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Radar : toutes les nouveautés du mois

radar

elle radar

Marie Guérin I Jolien Vanhoof I Élisabeth Clauss

NOUVEAUX PAYSAGES

Artistes, must-haves, collaborations et autres nouveautés palpitantes sont attendues au mois de mai.

IMAXTREE JW ANDERSON

DÉBUT CHIC

Elle y a travaillé en secret pendant deux ans, après ses heures en tant qu’architecte d’intérieur. La première collection d’accessoires de Charlotte Beaude annonce un « retour au grand chic », composé de sacs à main en cuir premium et de foulards colorés, à la fois en soie et en cachemire. La Bruxelloise s’est inspirée de l’Art déco et de l’élégance enchanteresse de ses grands-mères et arrière-grand-mère — Louise, Mathilde et Germaine : les noms des trois sacs.

Sac à main ‘Germaine’, 1.400 €. charlotte-beaude.com

WHAT'S NEXT ?

La biocéramique ? Pour l’adopter, il suffit de découvrir la montre Big Bold de Swatch, déclinée dans ce matériau composé de deux tiers de céramique et d’un tiers de plastique biosourcé. Résistante et soyeuse au toucher, elle est disponible en cinq coloris.

125 € sur swatch.com

OEIL DE CHAT

Pas besoin de mascara quand on a des yeux de chat ! Ça pourrait être une devise gravée sur cette jolie paire de lunettes, mais ça ne l’est pas : à la place, simplement le logo Dolce & Gabbana.

Lunettes ‘Amore’, Dolce & Gabbana, 240 € Lunettes ‘Amore’, Dolce & Gabbana, 240 €

expo

À LA RENCONTRE D'ÉLODIE ET OLIVIA

Nous l’attendions depuis un moment : le 6 juin, le Musée de la mode de Hasselt donnera le coup d’envoi de l’expo « Activewear ». Elle met en lumière l’influence du sport sur la mode et nous emmène sur un parcours thématique qui commence au XIXe siècle et se termine dans un coin sneakers avec des collaborations exclusives, comme les Air Dior ou Raf Simons x Adidas. Les curatrices invitées de « Activewear » ne sont pas les moindres. Les anciennes athlètes de haut niveau du label 42 | 54, Élodie Ouédraogo et Olivia Borlée mettent en avant leurs atouts en tant que guides audio et – grâce aux compétences d’installation de Frederik Heyman – apparaissent également dans une incroyable version 3D d’elles-mêmes. Un must, même pour les âmes les plus antisportives.

« Activewear » se déroulera du 6 juin au 31 décembre 2021 au Musée de la mode de Hasselt. Rendez-vous sur ELLE.be pour une interview exclusive d’Élodie et Olivia !

PRESSE

HISTOIRE DE CORDON BLEU

C’est une sorte d’envie gourmande de passer au bleu ciel pour cet été : avec la marque suédoise Nanushka, c’est avec une pochette minimaliste que l’on saute le pas. pochette minimaliste que l’on saute le pas.

Sac en cuir vegan, 365 € en exclu sur net-à-porter.com Sac en cuir vegan, 365 € en exclu sur net-à-porter.com

#MAKEYOURMOVE

La créatrice Valérie Messika réinvente sa collection iconique avec le bracelet My Move qui, en plus de l’or et du diamant, se conjugue à un magnifique bracelet en cuir. Ludique et colorée, cette pièce unisexe se prête au jeu de l’accumulation, comme d’ailleurs beaucoup de pièces de la maison. À collectionner sans modération.

La collection est disponible à partir de 990 €. Messika.com

Q&A

NINA RIMA

MANNEQUIN BIONIQUE

Twinset lance Actitude, une nouvelle collection qui met la diversité, la personnalité et le style au centre de la réflexion. La parole est à un de ses visages, Nina Rima…

Que signifie pour vous le mot « Actitude » ? C’est la capacité de se montrer tel·le que l’on est sans craindre le jugement des autres. Chacun·e de nous a sa propre attitude, il s’agit juste de savoir comment l’affirmer.

Vous vous définissez comme un « mannequin bionique ». Votre particularité vous a rendue plus forte ? J’ai toujours aimé pouvoir me distinguer et, évidemment, porter une prothèse rend particulier·e. Je me sens plus forte en sachant que je peux transformer une difficulté en arme de combat.

Pourquoi la mode est-elle importante pour se sentir libre ? La mode m’aide à montrer qui je suis. Elle me permet d’être qui je veux. J’adore pouvoir combiner des accessoires ou des sacs avec mes prothèses, j’aimerais pouvoir avoir un style de jambe pour chaque occasion !

PRESSE

TESTÉ LES FLUIDES DE JOUR 100% NATURELS

POUR TOUS LES TYPES DE PEAU

75 lectrices du ELLE ont pu tester pendant trois semaines les nouveaux Fluides de Jour de la marque de cosmétiques 100% naturels Dr. Hauschka. Découvrez leur verdict.

LE FLUIDE DE JOUR REVITALISANT Les lectrices à la peau sèche et terne ont reçu le Fluide de Jour Revitalisant. Il favorise la production naturelle de sébum et l’hydratation grâce à des ingrédients super hydratants comme l’huile de noyau d’abricot. 87% ont apprécié sa texture : « Je trouve la texture du Fluide très agréable. Il s’étale bien et pénètre dans la peau en profondeur.» De plus, 73% des participantes disent avoir remarqué une amélioration de leur peau : « Elle est moins sèche et moins terne. » Enfin, 80% du panel testé recommanderait la crème à un membre de la famille, un ami ou un collègue.

LE FLUIDE DE JOUR APAISANT Les personnes ayant une peau sensible et sujette aux rougeurs se sont vu prescrire le Fluide de Jour Apaisant. Il protège et unifie la peau grâce à des ingrédients tels que l’églantier, une plante aux propriétés hydratantes. 86% des lectrices ont remarqué un changement dans leur peau, et 93% ont déclaré avoir une peau moins sensible et moins sèche : « Ma peau reste hydratée tout au long de la journée. » La texture est également appréciée par le panel de testeuses : « Je trouve que c’est une crème légère et hydratante. Elle s’étale facilement et pénètre rapidement. »

LE FLUIDE DE JOUR ÉQUILIBRANT Les participantes au panel de test qui présente une peau mixte à imperfections ont testé le Fluide de Jour Équilibrant. Comme son nom l’indique, il équilibre la peau et réduit les impuretés grâce à des ingrédients anti-inflammatoires tels que la capucine. 87% du panel de test a trouvé que le Fluide de jour dégageait un parfum agréable. En outre, l’ensemble du panel de test a conclu que le Fluide de Jour est facile à appliquer : « Le Fluide offre une texture agréable et pénètre très rapidement dans la peau. » En outre, huit lectrices sur dix affirment que leur peau est soignée et protégée tout au long de la journée.

CET ARTICLE A ÉTÉ RÉDIGÉ EN ÉTROITE COLLABORATION AVEC DR. HAUSCHKA. DRHAUSCHKA.BE

Texte Jolien Vanhoof

EN SYMBIOSE AVEC LA NATURE

Shailene Woodley voit la vie en vert. L’actrice de « Big Little Lies » et de la série de films « Divergente » a développé une collection durable avec le label chilien de lunettes Karün, à partir de filets de pêche, de vieux métaux et de bois recyclé provenant des forêts de Patagonie. Rencontre sur un canapé virtuel pour discuter d’ongles incrustés de terre, de son histoire d’amour avec les arbres et du seul mot qui commence par la lettre F qu’elle n’aime pas.

Pas trop fatiguée ? Vous revenez d’un tournage de nuit pour « Misanthrope », et maintenant vous essayez de sauver un bout de planète... Épuisant, n’est-ce pas ? Je suis debout depuis 30 heures, mais ce projet avec Karün me procure énormément d’énergie. Je peux encore tenir un moment.

Vous vous êtes récemment rendue en Patagonie pour collecter des déchets avec Thomas Kimber, CEO et fondateur de Karün. Un lien particulier est-il né ? Absolument, Thomas est comme un frère pour moi! Nous partageons la même vision. Un écosystème ne se compose pas nécessairement d’eau, de terre, d’air et de feu. Il est également façonné par les émotions, les sentiments et les croyances religieuses. Le lien entre la nature et la force mentale est très important. Si je ne suis pas capable de faire preuve d’empathie envers vous et vos expériences – même si elles sont très différentes des miennes –, comment pourrais-je me soucier d’une baleine ou d’un feu de forêt ? L’empathie ne l’emportera jamais sur l’indifférence si ce déclic interne ne se produit pas. Quand avons-nous réellement acquis la conviction que la nature est extérieure à nousmêmes ? Nous sommes la nature ! Demandez à Thomas (rires). Le slogan de la nouvelle collection de Karün est « Let your nature flow ». En tant que star hollywoodienne, comment faites-vous pour rester proche de votre nature profonde ? La collection est une sorte d’invitation à se remettre en question et à se reconnecter avec sa vraie nature. Je pense que l’année écoulée a été pour beaucoup un moment salutaire de réflexion. La dernière fois que je suis restée autant à la maison, j’avais 15 ans ! Avec nos vies trépidantes, et toutes les responsabilités qui en découlent, on s’identifie automatiquement à son environnement. Je suis extrêmement introvertie et j’ai appris dès mon plus jeune âge à maintenir une distance saine. Je crois qu’aucun facteur extérieur ne peut changer ce qu’on est au fond de soi. À moins qu’on lui laisse exercer ce contrôle. Pour moi, Hollywood n’est pas réel, il n’existe qu’à l’écran ou dans les magazines. La célébrité – «fame» en anglais, le seul mot en F que je n’apprécie pas – ne m’a pas changée. Les gens me reconnaissent dans la rue, certes, mais ça s’arrête là. Je refuse que ma notoriété ait un plus grand impact sur mon mode de vie. Je suis toujours cette fille qui aime partir en randonnée avec ses amis ou qui a de la terre sous les ongles après avoir travaillé toute la journée dans le jardin.

Vous ne vous limitez pas au jardinage. Vous avez par exemple rejoint Greenpeace dans sa lutte contre la pollution des océans. Avez-vous grandi dans un milieu militant ? Je viens plutôt d’une famille aimante, une famille très accueillante, chaleureuse et expressive. Mes parents, mon frère et moi allions souvent camper. C’est ainsi qu’est née ma curiosité pour la nature. J’ai toujours entretenu une sorte d’histoire d’amour avec les arbres en particulier. J’adore les enlacer ! Je me souviens d’un arbre gigantesque dans le jardin de ma baby-sitter. Après l’école, j’y grimpais pour y faire mes devoirs.

Quelle est votre paire de lunettes de soleil préférée dans la collection ? (Elle réfléchit longuement…) Vous n’allez pas le croire, mais j’ai oublié le nom de ces lunettes. Shame on me (rires).

Karün par Shailene Woodley, disponible chez Pearle Opticiens et GrandOptical. karuneyewear.com

PRESSE

PRIMA MAUREEN

La présentatrice flamande Maureen Vanherberghen révèle son raffinement dans la nouvelle campagne #WeArePrimaDonna. Tout sauf basique, cette lingerie luxueuse made in Belgium est pleine de couleurs, d’imprimés floraux, de dentelles et de broderies. Tellement belle qu’il serait dommage de la cacher sous ses vêtements.

Soutien-gorge ‘Twist I Do’, 89,90 €. primadonna.com

CAFTANS ET COMPAGNIE

H&M a dévoilé une collaboration avec Lemlem, le label fondé par le mannequin éthiopien Liya Kebede. La marque (qui signifie « fleurir et s’épanouir » en amharique, la langue éthiopienne), est connue pour ses caftans rayés produits par des artisans en Afrique. Toutes les pièces sont issues de sources durables, telles que le lin organique, le polyester recyclé et le tencel. Pour l’occasion, Liya pose avec sa fille de 15 ans, Raee, dans une jolie campagne qui met en valeur les liens qui peuvent unir une communauté.

Disponible dès le 22 avril dans une sélection de magasins et sur hm.com

shopping

CHAMPS DE PÂQUERETTES PÂQUERETTES

La jeune fille qui coure dans la prairie, mais dans la prairie, mais c’est nous ! c’est nous !

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PHILOSOPHY DI LORENZO SERAFINI

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1 Robe tunique avec manches ballons, MaxMara via DeBijenkorf.be, 269 € Robe tunique avec manches ballons, MaxMara via DeBijenkorf.be, 269 € 2 Top en coton et soie, SIR via Mytheresa, 209 € 32 Top en coton et soie, SIR via Mytheresa, 209 € Short en nylon orange, Fendi, 550 € 4 Robe, Baum und Pferdgarden, 119 € 5 Tote bag en raphia, Anya Hindmarch Tote bag en raphia, Anya Hindmarch via Net-a-porter, 495 € via Net-a-porter, 495 € 6 Boots en caoutchouc recyclé, Aigle x Faguo, 130 € 6 Boots en caoutchouc recyclé, Aigle x Faguo, 130 € 7 Bracelet en agate et galuchat, fermoirs en plaqué or, Salima Thakker, Bracelet en agate et galuchat, fermoirs en plaqué or, Salima Thakker, 580 €. 580 €.

IMAXTREE, PRESSE

Texte Elisabeth Clauss

BOTTER

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LA PIÈCE QU’ON N’AVAIT PAS VUE VENIR L’ÉCOPLASTIQUE, C’EST FANTASTIQUE

Ils sont controversés et subversifs, mais aussi sources d’innovations en matière d’écoconception et d’upcycling. Portés par l’engouement nostalgique pour les années 80-90 et la suprématie de la basket, les hydrocarbures recyclés se refont une plastique.

Avant de revenir dans nos placards, le plastique finit souvent dans les océans (90 % des oiseaux marins en auraient déjà ingéré et désormais, on trouve même des microplastiques dans les larves de poisson). D’ici à 2050, les expert·e·s même les plus optimistes prédisent qu’il y aura plus de plastiques que de poissons dans la mer. En 2015, Adidas a lancé une collaboration avec Parley Ocean Plastic ® pour créer des vêtements de sport à partir de déchets plastiques marins recyclés en fil de polyester haute performance. Et puisque les tenues de sport sont gourmandes en matières techniques (donc synthétiques), 1 l’année passée, c’est Puma qui s’est associé à First Mile Recycling, pour produire des pièces en fibres de plastique recyclé. Le bilan en un an ? 40 tonnes de déchets plastiques, soit l’équivalent de 1.980.286 bouteilles, qui ne seront ni enfouies ni rejetées dans l’océan. Quant à la marque française Veja, qui explore depuis le début des processus écologiques de production de baskets avec caoutchouc naturel, coton recyclé et « cuir » de maïs, elle développe de son côté des séries en B-mesh, tissu fabriqué à partir de polyester recyclé, conçu à partir de bouteilles en plastique récoltées. Une paire de Veja = trois bouteilles. En Belgique, la marque Norm innove avec des sneakers réalisées en Europe à partir de matériaux recyclés. Six bouteilles deviennent le fil qui tisse une paire, les semelles sont composées de 70 % de caoutchouc recyclé et 30 % de caoutchouc naturel fair trade. Du côté d’Alain Afflelou, il faut cinq bouteilles en plastique récupérées dans l’océan pour nous remettre les yeux en face des trous, avec la ligne de montures écologiques H2O. Alors, prêts à se jeter à l’eau pour un polyester plus respectueux de la Terre ? Vilebrequin lance une nouvelle collection de shorts de bain tissés dans un fil fabriqué à partir de déchets plastiques récupérés par les marins de Méditerranée. Un maillot = 200 grammes de déchets recyclés. Tandis que chez Botter (maison cofondée par Rushemy Botter, diplômé de l’Académie d’Anvers), des déchets et des filets récupérés en mer soutiennent une ligne (de pêche) écoresponsable et drôlement désirable. La nouvelle vague s’apprête à « écodéferler ».

1 Veja Condor, 140 € 2 Maillot de bain Vilebrequin Man Sustainability, 125 € 3 Lunettes de soleil Alain Afflelou H2O, 79 € 4 Sneakers NORM, 160 € 5 Sac en nylon matelassé Prada sur www.sevens.be, 1.250 €.

IMAXTREE, PRESSE

EN BLOC

Parce qu’on s’imagine déjà notre robe de l’été, avec cette sandale, c’est le match assuré.

Sandales en cuir ‘Mika’, 800 €. gabrielahearst.com

VOILÉE

La marque belge de slow fashion Furore est complètement acquise à la tendance architecturale de cet été.

Elle propose un jeu raffiné de couleurs et de lignes pour des vacances ensoleillées. Des maxi-écharpes aux chemisiers bleu bleuet, c’est un nuancier de douceur qui s’offre à nous.

Foulard en soie ‘Alegria’, 129 €. furore.fashion

Crush

COMPOST DE POCHE

L’innovation qui ne finira pas à la poubelle : le FoodCycler, tout frais, lancé début mai, promet de réduire les déchets alimentaires de plus de 80 % dans nos cuisines.

De la taille d’une friteuse, cette machine salvatrice transforme les épluchures, restes de viande, poisson, crustacés, volaille, os de poulet et arêtes de poisson, céréales, produits laitiers, œufs et coquilles, marc de café, filtres et sachets de thé, haricots, graines et légumineuses, et même les croquettes pour animaux en EcoChips riches en nutriments. Pour gagner de la place et revaloriser ce qui était destiné à être jeté, l’appareil broie et déshydrate ces déchets, les réduit en petites particules tout en ventilant et chauffant simultanément. Inodore et silencieux, il décompose et stérilise, et consomme peu d’énergie. Au final, il reste 20 % du volume original sous forme de pastilles, qui peuvent servir d’engrais au jardin, et faire germer de bonnes idées.

FoodCycler de Sage, 449,90 €. sageappliances.com

ÉCOJEANS

L’engagement de C&A de faire de la durabilité la « nouvelle norme » se concrétise particulièrement dans les lignes féminines. La marque dévoile sa collection capsule en denim durable certifiée Cradle to Cradle ™ Platinum (qui garantit une réflexion écologique sur chaque étape de la production). Cette capsule écoconsciente est un excellent exemple de la raison pour laquelle « Wear the Change » n’est pas uniquement un slogan pour faire joli sur une étiquette, mais une véritable revendication de la marque depuis le lancement de sa nouvelle identité en août 2020.

À découvrir sur www.c-a.com

PRESSE

LE PARFUM PRÉFÉRÉ DE LIMA CHÉ POUR CE PRINTEMPS

Lima Ché, blogueuse mode, a répondu à nos questions sur sa routine parfum et sa fragrance préférée du moment, Very Good Girl de Carolina Herrera.

Que représente pour vous le parfum ?

Lima Ché : « Le parfum nous définit, il reflète notre personnalité et notre style. Il fait aussi partie de mon rituel quotidien. J’en mets toujours après m’être maquillée et habillée. J’emporte aussi un flacon dans mon sac pour une petite retouche fraîcheur en cours de journée. »

Quel parfum Good Girl vous ressemble le plus ?

Lima Ché : « L’eau de parfum légère Good Girl et le parfum Very Good Girl sont mes préférés. Very Good Girl est un peu plus vivant et plus affirmé ce qui me plaît vraiment car il reflète ma personnalité de jeune maman dynamique et ambitieuse. GOOD GIRL DE CAROLINA HERRERA, EN EXCLUSIVITÉ CHEZ ICI PARIS XL ! *

« Very Good Girl, « Very Good Girl, « Good Girl, Eau Eau de Parfum » Eau de Parfum » de Parfum » de Parfum » Le flacon iconique de la collection Good Girl a la forme d’un escarpin. En quoi les talons hauts peuvent-ils renforcer le sentiment de féminité ?

Lima Ché : « Quand je porte des talons, je me sens plus féminine. Ils me donnent plus d’allure et de présence. J’aime l’idée de retrouver cette symbolique dans un flacon de parfum. »

À qui s’adresse Very Good Girl ?

Lima Ché : « Toute femme appréciant les senteurs épicées et florales peut le porter, qu’elle soit étudiante ou mère de famille. Ce parfum convient à un large public. Le cadeau idéal pour la fête des mères. »

*Recevez maintenant une crème pour le corps Good Girl 100 ml à l’achat d’une fragrance Good Girl de min. 50 ml. Offre valable à partir du 26/04/2021 jusqu’au 16/05/2021 en point de vente Ici Paris XL ou en ligne sur www.iciparisxl.be. Jusqu’à épuisement du stock.

CET ARTICLE A ÉTÉ RÉDIGÉ EN ÉTROITE COLLABORATION AVEC CAROLINA HERRERA. CAROLINAHERRERA.COM

LES PETITS RIENS UPCYCLENT

85 % des 8.000 tonnes de dons

triées chaque année chez Les Petits Riens sont réutilisés et revendus

pour financer des actions sociales. Ils lancent désormais leur Label Jaune, une collection de pièces (coussins, kimonos, vêtements) imaginées à partir de pièces recyclées.

Pour en savoir plus : Petitsriens.be

expo

HIMOON : L'APP DE RENCONTRE LGBTQ+

Des rencontres basées davantage sur la personnalité que le physique. La photo de profil est floutée et une fois que le « match » a lieu, la discussion se lance et au fur et à mesure, la photo se dévoile. Une sorte de puzzle très fun. Himoon mise sur le côté ludique et novateur de sa plateforme, c’est belge et c’est un succès !

Disponible sur l’App Store et Play Store.

ÉLÉMENTS DE CULTURE

À qui appartiennent les océans ? Et quels droits avons-nous dessus ? Menaces de sécheresse que la nature n’arrive plus à réguler, pollution et parallèlement émotions rassérénantes susci tées par la poésie de notre envi ronnement, le CID Grand-Hornu interroge l’époque, et nous baigne de culture.

Jusqu’au 25 juillet, le parcours « Après la sécheresse, l’état aquatique » présentera une sélection d’œuvres interdisciplinaires pour nous instruire et nous éblouir – c’est l’effet des reflets philosophiques de l’eau – grâce à des installations inspirantes et frappantes. Exposition élaborée avec des expert·e·s de la vie marine, elle ouvre des voies de résolution, soulève des discussions autour de la gestion de l’eau. Les designers sont conscient·e·s que les ressources ne sont pas infinies, ils et elles proposent des innovations pour évoluer avec les ressources locales, low tech, et encourager un nouveau modèle économique. Entre dimension ludique et bonheur de se promener dans un site inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco, on en apprend de belles sur les plastiques, microplastiques, substances industrielles et déchets chimiques, sans compter la pollution sonore (forages, sonars, gros bateaux) qui désorientent les baleines. Sensibiliser, c’est déjà un peu sortir de la vague. Et puisque le Grand-Hornu est vaste comme son nom l’indique, du 27 juin au 26 septembre, l’exposition « Terre Mère » du designer-bûcheron-sculpteur Kaspar Hamacher présentera une quarantaine de sphères taillées à même des troncs, et passées par le feu pour nuancer leurs ombres. L’artiste conçoit des meubles rustiques et massifs en utilisant comme matériau la chair et l’âme du monde. De l’art qui tient compte des parfums de la forêt, de ses essences, des insectes qui l’animent, des couleurs qui naissent et qui passent. Son intérêt : trouver sa place dans le cosmos. cid-grand-hornu.be

CTRLZAK, JO MAGREAN, PRESSE

UN CADEAU FORT

DE CAFÉ !

Avec notre action Nespresso, profitez pendant un an de votre magazine préféré tout en dégustant un délicieux café, le tout pour 1 €* !

© EMMANUEL LAURENT * Voir les conditions sur nespresso.com **L’abonnement au café est lié à des paiements mensuels. Le montant dépend du tarif choisi. Qui aime le café connaît les divines machines Nespresso. Qui s’abreuve de mode et de lifestyle tient en ce moment même le ELLE Belgique entre ses mains. Si votre lecture s’accompagne d’un bon petit serré ou d’un cappuccino aérien, ce que nous avons à vous proposer devrait vous sembler encore plus excitant qu’une double dose de caféine. Nespresso et ELLE Belgique vous gâtent en vous offrant, pour toute commande d’un abonnement Nespresso Easy Machine, un abonnement à votre magazine ELLE Belgique gratuit pendant un an.

NESPRESSO EASY MACHINE, C’EST UN PRINCIPE D’ABONNEMENT SIMPLISSIME En fonction de vos préférences, choisissez sur le site de Nespresso une machine pour seulement 1 €* et le plan café qui vous convient le mieux, et chaque mois, recevez automatiquement un crédit pour commander vos cafés favoris, gourmandises et accessoires.

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NE TRAÎNEZ PAS : OFFRE VALABLE DU 15/04/2021 AU 16/05/2021…

Une bonne piste pour la fête des mères ou simplement pour réveiller la fashion addict caféinée qui sommeille en vous.

Texte Katia Vlerick

musique

MUSICIENS ÉCLAIREURS

Le morceau a même été diffusé pendant les négociations pour la formation du gouvernement en 2020 : «WAP», abréviation de «Wet-Ass Pussy», par Cardi B et Megan Thee Stallion. Hit éphémère ou début d’une révolution musicale en passe d’abolir la domination du regard masculin? Si ça ne tenait qu’à la Néerlandaise Merel Baldé, a.k.a. MEROL, qui a percé il y a quelques années avec «Hou Je Bek En Bef Me», la seconde option s’imposerait sans conteste: «Les hip-hoppers masculins parlent tout le temps de sexe, alors pourquoi serait-ce inapproprié de la part de leurs collègues de la gent féminine? Je vais vous donner beaucoup de WAP à l’avenir. Mais nous devrons d’abord cesser de voir ça comme de la “musique à message”, mais simplement comme de la musique tout court.» 2021 est aussi une année de bouleversements musicaux, où on ne veut plus, comme le soutient MEROL, être mis dans une case. Girl in red est le nom de scène de Marie Ulven, musicienne norvégienne indépendante de 22 ans. Dans le sillage de Billie Eilish, elle a percé auprès des très jeunes il y a quelques années via TikTok, avec des morceaux comme «I Want to Be Your Girlfriend» et «We Fell in Love in October», dans lesquelles elle chante ouvertement son homosexualité. Au début de l’année, la BBC l’a désignée comme l’un des noms à surveiller de près. Lous and the Yakuza (de son vrai nom Marie-Pierra Kakoma) assume sa bizarrerie comme personne. Alors qu’elle vivait pratiquement comme une sans-abri dans les rues de Bruxelles, elle s’est créé mentalement plusieurs identités, autant de personnages qu’elle a endossés pour faire face à sa vie difficile. Après avoir pris la parole lors de la marche Black Lives Matter à Bruxelles, elle a également été invitée à traduire le poème «The Hill We Climb» d’Amanda Gorman. À travers sa traduction, Marie-Pierra Kakoma parviendra-t-elle à transmettre le message d’égalité qui résonnait dans le texte de la poétesse américaine, et celui qui émaillait son propre discours lors de la marche BLM (elle y a plaidé : « Nous ne sommes pas plus, nous ne sommes pas moins, nous sommes égaux») ? Nous connaîtrons la réponse ce mois-ci... Enfin, il faut mentionner la sortie du nouvel opus d’Annie Clark a.k.a. St. Vincent, dont le personnage androgyne n’a cessé de nous fasciner au cours de la dernière décennie. Un véritable nouveau David Bowie. Tout en réalisant son nouvel album, «Daddy’s Home», Annie Clark a également travaillé en tant que réalisatrice sur une adaptation cinématographique du classique «Dorian Gray» d’Oscar Wilde, à venir sur les écrans, dans laquelle le personnage principal est incarné par une femme.

St. Vincent

PLAYLIST

LOUS AND THE YAKUZA – « JE NE SAIS PAS »

Sur ce titre, produit par le hitmaker Shablo, Marie-Pierra Kakoma collabore avec la superstar italienne Sfera Ebbasta. Cette année verra aussi

la sortie du nouvel album de Lous and The

Yakuza, considéré par l’intéressée comme le chaînon manquant entre ses premiers travaux et son album phare « Gore ».

MEROL – « FOEFSAFARI »

La Néerlandaise Merel Baldé a écrit

« Foefsafari » après avoir lu un article dans « De Volkskrant » sur le « fossé orgasmique ». Quel ne fut pas son étonnement d’y lire que l’humanité était sur la Lune avant que la vulve fasse l’objet d’une étude sérieuse ! Merel Baldé: « Ce n’est qu’en 1998 que l’organe sexuel féminin a été examiné de l’intérieur, et c’est alors qu’on a découvert que le clitoris n’était que la partie émergée de l’iceberg. »

ST. VINCENT – « PAY YOUR WAY IN PAIN »

Premier single du nouvel album « Daddy’s Home ». Du rock qui groove, à l’instar de la perruque blonde que porte Annie Clark dans le clip : St. Vincent libère clairement la rock star qui sommeille en elle.

GIRL IN RED – « SEROTONIN »

Après avoir sorti de nombreux singles, la Norvégienne Marie Ulven a mis un point final à son premier album : « If I Could Make it Go Quiet ». Le titre « Serotonin » a été produit avec l’aide de Finneas O’Connell, le frère de Billie Eilish.

ZACKERY MICHAEL, PRESSE

Texte Alice Herman

livres

SE SAUVER

Partir, changer d’air, respirer, écouter, s’isoler, prendre le temps. Face aux bruits du monde, chacun se sauve comme il veut et comme il peut.

DANS UNE TANIÈRE

Pour écrire, Pauline Delabroy-Allard se retire seule, loin du monde, dans une maison tanière. Chaque jour, elle prend une photo du vinyle qu’elle écoute ou du plafond qu’elle contemple allongée sur le sol, et elle écrit un poème en regard de ce moment. «Je garde ainsi une trace de ces jours où je m’absente du monde », précise-t-elle. Beaux et troublants, ses textes à fleur de peau se déploient dans un livre hybride

incandescent. «Maison tanière», Pauline DelabroyAllard, L’Iconopop, 13€

AU JAPON

La jeune Mai, qui ne veut plus aller à l’école, part se ressourcer quelque temps chez sa grand-mère, loin de la ville. Là-bas, elle apprend à s’émerveiller devant les miracles de la nature et de la vie et à retrouver confiance en elle, au fil d’une existence calme et simple, bercée par la sagesse de la vieille dame. Un roman tout en délicatesse qui sent bon la confiture de fraises des bois et les souvenirs d’enfance, précieux et éternels. « L’été de la

sorcière», Kaho Nashiki, Picquier, 18€

DANS LES BOIS

Pétillantes de tendresse et de vie, ces douze histoires de forêt raviront les petits yeux curieux avides de découvertes. Au fil des saisons, émerveillés, ils y découvriront des chamois, des marcassins et même un lynx, une grotte magique, un tapis de trompettes-de-lamort absolument délicieuses, des blaireaux timides et une cabane idéale. Un album si joli ! Vite, vite, chaussons nos bottes et évadons-nous dans les bois !

«Au bois», Charline Collette, Les fourmis rouges, 18,9€

À LA CAMPAGNE

Fuyant la société de consommation, Sue Hubbell décide de s’installer loin de tout, dans les montagnes du Missouri, et se lance dans l’apiculture. Dans ce récit autobiographique publié en 1986 et devenu un classique, elle raconte quatre saisons de sa vie au plus proche de la nature, décrivant avec passion la faune et la flore environnantes et partageant ses interrogations sur le monde qui nous entoure. Un livre apaisant et lumineux.

«Une année à la campagne», Sue Hubbell, Folio, 7,5€ Explosion de couleurs pour cette BD bourrée de tendresse dans laquelle l’illustratrice porte un regard bienveillant, touchant et drôle sur son adolescence. À 11 ans, alors qu’elle souffre d’une grave phobie scolaire qui l’isole des autres, Magali découvre les Beatles.

C’est le choc. Le déclic. Un

amour inconditionnel pour le groupe britannique va naître et sa musique sera le réconfort dont elle a tant

besoin…

«Nowhere Girl», Magali Le Huche, Dargaud, 19,99€

DANS LA MUSIQUE

PRESSE

Texte Juliette de Bruxelles

Film

#SALEPUTE, LE CYBERHARCÈLEMENT

Ce ne sont pas « juste » des mots. Myriam Leroy et Florence Hainaut réalisent un film documentaire engagé pour sortir les femmes harcelées de l’invisibilité et rendre la parole à toutes les victimes muselées par un système patriarcal bien rodé.

« Nous voulons utiliser des leviers qui déclenchent la compréhension, l’empathie et la prise de conscience de ces violences structurelles. » Myriam Leroy, journaliste, écrivaine et réalisatrice sait de quoi elle parle. Tout comme Florence Hainaut, journaliste, réalisatrice, elle aussi cyberharcelée depuis des années. Ensemble, elles ont réalisé « #SALEPUTE », un film composé de témoignages de femmes qui, comme elles, ont été atteintes dans leur intégrité par des cyberharceleurs décidés à les faire taire sur les réseaux, à les gommer de l’espace public, à les réduire au silence.

Qu’est-ce que c’est ? Qui fait ça ? Et pourquoi ? Myriam Leroy : « C’est une mécanique récurrente, huilée par la culture dans laquelle nous baignons. Cette culture qui fait que certains se sentent autorisés, en toute impunité, de s’arroger un droit patriarcal dès qu’une femme s’exprime en public. Ce que l’on veut montrer, c’est la misogynie et l’indifférence à celle-ci. Le fait qu’elle perdure, qu’elle trouve de nouveaux terrains de jeu où s’exprimer, avec des victimes, des femmes qui doivent se débrouiller avec la violence. Il y a des mecs qui font des trucs monstrueux, mais ils le font parce que c’est autorisé. (…) Les harceleurs ne se définissent jamais comme tels. Ils se décrivent comme des libres penseurs. Ils n’ont pas la déconstruction, le recul nécessaire pour comprendre les mécanismes qui les poussent à cibler des nanas, à les insulter, à les attaquer, à les traquer, à les surveiller, à les menacer de cette manière-là. Ce qu’on avait envie et besoin de faire, c’est simplement montrer aux gens que c’est un sujet qu’on doit aborder par le prisme du genre. Ce ne sont pas les ordinateurs qui sont fous, ce sont les gens derrière et c’est symptomatique d’une culture qui tolère la haine envers des femmes.» L’outil virtuel n’est donc pas la cause des dérives ? Florence Hainaut : « On a souvent tendance à blâmer la technologie, mais tu ne deviens pas misogyne parce que tu vois un ordinateur. Si tu arrives à dire des choses misogynes, c’est que, fondamentalement, tu es misogyne. Internet donne la sensation d’une protection et fait croire aux gens qu’ils peuvent s’exprimer en toute liberté et sans conséquence. Ils peuvent alors révéler leur vraie nature. Mais personne ne devient raciste, misogyne au contact d’un clavier. (…) On nous demande d’où vient le sentiment d’impunité… La réponse est : il vient de l’impunité. Cette cyberviolence n’est même pas socialement punie. Et les femmes harceleuses? Il y en a très peu et elles harcèlent donc les femmes avec les instruments de la misogynie patriarcale, avec des insultes à caractère sexuel et sexiste. Quant à celles qui harcèlent des hommes, elles ne le font pas pour alimenter un système de domination et une volonté de les faire taire et de les sortir de l’espace public.»

Vous n’avez pas parlé du harcèlement dont vous avez été — et êtes — victimes. Vos harceleurs ont réussi à vous faire taire ? M.L : «Non. Il nous a semblé que pour mettre en valeur la parole des 12 femmes interrogées – qui nous semblait très forte et surtout qui représentait notre vécu – on n’avait pas besoin de se mettre en scène. Toutes racontent la même chose : les mêmes mots, les mêmes mecs, les mêmes conséquences, la même souffrance.» F.H. : «Elles disaient tout ce qu’il y avait à dire… Quant aux harceleurs, on n’a pas pensé à eux, on ne s’adresse pas à eux. Je n’ai rien à dire à ces types-là. On voulait donner aux femmes qui sont présentes sur internet une grille de lecture quand elles sont victimes et témoins de ce genre de violence. Leur dire qu’elles ne sont pas seules.»

« #SALEPUTE », le 12 mai sur la RTBF

Les femmes ont 27 fois plus de chance de se faire harceler en ligne que les hommes. 32 % ont arrêté d’exprimer leur opinion sur internet.* Source : European women’s lobby / Amnesty

ROMAIN GARCIN

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1 Lotus Top 159€

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EFFET VACANCES INSTANTANÉ

Des couleurs gaies, des coupes confortables et une vibe inspirée des seventies : les robes et t-shirts Sea Me Happy vous donnent tout de suite la pêche, même sous le ciel gris de notre Belgique.

À l’origine de cette marque, Noémie qui, une fois son diplôme en poche, s’est lancée dans la confection de jolis t-shirts tie-dye pour payer son billet d’avion pour l’Afrique du Sud. Ses créations ont remporté un tel succès que plusieurs boutiques chics se sont empressées de les référencer avant de les écouler en un clin d’œil. Sea Me Happy était né ! Rejointe dans l’aventure par sa maman, Noémie crée des vêtements colorés qui donnent le sourire à toutes celles qui les portent, des petites filles aux grands-mères.

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La collection Sea Me Happy se compose de pièces iconiques fortes mais abordables qui éveillent des envies de soleil. Les tops branchés et les robes fluides sont juste parfaits pour savourer la chaleur estivale en sirotant un Moscow Mule. La marque de slow fashion complète son offre d’une ligne de basiques intemporels aux couleurs de l’arc-en-ciel.

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Sea Me Happy met beaucoup d’amour et de soin dans la confection de ses vêtements, dont 80% sont faits main en Belgique. Une façon pour la marque de soutenir l’économie locale, mais aussi de limiter au maximum son empreinte écologique. Ses must-haves ne sont pas réservés qu’aux femmes, puisque la collection inclut des modèles unisexes que votre chéri pourra porter sans souci !

CET ARTICLE A ÉTÉ RÉDIGÉ EN ÉTROITE COLLABORATION AVEC SEA ME HAPPY. SEAMEHAPPY.BE - SEAMEHAPPY_APPAREL

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