Porfolio Masson Florian

PORTFOLIO MASSON Florian

Université Catholique L o u v a i n ISA ST LUC TOURNAI

SOMMAIRE

- Curriculum vitae

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- Préface

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- Travaux d’école - Mémoire de fin d’études

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- BAC II - Mémorial de guerre

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- BAC III - Centre de recherche

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- MA I - école d’architecture

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- MA II - Logements collectifs

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- IP Duisburg - Oeuvre d’art

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- Bibliographie iconographique

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- Table des matières

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MASSON Florian Architecte

diplômé

02.08.1991 florian.masson.91@gmail.fr 06.18.43.45.52 7 rue du coin Bougainville 80540 Détenteur du permis B

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DIPLOMES - Baccalauréat Scientifique_ Lycée Sainte Famille_Amiens - Licence en architecture_ Université Catholique de Louvain_Tournai - Master en architecture_ Université Catholique de Louvain_Tournai

2009 2012 2014

EXPÉRIENCES PROFESSIONNELLES - Stage au collège_ Seigneur Architecture_Amiens 2003 - Stage au Lycée_ J.P Batteux architecte_Amiens 2007 - Travail saisonnier_ LA HALLE aux vétements_Amiens 2007-2008 - Stage en BAC I_ Renzo maçonnerie 2010 - Stage en BAC II_ DAR vérenda 2011 - Stage en BAC III_ AARP Architecture 2012 - Lauréat du «intensive erasmus programme Duisburg»_ Newcastle University 2013 Réalisation prochaine COMPÉTENCES INFORMATIQUES - Autocad - Photoshop - 3ds Max design - Revit - Illustrator - InDesign VOYAGES EFFECTUÉS - Bâle_ Suisse - Bucarest_ Roumanie - Amsterdam_ Pays-Bas - Bialystok_ Pologne - Porto_ Portugal - Berlin_ Allemagne - Bruges_ Belgique - Brussels_ Belgique

- Rome_ Italie - Cologne_ Allemagne - Rotterdam_ Pays-Bas - Varsovie_ Pologne - Duisburg_ Allemagne - Tessin_ Suisse - Gand_ Belgique - Zollverein_ Allemagne

INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES - Langue étrangère : anglais_ niveau acceptable - Loisirs : fitnesse, photographie, squash, voyage, lecture, cuisine 5

PRÉFACE

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Ce portfolio propose un échantillon succinct de certains travaux réalisés au cours de mes études et lors d’un workshop international en Allemagne. Il présente une liste exhaustive de plusieurs projets représentatifs de mon apprentissage pendant mon cursus universitaire. Chaque projet est représenté de façon à aller à l’essentiel en laissant dissimulé une partie des réflexions architecturales et urbanistiques intrinsèque à chacuns.

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« Puissent nos bétons si rudes révéler que sous eux, nos sensibilités sont fines. » Le Corbusier

MÉMOIRE DE FIN D’ÉTUDE

Si le béton est la réponse, quelle était la question ?

Préface Promoteur : Gauthier Coton Après l’eau, le béton est le matériau le plus consommé au monde, dans de telle contenance. Mélange énigmatique de part sa facilitée à être produit en masse, ce matériau est définitivement ancré dans notre société depuis plus d’un siècle et omniprésent autour de nous au quotidien. Présentement, beaucoup pense que le béton est encore perçu aujourd’hui comme le symbole du banal des grands ensembles répétitifs. La dimension quasi héroïque et en tout cas épique que le matériau avait à son origine est bien oubliée.

La vision froide du béton d’avant guerre reste présente dans l’esprit des masses.

Paradoxalement, le béton était envisagé comme parfait pour accomplir l’aspiration des modernes à «l’honnêteté» constructive et aux transformations sociales, mais ce matériau est devenu importun. Quelle aurait-été la vision du béton sans tout son passé ? Il a fallu une certaine période pour que le béton laissé apparent soit toléré autre part que sur des Bunkers militaires et évolue comme manifestation du process de travail. La place de ce matériau dans le développement du modernisme a donné au béton l’image de la brutalité des restructurations urbaines et des grandes interventions de logements dans les banlieues “modernes“. Un mélange savant de composants inertes fût empli de sens divers et polémiques, associés aux stratégies nationalistes et politiques. Élément clé de l’après guerre, le béton fût le matériau le plus médiatisé et politisé de son époque, ce qui atteste l’importance essentielle de ce dernier dans l’évolution de notre société.

En vue de l’évolution globale des mises en oeuvres du béton ainsi que la diversification des compositions actuelles, une pareille distinction risque fort de ne plus être de mise. On le perçoit maintenant comme postulat de base à la formation de nouvelles formes d’architecture. Le béton a muté. En quittant son rocher de matériau inerte et sans âme, il navigue ainsi vers de nouveaux horizons à explorer, avec finesse et légèreté. Ses variations sont innombrables, des nouvelles formes, textures et couleurs apparaissent à partir d’assemblages ou de compositions différentes. Le béton cesse d’être un matériau unique, pour être finalement un champ d’expérimentation en matière de matériau dans lequel des questions extrêmement différentes sont traitées. D’une part avec l’apparition de la nanotechnologie, le changement de dimensionnement des agrégats. Lui permettant de faire des bétons à ultra haute ré- sistance comme le Ductal® . Des bétons autoplacants peuvent prendre des formes extrêmement complexes et donner naissance à une structure d’une excellente finesse.

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BAC II

MÉMORIAL DE GUERRE Ypres, Belgique

La tranchée comme lieu d’introspection Professeurs : Lydéric veauvy ( Tank Architecture )_ Emmanuelle weiss Le projet vient s’enfouir sous terre dans l’un des nombreux cimetières militaires de la région de Ypres, lieux de commémoration des batailles de la première guerre mondiale.

Ce mémorial prend la forme longue et sinueuse d’une tranchée, rappelant ainsi le ressenti que pouvaient avoir les soldats quand ils survivaient dans ces espaces compressés en rapport avec le ciel et si oppressifs.

Le projet évoque le rapport à la mort et au silence, l’entrée dans un lieu de recueil en lien avec les soldats qui ont donné leur vie. Un monde enterré et s’effaçant du paysage, respectant les monuments déjà présents.

Un espace d’introspection se situe à la fin du cheminement linéaire et se caractérise par deux pans de murs venant se resserrer pour créer une fine brèche par laquelle entre un faisceau lumineux.

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BAC III

CENTRE DE RECHERCHE Tournai, Belgique

La colonne comme élément structurant l’espace Professeurs : Gauthier Coton_ Bernard Wittevrongel_ Catherine Vanhamme Dans un premier temps, à partir d’un bâtiment de référence (médiathèque de Sendaï de Toyo Ito) l’exercice consiste à dégager un mot d’ordre qui va être le concept de la structure du projet. Pour le projet de Toyo Ito, le principe structurel du bâtiment était «la colonne». En effet, ce dernier est traversé de colonnes creuses, accueillant les espaces servant et produisant de grands plans libres, assurant la flexibilité de l’espace.

Avec «la colonne» comme postulat de base du principe structurel, le centre de recherche utilise les caractéristiques intrinsèques de cet élément structurel afin d’utiliser la colonne comme unique élément structurel vertical mais aussi comme élément structurant l’espace, permettant de générer des lieux en jouant sur la densité des colonnes et offrir une grande luminosité. Plusieurs colonnes vont rayonner et dialoguer entre elles afin de créer des espace et sous-espaces à l’intérieur de chaque plateau. Métaphore d’une forêt de colonne où le quidam va déambuler et glisser d’un point à un autre.

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Plan de sol - Site Saint Luc éch. 1/1000

PRODUCED BY AN AUTODESK EDUCATIONAL PRODUCT

PRODUCED BY AN AUTODESK EDUCATIONAL PRODUCT

e sol - Site Saint Luc éch. 1/1000

Plan R+1

Plan R+2

Plan RDC - éch. 1/200

Plan R+2

Plan R+4

STRUCTURE ET MATERIALITE

Coupe site Saint Luc éch. 1/200 Plan R+4

LA COLONNE PRODUCED BY AN AUTODESK EDUCATIONAL PRODUCT

16 R+4 Plan

PRODUCED BY AN AUTODESK EDUCATIONAL PRODUCT

IALITE

Plan R+1

Plan R+4

Coupe détail technique é Atelier BAC3

CANORI M. MAHDANI

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MA I

Image maquette pleinne page

ÉCOLE D’ARCHITECTURE Tournai, Belgique

Une infrastructure paysagère à ‘échelle du territoire Professeurs : Ludovic Blanckaert ( Béal & Blanckaert )_ Adrien Verschuere ( BAUKUNST) Avant d’être une école d’architecture, le projet est une infrastructure à l’échelle du territoire et un ensemble paysager aux portes de Tournai en relation avec la ville et son histoire. L’école est une ligne venant s’implanter sur une friche ferroviaire servant autrefois à récolter la pierre bleu des carrières, réactivant ainsi cette espace en déclin et dévoiler un ensemble paysager représentatif du patrimoine de Tournai, symbole d’une industrie passée.

La réactivation de cette ligne verte va ainsi connecter l’ensemble des carrières et former un territoire englobant la moitiée de Tournai intramuros, préservant ce patrimoine de l’expansion du tissu urbain, offrant au quidam un paysage symbolique de Tournai à deux pas de la ville, mais aussi une ouverture sur le territoire en relation avec l’Escaut.

L’école est une superstructure perrin en béton accueillant un programme modulable se matérialisant par une structure secondaire auto-portante placer sous l’infrastructure, recevant aujourd’hui une institution et demain un équipement publique.

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MA II

LOGEMENTS COLLECTIFS_ Projet de fin d’études Eupen, Belgique

Le logement comme levier paysager Jury : Patrick Mestelan_ François Delhay Professeurs : Ludovic Blanckaert ( Béal & Blanckaert )_ Adrien Verschuere ( BAUKUNST) Les logements s’implantent dans une stratégie urbanistique qui s’appuie sur des facteurs territoriaux de la région des hautes fagnes (sylviculture, l’hydrographie, la topographie) pour former une boucle visant à pérenniser le territoire. En reliant les communes et villes situées autour de ce paysage exceptionnel, le processus a également pour ambition d’en augmenter la cohésion et les relations intercommunales.

Le projet participe à un plan guide défini antérieurement visant à la préservation d’une épaisseur paysagère comprise entre la lisière et la limite urbaine de Eupen.

Les différents projets du plan guide se positionnent comme des leviers paysagers et régissent le bord habité d’Eupen, permettant de définir où bâtir et comment, où ne pas bâtir.

L’implantation des édifices va dans un premier temps révéler un paysage commun partagé, mais aussi réguler l’étalement urbain. Un mur de soutènement vient suivre la topographie et tenir un parc naturel entre ce dernier et l’hydrographie. le projet vient ensuite créer une poche faisant face à ce paysage, accueillant un programme et se connectant à la ville par deux infrastructures. La poche crée va ensuite accueillir du programme de logement et d’équipement collectif visant à créer un levier paysager et connecter la ville à l’ensemble de ce territoire. Le projet soutient la question du vivre ensemble face à un lieu commun partagé, posant une horizontale dans le paysage, révélant la topographie et faisant face au territoire des Fagnes.

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StratĂŠgie urbanistique_territoire Des Fagnes

Plan guide_Eupen

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IP Duisburg

OEUVRE D’ART

Duisburg, Allemagne Une oeuvre d’art au service de la ville Professeurs : Jim Harold (Glasgow School of Arts) Yvonne Leinfelder (Technical University Munich)

le projet propose de saisir l’image des tuyaux industriels présents dans l’ensemble du paysage industriel de Duisburg afin de les retranscrire à une échelle humaine. Le paysage urbain et ses alentours sont traversés par ses «pipes», provoquant ainsi un choc d’échelle constant entre l’humain et l’industrie. L’intervention permet d’implanter une oeuvre d’art retranscrivant le contexte industriel de la ville de Duisburg.

L’étude de la composition des «pipes» avoisinantes et la réalisation d’une maquette 1:1 en acier a permis de retranscrire au mieux à l’échelle humaine. L’oeuvre se matérialise simplement par une main courante filant le long du site qui se trouve être une piste cyclable, interagissant avec l’entièreté du site. Cette ligne organique vient suivre les traces d’une rivière qui a était enfouie sous terre, faisant ainsi revivre un élément naturel enfoui par l’industrialisation par un élément lui même industriel.

En plus d’être une oeuvre d’art, le projet est un équipement public, accessible aux utilisateurs de la piste cyclable. De l’eau circule en circuit fermé dans le tuyau, et peut être accessible par plusieurs fontaines d’eau fixées sur la main courante, directement inspirées des énormes robinets présents sur les tuyaux qui canalisent l’ancienne rivière.

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Exhibition at Pumpwerk Alte Emscher_Duisburg_ 26/07/13

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Antonio Sant’ Elia_la circulation future et les gratte-ciel à New-York_1913

Août 94, sept heure du matin. Un homme pose le pied sur le quai de la gare centrale d’une ville de l’Europe du Nord. « Métro, Taxis, Bus ». L’homme presse le pas. Son premier rendez-vous est dans quinze minutes. Métro. « Le contrat est mauvais, s’ils ne suppriment pas le 14-B, je ne signe pas ». Escalators, portes automatiques. « Ce fut plus facile que prévu. Ce soir, j’arrose cela ! ». La main serre solidement l’attaché case. « Dernier breefing. Quelle journée ! ». L’homme glisse dans le sous-sol. Train, voie express, ascenseur.

Artères, flux, pulsations, palpitations, pulsions, répulsions, reflux : la ville est un coeur. Vivre, c’est bouger avec elle. Partir, revenir. Travailler ici, aimer ailleurs, rencontrer des amis un peu plus loin. Vite ou jamais !

Hier la ville n’était qu’une entremetteuse. Elle offre désormais ses transports ... Jusqu’au bout du monde.

PATTOU Jean

KOWALCZYK Antoine MASSON Florian PEROCHON Hugo

F E N Ê T R E S U R L’I M A G I N A I R E

Groupe 9 - BARAT, Juliette - HUYGHE, Marion - MASSON, Florian

Si le béton est la réponse, quelle était la question ?

MASSON Florian

BIBLIOGRAPHIE ICONOGRAPHIQUE Références personnelles

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TABLE DES MATIÈRES

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Curriculum vitae

.............................................................................4

Préface ...........................................................................................6

Travaux d’école

..............................................................................8

Bibliographie iconographique

.........................................................48

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