Arrêt des Virus naturellement

Arrêt des

Virus naturellement

Les combinaisons de micronutriments développées scientifiquement comme stratégie efficace pour lutter naturellement contre les infections virales

Arrêt des virus naturellement

Première édition

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Brocoli (Brassica oleracea var. italica)

Des forces naturelles pour le système immunitaire

Les virus sont actifs tout au long de l’année et provoquent des infections chez l’homme. On observe généralement un pic d’infections durant les mois d’automne et d’hiver, notamment en ce qui concerne les infections à coronavirus et la grippe saisonnière. Alors que la médecine conventionnelle s’appuie toujours sur les médicaments antiviraux et les vaccins, les approches basées sur les micronutriments offrent une opportunité unique de prévenir et gérer efficacement les infections virales.

Le corps humain est constitué de milliards de cellules qui ont besoin d’un apport constant de biocatalyseurs pour effectuer des réactions biochimiques vitales. En médecine cellulaire, ces substances sont appelées «nutriments cellulaires». Il s’agit de vitamines, de minéraux, d’oligo-éléments, de certains acides aminés, de phytonutriments biologiquement actifs et d’autres composants nécessaires à un métabolisme normal. Leurs effets bénéfiques sur la santé sont bien connus, et il est de plus en plus évident que certains micronutriments ont une capacité impressionnante à combattre les envahisseurs viraux.

Nous présentons ici des résultats de recherche uniques sur la façon dont les composés naturels, utilisés dans les bonnes quantités et proportions, deviennent des alliés précieux dans la lutte contre les infections, de la grippe humaine au COVID-19 et au-de -

là. Ils montrent que des micronutriments combinés en équipes synergiques peuvent simultanément empêcher les virus de pénétrer dans les cellules, inhiber leur multiplication et, en même temps, renforcer la réponse immunitaire de notre corps pour une protection accrue.

Ces résultats ont des implications importantes qui vont au-delà de nos avantages personnels en matière de santé. En exploitant le pouvoir des micronutriments à titre préventif ou en complément des thérapies antivirales traditionnelles, nous pouvons jeter les bases d’un contrôle sûr et efficace des infections. À l’heure où les virus représentent un défi majeur pour la santé mondiale, les approches scientifiques fondées sur les micronutriments devraient faire partie intégrante de la stratégie de santé publique, en particulier lors des épidémies virales, et inspirer les recherches futures dans le domaine de la santé naturelle.

Les virus sont de minuscules agents pathogènes qui provoquent des infections. Contrairement aux bactéries, qui peuvent générer leur propre énergie et se reproduire, les virus ne sont pas considérés comme des organismes vivants. Ils doivent envahir les cellules d’un hôte et détourner son métabolisme pour se multiplier et se propager. Les virus sont constitués de matériel génétique - ADN ou ARN - entouré d’une enveloppe. Des protéines spécifiques à la surface du virus servent d’ancrage pour s’attacher à la cellule hôte. Ces ancres virales utilisent des «sites d’amarrage» spécifiques à la surface de la cellule comme points d’entrée pour que les virus pénètrent dans la cellule hôte. Par exemple, les coronavirus utilisent une protéine de surface appelée enzyme de conversion de l’angiotensine 2, ou ACE2, pour s’attacher aux cellules et les infecter.

Les virus ont un aspect différent, mais ils envahissent tous les cellules de notre corps et s’y multiplient de la même manière, provoquant toute une série de maladies. Parmi les exemples bien connus, citons le virus de la rougeole, le virus de la grippe, le virus de l’herpès, le virus de l’hépatite B et le virus Ebola. Le virus du SRAS, qui a joué un rôle majeur dans la pandémie de coronavirus, signifie « syndrome respiratoire aigu sévère ».

Virus – petits mais dangereux

Les pointes colorées sur les particules virales représentent différentes protéines que chaque virus utilise pour se fixer aux cellules et les infecter.

Comment une infection virale se développe?

Une fois à l’intérieur d’une cellule hôte, telle qu’une cellule pulmonaire, les virus insèrent leur propre matériel génétique dans l’ADN de l’hôte et reprogramment le logiciel biologique de la cellule à leur propre avantage. Les cel lules infectées commencent alors à produire plus de virus jusqu’à ce qu’elles remplissent toute la cellule, qui éclate, propageant des virus dans les tissus environnants et infec tant plus de cellules. En plus de produire de nouveaux virus, toutes les cellules infectées augmentent également la production de « ci seaux » biologiques qui aident à propager les infections dans tout le corps. Il s’agit principa-

lement d’enzymes de digestion du collagène qui peuvent « briser » le tissu conjonctif environnant pour faire place aux virus, permettant ’infection de se propager rapidement.

es virus se multiplient à l’intérieur des cellules jusqu’à ce que les cellules explosent, libérant plus de virus pour infecter d’autres cellules.

CORONAVIRUS

Fig. 1: Graphique de la structure virale: virus de la grippe et virus corona

Les humains sont particulièrement sensibles aux infections virales en raison de notre apport généralement faible en vitamines et de notre incapacité à produire des vitamines clés (c’est-à-dire la vitamine C) en interne, ce qui nuit aux défenses de l’organisme. Il en résulte une mauvaise intégrité de nos « barrières corporelles » telles que la peau et les muqueuses et une altération du fonctionnement du système immunitaire. Par conséquent, un apport régulier et optimal en vitamines et autres micronutriments est la meilleure protection contre les infections.

Notre protection immunitaire repose sur une action coordonnée des cellules et organes immunitaires. Les micronutriments sont essentiels à la production et à l’activité de cellules de défense importantes, les globules blancs (leucocytes). Ces cellules migrent à travers le corps jusqu’à la source de l’infection où elles ingèrent et tuent les agents pathogènes et facilitent l’élimination des déchets cellulaires accumulés. Les micronutriments peuvent également agir directement sur les virus en interférant avec leur multiplication à l’intérieur de nos cellules. Certains micronutriments tels que la vitamine C et l’acide aminé lysine sont particulièrement importants. Ils peuvent altérer la multiplication virale, soutenir les réponses immuni-

taires et réduire la propagation des agents infectieux en préservant l’intégrité et la force du tissu conjonctif en tant qu’inhibiteurs des enzymes de digestion du collagène et en augmentant la production de collagène.

Exemple 1 : Virus grippaux

La grippe est l’une des maladies infectieuses les plus anciennes et les plus courantes, touchant 3 à 5 millions de personnes chaque année. La grippe peut mettre la vie en danger, en particulier pour les jeunes enfants, les personnes âgées et les personnes dont le système immunitaire est affaibli. Il existe quatre types de virus grippaux : A, B, C et D. Les épidémies de grippe saisonnière sont causées par les virus grippaux A et B. Au cours des dernières années, il y a eu des épidémies de grippe aviaire (virus de la grippe A H5N1) et de grippe porcine (virus de la grippe A H1N1) qui ont coûté la vie à de nombreuses personnes. Les scientifiques de l’Institut de Recherche du Dr. Rath ont étudié les effets de certains micronutriments sur la croissance et la propagation de différents types de virus de la grippe, y compris le virus de la grippe humaine H1N1. Les implications importantes de cette recherche comprennent :

Le rôle crucial des micronutriments dans la lutte contre les virus

• Prévention naturelle de la propagation des virus de la grippe basée sur l’efficacité des micronutriments dans l’inhibition d’une enzyme à la surface des particules virales (neuraminidase) que les virus utilisent pour s’échapper des cellules hôtes et infecter d’autres cellules.

• Diminution naturelle de la multiplication virale basée sur l’efficacité des micronutriments dans l’arrêt de la réplication du virus de la grippe A H1N1 dans les cellules rénales infectées.

• Entrave à la propagation virale dans les tissus sur la base de l’efficacité des micronutriments dans l’inhibition de la production d’enzymes de digestion du collagène dans les cellules infectées par le virus de la grippe humaine A H1N1.

Fig. 3: Multiplication du virus grippal A stoppée par les micronutriments

D’autres résultats scientifiques de l’Institut de Recherche du Dr. Rath montrent également qu’une combinaison spécifique de micronutriments est beaucoup plus efficace contre le virus de la grippe aviaire que le Tamiflu® et d’autres médicaments antiviraux.

Exemple 2 : Coronavirus

Malgré de nombreuses mesures de santé publique drastiques, le coronavirus SARSCoV-2 a coûté la vie à des millions de personnes dans le monde. Malheureusement, dans tous les efforts pour contrôler la pandémie de COVID-19, les recommandations publiques ont souvent ignoré la mesure la plus importante et la plus efficace: renforcer le système immunitaire avec des micronutriments. Cependant, les études scientifiques soutiennent de plus en plus l’application d’approches à base de micronutriments en tant que nouvelle stratégie thérapeutique pour lutter contre la pandémie de COVID-19.

Dans la recherche d’un contrôle complet du SRAS-Co-V2 et de ses formes mutées, un groupe de scientifiques de l’Institut de

Les combinaisons de micronutriments affectent tous les processus cellulaires clés associés aux infections à coronavirus.

Recherche du Dr. Rath s’est tourné vers les micronutriments. Les études ont conduit au développement d’une synergie spécifique de micronutriments capables d’inhiber de multiples étapes du virus SARS-CoV-2 et de ses mutants. Les résultats ont montré que les micronutriments :

1. Inhibent la liaison du coronavirus aux cellules pulmonaires et vasculaires humaines.

2. Inhibent l’entrée du coronavirus SARS-Co-V2 et de ses diverses formes mutées dans les cellules humaines.

3. Inhibent les enzymes clés requises par le coronavirus pour se répliquer dans les cellules humaines.

4. Inhibent la multiplication des coronavirus dans les poumons et réduisent l’inflammation.

Fig. 4: Les illustrations et les résultats expérimentaux présentés ici font tous partie de la technologie brevetée accordée pour aider à lutter contre les coronavirus de manière naturelle.

Fig. 5: L es micronutriments inhibent l’entrée cellulaire du virus SARS-CoV-2 et de ses différents mutants. Plus de 40% d’inhibition a été observé pour le virus original du SARS-CoV-2 et ses variantes delta, bêta et omicron.

© Dr. Rath Health Foundation

Étant donné que tous les variants et mutants du coronavirus utilisent des mécanismes et des enzymes communs pour infecter et se répliquer dans les cellules humaines, cela implique que les micronutriments peuvent également être efficaces pour prévenir de futures infections avec des variantes de coronavirus nouvellement émergentes, encore inconnues.

Le concept de synergie nutritionnelle

Le concept de synergie nutritionnelle, qui est systématiquement appliqué dans nos recherches, suscite un intérêt croissant. La synergie des nutriments est définie comme l’interaction entre différents nutriments lorsqu’ils sont consommés ensemble, ce qui entraîne des avantages accrus pour la santé qui peuvent ne pas être obtenus lorsque ces nutriments sont consommés individuellement. En termes pratiques, cela signifie que pour obtenir des avantages spécifiques pour la santé, il est important de rechercher des compositions nutritives scientifiquement développées avec une efficacité prouvée, plutôt que de compter sur des composés

uniques ou des combinaisons aléatoires de nutriments. Ces approches synergiques basées sur la recherche ont été reconnues par divers brevets américains et internationaux pour contrôler les infections virales et renforcer l’immunité. Les micronutriments individuels sont très puissants par eux-mêmes. Mais lorsqu’ils travaillent ensemble, ils étendent leur pleine puissance et offrent un maximum d’avantages. Un exemple de la façon dont l’efficacité d’un seul nutriment – la vitamine C – dans l’inhibition de la multiplication du virus de la grippe aviaire peut être améliorée par sa combinaison avec d’autres composés naturels est présenté à la figure 6.

Diminution de 20 % grâce à la vitamine C

Diminution de 71 % grâce à la synergie des nutriments

Fig. 6: L a synergie des micronutriments améliore l’effet inhibiteur de la vitamine C sur la multiplication du virus de la grippe humaine.

Une combinaison imbattable : vitamine C et extrait de thé noir

Votre grand-mère recommandait-elle également le thé noir au citron pour traiter le rhume? Les recherches menées par l’Institut de recherche du Dr. Rath prouvent que certains remèdes traditionnels ont effectivement une base scientifique. Les études se sont concentrées sur les effets de la vitamine C avec la théaflavine, l’ingrédient du thé noir, et d’autres composés naturels. Lorsqu’ils sont utilisés ensemble, ces micronutriments peuvent bloquer des points d’entrée spécifiques (récepteurs ACE2) utilisés par le

SRAS-CoV-2 sur les cellules humaines, ce qui rend impossible le passage du virus. Dans les études, la vitamine C seule a eu un effet significatif et constant sur la diminution de l’expression de l’ACE2 ; la combinaison avec la théaflavine et la baïcaline, l’extrait d’hellébore de Baïkal, a donné des résultats particulièrement bons. Ensemble, ces nutriments cellulaires sont très efficaces pour inhiber les points d’entrée cellulaires du coronavirus.

Voir les figures 7 et 8 des pages 16 et 17.

Les ajouts précieux à ces composés naturels comprennent le curcuma, les légumes crucifères (chou), la naringine, le resvératrol et la quercétine, dont l’activité antivirale a été largement testée dans d’autres expériences faites par l’Institut de Recherche du Dr. Rath.

Les micronutriments combinés agissent en synergie – seule l’interaction inhibe complètement l’invasion et la réplication du virus SARS-CoV-2. La capacité de réplication dans les cellules est considérablement réduite.

La force réside dans l’interaction

• L a Vitamine C augmente l’activité des cellules immunitaires. Il est également nécessaire pour la réparation et la régénération du collagène, un composant important des barrières naturelles du corps, telles que la peau, les muqueuses et autres. Ses avantages prouvés pour la santé comprennent l’interruption directe du cycle de vie des virus et autres agents pathogènes. La vitamine C soutient également l’efficacité d’autres vitamines, les régénérant et aidant les composés phytochimiques à améliorer leurs effets.

L a vitamine C a montré des effets bénéfiques dans la COVID-19 à la fois aux stades précoces et avancés de l’infection. Des doses élevées de vitamine C appliquées par voie intraveineuse ont entraîné une amélioration clinique significative chez les patients atteints de COVID-19, en particulier dans la lutte contre l’inflammation excessive, appelée « tempête de cytokines ». Cette vitamine agit à plusieurs niveaux métaboliques, y compris la régulation de l’expression des gènes.

En outre, la vitamine C peut améliorer l’effet d’autres composants naturels, créant une synergie qui augmente leur efficacité.

Un aperçu des puissants tueurs de virus

Brocoli (Brassica oleracea var. italica)

• L a famille des crucifères, qui comprend le chou, le cresson, le radis, la moutarde blanche, la moutarde noire et le colza, contribue grandement à une bonne santé grâce à ses niveaux élevés de composants végétaux biologiques.

Les soi-disant glucosinolates méritent une attention particulière. Ce sont des composés phytochimiques avec des composés soufrés piquants. Ils donnent au chou son goût amer et à la moutarde et au raifort leur piquant.

Le sulforaphane est un composé phytochimique biologiquement actif présent à des concentrations élevées dans le brocoli. Les plantes crucifères se protègent contre les maladies grâce à ces composés contenant du soufre. Plusieurs études suggèrent que le sulforaphane peut aider à prévenir divers types d’infection.

corps, y compris la capaci té de combattre les virus, les bactéries et les champignons. Le pamplemousse contient de la naringine, un polyphénol aux propriétés principalement antioxydantes.

• La quercétine est une substance végétale naturelle du groupe des flavonoïdes, appartenant aux polyphénols. On le trouve sous forme de pigment jaune dans le chêne de teinturier, mais aussi dans les pommes, les oignons, les peaux de raisin et le vin. La quercétine est utilisée comme élément constitutif d’autres flavonoïdes. Les effets de la quercétine sont nombreux et variés. Par exemple, en tant qu’antioxydant, il peut protéger les cellules et les organes du stress oxydatif. Il aide à prévenir la réplication virale en tuant les virus à l’intérieur des cellules. La quercétine peut également protéger les cellules infectées contre les dommages causés par les agents pathogènes et soutenir le processus de réparation des cellules.

• La naringine est un flavonoïde que l’on trouve principalement dans les pamplemousses et les pomelos, ce qui leur donne leur goût amer. La naringine a de nombreux effets positifs dans le

Raisins rouges (Vitis vinifera subsp. vinifera)

Pamplemousse (Citrus × paradisi)

Expression ACE2, % de contrôle

Effet de la vitamine C et de la théaflavine sur la formation des récepteurs ACE2

120 0

100 80 60 40 20

sans vitamine C avec 800μM de vitamine C 0 11 33

système immunitaire (cellules tueuses) et il a été démontré qu’ils empêchent la liaison de la pointe virale du SARS-CoV-2 aux récepteurs cellulaires ACE2. Effet de la vitamine C et de la théaflavine sur l’expression des récepteurs ACE2. Théaflavine, μg/ml

Fig. 7: Inhibition dépendante de la concentration des points d’entrée du coronavirus (récepteurs ACE2) dans les cellules pulmonaires humaines par la théaflavine (barres vertes claires) et la théaflavine en combinaison avec 800 μM de vitamine C (barres vertes). À une concentration de 33 μg/ml de théaflavine, les récepteurs ACE2 ont été réduits d’environ 50 % et, en combinaison avec la vitamine C (acide ascorbique), jusqu’à 87 %.

• Baicaline, dérivé d’un extrait de l’hellébore de Baïkal, est une plante médicinale utilisée en médecine traditionnelle chinoise. Scutellaria baicalensis, comme on l’appelle en latin, s’est également ré -

vélé efficace contre d’autres coronavirus. L a plante a un large spectre d’activité antivirale.

Effet de la vitamine C et de la baicaline sur la formation des récepteurs ACE2

sans vitamine C

Expression ACE2, % de contrôle

avec 800μM de vitamine C

Baicaline, μ g /ml

Fig. 8: La baicaline, associée à la vitamine C, aide à inhiber les points d’entrée viraux (récepteurs ACE2), empêchant ainsi le coronavirus de pénétrer dans le corps. Dans l’étude du Dr. Rath Research Institute, cette combinaison a inhibé les récepteurs jusqu’à 82%.

Baicaline

• L a curcumine, l’épice indienne, est un flavonoïde présent dans la plante d’épices Curcuma longa (curcuma) et est principalement utilisé comme composant important du curry classique. Mais la curcumine n’est pas seulement populaire dans la cuisine indienne. Les propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires de la curcumine sont bien documentées, confirmant son utilisation thérapeutique contre diverses maladies. La curcumine est également un agent antiviral très puissant capable d’inactiver les virus à différents stades de l’infection. Pour récolter les bienfaits de la curcumine pour la santé, il ne suffit pas de saupoudrer de poudre de curcuma sur votre nourriture. C’est parce que la racine de curcuma moulue contient très peu de curcumine. La curcumine est également difficile à absorber dans le corps. La solution est de prendre un supplément de haute qualité qui contient l’ingrédient

actif de la plante dans un dosage et une biodisponibilité optimaux. La curcumine est l’ingrédient actif du curcuma qui a une influence positive sur notre corps.

La curcumine est l’ingrédient actif du curcuma qui a une influence positive sur notre corps.

• L a N-acétyl-cystéine est la substance de départ pour synthétiser le glutathion du corps, un puissant antioxydant qui protège nos cellules contre les dommages oxydatifs et est important pour le bon fonctionnement de notre système immunitaire. Le rôle principal du glutathion est d’éliminer les molécules d’oxygène radicalaires et d’éliminer les substances toxiques du métabolisme cellulaire.

La forme stable de l’acide aminé non essentiel L-cystéine, la N-acétyl-cystéine, soutient les autres ingrédients actifs de la synergie nutritionnelle cellulaire développée à l’Institut de Recherche du Dr. Rath.

Curcuma (Curcuma longa)

• Le resvératrol est un polyphénol qui agit comme un composant du système immunitaire de la plante. Il protège les plantes contre les bactéries, les champignons et les virus, les ravageurs et les influences environnementales nocives telles que les toxines, les rayons UV ou la pollution par l’ozone. La renouée du Japon (Fallopia japonica), qui contient du resvératrol dans toutes ses parties, est une riche source de resvératrol. Cette plante est utilisée depuis des siècles dans son Japon natal pour faire des thés médicinaux.

Le resvératrol est un puissant antioxydant. Il est également très apprécié en naturopathie pour ses propriétés antivirales : il est efficace pour réduire la prolifération et la réplication virales et l’inflammation qui résulte des infections virales. L’activité antivirale du resvératrol a également été démontrée contre des virus tels que la grippe A et B, le SARS-CoV-2 et le rhinovirus.

Renouée du Japon (Fallopia japonica)

Extraits-Puissance concentrée de l’usine

En technologie alimentaire et en pharmacie, un extrait est un mélange de substances obtenues à partir de différentes matières premières par un procédé d’extraction utilisant un solvant (eau, huile ou alcool). Le processus élimine les constituants indésirables et concentre les substances souhaitables qui déterminent l’efficacité. Les plantes fraîches ou séchées (ou parties de plantes) sont principalement utilisées pour produire des extraits. L’avantage de l’utilisation d’extraits de plantes est que la teneur en principe actif est précisément définie et contrôlée. Un extrait, peu importe d’où il vient, contient toujours une certaine quantité d’ingrédients à l’efficacité thérapeutique connue. Les extraits

permettent également de conserver les parties de plantes fraîches périssables et de les présenter sous une forme très concentrée. Il y a une énorme différence entre manger une pomme tous les jours et prendre de précieux extraits de plantes testés scientifiquement.

Exemple: pour obtenir 50 mg de resvératrol, il faut boire 45 litres de jus de raisin ou 3,5 litres de vin rouge. 400 mg de sulforaphane se trouvent dans 3 kg de radis, et la même quantité de quercétine se trouve dans 10 kg de haricots verts ou 11 kg de pommes. L’extrait est donc un ajout précieux à notre alimentation.

Résumé

L’utilisation de micronutriments spécifiques est une approche naturelle efficace pour lutter contre le virus SARS-CoV-2 et ses mutations, ainsi que de nombreux autres virus. Une combinaison de micronutriments finement réglée et scientifiquement testée peut affecter plusieurs aspects de l’infection à la fois, par exemple en soutenant le système immunitaire, en renforçant la résistance du corps et en attaquant spécifiquement les

agents pathogènes infectieux. Alors qu’une alimentation équilibrée et riche en vitamines est la base pour renforcer les défenses de l’organisme, la supplémentation en nutriments cellulaires spécifiques peut encore améliorer l’efficacité de notre corps à développer une forte résistance aux infections. Combinaison brevetée de micronutriments pour lutter contre les infections virales

Combinaison brevetée de micronutriments pour lutter contre les infections virales

La combinaison de vitamine C, de N-acétylcystéine, de théaflavine, de resvératrol, d’extrait de plante crucifère, de curcumine, de quercétine, de naringine et de baïcaline développée par l’Institut de Recherche du Dr. Rath peut contrôler simultanément les principaux mécanismes d’infectiosité du coronavirus SARS-CoV-2 et de ses mutants. Cette combinaison spéciale qui s’est avérée plus efficace que chaque composé utilisé seul a reçu des brevets américains (brevet n° : US 2021/0315857 A1 ; US 11,419,847 B2), ce qui le rend unique au monde.

Pour plus d’informations, rendez-vous sur : www.dr-rath-education.org/fr/

US Patent No. US11419847

Pharmaceutical micronutrient composition and its use to simultaniously inhibit multiple cellular mechanisms of infectivity caused by coronavirus, its variants and mutants

Inventors: Aleksandra

Publishing date: August 23, 2022

Niedzwiecki, Matthias Rath, Vadim Ivanov, Anna Goc

La chercheuse Dr. Anna Goc examine une boîte de Pétri.

Références

A. Goc, A. Niedzwiecki, V. Ivanov, S. Ivanova, M. Rath. Inhibitory effects of specific combination of natural compounds against SARS-CoV-2 and its Alpha, Beta, Gamma, Delta, Kappa, and Mu variants. Eur J Microbiol Immunol (Bp). 2022 Jan 21.

https://akjournals.com/view/journals/1886/ aop/article-10.1556-1886.2021.00022/ article-10.1556-1886.2021.00022.xml

V. Ivanov, A. Goc, S. Ivanova, A. Niedzwiecki, M. Rath. Inhibition of ACE2 Expression by A scorbic Acid Alone and its Combinations with Other Natural Compounds. Infect Dis (Auckl). 2021 Feb 14;14:1178633721994605.

https://www.dr-rath-foundation.org/ wp-content/uploads/2021/02/PublishedACE2-Vit-C-others-21621.pdf

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https://www.dr-rath-foundation.org/ 2021/10/ein-natuerlicher-ansatz-zurumfassenden-bekaempfung-von-sarscov-2/?lang=de

M. W. Roomi, R. J. Jariwalla, T. Kalinovsky, N. Roomi, A. Niedzwiecki, M. Rath. Biofactors. 2008;33(1):61-75.

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INSTITUT DE RECHERCHE DU DR. RATH

Le Dr. Rath Research Institute, basé en Californie, aux États-Unis, rassemble des scientifiques de premier plan en médecine, en biochimie et en nutrition. Dirigée par la Dr Aleksandra Niedzwiecki, cette équipe de recherche a fait progresser nos connaissances en santé naturelle en explorant les synergies en micronutriments et en élaborant des approches novatrices en matière de santé pour prévenir et traiter efficacement un large éventail de maladies. Cette recherche est basée sur les découvertes pionnières du Dr. Rath dans les maladies cardiovasculaires, le cancer et d’autres domaines importants de la santé, et ses résultats sont régulièrement publiés dans des revues scientifiques du monde entier.

www.drrathresearch.org

CHERCHEURS

Actuellement directeur de la recherche à l’Institut de Recherche du Dr. Rath, le Dr. Niedzwiecki est un chercheur biomédical de premier plan dans le développement d’approches de la synergie des nutriments dans divers aspects de la santé et des maladies. Ses travaux dans les domaines de la santé cardiovasculaire, du cancer et des infections lui ont valu d’être reconnue pour ses recherches sur le lien biochimique entre la maladie et les nutriments.

Le Dr. Goc dirige le laboratoire de microbiologie qui travaille à l’élaboration d’approches efficaces et sûres pour lutter contre les infections. Elle possède de vastes connaissances dans les domaines de la microbiologie, de l’immunologie, du cancer et de la biologie vasculaire. Ses travaux de recherche ont été publiés dans de nombreuses revues scientifiques et récompensés par des prix et des brevets nationaux et internationaux.

Le Dr. Ivanov est titulaire d’un diplôme de médecine de l’Académie médicale de Tomsk, en Russie, et d’un doctorat en biochimie du Centre national de cardiologie de Moscou, en Russie. Lui et son équipe de l’Institut de Recherche du Dr. Rath ont mené des études scientifiques sur les bienfaits des micronutriments dans des aspects importants de la santé, tels que les maladies cardiovasculaires, les maladies infectieuses et divers troubles métaboliques. Les résultats de ces études ont fait l’objet de nombreuses publications et de brevets nationaux et internationaux.

Le Dr Rath est un médecin et un scientifique de renommée mondiale, connu pour ses recherches pionnières en matière de santé naturelle et cellulaire. Il est le fondateur du concept scientifique de la Médecine Cellulaire - l’introduction systématique en médecine clinique des connaissances biochimiques sur le rôle des micronutriments en tant que biocatalyseurs dans une multitude de réactions métaboliques au niveau cellulaire.

Avis de non-responsabilité : Cette brochure n’est pas destinée à remplacer l’avis médical d’un médecin. Le lecteur doit consulter régulièrement un médecin pour les questions relatives à sa santé, et en particulier pour tout symptôme pouvant nécessiter un diagnostic ou une attention médicale.

© Dr. Rath Health Foundation 25.

Dr. Aleksandra Niedzwiecki

Dr. Anna Goc

Dr. Vadim Ivanov

Dr. Matthias Rath

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