Cantique de frère soleil D
Toute la création chante pour Toi, Dieu bon et tout-puissant. Notre frère le soleil célèbre le jour. Ses rayons sont beaux et puissants. Notre sœur la lune et toutes les étoiles brillent dans le ciel de la nuit.
Notre sœur et notre mère la terre nous donne la nourriture, les plantes, les fleurs. L’homme qui supporte ses soucis sans une plainte et celui qui pardonne sont des perles de ta paix.
Notre frère le vent envoie ses nuages, de l’air frais et le temps qu’il fait.
Merci pour notre sœur la mort elle-même. Elle nous ramène en ton sein. Tout ce que Tu as fait est une merveille.
Notre sœur l’eau est utile et humble. Elle lave la terre et désaltère.
Toute la création chante pour Toi, Dieu bon et tout-puissant.
Notre frère le feu illumine et danse. Ses flammes enchantent et réchauffent.
Cantique de frère soleil D
Toute la création chante pour Toi, Dieu bon et tout-puissant. Notre frère le soleil célèbre le jour. Ses rayons sont beaux et puissants. Notre sœur la lune et toutes les étoiles brillent dans le ciel de la nuit.
Notre sœur et notre mère la terre nous donne la nourriture, les plantes, les fleurs. L’homme qui supporte ses soucis sans une plainte et celui qui pardonne sont des perles de ta paix.
Notre frère le vent envoie ses nuages, de l’air frais et le temps qu’il fait.
Merci pour notre sœur la mort elle-même. Elle nous ramène en ton sein. Tout ce que Tu as fait est une merveille.
Notre sœur l’eau est utile et humble. Elle lave la terre et désaltère.
Toute la création chante pour Toi, Dieu bon et tout-puissant.
Notre frère le feu illumine et danse. Ses flammes enchantent et réchauffent.
François d’Assise Titre original : Saint Francis of Assisi, © 2007 Lion Hudson Texte © Joyce Denham - Illustrations © Elena Temporin Adaptation française et secrétariat de rédaction : Geneviève Bergé Mise en page : Christine Van Beers © Averbode S.A. Abdijstraat, 1 3271 Averbode www.averbode.be ISBN 978-9-03173-942-4 D/2015/39/16 EB5289/122014 en collaboration avec © Éditions jésuites Belgique : 7, rue Blondeau, BE-5000 Namur France : 14, rue d’Assas, FR-75006 Paris info@editionsjesuites.com – www.editionsjesuites.com D/2015/4323/03 ISBN 78-2-87356-650-0 Même si la loi autorise, moyennant le paiement de redevances (via la société Reprobel, créée à cet effet), la photocopie de courts extraits dans certains contextes bien déterminés, il reste totalement interdit de reproduire, sous quelque forme que ce soit, en tout ou en partie, le présent ouvrage (Loi du 30 juin 1994 sur le droit d’auteur, parue au Moniteur du 27 juillet 1994). Cette reproduction sauvage cause un préjudice certain aux auteurs et aux éditeurs. Le photocopillage tue le livre!
François d’Assise
François d’Assise Titre original : Saint Francis of Assisi, © 2007 Lion Hudson Texte © Joyce Denham - Illustrations © Elena Temporin Adaptation française et secrétariat de rédaction : Geneviève Bergé Mise en page : Christine Van Beers © Averbode S.A. Abdijstraat, 1 3271 Averbode www.averbode.be ISBN 978-9-03173-942-4 D/2015/39/16 EB5289/122014 en collaboration avec © Éditions jésuites Belgique : 7, rue Blondeau, BE-5000 Namur France : 14, rue d’Assas, FR-75006 Paris info@editionsjesuites.com – www.editionsjesuites.com D/2015/4323/03 ISBN 78-2-87356-650-0 Même si la loi autorise, moyennant le paiement de redevances (via la société Reprobel, créée à cet effet), la photocopie de courts extraits dans certains contextes bien déterminés, il reste totalement interdit de reproduire, sous quelque forme que ce soit, en tout ou en partie, le présent ouvrage (Loi du 30 juin 1994 sur le droit d’auteur, parue au Moniteur du 27 juillet 1994). Cette reproduction sauvage cause un préjudice certain aux auteurs et aux éditeurs. Le photocopillage tue le livre!
François d’Assise
Le baptême à Assise D
Dame Pica soupira. Son mari, Pietro Bernardone, n’était toujours pas revenu de son voyage d’affaires. Il partait régulièrement en France où il achetait de magnifiques étoffes pour son commerce de tissus. Cela faisait déjà plusieurs mois qu’il avait quitté la petite ville d’Assise, en Italie. Il n’avait même pas assisté à la naissance de son fils ! Et voilà qu’il allait encore manquer son baptême... Tout en portant son fils vers l’église, dame Pica se demandait : – Pietro verra-t-il un jour son fils ? Les façades des maisons rougeoyaient dans le soleil. Elles étaient si serrées les unes contre les autres qu’elles s’enchevêtraient et se superposaient comme des escaliers. Les cloches sonnèrent. – Le monde entier se réjouit du baptême de mon fils ! songea Pica tout heureuse. – Quel est son nom ? demanda le prêtre. – Giovanni. Jean, dit Pica, comme Jean le Baptiste. – Vous croyez ? dit le prêtre. Le cœur de Jean le Baptiste brûlait pour Dieu, c’est sûr et certain, mais, heu… c’était quand même un sauvage, non ? Un vagabond qui se nourrissait n’importe comment et portait des vêtements sales... – C’est vrai, mais c’était le sauvage de Dieu, répondit Pica. Si mon fils aime Dieu, ne fût-ce que la moitié de ce que Jean l’aimait, ce sera un homme de bien. Plus tard et fier comme un paon, Pietro revint à la maison après son long voyage. – J’adore la France, répétait-il sans cesse. La France a fait de moi un homme riche ! Lorsqu’il vit son fils, il s’exclama : – Voilà mon petit Français, mon petit François. Oui, toi, je t’appelle François comme la France. – Mais il s’appelle Jean, dit Pica. – Ma petite chérie, répliqua Pietro, ce sera François. Car la France est un pays éblouissant ! Attends seulement que je te montre mes nouvelles soies à broder ! – Non, il s’appelle Jean. Comme Jean le Baptiste, reprit Pica fermement. – Pas du tout ! dit Pietro. Je l’appellerai François, en souvenir de la France ! 6
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Le baptême à Assise D
Dame Pica soupira. Son mari, Pietro Bernardone, n’était toujours pas revenu de son voyage d’affaires. Il partait régulièrement en France où il achetait de magnifiques étoffes pour son commerce de tissus. Cela faisait déjà plusieurs mois qu’il avait quitté la petite ville d’Assise, en Italie. Il n’avait même pas assisté à la naissance de son fils ! Et voilà qu’il allait encore manquer son baptême... Tout en portant son fils vers l’église, dame Pica se demandait : – Pietro verra-t-il un jour son fils ? Les façades des maisons rougeoyaient dans le soleil. Elles étaient si serrées les unes contre les autres qu’elles s’enchevêtraient et se superposaient comme des escaliers. Les cloches sonnèrent. – Le monde entier se réjouit du baptême de mon fils ! songea Pica tout heureuse. – Quel est son nom ? demanda le prêtre. – Giovanni. Jean, dit Pica, comme Jean le Baptiste. – Vous croyez ? dit le prêtre. Le cœur de Jean le Baptiste brûlait pour Dieu, c’est sûr et certain, mais, heu… c’était quand même un sauvage, non ? Un vagabond qui se nourrissait n’importe comment et portait des vêtements sales... – C’est vrai, mais c’était le sauvage de Dieu, répondit Pica. Si mon fils aime Dieu, ne fût-ce que la moitié de ce que Jean l’aimait, ce sera un homme de bien. Plus tard et fier comme un paon, Pietro revint à la maison après son long voyage. – J’adore la France, répétait-il sans cesse. La France a fait de moi un homme riche ! Lorsqu’il vit son fils, il s’exclama : – Voilà mon petit Français, mon petit François. Oui, toi, je t’appelle François comme la France. – Mais il s’appelle Jean, dit Pica. – Ma petite chérie, répliqua Pietro, ce sera François. Car la France est un pays éblouissant ! Attends seulement que je te montre mes nouvelles soies à broder ! – Non, il s’appelle Jean. Comme Jean le Baptiste, reprit Pica fermement. – Pas du tout ! dit Pietro. Je l’appellerai François, en souvenir de la France ! 6
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Les troubadours français D
François grandissait, devenait un garçon robuste. Il portait des habits somptueux à la dernière mode de France. Il achetait tout ce qu’il voulait. Les garçons de la noblesse l’aimaient parce qu’il offrait toujours à boire lors des fêtes. Lorsqu’ils parcouraient les rues d’Assise en chantant et en criant, François menait toute la bande. Et partout où ils passaient, ils dérangeaient le calme de la petite cité. – Où est François ? demanda un jour Pietro. – Il est avec ses amis, répondit Pica. – Encore ? Ils sont déjà sortis la moitié de la nuit. Ils ont vadrouillé dans les rues, ils ont sifflé la pauvre fille de l’impasse et ils ont chanté comme en plein jour. Tous mes clients s’en sont plaints aujourd’hui. Ils savent bien que François est le meneur du groupe. Et voilà que François était à nouveau sorti ! Ses amis étaient venus lui annoncer que deux troubadours français allaient donner une représentation sur la place. François avait immédiatement quitté la maison pour aller écouter les chanteurs. Leurs chants racontaient les aventures du roi Arthur et des chevaliers de la Table Ronde.
– Un jour, je serai chevalier, moi aussi ! annonça François à tous ceux qui se trouvaient sur la place. Je conquerrai mon honneur sur les champs de bataille, je lutterai pour les pauvres gens. Et il mima un combat acharné. – Qu’est-ce que tu nous inventes encore, François ? s’exclamaient les gens en riant. Mais il se rappela tout à coup le travail qui l’attendait. Et il s’encourut à travers les rues étroites, galopa sur les pavés pour arriver hors d’haleine au magasin. – François, ordonna Pietro, je t’interdis de traîner encore avec ces garçons. Tu es le fils d’un marchand. Ta place est ici, au travail. Et tout de suite ! Mais Pietro était secrètement très fier que son fils fût l’ami préféré des jeunes et riches nobles d’Assise.
Voici l’histoire d’Arthur, le roi du pays breton. Il libéra son peuple des Saxons, il les battit pour de bon.
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Les troubadours français D
François grandissait, devenait un garçon robuste. Il portait des habits somptueux à la dernière mode de France. Il achetait tout ce qu’il voulait. Les garçons de la noblesse l’aimaient parce qu’il offrait toujours à boire lors des fêtes. Lorsqu’ils parcouraient les rues d’Assise en chantant et en criant, François menait toute la bande. Et partout où ils passaient, ils dérangeaient le calme de la petite cité. – Où est François ? demanda un jour Pietro. – Il est avec ses amis, répondit Pica. – Encore ? Ils sont déjà sortis la moitié de la nuit. Ils ont vadrouillé dans les rues, ils ont sifflé la pauvre fille de l’impasse et ils ont chanté comme en plein jour. Tous mes clients s’en sont plaints aujourd’hui. Ils savent bien que François est le meneur du groupe. Et voilà que François était à nouveau sorti ! Ses amis étaient venus lui annoncer que deux troubadours français allaient donner une représentation sur la place. François avait immédiatement quitté la maison pour aller écouter les chanteurs. Leurs chants racontaient les aventures du roi Arthur et des chevaliers de la Table Ronde.
– Un jour, je serai chevalier, moi aussi ! annonça François à tous ceux qui se trouvaient sur la place. Je conquerrai mon honneur sur les champs de bataille, je lutterai pour les pauvres gens. Et il mima un combat acharné. – Qu’est-ce que tu nous inventes encore, François ? s’exclamaient les gens en riant. Mais il se rappela tout à coup le travail qui l’attendait. Et il s’encourut à travers les rues étroites, galopa sur les pavés pour arriver hors d’haleine au magasin. – François, ordonna Pietro, je t’interdis de traîner encore avec ces garçons. Tu es le fils d’un marchand. Ta place est ici, au travail. Et tout de suite ! Mais Pietro était secrètement très fier que son fils fût l’ami préféré des jeunes et riches nobles d’Assise.
Voici l’histoire d’Arthur, le roi du pays breton. Il libéra son peuple des Saxons, il les battit pour de bon.
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Le mendiant au magasin D
Un client était en train d’examiner des soies à broder très chères. Pietro fit signe à François. Son regard signifiait : – Va vite aider cet homme et veille à ce qu’il achète quelque chose. François savait s’y prendre à merveille. Il montra au client du tissu en laine bleu et un morceau de soie orange, puis encore du lin vert mousse. L’homme n’avait encore jamais vu d’étoffes aussi extraordinaires. – Vous ne trouverez nulle part ailleurs de plus beaux tissus, lui souffla François. Tout à coup, une voix faible se fit entendre. – Monsieur, pouvez-vous m’aider ? François regarda autour de lui. Il n’y avait qu’un vieux mendiant en guenilles demandant l’aumône. François fit comme s’il ne l’avait pas vu. Il était à présent occupé avec un riche et puissant aristocrate sur le point de conclure un achat important. Le client était impressionné. – J’achète tous ces tissus pour mon épouse, dit-il presque exalté, et il déposa dans la main de François un sac de pièces d’or. François s’en saisit en frissonnant. Mmm, comme le succès était un sentiment agréable ! Cependant, il ne parvenait pas à oublier le mendiant. Il se retourna pour l’aider, mais le vieil homme était déjà reparti. Soudain, François eut l’impression que son cœur pesait plus lourd que tout l’or qu’il avait dans les mains. Un vrai chevalier aurait-il abandonné un pauvre à son sort ? Un vrai chevalier ne serait-il pas allé l’aider ? Il claqua la porte du magasin et courut de magasin en magasin, le long des ruelles tortueuses, à la recherche du mendiant disparu. Il le retrouva finalement près d’une petite fontaine. – Pardonne-moi, implora-t-il. Je veux vraiment bien t’aider. Il déposa son sac d’or dans la main du mendiant et repartit aussitôt. La joie inonda François. Une joie bien plus grande qu’au moment où il avait reçu l’imposant sac de pièces d’or. Il chanta et dansa durant tout le retour vers la maison et il se fit le serment de ne plus jamais renvoyer un pauvre qui lui demanderait de l’aide. 10
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Le mendiant au magasin D
Un client était en train d’examiner des soies à broder très chères. Pietro fit signe à François. Son regard signifiait : – Va vite aider cet homme et veille à ce qu’il achète quelque chose. François savait s’y prendre à merveille. Il montra au client du tissu en laine bleu et un morceau de soie orange, puis encore du lin vert mousse. L’homme n’avait encore jamais vu d’étoffes aussi extraordinaires. – Vous ne trouverez nulle part ailleurs de plus beaux tissus, lui souffla François. Tout à coup, une voix faible se fit entendre. – Monsieur, pouvez-vous m’aider ? François regarda autour de lui. Il n’y avait qu’un vieux mendiant en guenilles demandant l’aumône. François fit comme s’il ne l’avait pas vu. Il était à présent occupé avec un riche et puissant aristocrate sur le point de conclure un achat important. Le client était impressionné. – J’achète tous ces tissus pour mon épouse, dit-il presque exalté, et il déposa dans la main de François un sac de pièces d’or. François s’en saisit en frissonnant. Mmm, comme le succès était un sentiment agréable ! Cependant, il ne parvenait pas à oublier le mendiant. Il se retourna pour l’aider, mais le vieil homme était déjà reparti. Soudain, François eut l’impression que son cœur pesait plus lourd que tout l’or qu’il avait dans les mains. Un vrai chevalier aurait-il abandonné un pauvre à son sort ? Un vrai chevalier ne serait-il pas allé l’aider ? Il claqua la porte du magasin et courut de magasin en magasin, le long des ruelles tortueuses, à la recherche du mendiant disparu. Il le retrouva finalement près d’une petite fontaine. – Pardonne-moi, implora-t-il. Je veux vraiment bien t’aider. Il déposa son sac d’or dans la main du mendiant et repartit aussitôt. La joie inonda François. Une joie bien plus grande qu’au moment où il avait reçu l’imposant sac de pièces d’or. Il chanta et dansa durant tout le retour vers la maison et il se fit le serment de ne plus jamais renvoyer un pauvre qui lui demanderait de l’aide. 10
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La révolte contre le duc D
Au feu ! Au feu ! Dès que les premiers cris envahirent les rues d’Assise, les habitants se précipitèrent dehors en emportant toutes sortes d’armes : épées, bâtons, pierres... Le château du haut de la colline était en feu. Déjà, la fumée se répandait comme une couverture sombre sur les toits d’Assise. – Qu’est-ce qui se passe ? demanda François. – La population se révolte contre le duc, répondit Pietro. Il ne s’occupe pas bien de nous. – Il va sûrement être chassé, renchérit Pica, et toute la garnison allemande aussi. Elle avait raison. Le duc et tous ses soldats quittèrent le château en feu. Les membres de la noblesse également. Ils avaient obligé les simples gens à travailler comme des esclaves pour eux et, maintenant, ils fuyaient vers Pérouse, la ville voisine. Ce jour-là, les commerçants d’Assise se réunirent et formèrent une communauté qui désormais gouvernerait et protègerait la ville. 12
– Venez, se criaient-ils l’un à l’autre, nous allons construire un mur tout autour d’Assise avec les pierres du château. Comme cela, nous n’aurons plus jamais un duc cruel pour maître. François aida à porter les lourdes pierres. Il imaginait qu’il était un chevalier du roi Arthur en train de libérer les opprimés. C’était la première fois de sa vie qu’il devait effectuer un travail physique intense. Cela lui plut, il se sentait fort. Lorsque les pierres formèrent un mur solide, le lien entre les citoyens de la petite ville de montagne était, lui aussi, devenu plus solide et plus résistant. Ils s’étreignaient les uns les autres. François se demanda en lui-même : – Est-ce que Dieu ressemblerait davantage à notre communauté qu’au duc ? 13
En lecture partielle‌
Fra
Prière de conversion D
Loue et glorifie Dieu pour toujours, le Dieu trinité et le très haut Seigneur ! Souviens-toi de Dieu tout-puissant, Père, Fils et Esprit Saint, qui a créé tout ce qui existe et qui te donne son amitié fidèle. Confesse ce que tu as fait de mal. Qui sait combien de temps tu vivras ? Si ton cœur est généreux, tu recevras toi aussi le pardon. Sois vigilant, éloigne-toi du mal, comble tes jours de bonnes actions. François d’Assise (1181-1226)
Fra
Prière de conversion D
Loue et glorifie Dieu pour toujours, le Dieu trinité et le très haut Seigneur ! Souviens-toi de Dieu tout-puissant, Père, Fils et Esprit Saint, qui a créé tout ce qui existe et qui te donne son amitié fidèle. Confesse ce que tu as fait de mal. Qui sait combien de temps tu vivras ? Si ton cœur est généreux, tu recevras toi aussi le pardon. Sois vigilant, éloigne-toi du mal, comble tes jours de bonnes actions. François d’Assise (1181-1226)