Octubre 2014 Mundo Digital
contenidos
Portada Créditos y contenidos (2) Editorial (3) Infantil 2 (4) Infantil 3 (6)
CRÉD
ITOS Mariano Herrera. Vicente Gonzalo. Julia Insausti. Cursos de Infantil. Cursos Primaria. ESO. Seminario de Inglés. Club de lectura. Aula de Francés. Aula de Alemán. Taller de plástica. Biblioteca. Carmen García Iglesias. Cristina Masiá. Marta Marugán… y más gente que ha compartido sus conocimientos técnologicos con la revista el Desván.
Primero (8) Segundo (10) Tercero (12) Cuarto (14) Quinto (16) Sexto(18) ) English for everyone (20) Ducoin de l´oeil (22) Deutsche Seite (23) Plástica (24) ¡Cuidado con la tecnología! (26) Club de lectura (27) Temporada de exposiciones (28) Digital stories for tablets (29) Cine y ordenadores (30) Contraportada
EDITORIAL En este primer número de la revista El Desván, hemos propuesto a nuestros colaboradores que nos cuenten sus experiencias con las nuevas tecnologías. El colegio ha comenzado este curso sustituyendo los libros de texto de toda la vida por los Ipad, en los cursos de 5º y 6º de primaria y en 1º de ESO. No cabe duda que es un reto para todos, profesores, familias y alumnos, pero que es un paso necesario y forzado por la rápida implantación de la tecnología digital en nuestra vida cotidiana. Por ello hemos querido hacer un pequeño sondeo sobre nuestra experiencia con ordenadores, tablet, teléfonos, pantallas digitales y otras tecnologías. No cabe duda que nuestros alumnos más pequeños nos llevan ventaja a todos, porque ellos tienen totalmente incorporado en su día a día el uso y disfrute de todos estos aparatos. A muchos puede asustarnos estos cambios que a veces son rapidísimos, no nos da tiempo a adaptarnos a uno, cuando ya está apareciendo otro que lo supera en prestaciones y velocidad. Todos tenemos en la mente la duda ( y por qué no, la pena) de si desaparecerán los libros impresos. No cabe duda que las cosas cambiarán y mucho, pero no podemos ni debemos resistirnos, pues el futuro es para todos y si queremos ayudar en el presente a nuestros hijos en sus estudios y en la conformación de su mundo personal y social y en el futuro mantenernos conectados a sus intereses debemos hacer el esfuerzo de adaptarnos y aprender para ser parte activa del cambio que se nos avecina. La única formula que nos guiará para hacerlo bien, es aplicar “el sentido común”, eso siempre ha funcionado en educación y en la vida diaria. No nos dejemos llevar tanto por el consumo de tecnología (que es lo que buscan los mercados) como en la utilidad que puede brindarnos para lograr nuestros objetivos, bien sean educativos, de ocio, culturales etc… ¡Bienvenida sea la tecnología!
Yo tengo...
Papรก y mamรก me dejan...
TecnologĂa del futuro
Vega
Grupo Grupo A A
Primaria 1ยบ
Grupo Grupo B B
Grupo A
Clarisa
La tecnologĂa que me gusta
Primaria 2º
Martín
Grupo B
Primaria 3ยบ
IPAD en clase 多SI o NO?
Grupo B
Primaria 4ยบB 4ยบ
Mundo Tecnolรณgico
Grupo A
Nos gusta la tecnologĂa
Primaria 5ยบ
Primaria 6ยบ
Les nouvelles technologies, une menace à la vie privée?
A
vec l’avènement d’Internet sont apparues diverses technologies révolutionnaires. Ces technologies, comprenant entre autres la biométrie, les « smart phones », les cartes à puce RFID et les réseaux sociaux, étaient qualifiées de futuristes il y a de cela une quinzaine d’années; on ne voyait cela que dans les films de science-fiction. Aujourd’hui, elles font généralement partie de notre quotidien. Qui dit quotidien, dit vie privée, et cette « incrustation » grandissante devient un problème de plus en plus préoccupant pour certains. Chers lecteurs de la section « Pouvoir des mots » du site Web du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport, faut-il craindre les effets des nouvelles technologies sur la vie privée? Je crois que non, et je tenterai de vous convaincre du bien-fondé de mon opinion dans les paragraphes suivants. Pourquoi non? Tout d’abord, parce qu’il n’y a aucune obligation à utiliser ces technologies, ensuite, parce qu’elles ne constituent pas un réel danger pour l’utilisateur moyen. Premièrement, personne ne vous oblige à faire usage des nouvelles technologies. Vous n’êtes aucunement obligés d’avoir un compte Facebook, un téléphone intelligent ou une carte à puce. Chacune de ces technologies « hitech » a son équivalent « low-tech ». Même si cela peut sembler archaïque dans notre société hautement technologique, le bon vieux téléphone fixe existe toujours, de même que les billets d’autobus ou de métro imprimés, et les réseaux sociaux « réels » car Facebook est un réseau virtuel. Vous voulez rencontrer des gens? Allez faire un tour dehors. Si, malgré tout, vous souhaitez tout de même posséder un téléphone portable ou un compte Facebook, vous pouvez la plupart du temps les paramétrer pour éviter de diffuser vos données. Ne pas insérer de carte SIM, désactiver le réseau mobile et/ou GPS, éviter de télécharger des applications ayant accès aux données ou encore ne pas connecter l’appareil à Internet sont toutes des solutions pour un appareil mobile. Pour Facebook, il suffit de ne pas mettre n’importe quoi sur son profil. Saviez-vous, chers lecteurs, que les seules informations obligatoires pour s’inscrire sur Facebook sont votre nom, votre adresse courriel et votre âge à des fins de sécurité? Les autres informations et les photos sont donc ajoutées par les utilisateurs de leur plein gré, et il est tout à fait possible d’éviter de diffuser quoi que ce soit. Bref, je ne crois pas qu’il faille craindre les effets des nouvelles technologies sur la vie privée, puisqu’on peut tout simplement s’en passer. Deuxièmement, il ne faut pas exagérer quant à l’usage des données recueillies par Facebook, Google et d’autres compagnies. Oui, elles peuvent les vendre à des publicitaires pour se faire de l’argent, oui, on ne sait pas trop ce qu’elles en font sinon, mais ce qui est vraiment préoccupant, ce sont les pirates informatiques opérant dans l’ombre. Mais, encore là, il est facile de s’en protéger. Il suffit de faire attention à ce que vous laissez comme information sur Internet et à ce que vous téléchargez. Vous allez probablement me dire qu’on laisse tout de même des traces sans le vouloir, et c’est vrai, mais ces traces, par exemple votre adresse IP, sont souvent insuffisantes pour savoir qui vous êtes. De toute façon, tant que vous n’allez pas sur des sites douteux, le risque que vos traces soient analysées est minime. Après tout, vous n’êtes qu’un visiteur parmi des milliers. Ceci m’amène à d’autres technologies pouvant paraître terrifiantes : la vidéosurveillance, la géolocalisation et la biométrie. En théorie, elles peuvent vous voir, vous localiser et vous identifier, où que vous soyez. En pratique, pas vraiment. Il n’y a pas des caméras partout, le système GPS suit des millions de personnes en même temps, et la biométrie n’est encore que très peu présente. Par exemple, la borne biométrique Nexus de l’aéroport Montréal-Trudeau permet d’identifier 400 000 utilisateurs canadiens et états-uniens note de bas de page. 400 000 personnes sur 300 millions, soit environ 0,1 % de la population des deux pays réunis. De plus, ces gens ont en grande majorité accepté volontairement d’utiliser le système biométrique. Donc, pourquoi s’en faire? Le risque minime pour l’utilisateur moyen est donc une autre raison pour laquelle je crois qu’il ne faut pas avoir peur de l’impact des nouvelles technologies sur la vie privée. En conclusion, je pense que les effets des nouvelles technologies sur la vie privée ne sont pas à craindre puisqu’il n’y a aucune obligation à les utiliser, et que les risques réels de ces technologies pour l’utilisateur ordinaire sont quasi inexistants. Après tout, chers lecteurs, qui voudrait d’une société contrôlée de partout, comme celle du roman de George Orwell, 1984?
VOR- UND NACHTEILE Vorteile Für uns hat die neue Technologie mehr Vor- als Nachteile. Zum Beispiel das Handy. Mit dem Handy können wir mit unseren Freunden und mit der Familie sprechen. Auch können wir mit dem Computer oder dem Laptop surfen. Das geht sehr schnell und man kann gleichzeitig mit vielen Personen in Kontakt sein. Das Surfen des Ipads funktioniert wie am Computer, aber es ist noch bequemer, weil man ihn irgendwo mitnehmen kann. Er ist mehr dünner und leichter als der Computer. Die Schüler finden ihn sehr interessant, weil sie damit ganz schnell Information finden können. Nachteile Ein Nachteil der Handys ist, dass man es immer am Ohr hat, und deshalb finden die Ärzte es gefährlich, weil man viele Krebswellen bekommt. Briefe schreibt man mit Gefühlen. Sie brauchen mehr Zeit als die E-Mails zu schreiben. Die E-Mails sind immer kürzer. Außerdem muss man mit dem Internet sehr vorsichtig sein, weil man viel Information finden kann, die nicht real ist. Wir müssen nicht viel private Information stellen.
1º BACHILLERATO A y B
¡Cuidado con las nuevas tecnologías!
E
n los últimos años se han dedicado varios estudios a los efectos que tienen en nuestro cerebro las nuevas tecnologías. A pesar de que nuestra vida es más fácil gracias a Internet y los dispositivos electrónicos, estos tienen también su lado perjudicial, ya que son responsables de al menos ocho nuevas enfermedades reconocidas. El síndrome de la llamada imaginaria. Hasta el 70% de los usuarios de dispositivos móviles han sufrido alguna vez la alucinación de que su celular había sonado o vibrado sin que en realidad lo hubiera hecho. La explicación es que nuestro cerebro ha empezado a asociar al teléfono móvil cualquier impulso que recibe, especialmente si estamos estresados. Nomofobia. Este término, derivado de las tres palabras 'no', 'móvil' y 'fobia', habla por sí mismo. Describe la angustia causada por no tener acceso al celular, y puede variar desde una ligera sensación de incomodidad hasta un ataque grave de ansiedad. Efectivamente, muchos son propensos a experimentar miedo al darse cuenta que su móvil no está donde debería estar. Cibermareo. Esta palabra fue acuñada en los años 90, cuando aparecieron los primeros dispositivos de realidad virtual. Hace referencia al mareo que sienten los usuarios de aparatos de realidad virtual, y que son parecidos a los que algunas personas sufren cuando viajan en un medio de transporte. Solo que permaneciendo inmóviles. Depresión del Facebook. Algunas personas se deprimen porque tienen muchos contactos en las redes sociales, otros por la falta de ellos. Lo más habitual es entrar en Facebook para alabar a los amigos, subir fotos o escribir sobre acontecimientos agradables. Pero los usuarios que pasan mucho tiempo en las páginas de redes sociales de otras personas suelen sentirse deprimidos por su vida cotidiana. Dependencia de Internet. Se trata de la necesidad enfermiza de estar todo el tiempo conectado a la Red. Puede llegar a afectar seriamente la vida privada y social de los adictos a Internet. Dependencia de videojuegos en línea. Esta dependencia está muy extendida. Recientemente, para rehabilitar a los que padecen esta enfermedad, se han creado varios programas consistentes en 12 fases, igual que la terapia de alcohólicos anónimos. Cibercondria. Otro trastorno muy común. Los que lo sufren se convencen de que padecen alguna o varias enfermedades de cuya existencia se han enterado en Internet. El problema es que uno puede empezar a encontrarse realmente mal a causa del efecto nocebo, lo contrario al efecto placebo. Efecto Google. Es cuando nuestro cerebro se niega a recordar información como consecuencia de la posibilidad de acceder a ella en cualquier momento. ¿Para qué aprender algo de memoria si los buscadores nos permitirán encontrar cualquier dato cuando lo necesitemos? El problema es que esta enfermedad pueden padecerla no solamente los que no tienen ganas de memorizar, sino que todos los usuarios de Internet son susceptibles de sufrirla. Pincha aquí para ver el Texto completo y su fuente.
¡Club de lectura para adultos! Un espacio para disfrutar, hablar y reflexionar sobre libros. Charlas mensuales, sin formalidades ni timidez. Lee el libro del mes y participa. ¡Así de simple! ¡Este es nuestro tercer año leyendo y compartiendo!
Próxima sesión: viernes 28 de Noviembre, Horario: de 17 a 18:30, Lugar: la Biblioteca del Colegio Arturo Soria Libro: Frankenstein De la escritora Mary Shelley Un libro que te sorprenderá y te tendrá enganchado hasta el último momento. Nada que ver con las versiones de las películas sobre este personaje llamado FRANKENSTEIN. Escrito por una mujer en el 1816 forma parte de la novela gótica y a su vez refleja claramente las características del Romanticismo. Desde el punto de vista del tema de este número en cierta forma Frankenstein es una alegoría de la perversión que puede traer el desarrollo científico; concebido y escrito durante las fases tempranas de la revolución industrial, una época de cambios dramáticos, detrás de los experimentos de Víctor Frankenstein está la búsqueda del poder divino: ¿qué mayor poder que el propio acto de creación de la vida? Así, el total desprecio que muestra Frankenstein por la naturaleza puede ser considerado como símbolo de las fuerzas imperiosas que desata el permisivo capitalismo naciente, que no respeta la dignidad básica del ser humano. De hecho, la rebelión de la criatura contra su creador es un claro mensaje del castigo que deriva del uso irresponsable de la tecnología.
ESTRENAMOS LIBROS, CUADERNOS, IPAD Y TEMPORADA DE EXPOSICIONES.
A
pesar del título, algunas de las exposiciones que voy a comentar no están recién estrenadas, pero precisamente por eso debemos intentar no perdérnoslas. Es muy interesante la titulada Mediterráneo. Del mito a la razón que se inauguró este verano en Caixa Forum y que estará hasta enero. En ella se van exponiendo los mitos como historias que nos permitan entender el mundo a través de los dioses y de su relación con los hombres. Para ello se expone una hermosísima colección de cerámicas que dibujan esos mitos. Son tan extraordinarias y tan bien conservadas que aunque sólo fuera por verlas ya merecería la pena ir, pero además la información y el resto de las piezas son también muy interesantes, ¡que mosaicos!, y pueden ser apreciadas por todos (la aconsejo para los alumnos de secundaria y bachillerato). Para completar se está impartiendo un ciclo de conferencias que se desarrollarán hasta diciembre y en ese mismo mes tendrá lugar un seminario sobre el mismo tema. Para informarse de todo esto pincha aquí.
Y ahora una propuesta sorprendente: la exposición titulada Metamorfosis que podemos visitar de forma gratuita en La casa Encendida hasta el 11 de enero. El pionero de las películas de animación con la técnica de stop motion fue un ruso llamado Ladislas Starevitch que en realidad era antropólogo, naturalista y entomólogo y que en cierta ocasión quiso filmar la pelea de dos insectos. Como no pudo hacerlo diseñó unas réplicas de insectos y fue fotografiando cada movimiento para conseguir la película. Hasta su muerte, olvidado por todos, se dedicó a este tipo de cine. Puedes ver su película, pinchando en el título “Le Rat des villes et le rat des champs “ que es preciosa, teniendo en cuenta que fue filmada en 1926. Otro gran cineasta de películas de animación fue Svankmajer, más moderno, bastante surrealista, pinchando puedes ver su película “Historia Naturae” que encantará sobre todo a profesores y alumnos de Ciencias Naturales y una versión de Alicia muy curiosa. Los más contemporáneos son los hermanos Quay que además de películas, construyen cajas, dioramas y que también resultan surrealistas y algo tenebrosos. La obra de estos autores es la que se recoge en esta Exposición donde podemos ver marionetas, dibujos, figuras, fotografías, objetos, referidos a sus películas. Es una oportunidad para ver algo totalmente diferente. Por último un artista que también resulta muy especial: Fortunato Depero (1892-1962). Este pintor italiano que fue muy importante en el movimiento futurista, resulta un auténtico precursor del arte y la concepción artística más actual: propuso el arte como trabajo multimedial y colectivo, la “autopublicidad” del artista y tiene obras que se pueden relacionar perfectamente con el más moderno diseño gráfico: “I Miei Balli Plastici” parece mentira que sea una obra de ¡1918! La Fundación también nos permite ver sus exposiciones de forma gratuita y asistir a conferencias y conciertos. Además ahora se pueden hacer reservas desde Internet.
Atentos a las demás Fundaciones que también están a punto de inaugurar excelentes exposiciones sobre los artistas y temas más variados como la del modisto Hubert Givenchy en el Museo Thyssen.
Carmen García Iglesias
DIGITAL STORIES FOR TABLETS Goldilocks and the three little bears by Estelle Corke Age guide: 3 years + A classic tale with delightful illustrations and a simple text. It is ideal for reading aloud and for sharing with preschoolers. The ebook format allows us to combine the past and the future, a well-known story retold in a new way. Go away big green monster by Ed Emberly Age guide: 3 years + Caldecott Award-winning author Ed Emberly has created an original way for kids to chase away their night fears. With the digital version the children just have to touch the screen to see the big green monster grow. Then, they will show him who is in charge by making him disappear. This video will give you an idea of the story:
Go Away Big Green Monster Animation Forever Young by Paul Rogers Age guide: 6 years + Forever young is one of the most famous songs written by Bob Dylan. The artist Paul Rogers has illustrated those lyrics with images from Dylan’s words and pieces of his life. I think it is a beautiful tribute to a song that many people consider an anthem. This is the animation of the book:
Animation Forever Young
Star Wars: Clone Wars Adventures Age guide: 8 years + Based on The Clone Wars cartoons, this comic shows Obi- Wan Kenobi, Anakin Skywalker, Mace Windu or Yoda using the Force to fight against the Separatist and the battledroids. Full of action, with stylish illustrations and interesting stories this book is written on a level that allows children to read on their own. Great for kids who are going through “Star Wars Phase”.
The secret Diary of Adrian Mole Age 13 ¾ by Sue Townsend Age guide: 12 years + At thirteen years old, Adrian Mole has lots of problems: spots, bad health, parents who want to get divorced, rejections of his poetry… and he writes about all of it with brilliant humor in his diary. It is said about this book that is a satire of our times, an exquisite social comedy, a cult book just like The Catcher In the Rye and that Mole, his main character, is one of the literature’s most endearing figures. You will have such fun reading it that sometimes you will have to wipe your eyes so you will be able to go on.
Marta Marugán
Hemos entrado de lleno en la era de los superordenadores, los ordenadores personales, internet, los blogs, los correos electrónicos, el chateo y las redes sociales. Máquinas que se desmandan, hackers dispuestos a entrar en los sistemas de seguridad de sitios sensibles, identidades robadas... Hay muchas películas que abordan la paranoia que provoca en la sociedad la posibilidad de que las nuevas tecnologías sean mal usadas. Pero también hay películas para hablar del nacimiento de Facebook, el conocimiento de tu media naranja a través de la red, la posibilidad de comprar armas o cualquier otra cosa en internet, los blogs sobre los temas más variados, las adicciones, o la posibilidad de contactar con mil y un psicópatas.
Y
ORDENADORES
PELÍCULAS
Nueva York. Joe y Kathleen conviven con sus respectivos novios. Pero no están satisfechos. En cuanto aquéllos salen de casa, enchufan sus ordenadores via Internet, y mantienen una peculiar relación, cada uno bajo un seudónimo personal. Se cuentan preocupaciones, gustos, aficiones... ¿Estarán hechos el uno para el otro? Quién sabe. Pero mientras este amor incipiente gana intensidad, los dos se encuentran por casualidad en el mundo real. Y con bastante mala fortuna. Pues Kathleen regenta "The Shop Around the Corner" (guiño a la película de Ernst Lubitsch), tienda especializada en libros infantiles; y Joe es propietario de una enorme cadena de librerías, extendidas a lo largo y ancho de los Estados Unidos, que planea abrir una nueva justo enfrente del local de Kathleen. Otoño de 2003. Mark Zuckerberg estudia en la Universidad de Harvard. Genio de la informática, de mente brillante, e irremediablemente asocial, tras romper con su novia e ingerir altas dosis de alcohol, tiene una idea para que los estudiantes opinen sobre la alumna más maciza de Harvard, lo que difundido viralmente colapsa el servidor de la universidad. He ahí la semilla de Facebook, la red social de internet que revolucionará en poco tiempo el modo de hacer amigos y relacionarse con ellos en el mundo entero. En efecto, la hazaña de Zuckerberg llama la atención de los hermanos Winklevoss, que andan ideando una red social para Harvard, y le fichan como programador. Pero mientras les da largas en lo relativo a su tarea, impulsa por su cuenta con su amigo Eduardo Saverin lo que va a ser Facebook. Al ver la luz, y arrasar en la red, los Winklevoss se sentirán engañados, y no van a ser los únicos en el entorno en que se mueve Zuckerberg. Brillante película de David Fincher, que logra hacer apasionante la complicada narración de cómo Facebook se convirtió en la extraordinaria empresa y fenómeno social que hoy es. Sam es un astronauta que lleva tres años en la Luna, como supervisor de unas cosechadoras que recolectan un gas que se usa como energía en la Tierra. Una avería en un satélite le impide comunicarse en directo, aunque a veces recibe mensajes en vídeo de sus superiores o de su esposa, en los que también puede ver a su hija de tres años. Pero su única compañía real es Gerty, un robot programado para ayudarle a sobrevivir. Durante una misión de rutina, Sam sufre un accidente con el vehículo lunar...
El superdotado Ben es a la vez el típico pardillo acostumbrado a ser el blanco de todas las gamberradas del instituto. Su día a día no resulta muy fácil que digamos. Además es hijo de padres divorciados y no es muy comunicativo. Así las cosas, sólo tiene un aliciente para ser feliz. Se trata de un juego informático de rol con el que interacciona en la red con personas de todo el mundo, y concretamente con una jovencita con la que juega en red. Allí las cosas son diferentes, su personaje, Ben X, es un poderoso guerrero al que todo el mundo teme y respeta. Tan metido está Ben en el juego, que la disociación entre el mundo real y el virtual comienza a ser un problema. Pero curiosamente, su confusión de las dos realidades podría salvarlo de su desagradable vida en el mundo real.
Up in the Air arranca carcajadas, y también emo-
ciona, al mismo tiempo que hace pensar sobre la necesidad de las relaciones humanas. Y también es una crítica –no exenta de cierta acidez– de las dificultades para relacionarse en el mundo moderno, donde las comunicaciones se han desarrollado más que nunca, y sin embargo existe cierta incomunicación. Donde se da la paradoja de que te pueden despedir a través de las cámaras o se puede mantener una relación o cortarla a través de los mensajes del teléfono móvil. Ryan Bingham (George Clooney) trabaja en una empresa especializada en recortes financieros y se dedica a despedir empleados. Bingham tiene respuesta para todas las reacciones posibles del individuo despedido, y es capaz de hacerle intuir un camino a seguir, de hacerle ver aspectos positivos. Como consecuencia de su trabajo, Bingham se ha pasado la vida tomando aviones para recorrer la totalidad del territorio estadounidense, lo que le ha impedido tener una vida, pues ni está casado, ni tiene hijos, y sus únicas familiares, sus dos hermanas, apenas le conocen. La vida de Ryan está a punto de cambiar por completo cuando una recién llegada a su empresa, la jovencísima Natalie, propone que a partir de ese momento despidan a la gente por videoconferencia, sin salir de la oficina. Como a los once años ya era un genio de la informática y causó estragos al entrar en los códigos secretos de las finanzas de Wall Street, a Dave Murphy se le prohibió utilizar de nuevo un ordenador hasta que no cumpliese la mayoría de edad. Al llegar ese día, Dave organiza un equipo de “hackers” para descubrir todos los entresijos del complejo mundo de internet. Pero en sus manejos con las redes se topan con una peligrosa organización que amenaza la paz mundial. Entretenida historia de adolescentes.
Tres pilotos del ejército estadounidense, excelentes compañeros, se dedican a probar los nuevos prototipos de caza ideados por los ingenieros del Pentágono. El último que se ha diseñado tiene una notable peculiaridad: lo conduce un sofisticado cerebro electrónico, con el que deberán formar equipo, les guste o no. “¿Qué pasará cuando los ordenadores sean más inteligentes, más rápidos, más creativos, con capacidad para regenerarse y reproducirse? Si tienen el control de nuestra energía, de nuestros sistemas de comunicaciones y de nuestros sistemas militares, ¿qué pasaría si deciden, en su evolución, hacer su voluntad?”