. « Les jeunes ont spontanément
Le conseiller Martin Lajeunesse organise chaque année une grande corvée qui remporte beaucoup de succès. Encore cette année, le 27 avril dès 10 h, le départ se fait au parc Jean-Marie Marcotte du secteur Tracy. Photo gracieuseté
embarqué et même les élèves de la maternelle ont décidé de faire leur propre petite corvée de la cour d’école. Et il y avait, aux dires des élèves, beaucoup de wachhhh! » raconte Marie-Pier Arsenault en souriant.
Les professeurs des écoles de toute la région sont invités à sortir avec leurs élèves durant la journée pour ramasser les déchets dans la cour d’école et les environs, à l’heure qui leur convient. Grâce aux commanditaires de l’événement, soit le cinéma RGFM St-Laurent, le Comptoir d’Alexandrine, la Maison du Marais et le Carrefour naissance-famille, des prix de participation seront remis ainsi qu’un prix pour la classe ayant ramassé la plus grande quantité de déchets. Les gagnants seront dévoilés durant la semaine du 6 mai.
Grande corvée régionale
Le samedi 27 avril, dès 10 h et jusqu’à midi, tous les citoyens de la MRC, petits et grands, sont invités à amener sceau, gants de jardinage et pinces et ramasser tous les wachhhh! « Depuis l’année dernière, des municipalités se sont jointes à nous comme Sainte-Victoire, Saint-Robert et nous souhaitons que la Grande corvée devienne
contagieuse », espère Audrey Comtois, du MECR.
Si par les années passées, ce genre de corvées étaient organisée de façon plutôt sporadique, on peut dire que la tradition est maintenant lancée. « L’appel aux différentes municipalités est toujours en vigueur et cette année, nous aimerions compter sur 10 à 20 personnes par endroit pour nettoyer. L’année dernière, il y avait trois endroits visés par la corvée et cette année, nous en avons ajouté quelques-uns de plus », note Audrey Comtois.
Pour elle, il est clair que de participer à ce genre d’activités crée une sensibilisation chez les citoyens. « Les gens ont par la suite, plus tendance à être respectueux de leur environnement », croit Audrey.
Les gestes que posent les gens irrespectueux peuvent, il va sans dire, tous être évités. « On trouve beaucoup de contenants de breuvage de fastfood, de papiers de toutes sortes qui s’envolent des bacs de recyclage. L’année dernière, nous n’avions pas comptabilisé les déchets que nous avions ramassés, mais on avait récolté un gros volume », fait remarquer Audrey Comtois en demandant
La grande corvée vise cette année les élèves des écoles et les citoyens en général.
aux citoyens d’être plus respectueux à l’avenir. Le 27 avril, on pourra donc se rendre au parc de la Pointe-aux-Pins (21, rue du Fleuve, Saint-Joseph-de-Sorel). Les gens se dirigeront ensuite progressivement vers les parcs Charlemagne-Péloquin et OlivarGravel et se rendront jusqu’au parc de l’Ilménite. On peut se rendre également au parc Jean-Marie Marcotte (1245, rue Bonin, Sorel-Tracy, secteur Tracy). Les participants avanceront progressivement le long de la route Marie-Victorin, vers l’usine de Rio Tinto Fer et Titane. Au parc Hervé-Larivière (75, rue Lambert, Sorel-Tracy, secteur Sorel), et à la piste cyclable située le long du boulevard Poliquin, entre la rue Dauplaise et le chemin Champagne. Rendez-vous également à la jonction entre le boulevard Poliquin et l’autoroute 30.
En après-midi, à 13 h, tous les groupes sont appelés à se joindre aux étudiants du Cégep de Sorel-Tracy qui seront présents et offriront des breuvages aux participants (à condition d’apporter un contenant réutilisable). Finalement, on peut se rendre au parc Regard-sur-le-Fleuve (5, rue SaintPierre, Sorel-Tracy, secteur Sorel).
Pour en savoir plus, on se rend sur la page Facebook des différents partenaires.
Afin de souligner le Jour de la Terre, la Ville de Sorel-Tracy offre à ses citoyens la chance de remporter l’un des 25 barils récupérateurs d’eau de pluie. Pour participer, il faut remplir le formulaire d’inscription sur le site Web de la Ville qui sera disponible à compter du lundi 22 avril à 7 h, jusqu’au vendredi 26 avril à midi. Les gagnants seront ensuite avisés par courriel et ils devront être en mesure de venir récupérer leur baril le mercredi 1er mai ou le jeudi 2 mai, entre 7 h 30 et 15 h 30, au garage municipal (170, rue Victoria). Une preuve de résidence sera exigée. Les barils sont d’une largeur de 2 pieds et d’une hauteur de 3,5 à 4 pieds, pour une capacité d’environ 200 litres. Puisque les barils proviennent d’une entreprise d’économie sociale qui réutilise d’anciens barils alimentaires, ces derniers sont de couleurs variées et peuvent présenter certains défauts esthétiques qui n’affectent pas pour autant leur usage et leur durée de vie. J.-P.M. Photo gracieuseté
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