CARNET
D’exploration
Recueil photographique, sensible et poétique. Clichés captés sur l’instant, d’Ensues la Redonne à Marseille. Un regard esthétique et spontané de la vie méditerranéenne.
Mémoire
de
PFE
2016
-
2017
Tome 1 Tome 2 Tome 3 Tome 4 E N S A Grenoble Amélie Pontet Master II :
& Florent Quintard
Les pensées du projet :
l’architecture
comme
discipline.
Enseignant encadrant: Fabrice Gallo Enseignants du Master Guy Depollier Benoît
Adeline
Charles
Philippe Deletraz Dominique Putz
Chifflet,
Mathieu Grenier Jean Pierre Vettorello
Enseignants ENSAG Sonia Doucerain
Frank Prungnaud
Enseignants Extérieurs Philippe Dufieux
Stéphane Fernandez
Personnalités Extérieures Dominique Chapuis
Jean-Pierre Durand
carnet d’ exploration
La découverte du site a été une balade entre les falaises rocailleuses des calanques et la mer calme de la rade de Marseille. Les villages de Niolon et La Vesse ne sont que deux points d’arrêt face à l’immense ligne que représente la côte bleue. Bleue comme la brume légère qui couvre le rivage tous les matins. Le chemin des douaniers qui longe tout ce relief est une promenade architecturale nous menant d’ouvrages d’art monumentaux aux cabanons des locaux.
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Fig 1. Viaduc de La Vesse et silhouettes humaines sur gravas rocailleux.
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Fig 2. Pierres naturelles et pierres maçonnées se confondent à la lumière.
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Fig 3. A plus de vingt kilomètres de Niolon, les dessous de la voix ferrée nous offre des arches d’un autre type.
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Fig 4. Transparence de la crĂŞte. Vu de Niolon depuis la Vesse.
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Fig 5. Viaduc maçonnÊ au dessus des rochers.
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Fig 6. Viaduc maçonnÊ au dessus du village de Mejean.
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Fig 7. Clef de voûte flottant sur l’eau.
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Fig 8. Fondations dans la calanque avec la force de l’ouvrage.
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Fig 9. Entremêlement d’arches pour des vitesses différentes.
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Fig 10. Paysage construit, entre soutènement et falaises.
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Fig 11. Reflet sous la voĂťte du tunnel du Rove maintenant condamnĂŠ.
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Fig 12. Échappatoire au bout du tunnel du Rove après sept kilomètres d’ombre.
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Fig 13. Une tranquilitĂŠ assourdissante face Ă Marseille.
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Fig 14. «Les Mousquillons», moucheron en provencal, face à la plage de galet de La Vesse.
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Fig 15. Tour de cuisson des argiles utilisĂŠe lors de la construction des viaducs en 1910.
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Fig 16. Point d’entrÊe sur Marseille, le phare de la corniche.
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Fig 17. Deux mondes. Les paquebots plus grand que les falaises.
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Fig 18. Les rois de la mer, les immenses porte containers traversent la rade.
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Fig 19. Sentier de bĂŠton parmi les rochers. Le chemin des douaniers.
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Fig 20. Arrêt au point d’eau.
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Fig 21. Sculpture Ă ĂŠchelle humaine, la trace du passage parmi le paysage.
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Fig 22. Descente vers la fraicheur et les embruns.
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Fig 23. Une douce invitation à descendre à l’eau.
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Fig 24. Creuser, aplanir, grimper. Comme une ĂŠvidence dans la roche.
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Fig 25. Disparition de la voie ferrÊe dans la nature. Ou l’inverse.
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Fig 26. Un discret vestige se dressant face au poids de son histoire.
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Fig 27. Accompagner plutôt qu’imposer.
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Fig 28. Un toit de tuiles pour un mur de pierres.
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Fig 29. « Un architecte est un maçon qui a appris le latin » Adolf Loos
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Fig 30. Un regard Ă travers une muraille naturelle.
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Fig 31. La Mare Nostrum, la piscine du port de Niolon.
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Fig 32. Entre poĂŠsie et ineptie. Un coktail surprenant.
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Fig 33. Terrain de jeux des pĂŞcheurs, ligne de vie du promeneur.
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Fig 34. Témoin des passages, brulé par la mer, usé par le temps.
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Fig 35. Attendre debout pour voyager assis.
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Fig 36. Prise éphémère d’un passage éclair.
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Fig 37. «Le bonheur se porte à l’intérieur». Le Corbusier
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Fig 38. Scène de vie statique.
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Fig 39. Un rond sombre pour voir la journĂŠe, un rond sombre pour voir la nuit.
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Fig 40. Enjamber l’écoulement millénaire de l’eau.
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Fig 41. Collage urbain sur lit mĂŠditerranĂŠen: Le vallon des auffes.
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Fig 42. Quatre marches depuis la rue pour accĂŠder Ă la porte. Aux portes.
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Fig 43. Serpent de mĂŠtal scintillant au soleil.
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Fig 44. Les Jumeaux de rouille sur leur socle en bĂŠton.
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Fig 45. Balcon sur le maquis ou dernier abri avant le passage du train?
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Fig 46. Un chemin de tuiles jusqu’au «mur» de Niolon.
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Fig 47. Habiter sous l’arche. Habiter la falaise.
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Fig 48. Un corps massif sous une peau vieillie.
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Fig 49. Profondeur.
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Fig 50. Qui des habitations ou du pont ĂŠtaient lĂ avant?
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Fig 51. Dialogue minĂŠral dans un eau calme.
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Fig 52. L’hospitalitÊ du banc de pierre contraste de la pierre rugueuse et rongÊ par le sel.
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Fig 53. Quand la main de l’Homme façonne une nouvelle histoire pour les montagnes.
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Fig 54. Entre terre et ciel se trouve la mer.
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amelie ensag
pontet
&
florent quintard
I
2016 - 2017