FREQUENCE JUIVE MAGAZINE by Fréquence J Magazine

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EDITORIAL

#Commémorer le #triomphe des Maccabées sur le roi syrien Antiochus Epiphane. #Allumer chaque soir, ma #lumière afin de symboliser le #miracle de ma nuit précédente. Faire frire des #beignets. #Célébrer la fête des enfants par excellence. #Offrir des cadeaux, #sourire, #apprécier, être #reconnaissant. #Entrevoir une #lueur d’#espoir, malgré le désespoir. S’#accrocher et prendre de l’élan afin d’être capable de se #renouveler et d’#inaugurer. Que D’ vous accorde, à travers mon énergie, de réveiller l’#étincelle divine qui sommeille en vous. Amen ! SIGNÉ LA FLAMME ÉTERNELLE DE HANOUKA NE PAS JETER CE MAGAZINE

Nous vous rappelons que ce magazine contenant des prières ainsi que le nom d’Hachem, ne doit absolument pas être jeté ni même abîmé. Merci de le garder précieusement et de le traiter avec respect.

SOMMAIRE LA CHRONIQUE DE …

25 - LA TABLE RONDE

Bob Oré : Une série de coïncidences (1ère partie)

6 - DIÉTÉTIQUE

Mincir sans s’affamer

8 -

SPIRITUALITÉ JUIVE

10 -

26 - LIFESTYLE (new)

IMMIGRATION & IMMOBILIER

Les réalisateurs juifs du cinéma américain

12 -

QUIZ

LUXE

Matière et spiritualité

16 -

JEWISH GOT TALENT

Hanouka Treats Les beignets au cœur des lumières

18 -

NOS RAV

Michèle Bohbot

34 - 34 BÉNÉDICTION

Bob Oré : Une série de coïncidences (2ème partie)

22 - RENCONTRE AVEC

Un hiver à Los Angeles

Allumage des bougies & Spiritualité

36 - TENDANCE & BEAUTÉ 38 - ABONNEMENTS

Science et Torah

20 - LA CHRONIQUE DE …

& MUSIQUE

Étude et Tefila

33 - ART ET CULTURE

Le Pervers narcissique

32 - HISTOIRES JUIVES

Kona – Big Island

Les brèves

31 - PSYCHO (new)

13 - LE BON PLANS D’HAWAÏ 14 -

Le Chalom Baït

30 - ACTU’FEUJ

Hanouka

Peut-on fêter Thanksgiving ?

28 - ZOOM SUR

L’Éducation des enfants Par Sarah Perets

Misvot & Averot

Jeux / petites annonces

r 5780 Calendrie

SHABBAT & PARACHIOT

FREQUENCE JUIVE Magazine bi-mensuel édité par RB & CB Entreprises 9595 Wilshire Blvd, BEVERLY HILLS 90212 Directrice de la publication : Marie- Rose Aziza Régie publicitaire : CELINE BONNAN Tel : (310) 623-7411 E-mail : Cyreline2@gmail.com Designer maquettiste : RB & CB Enterprises Impression : RB & CB Enterprises Publicité / Marketing : CELINE BONNAN - Tel : (310) 623-7411

Vendredi 15 Novembre

16h31 / 17h29

Vayéra

Vendredi 22 Novembre

16h27 / 17h26

‘Hayé Sarah

Vendredi 29 Novembre

16h25 / 17h24

Toledot

Vendredi 6 Décembre

16h25 / 17h25

Vayétsé

Vendredi 13 Décembre

16h26 / 17h26

Vayichla’h

Vendredi 20 Décembre

16h29 / 17h29

Vayéchev

Vendredi 27 Décembre

16h32 / 17h33

Mikets

Vendredi 3 Janvier

16h38 / 17h38

Vayigach

Vendredi 10 Janvier

16h43 / 17h44

Vaye’hi

Vendredi 17 Janvier

16h50 / 17h49

Chemot

Vendredi 24 Janvier

16h57 / 17h56

Vaéra

Vendredi 31 Janvier

17h04 / 18h02

Vendredi 7 Février

17h11 / 18h20

Bechalah

FÊTES DE HANOUKA 1er Jour :

Dimanche 22 Décembre

17h22

2ème Jour :

Lundi 23 Décembre

17h23

3ème Jour :

Mardi 24 Décembre

17h23

4ème Jour :

Mercredi 25 Décembre

17h23

5ème Jour :

Jeudi 26 Décembre

17h24

6ème Jour :

Vendredi 27 Décembre

15h50

7ème Jour :

Samedi 28 Décembre

17h33

8ème Jour :

Dimanche 29 Décembre

17h26

e … D e u q i n o La Chr

L O B T I B A É R O B BO U S D C NE

ÉRIE

OÏNCIDENCES

(1ÈRE PARTIE)

The Author

qui cherche à apporter paix, discipline et sérénité à ceux et celles qui la suive correctement et choisissent librement de la suivre.

Il n’y pas de hasard, il n’y a que des rencontres

J’aime les fêtes juives! Toutes les fêtes juives !

Chaque action, chaque célébration est précédée et suivie d’une prière,d'une benediction pour sanctifier chaque chose, pour élever nos âmes et nos corps vers quelque chose de plus haut, de plus beau, de plus noble, de plus apaisant.

Roch Hachana, qui célèbre le renouvellement de nos vies et de nos âmes: Temps des moissons, temps des semailles. Kippour pour pardonner et être pardonné de nos excès et de nos péchés. Sukoth pour nous dire la fragilité de nos possessions et nous contraindre à voir la vraie valeur des choses. Pessah, voyage au plus profond de nous-mêmes, pour comprendre le concept de liberté et apprendre à nous libérer corps et âme, comme nos ancêtres ont dû le faire pendant quarante ans dans le désert. Simhah Torah pour célébrer ce don de D. de ce joyau unique au monde avec en plus le Chabbat hebdomadaire qui rythme nos vies et nos saisons.

"Florence, splendide ville-musée"

Je me trouvais à Florence, splendide ville-musée située en pleine Toscane, lumineuse région Italienne. Je venais de visiter Turin dans le Nord, chef-lieu du constructeur automobile Fiat où je m’étais rendu à un salon de prêt à porter, puisque le vêtement était mon metier. La ville, quelle que soit l’heure ou le jour, est une symphonie permanente de parfums, de couleurs et de bruits. Des milliers, des millions de touristes passent chaque année admirer monuments, palais somptueux, témoins de la ‘’Renaissance’’ et d’un passé glorieux pas si lointain que cela finalement. Boutiques de luxe, galeries d’art, restaurants et bars s’organisent en une architecture complexe, différente et unique dans cette ville si particulière. C’est avec Paris et Venise l’une des villes, à juste titre, les plus visitées de la planète et l’une que j’aime le plus au monde.

Cependant, une des célébrations que j’aime en particulier est Hanoukka, fête des lumières, fête des enfants, fête de la joie et de l’amour partagés. Rappel du courage de Judah Maccabée et du miracle de sa lampe à huile qui dure le temps pour son camp de remporter une victoire capitale. L’atmosphère qui règne dans les maisons juives à ce moment, les cadeaux pour tous, les yeux émerveillés des enfants ! Tout a une raison d’être dans cette religion, pensée dans son essence pour nous rendre heureux, pour nous aider à nous alimenter sainement, pour nous faire penser, pour nous faire réfléchir, pour nous permettre de vivre une vie harmonieuse de couple et de citoyen, pour régler nos existences spirituellement, physiquement, pratiquement à chaque instant de nos vies, avec des balises à chaque détour du chemin, tout le long de la route, pour ne pas nous perdre dans une humanité, vide de sens, sinon et vivre ainsi en harmonie avec D. et nos semblables.

Ponte Vecchio, plus vieux pont en existence: Les guides qui s’y connaissent, racontent admirativement comment Raphaël, Michel-Ange, Caravaggio et d’autres artistes peintres aussi célèbres, passaient régulièrement y chercher inspiration et modèles pour leurs tableaux. ...Suite p. 20

L’homme cherche par tous les moyens à vivre une expérience divine alors que D. cherche à travers nous, à vivre une expérience humaine. C’est pourquoi il nous veut heureux, rassasiés, qu’Il nous a donné dans la Torah inspirée par Lui, des fêtes et de multiples occasions de célébrer la famille, la convivialité, l’amour du prochain, le rire, en un mot : La vie, telle que nous la connaissons et telle que nous devrions la vivre! Un D. clément, miséricordieux qui veut tout expérimenter à travers nous: Le goût des fruits, le parfums des fleurs, la couleur du ciel, les oiseaux, les poissons entre deux rives, entre deux océans, le rire d’un enfant, la musique, tout ce que la nature comprend et qu’Il a créé Lui et nul autre. Sentir, toucher,voir,entendre, goûter pour apprécier chaque miracle produit justement par cette nature, cette nature qui est Lui et Lui qui est la nature toute entière! Je ne suis pas particulièrement pieux mais j’aime cette religion

ique t é t é i D

MINCIR SANS S'AFFAMER OSEZ LE PLAISIR!

Mincir sans pour autant s'affamer, ni déprimer ? Maigrir sans compter les calories ? Pour beaucoup, cela reste un rêve inaccessible, une parfaite utopie. Et pourtant, la recherche du plaisir reste le maître mot d’un régime réussi. Mieux vaut perdre du poids très lentement et sans difficulté que rapidement et en souffrant. Mais perte de poids ne signifie pas forcément perte du plaisir, à condition d’accepter d’oublier un grand nombre de nos habitudes de vie.

« Si vous mangez lentement, vous serez davantage attentive à la sensation de rassasiement et aurez moins tendance à vous bourrer inutilement. »

RETROUVEZ DES HABITUDES SAINES

Il s’agit de retourner aux sources du plaisir « originel » en retrouvant des attitudes saines. Pour cela, projetons-nous très loin en arrière, quand nous étions bébé. Lorsque l’on vient au monde, manger est un besoin uniquement physiologique. Quand le besoin se fait sentir, le bébé se manifeste en pleurant, quand le besoin est assouvi, il arrête en repoussant le sein ou le biberon. Pour lui, pas question de faire de la gourmandise ou de manger quand il n’a pas faim. Il obéit à ses besoins physiologiques, c’est tout. En grandissant, l’écoute des signaux de faim et de rassasiement est diminuée, parfois même occultée complètement, car des facteurs tels que le plaisir de manger, la gourmandise, les horaires, le stress, les distractions prennent le dessus sur ces besoins physiologiques. Ainsi, je mange parce que je m’ennuie, parce que je viens de voir une pub gourmande à la télé, parce que c’est la fête et autres raisons toutes aussi banales les unes que les autres. C’est cette distance entre les besoins réels du corps et les besoins conditionnés par des facteurs psychologiques, sociaux ou extérieurs qui génère de l’embonpoint à long terme.

LE PLAISIR AVANT TOUT

La notion de plaisir ne doit pas être pour autant oubliée. On sait que pour atteindre une satisfaction complète, autant psychologique que physiologique, ce que nous mangeons doit être bon et nous procurer ce qu’on appelle le plaisir hédonique. Cette dimension est une composante essentielle du système de régulation de la prise alimentaire. Sans plaisir gustatif, il est difficile de perdre du poids. Manger doit rester un plaisir avant tout. Se nourrir tous les jours d’un saumon, épinards, sauce à part (on en connaît !) n’est pas une invitation à l’hédonisme. Vous avez beau aimer le saumon, vous risquez de le prendre très vite en grippe. De même, arrêter de consommer tel ou tel aliment que l’on apprécie au motif que l’on veut maigrir risque de vous entraîner à coup sûr dans la spirale infernale des régimes à effets yoyo. Si vous aimez les pâtes et que vous choisissez systématiquement une salade au déjeuner parce que c’est - paraît-il - meilleur pour votre régime, vous avez toutes les chances de développer à la longue un sentiment de frustration intense qui risquerait d’aboutir à des états de compulsions alimentaires. En un mot, vous allez craquer car vous vous mettez dans une position intenable. Le résultat sera encore pire.

SAVOIR ÉCOUTER LES SIGNAUX DE SON ORGANISME Normalement, le corps connaît la quantité de nourriture dont il a besoin. Il faut donc apprendre ce qu’est la faim, afin d’être en mesure de reconnaître la vraie faim.La faim n’est pas un «petit creux» que l’on ressent en regardant la télé, deux heures après le repas. C’est un véritable besoin physiologique qui se manifeste par des bruits et des contractions dans l’estomac, une minime perte de concentration et une légère baisse de l’énergie. On la ressent généralement de quatre à six heures après un repas équilibré.

« Sans plaisir gustatif, il est difficile de perdre du poids. Manger doit rester un plaisir avant tout. »

Mais si on attend trop avant de manger, on peut ressentir les signes d’une faim excessive : étourdissements, fatigue, maux d’estomac. On tend alors à manger trop, trop vite et n’importe quoi. Des aliments procurant des sensations fortes et trompeuses. À l’opposé, sans ressentir aucune faim, on peut éprouver une envie impérieuse de manger, parce qu’on s’ennuie, qu’on est stressé ou triste... En fait, il s’agit d’une fausse faim qui vient souvent combler un besoin autre que physiologique ; un besoin d’affection, de reconnaissance, de plaisir…

« Le conseil, c’est de choisir en fonction de son goût profond et non de façon rationnelle. »

Voici comment le Bon Génie qui est en nous peut répondre à notre Mauvais Génie, si prompt à le démoraliser : « Je vais manger un peu plus au déjeuner, cela m’évitera d’avoir faim cet après-midi » / « Mieux vaut manger moins le midi, quitte à prendre une collation si nécessaire dans la journée. » « Avec ce régime, je n’ai même plus droit à un dessert. » / « Un petit dessert peut faire partie d’un repas équilibré. » « C’est injuste que certains puissent manger tout ce qu’ils veulent sans grossir. » / « Je suis contente de ne pas manger comme eux. Je préfère maintenir mon poids en étant vigilante. »

De toutes façons, choisir vos pâtes tant désirées, ne vous dispense pas de respecter les principes d’un repas équilibré – en évitant d’avoir trop de lipides et de glucides - et d’observer les signes de rassasiement en ne prenant pas une portion trop grande.

En fait, il est important que nous adoptions une attitude responsable vis-à-vis de nos choix alimentaires et d’éviter de faire porter le chapeau au stress, à l’environnement, aux conditions de vie, aux publicités et autres raisons de ce genre. Pour nous aider à faire évoluer notre discours mental et écarter les pulsions récurrentes qui sabotent nos efforts, essayons de développer l’art de la pensée positive en développant certains arguments pour soutenir notre moral. Il est important de changer ses pensées pour changer de poids, d’essayer d’être le plus possible son propre coach en écartant les pensées négatives qui empêchent toute initiative. La motivation est un élément essentiel pour qu’un changement s’effectue dans les habitudes de vie. Si chaque personne est différente et a besoin d’une motivation pour changer et vivre sainement, on retrouve presque toujours les trois éléments essentiels pour que le changement se fasse de façon harmonieuse et sereine : en avoir envie, se sentir capable et être prête à changer. C’est votre cas ? Parfait. Propos recueillis par FREQUENCE JUIVE

#TOUTESTDISCUTABLE

Spiritualité Juive

L’ÉDUCATION DES ENFANTS ‘HINOUKH & LIMOUD PAR SARAH PERETS

– Limoud – enseignement de la Torah aux enfants

– ‘Hinoukh – éducation Les trois partenaires de la création d’un bébé sont le papa, la maman et D’. Pour bien éduquer un enfant, il ne faut pas hésiter à parler à notre partenaire: Hashem. Le fait de parler à D’ est très important, par la prière ou la pensée, et s’adresser à Lui avec ferveur est primordial pour la réussite de notre éducation.

Selon le Hafetz Haïm, tout ce que mange la femme enceinte a un impact sur son bébé. Nous apprenons de là que l’éducation est à prendre très au sérieux. Dans le Chema Israël, nous récitons tous les jours «Tu enseigneras à tes enfants et tu en parleras ... », d’ou l’enseignement de nos Sages qu’apprendre la Torah à ses enfants est une des 613 Mitzvot. Le H’inoukh ou éducation est le fait de parler à ses enfants, de leur transmettre de bonnes valeurs mais aussi de leur apprendre le respect.

« L’éducation commence avant la naissance..»

« Éduquer ne veut pas dire étouffer. »

Alors, que dire à nos enfants? Que devons nous leur enseigner ? Comment améliorer notre expérience? On se demande souvent comment faire et la façon dont notre propre famille nous a élevés influence surement l’éducation que l’on va donner à nos enfants, et c’est pour cela qu’il faut continuer à apprendre pour mieux transmettre. Voici quelques astuces qui, je l’espère, vous aideront.

Un parent doit toujours se rappeler son rôle pour rassurer son enfant. Par exemple, si un enfant fait une grosse bêtise, il se doit de le corriger et de lui montrer le bon exemple mais en même temps, l’enfant doit sentir que ses parents l’aiment et qu’ils seront toujours là pour le soutenir. L’enfant a besoin de leurs barrières et du cadre qu’ils forment autour de lui. Autre règle primordiale, on ne doit pas appeler ses parents par leurs prénoms car cela est un manque de respect. Cependant, éduquer ne veut pas dire étouffer. Il faut laisser l’enfant s’exprimer et éviter de changer sa personnalité. Il est vital de prendre le temps de connaître nos enfants, de savoir QUI est en face de nous. Chaque enfant est différent et il faut agir différemment en fonction de sa personnalité. Patience, courage et respect sont les maîtres d’une bonne éducation. Dans une éducation réussie, il faut apprendre à nos enfants que tout vient d’Hachem. Il est primordial de leur enseigner les bases du Judaïsme ainsi que de leur transmettre notre héritage si précieux tout autant que de leur apprendre à nager et les aider à obtenir un métier. Dans le long terme, l’enfant va s’investir en se servant de tous les enseignements qu’il a reçus afin d’agir avec sagesse. Autrement dit, l’éducation est un renouveau permanent que l’enfant va assimiler afin de l’utiliser au moment venu. Nous devons donc « inaugurer » nos enfants (« Hinouk’h = inauguration). Une fois l’enfant investi et sage, nous comprenons, à ce moment-là, que notre éducation est réussie.

LAMED Des racines et des ailes 8

Conseils & Astuces pour une bonne éducation :

En conclusion L’éducation est l’héritage que nous laissons à nos enfants. Pour mieux éduquer, il faut d’abord aimer…aimer d’un amour inconditionnel, et avoir confiance dans le fait que cela amènera les meilleurs résultats. Eduquer, c’est montrer comment faire, inclure les enfants dans notre discours, leur parler directement. Les enfants aiment le cadre, ils ont besoin de limites et discipline. Ils nous écoutent d’abord, puis ils essaient ensuite de comprendre. Tout dépend de nous! Il ne faut pas avoir peur de changer notre vie, de se lancer dans une nouvelle aventure et l’on n’imagine pas quel impact nous avons sur eux.

1. L’EXEMPLE / Le Pirké avot: Montrer l’exemple. Pour ton enfant, tu es un rôle modèle. Être un parent oblige à devenir quelqu’un de meilleur. 2. LA DISPONIBILITÉ / Être à l’écoute à 100 %- poser le téléphone - déconnecter de son compte Facebook & Instagram ! Parlez avec vos enfants et posez le téléphone ! 3. REPONDRE à l’enfant plutôt qu’au problème.

L’important n’est pas que nos enfants soient tous médecins mais qu’ils se sentent aimés et compris…et puis un jour, ils nous rendent très fiers !

4. PRENDRE LE TEMPS individuel pour chacun: une marche, un lunch Time, un jeu, une discussion. 5. LA TOLERANCE / Chaque enfant est unique. L’ADAPTATION à la nature de chaque enfant afin qu’il garde l’estime de soi.

Sarah Chana Radcliffe, éducatrice et psychologue canadienne, est l’auteur du livre « Élever nos enfants » et de 8 autres ouvrages.

6. LA SÉCURITÉ / Donner à son enfant ce dont il a besoin en lui demandant ce qui lui ferait plaisir afin qu’il se sente en sécurité.

Site internet : parenting-advice.net Facebook : @scradcliffe

7. LA POSITIVITE : critiques ou compliments ? Faire le compte, se demander si on a fait un compliment dans la journée ! « Comment pourrais-je t’aider ? » Changer vos habitudes dans votre expression. Rendre plus positif votre discours. 8. LA PATIENCE en accordant du temps à chaque moment important. 9. LUI DONNER LA PAROLE et le laisser s’exprimer. Et savoir ignorer ses pleurs pour comprendre ce qu’il veut vraiment. 10. NE JAMAIS FRAPPER les enfants que D’ nous a donnés. Prendre le temps de se calmer avant de punir.

Sarah Chana Radcliffe

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RÉALISATEURS JUIFS DU CINÉMA AMÉRICAIN

LES

MOTEUR, ÇA TOURNE !

Alors que la présence juive aux Etats-Unis remonte au XVIIème siècle par l’arrivée de sépharades, la plus grande vague d’immigration a été celle d’Europe Centrale et de l’Est, au début du 19ème. Aujourd’hui, un melting-pot incroyable de plus de 6,7 millions de juifs forme la communauté juive la plus importante de la diaspora. À la veille de la Première guerre mondiale, les juifs immigrés ont largement participé à la création d’Hollywood en Californie. Un grand nombre de ces personnalités, aujourd’hui mondialement connues, portent pour la plupart, un nom qui nous est, avouons-le, très familier. Réalisateurs, producteurs et acteurs américains portent des noms de famille finissant souvent par « erg », « man », « en », « ski »… Le plus troublant, ce sont ces petits « clins d’œil » que l’on voit dans de nombreux films; Qui n’a jamais dit : « Il y a une menorah ! », « Oh ! Ils fêtent hanouka ! » ? Ces scènes familières nous feront toujours vibrer…Une bar-mitsva, un mariage sous une Houppa, une scène shabbatique autour d’un kiddouch,

des scénarios humoristiques illustrant le cliché d’une « mère juive », etc.… Cette judéité, certes plus culturelle que religieuse, a marqué le cinéma US par une mise en valeur des traditions juives dans une version très bien choisie, mêlant l’humour juif et les charmes d’une famille juive chaleureuse. Grâce à ces pionniers du cinéma, notre culture s’est fait connaître, par petites touches, d’un large public. Ces scènes cinématographiques rituelles ont eu la grâce de sensibiliser des spectateurs qui ne connaissaient absolument pas notre univers. De ce fait, l'identité juive américaine se coule bien dans le moule de l'identité nationale. MAZALTOV !

Extrait du Film : "MON BEAU-PERE ET MOI"

Extrait de la série : "FRIENDS"

QUELQUES CINÉASTES CÉLÈBRES … Steven Spielberg Producteur, réalisateur, acteur, scénariste, créateur et auteur. Steven Allan Spielberg est né à Cincinnati (Ohio) le 18 décembre 1946 dans une famille juive. « Parce que je suis fier d’être Juif, je m’inquiète de la progression de l’antisémitisme et de l’antisionisme dans le monde. » « J’avais honte, j’étais complexé. J’étais toujours conscient d’être différent des autres parce que j’étais juif, confiait Spielberg. Au lycée, je me suis fait tabasser à deux reprises. C’était horrible. » "Aujourd’hui père de sept enfants et grand-père de trois petits-enfants, Spielberg affirme que la réalisation de la Liste de Schindler a marqué le tournant où il a décidé de créer quelque chose « qui confirmerait son judaïsme aux yeux de sa famille et à ses propres yeux. » Encore aujourd’hui, il rappelle que la conversion de sa femme a raffermi son engagement pour le judaïsme et renouvelé sa volonté de donner une éducation juive à ses enfants. C’est à cette époque que la famille Spielberg s’est mise à observer toutes les fêtes juives et à allumer des bougies le vendredi soir. Les enfants Spielberg ont tous fêté leur bar et bat-mitsva. Ils ont été élevés dans l’amour d’Israël et un attachement profond à leurs racines juives." www.aish.fr

Woody Allen Scénariste, acteur, réalisateur, producteur, auteur, artiste musical et créateur. Issu d'une famille d'immigrants juifs russo-autrichiens. "Je me sens totalement juif, même sans attacher la moindre importance à la religion. Evidemment, je connais les principales règles de la Torah depuis mon enfance car j’ai été élevé dans le traditionalisme modéré, mais cela fait très longtemps que je ne fréquente plus les synagogues, même si je dois hélas m’y rendre, parfois, quand un de mes vieux amis juifs de New York a la mauvaise idée de quitter ce monde… Pourtant, le judaïsme est complètement ancré en moi, ce qui ne veut pas dire que j’apprécie l’esprit communautariste. Je pense justement que la force des juifs est de s’adapter à toutes les autres composantes de la société, sans jamais oublier qui ils sont, ce qu’ils représentent, ce qu’ils apportent et ce qu’ils inspirent comme sentiments chez les autres couches de la population." www.israelmagazine.co.il

Roman Polanski Réalisateur, acteur, scénariste, producteur, auteur et artiste musical. Né à Paris en 1933, Roman Polanski est le fils d’un peintre juif polonais et d’une mère catholique issue d’une famille juive convertie. Très jeune, sa maman lui fait découvrir le cinéma. Par chance, le jeune Roman échappe à la déportation alors que son père et sa mère enceinte sont tous deux gazés à Auschwitz. « Sur d'autres films, j'ai, bien sûr, des souvenirs de satisfaction, des moments d'humour partagé. Mais jamais je n'ai été aussi heureux, ressenti une émotion aussi grande que celle connue sur le tournage du Pianiste. C'est "mon" film, le seul dont je sois vraiment fier. Sans doute parce qu'il est le plus proche de moi. » www.leparisien.fr

Quelques références : À lire : * « La saga juive qui a fondé Hollywood », Neal Gabler *Cinéma juif : www.akadem.org *Un brin d’humour... " Bande dessinée de Lucky Luke « La Terre Promise » de Jul. Retrouvez la Liste des cinéastes juifs sur : https://en.wikipedia.org/ wiki/List_of_Jewish_film_directors

Quiz

HANOUKA 5780

CE QU’IL

FAUT SAVOIR

Du dimanche 22 au lundi 30 décembre 2019, chaque soir, des milliers de ménorah brilleront, des milliers d’enfants seront récompensés, mais le message le plus important est le suivant : « N’ayez jamais peur de défendre ce qui est juste, pensez à devenir une meilleure personne, sachez comment transformer l’obscurité en lumière, manifestez-vous à travers vos misvot et accomplissez-les avec fierté ! » A - 7 nuits et 8 jours. B - 8 jours et 8 nuits. C - 8 nuits et 9 jours.

2- Hanouka commémore : A - La victoire militaire des Maccabées contre la puissante armée syro-grecque. B - Le miracle d’une petite cruche d’huile brûlant pendant 8 jours consécutifs. C - Les 2.

8- Lors de Chabbat-Hanouka, on devra allumer les bougies* : A - De Chabbat avant les bougies de Hanouka. B - De Hanouka au moins 1h15 avant les bougies de Chabbat. C - De Hanouka en même temps que les bougies de Chabbat.

9- Si on allume une ménorah publique :

3- Ces aliments sont liés au miracle de Hanouka :

A - On peut s’abstenir d’allumer à la maison. B - On doit allumer à la maison sans faire les bénédictions. C - On doit allumer à la maison en récitant les bénédictions.

A - La confiture de coings et le poulet. B - Le lait et le miel. C - Les laitages et l’huile**.

10- La ménorah doit être placée et ne plus être déplacée :

4- Pour Hanouka, le plus important est de : A - Donner des cadeaux. B - Manger des beignets. C - Allumer la ménorah.

5- Les bougies de Hanouka doivent brûler : A - Au moins 18 minutes. B - De l’après-midi au coucher du soleil. C - Au moins ½ heure après la tombée de la nuit.

A - Loin de la porte d’entrée de la maison (ou de la cour). B - À droite de la porte. C - Sur le rebord de la fenêtre, près de la porte, à sa gauche, visible de l’extérieur. *Il est recommandé de prévoir des bougies de Hanouka plus grandes afin qu’elles brûlent au moins ½ heure après la tombée de la nuit ou bien remplir plus d’huile dans vos fioles. ** Selon les traditions et les rites familiaux.

6- L’allumage se fait de :

Réponses : 1B)-2C)-3C)-4C)-5C)-6A)-7B)-8B)-9C)-10C)

A - De gauche à droite. B - De droite à gauche. C - Du milieu aux extrémités.

7- La 9ème bougie de la ménorah (celle qui allume les autres) s’appelle : A - Le « Gadol », signifie grand. B - Le « Chamach », signifie aide. C - Le « Ner Amaarivi », signifie lumière occidentale.

1- La fête de Hanouka dure :

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Porsche Taycan 4S Après la Turbo et la Turbo S, voici la 4S, toujours 100 % électrique, plus abordable mais moins performante. Sa batterie est plus petite (79,2 kWh) et sa puissance plus faible (530 ch), avec une autonomie de 407 km et une vitesse max de 250 km/h (155 mhp). Cependant, comme dans tous les modèles de la gamme Taycan, on retrouve son châssis « skateboard » et sa carrosserie svelte de berline-coupé proche de la 911. Avec ses 4 roues motrices, tout le luxe de son habitacle est dans le digital. À partir de $ 103.800 en modèle Performance (disponible en modèle Performance Plus / option intérieur sans cuir). Sortie prévue chez les concessionnaires américains au Printemps 2020. www.porsche.com

Richelieu Zizi Mocassins cuir de veau Nappa Confectionné en France selon la technique du cousu retourné, modèle affectionné par Serge Gainsbourg. $ 265

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Rolex Daytona Cosmograph Boîtier en acier inoxydable 904L poli brillant, fond et boutons poussoirs, couronne et boutons poussoirs avec triple imperméabilité Triplock, céramique monobloc noire. Lunette Cerachrom avec échelle tachymétrique gravée, glace saphir anti-rayures, cadran blanc ou noir laqué, index appliques en or blanc 18 carats avec Chromalight, compteurs à escargot noir, mouvement automatique avec seconde au centre du chronographe, compteur 30 minutes à 3 heures et compteur 12 heures à 9 heures, environ 72 heures de réserve de marche, bracelet Oyster en acier inoxydable 904L à maillons solides, boucle Oysterlock rabattable avec maillon de rallonge confortable Easylink de 5 mm. Étanche à 100 mètres. Introduit à Baselworld 2016. $ 21.490 www.upperwatches.com

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alent T t o G h s i Jew

HANOUKA TREATS LES BEIGNETS AU CŒUR DES LUMIÈRES Sfenj, Bimuelos, Bambalounis, Soufganiot, Donuts, en veux-tu en voilà ! Appelez-les comme vous voulez, les beignets frits dans l’huile restent les mets les plus célèbres de la fête de Hanouka. Agrémentés de sucre, de confiture, de crème ou encore de chocolat, ils font la joie des enfants, de leurs parents et même de leurs grands-parents ! Voyons qui a remporté la victoire des meilleurs beignets de notre Challenge Jewish Got Talent*. ASTUCES : - Utilisez toujours de l'huile neuve (évidemment...) - Si vous n'avez pas de thermomètre pour savoir si l'huile est à 180°, plongez-y un morceau de pain : il doit immédiatement remonter et dorer de en 40 secondes. Ingrédients : type 55 - Ne remplissez jamais le récipient au-delà du - 250g de farine tiers de sa hauteur : l'huile mousserait au con- 40 g de sucre tact de la pâte. lé nil va cre - 2 sachets de su de sucre vanillé) - Si l'huile n'est pas assez chaude, la pâte us ne mettez pas vo si cre su e de ch g (ou 65 chet de levure sè sa 1 ou e, ich l'absorbera, et vos beignets seront très gras. fra - 15g de levure r tiède (40°) tie en Si elle est trop chaude, les beignets cuiront t lai de ml - 80 moyens) 3 jaunes d'oeufs trop à l'extérieur et seront crus à l'intérieur. - 1 gros oeuf (ou mmade - Pour garder une température de cuisson - 50 g de beurre po l de se me vanille arô / - 1 bonne pincée r constante, ne faîtes pas cuire en même ge ran d'o m / de fleur ieux !) - 1 bouchon de rhu rsonnel, c'est délic pe t temps trop de beignets. Au contact de la ou (aj ge ran d'o / - Zestes de citron pâte, le bain de cuisson refroidit ! - Pendant la cuisson, retournez les beignets pour qu'ils dorent uniformément. Préparation : et les zestes de - Pour juger du temps de cuisson des beige de (pas chaud !). rôm tiè t l'a lai f, le eu l'o ns , da Délayez la levure lange avec la farine mé ce z tte nets, testez le premier beignet : ouvrez-le et me ot, rob - Dans la cuve du mmade. po e urr vérifiez son degré de cuisson. be le is pu et le sel, citron. et ajoutez le sucre te - Retirez les beignets avec une écumoire, pâ tte Ce e. - Pétrissez un peu, elques minutes. lum ait doublé de vo qu puis égouttez-les sur une bonne épaisseur : il faut que la pâte - Pétrissez encore s ure he ux de er ez lev st normal. ur ne pas po c'e - Couvrez et laiss r in, ye de sopalin. pa pu à ap te s pâ pa t que la essayant de ne lève plus lentemen cm d'épaisseur, en 2 - les beignets doivent être servis le jour r su te pâ la ite - Etalez ensu te : même. Ils ne se conservent pas au-delà, ils rcles. ce s de z lle tai dé trop dégazer la pâ ), pièce (ou un verre rte les po ez ne se congèlent pas non plus (mieux vaut em ler éta un s ec e vou - Av pour cela que lorsqu x cercles, si vous ne se rétracte. C'est au éviter). elle uve s no plu de te, ller pâ de détai travaille la te obtenue avant Attention : Plus on - il paraît que le fait d'ajouter un peu d'alcool bien soulever la pâ dra fau il te, pâ . t petits chutes de c des cercles tou ave ver rou (comme le rhum, le brandy...) rendrait les ret s re voulez pas vou moment de les fai farinée sinon, au iss La trè t. beignets moins gras. J'ai essayé et je n'ai e en qu pla tem e dia un gazeront immé ainsi obtenus sur r sulfurisé !) et dé la garante de pie pas vu la différence, mais ça ne peut pas ra pa - Posez les cercles se i du r qu e su e ell st êm collés (m t importante, c'e t de frire, ils resteront faire de mal... phase d'attente es aurez énormémen tte us vo Ce . on ure sin , he e ure un he e sez-les lever dépassez pas un ne is - Le fait d'ajouter des zestes d'agrumes ma , és e. nfl uil beignets bien go plonger dans l'h beignets pour les les est, selon moi, indispensable : les beignets Si r ). ule 0°F nip (36 ma ius à l els ma ure idéale est 18 0°c ! Privilégiez une sont nettement meilleurs !!! doux. La températ ieur feu tér à l'in ets à ign es be vid t les on et ser faire frire laissent un arrière nfleront trop vite iles go Il est important de hu ets s - Si vous voulez les garnir, il existe une ign tre be au les les uve que trop for t, de raisins, (je tro vous mettez le feu pe nt celle de pépins te autre technique que la douille : il suffit éta tou l e éa un l'id e e, ilis utr moi j'ut huile ne issez uve évidemment), de déposer la confiture (ou autre chose) r un. SI vous chois de l'huile toute ne pa ec goût). un (av l ets éa ign l'id be st e les sur friteuse c'e Si vous le laissez d'huile, et je fais frir l n. Si vous avez une bie 0m e 25 nfl ts au milieu d'un disque de pâte, et d'ajoutgo me 'il je qu laquelle et pour ment sans tite casserole dans retourner très fréquemment le beign s bien gonflé. Retournez-le quasi pa er un autre par-dessus. Pour souder les a dra ser fau il ne n, il r, tio cette op retourne s attendez pour le deux disques ensemble, voici une astuce une friteuse. c une écumoire). ns ave une face et que vou da es e z-l mm tire co (re é d'huile s immerg sorber l'excédent arrêt, car il n'est pa extraordinaire : prenez un emporte-pièce e fois cuits pour ab un lin pa .. so re. du siè Mettez-les sur de la crème pâtis e, mm à peine plus petit, et reformez un cercle po de ote t, une douille ocolat, de la comp à garnir, ou, à défau garnir avec du ch le sur les deux disques, mais en faisant un uil les do ez e uv un po ec us av - Vo che les choux. est d'utiliser une po rrer les éclairs ou mouvement de rotation !! C'est ce mouts un peu fou me ur je l Pour cela, l'idéal po ue nt leq me ns ale da servira ég ngélation vement de rotation qui va renforcer la très fine. Elle vous sucre en poudre, j'utilise un sac co r de coue bien. Pour les recouvri d'un tamis, mais et dedans et je se ide ign soudure entre les deux disques, pour ne l'a be à , un ce ite gla su en oudrer de sucre de sucre. Je place choisir de les saup pas qu'ils s'ouvrent à la cuisson ! (Vérint me ale ég ez uv Vous po ! ids fro t ien so fiez quand même qu'ils soient parfaite'ils attendez qu ment soudés...)

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(Nom, prénom, n° de téléphone)

av R Nos CIENCE

ET TORAH

s! Ils sont chanceux ces barbu

Avant de naître, un bébé vit entouré d’eau dans le ventre de sa mère. Il ne respire pas, ses poumons sont repliés sur euxmêmes entre les deux cavités supérieures du cœur. Celui-ci est percé d’un orifice pour que le sang puisse circuler et un tube relie l’aorte à l’artère pulmonaire. Au cours des dix minutes qui suivent sa naissance, ses poumons doivent se déployer, l’orifice dans son cœur doit se refermer et le tube doit se boucher. Ce sont en tout 67 étapes qui doivent se succéder pour que, de l’état de créature immergée, le bébé devienne un être humain qui respire de l’oxygène. Miraculeusement, ce phénomène est tout à fait ordinaire et se produit à chaque minute. Il n’existe aucun être humain, aucun scientifique, qui aurait pu concevoir et mettre en œuvre pareille séquence. Si un laboratoire essayait de la reproduire, cela ne marcherait jamais. La science ne contredit pas la Torah. Elle nous enseigne, au contraire, que lorsque que D.ieu a dit « J’ai créé le monde », « Je pourvoirai », « Je vous guérirai», Il disait vrai ! www.chabad.org

Rav Joseph Haïm Sitruk Zl’ La Torah face à la science

La science et le message de la Thora sont-ils compatibles ? Existe-t-il des preuves scientifiques de la véracité de la Thora ?

Il n’y a qu’un siècle et demi que le monde a découvert que la Thora était un système complet qui pouvait apporter au monde scientifique un éclairage étonnant. Les choses ont bien évolué depuis. Le monde moderne est l’héritier de la sagesse grecque. Depuis cette époque, on a toujours considéré que le monde n’avait pas d’âge. En 1924, l’astronome américain Edwin Hubble démontre l’existence d’autres galaxies en dehors de notre Voie lactée. Albert Einstein le félicite, sa découverte validant toute sa théorie. Les découvertes scientifiques des Supernovas, du nombre d’étoiles dans l’univers 10 puissance 21 par la Nasa, le Big Bang, mais surtout le fait que l’univers s’expand continuellement … prouvent bien que l’univers a un commencement.

La guémara : Israël se plaint à D. d’être oubliée mais D. répond qu’il a créé 12 constellations, 30 régiments et des divisions d’étoiles. Selon nos hahamim, il y a un grand nombre d’étoiles que l’on ne voit pas et ce nombre d’étoiles est précis et ordonné. Elles sont donc comptées au nombre de 10 puissance 19, pas loin du chiffre trouvé par la Nasa.

D. a créé le monde à l’âge adulte avec la base de l’eau à la surface. Plus il y aura de découvertes technologiques performantes, plus on s’apercevra de la grandeur et de la sagesse de la Thora. La Thora ne contient que des choses vraies, la vérité, le Emet. Notre intelligence repose sur l’étude de la Thora. Mode Ani Miléfanéh’a Merci de la vie que tu m’as donnée ce matin C’est le mot de la vie. Mettre sa vie en adéquation avec ce que l’on voit et se réaliser totalement, tel est le but final d’un homme épanoui. Cours complet sur www.youtube.com

RAV SITRÉ HAÏM

LA SCIENCE DE L’ÂME ET LA MÉDECINE LUMIÈRE La Thérapie Lumière, PHYSIQUE QUANTIQUE KABBALISTIQUE a été mise au point par l'Admour de Sitré Haïm chlita. Cette thérapie trouve sa source dans la physique quantique et dans les écrits Kabbalistiques du Ari HaKadosh en liaison avec la médecine et d'autres sciences. Le Rav Sitre Haim, Kabbaliste de renom, Juge au tribunal rabbinique, est également enseignant spécialisé dans les matières bibliques les plus pointues, Maitre de Su-Jok (formateur et thérapeute) et thérapeute quantique depuis 30 ans. Cours complet sur www.youtube.com et plus d’informations à propos du Rav Sitre Haïm sur www.ctasitrehaim.com

Le but d’un sage est d’arriver à guérir son prochain. Dans notre corps, au niveau de la colonne vertébrale, on distingue le système nerveux sympathique - celui qui peut nous détruire, il est tantôt noir, tantôt blanc – du système nerveux para sympathique - celui qui nous donne toutes les options, le choix de toutes le couleurs. De part et d’autre des vertèbres placées l’une sur l’autre et séparées par des nerfs, circule une autoroute. Les organes représentent, eux, les sentiments. La rate, c’est le rire ou la tristesse. Une personne est malade lorsqu’elle est sentimentalement atteinte, ou par le biais de son imagination. Si l’on descend et remonte l’autoroute par les bons nerfs, si l’on se libère de toute son imagination et de tous ses sentiments négatifs, le corps peut fonctionner de façon homogène. Si l’on veut guérir une personne, il suffit de tourner cet être humain vers la miséricorde et la lumière.

« Toujours être en face de la lumière et ne jamais lui tourner le dos. Celui qui est dans l’obscurité, avec la lumière dans la nuque, n’arrive pas à voir ce qu’il y a dans la lumière. »

Dans le Zoah HaKadosh, il est écrit que toutes les extrémités du corps représentent la sensibilité et les détecteurs de ce qui se passe à l’intérieur du corps.Chaque fois que l’énergie passe dans la colonne vertébrale, tout fonctionne ! \ La personne qui n’est pas assez illuminée dans son quotidien est malade ou est susceptible de le devenir. Pour une bonne circulation, il faut que la lumière passe à travers nous, les sentiments doivent être libérés ; du corps astral à la lumière céleste.

De …

L O B T I B A É R O BOB U S D C

ique La Chron

ÉRIE

NDE

OÏNCIDENCES

PARTIE)

à moi-même Il me semblait que le temps ne coulait pas de la même manière pour moi. Je vivais, profitant de chaque instant présent, me saoulant de vie, d’amours éphémères, de grands restaurants, de sorties tard dans la nuit. Je m’adaptais au fur et à mesure aux lieux et aux circonstances. J’oubliais les dates du calendrier juif à l’exception peut-être de Roch Hachana et de Yom Kippour et encore! Je vivais! Je ne m’astreignais à rien. Un jour à Paris, l’autre à Milan un autre en Sardaigne ou sur la Côte d’Azur. Un autre encore à New York, Hong Kong ou Marbella ! On perd vite la notion du temps et de l’espace! On est occupé à vivre! On vit! Toutes ces séries d’événements me laissaient perplexe! Toutes ces coïncidences étaient elles fortuites? Ma petite personne face à l’univers étant tellement minuscule qui s’occupait de moi pour rendre ma tâche et ma vie plus facile? Qui me permettait contre toute probabilité de réussir mes projets jugés par tout le monde comme irréalisables, donquichottesques, fous? Mais étaient-ce vraiment des coïncidences? Il me semblait que l’univers tout entier se liguait favorablement pour répondre à mes désirs les plus profonds, à mes aspirations les plus absurdes. Il me semblait vraiment que si je demandais quelque chose avec suffisamment de ferveur, avec suffisamment de foi, avec suffisamment d’amour n’importe quoi, tout, pouvait m’être accordé et réalisable par miracle. Imaginez un ordinateur géant, à la grandeur de l’univers, une espèce de Siri ou d’Alexa qui répondent instantanément à vos demandes les plus folles, les plus incongrues, les plus incroyables et vous aurez une idée de ce dont je vous parle. D. dans son immense sagesse a créé une machine pour servir l’humanité ! Il suffit pour cela de rêver! Il suffit pour cela de prier! Il suffit pour cela d’y croire! Quelques heures plus tard, accompagnée de Vanessa, nous nous retrouvâmes devant une lourde porte aux motifs complexes, la norme à Florence. La maison ou plutôt un palais décorée avec goût et raffinement, était entièrement illuminée de candélabres et de bougies. Des chandelles qui dansaient dans tous les sens, dans tous les coins. Des tableaux aux murs ajoutaient une note de qualité et d’harmonie à ce décor hors-normes. La table était mise pour une trentaine de personnes. Des parfums exquis de cuisine émanaient de partout. Tout le monde était habillé élégamment, des enfants jouaient gaiement sur d’épais tapis aux couleurs chatoyantes, partout des paquets cadeaux étaient amoncelées. Un air de fête empli de musique, de chants hébraïques me rappelant le bonheur naïf et pur de mon enfance. Celui aussi du temps heureux où j’étais scout. Le bonheur simple d’être et de vivre:

… Je décidais, puisque c’était l’anniversaire du décès de mon père survenu quelques années auparavant, de rester à Florence et d’attendre un prochain “Salon” quelque part en Europe. C’est dans cette atmosphère euphorique et festive que je me retrouvais, paradoxalement, seul et plutôt triste. À Turin, j’avais rencontré amis et fournisseurs, fait quelques affaires, je pouvais donc me reposer et méditer tranquillement. Simultanément je cherchais le nom d’un fournisseur “Caroline Tricot” dont le produit m’intéressait au plus haut point. Je demandais au concierge de mon hôtel, je cherchais dans le bottin, les ordinateurs n’existants pas encore et les téléphones intelligents encore moins: Rien! Le nom du fabricant devait sans doute être différent de la marque ellemême et sans cette information toute recherche semblait futile. Assis à une terrasse, nombreuses dans la ville, je prenais un café en lisant mon journal lorsqu’un mannequin, Vanessa, sublime créature rencontrée à Turin me salua avec effusion -Ma Bob que fais tu là? Je te croyais reparti chez toi! Je vivais effectivement à Montréal, au Canada. -Viens! Viens avec moi me dit elle en un français approximatif, j’ai rendez-vous avec le directeur d’une boutique puis nous irons déjeuner ensemble si tu veux. J’acceptais avec plaisir et la suivi. En passant je vis clairement derrière la vitrine d’un magasin de reliure, le sosie de mon père, dans la même position où il se trouvait lorsqu’il travaillait et faisait ce métier justement, lorsqu’il serrait les dents pour apposer en lettres d’or les titres des livres qu’il venait de remettre à neuf avec amour. Sur une chaise haute, tricotant un bonnet ou un pull quelconque, une femme qui ressemblait tout à fait à ma mère, composait le reste du tableau. La scène entière paraissait irréelle! Comme si le temps s’était arrêté et simultanément comme si le passé, intact, revenait me faire un clin d’œil complice en ce triste jour anniversaire! Après avoir parcouru un dédale de rues, de ponts au dessus de l’Arno, le fleuve tranquille qui traverse la ville, nous arrivâmes à une boutique qui vendait des vêtements de luxe. Sur la vitrine, un auto-collant indiquait clairement ‘’Caroline Tricot’’ Intrigué, je demandais à la vendeuse - Vous connaissez le fabricant de cette marque ? - Oui, très bien, me dit-elle, cette boutique leur appartient ! Je pris, tout content, l’adresse et le téléphone de l’usine et moi et ma belle compagne allâmes déjeuner. Elle me proposa sympathiquement de nous revoir le soir même - Je suis invité à dîner dans une famille ce soir pour une célébration spéciale, viens avec moi! N’aimant pas me retrouver seul, j’acceptais avec enthousiasme sans poser d’avantage de questions. Vers sept heures elle passa me prendre comme convenu, et de nouveau nous marchâmes dans la ville animée. Voyageant sans arrêt pratiquement toute l’année,j’étais, je l’avoue, déconnecté de la ville où j’étais né, celle où je vivais, de la religion aussi belle soit-elle que je prenais à la légère quoique sincèrement juif. Les traditions, les coutumes c’était bon à la maison mais loin de tout et de tous je ne me sentais lié à personne ni à rien en particulier sinon

Ils célébraient le premier soir de Hanoukka! Par Bob Oré Abitbol

ec v a e r t n Renco

MICHÈLE BOHBOT La mode, le yoga, la diététique, les vidéos Instagram… dîtes-nous tout ! Les lecteurs de Fréquence Juive s’intéressent à vous, …

… Mais qui est vraiment Michèle Bohbot ? «Le travail ne m’a pas empêché de grandir, bien au contraire, enceinte je suis encore plus créative. Aller de l’avant et ne jamais s’arrêter, telle est ma devise. Les enfants, mon mari, ma famille ont toujours été mes priorités.»

Fréquence Juive : Dans un premier temps, parlez-nous de votre enfance, votre jeunesse, vos origines. Michèle : « D’origine française, née à Fez au Ma-

roc, j’ai grandi à Casablanca dans un milieu juif traditionnaliste, avec beaucoup de chaleur et d’amour. Très jeune, je me sentais différente avec un trait de caractère très indépendant, emprunt de rébellion et qui ne correspondait pas avec la société marocaine à laquelle j’appartenais. Je n’étais pas celle qu’on voulait que je sois. À l’âge de 15 ans, je m’achetais une moto grâce à mon job. Je donnais des cours de mathématiques et j étais très populaire. Ma famille ne l’apprit de la bouche de mon frère que quelques années plus tard. Je voulais toujours avoir un jardin secret ou mon imagination pourrait s’exprimer et se réaliser de manière créative. J’allais dans les « Derbes » (genre de souk) pour acheter des vêtements de l’armée Américaine. Je voulais avoir mon propre style et surtout être différente des autres au désespoir de mes parents. À cette époque, au Maroc, nous n’avions pas de beaux magasins, alors ma mère voyageait deux fois par an en France et refaisait toute sa garde robe. Je devins sa styliste car je lui mélangeais toutes ses tenues coordonnées ainsi que les couleurs et les tissus. Si elle revenait avec 15 tenues, je lui en faisais 50. Elle essayait tout, infatigable ! Ma mère.... je me souviens de ces moments où nous avions de sérieuses conversations, où

Mère de 7 enfants, dévouée à sa famille, fondatrice et Designer de la marque Bisou Bisou.

je me fâchais presque et voulais faire d’elle une leader de mode dans son cercle d’amies… C’est en faisant le film de notre vie que nous nous rendons compte que tout était prévu et que nos vocations et nos choix viennent en général de notre enfance.»

met de bien vivre en communauté et de respecter notre histoire en faisant honneur à Hachem. Quand les deux tendances se rejoignent, on atteint le Nirvâna Hahahahahah. »

FJ : Votre premier job ? On en parle ? Michèle : « Prof particulier de math et d’anglais.

J’avais 15 ans. Je me baladais en moto. Dans mon style kamikaze, je faisais partie d’une bande de motards, genre garçon manqué. »

« Il ne faut pas confondre spiritualité et religion. La religion, c’est le mariage entre le cerveau et le cœur, c’est de cette façon que l’on peut s élever. La religion et son étude sont aussi des outils qui peuvent ouvrir certaines portes du monde spirituel. Chacun d’entre nous a un chemin, ses propres expériences et sa mission sur terre.»

F.J. : Quels sont vos plus beaux souvenirs ? Michèle : Petite fille, j’arrangeais les ourlets des

vêtements de ma mère, j’habillais et cousais des nouvelles tenues pour mes poupées, j avais reçu une très belle boîte à couture d’aiguilles et de fils colorés. Souvent il m’arrivait de redécorer les chambres de mes amies, je transformais leur univers en changeant la disposition des meubles, j avais déjà ce goût très marqué pour la décoration.

F.J. : Depuis quand êtes-vous une yoguiste ? Quels en sont les bienfaits spirituels au point de vue personnel ? Michèle : « Lorsque j’étais petite fille, je passais un

FJ : Emouna, religion, spiritualité ? Dans quel ordre mettez-vous tout cela ? Michèle : « La emouna, la confiance en l’avenir, le courage, tout cela prend sa source dans la propre confiance en soi et dans l’estime de soi même. La certitude qu’une force plus grande et lumineuse nous protège à chaque instant et nous guide. Le fait de ne jamais se sentir seul(e) nous donne une certaine liberté dans laquelle la peur et le doute n’existent pas. C’est ça la Emouna pour moi... et elle se vit à chaque moment et à chaque acte.

temps fou cachée sous mon lit, sans que personne ne le sache, dans le seul et unique but de réfléchir, à quoi, je ne saurais vraiment l’expliquer, mais ce qui est sûr, c’est que je communiquais avec moimême. À l’heure actuelle, peu de gens prennent le temps de méditer mais je pense que cette communication est indispensable. Le monde devient fou mais parler à sa flamme, à son étincelle, c’est finalement parler à Hachem. Le yoga, c’est mon tikoun, l’expression la plus profonde de ma spiritualité. Grâce au yoga, j’ai appris à ne pas juger, à ne pas comparer, à exister. Les bienfaits de ma méditation – qui n’est autre que l’hitbodedut de rabbi Nahman -, sont nombreux. La confiance en soi et en l’avenir, la foi, la paix intérieure, le sentiment de sécurité et de courage sont les éléments essentiels d’une personnalité positive et joyeuse.»

« On cherche Hachem mais il est en Nous! » La Techouva, je la pratique tous les jours. C’est un travail permanent. La pratique de la religion, c’est la manière physique de montrer à Hachem qu’Il est notre souverain et le Roi de tous les univers. Il ne faux pas confondre spiritualité et religion. Pour moi, ce sont deux choses différentes. Lorsque l’on se sent connecté à une dimension plus grande que nous-même, il est impossible que l’on puisse dénier ou diminuer l’existence de D. et de Ses pouvoirs. Plus nous sommes connectés et plus nous recevons des signes et devenons conscients de Sa magie et Sa force. Ça, c’est la spiritualité. La spiritualité prend sa source dans la métaphysique, et la religion dans la matérialité, c’est tout autre chose. La religion est faite de lois et de traditions. Elle nous per-

« Il faut savoir qui l’on est, et çela ça se travaille ! »

FJ: Vous qui représentez la réussite, comment s’est passée votre arrivée à L.A. ? Vos expériences, vos défaites, vos conseils, nous voulons tout savoir ! Allez-y c’est à vous.

Michèle : « Je vivais en France, lorsque j’étais

jeune mariée ; l’antisémitisme avait déjà atteint le niveau des attaques terroristes en pleine rue. Ce fut un déclic le jour ou je fus témoin de l’agression d’un de mes proches en plein Paris. Vivre dans la peur et la crainte, ce n’était plus possible, surtout avec des enfants. En 1987, malgré nos situations professionnelles prospères, nous décidâmes de nous installer en Californie. Nos premières années à Los Angeles furent plus complexes que ce que nous avions imaginé. Sans la connaissance de l’américain, sans l’état d’esprit US, ni même la langue, 2 ans suffirent à mon mari pour se décourager et penser à rentrer en France auprès de sa famille. Mais pour moi, c’était hors de question. J’étais faite pour les USA et rien ni personne n’aurait pu s’y opposer. Déterminée et hyper positive, je créai ma propre ligne de

vêtements, portant le nom français « Bisou Bisou ». Dans la vie, tout se prépare ! Les couleurs, les tissus, les lumières, mon mari et moi construisions ensemble, main dans la main, un empire familial. C’était notre force. En 1989, après trois ans de travail persistant, beaucoup de chance et de positivité, nos vêtements devinrent célèbres dans les boutiques américaines et les plus grands magasins. Aujourd’hui, la marque a été mise en sommeil mais ma passion pour la création ne s’arrête pas là. Le métier d’architecte designer est la continuité de mon expression artistique. Aujourd’hui, la construction et la décoration d’intérieur sont mes activités favorites.

Les conseils de Michèle : « Les secteurs à exploiter pour les nouveaux français immigrants sont le catering et la beauté avec comme recette : une bonne dose de pensée positive et de bonnes intentions ».

FJ: Adepte inconditionnelle de Rabbi Nah’man, quels ont été les bienfaits lorsque vous êtes allé en Ukraine ? Michèle : « Personnellement, j’ai toujours

connu ma place. Mais le jour où je suis arrivée à Ouman, j’ai pleuré pendant longtemps, comme si je me libérais de toutes les âmes qui étaient en moi. Lorsque je me suis recueillie sur sa tombe, j’ai compris, je n’avais plus de doutes, tout prenait un sens. Dans ce paysage idyllique, tout était réel. Je ressentais l’histoire, la Shoah. Les femmes, là-bas, étaient d’une gentillesse et d’une pureté inégalée. Pour moi, le langage de ce mouvement hassidique est le même que celui du yoga. La reconnexion, l’abstraction du physique, la purification, l’élévation, tout est là. Aujourd’hui, grâce à ce grand Tsadik, je me sens propre, réparée, purifiée, et plus proche dans la pratique du judaïsme. Mes états d’âmes, mon orgueil, mon ego, tout cela a disparu. J’y retourne assez régulièrement. C’est cette spiritualité qui m’a gardée intacte. » Architect Designer

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Yoga Teacher

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La Table Ronde

MITSVOT* AVEROT* CONSEQUENCES Est-ce que le but des mitsvot est d’être une meilleure personne ? Après la vie, comment serons-nous jugés ? Les fautes entrainent-elles des punitions ? Sur quoi ? Sur qui ? Pour quelles générations ? Quelles sont les vraies répercussions de nos actes ? Nos ravs et rabbanites répondent.

RAV REUVEN BAUBOT Conférencier et professeur de sciences et de Torah à Los Angeles Le but ultime des mitsvot est de faire la volonté d’Hachem, en tant que père si l’on comprend pourquoi, ou en tant que maître si l’on ne comprend pas pourquoi. Même un enfant ou un serviteur a besoin de motivation, et D. nous en donne ! Chabbat, par exemple. Le Chabbat n’a pas été donné comme mitsva mais comme cadeau - raison pour laquelle un non-juif ne doit pas faire Chabbat. Chabbat a plus gardé le peuple juif que le peuple juif a gardé Chabbat ! Un exemple encore plus pratique; la circoncision. On sait aujourd’hui que celui qui est circoncis a 100 fois moins de probabilités d’attraper le sida (attention ! cela ne remplace pas le préservatif !). On a aussi découvert que la circoncision préservait du risque du cancer du pénis (0%, c’est très bas !). Inversement, ne pas être circoncis peut être une circonstance aggravante. Si un homme a le cancer du pénis, il peut transmettre des cellules cancéreuses à sa femme, puis déclencher, chez elle, un cancer du vagin ou de l’utérus. Réelle motivation, n’est-ce pas ? Avec le temps, on en découvre d’autres. Le saviez-vous ? Le cancer du vagin : 60 % des femmes en meurent, mais chez les femmes juives orthodoxes, seulement 3 %. Pourquoi ? Parce qu’elles vont au mikvé ! Et on ne peut pas aller au mikvé si l’on continue de saigner. D’autre part, notons que l’effort est payé dans ce monde selon le mazal de la personne : argent, santé ou autre. La mitsva n’est jamais perdue. Elle reste dans le Olam Haba (monde futur). Sources: www.fr.wikipedia.org/ wiki/Circoncision_et_sida / www.bmj.com / www.liebertpub.com / Que du bonheur ! Amen

RAV DAVID ICHAI Conférencier en Israël, en France et aux Usa Les Mitsvot nous aident à renforcer notre lien avec D. et nous permettent surtout d'ancrer en nous la Emouna (notre but suprême) ; cette conscience que D. est l'unique source de tout, qu'Il intervient de manière individuelle dans nos vies, qu'Il les gère dans les moindres détails et ce, en étant systématiquement orienté vers

le bien. La Emouna est la clé d'une vie sereine. Acquérir de meilleurs traits de caractère, est-ce possible ? Oui tout à fait, il suffit de vivre à travers le prisme de la Emouna. Comment serons-nous jugés ? Concept révolutionnaire dans le judaïsme : D. ne nous juge pas en fonction du résultat obtenu. Le but n'est pas tant de réussir, d'arriver au bout des choses, mais plutôt de fournir des efforts. Nos Sages sont formels sur ce point : D. nous juge uniquement selon les efforts fournis dans l'accomplissement de nos Mitsvot. Toute bonne action, aussi infime qu’elle soit, mérite récompense. Il en est de même pour la faute qui entraîne, elle, une punition. C'est un des 13 fondements de la foi juive. Évidemment, à l'instant ou une personne décide de faire Téchouva, cela a pour elle l'effet d'un bouclier devant le châtiment. Seule une transgression volontaire entraîne une punition. L'homme est le seul à assumer les répercussions de ses actes. "Chacun paiera pour son propre péché" (devarim 24, 15). Par ailleurs il est marqué que "D. poursuit la faute des pères sur les enfants" (chemot 20, 5). Le sujet est complexe, mais très brièvement, nos sages nous expliquent que cela s'applique dans le cas où le père a fauté sans se repentir, et que les enfants continuent sur le mauvais chemin de leur père. D. peut alors punir le père pour sa faute et le faire payer aussi en punissant ses enfants. Nous formons un peuple interconnecté et nous dépendons tous les uns des autres. Chacun est d'une certaine manière et à un certain niveau, responsable de la faute de l'autre. Mon renforcement dans l'accomplissement d'une Mitzva peut entraîner le même phénomène chez un autre juif, et malheureusement le contraire est également vrai. C'est cette force là qui nous unit et fait de nous un peuple si spécial.

RABBANITE SARAH PERETS Conférencière à Los Angeles Nombreux sont ceux qui pensent : « je fais des Mitsvot, je suis tout de suite récompensé, je fais des Averot, je suis tout de suite puni !» La religion juive, ce n’est pas ça du tout ! Les Mitsvot sont des connections à Hakadoche Baroukhou qui nous dévoile, tôt ou tard, ses récompenses. Chaque fois que l’on fait une faute, on se déconnecte. On ne comprend pas toutes les Mitsvot mais malgré cela, il faut quand même les faire. Faire des Mitsvot, sans rien attendre en retour, c’est ce qui fait grandir notre Nechama. S’investir dans le long terme, c’est ce qui fait que le mérite de nos Mitsvot reste éternel et ancré dans notre âme.

Lifestyle

PEUT-ON FÊTER THANKSGIVING ?

Ayant pour plus grand et beau symbole « la Reconnaissance » thankful, Thanksgiving représente ici la fête la plus importante de l’année – devant Noël. Après tout, ce dîner joyeux aux belles couleurs blondes et orangées n’est pas du tout une fête religieuse. Sommes-nous donc autorisés à célébrer ce repas familial américain annuel ?

Une fête nationale symbole d’entraide

« Si l’on part du principe que l’on remercie Hakadoche Barouhou de tous les biens qu’il nous accorde, il est tout a fait permis de Depuis 1621, en ce quatrième jeudi de Novembre, les améric- nous réjouir autour d’une table de Thanksgiving. Comme le 4 ains célèbrent un événement historique impérissable : l’aide que Juillet, nous avons le droit de fêter un événement national, s’il les Indigènes apportèrent aux anglais lors de leur arrivée aux est célébré dans le but de la paix du pays où l’on vit. Certains le Etats-Unis. ressentent ainsi, d’autres non, libre à vous de mettre la table ! » Ce jour-là, aux Etats-Unis, aucun commerce n’est ouvert. Place aux réunions familiales autour d’un bon repas. Alors Bonne Dinde et Merci l’Amérique ! Au menu : Dinde rôtie, purée de patates douces, pain de maïs et tarte à la citrouille. Par Céline BONNAN avec la collaboration de Rav Reuven Baubot.

Un peu d’histoire En 1620, un bateau nommé le « Mayflower » quitte l’Angleterre pour l’Amérique du Nord avec à son bord une centaine de pères pèlerins (Pilgrim Fathers) fuyant leur pays à cause de persécutions religieuses. Une centaine de pèlerins débarquent dans la Baie de Plymouth au Massachusetts. Leur premier hiver en Amérique est très froid ; les pèlerins ont peu de nourriture et de vêtements chauds et la moitié d’entre eux tombent malade et meurent. Ils sont aidés par les Indiens qui leur donnent de la nourriture : pommes de terre, maïs et viande, qu’ils ne connaissent pas, et leur apprennent à cultiver la terre dans ce nouveau pays. L’année suivante pour les remercier les pèlerins invitent les Indiens à partager leur repas traditionnel de fin de récolte. « Thanksgiving » devient le jour de remerciement.

Thanks = Merci Giving = Donner Merci pour ce que j’ai reçu Retrouvez la recette suivante dans le livre « Healthy Jewish Kitchen », Paula Shoyer. Disponible à la bibliothèque de Beverly Hills. (Rexford dr.) "SAGE AND SHALLOT ROAST TURKEY WITH WHOLE-WHEAT STUFFING" Dinde rôtie, sage et échalotes, fourrée d’une farce complète

Thanksgiving dans les foyers juifs De plus en plus en vogue, cette célébration s’est peu à peu, installée dans les foyers juifs, peu importe leurs différences et leurs origines. Chaque année, en Novembre, de nombreux juifs francophones finissent, eux aussi, par cuisiner la dinde rôtie. Est-ce obligé ? « Absolument pas, cela dépend de chacun et de ce qu’il ressent », répond Rav Reuven Baubot.

« "Ce pays nous a donné l'occasion de nous épanouir", a déclaré Babaknia, médecin immigrant iranien juif arrivé en 1974. "Chaque année, lorsque nous nous asseyons pour Thanksgiving, c'est l'une des choses pour lesquelles nous disons être reconnaissants.", Los Angeles Times, 1989 »

Publi-Reportage

Mr. Mansour Simanian (à gauche) et son fils Mr. Robert Simanian (à droite).

ROBERT, BIEN PLUS QU’UN PROPRIÉTAIRE, UN PIONNIER KOLAH FARANGI RESTAURANT

UN DES PREMIERS RESTAURANTS CASHER DE PICO BLVD À peine passé le seuil de la porte de ce restaurant dominant les hauteurs de West Pico Blvd, les bonnes odeurs de viandes et d’épices émanent déjà des cuisines. Robert, le propriétaire, et moi, nous asseyons ensemble autour d’un thé chaud servi dans une grande tasse en verre, enivrés par les senteurs d’Iran et d’Asie, bercés par la voix talentueuse d’un français chantant, pour l’occasion, du « Charles Aznavour ». Le voyage commence là. Fréquence Juive

: Depuis quand vivez-vous à Los Angeles ?

Robert : Depuis 1983, je vis ici, à Los Angeles. Juste avant, je vivais à New York. Alors que la révolution islamique en Iran faisait migrer des milliers de gens aux USA, ma famille et moi partîmes à Los Angeles. J’avais 23 ans. À l’époque, j’étais ingénieur en électricité. Mon père pensait que la meilleure façon de gagner de l’argent à Los Angeles était d’ouvrir une boulangerie. Dans les années 80, c’était le début du « croissant » et du « cappuccino » en Amérique. Il en ouvrit plusieurs et cela marchait très bien. Parallèlement à ses affaires, il pensait aussi qu’il y avait une vraie demande de restauration casher. À l’époque, il n’y avait que Nagila, un fast-food, le seul casher de Pico. En 1993, il ouvrit « Kolah Farangi », le concept-même de la restauration casher « fancy » mariant fine gastronomie perse et « asian food » populaire. À présent, mon père est retraité et je gère moi-même l’activité de Kolah Farangi, le restaurant prend peu à peu une direction plus adaptée à la clientèle.

« Nous sommes pionniers du mythique « Pico Blvd » dans le domaine de la restauration casher, et tout cela, c’est grâce à mon père !.» F.J.

chick with bone (perse) : Poulet mariné au safran

Barg steak (perse) : Steak de bœuf très tendre Chicken Joojeh kabob (perse) Brochettes de poulet mariné au citron, oignon et safran Koobideh (perse) Boulettes de bœuf en long Orange chicken (asiatique) Poulet à l’orange sucré et épicé Mongolian beef (asiatique) Tranches de boeuf caramélisées dans des oignons Hunan chicken (asiatique) Tranches de poulets cuisinés dans un mélange de légumes salé et épicé

: Concernant la gastronomie de votre restaurant, quels sont vos

best-sellers ? Vos spécialités ?

Robert : Nous tenons vraiment à servir une nourriture de qualité mais aussi offrir un service abordable. Nous sommes très à cheval sur la provenance de la viande. Elle est d’origine américaine, glatt, saine, sans hormones, et nous la cuisinons de manière simple et raffinée. Une viande doit garder son goût et sa saveur authentique. Notre clientèle est quotidienne et très habituée. Ils nous connaissent et savent ce qu’il y a dans leurs assiettes.

F.J.

Top-sellers KOLAH FARANGI :

: La communauté française raffole de plats asiatiques mais aime de

plus en plus les spécialités perses telles que « Koobideh » ou «Kabob ». Ces changements se reflètent-t-ils aussi dans l’évolution de votre clientèle ?

Robert : Oui effectivement, de plus en plus de français viennent dans notre restaurant, retrouvant la finesse de leur cuisine. Les français sont des fines bouches et connaissent la bonne nourriture. Au niveau gastronomique, la culture française est plus proche de la notre que la culture américaine. Ici, nous écoutons « La Bohème, ‘Non, je ne regrette rien »… nous remercions nos clients avec le mot « merci », de nombreuses similitudes culturelles nous rendent proches. Propos recueillis par Fréquence Juive

ur Z oo m s

POUR UN

JUNES DAVIS

CHALOM BAIIT AU TOP !

M e s am i s, p lace a u x d i x s e cret s d ’ u n co u p le é p a no u i , p o u r u n e intim i té au to p !

1. Tu aimeras ton prochain comme toi-même

4. Souvent les femmes pensent qu’il n’y a que le mari qui doit être

demandeur, car cela n’est pas Tsniout/pudique de demander à son homme qu’on a envie d’un câlin. La Torah enseigne qu’il faut le suggérer ! Il n’est écrit nulle part qu’une femme ne doit pas montrer à son mari qu’elle souhaite être avec lui. Selon Dr Love, pour certains de ses patients, il peut être frustrant d’être toujours celui qui fait le premier pas. Certains se remettent même en question : - Suis-je si nul que ça ? Je dois m’y prendre comme un manche à balai ! C’est pour ça qu’elle préfère ne jamais lâcher le sien ! Elle doit se dire que faire le ménage ou être avec moi, c’est du pareil au même! Ils ont cette désagréable sensation de mendier auprès de leur femme. Le top c’est de prendre des initiatives ! Mais attention, pas la peine de débouler comme des vaches du dimanche et crier dans le salon : - Chéri, ce soir tu passes à la casserole ! Je vais te faire sauter tes oignons ! Vous vous allongez sur le lit en petit déshabillé et, s’il n’est pas complètement débile (en prenant en compte que son intelligence émotionnelle est moins développée que la nôtre), il saura lire entre les tissus, l’ami !

Pour aimer l’autre, il faut d’abord s’aimer soi-même, et se comprendre. En somme, il faut se kiffer, ce qui n’est pas très compliqué. En fait, si, ça l’est ! C’est même hyper dur de s’apprécier ! Qui ne s’est jamais regardée dans la glace en empoignant un de ses bourrelets et hurler : « Walya ! Qui va m’aimer comme ça ? Je me déteste ! ». Selon Dr Ruth, le meilleur moyen pour se kiffer, c’est avant tout, de kiffer la vie. Mais comment ? Une solution simple : Avant de retrouver son homme, rien de mieux que de faire des choses qui nous font du bien comme aller chez le coiffeur, assister à un cours de Pilate, faire du shopping, boire un café avec une copine. En deux mots : SE DÉTENDRE, Darling ! En cas de doute, n’oubliez pas que vous êtes une création Divine car D. lui-même, vous a créée !

2. Bien connaître les lois de l’intimité dans le judaïsme Trop de femmes s’interdisent de faire certaines choses car dans l’intimité, il arrive qu’elles interprètent ces choses plus osées comme interdites. Rien de pire que de casser l’ambiance en balançant en plein milieu : – « Je crois pas que nous deux sous cet angle, ce soit permis dans le Choulhane Arouh, mon ami ! Remets-moi à l’endroit ! » Aujourd’hui, une partie de notre culture sur ce sujet est imbibée de christianisme et malgré nous de culpabilité. Sans parler des images vulgaires, dont on nous matraque la tête au quotidien ! La bonne nouvelle, c’est que tout ceci n’a rien à voir avec le judaïsme, car la loi juive, dans le domaine, n’a quasiment aucun interdit. - « Bon, bah apparemment c’est ok, Doudou. Remets-moi comme tout à l’heure. Ça avait l’air sympa. - Oui, mais moi mimine, j’ai perdu l’inspiration avec tout ça ! - Désolée, je préfère être sûre ! - Allez, on y retourne. On traine pas. Je bosse dans 7h00 ! »

5. Ne faire qu’un Du moment que l’on a cette envie sincère de faire plaisir à l’autre, dans l’amour et dans le respect, on peut tout faire. Comme chaque couple est individuel, a ses propres codes, chaque unité est libre de trouver ce qui lui plait, dans les mouvements qui lui plaisent, pour ne faire qu’un ! Scoop Junes Davis : À chaque fois qu’on ne fait qu’un, on est plus proche de D.

6. Le lâcher pise C’est vrai que l’on nous éduque un peu comme des soldates : Maison parfaite. CHECK Enfants au lit à 6 :30 pm. CHECK. Repas de Chabbat de folie +Hallot. CHECK. Je prends une voix douce même quand je veux péter un câble. CHECK. Tsniout jusqu’au bout de ma sandale fermée. CHECK. OMG ! Même moi qui vient d’écrire cette liste, j’ai envie de filer à Saint Trop’ faire du roller tellement j’étouffe ! Dans le cadre de l’intimité, virez-moi tous ces Check ! On s’en tape de l’image parfaite. Dans la chambre à coucher, il n’y a qu’Hashem, votre mari et vous. Personne ne va vous juger. D’ailleurs au niveau spirituel, il est important de ne pas se mettre de barrières, de lâcher prise pour vraiment être connectée avec son homme.

3. L’intimité n’est pas que spontanée Contrairement aux idées reçues, il existe deux façons de nous mettre « sur on/en Marche ». La première est hormonale et vient de manière impulsive. La deuxième est qu’il va falloir faire en sorte que tous les éléments autour de nous, nous aident à être réceptives. Pardon d’avance pour la comparaison sexiste : C’est comme avec une voiture, si le starter ne marche pas, on pousse la voiture et ça roule tout seul ! Dans la Torah, notamment le soir du Mikvé, des retrouvailles, il est bon de se mettre en condition dès le matin, en envoyant par exemple, des petits textos d’amour pour se préparer psychologiquement comme « Hâte de te retrouver mon grand fauve ! »Ils sont primordiaux et nécessaires pour stimuler (et non simuler) le désir. Cette « mise en condition » est aussi fondamentale chez l’homme, même si au niveau corporel, tout s’enclenche beaucoup plus vite.

7. L’évolution dans l’intimité du couple On n’a pas la même intimité à 20, 30, 40, 50 ans et après 1, 2, 3, 4, 5 enfants. Plus notre corps change, plus il faut s’adapter. Le meilleur moyen pour surmonter les périodes difficiles, les doutes, les douleurs, c’est de communiquer et d’expliquer ces changements. Un homme peut attendre que sa femme reprenne le dessus au niveau physique

et psychologique, surtout après un accouchement. - Avant Bébé 1, je me sentais au top du glam. Après Bébé 5, non seulement mon ventre gondole, mais je suis crevée, donc peut-on mettre de côté, la pause 666. On y reviendra dès que j’aurais perdu mes 22 kilos. - Mais Mimine au contraire, tes 22 kilos te rendent encore plus belle ! - T’es sérieux ? - Non. On ne va pas se mentir ce serait cool que tu maigrisses un peu. Mais bon, faut bien manger. - Bah je ne comprends pas, tu me dis de maigrir mais en même temps, tu me dis de manger ? - Laisse tomber. - Ça te dit que l’on maigrisse ensemble ? Je te ferais des petits plats diététiques. - Faut voir… Bon, on finit ?

10. Bannir le perfectionnisme Bannir les « Je dois faire un maximum de bruit ! Je dois me tortiller dans tous les sens pour avoir l’air crédible. Je dois me montrer femme-fatale ou femme-enfant ». Laissez simplement votre âme et votre corps s’exprimer sans se prendre la tête ! » Junes Davis

8. Mettez de l’humour dans vos relations amoureuses

Déborah Malka-Cohen alias Junes Davis, auteur de plusieurs romans dont deux de la saga : « La vie déjantée de Junes Davis », « la Genèse et l’Exode ».

Il n’y a rien de dramatique si Monsieur n’arrive pas à grimper jusqu’au mont Sinaï ou que vous ne faites pas de la varappe à chaque fois ! Et puis, Madame, pendant le sport à deux, vous vous êtes retrouvée proche de l’apoplexie, sous le poids de votre Monsieur, riez-en avec votre conjoint. Éclatez-vous ! Portez tout en dérision !

Deux petits derniers ont vu le jour dans un autre registre, ils se nomment : « N’oublie pas que tu t’appelles Ruth », « Le Temple Du Temps ».

9. Découvrir un nouveau monde Beaucoup de femmes se contentent d’une seule position, surtout pour procréer. Certaines sont catastrophées, quand elles découvrent les schémas dessinés avec soin par Dr Ruth dans son cabinet ! Ditesvous que vos corps sont comme un meuble IKEA. (Faut vraiment que je m’améliore, niveau comparaisons, parce que là, ça va pas du tout !). Parfois il faut tourner le plan pour trouver la bonne combinaison. Réinventez-vous !

Fe Actu’

NEWS & BONS PLANS LOS ANGELES La nouvelle machine anticellulite est arrivée à L.A. Cette technologie Made in France stimule délicatement la peau pour réactiver l’activité cellulaire endormie. Naturelle, et sans douleur elle procure des résultats visibles immédiatement et sans effet secondaire. Selon vos besoins, la thérapeute agit sur les différentes parties de votre corps. Dans le cadre d’une cure ainsi que d’une alimentation équilibrée, l’effet est révolutionnaire ! Au bout de quelques séances, votre peau est réellement raffermie, la cellulite est lissée et votre tour de taille diminué. La nouvelle version, ayant fait son apparition aux USA très récemment, c’est Patricia Bianco, experte en thérapie depuis plus de 15 ans, qui prendra soin de vous à Beverly Hills. Résultats visibles au bout de 3 séances. Prix de la cure = à partir de $1500 de 10 sessions de 30 minutes.

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MIAMI Une conciergerie à la disposition des juifs francophones Qui ne rêve pas de pouvoir passer les fêtes au bord de la mer, une ville remplie de synagogues et de restaurants cacher, meilleurs les uns que les autres. Ne cherchez plus, cette ville s’appelle Miami. À Surfside, cinq synagogues ainsi que le Centre Communautaire Francophone accueillent des juifs venant du monde entier ! Oubliez vos caddies débordants et laissez vos marmites prendre du répit, pas besoin de chercher plus loin pour passer Shabbat ! Venez déguster un super repas tout en faisant la connaissance d’argentins, de cubains, d’israéliens qui, comme vous, sont venus pour kiffer. Oui, la Floride est le parfait projet de vacances ou vous pouvez passer une journée sur un bateau en dégustant un super barbecue cacher au bord de l'eau sur une île déserte, passer quelques jours à Orlando en découvrant les parcs d attractions les plus sensationnels, découvrir des villages indiens cernés d'alligators dans les Everglades, partir aux Bahamas ou à Cuba à la dernière minute, à seulement 1 heure de vol... Et ce n’est qu'un aperçu de ce que « Florida Tour » pourra vous faire découvrir !

Karen Attias |

Fondatrice de la conciergerie

+1.310.890.3288 | www.florida-tour.com

INTERNATIONAL Où serons-nous pour Shabbat ? Actuellement présent dans plus de 50 pays, cette association à but non lucratif est un réseau social international permettant de mettre en relation des étudiants ou jeunes actifs avec des familles de tous horizons pour faire Shabbat ensemble gratuitement. Cette plateforme dispose d’un système de vérification de membres hautement sécurisé garantissant une convivialité comme à la maison ! Ainsi, « Shabbat With Us » permet aux familles de faire cette grande mitzvah de recevoir un ou plusieurs invités pour Shabbat, son objectif est d’accompagner un maximum de familles et d’étudiants dans le monde à ce sujet.

LE RÉSEAU INTERNATIONAL

D’ENTRAIDE DU SHABBAT

Pour toutes inscriptions, rendez-vous sur www.shabbatwithus.com Action soutenue par le rav Yehia Benchetrit et rav Eliaou Benloulou.

Rendez-vous sur www.shabbatwithus.com

Psycho

LES MANIPULATEURS PERVERS NARCISSIQUES

Aussi bien chez les hommes que chez les femmes, de plus en plus de personnes sont atteintes de troubles psychologiques de type pervers narcissique, harcèlement, schizophrénies, bipolarité ou dépression. Le Rav Touitou, d’après un direct Facebook en compagnie de Déborah Amar @HRPT / Histoires du Rabbi @Nitstotspaper, nous éclaire sur ce sujet. Des démons au visage d’ange

Rav David Touitou

Ces personnes ne doivent pas être confondues aves des personnes bipolaires ou même lunatiques.

Comment aider les victimes ?

Le PN est une maladie découverte en 1986 par Paul Claude Racamier. Il s’agit d’une pathologie qui détruit ses victimes comme la famille, les enfants et ceux qui sont sur son chemin. Malheureusement, elle n’a pas encore été reconnue comme une maladie psychiatrique guérissable par des médicaments. Le PN est inguérissable et légalement non condamnable. Le nombre de PN a augmenté et a atteint un nombre important de personnes (22 %). Ces genslà, malgré leurs actes destructeurs par harcèlement moral, ne sont toujours pas considérés comme des criminels. Ce sujet doit être manipulé par des professionnels de la psychologie, tout en reliant la Thora aux sciences de la médecine. Les PN font tout pour détruire l’autre. Souvent, ils utilisent des moralités thoraïques pour détruire les autres. « Je suis du côté de D. et tu es du côté du Guéhinam », tel est leur verdict. À la maison, ils se prennent pour un D.ieu. Ils ne peuvent pas vivre sans victimes.

Il faut savoir que les victimes de ces personnes sont les plus magnifiques au monde, mais malheureusement, elles meurent à petit feu, personne ne les croît et elles se retrouvent renfermées sur elles-mêmes et prisonnières de leur problème. La plupart du temps, aux yeux des autres, la victime devient le bourreau et le bourreau semble être la victime - cas dans lequel il faut très vite couper les ponts et se séparer du PN.

« La différence entre la victime et le bourreau, c’est que le bourreau se réjouit du malheur de sa victime tandis que la victime se réjouit du bonheur de son conjoint. » Les conseils pour la victime : Arrêter de prendre à cœur ce que le pervers dit, reprendre confiance en soi, faire du sport, prendre soin de son corps, tourner la page, comprendre que l’on a été arnaqué(e) et que tout ce que le PN disait n’était pas vrai, réapprendre à maîtriser son esprit ainsi que contrôler sa vie.

Comment les reconnaît-t-on ? Ils/elles harcèlent moralement leurs victimes, créant une haine qui les sépare, cela les fait souffrir, et au final, les PN se réjouissent de cette situation. La situation dans laquelle la femme est le PN est beaucoup plus douloureuse pour un homme, qu’à l’inverse. Dans sa féminité, si elle devient un démon, l’homme est complètement détruit.

Aujourd’hui, on ne peut pas guérir un PN. Ce problème de comportement reste très grave et incompris au sein de la société mais aussi de la justice. Le manipulateur PN passe encore à travers tous les filets mais reste tout de même victime d’une grande punition ; il n’est jamais heureux.

D’autre part, ils n’ont pas d’empathie pour la douleur des autres. Tel un gourou, ils manipulent les mots, de façon à remettre totalement les autres en question. En général, ces gens ne savent pas qu’ils sont des PN. Ils ne savent pas aimer. Ils n’ont pas d’intelligence, mais ils sont malins. Ce sont des acteurs et des menteurs. Ils reportent tous leurs défauts chez les autres. Si deux cas de PN se mariaient, ils ne pourraient pas vivre ensemble car ils se repèreraient trop vite. Au niveau spirituel, leur âme va très très mal.

Les Mazalot (P) 30 € www.torathaim.fr

Il existe trois éléments que recherchent les pervers narcissiques chez leurs victimes: - ils savent aimer - ils savent donner - ils savent se remettre en question

usique M s & e v i u J s Histoire LE TOP 5 DE FRANCKY PEREZ ♦ FRANCE

♦ ISRAEL

♦ U.S.A.

1 MAITRE GHIMS ET STING RESTE

1 NOA KIREL SLT

SHAWN MENDES & CAMILLA CABELLO

1 SENORITA

2 AYA NAKAMURA Soldat

2 STEPHANE LEGAR MAPIOT

2 Bad Guy Billie Eillish

3 VITAA ET SLIMANE CA VA CA VIENT

3 EDEN HASON KSHENIGMERET HASUFA

3 SOMEONE YOU LOVED LEWIS CAPALDI

4 M. POKORA TOMBE

4 MOSHIKO MOR RELEASING YOU

4 MEMORIES MAROON 5

5 BOULEVARD DES AIRS Feat VIANNEY ALLEZ RESTE

5 EDEN BEN ZAKEN BONSOIR

5 Circles POST MALONE

♦ BONUS BRESLEV RADIO: JE SUIS EN SIMHA - AZAMRA

ÉTUDE & TEFILA QUELQUES CITATIONS…

d’unité avec D. » - Baal Chem Tov «Pour le Ciel, la bénédiction d’un ami vaut bien plus que celle d’un ange.» - Rabbi Pin’has de Korets « La vie fait de nous tous des guerriers. Afin d’en sortir vainqueurs, nous devons nous armer avec la plus puissante des armes. Cette arme est : la prière.» - Rabbi Na’hman de Breslev

« La valeur de l'étude de la Torah est supérieure : chaque parole de Torah est équivalente aux 613 Mitsvot réunies ». (Michna, Péa) « L’essentiel n’est pas l’étude, mais l’action » (Pirké Avot 1,17) « Si tu as beaucoup étudié la Torah, n’en éprouve pas de fierté, car c’est pour cela que tu as été créé » (Pirké Avot 2,8) « L’étude est un chariot pour la prière » - Rabbi Nahman de Breslev. L’attachement à D. est la clé qui ouvre tous les verrous. Chaque Juif, même le plus simple, a la capacité de s’attacher aux mots de la Torah et de la prière, atteignant ainsi les plus hauts degrés

« La Torah entière est faite des Noms de Hachem. Lorsqu’une personne étudie la Torah, c’est comme si elle mentionnait constamment le Nom de D., et Hachem vient alors la bénir. Il est en effet écrit : « en tout lieu où Je permettrai que Mon Nom soit invoqué, Je viendrai à toi et te bénirai » (Yitro 20,21) - Le Maharcha – guémara Béra’hot 21a « L’homme possède tout, lorsqu’il se confie à Hachem ». - Le Saba de Novardok - Rabbi Yosef Yozel Horowitz -1848-1919 « La torah est à étudier de façon adaptée. Ne dépassez pas votre seuil de tolérance. À défaut, la Torah vous nuira. Oui, la Torah peut nuire ! Il est nécessaire d'avancer progressivement, d'étudier certaines choses en priorité, de travailler sur certains points de prime abord, pour gravir les échelons.» - Rav Avraham Ifrah « Celui qui pleure dans la nuit, sa voix est entendue et les étoiles pleurent avec lui. » - Rabbi Na’hman de Breslev « L’essentiel, c’est l’acte. Mais la raison d’être, c’est l’étude. » Rav Wolbe « Toute personne ressent constamment des aspirations et prie: soit D., soit des forces ‘naturelles’. » - Rav Éliyahou Dessler – Mikhtav Mé’Éliyahou

« Si l’on occupe ses pensées à l’étude, tout nous réussit, et nous pouvons nous passer des bénédictions des tsadikim.» - Rav Chakh

lture u C Art & TOURISME : UN HIVER À LOS ANGELES LES SORTIES #ANEPASMANQUER Que vous viviez à L.A. ou que vous soyez de passage en vacances en Californie, les idées de sorties sont multiples ! Prendre un bain de soleil, visiter les studios hollywoodiens, faire du vélo à Venice Beach, flâner sur Rodéo Drive et y faire du « Pretty Woman » shopping, voir un film à l’américaine (sans l’appareil à sous-titres), assister aux concerts des plus grandes stars !!! Le choix est large… Faites votre programme. INFO TV Une princesse juive qui célèbre Hanouka chez Disney

LES IMMANQUABLES Griffith Park Observatory

2800 E Observatory Rd, Los Angeles 90027

En décembre, sur la chaîne Disney Junior, la série « Elena d’Avalor » célébrera Hanoukka dans un épisode à thème. Jamie-Lynn Sigler, actrice ashkénaze, sépharade et cubaine, connue pour son rôle dans la série « The Sopranos », interprètera la voix de la princesse originaire d’un royaume juif latino. Une grande première chez Disney !

Guetty Villa

17985 Pacific Coast Highway, Pacific Palisades 90272

Universal Studio

100 Universal City Plaza, Universal City 91608

Celebrity Tour

LES PROCHAINS CONCERTS

22 Décembre : Jessie J –

Site historique, LA 90068

Walk of fame

N Highland Ave & Hollywood Blvd LA 90028

Santa Monica Pier La Grande Roue

Santa Monica, CA 90402

28128, Paradise Cove Rd

415, Pacific Coast Hwy

– The Wiltern – L.A.

Warner Bros Studio Tour Hollywood Hollywwod Signs

Paradise Cove Malibu

15 Décembre : Jonas Brothers L.a. Forum – Inglewood Blue Note Napa – Napa 22 Décembre : Ariana Grande – L.A. Forum – Inglewood 22 Décembre : Disney Junior Tour – Orpheum

200 Santa Monica Pier, Santa Monica 90401

Theater

DojoBoom

193 N. MoorPark Road, Suite A, Thousand Oaks 91360

Glowzone LA

6051 De Soto Ave, Woodland Hills 91367

Le Shopping 3rd Promenade

Downtown Santa Monica 1351 3rd Promenade, Santa Monica 90401

The Grove Centre commercial 189 The Grove Dr, LA 90036

Rodeo Dr

Rue commerçante, Beverly Hills 90210

Westfield Century City

10250 Santa Monica Blvd, Los Angeles 90067

Beverly Center

8500 Beverly Blvd, Los Angeles 90048

LES SORTIES CINÉ « Lady and the Tramp » = 12 Novembre 2019 « Ford V Ferrari » = 15 Novembre 2019 « Frozen II » = 22 Novembre 2019 « Jumanji, the next level » = 13 Décembre 2019 « Star Wars, the rise of skywalkers = 20 Décembre 2019 « Spies in Disguise » = 25 Décember 2019

Manhattan Beach Pier

Plage privée / publique / piscine

16 Novembre : Madonna

www.tmztour.com / www.legendsofhollywoodtours.com / www.accesshollywoodtours.com 3400 Warner Blvd, Burbank 91505

Annenberg Community Beach House

Plage privée / publique Malibu, CA 90265

Plage publique + Aquarium

Manhattan Beach, CA 90266

Venice Beach Plage publique

1800 Ocean Walk, Venice -CA 90291

dicti é n é B

ALLUMAGE DES BOUGIES & SPIRITUALITÉ

Allumer des bougies occupe une place omniprésente dans la pratique du judaïsme. Traditionnellement une mitsva féminine, cet acte se répète toutes les semaines à l’occasion de Chabbat et pour chaque fête, avant la tombée de la nuit, et pour ‘Hanouka, après la tombée de la nuit. Qu’y-at-il de spécial dans la lumière de la bougie ? Quelle est la relation entre la bougie et la spiritualité ? Qu’en est-il de la relation avec notre âme ?

Bougie, corps et métaphores Ner Hachem Nichmat Adam « La bougie de D., c’est l’âme de l’homme ». Une bougie est composée d’un corps de cire, d’une mèche de coton et d’une flamme. Parallèlement, l’âme dans le corps représente la flamme sur la mèche. Le feu consume la cire sans pour autant se tarir lui-même. C’est le corps et non l’âme qui est consumé par la vie. La bougie a une forme, le feu n’en a pas. Le corps a une forme, l’âme n’en a pas. La flamme est orientée par le vent « Rouar » = l’esprit, cette force qui motive et dirige l’âme. Elle est orientée vers le haut, l’âme aussi aspire à s’élever. La taille de la flamme n’est pas déterminée par celle de la bougie. L’envergure de l’âme ne dépend pas de celle du corps. Quelque soit la couleur ou la forme de la bougie, la flamme reste identique. Peu importe notre couleur ou nos formes, l’âme est la même pour chaque individu. C’est la partie supérieure de la bougie qui est la plus chaude, donc la flamme. L’âme est ce qu’il y a de plus élevé et raffiné chez une personne. On peut allumer des milliers de bougies à partir d’une même bougie, sans perdre la moindre parcelle de sa lumière originelle. La lumière restera aussi pure. Une âme peut aussi éclairer un grand nombre d’autres âmes en prenant encore plus de grandeur et de force. Lorsque la flamme a consumé l’intégralité de la bougie, elle s’éteint. Il en est de même pour l’âme, à plus de 120 ans BH’.

trouver le petit interrupteur placé juste derrière nous. Faire entrer le Chabbat dans les murs de notre maison par l’allum age des bougies n’apporte que du bien.

L’allumage des bougies de Chabbat

Ce cours de Anne-Marie Elgrishi a été donné aux lecteurs de FREQUENCE JUIVE pour l’élévation de l’âme de Rosa Bat Beyouya HADJEDJ.

« Un peu de Hassidout… Un peu de lumière repousse beaucoup d’obscurité » Lorsque Chabbat entre, c’est à la femme d’accueillir ce moment par l’allumage des bougies, ce qui va faire rentrer quelque chose de Kadoch, de Saint dans toute sa maison. Si l’on se retrouve dans une pièce noire, ce n’est pas en se plaignant de notre situation que nous trouverons la lumière. Il suffit de

LES BOUGIES DE CHABBAT * Faire la tsedaka avant d’allumer. * Allumer à proximité de la table de Chabbat. * 18 minutes avant le coucher du soleil (horaires sur www. myzmanim.com / www.torah-box.com) * Pour les femmes (deux bougies minimum, plus une par enfant) et jeunes filles (à partir de 3 ans / allument avant leur mère / une seule bougie avant de se marier). Baroukh ata Hachem Elo-hénou Mélèkh haolam achère kidéchanou bémitsvotav vetsivanou lehadlik ner chel Chabbat Kodech. [Béni sois-Tu, Éternel notre D.ieu, qui nous a sanctifiés par Ses commandements et nous a ordonné d’allumer les bougies du saint Chabbat] Notes techniques : Une fois qu’une femme a récité la bénédiction sur les bougies, elle a accueilli le Chabbat. À partir de ce moment, elle ne doit plus s’engager dans des activités interdites le Chabbat. Les bougies et les bougeoirs ne doivent pas être déplacés jusqu’à la fin du Chabbat. Les ampoules électriques peuvent être employées en guise de bougies de Chabbat lorsqu’il est impossible d’allumer de flammes, comme à l’hôpital. Un homme doit allumer si aucune femme n’est présente.

LES BOUGIES DE HANOUKA Avant l'allumage, le maître de maison, et éventuellement tous les garçons de la maison lorsque ceux-ci allument leur propre Ménorah, prononcent les deux bénédictions : 1 - Barou'h Ata Hachem Elo-hénou Mélè'h Haolam Achère Kidéchanou Bemitsvotav Vetsivanou Lehadlik Ner 'Hanouka Béni sois-Tu, Éternel notre D.ieu, Roi de l’Univers, qui nous a sanctifiés par Ses commandements et nous a ordonné d’allumer les lumières de 'Hanouka. 2 - Barou'h Ata Hachem Elo-hénou Mélè'h Haolam Chéassa Nissim Laavoténou Bayamime Hahème, Bizmane Hazé Béni sois-Tu, Éternel notre D.ieu, Roi de l’Univers, qui a fait des miracles pour nos pères en ces jours-là, en ce temps-ci. Le premier soir de la fête, on ajoute la bénédiction : 3 - « Barou'h Ata Hachem Elo-hénou Mélè'h Haolam Chéhé’heyanou Vekiyemanou Vehiguianou Lizmane Hazé » Béni sois-Tu, Éternel notre D.ieu, Roi de l’Univers, qui nous a fait vivre, exister et parvenir jusqu’à ce moment. (Lois et rituels sur www.torah-box.com) Un homme doit allumer si aucune femme n’est présente.

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Nous espérons que vous avez pris autant de plaisir à lire ce douxième numéro du magazine FREQUENCE JUIVE que notre équipe en a eu à le concevoir. Nous vous donnons rendez-vous en Janvier pour un numéro encore plus surprenant. Nous vous souhaitons à toutes et à tous, de très belles fêtes. Hag sameah’

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