Desván 146 miedo

Page 1


¡Qué miedo!

Noviembre 2013

contenidos Portada Créditos y contenidos (2) Editorial (3) Infantil 2 (4) Infantil 3 (6)

CRÉD

Primero (8)

ITOS

Cuarto (14)

Segundo (10) Tercero (12) Quinto (16) Sexto(18) Deutsche seite (20)

Mariano Herrera. Vicente Gonzalo. Julia Insausti. 2º de Infantil. 3º de infantil. Cursos Primaria. Seminario de Inglés. Aula de Francés. Aula de Alemán. Taller de Plástica. Biblioteca. Departamento de orientación. Ana Belén de Juan. Juan Andrés García. Rosa Crego. C. Rubén Durán. Marta Marugán. Susana García. Marta Porpetta. Carmen García Iglesias. Y más gente que se lo ha pasado de miedo colaborando en este número.

Ducoin de l´oeil (21) Scary stories…(22) Happy Halloween (23) Plástica (24) Poesía (26) Miedo e inteligencia emocional (27) Terror en el cine (28) Otoño (30) Literatura infantil y juvenil (31) Contraportada


Este número de la revista el desván está dedicado a todos nuestros miedos, tanto los que, aunque nos asusten, nos divierten como los que nos atemorizan y condicionan nuestro día a día. descubriremos los miedos provocados por hechos reales y los que nos imaginamos. Comprobaremos que los dos provocan sensaciones iguales y tememos de formas parecidas.

Hablar de nuestros miedos y compartirlos con los demás es beneficioso, pues desenmascararlos puede ser el primer paso para controlarlos.

No olvidemos que el miedo es una reacción primaria que tenemos todos los animales para defendernos de los peligros de nuestro entorno.



ยกQUE MIEDO!


Grupo B

ยกQUE MIEDO!


MARCO F: “El ladrón murciélago con el policía murciélago” SILVIA, MARTINA , ICIAR, MATÍAS Y JIMENA: “Halloween” LEÓN: “Un hombre lobo, un hombre pinchador y un murciélago” MARCO S.: “Murciélagos y fantasmas” CARLOS: “El Conde Drácula y el hombre lobo” PABLO S.: “Una casa de una bruja” LARA: “Lara disfrazada de bruja”


Le tengo miedo a...

Grupo A


Grupo B


Grupo A


Trucos para no tener miedo

Grupo B


Grupo A

Tengo miedo a...


Grupo B


Grupo A

Lo que me da mucho miedo


Grupo B






DIE ANGST

J

eden Tag habe ich Angst, dich zu verlieren, weil du meine Liebe bist.

Zusammen mit dir sein ist wie ein Krieg gegen die ganze Welt! Deshalb habe ich Angst, etwas falsch zu machen und eines Tages ohne dich aufzuwachen.

N

A

E

D

E

I

U

N

N

Das Leben ist wirklich besser mit dir, aber manchmal habe ich Angst, dich nie wiederzusehen.

A N G S T C

K

S

A

O

H

E

T

M D

T

L

L

K

H

I

E

Unser Feind ist die Zeit, die verlorene Zeit. Wie könnten wir gegen sie kämpfen und die unendliche Fröhlichkeit bekommen?

2º BACHILLERATO


Compte la peur C'était le soir d'Halloween. Plutôt que de courir les rues pour obtenir des bonbons, papa avait eu une super idée : aller faire un pique-nique en forêt avec maman, ma soeur Eloïse et mon copain Thierry. Ainsi, le soir nous avions chargé tout l'équipement dans la voiture et nous voilà partis vers le bois de Mortelune. Pendant que maman et Eloïse préparaient le dîner, papa nous dit : -Les garçons allez donc chercher du bois mort pour faire un bon feu, comme ça nous pourrons faire griller des guimauves. Alors Thierry et moi nous sommes allés chercher du bois. Plus nous avancions dans la forêt, plus la végétation, nous semblait bizarre. Les arbres avaient une couleur grise et les feuilles, avec la lumière de la pleine lune, avaient de drôles reflets argentés. A force d'avancer en regardant par terre pour trouver du bois, Thierry et moi nous nous sommes perdus. Nous nous sommes mis à crier en espérant que maman et papa nous entendraient. Mais malheureusement, nous avions beau appeler personne ne répondait. - Je crois que c'est par là, dit Thierry. En effet, il y avait un petit chemin qui serpentait au milieu des ronces. Nous nous mîmes à marcher rapidement car nous avions peur. Au bout d'une demie-heure nous étions définitivement perdus. Quand tout à coup un hurlement retentit juste à notre droite. - Qu'est-ce que c'est, dit Thierry en tremblant. - Je crois que ça doit être un hibou, répondis-je sans trop y croire. Et le cri lugubre recommença. Puis des craquements de branchages retentirent tout autour de nous. Terrifiés par ces bruits étranges, nous n'osions plus appeler nos parents. C'est alors, que sur le chemin, s'avança une drôle de silhouette. C'était un horrible monstre ! Il avait deux énormes bras qui descendaient jusqu'à ses mollets, des yeux jaunes et cruels. Ses dents étaient pointues et son nez rejoignait ses lèvres. En plus, il était entièrement violet et n'arrêtait pas de sauter sur place. Tremblants de peur nous n'osions plus bouger. - Bonsoir les enfants, nous dit-il, vous êtes là pour le jeu ? - Le jeu ? - Oui, le jeu d'Halloween. - Sans trop savoir, nous répondîmes oui. - Ah tant mieux, dit le monstre, je croyais que personne ne viendrait. Car c'est vraiment difficile. - Ah bon ? dit Thierry qui était blanc comme un linge. - Oui parce que celui qui perd doit être mangé, dit le monstre. Je compte jusqu'à dix et à dix je vous recherche et si je vous trouve tant mieux, parce que cela fait trois mois que je n'ai rien mangé... UN.... DEUX... TROIS... QUATRE... CINQ... SIX, SEPT, HUIT ! NEUF !! DIX !!! Avant que nous ayons eu le temps de réagir, le monstre se jeta sur Thierry. La gueule du monstre se mit à grandir, grandir, grandir encore, et il avala Thierry d'un seul coup. C'était horrible... Je me mis à courir comme un fou. Mais déjà le monstre était là, juste derrière moi. J'entendais son souffle rauque et sentais son odeur pestilentielle. A l'école, je suis le champion de la course, mais là j'avais beau courir le plus vite possible, le monstre, petit à petit, me rattrapait. Soudain je sentis ses griffes sur mon épaule et je tombais dans les feuilles mortes. Il m'attrapa le bras et se mit à me secouer... - Réveille-toi il est l'heure de se préparer pour l'école. Ouf ! c'était un horrible cauchemar et c'était papa qui me tenait le bras pour me réveiller. - Aujourd'hui c'est le 31 octobre, dis papa, j'ai eu une super idée. J'ai appelé les parents de Thierry, ils sont d'accord. Ce soir nous allons pique-niquer dans le bois de Mortelune. - NON !!!!!!


SCARY STORIES… FOR HALLOWEEN There was an old lady who swallowed a bat! by Lucille Colandro. Illustrated by Jared Lee. This is also a parody of the poem called `There was an old lady who swallowed a fly´. In this version the old lady eats different Halloween creatures: a bat, a ghost, a cat, an owl…But why does she swallow them? You will have to read the book to find out.

It includes an audio CD with the story read by Skip Hinnant. The Nightmare before Christmas by Tim Burton. Everybody in Halloweentown loves Halloween, but not the town´s greatest skeleton Jack Skellington. He is bored of repeating the same scary songs and dances. One day, he discovers Christmastown and he decides to celebrate Christmas in Halloweentown. Will it be possible? The Penguin Active Reading book includes a CD-Rom with activities and an audio recording of the story. You can also complete the experience by watching Tim Burton´s movie The nightmare before Christmas.

http://www.youtube.com/watch?v=8qrB9I3DM80 The Complete Tales and Poems of Edgar Allan Poe. Finally, for adults and High School students, I highly recommend any story written by Edgar Allan Poe, especially The Black Cat, The Fall of the House of Usher, The Raven or The Cask of Amontillado. Edgar Allan Poe, as you all may know, was an American writer of the XIX century considered the master of the scary short tales.

Good night Goon. A Petrifying Story by Michael Rex “Goodnight tomb. Goodnight Goon. Goodnight Martians taking over the Moon… Good night monsters everywhere”. This book is a Halloween parody of the classic bedtime story `Goodnight Moon´ with a few scary pictures and hilarious texts that children will love to read again and again. If you want to take a look before buying it, here is a video you may enjoy:

http://www.youtube.com/watch?v=_DSEDqm4CZA Winnie the Witch by Korky Paul and Valerie Thomas. In this story there is a witch named Winnie and a cat called Wilbur. Winnie has a problem because her whole house is black just like her cat so she is not able to find him anywhere and she keeps tripping over him. One day Winnie decides to solve the problem using a spell but… will it work properly? Winnie the Witch is the first book of a collection with special editions for learners of English and with a wonderful web page http://www.winnie-the-witch.com/flash.php

Marta Marugán



“EL GRITO” de Munch Presentamos al pintor noruego Munch. Centrándonos principalmente en cómo fue su vida de triste por diversos acontecimientos dramáticos desde que era pequeño. Nació en Løten el 12 de diciembre de 1863, y murió en Ekely el 23 de enero de 1944. Fue un pintor y grabador noruego de la corriente expresionista. Sus evocativas obras sobre la angustia influyeron profundamente en el expresionismo alemán de comienzos del siglo XX. Sufrió muy joven la pérdida de sus seres queridos: su madre falleció cuando el tenia tan solo 5 años y una de sus hermanas. El espectro de la muerte, que llenó su niñez, lo acompañaría durante toda su vida, convirtiéndose en uno de los temas recurrentes en sus obras. Otra de sus hermanas sufrió una enfermedad mental que le obligo a permanecer en un manicomio. Todos esto le provocó un carácter difícil y frágil. Después de contar la historia de Munch para que pudieran entender el cuadro, se les muestra el cuadro de “El grito” y vamos debatiendo qué observamos y qué vemos en el. Los colores utilizados, su técnica y qué expresa la cara que hay en el cuadro. Contamos lo que relató Munch para inspirarse en este cuadro: “Paseaba por un sendero con dos amigos, el sol se puso, de repente el cielo se tiñó de rojo sangre, me detuve y me apoyé en una valla muerto de cansancio, sangre y lenguas de fuego acechaban sobre el azul oscuro del fiordo y de la ciudad, mis amigos continuaron y yo me quedé quieto, temblando de ansiedad, sentí un grito infinito que atravesaba la naturaleza”. Por aquel camino se encontraba cerca su hermana ingresada y un amigo suyo hace poco también había fallecido por aquella zona. Esta situación unido a su carácter triste le hizo pintar este cuadro. Todo lo que le rodeaba era una expresión de los miedos propios de Munch y parecía un grito sin voz. Los comentarios de los alumnos fueron diversos siendo muy constructivo para ellos hablar de sus propios miedos. Finalmente se les propone que imaginen que ellos eran esa persona que grita y alrededor están los miedos de cada uno. Para después pintarlo, imitando la técnica y colores de Munch, intentando reflejar esos miedos. Como este cuadro ha sido versionado mas de 100 veces, los alumnos de 2º de primaria han realizado una nueva versión, deseando que Munch se sintiera orgulloso de cada una de sus versiones.

Ana Belén de Juan


Actividad realizada en la asignatura de plรกstica para la revista El Desvรกn. 2ยบ primaria


TODO ASUSTA

GLORIA FUERTES

A

susta que la flor se pase pronto. Asusta querer mucho y que te quieran. Asusta ver a un niño cara de hombre, asusta que la noche… que se tiemble por nada, que se ría por nada asusta mucho. Asusta que la paz por los jardines asome sus orejas de colores, asusta porque es mayo y es buen tiempo, asusta por si pasas sobre todo, asusta lo completo, lo posible, la demasiada luz, la cobardía, la gente que se casa, la tormenta. los aires que se forman y la lluvia. Los ruidos que en la noche nadie hace –la silla vacía siempre cruje–, asusta la maldad y la alegría, el dolor, la serpiente, el mar, el libro, asusta ser feliz, asusta el fuego, sobrecoge la paz, se teme algo, asusta todo trigo, todo pobre, lo mejor no sentarse en una silla.

Selección de Marta Porpetta


MIEDO E INTELIGENCIA EMOCIONAL

E

s curioso observar cómo el tema de nuestra revista; el MIEDO, no anda muy lejano de algo que nuestro Colegio está impulsando entre alumnos, profesores y familias; la INTELIGENCIA EMOCIONAL.

El programa en el que nos encontramos inmersos y que hemos comenzado a dinamizar con ilusión y ánimo, gracias al patrocinio de la Fundación Botín, viene a tratar de impulsar entre todos los miembros de la Comunidad Educativa personalidades sanas que crezcan desarrollando íntegramente todas sus dimensiones. Pues bien, una de las más modernas líneas de investigación en el campo de la Inteligencia Emocional, hablo concretamente de la Neurociencia afectiva, sitúa el Miedo como una de las emociones primarias básicas, que en palabras del Dr. J. Panksepp no sólo embarga a todos los seres humanos sino a todos los mamíferos. Y es que según la tesis de este autor, que remotamente encontramos ya en los trabajos de Darwin, todos los mamíferos desarrollamos ciertos circuitos neuronales sobre los que se soportan las 7 Emociones Básicas que están a la base de la génesis de lo que posteriormente llamaremos Personalidad. Así MIEDO, EMOCIÓN y PERSONALIDAD están íntimamente relacionados. Aquellos más sensibles o menos resistentes al miedo tienen una mayor probabilidad de manifestarse como introvertidos o personalidades inhibidas.

En recientes trabajos el Dr. R. Davidson, ha encontrado una importante correlación entre el comportamiento miedoso-ansioso con la activación de un núcleo cerebral llamado Amígdala. Pero lo que a simple vista parece algo muy determinista, no lo es tanto, dado que el mismo autor recoge numerosas evidencias de cómo por medio del entrenamiento y de pautas educativas adecuadas, podemos llegar a modificar los patrones de actividad cerebral (el funcionamiento de la Amígdala, por ejemplo). Y hasta la estructura misma de nuestro cerebro, que no lo olvidemos, es la base sobre la que se articula toda nuestra experiencia emocional y nuestra personalidad. Es aquí donde cobra pues sentido el educar con INTELIGENCIA EMOCIONAL, ayudando a saber entender, identificar y regular emociones como el MIEDO.

La llegada por estas fechas de Halloween, que en el fondo es una manifestación cultural del miedo, puede ser una buena oportunidad para trabajar esta emoción y apre -hender con nuestros hij@s. ¿Por qué no aprovechar esta oportunidad para tratar

este tema en familia y comentar cómo identificamos cuando tenemos miedo y cómo logramos controlarlo?... todos, desde el niño hasta al adulto pasando por el adolescente, experimentamos en algún momento esta emoción. De cómo la identifiquemos, regulemos y manejemos dependerá una de las “patas” que sostienen en cada uno de nosotros eso que llamamos Inteligencia Emocional.

Equipo de Orientación

C. Rubén Durán Arias


S

iempre me ha intrigado la necesidad del hombre de inventar y disfrutar historias que le atemoricen. Historias que hablan sobre invasiones de seres de otros planetas, ataques de animales monstruosos y muertos vivientes, la existencia de casa encantadas, muñecos diabólicos, fantasmas y brujas. Estas historias han inspirado películas que en la cómplice oscuridad de la sala de cine han disparado las palpitaciones y erizado el vello de los espectadores. Las andanzas de Frankestein y Drácula, seres creados por la imaginación de Mary Shelley y Bram Stoker respectivamente, cuentan con el mayor número de versiones, desde los inicios del cine.

En la Alemania de los años 20, directores de cine agrupados en la denominada escuela expresionista (Robert Wiene, Paul Wegener, Carl Boese y F.W. Murnau) aportaron algunas de las características del género de Terror.

Contaban con escasos medios, ya que en aquellos días la tecnología solo permitía rodar películas mudas y en blanco y negro. Compensaban esta falta de medios con grandes dosis de creatividad y dominio de un lenguaje que empezaba a desarrollarse. Uno de los ingredientes de este cine artesanal era la gran expresividad de sus actores, acompañada por exagerados maquillajes, disfraces y postizos que incrementaban su aspecto terrorífico. Un buen ejemplo es el trabajo de Max Schreck, en el papel de Nosferatu, el vampiro protagonista del film del mismo nombre de 1922.


Otro componente destacado era el empleo de la iluminación, donde el fuerte contraste entre las luces y las sombras creaba unas imágenes muy tétricas. Podemos ver estas imágenes en la película de 1920, El Golem. Ésta es la primera en el género de monstruos, cuya historia pudo inspirar a Mary Shelley el personaje de Frankenstein. En el Golem, una estatua de barro cobra vida por el hechizo de un mago y escapado de su control siembra el pánico en la ciudad medieval de Praga.

Ésta y otras películas de la época se rodaban en el interior de estudios y requerían del trabajo de los escenógrafos y de los constructores de decorados. Empleando madera, telas y pintura creaban espacios ricos en formas alargadas y angulosas que incrementaban la sensación de pesadilla. Una de las mejores muestras es la película de 1920, El Gabinete del Doctor Caligari . En ella se pueden admirar los escenarios, en los que se pintan los objetos y las sombras sobre el suelo y los distintos planos situados a distintas distancias. La influencia que estas películas han tenido sobre directores actuales se percibe claramente en las obras de Tim Burton: Eduardo Manostijeras, Pesadilla antes de Navidad o

la Novia Cadáver.

Susana García


OTOÑO

A

unque afortunadamente durante los veranos no deja de haber exposiciones en este mes empiezan los platos fuertes, ¡y qué platos!

Empezamos por Velázquez en su “hogar”: el Museo del Prado. Es cierto que todos los que vivimos en Madrid podemos ir a visitar al genio cuando queramos pero en esta ocasión se han seleccionado treinta obras de los últimos años del pintor y algunas obras de sus sucesores Martínez del Mazo y Juan Carreño. El precioso retrato de Felipe IV anciano es un prodigio de humanidad. En un reportaje en el que Antonio López visitaba la exposición y la comentaba, hacía referencia al pelo sedoso y gris del rey que parece que se puede tocar. Hay además un aliciente añadido en unas Meninas de Martínez del Mazo que han suscitado cierta controversia sobre su autoría. Pero el Museo nos ofrece más posibilidades: otras exposiciones, conferencias, talleres e incluso un curso de Bibliotecas de Museos que se celebrará en la primera semana de Noviembre. En cualquier caso si entráis en la página www.museodelprado.es tenéis toda la información detallada y al día.

P

ara los que somos entusiastas de Japón y lo japonés, además de un nuevo libro de Murakami, podemos celebrar el año dedicado a la amistad hispano-japonesa con una interesante exposición y las correspondientes actividades paralelas. Se titula “Japonismo”,la fascinación por el arte japonés. Podemos disfrutarla en Caixa Forum hasta el 16 de febrero. Teniendo en cuenta que las exposiciones que nos ofrece La Caixa son de una gran calidad, seguramente ésta también nos sorprenderá. El japonismo hace referencia a la impronta que deja en la obra de impresionistas, posimpresionistas e incluso en las vanguardias el arte japonés. En España nace hacia 1870 y llega a su esplendor a finales del XIX. A partir del 24 de octubre y durante cinco jueves consecutivos se pronunciarán conferencias sobre temas japoneses: el pensamiento, la literatura, el arte, el manga… a cargo de importantes especialistas. El precio de cada conferencia es de 4 €, lo mismo que la entrada a la exposición. También están programados conciertos para los días 22 y 29 de octubre. En cualquier caso, para mayor información se puede buscar en www.caixaforum.com/agenda.

P

ero los que están de enhorabuena son los amantes del surrealismo porque tienen la ocasión de admirar sus obras en dos importantes exposiciones: una en el Museo Thyssen y la otra en la Fundación Juan March. En cierta forma ambas completan el éxito de la exposición sobre Dalí. De hecho en ésta hay obras de ese pintor, y de los máximos exponentes del movimiento. En paralelo aún hay tiempo para inscribirse en un curso monográfico sobre surrealismo que cuesta 120 € para el público en general. Pero hay más actividades: para jóvenes entre 13 y 15 años unos talleres que se desarrollarán entre el 25 de Enero y el 15 de Marzo y en los cuales se probarán técnicas y materiales para crear finalmente una obra global. Por otra parte el director del Museo impartirá un curso de conferencias sobre obras maestras de la pintura alemana en el Museo. Gratis. Las entradas se adquieren una hora y media antes de cada conferencia en el propio Museo. La exposición de la Fundación Juan March quizá debiera verse antes de la del Museo porque se titula “Surrealistas antes del surrealismo” y reúne unos 200 dibujos, estampas y fotografías desde Durero a Goya, o Callot, Klee, Piranesi y por supuesto, Dalí. Las actividades paralelas son tan ricas que merece la pena consultar la web www.march.es y las conferencias que nos hemos perdido se pueden recuperar en http://.march.es/ conferencias/anteriores/ Y en el Museo de la marina, no nos podemos perder la Exposición sobre el imponente marino Blas de Lezo, y caricaturas en el Museo Lázaro Galdiano y tantas posibilidades que si nos quedamos en casa será por pereza…

Carmen García Iglesias


LITERATURA INFANTIL Y JUVENIL

Selecci贸n de libros llenos de personajes y situaciones que nos asustaran, y a la vez nos ense帽aran a divertirnos y superar nuestros propios miedos.



Turn static files into dynamic content formats.

Create a flipbook
Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.