La Trinité, j’y crois ! by Éditions jésuites

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Chantal Guillermain

La Trinité, j’y crois!

La Trinité, j’y crois ! « Voici un petit livre dont l’apparence modeste pourrait masquer la valeur. L’auteur, Chantal Guillermain, a été une des premières femmes professeurs d’Écriture sainte dans un séminaire régional dont elle a été pour un temps membre du conseil de direction. Elle a publié avec le père Louis Barlet un commentaire de l’Évangile selon saint Luc, qui fait autorité. C’est dire que nous pouvons lui faire confiance pour éclairer un sujet aussi complexe que la Trinité. Nous aurions tort cependant de chercher dans cet ouvrage un nouveau catéchisme sur la Trinité. C’est avant tout un livre de méditation. Aussi, si j’ai un conseil à donner au lecteur, c’est de commencer par les poèmes, en particulier ceux de l’auteur, qui terminent le volume. Lisez-les, savourez-les, laissez-les retentir dans votre prière. Vous pourrez alors revenir aux chapitres précédents qui retracent avec exactitude et clarté les différents aspects de la foi trinitaire. L’auteur fait appel essentiellement à l’Écriture, ce qui permet d’en faire une lecture méditée. »

La Trinité, j’y crois !

Chantal Guillermain

Écouter la Parole

Michel Rondet, s.j. Chantal Guillermain est mère d’une nombreuse famille. Bibliste engagée en divers lieux de formation, elle a aussi longtemps collaboré avec les jésuites de La Baume-lès-Aix, au comité de rédaction de la revue Garrigues, dans les parcours de formation théologique et dans les équipes d’accompagnement de retraites. Elle anime des sessions bibliques en Avignon et à Nîmes.

viechretienne.fr ISBN 978-2-900282-08-3

9 782900 282083

En couverture : La Trinité miséricordieuse, soeur Caritas Müller. DR

Vie chrétienne 593

11,50 €

Éditions Vie chrétienne

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La Trinité, j’y crois !

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Du même auteur Le Beau Christ de Luc, avec Louis Barlet, Cerf, Coll. Lire la Bible, 2006. Le Beau Christ en Actes, avec Louis Barlet, Cerf, Coll. Lire la Bible, 2011.

ISBN 978-2-900282-08-3 Code article 593 © Éditions Vie chrétienne, 2018 47, rue de la Roquette, 75011 Paris, France www.viechretienne.fr Photo de couverture : La Trinité miséricordieuse, sœur Caritas Müller. DR

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Chantal Guillermain

La Trinité, j’y crois !

Vie chrétienne 47, rue de la Roquette 75011 Paris

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SOMMAIRE SOMMAIRE............................................................................................5 LA TRINITÉ, J’Y CROIS… ......................................................................7 La Trinité, j’y crois… ........................................................................9 Contempler la Trinité......................................................................11 LE BEAU MYSTÈRE DE NOTRE DIEU : DE DIEU UNIQUE À DIEU UNI ..15 À L’ÉCOUTE DU NOUVEAU TESTAMENT ..........................................19 L’évangile de Luc ..........................................................................20 L’évangile de Jean..........................................................................27 À L’ÉCOUTE DU PREMIER TESTAMENT ..........................................33 La Parole........................................................................................34 La Sagesse ....................................................................................35 L’Esprit ..........................................................................................36 LA TRINITÉ, UNE VIE EN COMMUNION QUI NOUS EST OUVERTE ..39 Une vie offerte, une vie pour nous ................................................40 Demeurez dans mon amour ............................................................41 PRIER LA TRINITÉ ..............................................................................43

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LA TRINITÉ, J’Y CROIS… … depuis mon adolescence, au seuil des années 1950. À cette époque, à chaque messe, j’entendais le rythme ample de la Préface de la Sainte Trinité avec les grands mots unitas, majestas, equalitas que le latin, qui alors nous était familier, rendait audibles. « Je vous parle d’un temps que les moins de (soixante-dix) ans ne peuvent pas connaître ! » Cependant, aucune nostalgie dans cette évocation, croyez-le bien, mais seulement le souvenir puissant et savoureux qui ravive ma foi, lorsque, chaque dimanche de la Trinité, je retrouve en français les mots d’antan toujours porteurs pour moi du vrai bonheur de croire : « Vraiment, il est juste et bon de te rendre gloire, de t’offrir notre action de grâce, toujours et en tout lieu, à toi, Père très saint, Dieu éternel. Avec ton Fils Unique et le Saint-Esprit, tu es un seul Dieu, tu es un seul Seigneur, dans la trinité des personnes et l’unité de leur nature. Ce que nous croyons de ta gloire, parce que tu l’as révélé, nous le croyons pareillement et de ton Fils et du Saint-Esprit ; et quand nous proclamons notre foi au Dieu éternel et véritable, nous adorons en même temps chacune des personnes, leur unique nature, leur égale majesté1. » Ne prenons pas ces mots pour un énoncé dogmatique, intellectuel et froid ; c’est une prière qui essaie de tenir, dans le langage des hommes et en multipliant les mots parce qu’ils sont infirmes, l’indicible de « l’admirable mystère ». Par quels chemins la liturgie de l’Église nous conduit-elle vers cette fête de la Trinité ? Tout part de la Pâque du Christ, qui est au cœur de notre foi. Pendant quarante jours, le Carême nous prépare à la célébrer en nous 1. Préface de la solennité de la Sainte Trinité. 7

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La Trinité, j’y crois

faisant passer de la grisaille des Cendres à la clarté du feu nouveau. Dans la Semaine sainte, nous célébrons la mort et la résurrection de Jésus, le don qu’il nous fait de sa Personne et de sa Vie — que sont le corps et le sang en langage biblique — et le grand geste du Père qui authentifie l’œuvre du Fils et lui confère toute sa plénitude de sens et sa réalité infinie. La Résurrection rend perpétuellement possible le don que Jésus veut faire à tous. Dans la puissance de l’Esprit Saint, le Père fait aboutir le désir de Jésus de donner sa vie pour que les hommes vivent, son désir de faire corps avec le pain pour devenir les vivres dont nous avons besoin, son désir de nous offrir sa présence vivifiante. Et c’est ce qui advient à chaque eucharistie. L’Alléluia retentit chaque jour de la cinquantaine pascale pour ponctuer ces merveilles qui nous sont données par notre Dieu. Ensuite, à l’Ascension, Jésus est élevé auprès du Père, Premier-né sur cette route vers le Royaume ; il retourne alors en vie cachée, toute gloire à nouveau éteinte ; Jésus s’efface en la personne de ses témoins, car ce sont eux désormais qui sont porteurs de sa présence. Auparavant, Jésus avait renouvelé à ses disciples la promesse du Père, qui disait selon la prophétie d’Ézéchiel : « Je mettrai en vous un esprit nouveau. Je mettrai mon esprit en vous » (Ez 36, 26). Jésus avait ajouté : « Quand viendra le Paraclet, que je vous enverrai d’auprès du Père, l’Esprit de vérité qui provient du Père… » (Jn 15, 26), il confirmait ainsi l’action commune du Père et du Fils dans ce don. Et l’Esprit est donné au jour de Pentecôte qui clôture le temps pascal. C’est alors que, le dimanche qui suit la Pentecôte, dans la lumière de Pâques, avec l’intelligence de la foi que l’Esprit Saint a rénovée, nous pouvons chanter la louange de gloire de notre Dieu, l’Unique en trois Personnes. Au fil du temps pascal, l’Évangile nous a révélé ce que veut le Père et que fait le Fils et que l’Esprit parachève, son Amour qui est de toujours et sa Vie pour nous. Nous pouvons chanter : « Quelle profusion dans tes œuvres, Seigneur ! » Et c’est la solennité de la Sainte Trinité. Ensuite, le temps « ordinaire » peut reprendre. Nos forces ont été refaites, pour parcourir inlassablement le chemin du quotidien ouvert devant nous : nous savons vers où nous sommes conduits et nous n’y sommes pas seuls… Quant à la Prière du Seigneur qui rythme nos journées, c’est dans la communion bienheureuse de la Trinité que nous la disons : en effet, c’est la prière du Fils, c’est lui qui nous l’a apprise, ce sont ses mots à lui qu’il 8

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La Trinité, j’y crois

nous a donnés : « Dites “Père”. » Et Paul nous apprend qu’il faut la présence de l’Esprit Saint en nous pour appeler Dieu « Père » : « Dieu a envoyé dans nos cœurs l’Esprit de son Fils, l’Esprit qui crie “Abba, Père” » (Ga 4, 6).

La Trinité, j’y crois… … parce que l’Évangile me donne à voir l’Homme Jésus allant et venant sous le regard de Dieu qu’il nomme Père, puisant dans le Souffle de Dieu — l’Esprit Saint — l’autorité de sa parole et de ses gestes, son amour débordant pour tous ceux qu’il rencontre. Jésus de Nazareth est venu nous apprendre Dieu, parce que, toujours, l’homme se trompe sur Dieu, à cause du poison diabolique instillé en son cœur dès l’origine. Jésus seul parle bien de Dieu. Par toute sa vie, en paroles et en actes, Jésus révèle le cœur de Dieu, la puissance d’amour qui l’habite ; il fait voir le désir, le dessein de Dieu en faveur des hommes. Dans les Évangiles, je découvre en Jésus l’Homme parfaitement accordé à Dieu, qu’il aime de tout son cœur, de tout son être, conformément au premier commandement de la Loi ; le Fils pleinement ouvert à ce qui lui vient de son Père, totalement disponible à ce que veut le Père. Dieu, tel que Jésus nous le fait connaître, n’est donc pas une Perfection solitaire, un Tout-Puissant impassible : il y a en Dieu une perfection d’intimité et d’échange ; le Père et le Fils sont unis en un unique Amour qui se propage pour que vivent les hommes. La Trinité que nous découvrons par Jésus est une relation vivante, aimante, apaisante, encourageante, fortifiante, une Vie qui nous est ouverte. La théologie, me semble-t-il, a beaucoup parlé de la Trinité en termes de dogmatiques, savants, philosophiques, intellectuels. Or, d’une part, ils sont difficiles à comprendre (nature – essence – personne – substance procession…), d’autre part, leur sens premier, qui a considérablement changé au fil des siècles, est très éloigné des pensées et des préoccupations d’aujourd’hui : beaucoup de croyants sincères ne trouvent aucun sens, et moins encore de nourriture, dans ces concepts. Pour parler de la Trinité, si l’on n’est pas théologien, il faudrait être poète ou peintre. Poète comme Irénée de Lyon qui, le premier, a parlé du Fils et de l’Esprit comme des « deux mains de Dieu » ; poète aussi comme Frère Pierre-Yves : 9

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La Trinité, j’y crois

« Et ses deux mains n’auront qu’un seul immense ouvrage : Nous porter jusqu’au secret de son visage2. » Pour le peintre, on pense immédiatement à Roublev et à sa célèbre image de la Table des Trois où notre place, à chacun, est marquée. On pense aussi au Couronnement de la Vierge, d’Enguerrand Quarton, exposé au musée de Villeneuve-lès-Avignon. Le Père et le Fils, parfaitement ressemblants, sont assis en face l’un de l’autre de chaque côté de la Vierge ; ils tiennent une couronne au-dessus d’elle. L’Esprit Saint est traditionnellement représenté par une colombe, ses ailes sont étendues et relient la bouche du Père et celle du Fils pour montrer l’unique Parole de Dieu.

2. Frère Pierre-Yves Emery. On trouvera cette hymne en fin d’ouvrage. 10

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La Trinité, j’y crois

Contempler la Trinité La céramique de sœur Caritas Müller, La Trinité miséricordieuse, porte à la contemplation, comme saint Ignace de Loyola nous y invite au début de la deuxième semaine des Exercices spirituels : « Ici ce sont les trois Personnes divines regardant toute la surface ou la sphère de l’univers, remplie d’hommes. Voir et considérer les trois Personnes divines sur le trône de la divine majesté. Entendre ce que disent les Personnes divines : « Faisons la rédemption de genre humain. » Regarder ce que font les Personnes divines ; elles opèrent la très sainte Incarnation. En tout cela, demander une connaissance intérieure du Seigneur afin de mieux l’aimer et le suivre » (Exercices spirituels nos 102, 106, 108). L’œuvre de sœur Caritas Müller me donne à voir le Père, le Fils et l’Esprit ; je peux y entendre le dialogue silencieux du Père et du Fils, dialogue exprimé en « voix de fin silence » (1 R 19, 12) sous l’aile de l’Esprit ; dialogue qui se concrétise surtout dans leur attitude commune : le Père et le Fils sont inclinés, penchés au-dessus de l’homme. Je peux regarder leur activité, elle est éloquente : pleine de compassion, d’humilité, de puissance bienfaisante. Père et Fils portent secours à l’homme en détresse. « Ce que fait le Père, le Fils le fait pareillement » (Jn 5, 19). Les formes

Tout est arrondi dans cette œuvre. Rondeur de la terre semblable à la rondeur accueillante du ventre de la mère porteuse de vie. Harmonieuse rondeur, aussi, qui enveloppe chaque Personne, dans un trilobe solidement ancré dans la sphère de l’univers. Aucun trait saillant, acéré, qui pourrait blesser ; tout est adouci par la rondeur. Et pourtant, tout communique dans cet espace, tout circule car rien n’est fermé, enclos sur lui-même. La couleur

Une lueur de miel. La couleur est claire au pourtour de la scène et plus sombre au centre, de plus en plus sombre lorsqu’on s’approche de l’homme ; une manière de suggérer, peut-être, que celui-ci « habite les ténèbres et l’ombre de la mort » (Lc 1, 79).

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La Trinité, j’y crois

L’homme Regardons-le d’abord, car c’est lui qui est au centre de la sphère terrestre, objet de toute l’attention de la Trinité. Il est le terreux à peine extrait de la terre, pas encore animé du Souffle créateur. Le fils de notre terre est tenu « à main forte » par le Père ; le Fils le recueille, et l’Esprit fond sur lui. Est-ce un nouveau-né, simplement détendu dans un confiant abandon ? Il semble encore en position fœtale, presque encore en genèse… Est-ce un adulte blessé, à demi mort ou seulement endormi, paisible ? Naissance ou mort ? Toute la vie de l’homme est là avec ses obscurités, sa faiblesse mais aussi sa confiance, sa déprise… Est-ce l’Homme endormi au jardin d’Éden, à qui le Créateur veut donner une épouse ? Est-ce le Fils descendu de la Croix que le Père recueille entre ses grandes mains avant de lui redonner sa Vie ? Les Personnes divines Pas de « siège royal », pas de « trône de la divine Majesté », ainsi que le suggérait Ignace ; mais une scène d’humanité sobre, dépouillée, presque ordinaire. Deux Hommes sont en travail, à la tâche. Dans un retournement inouï par rapport à la Genèse, ici, Père et Fils sont à l’image de l’homme ! L’Esprit

Du cercle supérieur survient l’Oiseau de Feu, la Colombe ardente ; Esprit créateur, Force de vie, Langue de feu, Paraclet consolateur toujours inconnaissable… Il plonge, dans l’univers, vers l’homme pour lui communiquer sa puissance vitale. Le Père

À droite se tient le Père, un Père infiniment tendre, un Père infiniment Père. Ses mains soutiennent l’homme, ses lèvres lui caressent le visage et lui murmurent à l’oreille : « Tu es mon fils, mon tout-petit, mon bien-aimé. Mes mains t’ont façonné » ; « Je t’ai gravé sur mes paumes » (Is 49, 16) ; « Tu comptes beaucoup à mes yeux » (Is 43, 4). Son oreille est grande ouverte pour écouter le cri du monde. Son œil, à peine esquissé, laisse entrevoir compassion et douceur à l’image de Celui qui ferme les yeux pour ne pas voir le mal. Ce Personnage est-il le Père de l’enfant prodigue aspirant à ramener à la vie son fils qui était mort ? Est-il le Bon Samaritain qui recueille le blessé sur la route, le prend en charge et le porte jusqu’à l’auberge ? 12

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La Trinité, j’y crois

En lecture partielleâ&#x20AC;Ś

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Prier la Trinité

Trinité pascale (2007), Pierre Sentenac, encre de Chine, pastels et craies sur papier, ©Adagp, Paris 2018 - cliché : Philippe Sauvan-Magnet/Adagp images

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OUVRAGES DANS LA MÊME COLLECTION AUX ÉDITIONS VIE CHRÉTIENNE En vente en librairies religieuses et centres spirituels et sur le site : www.viechretienne.fr

VIE SPIRITUELLE ET DISCERNEMENT

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Mener sa vie selon l’Esprit Puis-je haïr Dieu ? Discerner ensemble Alpha et Oméga Mener sa vie selon l’Esprit. Tome 2 La spiritualité ignatienne Relire sa vie pour y lire Dieu Le Principe et la fin Vers le bonheur durable La onzième heure ou se décider pour le Christ Appelés ? La décision de vivre Discerner, que se passe t il en nous ? Le combat spirituel Libre pour se décider Naviguer avec saint Ignace Être accompagné Dieu au quotidien La grâce d’agir Repères pour la vie spirituelle Lâcher prise ? Ordonner son temps* Nos villes, d’un cœur brûlant*

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Conduits par l’Esprit* Comme soi-même, aimer son prochain* Je répandrai mon Esprit sur toute chair Une rencontre à vivre. Les sacrements* Chemin Ignatien

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Actes des Apôtres Le Christ et son mystère Il leur dit : « Ceci est mon Corps » Récit de l’origine* L’offrande de Dieu Les promesses de l’Éden Pour que vous croyiez. Tome 1 Pour que vous croyiez. Tome 2 Mots de Dieu pour les maux de la vie Poèmes d’Évangile Ils comptaient sur toi Le massacre de l'innocent L’énigme des talents Va-t’en, Satan ! L’énigme des invités aux noces L’inimaginable compassion

ÉCOUTER LA PAROLE

J. Gouvernaire, s.j. P. Wolff, s.j. J-Cl. Dhôtel, s.j. Y. Raguin, s.j. J. Gouvernaire, s.j. J-Cl. Dhôtel, s.j. Vie chrétienne E. Pousset, s.j., M. Rosaz A. Demoustier, s.j. Cal C. M. Martini I. Parmentier M. Cl. Berthelin M. Lorrain L. Scherer, s.j. J. Fédry, s.j. N. Becquart L. Scherer, s.j. J-Cl. Dhôtel, s.j. E. O’Neill, s.j. L. Scherer, s.j. R. Scholtus D. Delobre, s.j. Chr. Herwartz, s.j. et compagnons R.J. Hauser, s.j. D. Delobre, s.j. P. Eymery M.-F. Bergerault J.L. Irriberri, s.j. et C. Lowney E. Haulotte, s.j. Y. Raguin, s.j. E. Pousset, s.j. B. Régent, s.j. M. Pochon, s.j. M. Pochon, s.j. P-M. Hoog, s.j. P-M. Hoog, s.j. Agnès Thill J. Magnan, s.j. R. Pautrel, s.j. M. Farin, s.j. B. Régent, s.j. M. Farin, s.j. B. Régent, s.j. M. Farin, s.j.

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MISSION DANS LE MONDE ET L’ÉGLISE

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Promouvoir la justice P. Arrupe, s.j. Des hommes disponibles Vie chrétienne Laïcs et prêtres : perspectives d’avenir J-P. Deloupy, s.j. Quand incroyance et indifférence parlent à la foi J-M. Glé, s.j. La Justice et la Foi, la loi et l’Évangile J. Guillet, s.j. Un message de salut pour tous Y. Raguin, s.j. Foisonnement religieux Vie chrétienne La traversée de l’impossible X. Lacroix Dieu partagé. Le chemin de François Xavier B. Vermander, s.j. Christianisme et nature F. Euvé, s.j. Résister et oser l’espérance M. Rondet, s.j. et Y. de Gentil Baichis En quête d’identité Michel Farin, s.j. Oscar Romero, prophète d’une Église des pauvres M. Maier, s.j. Sauvegarder la Création* Collectif Les migrants, François et nous G. Médevielle, s.a.

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Retrouver la prière

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Invitation à la prière Jalons pour prier Les Psaumes. « Poèmes de Dieu, prières des hommes » Jour après jour. Psaumes Prier dans l’instant Va vers le pays que je te montrerai*

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ÉCOLE DE PRIÈRE

RÉCITS ET TÉMOIGNAGES

Qui es tu Ignace de Loyola ? Ignace de Loyola (BD) Ignace de Loyola par lui-même Naître sous X… et inventer sa vie Le corps mal entendu Quand l’œil écoute Au fil des jours blessés Les Couleurs de Dieu Lumière au cœur de la nuit Oser la charité J’ai vu changer la société Ma vie de médecin de campagne

J-Cl. Dhôtel, s.j., Fr. Partoës, s.j., et Ed. Pousset, s.j. Cl. Flipo, s.j. B. Oudot D. Rimaud, s.j. D. Rimaud, s.j. M. Cl. Berthelin Fr. Laurent et G. Quatrefages, s.j. A. Delisle J. Fédry, s.j. B. Régent, s.j. M. Rondet, s.j. et Pierre Faure, s.j. J-C. Dhôtel, s.j. E. Vandermeersch Illustré par Ch. Hénin M-F. Bergerault M-H. Boucand E. de Rosny, s.j. P-M. Hoog, s.j. Arcabas et M. Rondet, s.j. A. Delp, s.j. B. Pommereuil Y. de Gentil-Baichis D. Heneman

N.B. — Les titres marqués d’un astérisque contiennent « Matière à exercices ». 59

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LA SPIRITUALITÉ d’IGNACE DE LOYOLA POUR TOUS Des livres pour prendre du recul et se former

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En vente dans les centres spirituels et les librairies religieuses de France et de Belgique. Vente également sur internet sur www.viechretienne.fr Vente par correspondance : livraison à réception de chèque adressé à SER-Vie chrétienne – 14, rue d’Assas – 75006 Paris

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Pierre-Marie Hoog, s.j.

Pour que vous croyiez Les récits dans l’évangile selon saint Jean. Tome 1 Entre 1995 et 1997, Pierre-Marie Hoog fait une série de causeries aux paroissiens de Saint-Ignace, à Paris, sur les récits de saint Jean… Il sait faire « chanter les textes », il les travaille et se laisse travailler par eux… Il désire que chaque lecteur fasse un pas de plus dans la foi et la rencontre de Jésus, le Christ, le Fils de Dieu. Son choix de lire les récits de saint Jean repose sur son admiration pour l’art de raconter de l’évangéliste : le récit s’impose de lui-même, la façon dont l’histoire est conduite avec les mots utilisés, les obscurités ou les incohérences de la narration, les rapprochements entre les récits par les harmoniques qu’ils laissent résonner… tout permet d’aller chercher un sens et d’entendre comment l’évangéliste appelle la réponse du lecteur. En habitant les récits de Jean, en ruminant méthodiquement l’évangile, il fait découvrir que Jésus est celui qui engage sa vie jusqu’au bout pour moi, c’est son bonheur et la joie de son Père. Le lecteur est invité à se demander jusqu’où va l’engagement de sa vie pour le Dieu de Jésus Christ. C’est une offre, celle que Jésus fait au malade de la piscine de Béthesda : « Est-ce que tu veux guérir ? » (Jean 5, 6). Extrait de la préface de Claude Charvet, s.j. Pierre-Marie Hoog, entré dans la Compagnie de Jésus à 17 ans, a été aumônier d’étudiants pendant une quinzaine d’années avant de devenir en 1977 assistant national de CVX (Communauté de Vie chrétienne). Il accompagne avec bonheur ces chrétiens de spiritualité ignatienne dans leur cheminement à la suite du Christ. Libéré en 1984 d’une tumeur sur la moelle épinière, il a mené un combat exemplaire pour réapprendre à vivre, à marcher, à rencontrer sans fin les autres, dans le cadre de l’église Saint-Ignace, à Paris, de 1985 à 1999, puis discrètement jusqu’à sa mort inattendue le 5 mars 2007. Outre ses dons pédagogiques, il avait des talents de musicien et de compositeur, de peintre et de dessinateur. Sans jamais se lasser, il a accompagné spirituellement un grand nombre de personnes et a scruté la Parole, animant plusieurs groupes bibliques.

15,00 € Code article 566 208 pages

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Pierre-Marie Hoog, s.j.

Pour que vous croyiez Les récits dans l’évangile selon saint Jean. Tome 2 Entre 1995 et 1997, Pierre-Marie Hoog fait une série de causeries aux paroissiens de Saint-Ignace, à Paris, sur les récits de saint Jean… Il sait faire « chanter les textes », il les travaille et se laisse travailler par eux… Il désire que chaque lecteur fasse un pas de plus dans la foi et la rencontre de Jésus, le Christ, le Fils de Dieu. Son choix de lire les récits de saint Jean repose sur son admiration pour l’art de raconter de l’évangéliste : le récit s’impose de lui-même, la façon dont l’histoire est conduite avec les mots utilisés, les obscurités ou les incohérences de la narration, les rapprochements entre les récits par les harmoniques qu’ils laissent résonner… tout permet d’aller chercher un sens et d’entendre comment l’évangéliste appelle la réponse du lecteur. En habitant les récits de Jean, en ruminant méthodiquement l’évangile, il fait découvrir que Jésus est celui qui engage sa vie jusqu’au bout pour moi, c’est son bonheur et la joie de son Père. Le lecteur est invité à se demander jusqu’où va l’engagement de sa vie pour le Dieu de Jésus Christ. C’est une offre, celle que Jésus fait au malade de la piscine de Béthesda : « Est-ce que tu veux guérir ? » (Jean 5, 6). Extrait de la préface de Claude Charvet, s.j. Pierre-Marie Hoog, entré dans la Compagnie de Jésus à 17 ans, a été aumônier d’étudiants pendant une quinzaine d’années avant de devenir en 1977 assistant national de CVX (Communauté de Vie chrétienne). Il accompagne avec bonheur ces chrétiens de spiritualité ignatienne dans leur cheminement à la suite du Christ. Libéré en 1984 d’une tumeur sur la moelle épinière, il a mené un combat exemplaire pour réapprendre à vivre, à marcher, à rencontrer sans fin les autres, dans le cadre de l’église SaintIgnace, à Paris, de 1985 à 1999, puis discrètement jusqu’à sa mort inattendue le 5 mars 2007. Outre ses dons pédagogiques, il avait des talents de musicien et de compositeur, de peintre et de dessinateur. Sans jamais se lasser, il a accompagné spirituellement un grand nombre de personnes et a scruté la Parole, animant plusieurs groupes bibliques.

15,00 € Code article 569 256 pages

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La Trinité, j’y crois!

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9 782900 282083

En couverture : La Trinité miséricordieuse, soeur Caritas Müller. DR

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