SÉLECTION PRESSE MAI 2016
09/06/2016
Lawrence Foster et Momo Kodama, invités de l’Orchestre de Chambre de Paris « Concert « La Scène « ResMusica
LAWRENCE FOSTER ET MOMO KODAMA, INVITÉS DE L’ORCHESTRE DE CHAMBRE DE PARIS Le 20 mai 2016 par Agnès Simon Concert, La Scène, Musique de chambre et récital, Musique symphonique Paris. Théâtre des Champs-Élysées. 17-V-2016. Franz Schubert (1797-1828) : Symphonie n° 1 en ré majeur D. 82 ; Symphonie n° 2 en si bémol majeur D. 125. Frédéric Chopin (18101849) : Concerto pour piano n°2 en fa mineur op. 44. Antonín Dvořák (1841-1904) : Quatre pièces romantiques pour violon et piano op. 75, B. 106. Momo Kodama, piano. Deborah Nemtanu, violon. Orchestre de Chambre de Paris ; direction : Lawrence Foster.
France Île-de-France Paris Théâtre des Champs-Elysées Le Théâtre des ChampsÉlysées a été le lieu de belles rencontres entre l’Orchestre de chambre de Paris, le chef Lawrence Foster, la pianiste Momo Kodama et la violoniste Deborah Nemtanu, super soliste de l’orchestre. Le titre du programme « Mélodies romantiques » avait de quoi induire en erreur. Le concert commence et s’achève en effet sur les deux premières symphonies de Schubert, composées à 16 et 17 ans et encore fortement marquées par ses aînés (Mozart, Haydn, Salieri, le jeune Beethoven). La première, de composition très classique et mozartienne, laisse la part belle aux pupitres de vents, dont il faut saluer la qualité des instrumentistes durant tout le concert : présence et précision de la flûte, timbre parfait des hautbois donnent charme et intérêt à ces œuvres, qui étaient en réalité des exercices de conservatoire. Sous la direction précise et enthousiaste de Lawrence Foster, l’orchestre est plein d’un enjouement juvénile, notamment dans le Menuet où les basses appuient gaiement sur le rythme de danse populaire, le ländler. La Symphonie n°2 est plus élaborée et variée. L’orchestre a l’occasion de montrer son épaisseur, de jouer des contrastes beethovéniens, en particulier dans le premier mouvement, ou dans le Presto final enthousiasmant. Le Concerto n°2 de Chopin ouvre sur le romantisme, avec au piano la Japonaise francophile Momo Kodama, reconnue notamment pour ses interprétations de Messiaen. Les amateurs de musique passionnée ou brillante auront été déçus. C’est ici une version presque intimiste, « de chambre », qui est donnée par Momo Kodama, fondée sur une virtuosité non démonstrative et sans faille, mais également peu contrastée. Dans le premier mouvement, la pianiste laisse par moment son jeu se fondre dans l’accompagnement orchestral (par exemple dans les traits virtuoses ascendants et descendants), qui pourtant n’est qu’un soutien à la main gauche, et ne joue aucun sforzando ni crescendo. En revanche sa grande délicatesse de toucher convient particulièrement au Larghetto, alors véritable nocturne. La pianiste sait aussi valoriser les rythmes de mazurka du troisième mouvement, même si c’est une mazurka de salon, sans claquement de bottes. Puis la pianiste est rejointe par Deborah Nemtanu et elles se montrent parfaitement complémentaires pour leur première en duo dans Quatre pièces romantiques de Dvořák. Voici quatre petites perles toutes poétiques : une romance empreinte de fausse simplicité schumannienne, un thème slave et dansant, à laquelle la violoniste prête son énergie, un allegro servi par un piano léger et volubile et surtout le larghetto final, dont le motif si simple est répété, tout en exprimant différentes nuances de la mélancolie. Plus que l’unité un peu factice du programme, c’est la qualité des interprètes et les choix d’œuvres originaux de l’Orchestre de chambre de Paris qui ont fait la réussite de cette soirée. Crédits photographiques : Lawrence Foster © Marc Ginot ; Momo Kodama © Marco Borggreve
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Lawrence Foster et Momo Kodama, invités de l’Orchestre de Chambre de Paris « Concert « La Scène « ResMusica
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09/06/2016
John Nelson dirige L’Orchestre de chambre de Paris à Notre-Dame - Fauré et MacMillan en regard - Compte-rendu | Concertclassic
Journal John Nelson dirige L’Orchestre de chambre de Paris à Notre-Dame - Fauré et MacMillan en regard - Compterendu
Pierre-René SERNA Lire les articles >> Plus d’infos sur Cathédrale Notre Dame de Paris Le temps d’un concert, l’Orchestre de chambre de Paris retrouve celui qui fut naguère, de 1998 à 2009, son directeur musical : John Nelson. Le programme à Notre-Dame de Paris lui en est redevable, faisant côtoyer le Requiem de Fauré et le Credo du compositeur britannique James MacMillan (né en 1959). Deux œuvres de la liturgie catholique appelées à se compléter, à travers le caractère intimiste du premier et les débordements du second. Le grand attrait du concert est la participation d’un chœur d’enfants, venu de la Maîtrise de Notre-Dame et que dirige Émilie Fleury, dont la couleur diaphane s’accorde idéalement à ces ouvrages. Une soliste soprano enfant (Claire Macé), ajoute, dans le Requiem, une tonalité gracile tout autant évanescente (comme le désirait Fauré, quand il avait confié sa création à l’enfant qu’était encore le compositeur Louis Aubert). De ce jeu de couleurs légères, auquel contribue le petit effectif orchestral (43 musiciens), complété d’un chœur d’adultes d’une dizaine de voix, Nelson tire la substantifique moelle. Pour un Requiem aérien, dont les volutes bercées nimbent celles de l’architecture gothique. Car, étrangement, dans ce lieu démesuré qu’est la cathédrale parisienne, l’acoustique se perd surtout pour les grandes masses musicales. Tout juste regrettera-t-on l’intervention du baryton soliste, Matthew Brook, un peu trop appuyé pour sa partie théoriquement élégiaque. Une égale efficacité de la direction emporte et soulève les interprètes du Credo, composé par MacMillan en 2011, d’une facture véhémente et contrastée, dans une structure d’essence dramatique et un langage qui ne craint pas d’allier consonances et dissonances. http://www.concertclassic.com/article/john-nelson-dirige-lorchestre-de-chambre-de-paris-notre-dame-faure-et-macmillan-en-regard
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09/06/2016
John Nelson dirige L’Orchestre de chambre de Paris à Notre-Dame - Fauré et MacMillan en regard - Compte-rendu | Concertclassic
Contrepoint et apport judicieux à Fauré (dont le Requiem s’abstient du Credo comme de tout effet tempétueux). Et témoignage des facettes multiples où excellent John Nelson et un Orchestre de chambre de Paris à son meilleur. Pierre-René Serna
Paris, Cathédrale Notre-Dame, 24 mai 2016. Photo John Nelson © Marco Borggreve
http://www.concertclassic.com/article/john-nelson-dirige-lorchestre-de-chambre-de-paris-notre-dame-faure-et-macmillan-en-regard
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09/06/2016
À Notre-Dame, puissance et sobriété avec MacMillan et Fauré « Concert « La Scène « ResMusica
À NOTREDAME, PUISSANCE ET SOBRIÉTÉ AVEC MACMILLAN ET FAURÉ Le 30 mai 2016 par Numa des Borderies Concert, La Scène Musique Sacrée à Notre-Dame de Paris Paris. Notre-Dame de Paris. 4-V-2016. Gabriel Fauré (1845-1924) : Cantique de Jean Racine ; Requiem ; James MacMillan (né en 1959) : Credo. Matthew Brook : basse-baryton ; Maîtrise Notre-Dame de Paris, direction : Henri Chalet ; Orchestre de chambre de Paris, direction : John Nelson.
France Île-de-France Paris Cathédrale Notre-Dame À NotreDame de Paris, nous avons assisté à la première des deux soirées associant l’intensité foisonnante d’une oeuvre contemporaine, le Credo de MacMillan, et la sérénité lumineuse du Requiem et du Cantique de Jean Racine de Fauré. À la baguette, John Nelson dirigeait tout à la fois l’Orchestre de chambre de Paris, le baryton-basse Matthew Brook, le Chœur d’enfants et le Chœur d’adultes de la Maîtrise Notre-Dame de Paris. En ouverture, le magnifique Cantique de JeanRacine, œuvre de jeunesse de Gabriel Fauré et véritable canon du répertoire vocal semble malheureusement exécuté de manière un peu rapide et sans beaucoup de nuances ni de crescendo. Est-ce une manière de rester fidèle à sa simplicité canonique, à sa beauté janséniste ? À vrai dire, la réserve vient aussi du fait qu’en terme de volume et d’intensité, le chœur était légèrement en retrait par rapport à l’orchestre à tel point qu’on se demande s’il était entendu correctement aux derniers rangs du fond de la cathédrale comble. L’œuvre de MacMillan, Credo, sera la découverte de la soirée, tranchant avec la sobriété des œuvres de Fauré entre lesquelles elle vient s’intercaler par sa puissance, son intensité, son foisonnement parfois orageux. À la fois novatrice et accessible, elle mêle des sonorités contemporaines avec des harmonies plus traditionnelles. L’impression qui s’en dégage est globalement très convaincante et même parfois enthousiasmante sous la direction de John Nelson, visiblement familier de cette composition. On connaît d’ailleurs l’engagement du chef américain pour faire vivre la musique sacrée contemporaine à travers son organisation Soli Deo Gloria. De ce Credo encore très récent et rarement joué, on retiendra notamment certains passages de la partie centrale Filius où deux violons altos viennent accompagner les voix dans un superbe entrelacement. Enfin, le Requiem de Fauré, donné dans son orchestration initiale pour effectif de chambre, a pris une couleur particulière grâce aux voix d’enfants. Le rendu est magnifique avec un très bel équilibre entre l’orchestre, magistral, et les chœurs tout en grâce et en délicatesse. Un mot des solistes : Matthew Brooke est impeccable sans en faire trop, mais le moment le plus mémorable restera peut-être le Pie Jesu chanté par un soprano féminin du chœur d’enfants. La jeune soliste avait visiblement un peu le trac, mais sa voix extrêmement belle et sa justesse parfaite ont produit quelque chose de très émouvant. On garde au final une belle impression de cette soirée, heureux d’avoir pu à la fois découvrir une œuvre singulière de MacMillan et apprécier un Requiem de Fauré dans toute sa beauté. Crédits photographiques : John Nelson © Marco Borggreve
http://www.resmusica.com/2016/05/30/a-notre-dame-puissance-et-sobriete-avec-macmillan-et-faure/
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15/06/2016
Requiem apaisé pour l’Orchestre de Chambre de Paris à Notre-Dame - Actualités - Ôlyrix 0
MON COMPTE
D É COU V RI R L' OP É R A
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B IL L E TT E RI E
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B O UT I QU E E N LI G N E
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ME M B RE S
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M Y Ô LY RI X
Photo : © Marco Borggreve
PRODUCTI ON
Requiem apaisé pour l’Orchestre de Chambre de Paris à Notre-Dame Le 30/05/2016
Par Damien_Dutilleul
L’Orchestre de Chambre de Paris présentait ce mardi 24 mai le Requiem de Fauré à Notre-Dame de Paris. La vision lumineuse de la mort qui habitait le compositeur est retransmise avec subtilité. L’Orchestre de Chambre de Paris avait choisi d’accompagner le Requiem de Fauré, œuvre majeure du répertoire sacré, par un Cantique du même compositeur et un Credo de James MacMillan (créé en 2012 à Londres). L’ensemble était chanté par la Maîtrise Notre-Dame de Paris, et en particulier la jeune Claire Macé dont la voix cristalline avait la charge de la partie de soprano, ainsi que par le baryton-basse Matthew Brook, sous la direction de l’élégant John Nelson. Le Cantique dégage une impression de paix et de sérénité. L’orchestre, aux accents suaves, mené par ses alti particulièrement mis en valeur par la partition, est rapidement rejoint par des chœurs tout en nuance. L’entrée des enfants, parfaitement calibrée, est poignante. Le Credo vient en contrepoint, avec une partition plus enjouée et dotée d’une grande puissance évocatrice, mettant notamment en exergue la puissance du chœur, qui scande sa croyance au milieu d’une tempête instrumentale. Les techniques musicales utilisées (archer frappé contre les cordes du violon, glissandi, etc.) témoignent de la modernité de l’œuvre. La joie de la résurrection est évoquée par une musique d’une grande vitalité, laissant peu après la place à l’attente, caractérisée par des notes tenues dans les aigus aux violons. L’Espritsaint est évoqué par la douceur des voix de femmes et d’enfants et précède un amen très dansant.
D ÉCOU V RI R L'O PÉ R A
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B IL L E TT E RI E
B OU T I Q U E E N L I G N E
M E M B RE S
M Y O LY RI X
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15/06/2016
Requiem apaisé pour l’Orchestre de Chambre de Paris à Notre-Dame - Actualités - Ôlyrix
Matthew Brook (© Richard Shymansky)
Fauré avait une vision très apaisée de la mort, sa foi la lui peignant comme un passage joyeux vers l’éternité. Cela se ressent dans la musique de son Requiem qui communique cette lumière de l’espérance avec poésie et douceur. L’œuvre bénéficie de l’interprétation exaltée de Matthiew Brook dont la diction est soignée et qui jongle avec les sauts de notes avec charme. Son souffle, mis en évidence dans le Libera Me, lui offre la maîtrise d’un instrument puissant. Il y tonne l’annonce de la colère divine, précédée d’un vibrant appel aux timbales et au cor. Le Sanctus est bercé par la mélodie aérienne et entêtante jouée en soliste par le premier violon de l’orchestre, Deborah Nemtanu. De leur côté, les contrebasses sont mises en avant dans un Agnus dei très lyrique auquel elles apportent une réelle profondeur. Les dernières notes évoquent la promesse du paradis, le violon solo se joignant à l’orgue dans un sommet de subtilité. Le public, nombreux, est conquis.
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15/06/2016
Angerville : ils vont chanter Schubert et Gainsbourg avec des solistes - Le Parisien
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Angerville : ils vont chanter Schubert et Gainsbourg avec des solistes > Île-de-France & Oise > Essonne > Angerville | C. Ch. | 19 mai 2016, 16h32 | MAJ : 19 mai 2016, 16h32 |
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Angerville, avril 2016. Des habitants de l’Etampois et une trentaine d’écoliers ont répété pendant des mois avec l’association Concerts de poche pour assurer leur représentation vendredi soir. (DR.) ANGERVILLE
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Angerville : ils vont chanter
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ls vont démarrer le show. Ou pour employer une expression plus conforme, ils vont chanter « en lever de rideau ». Une dizaine d’habitants de
l’Etampois et une trentaine d’écoliers vont chanter ce soir à Angerville devant 300 personnes. Depuis des mois, ils répètent avec Concerts de poche, une association qui amène depuis 10 ans la musique classique partout, y compris dans les zones rurales. Pour ce concert des « Vents viennois », ces choristes amateurs du sud de l’Essonne seront accompagnés par Marina Chamot-Leguay, Florent Pujuila et Henri Roman, trois musiciens solistes de l’Orchestre de Chambre de Paris. Ils interpréteront Schubert, Gainsbourg, Boogaerts, Aznavour, Brassens… mais aussi une chanson écrite et mise en musique par eux au cours des ateliers « http://www.leparisien.fr/angerville-91670/angerville-ils-vont-chanter-schubert-et-gainsbourg-avec-des-solistes-19-05-2016-5810489.php
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Angerville : ils vont chanter Schubert et Gainsbourg avec des solistes - Le Parisien
longue durée ». Ce concert est le fruit d’un long travail. « Dans le cadre du dispositif Rompre
l’isolement du conseil départemental de l’Essonne, une dizaine d’adultes allocataires du RSA d’Etampes et des environs ont participé pendant six mois à des ateliers d’écriture et de chant choral, détaillent les responsables de Concerts de poche. L’objectif est de les aider à se projeter dans une démarche de réinsertion sociale. » C. Ch.
em>Concert vendredi soir à 20 h 30 dans la salle polyvalente Guy-Bonin d’Angerville, 11, avenue du Général-Leclerc. Tarifs : 5 à 9 €. Réservations et renseignements au 01.60.71.69.35. Le Parisien
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