Entract 06

Magazine

N° 6

05-06/2013

Places de théâtre À GAGNER

David Michels

Virginie

Hocq

Le TRG bientôt 60 ans!

Dans les Etoiles...

Gaëtan Colin

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Som

© Cécile Huet

05-06/2013 - N°

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Edito...

© Jacqmotte, créateur d’arôme

©Isabelle De Beir

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Rencontre Virginie Hocq

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Indiscrétions...

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Un Homme, un Théâtre David Michels

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A propos de ...

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A l’affiche...

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Festivals...

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Jeune public

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Echos de Paris

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Dans les Etoiles...

Gaëtan Colin

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Agenda...

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Nous voici arrivés à la fin de la première saison d’Entr’Act. Nous vous remercions de l’avoir emporté, de l’avoir lu et de l’avoir apprécié, un peu, beaucoup,… Des maladresses, des failles et autres manquements inhérents à la vie de débutant n’ont sans doute pu être évités et le but est de faire toujours mieux afin de vous satisfaire. Nous aimons avoir votre avis, votre courrier ne nous laisse jamais indifférent et nous vous encourageons à continuer de partager vos impressions.

Une chose à retenir à l’issue de cette année qui nous a apporté beaucoup de plaisir, c’est qu’il est important d’être passionné, d’avoir des envies qui ouvrent les fondations d’un projet. Et il n’y a pas de petit projet. Quel qu’il soit, s’il vous tient à cœur, il a tout son sens. Quoi de plus beau que de le vivre intensément et de recevoir un jour le signe que cette passion fait écho et a un sens pour les autres.

Ce sixième numéro ne marque pas la fin des activités théâtrales et même si certains théâtres et

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Magazine

«Le temps n’est pas une chose qu’il faut faire passer ! Il faut le retenir, au contraire. Et pour cela, il n’y a qu’un moyen : c’est de considérer que tout est intéressant et Sacha Guitry de s’intéresser à tout !»

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N° 6

05-06/2013

Places de théâtre À GAGNER

David Michels Le TRG bientôt 60 ans!

Virginie

Hocq

Dans les Etoiles...

Gaëtan Colin

centres culturels s’interrompent durant l’été, de nombreux spectacles se poursuivent jusque fin juin et les différents festivals de l’été prennent le relais, nous vous en donnons un aperçu.

Nous avons rencontré une humoriste pleine d’enthousiasme et de curiosité, un directeur de théâtre heureux et un chef créatif, que du bonheur!.

Des spectacles, des places à gagner, la scène des plus jeunes et l’agenda ne manqueront pas de vous donner des idées de sorties. N’hésitez pas à pousser la porte des théâtres que vous ne connaissez pas encore et à vous orienter vers un style de spectacle qui vous est moins familier. Les bonnes surprises sont souvent au rendez-vous.

Bonne lecture, bons choix et bonnes soirées théâtrales.

Nous serons heureux de vous retrouver en septembre

20.000 exemplaires Editeur responsable: JFD Global Services Av. des Jardins 35 • 1030 Bruxelles 02 687 56 76 • www.entract.be Ont collaboré à ce numéro: Virginie Stassen, Belen Ucros, Dominique-Hélène Lemaire, Frédéric Halleux Service commercial: 0471 95 04 66 • pub@entract.be Secrétariat et Abonnements: 02 687 56 76 • abonnement@entract.be Infographiste: www.brigitteruelle.be Imprimerie: www.moderna.be

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du lundi au samedi de 9h à 19h.

Vendredi jusque 20h.

Rencontre...

est e i v a M « e de jalonné tres rencon ntes» na détermi

Virginie Hocq Elle est belge, elle partage sa vie entre Paris et Bruxelles, elle fait rire, elle incarne l’enthousiasme, la joie de vivre et dégage une énergie 100% positive. Elle est lucide et son succès ne lui monte pas à la tête…

Rire, non, faire du théâtre, oui et depuis l’âge de 8 ans. Le rire que ça provoquait chez les gens était réconfortant. J’ai fait du théâtre avec un professeur de l’Académie d’Ixelles qui venait à l’école et on montait une pièce pour la fin de l’année. Très vite, je me suis rendue compte que j’aimais ça, c’était chouette, ludique, on créait… Le côté ‘chouette’ ne m’a jamais lâchée, chaque fois que je suis sur scène, je me dis que c’est chouette.

Vous auriez pu faire autre chose ?

Mes parents se sont sans doute dit que je changerais d’avis mais ne me l’ont jamais fait ressentir. Une chose était certaine, c’est que je devais avoir de bonnes notes, ils étaient assez exigeants sur ce plan-là, il fallait 80 %, c’était le contrat. Je n’ai jamais changé d’idée. Quand je suis arrivée au conservatoire, je me suis dit que si je ratais l’examen d’entrée, il faudrait bien faire autre chose ; j’aurais de toute façon choisi un métier de contact, avec de l’empathie.

Chaque fois, j’ai envisagé que ça pouvait s’arrêter et chaque fois ça a continué.

L’humour c’est quoi pour Virginie Hocq ?

L’humour c’est l’autodérision, c’est ce que je pratique. Souvent pour faire rire les gens, je me moque de moi. Je ne fais pas d’humour politique, j’aime le rythme, le côté burlesque que les corps peuvent provoquer, j’aime le mot qui fait mouche.

Est-ce qu’il y a eu des rencontres déterminantes ?

Plein, ma vie est jalonnée de rencontres déterminantes. On me demande souvent des noms et j’ai envie d’être honnête et de n’oublier personne, de remonter au début.

Il y a eu mes parents qui ne m’ont pas

empêchée de faire du théâtre. Ensuite plein de gens qui à chaque fois m’ont portée davantage et permis d’avancer, de manière constructive, avec tous mes doutes. Et puis il y a eu la suggestion du seule-en-scène, je n’y avais jamais pensé mais comme je suis plutôt curieuse et fonceuse, je me suis dit ‘pourquoi pas’. C’est comme ça qu’est né «Dis oui !». A tous les moments de ma vie et de ma carrière, il y a toujours quelqu’un qui m’a donné la main.

C’est vous qui écrivez vos spectacles ?

Je les co-écris. Je suis seule sur scène mais je déteste la solitude dans l’écriture. Il y a Marie-Paule Kumps, Jérôme de Warzée, Marc Donnet-Monay… On se voit, on travaille ensemble à l’élaboration du projet, c’est un travail commun mais que je peux me permettre d’adapter. Je ne le fais pas pour du classique mais c’est un privilège de ce genre, de pouvoir changer des mots et de ‘mettre à mesure’ puisque je suis seule en scène.

«Pas d’inquiétude», c’est un succès phénoménal en France…

J’ai un peu de mal avec ‘phénoménal’.

Les choses se sont faites lentement. J’avais déjà joué «C’est tout moi» à Paris, dans une petite salle. Ca fait 5 ans, ça aurait pu s’arrêter parce qu’il y tellement de spectacles seul-en-scène à Paris, des oneman-show, et certains qui démarrent tout feu, tout flamme et puis dont on entend plus parler. Alors je préfère poser les choses, bien faire les fondations et me dire que je pourrai peut-être durer.

Est-ce que c’est un passage obligé pour une reconnaissance plus importante chez nous ?

Je ne sais pas si c’est un passage obligé.

Pour ma part, quand j’ai décidé de faire du

© Cécile Huet

Vous avez toujours su que vous aviez envie de faire rire ?

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Pétillante, incisive, caustique et plus drôle que jamais, Virginie Hocq nous entraîne dans son univers décalé. Dans une mise en scène énergique et surprenante, de Marie-Paule Kumps, elle incarne une multitude de personnages plus déjantés les uns que les autres. Un Père Noël surréaliste, Nina la bavarde, un clown d’hôpital méchamment drôle, une accro à la chirurgie esthétique possédée, une prof dépassée par les hormones de ses étudiants… mais aussi de la danse, des animaux et surtout, des Bonobos !

Au Forum de Liège : Du vendredi 24 au samedi 25 mai

Au Cirque Royal Bruxelles : Du jeudi 30 au vendredi 31 mai

www.virginiehocq.com

théâtre, j’avais très envie de jouer à Bruxelles.

Je n’aurais jamais osé dire que j’allais aller à Paris et avoir un agent. Et puis j’ai compris un truc, c’est qu’après avoir joué à Bruxelles, on va à Liège où personne ne vous connaît ; donc il faut chaque fois dépasser de petites frontières, c’est tout doucement qu’on peut le faire. Après, si on peut aller à Paris, c’est bien mais c’est une fois que tout est bien structuré chez nous, qu’on a un bagage. La Belgique c’est un beau pays de travail, il y a des choses extraordinaires qui se créent.

Ce qui est curieux c’est que le public belge est volontiers partant pour aller voir des spectacles à Paris et l’inverse pas, les parisiens ne prennent pas le Thalys pour venir voir un spectacle à Bruxelles. Ce qu’il y a, c’est que notre télévision ne nous permet pas de véhiculer notre image. On a des émissions super, qu’on aime bien, dont on est fier mais pour les français, ça reste une petite télévision. Et d’ailleurs, ils n’ont pas nos chaînes, donc ils ne sont pas informés de ce qui se passe ici.

Le spectacle se termine le 31 mai, à Bruxelles, c’est volontaire, symbolique ?

En fait, il a été créé au Centre culturel de Braine L’Alleud. Lors du spectacle précédent, j’avais offert des graines de tournesol aux gens, c’est mon côté scout… S’ils les plantaient, s’ils avaient des tournesols et s’ils m’envoyaient une photo, je les invitais à la première du spectacle ! Les gens l’ont fait !!

J’avais plein de photos de tournesols, ils sont venus, j’ai joué devant 180 personnes et puis à Paris dans une petite salle et en tournée en France, et là, je termine à Bruxelles dans une grande salle.

Des projets ?

© Alain Trellu

Je vais mettre en scène Marie-Paule Kumps qui jouera «Madame Marguerite» au Public. Moi qui voulais jouer ce texte il y a longtemps… Marie-Paule c’est une belle rencontre, une super collaboration, humaine, positive. C’est quelqu’un que je respectais

© Cécile Huet

« Pas d’inquiétude »

dans le travail et c’est devenu une amie. C’est une bosseuse, pleine d’énergie, j’ai beaucoup appris d’elle.

Et votre énergie, vous la trouvez où ?

J’ai la chance d’avoir une bonne nature et une vie assez saine. Quand j’étais jeune, les soirées ne me branchaient pas vraiment, j’ai fait beaucoup de jobs d’étudiant, ça me faisait déjà plaisir de travailler. C’est vrai qu’en tournée le rythme est effréné. Je fais du sport, beaucoup de cardio.

La télé, le cinéma ?

Nouvel exercice que j’aime énormément, complètement différent du théâtre.

J’apprends beaucoup, surtout la technique, j’adore ça. En tournage, j’ai un peu un cursus accéléré. Sur un plateau de cinéma, il y a une sorte de lâcher prise devant la caméra et j’ai toujours peur que les mots ne sortent pas, j’ai peur d’oublier. Au théâtre, c’est pas pareil, on a cinq semaines de répétitions et à la première, on est prêt. Au cinéma, il y a quelque chose d’instantané. Mais j’aime bien !! J’adore apprendre !!

En ce moment je tourne «La liste de mes envies»* avec Mathilde Seignier, Marc Lavoine,…

On me propose des rôles différents, on ne me cantonne pas dans un rôle ou un style, c’est magnifique !

Votre moteur dans la vie?

C’est la vie en général. Je savoure ce que je fais, le moindre instant. J’aime la vie, je suis positive.

* «La liste de mes envies» de Grégoire Delacourt 6

Indis n Happy Sundays! opera & family

n Même pas peur…

n Culture mode

Contes au cimetière d’Ixelles Spectacle-Théâtre

Le 30 avril, Louvain-la-Neuve a pris des allures de catwalk, l’occasion pour le créateur Bernard Depoorter de présenter une dernière fois sa collection Amazone.

A la lumière des braseros et lampes à pétrole, la parole des conteurs résonnera d’un écho tout particulier dans l’enceinte du Cimetière d’Ixelles. Les artistes s’inspirent de contes traditionnels, de légendes, de mythes, de récits de vie liés au culte des défunts. Chacun avec sa sensibilité adapte, revisite, mêle ces différentes sources.

Accessible à tous à partir de 8 ans.

Un projet de La Vénerie, Centre culturel de Watermael-Boitsfort en partenariat avec la Commune d’Ixelles.

Le 24 mai de 20h à 21h30.

Rendez-vous devant l’entrée principale du cimetière, 478 chaussée de Boondael.

PAF : 5 euros

02 515 64 63 www.elsene.irisnet.be

Cette collaboration avec UCL Culture se poursuit à travers une exposition rétrospective de l’univers du styliste wavrien, qui aime jouer avec les ambiances et les époques.

Une occasion unique de découvrir l’opéra en famille ! Un prologue sucré réunit parents et enfants avant que les plus grands assistent au spectacle et que les plus jeunes (6-12 ans) poursuivent leur plongée dans le monde de l’opéra grâce à un atelier créatif passionnant.

Le 2 juin 2013 - COSI FAN TUTTE 13h45 - accueil 14h00 - prologue sucré 14h30 - début des ateliers www.lamonnaie.be

Du 2 au 25 mai.

Forum des Halles, Place de l’Université 1, LLN, 010 47 40 30.

Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 17h et le samedi de 11h à 17h.

Accès gratuit.

Mais encore….

Les 1, 2, 3 juin prenez le thé au jardin.

Ouverture du nouveau showroom et exposition de l’artiste sculpteur Margaret Van Dam. Atelier : 39, rue du Béguinage 1300 Wavre www.bernarddepoorter.com

n Boîtes à… lire…

Vous avez lu un livre. Il traîne sur une étagère. Donnez-le... et prenez en un autre! Cet échange est anonyme et gratuit.

Partagez vos coups de coeur; il ne vous en coûtera rien. Les boîtes à lire n’attendent que vous, un peu partout, à Ixelles, place Flagey sur le bâtiment La Cambre/ Architecture et à l’entrée de la maison communale, à Uccle, en sept endroits de la commune (www.uccle.irisnet.be).

La lecture est plaisir. À découvrir et à partager...

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Indis n Que le meilleur gagne !

Deux des quatre meilleures équipes du championnat seront en lice pour remporter le sésame pour la finale.

Le match d’impro, c’est un thème tiré au sort, quelques secondes de réflexion, des comédiens qui, au gré de leur imaginaire, deviennent animaux, ménestrels, monstres à deux têtes, savants fous, belles-mères hystériques, cosmonautes… et enfin, un public invité à voter, à l’issue de l’histoire, pour l’équipe qu’il a préférée. À la fois acteurs, metteurs en scène, scénaristes, bruiteurs et auteurs, les jouteurs de la FBIA vous plongent dans des univers drôles, étranges ou complètement fous.

Le temps d’une soirée, vous partagez leurs aventures trépidantes avec des rencontres plutôt… insolites.

n En faveur d’Haïti

n «Le Magic Land Théâtre La Légende» En vente exclusivement au Magic Land Théâtre pour 10 €.

Cet ouvrage retrace les 10 dernières années de créations de la compagnie, inclus un cd de 32 titres issus des spectacles et composés par Hughes Maréchal.

MAGIC LAND THEATRE Animar asbl 8-14, rue d’Hoogvorst - 1030 Bruxelles

Philippe Lavil, avec qui le chanteur haïtien Beethova Obas a fait quelques tournées, sera à en concert le 31 mai à Wolubilis.

Philippe Lavil et Beethova Obas seront accompagnés d’une chorale de 60 enfants âgés de 6 à 12 ans.

Voguant entre douceur et rythmes ensoleillés, ils nous feront voyager entre Martinique et Haïti, passant du zouk antillais au Cubhabra , mélange subtil de saveurs cubaines, de rythmes haïtiens et d’accords brésiliens. Flânant dans les Caraïbes, les deux chanteurs accompagnés de voix d’enfants, reprendront des airs intemporels tels que «Il tape sur des bambous » et « Kolé séré » ou des morceaux à découvrir comme «Bravo Manman», «Si Papa» ou encore l’adaptation rendue brûlante et corsée de «Couleur Café» de Gainsbourg.

Projet d’aide à l’orphelinat «Nid d’espoir» de Port-au-Prince, initiative de l’école Parc Schuman. www.wolubilis.be

Au Centre culturel de Waterloo le 18 mai.

Infos et réservations : www.fbia.be

n Martinrou en fête !

Depuis plus de 20 ans, la Ferme de Martinrou reçoit dans ses ateliers et ses stages un large public. De 3 à 87 ans, les participants viennent chaque semaine de tous horizons pour s’exercer à la danse, à l’improvisation, au théâtre, au chant, à la musique, au dessin, à la peinture...

Les 24, 25 et 26 mai 2013, les ateliers de Martinrou ouvriront grand leurs portes. Chaque atelier aura l’occasion de présenter un spectacle (horaire détaillé sur le site internet.)

A cette occasion, la Cie du Murmure offrira 4 représentation de sa sixième création «Comment pourrais-je être un oiseau» de Mattei Visniec et que la journée du samedi sera consacrée au désormais traditionnel tournoi d’improvisation pour ados.

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La Ferme de Martinrou 071/81 63 32 www.martinrou.be

Indis n KunstenFestivalDesArts 2013 Le Kunstenfestivaldesarts se déroule comme chaque année au mois de mai. Cette 18ème édition aura lieu du 3 au 25 mai et comme à l’habitude, dans différents lieux de Bruxelles.

Ce sont pas moins d’une dizaine de théâtres et de centres d’art bruxellois qui ouvrent leurs portes au public.

Au programme, un choix d’oeuvres artistiques et de créations scéniques d’artistes belges et internationaux. Urbain et cosmopolite, ce festival, conçu depuis son origine comme un projet bilingue, veut encourager le dialogue entre les communautés présentes dans la ville. Bon nombre de troupes étrangères y trouvent un cadre d’expression ouvert et généreux. Les créations originales ne manquent pas, tant dans le domaine du théâtre que de la danse, la musique ou les arts plastiques et toutes leurs combinaisons possibles.

Renseignements : 070 222 199 ou www.kfda.be

n RESTAURANT DAY, une journée de carnaval culinaire ou comment créer votre restaurant éphémère.

Un nouveau concept arrive chez nous le 18 mai 2013. Restaurant Day est une initiative citoyenne basée sur le thème du partage, de la spontanéité et des rencontres par le biais de la gastronomie.

n L’homme et la nature

n Amateurs de jazz, ça va swinguer…

Les 24,25 et 26 mai seront placés sous le signe du jazz avec la 18 ème édition du Brussels Jazz Marathon.

Rendez-vous sur la Grand Place, au Sablon, place Sainte-Catherine et place Fernand Cocq où vous pourrez profiter pleinement des 4 scènes en plein air. Sans oublier des représentations dans des dizaines de clubs et de cafés jusqu’au bout de la nuit. Plus de 700 musiciens participent à cet évènement gratuit.

Expo de plein air au Château de Seneffe (Accès gratuit). Une nouvelle exposition temporaire au Domaine de Seneffe accueille sept artistes qui placeront l’Homme au centre des lieux. Les sculptures, toutes issues de l’imaginaire des artistes, joueront avec l’eau, l’air, la terre. L’occasion d’une balade artistique.

Du 5 mai au 11 novembre 2013.

Dans le cadre de l’exposition «L’Homme et la Nature», un concours de photos participatif sera organisé via Facebook, «Seneffe en plein air et en famille». www.chateaudeseneffe.be

Jazz, blues, funk, world sous des formes très diverses et dans différentes ambiances.

Un très beau programme qui saura encore surprendre les plus exigeants d’entre vous.

A noter aussi, un Mini Marathon spécial pour les enfants. www.brusselsjazzmarathon.be

quelques heures, leur propre restaurant.

Chez soi, dans son atelier ou son garage ou chez des amis. Du repas gastronomique, au hamburger végétarien en passant par les gâteaux, les légumes anciens revisités ou le bar à jus … Il n’y a pas de limite à votre imagination. www.restaurantday.org

Restaurant Day est un événement qui donne la possibilité à tous ceux qui en ont rêvé un jour, d’ouvrir, le temps de 9

EXPO

LES 1001 NUITS 19.09 > 20.10.2013

LA DAME DE CHEZ MAXIM 21.11 > 21.12.2013

RICHARD III 16.01 > 15.02.2014

LE TARTUFFE 06.03 > 05.04.2014

MADE IN CHINA 24.04 > 24.05.2014 Hors abonnement :

LA QUERELLE DES BOUFFONS 23.10.2013 > 26.10.2013

LE TOUR DU MONDE EN 80 JOURS 30.05 > 06.06.2014

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L’ASBL PSYCART a pour objectif d’obtenir la reconnaissance du travail des ateliers artistiques œuvrant dans le domaine de la santé mentale. Plus largement, PsycArt tente d’apporter un éclairage différent sur une catégorie d’artistes certainement plus fragiles mais qui méritent leur place aux côtés d’artistes reconnus.

L’asbl PsycArt a remporté un «Prix Caïus 2012» dans la catégorie ‘Culture, Grandes Entreprises’ en novembre dernier.

Pour son 15ème anniversaire, PsycArt met à l’honneur le travail d’artistes et d’institutions, en présentant à l’occasion d’une exposition, les créations de 15 artistes issus de 15 ateliers de toute la Belgique et le Grand-Duché de Luxembourg.

EXPOSITION «15 ANS - 5 ATELIERS», du 2 au 6 juin, aux Halles des Tanneurs (60 rue des Tanneurs, 1000 Bruxelles) Le dimanche 2 juin de 11h à 16h, et du lundi 3 au jeudi 6 juin de 10h à 18h.

L’ESPACE ART GALLERY a le plaisir de vous présenter du 22/05 au 09/06/2013 L’EXPOSITION ÉVÉNEMENT DES ARTISTES SUIVANTS: Bogaert (Fr) peintures, Marie-Noëlle Krenger (Suisse) peintures, Mich.K (Suisse) peintures et Philip Pontay (Fr) sculptures.

Espace Art Gallery 35 rue Lesbroussart 1050 Bruxelles. Ouvert du mardi au samedi de 11h 30 à 18h 30. Et le dimanche sur rendez-vous.

GSM : 00 32 497 577 120 http://espaceartgallery.be OPUS OMEGA PEINTURES & SCULPTURES DE KOSTIS GEORGIOU Exposition du 3 au 26 mai 2013.

Centre Culturel Uccle, Rue Rouge, 47 - 1180 UCCLE - 02 374 64 84 Une partie de la Rétrospective de la peinture et sculpture (1990-2010) de Kostis Georgiou, rentrée depuis peu des musées chinois, le Suzhou Art Museum et le Shaanxi Art Museum, sera au Centre culturel d’Uccle jusqu’au 26 mai.

Kostis Georgiou se consacre à la musique, à la peinture et la sculpture depuis toujours et éprouve le besoin de passer de l’une à l’autre.

L’artiste, né en 1956 à Thessalonique, vit et travaille à Athènes. Il a placé de grandes sculptures extérieures qui décorent des parcs de ville et d’autres espaces publics à travers son pays mais aussi en Belgique (Galilée – sculpture de plus de 3m à l’hôpital Saint Elisabeth à Uccle), en Chine, aux Etats Unis et France.

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Un homme, un théâtre...

David Michels Sourire engageant, démarche fluide et regard franc, David Michels aborde la vie avec spontanéité. Un naturel qui émane peut-être de son parcours : celui qui est aujourd’hui directeur du Théâtre Royal des Galeries a en effet démarré sa carrière tout en bas de l’échelle. Ce qui ne l’a pas empêché d’atteindre le sommet…

Le parcours familial joue souvent un rôle important dans le devenir professionnel de chacun. Pour David Michels, ce fut également le cas. Du moins, dans un premier temps. «Mon père était journaliste au Soir. J’ai très vite eu envie de marcher sur ses traces. Je me suis donc inscrit à l’International Press Center, mais comme j’ai quitté très tôt la maison, je devais travailler en parallèle pour subvenir à mes besoins. A cette époque, le directeur technique du Théâtre Royal des Galeries m’a proposé de petits jobs de technicien.

J’ai bien-sûr accepté ».

D’abord sollicité pour charger et décharger les camions, David Michels réalise bientôt des remplacements comme ouvreur, contrôleur, couturier, habilleur, poursuiteur, régisseur… et même comédien lors des tournées, dans de petits rôles. «Sans m’en rendre compte, j’apprenais tous les rouages du métier.

Et comme j’étais très flexible, on faisait de plus en plus souvent appel à moi». Au terme de ses études, en 1988, David Michels décide de quitter le théâtre pour se lancer, enfin, dans le journalisme. «A ce moment, le fondateur-directeur du théâtre, JeanPierre Rey, m’a convoqué. Il ne voulait pas que je parte. Il m’a alors proposé un job de régisseur à durée indéterminée. Au départ, j’ai signé parce que cela m’apportait une sécurité financière. Mais peu à peu, je me suis rendu compte que j’étais finalement très heureux au théâtre».

De la mise en scène à la direction La progression de David Michels doit beaucoup au hasard, aux circonstances de la vie… mais aussi à un travail acharné.

C’est en remplaçant un assistant metteur en scène qu’il apprend les ficelles du

métier. «Un peu plus tard, Jean-Pierre Rey est tombé malade. Il m’a demandé de le remplacer. Ca a finalement duré un an».

De fil en aiguille, le fondateur, souffrant, décide de se retirer… «A ce moment, il m’a proposé de reprendre le flambeau. Le théâtre avait besoin d’un nouveau souffle.

Nous étions au bord de la faillite. J’avais 29 ans et c’était un vrai défi». David Michels a alors la chance d’être très bien entouré.

«L’équipe se serrait les coudes afin de ne pas laisser couler le bateau. Nous étions très soudés. Mais il y a aussi eu des épreuves : j’ai du licencier pas mal de monde, et défendre notre projet auprès du Tribunal du commerce…». Les conditions de travail étaient également très dures : «A un moment, nous ne pouvions plus payer le mazout. Nous avons alors été contraints d’utiliser un canon à chaleur pour réchauffer la scène avant les représentations».

Mais, peu à peu, les choses évoluent.

«En 3-4 ans, nous avions remboursé nos dettes. Nous avons alors mis en place une nouvelle communication, qui nous a beaucoup aidés. La machine était repartie». Aujourd’hui, toutefois, l’équipe doit toujours se battre. «Depuis deux ans, nous ressentons très fort la crise. Il ne faut pas oublier que nous avons la plus grande salle de Bruxelles – 900 places – et que nous devons la remplir tous les jours». Un challenge d’autant plus dur que le Théâtre des Galeries est très faiblement subsidié.

«La où la plupart des salles sont financées à hauteur de 50 à 90 %, nous le sommes à 28% à peine. Près de 70% de nos recettes proviennent de la vente des places. La bataille est donc âpre».

Une obligation de résultats qui pousse le Théâtre des Galeries à anticiper les 11

? e r t â é h « Le t a vie C’est l cidé é d a i u q !» i o m r pou attentes du public, avec des spectacles de divertissement, populaires, mais aussi quelques grands classiques et des créations contemporaines,... «Dans tous les cas, les sujets sont traités de façon à être compris de tous». Mais pour appâter les spectateurs, David Michels mise aussi sur le prestige du lieu, et l’ambiance conviviale qui y règne. «Au total, nous sommes 5 personnes à tout faire – sans compter les techniciens. Cela signifie certaines contraintes – nous sortons par exemple les poubelles nousmêmes – mais également une grisante liberté !».

Virginie Stassen

DU TAC AU TAC Si vous n’aviez pas été directeur de théâtre ?

J’aurais été journaliste, comme c’était initialement prévu.

Un talent que vous auriez aimé avoir ?

Le chant.

Ce que vous avez le mieux réussi?

L’amitié.

Vos adresses préférées ?

Plutôt qu’un resto, je préfère les soirées chez des amis, ou recevoir chez moi. J’apprécie beaucoup cuisiner ! J’aime aussi faire mon petit marché, le dimanche matin.

Quelle est la plus grande qualité de votre théâtre ?

Le respect des autres.

Des projets ?

Nous entrons dans une grande phase de rénovation en avril, qui se terminera en octobre…

Créateur & fabricant de cuisines d’exception COSY-IN est un nouvel espace dédié à la cuisine équipée sur mesure. Il propose des cuisines en chêne massif et des cuisines laquées réalisées par le patron, Jean-François Pauwels.

> Conception sur mesure > Matériaux nobles > Réalisation par les patrons

«Nous sommes des artisans et nous suivont le projet jusqu’à la pose de la cuisine. Nous proposons toutes les marques d’électro-ménagers. Notre souhait est de satisfaire notre clientèle et d’offrir des prix démocratiques...»

Chaussée de Louvain 498 - 1300 WAVRE Ouvert du lundi au samedi de 10h à 18h 12

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Parking aisé

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Théâtre Royal des Galeries Directeur : David Michels

Saison 2013 / 2014

! ! e e v v i t t s s e e F F La Revue 2014 té La vériZe ller

Mari cons ages et é d’Ala quen c n Ayc kbo es urn

La compagnie Arte-Mixto vous propose des spectacles à la mesure de vos activités !

Stéphanie Di Valerio

Du spectacle riche et coloré «Les cabarets du monde», aux grands classiques «Carmina Burana», «Boléro» de Ravel, etc…, avec la possibilité d’un orchestre philarmonique, pour des soirées à thème, des spectacles, des animations, des comédies musicales, Arte-Mixto établit avec vous le programme idéal correspondant le mieux à vos attentes et à votre public.

Egalement soupers d’entreprises, etc…

Spectacle de Noël «Mon Cabaret» pour la Maison de repos: le Vignoble à Braine l’Alleud Avec l’Orchestre Philarmonique de St-Symphorien, le «Boléro» de Ravel à la Cathédrale St-Paul de Liège.

Organisé par le Lions C Liège Principauté pour le Cap48,

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de Floria

Huit femmes de Robert Thomas

Le m aria ge d Mlle e de F Beule onso man n et s Wic hele

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Spectacle pour enfants au Théâtre du Temps Choisis à Gilly, «Mary Poppins». Spectacle organisé par la Mutuelle Chrétienne pour la St-Nicolas des Enfants.

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02 512 04 07 du mardi au samedi de 11h à 18h Galerie du Roi, 32 à 1000 Bruxelles

Stéphanie Di Valério & Arte-Mixto Dance Company 34, rue du Cadet • 6183 Trazegnies • 0477 66 35 58

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A propos de ...

Molière Molière (Jean-Baptiste Poquelin), né à Paris et baptisé en janvier 1622.

Son père, un marchand tapissier et sa mère, fille de tapissier, vivent dans le quartier des Halles. Cette dernière décède alors qu’il a 10 ans.

Molière fait ses études secondaires au collège de Clermont chez les Jésuites avant d’aller étudier le droit à Orléans.

Le 6 janvier 43, il reçoit 630 livres, sa part dans la succession maternelle et renonce à la charge de tapissier de son père, qui sera transmise à un autre des enfants.

Avec Madeleine Béjart, il crée L’Illustre-Théâtre mais des dettes le mèneront en prison. Il quitte Paris pour la province où il restera treize ans. Le 28 juin 1644, Jean-Baptiste Poquelin, prend pour la première fois son pseudonyme de Molière. Fin 1654, à Lyon, Molière fait représenter sa première pièce, L’Étourdi.

En 1658, il revient à Paris pour jouer Nicomède et Le Dépit amoureux devant le roi. C’est la pièce Les Précieuses ridicules en 1659 qui lui apporte la célébrité.

Tartuffe, jouée pour la première fois en 1664 à Versailles, pièce dans laquelle il critique l’hypocrisie des faux dévots, fait scandale. La pièce est interdite par le roi sous leur pression. En 1665, Dom Juan suscite également des remous.

Malgré son succès, la pièce est retirée mais Molière continue de bénéficier de la faveur du roi. Viennent ensuite les pièces Le Misanthrope (1666), George Dandin (1668), Le Bourgeois Gentilhomme (1670), L’Avare (1668), Les Fourberies de Scapin (1671), Les Femmes savantes (1672), etc. Épuisé par le travail et la phtisie, Molière meurt le 17 février 1673 après la quatrième représentation du Malade imaginaire dans lequel il jouait Argan.

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MOLIERE en 3 mots :

• Acteur: Molière avait des talents de comique et de mime et se réservait souvent, non pas le premier rôle mais le plus comique. Molière est servi par son statut de praticien du théâtre, car son expérience des planches lui a donné un sens très sûr de l’effet. Il est avant tout un acteur qui a sillonné la province durant une douzaine d’années, et, s’il donnait parfois des représentations devant des cours princières, il a aussi joué dans des région où le public ne comprenait pas un traître mot de français, dans des foires, devant des foules bruyantes et grossières, en un mot devant des spectateurs pour lesquels tout le corps doit jouer et montrer les sentiments ou les caractères. C’est là sans aucun doute qu’il a appris à mesurer l’efficacité d’un jeu de scène.

• Le Bourgeois Gentilhomme: Comédie-ballet en cinq actes et en prose, représentée à Chambord, le 14 octobre 1670, dont la musique est de Jean-Baptiste Lully. « Monsieur Jourdain, riche bourgeois et fils de marchand, s’efforce de cacher la bassesse de sa naissance en suivant les leçons de maîtres de danse, de musique, d’armes et de philosophie, qui, en lui enseignant les usages de la noblesse, profitent de sa naïveté. »

Le Bourgeois est une pièce résolument moderne celle d’un homme qui paye les gens pour entendre ce qu’il veut entendre.

Ca se voit tous les jours, et pas seulement en politique! Certains s’arrangent pour n’avoir auprès d’eux que des gens qui les flattent, qui leur renvoient la meilleure image d’eux-mêmes. Le Bourgeois est aussi universel dans son caractère: naïf, vaniteux, égoïste et autoritaire. Il est une fresque sociale contemporaine et les conséquences de son comportement sont désastreuses pour l’entourage qui en fait les frais ! Il dilapide sa fortune, met son couple en danger, fait le malheur de sa fille. Monsieur Jourdain aspire pourtant à d’autres valeurs ; c’est pour cela qu’il s’entoure de gens cultivés mais ceux-ci vont malheureusement profiter de lui et de son aveuglement.

• Comédie: La comédie, avant Molière, est un genre mineur, auquel les théoriciens s’intéressent peu ; elle est proscrite en raison du statut du rire, réprouvé par l’Église et la bonne société. Dans les années 1630, la comédie en évolution connaît une production abondante, mais elle ne s’affirme pas, ne parle pas encore d’une voix personnelle : non seulement, les autres genres encore très prisés, la pastorale et la tragi-comédie, lui font de l’ombre et elle tend à copier leur discours afin de s’anoblir, avant d’être en mesure de trouver sa place.

CONCOURS

A GAGNER 10 x 2lePL1AjuiCnES pour

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Répondez à la question ci-dessous, envoyez votre réponse et vos coordonnées complètes (adresse, téléphone et année de naissance) à concours@entract.be en mentionnant «bourgeois» en objet, avant le 24 mai 2013.

Qui joue le rôle de Monsieur Jourdain dans la pièce créée et jouée au Public ?

Un tirage au sort parmi les bonnes réponses déterminera les gagnants qui seront avertis par mail.

« LE BOURGEOIS GENTILHOMME » de Molière

Le théâtre de Molière tranche nettement sur les œuvres précédentes car il repose sur une poétique neuve et originale qui fait rire par des moyens inédits, la présentation des ridicules au sein d’une société qui a elle-même ses travers.

Il fustige la noblesse ruinée, le délire d’imagination, les troubles au sein d’une famille, les obstacles au mariage des amoureux, le pédantisme des beaux-esprits, etc… Les caractères des personnages qui s’affrontent déterminent directement l’intrigue et complètent joliment cette satire des mœurs. Molière élargit le domaine de la comédie et en fait un genre à part.

CRÉATION

Du 09/05 au 29/06/13 à 20h30 Mise en scène : Serge Demoulin.

Avec : Michel Kacenelenbogen, Babetida Sadjo, Anne Sylvain, Maroine Amimi, Claire Beugnies, Cédric Cerbara, Grigory Collomb, Vincent Doms, Alexis Julémont, Agnieszka Ladomirska, …

Théâtre Le Public Rue Braemt 64-70 - 1210 Bruxelles 0800 944 44

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Espace Coeur de Ville 16 - 1340 Ottignies 010 41 40 99

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Compte à vue gratuit: offre soumise à conditions et uniquement valable pour les particuliers. Tarifs disponibles dans les agences Record. Opérations gratuites: à l’exception des retraits aux distributeurs de banques autres qu’ING et Record Bank (0,70 euro par retrait) et des retraits en espèces avec la carte Visa (consultez la liste des tarifs et taux d’intérêt). Maximum 2 cartes Bancontact et 1 carte Visa gratuites. Record Bank sa – Siège social: avenue Henri Matisse 16, 1140 Evere – RPM Bruxelles – TVA BE 0403 263 642 www.recordbank.be - E.R.: N. Schor, avenue Henri Matisse 16, 1140 Evere.

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A l’af LE TOUR DU MONDE EN 80 JOURS

BIRDSONG

de Thierry Janssen, d’après le roman de Jules Verne

(Reprise) par Christiane Hommelsheim et Walli Höfinger, Berlin.

©Hanna Lippmann

©Isabelle De Beir

Consultant voix : Jonathan Hart Makwaia NYC

A force de courir dans tous les sens, ne passons-nous pas à côté de l’essentiel ?

Pari réussi pour Philéas Fogg. Pari réussi pour Thierry Debroux et son équipe, d’enthousiasmer un public jeune et moins jeune, avec ce grand classique revu, dépoussiéré, agrémenté d’anachronismes et de clins d’œil qui font rire et sourire.

Qui n’a pas lu, enfant, le célèbre roman de Jules Verne? L’occasion de s’y replonger, avec un autre regard et d’en faire profiter les enfants ou petitsenfants car c’est un spectacle pour toutes les générations.

Le Tour du monde en quatre-vingts jours est un roman d’aventures et d’anticipation. Il raconte la course autour du monde d’un gentleman anglais, Phileas Fogg, qui a fait le pari d’y parvenir en 80 jours. Il est accompagné par Jean Passepartout, son serviteur français. L’ensemble du roman est un habile mélange entre le récit de voyage, cher à Jules Verne et des éléments scientifiques.

C’est dans un rythme endiablé que Jules Verne entraîne le lecteur autour du monde. L’auteur est fasciné par la vitesse, et le progrès technique et scientifique ; il en fait l’éloge. Plus de cent ans ont passé. Le monde est devenu aujourd’hui un grand village, les hommes sont connectés en permanence avec les quatre coins de la planète. Tout va très vite, toujours plus vite, trop vite...

Le monde des écrivains, sociologues, philosophes ne cessent de s’interroger aujourd’hui sur les notions de vitesse et de lenteur. A force de vouloir toujours aller plus vite, de vouloir tout et tout de suite, voyons-nous encore l’essentiel ?

Performance musicale et vocale « La relation initiale de la voix et du corps nous amènent là où l’espace physique et auditif s’entrelacent. Le corps en mouvement parle silencieusement. Le mouvement inscrit sa musique silencieuse dans l’espace physique. Nous recherchons donc un dialogue entre cet espace physique et la musique, pour que le son, les esprits et les corps respirent dans cet espace.

Nous appelons ce processus «space-shifting» Les états d’être qui surgissent de cette relation ont changé la façon dont nous percevons et créons la musique. » Christiane Hommelsheim est vocaliste, performeuse vocale, improvisatrice, chanteuse, actrice et vidéaste. Elle travaille intensément sa voix selon la méthode Roy-Hart («la voix est le muscle de l’âme»). Elle se situe dans la lignée des cantatrices américaines Meredith Monk ou Shelley Hirsch. Dans son travail artistique elle recherche toujours l’essence de sa propre voix ainsi que les relations entre voix, corps et conscience.

Walli Höfinger a étudié aux Beaux-Arts de Saarbrücken les nouveaux médias artistiques. Parallèlement à ses études, elle a travaillé comme danseuse et performeuse pour différents projets chorégraphiques. Depuis 1996, elle crée ses propres performances qui associent mouvement et voltige, installations vidéo, son, éclairage, voix. Elle enseigne l’art performance, le mouvement et la voix depuis 2006. Elle est également professeur de voix Roy Hart.

Jonathan Hart Markwaia est chanteur, compositeur et enseigne la méthode vocale Roy Hart dans la section du théâtre expérimental de la New York University. Il étend le rôle de la voix humaine dans les arts de la représentation, également dans le sens du développement personnel.

Mise en scène : Thierry DebrouxAvec Alain Leempoel, Othmane Moumen, Stéphane Fenocchi, Jasmina Douieb, Gérald Wauthia,…

Du 24 mai au 2 juin

TIONS 9 REPRÉSENTA REPRISE POUR LES DU PLUS GROS EL EXCEPTIONN L’ANNÉE 2011.

SUCCÈS DE

Théâtre Royal du Parc Rue de la Loi, 3 • 1000 Bruxelles 02 505 30 30 16

Les 16, 17 et 18 mai à 20h Théâtre de la Vie Rue Traversière 45 • 1210 Bruxelles 02 219 60 06

3 x 2 places

A GAGNER pour le 16 mai Voir page 33

L’AFFRONTEMENT

d’Howard Zinn

de Bill C. Davis.

Adaptation de Jean Piat

Michel Poncelet©Fabrice Gardin

KARL MARX, LE RETOUR

Bill C. Davis

Humour et politique font bon ménage…

Sous la forme d’un monologue de Karl Marx où celui-ci devient un personnage de fiction, Howard Zinn*, a voulu montrer que « la critique marxiste du capitalisme reste fondamentalement vraie ». Ce livre met en scène le célèbre révolutionnaire qu’un cafouillage bureaucratique renvoie de nos jours dans le quartier Soho, non pas londonien mais … de New York.

Ce retour devient prétexte à une présentation de la vie personnelle, intellectuelle et militante de Marx. Le tableau qu’il nous fait de ses conditions de vie londonienne est des plus difficiles : dans le plus extrême dénuement et grâce à l’aide de ses amis dont Engels, il poursuit son travail d’étude du capitalisme, passant quelques moments de bonheur en compagnie de sa famille. Il raconte tout, sa famille, les premiers engagements de sa fille Eleanor, les polémiques familiales, l’exil, la dèche, ses engueulades et ses débats avec Bakounine, Proudhon …..

Marx ne peut passer sous silence l’expérience des pays de l’Est ainsi que leurs chutes mais ses critiques les plus vives sont adressées au capitalisme dont il mesure l’évolution de son époque jusqu’à aujourd’hui…

Au fil des pages, c’est l’humanité, les colères, l’entrain et la truculence d’un Marx bien vivant que l’auteur nous invite à partager. De quoi faire passer un bon moment en compagnie d’un homme de caractère, bon vivant, fin polémiste et définitivement révolté. *Howard Zinn (1922–2010) a enseigné l’histoire et les sciences politiques à la Boston University. Son œuvre, une vingtaine d’ouvrages, est essentiellement consacrée à l’incidence des mouvements populaires sur la société américaine.

Mise en scène : Fabrice Gardin Avec Michel Poncelet

Du 19 avril au 25 mai :

Molière du meilleur adaptateur d’une pièce étrangère en 1997 Il est difficile de parler de l’Église, surtout en ce qui concerne sa modernisation, son rafraîchissement. L’auteur de cette pièce, Bill C. Davis a osé en parler. Il s’est posé les questions de l’homosexualité, du sacerdoce des femmes, du mariage des prêtres. En fait, il évoque ici le vrai rôle que doit jouer un prêtre de nos jours et ce qu’il représente encore dans la société contemporaine.

Un prêtre brillant, intelligent, malicieux et charismatique reçoit la difficile mission de s’occuper d’un jeune séminariste qui lui est confié par son supérieur hiérarchique. Le Révérend Père Farley tentera de lui enseigner les voies qui conduisent au Sacerdoce. Le jeune diacre Dolson ne cessera de l’interroger sur les problèmes actuels de l’Eglise catholique romaine. Il rêve d’une Eglise nouvelle qui autoriserait le sacerdoce des femmes, qui accepterait le mariage des prêtres, qui comprendrait l’homosexualité…

On suit la rencontre des deux personnages, l’évolution du vieux prêtre apparemment attaché à ses principes et le jeune séminariste idéaliste, le voyage initiatique pour l’un, le retour aux sources pour l’autre.

Nous sommes témoins d’un affrontement de plus en plus complice, nous sommes confrontés à un véritable débat sur une Eglise qui ne correspond plus vraiment aux attentes de notre époque et à la solitude du prêtre.

De l’humour, beaucoup de questions plus que jamais d’actualité, des moments de vérité, de déchirement et d’espoir sincère. Drôle et âpre à la fois.

Mise en scène : Léonil Mc Cormick Avec Jean-Claude Frison, Bernard d’Oultremont

les mardis à 19h, du mercredi au samedi à 20h15

Du 18 avril au 26 mai 20h30

Théâtre des Martyrs Place des Martyrs 22 •1000 Bruxelles 02 223 32 08

Théâtre La Valette Rue Basse 11 • 1460 Ittre 067 64 88 11 17

A l’af CARMEN Opéra de Georges Bizet La passion, qui détourne l’homme de ses devoirs, mais qui lui donne aussi la pleine mesure de l’existence estelle un marchepied ou un abîme pour l’homme et la collectivité? Est-ce que notre peur de vieillir, de mourir, de perdre qui va croissant n’en est-elle pas arrivée à nous empêcher de vivre?

Autant de questions soulevées avec lyrisme et puissance par Bizet.

L’opéra Carmen est une des œuvres les plus représentées au monde. D’abord considéré comme une injure à la bienséance, il reste le seul opéra français à parler de passion et de liberté. Carmen est une femme libre, fière, forte, indépendante qui aime qui elle veut et quand elle veut. Sa séduction ne vient ni de sa beauté, ni de sa naissance, ni de ses qualités morales mais de cette liberté qu’elle a par rapport à l’opinion d’autrui. Cela lui confère une puissance d’attraction sur tous, hommes et femmes et son charisme n’est comparable à aucune héroïne qui l’a précédée.

Outre la vérité psychologique, l’oeuvre est d’une parfaite réussite dramaturgique et musicale. Bizet fait voyager le public dans l’intimité profonde de la psyché humaine et il est difficile de rester indifférent.

«L’Affaire CARMEN»…

plaidée chaque vendredi de mai à 20h par un ténor du Barreau.

Don José est-il un assassin ? Tout l’indique : le harcèlement, les menaces proférées, le couteau caché sous la cape… Est-il pour autant coupable ?

Carmen, la belle sauvageonne, femme libre, rebelle, parfois manipulatrice, a-t-elle conduit son amant à la faute suprême en le narguant au bras d’un toréador que tout Séville acclame, en lui jetant aux pieds la bague qu’il lui avait autrefois donnée ?

L’affaire est éminemment plaidable.

Plaidoyer pour Carmen au nom de la liberté des sentiments ; femme émancipée avant la lettre capable pour qui l’amour se donne mais peut se reprendre.

Plaidoyer pour Don José, meurtrier mais poussé par une force invincible qui s’appelle possession ou jalousie.

D’un côté, le réquisitoire contre Don José, soutenu par des extraits de l’opéra interprétés en direct.

De l’autre, la défense de Don José appuyée elle aussi sur des passages essentiels de l’oeuvre de Bizet.

Mise en scène, adaptation des dialogues et peintures : Stefano Giuliani Direction musicale : Isabelle Kabatu. Chorégraphie : Susana Vazquez

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L’HOMOSEXUALITÉ OU LA DIFFICULTÉ DE S’EXPRIMER de Copi La Sibérie. Trois transsexuelles sont au cœur de l’intrigue. Madre et Irina ont été déportées, Madame Garbo se trouve là de son plein gré.

La pièce se déroule dans la maison où vivent Madre et Irina, métaphore d’un camp de concentration en Sibérie, où des transsexuels on été déportés. Madre et Irina reçoivent la visite de Madame Garbo, venue prendre des nouvelles d’Irina qui n’assiste plus à ses cours de piano. Les aveux et déclarations inattendus s’enchaînent. Ils-elles sont dans l’angoisse. Avec l’aide du Général Garbenko, le mari de Madame Garbo, ils tenteront de s’échapper en Chine, leur terre promise.

«L’homosexuel ou la difficulté de s’exprimer» est avant tout un questionnement sur la notion d’identité. La déportation massive dans les goulags de peuples entiers et d’opposants réels ou supposés, même après Staline, a existé jusqu’aux années 80 en URSS. Pour comprendre ce qui actuellement peut nous sembler incongru et absurde, il faut se rappeler que cette pièce a été écrite à la fin des années 60 et que Copi appartenait alors au Front homosexuel d’action révolutionnaire (FHAR). Ce qui donne un intérêt majeur et toujours actuel à cette pièce, est que Copi a enfermé ses trois transsexuelles dans un goulag. Cela représentait et représente encore aujourd’hui une métaphore de la condition homosexuelle. Les homosexuels, depuis leur enfance ont appris à mentir, à se cacher, se sentir acceptés et se protéger de la pression sociale. Cette pièce questionne: sommes-nous capables de devenir une société moderne, tolérante, et comment faire pour y parvenir? Cette interrogation montre à quel point nous avons peu mûri, malgré nos avancées culturelles et technologiques, nos succès économiques.

Si l’homosexualité est aujourd’hui tolérée, elle n’est pas vraiment acceptée, même si dans certains pays, peu nombreux, le mariage gay est légal.

Certains voient encore l’homosexualité comme une perversité, une déviance: sexualité contre nature. Pas question de couples gay enlacés dans les espaces publiques. C’est seulement en 1990 que l’Organisation Mondiale de la Santé retire l’homosexualité de la liste des maladies mentales.

Plus que jamais d’actualité, cette pièce nous donne la possibilité d’une réflexion sur la tolérance.

Mise en scène : Andrés Cifuentes Avec Jérôme Dubois, Linda Jousset, Lionel Thibout, Andrés Cifuentes

Du 3 au 24 mai à 20h

Les 31 mai, 1er, 6, 7, 8, 13, 14 et 15 juin 2013 à 20h30

Théâtre Poème 2 Rue d’Ecosse 30 • 1060 Bruxelles 02 538 63 58

Salle Delvaux, ULB Solbosch, bât. F-1 Avenue Paul Héger 20 • 1050 Bruxelles Infos et réservations: 0474 34 52 99

5 x 2 places

A GAGNER pour le 7 juin

Voir page 22

Festivals

HIGHLIGHTS ÉTÉ 2013 : le tour de l’été en plus de 13 festivals…

A peine le concours Reine Elisabeth de piano et les fêtes de la musique achevés, voici pour les mois d’été une galaxie de festivals qui nous arrivent de l’univers des Arts. On imagine que tous ces projets de grande envergure et d’énergie artistique débordante sauront convoquer le soleil chaleureux des arts de scène et de la musique, à défaut de celui qui se fait parfois fort timide dans notre ciel belge.

IXELLES Pour commencer vos vacances en musique, le Festival Musiq’3 (www.festivalmusiq3. be) vous propose de venir écouter au bord des étangs d’Ixelles, plus de 150 artistes répartis en 50 concerts. Du 28 au 30 juin, l’amour sera à tous les étages dans les studios mythiques de Flagey et au Marni, sans rien laisser au hasard... L’atmosphère très conviviale de ce festival à deux pas de chez vous, sera sans doute inoubliable, foi de cigale (…ayant chanté tout l’été) !

Toujours à Bruxelles, du 1er juillet au 30 août vous serez peut-être parmi les fervents admirateurs du festival Midis-Minimes, tous les jours à 12h15. au Conservatoire royal de Bruxelles.

Plus d’infos: www.midis-minimes.be

ENGHIEN

Churchill joué et écrit avec finesse et drôlerie par Stéphane STUBBE que nous avons eu le très grand plaisir de découvrir à la Samaritaine tout récemment. Un vrai bijou théâtral! Evelyne Rambeaux & Lorette Goosse prendront dans le même lieu enchanteur une relève explosive, avec leur spectacle «Affreuses» du 16 au 28 juillet!

BRUXELLES Le THÉATRE encore !

Depuis 1999, le Festival Bruxellons ! profite de l’été pour vous proposer une sélection de spectacles grand public dans le cadre prestigieux du Château du Karreveld, un domaine en plein coeur de la ville, dont les origines remontent au XIIIe siècle, un des joyaux de notre patrimoine avec sa Cour, sa Grange, son Lac et son Parc verdoyant. C’est l’occasion rêvée de venir applaudir sous les étoiles les artistes que vous aimez retrouver ou découvrir. Il y a eu 17.000 spectateurs environ l’année dernière!

Vous pouvez consulter la programmation complète du festival du 14 juillet au 6 septembre sur le site internet www.bruxellons.be.

La grande nouveauté cette année est la place de choix réservée aux spectacles pour l’enfance à partir de 3, 4, 5 et 7+ ans !

L’humour et l’esprit seront eux au rendezvous dans la Ville d’Enghien qui accueille le Théâtre Royal des Galeries pour une représentation en plein air d’une oeuvre d’Oscar Wilde «Un mari idéal» dans le cadre du festival Théâtre au château.

Ou choisissez le Théâtre au château de Modave du 2 au 13 juillet pour aller applaudir le savoureux spectacle «NO SPORT» à propos de l’illustre Winston 19

Festivals VILLERS-LA-VILLE Vous serez nombreux aussi à vous arrêter à Villers-la-Ville pour un impressionnant rendez-vous proposé par Patrick de Longrée dans plusieurs sites des ruines prestigieuses de l’Abbaye avec l’un des mythes les plus forts de la littérature mondiale, dans une réalisation théâtrale dynamique et fabuleuse: FRANKENSTEIN (ou le Prométhée moderne) de Stefano Massini d’après le roman de Mary Shelley. Mêlant horreur et philosophie, l’histoire du docteur Frankenstein, créateur d’un monstre contre nature, sans nom et sans famille, expose une problématique intéressante à une époque où la communauté scientifique s’interroge sur la nature de l’homme, le rapport entre corps et esprit et la possibilité de prolonger la vie au-delà de la mort. Une oeuvre mythique, un souffle romantique puissant, une intrigue captivante et dramatique, un thème interpellant dans une facture fantastique. Du 11 juillet au 10 août 2013.

Offre de prévente avant le 15 juin sur www.

Frankenstein2013.be

SENEFFE ENTR’ACT musical oblige : passons à la MUSIQUE et changeons de château, en commençant par le château de Seneffe où se déroulent dans l’Orangerie un festival très chaleureux. Complices, des solistes très talentueux ont été rassemblés par Véronique Bogaerts pour interpréter des oeuvres parfois trop peu entendues. Les violonistes Elisabeth Wybou, Vincent Hepp, Diederik Suys, la charmante violoncelliste Sarah Dupriez et Jean-Claude Vanden Eynden au piano joueront Mozart... (en Symphonie à six) le premier soir, le jeudi 18 juillet 20:00. Le lendemain est au féminin avec Dominique Cornil et Eliane Reyes 20

HIGHLIGHTS ÉTÉ 2013 : le tour de l’été en plus de 13 festivals…

au piano. Compositrices et interprètes sont des femmes. Le samedi tangue sur des airs d’opéra et de tango, Gluck et Piazzola, et la tête d’affiche est le flûtiste Marc Grauwels. Le dimanche, jour de fête nationale se referme sur le célèbre Quatuor Danel interprétant Joseph Haydn, Claude Debussy et Franz Schubert : «La jeune fille et la mort», de la pure rêverie musicale.

Réservations : www.concertsorangerie.be

GENVAL Un détour par l’élégant château du lac de Genval s’impose. Il guidera vos pas pour aller écouter de merveilleux concerts de jeunes talents. En effet, MUSICA MUNDI un festival «où les musiciens en herbe rencontrent leurs idoles» est un stage et festival de musique de chambre international ouvert aux jeunes talents âgés de 10 à 18 ans, le plus souvent issus de milieux défavorisés.

Retenez les dates : du 14 Juillet 2013 au 28 Juillet 2013 vous ne serez pas déçus. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site Internet du festival (http://musicamundi.org/musica.htm)

ENGHIEN

Pour mieux comprendre la musique et l’apprécier on peut aussi décider de participer aux 21e Rencontres Musicales du château d’Enghien, une prestigieuse académie d’été. Chaque année, des Maîtres de renommée internationale sont invités à transmettre leur savoir, leur enthousiasme et leur sensibilité à des élèves au talent déjà confirmé et qui, pour la plupart, ont déjà une certaine carrière derrière eux. On peut assister aux Master Classes qui sont suivies par une soixantaine d’élèves du monde entier. Elles se donneront du 17 au 31 août.

Durant le festival, de nombreux concerts sont donnés par un ou plusieurs artistes invités, les professeurs et les musiciens stagiaires.

Réservations : http://musicalenghien.com/fr/

Festivals VILLERS-LA-VILLE Les concerts-promenades de la célèbre nuit des Choeurs ont lieu cette année à l’Abbaye de Villers-la Ville les 30 & 31 août 2013. I Muvrini, le choeur de la ville de Rome, Voice Male le choeur de Munich, The priests et «Martin and Wright formerly of Chic» sont les six formations qui proposeront leurs concerts en alternance. A la fin de la soirée il y a le final spectaculaire sur la scène principale rehaussé d’un feu d’artifice grandiose!

Réservations : www.nuitdeschoeurs.be

SENEFFE Mais avant cela, la douzième Nuit Musicale en partenariat avec l’orchestre national de LILLE vous fixe rendez-vous le 10 août prochain de 18h à minuit dans le magnifique domaine du Château de Seneffe.

Encore lui, toujours aussi romantique et accueillant. Lui aussi clôturé par un extraordinaire feu d’artifice.

Réservations : www.sherpa.be

BELOEIL Enfin Les Musicales de Beloeil 2013 ouvrent leurs portes le 7 septembre 2013. avec une ouverture des grilles dès 12h, afin de déjeuner dans un cadre champêtre et somptueux. Les concerts et spectacles débutent dès 14h disséminés dans le parc du Château de Beloeil sur les nombreuses scènes: récitals, musique de chambre, musique du monde, spectacles pour enfants

HIGHLIGHTS ÉTÉ 2013 : le tour de l’été en plus de 13 festivals…

ou encore cirque de rue. Ne manquez pas les concerts avec Orchestres dès 16h avec notamment l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie et l’Orchestre National de Lille sur la grande scène. En apothéose : le grand final à 21h consacré au Sacre du Printemps de «Stravinsky» suivi du superbe feu d’artifice spécial «25 ans d’amour».

Réservations : www.lesmusicalesdebeloeil.be

SPA Mais revenons encore et toujours au THÉÂTRE : Les Francofolies de Spa 2013 sont bien sûr le passage obligé pour les amoureux de la chanson….du 17 au 21 juillet, mais «Le» festival de Spa n’est pas en reste pour transformer la ville en cité estivale ardente du 9 au 20 août. Créé en 1959 par le Théâtre National, le Festival de Théâtre de Spa est aujourd’hui l’événement théâtral de l’été incontournable en Belgique francophone. Pour vous mettre l’eau à la bouche…il n’y aura pas moins de 6 créations, 19 spectacles, 45 représentations, 4 spectacles internationaux, 8 textes/adaptations d’auteurs belges, près de 10.000 places, des lectures, des rencontres, du théâtre de rue…

Découvrez la programmation complète début mai sur le site www.festivaldespa.be. Le festival est la vitrine de toute la production théâtrale belge, sans parti pris si ce n’est celui de la qualité et de l’accessibilité. Il propose, en outre, des espaces de rencontres inédites avec les auteurs, les comédiens et les metteurs en scène, ainsi que des lectures d’oeuvres contemporaines. Toutes les formes de théâtre y sont représentées: théâtre classique de répertoire, théâtre contemporain, cabaret-théâtre, théâtre musical, théâtre pour enfants... la liste des activités est longue dans cette ville bourdonnante de bonheur théâtral, l’été venu!

Un article signé Deashelle (mai 2013) 21

CONCOURS

A GAGNER

5 X 2 PLACES pour

«L’HOMOSEXUALITÉ OU LA DIFFICULTÉ DE S’EXPRIMER» pour le 7 juin à la Salle Delvaux (ULB Solbosch, bât. F-1) Av. Paul Héger 20 1050 Bruxelles 0474 34 52 99 Un cadeau original à faire, une envie de vous faire plaisir?

Vous trouverez à coup sûr votre bonheur chez Nanouche L qui accueille dans son espace créateurs des artisans aux talents variés. Vêtements, bijoux (fantaisie, argent, vermeil etc), doudous faits mains, objets de décoration etc. Des pièces originales, personnalisables, uniques.

Nanouche L

Rue de l’Hectolitre, 14 1000 Bruxelles Me au Sa: 11h - 18h30 Di: 10h30 - 16h

+32 (0)491 25 45 05

info@nanouchel.com www.nanouchel.com 22

Et si vous désirez juste vous posez quelques instants, installez-vous dans le salon de lecture pour découvrir des auteurs belges ou baladezvous dans l’espace Galerie qui propose chaque mois de nouvelles expositions. En mai, découvrez «It’s a Woman’s World» de Jean-Louis Boccar, un peintre qui pose un regard tendre, profond, sensuel sur nos douleurs, nos forces, nos couleurs de femmes. Une expo qui, en quelques traits, nous touche le coeur et l’âme... Et en juin, les sculptures de Stéphane Dubray nous interpellent dans «The Weight of the Glance»: et si nos déchets n’étaient pas inertes… Et si soudain ils prenaient vie et nous jetaient des regards accusateurs ? Des créations faites de matériaux recyclés, touchantes et attendrissantes.

Répondez à la question ci-dessous, envoyez votre réponse et vos coordonnées complètes (adresse et téléphone) à concours@entract.be en mentionnant «COPI» en objet, avant le 19 juin 2013.

Quel est le vrai nom de Copi ?

Un tirage au sort parmi les bonnes réponses déterminera les gagnants qui seront avertis par mail.

Grossiste en horeca, nous nous adressons aux professionnels comme aux particuliers, aux écoles et aux associations.

Cré Embal vous offre un service de qualité et un grand choix dans vos divers besoins.

Avenue Zénobe Gramme, 8 1300 Wavre Tél. 010/224 774 Fax 010/224 677 www.creembal.be creembal@skynet.be Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 18h.

Samedi de 9h à 16h.

IMPROVISONS…

IMPROVISONS…

installation d’univers. Les impros se font majoritairement en duo entre conjoints.

L’improvisation théâtrale se distingue des jeux de rôle et du psychodrame. Il ne s’agit pas de mettre en scène des relations existantes ou des situations vécues par les participants dans leur cadre privé mais de travailler sur des mises en situations imaginaires qui mettent les participants en interaction.

5ème édition

Vous êtes en couple dans la vie et vous souhaitez vous donner un moment ludique et original ensemble.

Florence Pire et l’asbl Ex-pression vous proposent un week-end d’improvisation théâtrale.

EN 2 MOTS… En impro, on invente des histoires, on rigole beaucoup et, mine de rien, on se nourrit.

QUELQUES EXPLICATIONS… En impro, tout est à créer. Les «jouteurs» sont à la fois scénaristes, metteurs en scène et interprètes.

Comme pour entrer en relation, l’impro demande d’aller vers l’autre, de s’exposer à son regard, d’assumer ses positions mais également de les remettre en question, de s’ouvrir à l’interactivité, de développer sa spontanéité, d’écouter et d’utiliser le langage verbal et le langage non verbal.

La construction de l’histoire côtoie la construction de la relation.

L’improvisation offre ainsi une démarche pertinente pour les couples, basée sur une logique constructive.

Etre un couple demande, en effet, une co-construction permanente pour progresser ensemble vers un même objectif. Cela exige d’être à l’écoute de toute parole et de tout geste de son partenaire pour pouvoir se compléter l’un l’autre, rester souples et être créatifs pour rebondir ensemble face à l’imprévu.

A la fin de l’atelier, les participants seront capables de pratiquer le «oui et …» (écoute, acceptation et proposition), règle d’or de l’impro.

Pratiquement, les séances se déroulent exclusivement sous forme d’exercices d’impro envisagés de manière progressive: construction d’histoires, création de personnages,

Le groupe est constitué de 6 couples maximum.

Pour en savoir plus, vous trouverez sur www.ex-pression.be, des articles sur l’improvisation théâtrale et ses différentes facettes selon Florence Pire, des vidéos et des témoignages.

ET PRATIQUER, C’EST ENCORE MIEUX… Quand ?

Les samedi 01 et dimanche 02 juin 2013 de 10h30 à 17h30.

Où ?

Asbl Ex-pression, 106 rue Georges Leclercq à 1190 Forest.

Combien ça coûte ?

85 euros / pers. pour le week-end.

PAR FLORENCE PIRE… Florence intervient avec l’improvisation théâtrale auprès de publics adultes depuis plus de 10 ans. D’une part, sociologue et systémicienne, et de l’autre, improvisatrice depuis 1994 et clown depuis 2004, son profil se situe au carrefour entre le relationnel et l’artistique, lui donnant une écoute pour ouvrir chacun à la rencontre avec soi et avec les autres, par la créativité et l’imaginaire.

INSCRIPTION : Ex-pression asbl www.ex-pression.be florence.pire@skynet.be 0478/80.44.41

Le carnet

de Laurence Bibot

Quand elle n’est pas sur scène ou à la radio, Laurence Bibot, Bruxelloise et heureuse de l’être, profite des plus chouettes endroits de la capitale. Elle nous dévoile ses lieux préférés… ✔ Bozar, une institution culturelle incontournable avec un programme varié, tant en peinture, que sur la scène théâtrale ou musicale. Bientôt : VALÉRIE MANNAERTS ‘Orlando’ Valérie Mannaerts présentera une sélection de ses sculptures, textiles, collages et dessins dans les espaces des années 30 de BOZAR. Palais des Beaux-Arts, rue Ravenstein 23, 1000 Bruxelles www.bozar.be ✔ Le Mirano, qui fait les belles heures du clubbing bruxellois depuis les années 80. Ce lieux mythique propose des soirées différentes, des avant-premières cinéma, des expo, des défilés, ect… La ligue d’impro s’y est installée pendant 10 ans. Chaussée de Louvain 38, 1210 Bruxelles www.mirano.be ✔ Le Variétés, situé au pied du fameux paquebot Flagey, s’est inspiré de l’atmosphère de l’ancienne Maison de la radio pour sa décoration intérieure. Les célèbres murs «Zebrano», les chaises ou les appliques rappellent les années 30. S’il attire une clientèle très variée, voire cosmopolite, le Variétés se remplit et se vide au rythme des spectacles voisins. Spécialité de la maison, le «Tartare de boeuf couteau aux herbes potagères» et un des meilleurs «Moelleux au chocolat» de la capitale. Place Sainte-Croix 4, 1050 Bruxelles ✔ Le bois de la Cambre, le « poumon vert » de Bruxelles, idéal pour se ressourcer, faire des balades, du jogging ou tout simplement respirer. Familles, sportifs, amoureux, jeunes et moins jeunes s’y retrouvent surtout dès que le soleil pointe le nez. Endroit prisé par Laurence qui y fait le plein d’énergie. ✔ ACTU de Laurence Bibot: «Ciao Ciao Bambino», l’histoire de Ciccio Bello, le nouveau joyau de Sébastien Ministru.

C’est une veillée funèbre, puisque Ciccio vient de nous quitter dans de mystérieuses circonstances. Ils sont venus, ils sont tous là: Charles, le jules de Ciccio, mais aussi la famille, Carmelo, Nancy, Dirk et Silvana, le professeur de Zumba. Rien que leurs prénoms et on comprend qu’on va très très bien s’amuser. Bref une réunion de famille italo-belge où on ne sait plus très bien ce qui est italo et ce qui est belge. Vive le cosmopolitisme !

Mise en scène : Nathalie Uffner Avec Laurence Bibot, Anna Cervinka, Antoine Guillaume, Alexis Goslain, Aurelio Mergola et Frédéric Nyssen

Du 17 avril au 1er juin, du mardi au samedi Théâtre de la Toison d’Or Galerie de la Toison d’Or 1050 Bruxelles - 02/510 0 510

DATES SUPPLÉMENTAIRES : mardis 14, 21, 28 mai et samedi 1er juin à 20h30 23

Jeune Le samedi 8 juin à 19h VOISEAU 4 Haut Théâtre Prix de l’Enfance aux Rencontres de Théâtre à Huy en 2011 Avec ce quatuor drolatique et coloré, swinguant sur des rythmes jazzy joués en direct, nous nous élançons à la poursuite d’un œuf qui ne veut pas voler.

Dans la pluie battante, le vent ou le beau temps, à cache-cache dans la forêt, devant ou derrière des écrans, perdus au milieu des dessins, la belle brochette de comédiens-musiciens suit les traces de Tati et de Charlot pour nous embrigader dans cet apprentissage de l’envol.

Samedi 25 Mai 20h30

Vendredi 14 juin 20h

LE VOYAGE INTRAORDINAIRE

LES ENFANTS IDIOTS

par Une Compagnie en co-production avec la compagnie Kiroul Coup de foudre de la presse lors des Rencontres de Huy 2012 Un acteur, une bicyclette, une lanterne, un sac à dos.

Partir… Quitter son village et ses meilleurs copains. Franchir l’horizon sans savoir ce qu’il y a au-delà.

Partir sans destination précise. Prêt à tout. Sans savoir ce que tu cherches.

Ni ce que tu trouveras. Comme une épreuve que tu t’imposes.

Ce sont des enfants idiots. Mais pas au sens où on l’entend habituellement.

Ils ne sont ni stupides, ni bons à rien.

Ils sont «idiots», au sens où ils nous donnent à voir le monde sous un angle étrange et envoûtant. Comme si leur tempérament était davantage imprégné de poésie que de réalisme.

Ils sont idiots comme ce cheval d’or qui tourne encore et encore sur son manège, sans jamais arriver nulle part. Idiot comme cet enfant qui veut entendre les cantiques de l’immense coquillage, de la mer haute et verte.

A travers dix récits brefs, ronds et juteux, «Les enfants idiots» tissent et entrelacent un univers étrange, où le magique et le mystère côtoient la réalité la plus banale, la plus triviale.

Chaque portrait est une vie intime, un rêve enfantin raconté depuis le monde intérieur, depuis la fantaisie et l’illusion, depuis la cruauté et le désordre de l’enfance.

©Yves Gabriel

©Gilles Desthexe

Une plongée souvent joyeuse, parfois étrange, inquiétante… L’aventure est intérieure.

par la compagnie de l’Arbre Rouge.

D’après «Los ninos tontos» d’Ana Maria Matute

©Gilles Desthexe

24

de 3à7 ans

Dès 10 ans

Dès 8 ans

Centre culturel Rue Jules Hans 4 1420 Braine L’Alleud 02 384 24 00

La Roseraie Chaussée d’Alsemberg, 1299 1180 Uccle 02 376 46 45

La Roseraie Chaussée d’Alsemberg, 1299 1180 Uccle 02 376 46 45

• Mille Poches Cie Hop Hop Hop

(France)

FESTIVAL INTERNATIONAL «L’ART ET LES TOUT-PETITS»

Mille Poches est un drôle de personnage flanqué de couvertures autour des membres et du corps. Il traîne toujours avec lui sa malle « magique » où se trouvent tous ses petits objets secrets.

Trois scientifiques-jardiniers passionnés de recherche musicale sur le monde des insectes ! Installés dans un camp de tentes, en plein air, ils invitent le public à visiter leur station biotechnique, leur laboratoire. Et l’on découvre le monde fascinant des insectes, grands et petits, chatouillant, avec leurs bruits… On ira de gratouille en gratouille dans cette curieuse aventure théâtrale et musicale

La Casa Incierta

Samedi 25 mai à 10h et à 15h

dès 6 mois

Dimanche 19 et lundi 20 mai à 10h et 14h.

dès 6 mois ©DR

• Le nid

• Concerto fragile

Dimanche 19 et lundi 20 mai à 10h et 14h.

dès 6 mois

Rencontre-spectacle-concert silencieux qui nous plonge dans le monde poétique des sons de la nature : son de vent, son de pluie, son d’étoiles, son de neige, son de feu, son d’ailes, son d’yeux, son de maman de pomme, son du temps.

Theater De spiegel Samedi 25 et dimanche 26 mai à 10h et 15h ©Marion Kahane

• Veillée douce

Ensemble Fa7 (France) Ce frémissant poème visuel et sonore déploie une magie étrange, aérienne qui dévoile en douceur ces moments délicieux d’avant le langage : sensations, émotions qui restent ‘Sur le bout de la langue’, que nous sommes incapables de mettre en mots, d’exprimer par les mots… Envoûtement des images, des musiques, du chant lyrique qui dessine les harmonies d’un paradis d’enfance enfoui en chacun de nous.

• Tic tac tic tac

Rencontre-spectacle silencieuse avec une scénographie réalisée avec des matériaux naturels (branches, feuilles, terre), de petites lumières et des horloges qui marquent un temps poétique sans durée, des mouvements délicats, tendres, parfois clownesques, sans mots.

Un spectacle né dans le contexte des Mondes fragiles d’Antonio Catalano et créé en collaboration avec lui. Dans une installation d’objets, de sculptures, de peintures, se met en scène la poétique fragile du petit-déjeuner, sa richesse évocatrice de la diversité culturelle. Le rituel du petit-déjeuner, chaque matin, comme si c’était la première fois. A travers chant et jeu, un spectacle tendre, délicat et plein d’émotions.

• Sur le bout de la langue

de 1 à 3 ans

dès 6 mois

de 9 mois à 3 ans

Une chanteuse et une clarinettiste basse cherchent avec le public l’intimité et la chaleur du nid. Pour se sentir en sécurité, couver un œuf, découvrir le monde rond du cercle, avant de s’envoler à nouveau.

Petits instants de la vie des oiseaux qui nichent, pondent, couvent, tombent, se redressent, rêvent et prennent leur envol en voletant.

Samedi 1er et Dimanche 2 juin à 10h et 15h

dès 10 mois ©DR

Dimanche 19 mai à 10, 14 et 16h et lundi 20 mai à 10 et 14h.

Dimanche 26 mai à 10h et 15h

Toute la journée, il se raconte des histoires, traverse des paysages de mer, de prairies, de montagnes,… et s’invente un ami pour partager ses rêves.

© Carlos Laredo

• Bzzz’t

La Casa Incierta (Espagne)

dès 2 ans

Dimanche 19 et lundi 20 mai à 11h et 15h.

Fort du succès remporté par les précédentes éditions, le Théâtre de la Montagne Magique invite les toutpetits à rencontrer, pour la 12ème année consécutive, des formes artistiques ouvertes, propres à stimuler leur imaginaire.

• Petit-déjeuner fragile

© Carlos-Laredo

Du 11 mai au 2 juin 2013.

Depuis vingt ans, Fa7 conçoit des spectacles musicaux pour le très jeune public. Avec Veillée douce, la compagnie expérimente la rencontre étonnante de la musique et de la parole : la musique comme parole, le verbe comme musique. Des mots et des sons dans un boudoir chaleureux, un nid tout blanc au cœur de l’imaginaire de chacun, éclairé par deux grappes d’abats-jours.

Pas d’histoires de lutins, de fées ou de sorcières, mais des mots qui se mettent à jouer entre eux, pour leurs sonorités.

Allitérations, assonances, onomatopées, borborygmes explosent, carambolent au son de la clarinette qui s’envole et susurre. Un joyeux feu d’artifice tout en douceur.

Tout le programme sur www.montagnemagique.be Théâtre de la Montagne Magique Rue du Marais 57 1000 Bruxelles 02 210 15 90 25

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Echos deParis n DEMAIN IL FERA JOUR

n LES COLOCS

Une pièce qui explore la psychologie avec intensité et profondeur et nous donne à réentendre la magistrale écriture d’un des grands poètes dramatiques du vingtième siècle.

Depuis 8 ans à l’affiche, cette comédie culte met en scène 3 boulets attendrissants… Jubilatoire !

Juin 1944. Gillou, adolescent de dix-sept ans, rêve de s’engager dans un réseau de la Résistance. Son père cherche à l’en dissuader jusqu’au jour où il reçoit une lettre de menace. Peu ou prou collaborateur, Georges se sent en danger de dénonciation.

Pour se dédouaner, il encourage son fils à rejoindre le rang des combattants. À la première escarmouche, Gillou est tué.

Dans Demain il fera jour, un père, patriote ulcéré de 1940 n’est plus qu’un défaitiste, qui a plaidé pour les collaborateurs et qui, non content de s’enfoncer lui-même dans la bassesse, n’hésite pas, par peur de représailles, à sacrifier son fils, en l’envoyant se faire tuer dans la Résistance. En quatre ans, le père cornélien est devenu un pleutre, tandis que la « larve » s’est métamorphosée en un héros authentique.

Montherlant nous parle de l’ambiguïté et de l’inconscience humaine sous l’occupation.

«Payez-vous une bonne tranche de rire avec les Colocs. Un spectacle qui mêle quiproquos, situations hilarantes, disputes et crises de nerf. (...) Une comédie aussi débridée que jubilatoire (...) Mélange de Pieds nickelés et de Marx Brothers, ces trois colocs sont capables de tout. Comme de parodier Luis Mariano dans un entraînant « Toxico ». Ou d’assommer la soeur de Jano, confondue par mégarde avec la proprio. Pour notre plus grand plaisir.» M.-E. G., Le Parisien Robert, un glandeur de premier choix et Jano, un benêt timide, sont «montés sur la capitale» pour devenir comédiens. Fauchés, rmistes, ces looseurs à l’accent chantant cherchent une colocatrice pour soulager le loyer, et plus si affinités… Mais, surprise ! C’est Jean-Phil , comédien homosexuel, qui débarque, un parisien arrivant tout droit du Marais… Nos 2 amis méridionaux se sont préparés à tout sauf à « ça » ! Quiproquos, surprises et crises de nerfs... tous les ingrédients du café-théâtre de boulevard sont réunis dans cette comédie irrésistible. Alors oubliez vos soucis, et laissez-vous entraîner par Les Colocs dans leur univers absurde et décalé.

©DDM, J-C Boyer

Fous rires garantis.

Texte de Jean Heredia, Patrick Hernandez et Robert Punzano Mise en scène de Patrick Hernandez

Avec Léa Drucker, Michel Fau, Loïc Mobihan et Roman Girelli

Avec Jean Heredia en alternance avec Cyril Rosique, Jean-Philippe Lagarde en alternance avec Stéphane Yves, Robert Punzano en alternance avec Jean-Marc Keller ou William Dreyfus ou Martin Magli ou Stéphane Martinet

Du 20 avril au 29 mai 2013

Jusqu’au 30 juin 2013

De Henry de Montherlant Mise en scène de Michel Fau

vre Théâtre de L’œu009 Paris - 75 55 Rue de Clichy 88 00 33 1 44 53 88

édie La Grande Com009 Paris - 75 42, Rue de Clichy 65 00 33 1 48 74 03

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Dans les Etoiles...

Gaëtan Colin

A 34 ans, Gaëtan Colin change de toque comme de baskets. Ce jeune chef étoilé partage ses journées entre le Jaloa Gastronomique, la Brasserie du Jaloa et le restaurant D’Oude Pastorie à Kraainem. Un rythme qui lui réussit plutôt bien, comme en témoignent ses nombreux titres et récompenses…

Belen Ucros

Trois restaurants pour un seul homme, c’est beaucoup!

Aujourd’hui, qu’est-ce qui vous plait le plus?

J’avais 24 ans quand j’ai ouvert mon premier restaurant, le Jaloa. Au départ je proposais une cuisine assez simple, je n’avais plus envie de faire une cuisine étoilée comme dans les grandes maisons où j’avais travaillé. Au fur et à mesure que les clients m’ont retrouvé, à leur demande, on a commencé avec un petit menu gastro, deux menus, une carte gastro… Au bout de deux, trois ans, l’endroit était devenu trop petit. J’ai déménagé place Sainte Catherine. Et là, je me suis rendu compte que c’était beaucoup trop grand! Avec 90 couverts par service, je n’arrivais plus à offrir la qualité que je voulais. J’ai transformé les lieux en brasserie et déplacé le Jaloa Gastronomique un peu plus loin, Quai aux Barques. C’est la plus vieille bâtisse de Bruxelles, dernier vestige du couvent de la Sainte-Croix (XVème siècle). Ici on a 35 couverts maximum, ce qui nous permet de continuer à soigner la clientèle. Il y a un an, j’ai repris un restaurant à Kraainem, D’Oude Pastorie, un ancien presbytère du XVIIe, en plein cœur du parc du Château Jourdain. On propose de la bistronomie, avec un accent sur la cuisson des viandes au feu de bois.

Et en matière de cuisine, ce qui m’intéresse, c’est la création. Mettre au point un plat spécial et une fois qu’il est abouti, laisser faire mes équipes. J’aime aussi beaucoup le contact avec la clientèle, avec mes gars. On est 35 à bosser ensemble dans mon établissement, c’est comme une grande famille.

Qui vous a donné l’envie de faire ce métier?

Mes parents! Mon père est architecte et ma mère travaille dans le milieu médical. Ce sont des cuisiniers hors pair, je pourrais presque les engager ici! Ils m’ont donné le goût des bonnes choses. J’avais 14 ans quand j’ai dit à mon père que je voulais faire ce métier. Il n’était pas chaud. Pendant deux mois il m’a fait travailler dans un resto qui avait une étoile au Michelin. Il avait demandé au chef de cuisine de tout faire pour me dégoûter. Au bout de deux mois, le chef lui a dit ; «Ecoutez Monsieur, votre fils est fait pour ça!» Et voilà, c’est comme ça que j’ai gagné le droit de m’inscrire à l’école hôtelière!

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Depuis vos débuts, comment évolue votre cuisine?

Vers la simplification. La restauration, c’est un métier qui se vole.

Il faut aller voler à chaque chef un petit peu de ce qu’il connait le mieux pour après inventer sa propre cuisine. Tout cuisinier passe par là: d’abord on recopie, ensuite on mélange un peu. On essaie d’assembler beaucoup de produits, puis on parvient enfin à créer son propre univers et à se concentrer sur quelques éléments de base. Moi je simplifie ma cuisine au maximum. J’ai recopié, j’ai compliqué, maintenant je simplifie.

«La n, o i t a r u resta métier c’est un vole!» qui se

Comment la caractérisez-vous?

C’est une cuisine «créa classique» (rires)! Attention, ça va un pas plus loin que la ‘bistronomie’. La clientèle qui va dans un restaurant une étoile, recherche un instant de magie, un moment privilégié. C’est bien d’avoir des classiques mais il faut qu’ils soient revus, qu’on ne puisse pas les refaire à la maison. En amuse-bouche, on sert un chicon au gratin revisité. C’est très sympa, très agréable en bouche (NDLR: c’est une sorte de déconstruction du chicon au gratin présentée avec des tuiles de parmesan, des dés de jambon et une espuma au chicon). En bistronomie, on se contente de préparer le chicon au gratin. C’est ce que je propose à la brasserie.

Une réflexion à propos du scandale des plats préparés soulevé ces derniers mois?

Je ne comprends déjà pas pourquoi on achète ce genre de produits! C’est

tellement facile de se faire à manger…

Dans l’après-midi, j’ai deux heures de battement où je vais chercher mes filles à l’école. Je cuisine un potage, un hachis Parmentier… Ça prend 20 minutes de le préparer et puis 20 minutes de cuisson au four. Même si on n’a pas le temps, il vaut mieux se faire une tartine.

Vous aimez les challenges.

Rêvez-vous d’une deuxième étoile?

Non, non. La première étoile, c’est la cuisine. La deuxième, c’est le service, la vaisselle, le cadre… Moi ce que je veux, c’est que les gens viennent chez moi pour bien manger. Pas pour qu’ils se sentent mal à l’aise avec des serveurs qui tournent autour d’eux en permanence. Je n’ai pas envie d’un truc coincé ou bling bling.

Toutes ces titres, ces récompenses, les considérez-vous comme un marchepied ou une contrainte?

Mis à part le temps de travail que ça représente, les concours comme le Bocuse d’Or, ce n’est pas une contrainte… C’est que du bonheur. On se retrouve entre chefs, on cuisine ensemble, on fait la fête.

J’aime beaucoup ça… L’étoile, le 16/20 au Gault & Millau, c’est autre chose. On est surveillé en permanence, constamment critiqué. On ne peut pas plaire à tout le monde, ça c’est sûr. Je remarque que

même les clients qui venaient chez moi avant mon étoile sont plus exigeants qu’avant. Pourtant on fait exactement la même cuisine. On n’a rien changé depuis.

Ni nos prix, d’ailleurs. Ça c’est le revers de la médaille…

✔ 1 Etoile au Michelin 2013

Suivez-vous l’émission Top Chef?

✔ Maître cuisinier de Belgique en 2009

Je n’ai pas l’occasion de regarder beaucoup la télé mais j’aime bien le principe. Les gens de Top Chef aimeraient que je participe à l’émission. Il y a quelques années, j’aurais relevé le défi. Aujourd’hui je suis trop loin. Imaginez ce qui se passerait si je ne remportais pas le titre... Mes clients ne seraient pas contents (rires)!

✔ 16/20 au Gault & Millau 2013 ✔ Finaliste au concours Le Bocuse d’Or 2011

✔ Jeune restaurateur d’Europe ✔ Membre de l’Académie Culinaire de France ✔ Membre de la Chaîne des rôtisseurs de Belgique

Que faites-vous quand vous levez le pied? Vous allez au théâtre?

Avec mes 3 restaurants, il ne me reste plus beaucoup de temps libre. Du coup je privilégie ma vie de famille. J’ai trois filles (NDLR: Jade et Loane, les deux premières, ont donné leur nom au Jaloa.

La petite dernière Léa n’a pas encore eu ce privilège!) Je me lève à l’aube pour aller conduire les enfants à l’école et je passe un peu de temps avec elles après l’école. Sinon, j’ai repris le sport. Je suis inscrit dans une petite salle et j’ai un coach particulier.

Belen Ucros

La Brasserie du Jaloa Place Sainte Catherine 5-7 1000 Bruxelles Tél.: 02/512.18.31 Ouvert tous les jours.

Jaloa Gastronomique Quai aux Barques 4 1000 Bruxelles Tél.: 02/513.19.92

Ouvert du mardi au samedi Service voiturier.

D’Oude Pastorie Chemin des Curés 1 1950 Kraainem Tél.: 02/720.63.46 Ouvert du mercredi au dimanche.

www. jaloa.com 29

ILS SONT DE RETOUR !!!

LADIES NIGHT

Une pièce d’Anthony Mc Carten, Stephen Sinclair et Jacques Collard Mise en scène : Daniel Hanssens Avec : Rosalia Cuevas, Georges Lini, Eric De Staercke, Michel Hinderyckx, Frederik Haùgness, Philippe Résimont, Pierre Pigeolet et Bruce Ellison Dans une ville ouvrière du Nord, une bande de copains, six chômeurs en fin de droit, un black, un meneur, un timide, un rond, une grande gueule, un rocker plus le patron du bar se lancent un défi: faire un strip-tease d’hommes, comme les Chippendales, pour «gagner de la tune», épater les filles et se prouver qu’ils sont encore capables d’exister au delà de leur détresse sociale, familiale et morale. Ils sortiront le grand jeu grâce à Glenda, ex-danseuse, qui les soutiendra et les mènera au show final!

«Ils veulent le faire, ils peuvent le faire, ils vont le faire!»

Cette pièce nous plonge dans un

Sous le chapiteau du Cirque Pauwels – Hippodrome de Boitsfort Infos : www.comediedebruxelles.be Réservations : 02 560 21 21 www.ticketnet.be

Gros succès du théâtre!!!

JEUX DE SCÈNE

Horizontalement :

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1 : Il écrit des pièces de théâtre 4 : Evénement qui met fin à l’intrigue 7 : Début d’une pièce qui présente les personnages et la situation 8 : Pièce de théâtre au dénouement malheureux qui met en scène rois et princes 9 : Méprise qui fait prendre une personne ou une situation pour une autre

Verticalement :

1 : Situation dans laquelle le héros doit choisir entre deux options contraires 2 : Réplique prononcée à part, sans être entendu par les autres personnages 3 : Répliques courtes et vives qui s’enchaînent 5 : Quand un personnage parle seul en scène 6 : Action scénique qui provoque le rire et dont le dénouement est heureux 8 : Longue réplique 10 : Répétition d’un mot ou d’une expression au début de phrases ou de vers successifs Solution sur le site www.entract.be rubrique Concours 30

DU 14 AU 25 MAI 2013

univers réaliste au départ, celui d’une société en crise, et nous entraîne vers une situation décalée, dans un dialogue tonique et populaire, empreint d’humour et de dérision.

Ag L’Institut Benjamenta de Robert Walser. Reprise. Mise en scène Nicolas Luçon. Nominé aux Prix de la Critique 2011 comme Meilleure Création artistique et technique, Prix du meilleur espoir masculin (Benoît Piret)

Du 3 au 11 mai 20h30 Théâtre Océan Nord Rue Vandeweyer 63 1030 Bruxelles-02 216 75 55

What if… entre l’eau et lac.

Créé par Gwen Berrou , Claudia Gäbler, Christiane Hommelsheim et Clément Thirion. Texte : Woyzeck de Georg Büchner.

Les 9, 10 et 11 mai 20h Théâtre de la Vie Rue Traversière 45 1210 Bruxelles-02 219 60 06

Pièce Montée

Ladies Night

de Pierre Palmade. Mise en scène de Frédéric Génovèse.

Avec Françoise Licour

(Comédie de BXL) Avec Rosalia Cuevas, Eric De Staercke,…

Du vendredi 19 avril au dimanche 12 mai 2013 20h30 (Dim. 15h) Théâtre de la Flûte enchantée Rue du printemps 18 1050 Ixelles - 02 660 79 50

Du 14 au 25 mai (Sauf les 19 et 20) 20h Sous le chapiteau du Cirque Pauwels à l’Hippodrome de Boitsfort 02 560 21 21

Birdsong

Karl Marx, le retour

Walli Höfinger et Christiane Hommelsheim

d’Howar Zinn. Mise en scène Fabrice Gardin. Avec Michel Poncelet.

Les 16, 17 et 18 mai 20h Théâtre de la Vie Rue Traversière 45 1210 Bruxelles 02 219 60 06

Du 19 avril au 25 mai 20h15 (Sauf les mardis à 19h) Théâtre de la Place des Martyrs Place des Martyrs, 22 1000 Bruxelles 02 223 32 08

La vie c’est comme un arbre

Le mystère Sherlock Holmes

Ecriture et mise en scène : Mohamed Allouchi et Rachid Hirchi

de Thierry Janssen, d’après Conan Doyle. Mise en scène Jasmina Douieb. Avec Othmane Moumen, Thierry Janssen,…

de Bill C. Davis. Adaptation de Jean Piat. Mise en scène Léonil Mc Cormick Avec Jean-Claude Frison et Bernard d’Oultremont

Du 18 avril au 18 mai 20h15 (Dim. 15h) Théâtre Royal du Parc Rue de la Loi 3 1000 Bruxelles-02 505 30 30

Du 18 avril au 26 mai 20h30 (Dim. 18h ou 16h) Théâtre de la Valette Rue Basse 11 1460 Ittre - 067 64 81 11

Looking for Moira

Tout ce que je serai

(Accueil) de et à la mise en scène Maxime Anselin

d’Allan Ball. Mise en scène Christine Delmotte. Sur-titré en anglais et néerlandais.

Les 10 et 11 mai 20h Centre culturel Rue Rouge 47 1180 Uccle 02 374 64 84

Rien à signaler ‘Getting Attention’ de Martin Crimp. Traduction de Séverine Magois. Mise en scène Georges Lini.

Du 16 avril au 11 mai 20h30 Théâtre de Poche Avenue du Gymnase, 1a 1000 Bruxelles 02 649 17 27

Du 14 au 19 mai Théâtre de la Flûte enchantée Rue du printemps 18 1050 Ixelles 02 660 79 50

L’Affrontement

Du 18 avril au 26 mai 20h30 (Sauf les mardis à 19h) Théâtre de la Place des Martyrs Place des Martyrs 22 1000 Bruxelles 02 223 32 08

La Chauve-souris.

Cluedhome

Affreuses

Chef-d’œuvre de Johann Strauss. Spectacle Opérette.

Co-écrit et mis en scène par Max Lebras. Avec Véronique de Miomandre. Spectacle réalisé à

Lorette Goosse et Evelyne Rambeaux Mise en scène de Loli Warin

Le dimanche 12 mai à 15h Centre culturel Bd du Souverain, 183 1160 Auderghem 02 660 03 03

partir d’interviews de personnes âgées dans les maisons de retraite où la conteuse raconte régulièrement.

Le mercredi 22 mai Salle polyvalente Mercelis Rue Mercelis 13 1050 Bruxelles-02 515 64 63

Du 28 mai au 1er juin et du 2 au 19 octobre La Samaritaine Rue de la Samaritaine 6 1000 Bruxelles 02 511 33 95

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Ag Ciao Ciao Bambino

Les Pétasses

Illusions

de Sébastien Ministru.

Avec Laurence Bibot, Antoine Guillaume, …

de et avec J-F Breuer, Ariane Rousseau, Nathalie Uffner et Aurelio Mergola

de Jack Cooper (Magie). Avec Jack Cooper et Frédéric Budo.

Le tour du monde en 80 jours

L’homosexuel ou la difficulté de s’exprimer

Le bourgeois gentilhomme

Du 17 avril au 1er juin 20h30 Dates supplémentaires: 14, 21, 28 mai et 1er juin Théâtre de la Toison d’Or Galerie de la Toison d’Or 1050 Ixelles - 02 510 05 10

de Thierry Janssen, d’après Jules Verne. Reprise exceptionnelle.

Du 24 mai au 2 juin 20h15 Théâtre Royal du Parc Rue de la Loi 3 1000 Bruxelles 02 505 30 30

Du 31 mai au 15 juin 20h30 Salle Delvaux (ULB Solbosch, bât. F-1) Av. Paul Héger 20 1050 Bruxelles 0474 34 52 99

de Molière. Mise en scène Serge Demoulin. Avec Michel Kacenelenbogen, Anne Sylvain, Jeanne Kacenelenbogen,…

Du 9 mai au 29 juin Théâtre Le Public Rue Braemt 64-70 1210 Bruxelles 0800 944 44

La nuit sera chaude

Les 39 marches

de Georges Bizet. Opéra/ Création.

de Josiane Balasko. Mise en scène Robert Dubois. Avec Annick Cornette, Jacqueline Préseau, Robert Bubois,…

de John Buchan et Alfred Hitchock. Adaptation fr.

Gérald Sibleyras. Mise en scène Olivier Massart.

Faites l’amour avec un Belge

Claque

les samedis à 20h et les dimanches à 18h

Poème 2 30, rue d’Écosse, 1060 Bruxelles 02 538 63 58

XL, because size does matter suivi de M, Une pièce moyenne de Maria Clara Villa Lobos ©A.Servranckx

de Copi. Mise en scène de Andres Cifuentes.

Du 7 mai au 29 juin Théâtre Le Public Rue Braemt 64-70 1210 Bruxelles 0800 944 44

Carmen Du 4 mai au 2 juin

Du 5 au 8 juin Théâtre des Tanneurs 75-77, rue des Tanneurs 1000 Bruxelles 02 512 17 84

Le roi de la danse -Mohammed Ali d’Olivier Coyette. Mise en scène Olivier Coyette. Avec LÉ ! Minoungou.

ANNUEtienne

Du 21 mai au 8 juin 20h30 Théâtre de Poche Avenue du Gymnase, 1a 1000 Bruxelles 02 649 17 27

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Avant-Première Du 5 au 8 juin 20h30 Théâtre de la Toison d’Or Galerie de la Toison d’Or 1050 Ixelles 02 510 05 10

Du 24 mai au 16 juin Théâtre de la Flûte enchantée Rue du Printemps 18 1050 Bruxelles 02 660 79 50

Michaël Dufour et France Renard

Le 22 juin 20h30 Centre Culturel Bd du Souverain 183 1160 Auderghem 02 660 03 03

Du 16 mai au 29 juin Théâtre Le Public Rue Braemt 64-70 1210 Bruxelles 0800 944 44

de et avec Benoît Verhaert

Du 19 au 29 juin 20h30 (relâche dimanche et lundi)

La Samaritaine Rue de la Samaritaine 16 1000 Bruxelles 02 511 33 95

ION !

DERNIERE REPRESENTAT

Eternel-Ville Sébastien Vandenberghe et Antonio Barile

Du 19 au 22 juin 20h30 Théâtre de la Clarencière Rue du Belvédère 20 1050 Bruxelles 02 640 46 76

www.entract.be www.facebook.com/pages/ EntrAct/121776241306210?fref=ts

CONCOURS

Parade de printemps

A GAGNER

3 X 2 PLACES pour

«BIRDSONG» pour le 16 mai Théâtre de la Vie Rue Traversière 45 1210 Bruxelles 02 219 60 06

Téléphonez le jeudi 16 mai entre 10h et 10h30 au 02 687 56 76 et répondez à la question suivante:

De quelle ville sont originaires Christiane Hommelsheim et Walli Höfinger?

Les trois premiers à donner la bonne réponse remporteront les places.

Rosado Rodriguez Francisco mieux connu comme le clown -magicien Filipo l’Arlequin et Serge Devos (professeur d’art dramatique à l’Académie d’ Ixelles) alias le clown Sergio initient ensemble, un tout nouveau projet «villageois» familial, bon enfant, «Homborch en fête» en partenariat avec la commune d’Uccle. nfos Dimanche 19 mai 2013 dès 9h00.

Plus d’i Filipo de • de 8h à 18h : Brocante pour enfants (2€) auprès 60386 / 7 8 • de 10h à 20h : Animations diverses 04 9 • à 11h30 & 13h : Représentations du spectacle du Théâtre du Ratinet • à 14h30 : Lancer de chats... en peluche devant l’église St-Joseph sur le parvis Chantecler • de 15h à 16h30 : Parade déambulatoire (départ parvis Chantecler, passage par les artères Kriekenput-Furet-Jean de la FontaineHérisson-Faons, arrivée Place du Chat Botté pour le rondeau final) • 18h : Brûlage du «Bonhomme Crise» sur la Place du Chat Botté • 19h : Spectacle de Théâtre en plein air • 20h : Concert de Matt John Stone

ASAP as sun as possible.

Faites entrer le soleil

Venez découvrir la nouvelle Beetle Cabrio chez votre concessionnaire Volkswagen.

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Roue n Skoda Rapid : familiale Astucieuse, la Rapid ! Sous ses allures débonnaires de berline compacte classique, elle est toutefois nantie d’un immense et bien pratique hayon qui s’ouvre sur un coffre de 550 à 1490 litres. Son design et son habitabilité sont franchement réussis.

Positionnée entre la Fabia et l’Octavia récemment remise au goût du jour, cette Rapid (4,48 m X 1,71 X 1,46) abrite tant des motorisations essence de 1200 cc (75, 86,105 ch) et 1400 cc (122 ch) que diesel de 1600 cc (105 ch). La transmission est confiée à une boîte manuelle à 5 rapports, exception du plus puissant bloc essence qui se voit accouplé à une boîte auto DSG en provenance de VW. Entre cousins, on peut être malin …

Sympathique en diable et irrésistible pour qui recherche de l’espace, la Rapid s’avoue aussi astucieuse avec son grattoir à glace scotché au dos de la trappe à carburant. Pour ce qui est de son caractère, il est à ranger parmi ceux des bons pères de famille : posés et sans chichi. Car son patronyme Rapid n’a rien à voir avec Sportif. Six finitions figurent sur la palette graduée de 16.490 à 21.440 euros.

Bob Monard.

n Vw Golf 7 : L’Auto de l’Année !

Si tout un chacun se souvient de la Cox réapparue en Bettle fin des années nonante et récemment up dated en Coccinelle, il y a fort à parier que les générations des seventies se remémoreront longtemps la Golf. Dévoilée en 1974, elle en est aujourd’hui à sa 7ème génération après avoir séduit quelques 29 millions d’automobilistes. Et vient de décrocher le titre européen de «Voiture de l’Année ».

Allégée de 100 kg, plus confortable, plus sûre, plus agile et consommant 15% de moins que la Golf 6 , der neue Golf embarque cinq types de conduite conditionnant la suspension, la direction et le moteur. Plus basse, pas peu fière de son capot étiré et ceinturé de très séduisantes optiques, la Golf 2013 se veut durable en embarquant beaucoup de plus value : le soutien latéral et des reins de ses sièges, sa finition, son habitabilité, son riche équipement standard,…la star ne fait pas dans l’étriqué. Sous le capot, des blocs essence de 1200 cc (85 ch) et 1400 cc (140 ch) ainsi que des diesel de 1600 cc (105 ch), 2 litres (150 ch) associés tant à des boîtes mécaniques à 5 et 6 rapports ou automatiques DSG à 6 et 7 vitesses qui commandent le train avant.

Sa tenue de cap, sa maniabilité, le souffle de ses motorisations, son habitabilité et son coffre de 380 à 1270 litres,…elle collectionne les superlatifs avec une insolente détermination. Les aides à la conduite, l’infodivertissement complètent ce tableau de maître disponible dès 17.990 euros.

Bob Monard.

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Page 1

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