"Dimensions domestiques" Atelier de Recherche et Création École supérieure d’art et de design Marseille-Méditerranée En partenariat avec Habitat Marseille Provence et la Cité HLM de la Grotte Rolland
À PARTIR DE L’EXISTANT : REPENSER LES ESPACES COLLECTIFS DU LOGEMENT HLM Le logement et l’art conjugués au social, on retrouve là les 3 principaux ingrédients qui sont à l’origine du logement social, avant qu’on ne l’appelle HLM. Car au départ était l’Utopie, celle des philanthropes comme celle des créateurs qui, au milieu du XIXe siècle, ont édifié les premiers logements ouvriers sous l’égide du progrès technique et de l’esthétique. S’il fallait citer un exemple, le Familistère de Guise serait celui-là. Toujours présent et toujours vivant un siècle et demi après et, entre temps, devenu un vrai monument historique. Quelle belle continuité de voir aujourd’hui des étudiants de 20 ans, ne connaissant sans doute pas tout de l’histoire du mouvement HLM en France, retrouver l’esprit fondateur en produisant des oeuvres originales sur site, parmi et pour les habitants.
Le design prospectif dans le quotidien, le design comme geste à la fois pensé et gratuit, mais tellement réjouissant qui embellit et poétise la vie même si ce n’est que de manière éphémère. Mais existe-t-il un bonheur durable ? Alors sachons profiter d’un vrai moment de plaisir, et rêvons dans cette sur-réalité que nous offrent nos jeunes designers. Et comme pour tout rêve, il nous en restera une impression subtile qui éclairera notre visage d’un sourire quand nous la retrouverons un jour prochain. Merci à ces fabricants d’environnements, habiles et appliqués qui méritent bien leur place dans notre Marseille euro-culturelle de 2013. Gaëtan Lazzara Directeur de la maîtrise d’ouvrage à Habitat Marseille Provence
HLM = MHV LA CITÉ HLM : MONUMENT HUMAIN VIVANT
CITÉ Citer la cité autrement, et par ses habitants, ses murs, ses ambiances, y atteindre des qualités cachées, à révéler.
La cité de logements sociaux, objet fondateur fondamental de nos politiques et paysages urbains. L’habitat social de l’après-guerre, celui des années 60-70, véritable richesse de notre devenir sociétal ; du fait de la quantité, l’hétérogénéité, la jeunesse des populations y résidant ; du fait aussi de la diversité de ses typologies, ses inscriptions urbaines et des formes de paysages qu’il génère. Lieu de vies, de cultures, d’échanges ; lieu de liens, lieu dynamique et en mouvement, la cité constitue le substrat fertile de projets possibles pensés à partir de ses contextes, natures et formes mêmes.
INSCRIT Là où, l’habitant inscrit sa vie.
Aujourd’hui nous nous emparons de ce modèle pour le réévaluer, au regard de ce qu’il est et ce qu’il représente. Après le travail sur la sphère domestique de l’appartement en 2011-2012, « L’Attrapement : un appartement T+ », nous nous intéressons aujourd’hui à ses espaces semi collectifs internes que nous repensons. C’est ainsi que la cage d’escaliers devient le territoire des projets alliant usages et utopies, du projet 2012-2013 « Collectivons ! ». Déplacer le regard sur et l’horizon de la cité H.L.M.
HABITÉ Où le citoyen vit ; depuis son lieu le plus intime (son appartement), aux espaces semi-collectifs qu’il traverse (cages d’escaliers, couloirs, paliers), jusqu’à son environnement urbain.
ORGANISÉ Un territoire, des bâtiments, des espaces non qualifiés. Horizontalités, verticalités, lignes, volumes, plans, nappes, fractures, vides. Un paysage ! PROJETS 6 projets mettent en perspective de nouvelles formes d’habitabilité de la cage d’escaliers, de ses couloirs, ses escaliers et ses paliers. À partir de micro-situations liées à des usages, chaque projet porte les éléments particuliers qui lui paraissent faire sens avec l’existant, pour les habitants. Philippe Grégoire Architecte, enseignant à l’ESADMM et coordinateur de l’ARC « Dimensions domestiques »
L’ATELIER DE RECHERCHE & CRÉATION (ARC) "DIMENSIONS DOMESTIQUES" Initié en 2011 par Philippe Grégoire architecte et enseignant à l’ESADMM, l’ARC a pour objet d’étude le logement social, au travers de ses dimensions domestiques et publiques et de ses différents contextes et types d’inscriptions urbaines. Bâti sur une construction transdisciplinaire reliant le design prospectif à ses champs connexes : l’art, l’architecture, le paysage; il propose l’analyse de son objet au travers du développement de scénarii proposant des projets réalisés in-situ à échelle 1, comme possibilité de laboratoire expérimental. En 2011/2012, associant design et art sur le thème de l’étude de l’appartement H.L.M., « L’Attrapement : un appartement T+ » aboutit à la réalisation de 6 projets, qui interrogent les usages et utopies de la sphère privée. En 2012/2013, « Collectivons ! » poursuit cette recherche en reliant design et architecture sur l’étude de l’espace semi-collectif que constitue et représente la cage d’escaliers d’un immeuble. En partenariat avec le bailleur de logements sociaux Habitat Marseille Provence, 6 projets sont construits in-situ, dans une cage d’escaliers de la cité de la Grotte-Rolland dans le 8e arrondissement de Marseille.
En 2013/2014 « Nulle-Part-Tout ? », reliera design et paysage, et conclura l’ARC, en abordant les dimensions du territoire et de l’échelle urbaine des « dimensions domestiques » de la cité, à partir de l’étude de ses espaces extérieurs. Partager, échanger, confronter, ensemble, étudiants en design et étudiants en art, architecture et paysage, des idées, afin de développer et réaliser, par des matériaux et des techniques de constructions et d’assemblages maîtrisés, des projets innovants porteurs de nouvelles visions spatiales et sociales, constitue le fil rouge de cet ARC. Chaque étudiant devient alors le porteur d’un projet original, prospectif, orienté vers l’innovation sociale.
"COLLECTIVONS !" PROJET 2012-2013 « Collectivons ! » se concrétise lors de la rencontre avec le directeur de la maîtrise d’ouvrage et du patrimoine d’HMP, et l’équipe de développement local, en novembre 2012. Contextualisé dans la cité de la Grotte-Rolland, le projet est implanté dans le bâtiment « Severeau ». Développé sur 6 mois, les rencontres avec les habitants, les travaux exploratoires sur place, des échanges avec Gilles Sensini architecte professeur et ses élèves de 3e année, ont permis aux étudiants de développer un travail suivi et fourni, qui aboutit en juin 2013, à une réponse globale, poétique, empreinte d’humanité, destinée aux habitants. Philippe Grégoire
ANALYSE DU CONTEXTE DE LA CITÉ DE LA GROTTE ROLLAND PAR LES ÉTUDIANTS CONTEXTE GÉNÉRAL DE LA CONSTRUCTION DES H.L.M. Dans les années 60, le type d’urbanisme et d’architecture des cités HLM, se développe dans de multiples contextes surtout périurbains. De nombreux urbanistes et architectes, réalisant des typologies trés hétérogènes conçoivent alors des cités, afin de repenser le « logement pour tous ». Certaines idées posent des modèles; ce depuis le 19e siècle : ainsi « le Familistère de Guise » de Godin, après-guerre « La Cité Radieuse » du Corbusier, ou dans les années 90 « Nemausus » de Jean Nouvel. ANALYSE SOCIÉTALE (SUBJECTIVE) Concernant la place du citoyen dans la société, notre culture actuelle prône l’hyperindividualisme. Vis à vis de l’inscription de l’individu dans son habitat, les cités de logements collectifs constituent alors selon nous le symbole d’un paradoxe, entre leur inscription idéologique, leur fonction sociale et leur rôle de loger le plus grand nombre à moindre coût d’un coté, et la préservation de l’intimité de l’habitant de l’autre. Quand on y regarde de plus près, on constate que leur organisation territoriale, leurs distributions spatiales intérieures, ne prennent pas vraiment en compte les façons de vivre, les usages et les besoins actuels des
habitants. « Leur paradoxe » perexiste alors : un cadre collectif sans vraiment d’espaces individuels. CONTEXTE TERRITORIAL (LOCAL) Située en bord de mer, dans le 8e arrondissement de Marseille, la cité H.L.M. de la Grotte-Rolland est composée de 3 ensembles principaux : l’espace privé (l’appartement), l’espace semi-collectif (hall / escaliers / couloirs), l’espace public (rues / ville). Dans chacun nous identifions les usages, les fonctions, les actions que les habitants y développent ainsi que les ambiances qui les caractérisent. À partir de ces constats nous nous interrogeons sur les éléments « frontières » que les habitants franchissent au quotidien, consécutivement, de leur logement vers l’extérieur et vis-et-versa. NOS REPONSES Nos 6 projets interprètent le thème paradoxal du « collectif-individuel », de l’espace de vie de la cage d’escaliers. À partir des micros contraintes des situations auxquelles sont confrontés les habitants, chacun des 6 projets porte une forme de réhabilitation de la cage d’escaliers, par de nouvelles fonctions requalifiant ses espaces et proposant de nouveaux usages, afin qu’elle ne soit plus qu’un simple espace traversé ; mais devienne un espace vécu, par tous ses habitants.
N°6 N°5
N°3
N°4
N°2
N°1
PROJET N°1
SURDÉCOMPRESSION | Maria Marsli | 3e année
Le hall est transformé en un espace transitoire de surdécompression, entre intérieur/ extérieur, sphère publique/sphère privée. Par la création d’un dispositif d’éléments verticaux suspendus, il offre aux habitants une expérience kinésthésique, insolite et poétique.
CROQUIS
MAQUETTE
MATÉRIAUX
RÉFÉRENCE
Corde, attaches, bois
Jesús Rafael Soto « Blue Penetrable » Hirshhorn Gallery Washington 2012
pénétrer
| HALL |
enveloppé(s)
nous / vous / tu / je
PROJET N°2
SIGNES | Anaël Chauvet 5e a | Irène-Marie Loste 3e a
Redécouvrir l’espace domestique de la cage d’escaliers à travers les traces qui s’y sont accumulées, telles des signes existants composant des motifs. Les révéler pour les rendre compréhensibles par chacun et créer des outils permettant d’en élaborer de nouveaux.
PROCESSUS Passé (projet hall d’entrée) Représenter les éléments disparus et dégradés du hall par la pose de peinture phosphorescente.
Présent (projet rampe) Faire apparaître les signes d’usures du bâti, et grâce à la pose de peinture thermochromique, les faire révéler par les habitants.
Futur (projet mur) Recouvrir un mur d’enduit phosphorescent, afin de permettre aux habitants de créer des traces ; visibles en épaisseur de jour et phosphorescentes de nuit.
exprimer
| MURS |
interrogé(s)
toi / moi
PROJET N°3
CORRIDORS | Camille Lamy | Haixiao Zhang | 3e année
Montré /caché. Couvert /découvert. Le dispositif isole ou découvre les habitants selon leurs désirs de voir/ne pas voir ; être vus /ne pas être vus. Par le biais de corridors de voiles à l’intérieur lesquels il entre, l’habitant entame une aventure intérieure, le temps de quelques mètres-secondes / mètres-minutes / mètres-heures.
DESSINS
CROQUIS
RÉFÉRENCE
MATÉRIAUX
Marina Abramovic « Imponderabilia », Bologne 1977
Structure métallique, textile, câbles
intimiser
| PALIERS |
transformé(s)
nous / tu / vous
PROJET N°4
FICTIONS | Sun Shuo | 3e année
Les miroirs réfléchissent, reflètent, transforment et déforment lumières et images, portant des fictions dans les lieux qu’ils ornent. Placés judicieusement dans certains endroits précis de la cage d’escaliers, ils en perturbent les limites, en décomposent le cadre, installant des jeux de vis-à-vis entre habitants, intérieur-extérieur, réel…
DESSINS
MAQUETTE
RÉFÉRENCE
Robert Morris « Untitled » 1963
3D
imaginer
| ESCALIERS |
désorienté(s)
elle / nous / je
PROJET N°5
ARTICULÉ | Shushan Aslyan | 3e année
L’escalier, élément majeur hyper pratiqué, change de forme, d’usage et de statut, devenant ludique et sportif. Articulé sur l’existant, un praticable ajoute aux possibilités de monter, descendre, celles de glisser, rebondir, danser,… différemment. Proposition pour de nouvelles pratiques physiques et représentations mentales de l’escalier (hors de sa cage).
MAQUETTE
MATÉRIAUX
DESSINS
CROQUIS
Contreplaqué cintré, tapis de mousse
RÉFÉRENCE
Tomas Saraceno Installation, Milan 2012
permettre
| ESCALIERS |
installé(s)
vous / tu / il
PROJET N°6
ORIGAMI | Gunel Sadikhova | 3e année
Le palier devient l’antichambre de l’appartement, un espace intermédiaire entre public et privé. Par des revêtements muraux et plafonniers sur le motif de l’origami qui ajoutent des surfaces, de nouveaux usages domestiques sont proposés, tels s’assoir, ranger, s’éclairer…
DESSINS
MATÉRIAUX
Contreplaqué, charnières
RÉFÉRENCE
« Wooden textiles » Elisa Strozyk
3D
inviter
| MURS-PALIERS |
équipé(s)
toi / moi
HABITAT MARSEILLE PROVENCE QUI SOMMES-NOUS ? NOTRE HISTOIRE L’Office Public de l’Habitat de la ville de Marseille est créé en 1919. Il est un des plus anciens organismes de logements sociaux rattachés à une collectivité locale. Ses activités de construction débutent dans les années 20 avec la construction de cités ouvrières à Marseille : Chutes Lavie, Saint-Louis, Saint-Just, Saint Loup et du programme Paul Strauss inscrit aujourd’hui au patrimoine du XXe siècle par le ministère de la Culture. Par la suite, Habitat Marseille Provence a participé à l’effort de construction des années 60 par la réalisation de « grands ensembles ». Depuis les années 80, il réalise des opérations de petite taille intégrées dans leur environnement. Habitat Marseille Provence gère aujourd’hui 15 000 logements. Quelques dates repères : 1919 : Création de l’Office Public d’Habitation à Bon Marché (OPHBM). 1950 : L’OPHBM devient OPHLM (Office Public d’Habitation à Loyer Modéré), établissement public à caractère administratif. 1992 : Modernisation de l’organisation, changement de statut, l’OPHLM devient OPAC (Office public d’aménagement et de construction), Etablissement Public Industriel et Commercial (EPIC) et prend le nom d’Habitat Marseille Provence. 1994 : Implantation du siège à Frais Vallon, au coeur des quartiers où se situe la majorité de son patrimoine. 2008 : Nouveau statut : Office Public de l’Habitat (OPH), Etablissement public à caractère industriel et commercial rattaché à la ville de Marseille. Ces changements de statut illustrent l’adaptation de l’organisme aux évolutions des besoins et des demandes de logements. Cela représente également sa volonté de mise en oeuvre des moyens adaptés à ses métiers et à la stratégie déployée (volonté de produire un service de qualité qui interagisse sur les relations sociales et la
qualité de vie). Habitat Marseille Provence a capacité à intervenir comme constructeur de logements, aménageur et gestionnaire. Il est essentiellement actif sur Marseille et la communauté urbaine de Marseille Provence Métropole. NOTRE PATRIMOINE ET NOS ACTIVITÉS Quantification du patrimoine • 15 182 logements familiaux dont 98 % situés à Marseille et 9 682 logements situés en ZUS. • 8 groupes dédiés au logement étudiant et 2 foyers pour personnes âgées. Il met à disposition 80 locaux associatifs actifs, ainsi que des locaux commerciaux. Le plan de stratégie patrimoniale d’Habitat Marseille Provence vise à conjuguer : • une vision technique relative aux besoins d’amélioration technique du patrimoine, • et une vision stratégique qui correspond à la réponse aux besoins de la population logée et à la demande de logement social à l’échelle de la Communauté Urbaine de Marseille. Les enjeux sont : • économiques, avec une maîtrise des coûts patrimoniaux • environnementaux, avec une maîtrise du cycle de vie des ouvrages • en termes de qualité de service, avec des niveaux de prestation conformes aux attentes des habitants. Une stratégie volontariste a été adoptée par le Conseil d’administration de l’organisme au printemps 2009 ; elle se déploie dans une logique de concertation avec les partenaires d’Habitat Marseille Provence. Cette stratégie est fondée sur : • un plan pluriannuel de travaux d’amélioration du patrimoine existant • des objectifs en matière d’évolution du parc : vente, aménagement, construction, démolition • l’optimisation des financements relatifs à ces décisions stratégiques. Contact : Catherine Blanc Chargée de Communication T : 04 91 10 80 78 � c.blanc@hmpmarseille.fr
L’ESADMM L’École supérieure d’art & de design MarseilleMéditerranée a pour vocation de former des jeunes créateurs, artistes et designers, en dispensant un enseignement de niveau supérieur sur trois ou cinq ans, sanctionné par des diplômes nationaux. Elle comporte deux options en cycle long, art et design, et une option en cycle court (trois ans), design d’espace. Elle accueille chaque année plus de 450 étudiants, dont un quart d’étudiants internationaux (Europe, Asie, Canada..). À la rentrée 2013, une classe préparatoire publique préparant aux concours d’entrée des établissements supérieurs d’enseignement artistique sera ouverte à Luminy. L’école rassemble des compétences de haut niveau, tant sur le plan du corps professoral (artistes et théoriciens engagés dans le monde de l’art) que sur le plan des moyens techniques et technologiques mis à disposition des étudiants : 5600 m2 d’ateliers, de salles de cours et d’expositions dans de vastes bâtiments dessinés par l’architecte René Egger et classés patrimoine architectural du XXe siècle. Depuis janvier 2012, l’École supérieure d’art et de design Marseille-Méditerranée a changé de forme juridique, passant d’une régie municipale à un établissement public de coopération culturelle (EPCC), créé conjointement par la Ville de Marseille et l’Etat. Elle reçoit le soutien du Ministère de la Culture (DRAC). L’école a créé un fonds de dotation et de mécénat afin d’accroitre l’attractivité de l’établissement, et un département de recherche en art et en design.
L’ESADMM sera un acteur majeur de MarseilleProvence 2013 à travers le projet Campus 2013, PiLAB Création, le Festival des Arts Éphémères à Maison Blanche, les Ateliers de l’Euroméditerranée avec Ilana Salama Ortar artiste en résidence à l’ESADMM, Les rendezvous aux Davids… La MAD, galerie de l’école est membre de Marseille expos, réseau de galeries et lieux d’art contemporain. Désignée en 2005 comme site pilote national par le Ministère de la Culture et de la Communication, l’ESADMM est la première école supérieure d’art et de design en France à avoir mis en place des moyens humains et techniques permettant d’intégrer les étudiants sourds et malentendants. www.esadmm.fr Contact : Valérie Langlais T : 04 91 82 83 23 vlanglais@esadmm.fr
REMERCIEMENTS HMP : Gaëtan Lazzara Directeur de la maîtrise d’ouvrage et du patrimoine Sylvie Buret Directrice de l’Agence Sud Ariane Romet Responsable de Gestion de Sites (Agence Sud) Louis Arnaud Adjoint au Directeur de l’Agence Sud Les habitants et gardiens de la cité de la Grotte-Roland Marseille 8e ESADMM : Rémi Marin responsable de l’atelier bois, Christophe Perez responsable de l’atelier métal, Booklet réalisé par les étudiants de l’ARC « Dimensions domestiques » Photos � ESADMM / 2013
Gilles Sensini, architecte, professeur à l’École supérieure d’architecture de Marseille et ses étudiants de 3e année