Le magazine institutionnel de Gfi Informatique SEMESTRIEL ÉDITION N°2 Novembre 2013 www.gfi.fr
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L’ENTREPRISE DIGITALE
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L’entreprise digitale ÂŒT T' ( +13&3(TdT(“%'&+1%''/"1/ ÂŒT /!T$%" 3+(!T0“/F!/" +1/! ÂŒT & "/ +/&¡ /3&F "3&^%+!T 3 0 ÂŒT7T# /! +%&!TdT (+ +/"T 3 /( k p. 2 - 3
L’innovation au cĹ“ur du secteur public ÂŒT .+T ĂœT—T"_$%&0"/T 3 T/&*/ T0 T!/1 / "T$ 2(+1 ÂŒT G$+ 3(T %1,T0/T "/!&/!T—T &T T/&T3 3&1/ ÂŒT 33 T/ T1%((/1 + + _!T—T &/T3((+3&1/T-3-&3& / ÂŒT7T# /! +%&!TdT +&1/& T % 3+ k p. 4 - 7
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Édito —
Vincent Rouaix PrĂŠsident-directeur gĂŠnĂŠral GďŹ Informatique
Le dĂŠveloppement du commerce ĂŠlectronique, l’explosion des rĂŠseaux sociaux et la montĂŠe en puissance des appareils mobiles ont radicalement transformĂŠ le point de vente traditionnel, effaçant les barrières entre l’e-commerce et les diffĂŠrents canaux de vente. ConnectĂŠs en permanence, les consommateurs accèdent aujourd’hui Ă une offre plĂŠthorique et dĂŠcident de faire leurs achats oĂš et quand bon leur semble. Dans ce contexte, il ne sufďŹ t plus Ă votre entreprise d’être simplement prĂŠsente sur les multiples canaux de vente mais d’être Ă mĂŞme d’exploiter une stratĂŠgie omnicanal vĂŠritablement intĂŠgrĂŠe.
PrĂŠsentes sur toute la chaĂŽne digitale, les ĂŠquipes GďŹ Informatique disposent de toutes les compĂŠtences nĂŠcessaires pour vous accompagner dans votre stratĂŠgie digitale et placer l’omnicommerce au centre de votre stratĂŠgie client.
Nous espÊrons que vous dÊcouvrirez ce deuxième numÊro de News avec autant de plaisir que le premier. Bonne lecture à toutes et à tous !
C’est la raison pour laquelle nous avons dĂŠcidĂŠ de mettre le ÂŤ Digital Âť Ă l’honneur en lui consacrant la une de notre magazine. Ce numĂŠro illustre aussi notre engagement fort dans le secteur public, au travers de la mise Ă disposition de solutions mĂŠtiers innovantes, que ce soit par le dĂŠveloppement d’une nouvelle gĂŠnĂŠration de progiciel de gestion intĂŠgrĂŠe, baptisĂŠe GďŹ SSP, et la mise Ă disposition de solutions mĂŠtiers en mode SaaS.
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Dossier
L’entreprise digitale en temps rÊel de pusher de l’information promotionnelle pertinente à une clientèle localisÊe à proximitÊ des commerces.
Au cours des 12 derniers mois, 12 000 sites ont vu le jour, portant à 120 000 le nombre d’e-marchands actifs en 2012.
Et c’est Êvidemment en matière de retour sur investissement que l’omnicommerce prÊsente un net avantage. Manifestement rapide et facilement mesurable, le ROI d’une solution omnicommerce est plÊbiscitÊ dans le choix des entreprises de se lancer dans l’aventure.
120 000
Une dÊmarche structurante et refondatrice Or l’aventure implique une mutation profonde de l’ensemble du système d’information et s’accompagne Êgalement d’une transformation des politiques commerciales et d’une nÊcessaire adaptation de la supply chain. Se lancer dans l’omnicommerce, cela suppose d’une part d’intÊgrer le bouleversement de la structure et d’autre part de faire le choix adaptÊ du modèle stratÊgique, et ce au cas par cas (achats en ligne et retrait en magasin, livraison à domicile, valeur ajoutÊe des catalogues en ligne‌).
Du multicanal Ă l’omnicommerce “/& "/$"+!/T!/T0+-+ 3(+!/>T &T+& /"&/T1%''/T/&T/ /"&/>T “/F1%''/"1/T/&T/! T0“3+((/ "!T(“ &/T0/!T$( !T%! /&!+2(/!T3$$(+13 +%&!>T /! /T3 *% "0“, +TdT+& _-"/"T(“/&!/'2(/T0/!T13&3 T0/T /& /T dT &/T/ $_"+/&1/T1(+/& T &+# /T/ T-(%23(/> L’avenir du commerce global Si le commerce traditionnel a su adapter ses mĂŠthodes de distribution Ă l’essor du commerce en ligne et que les pure players ont cherchĂŠ Ă dĂŠvelopper leurs points de vente physiques, ces diffĂŠrents relais restent encore trop ĂŠtanches. Alors que les consommateurs ont parfaitement intĂŠgrĂŠ les nouvelles technologies Ă leur parcours d’achat, les canaux de vente, en silos, ne permettent pas de recouper la masse autrement pertinente d’informations produites et d’en tirer proďŹ t.
ont tout intÊrêt à crÊer des passerelles entre les expÊriences d’achat en ligne et hors ligne.
L’omnicommerce doit alors être vu comme la forme aboutie de l’e-commerce en ce qu’il tend à optimiser le parcours client au travers de l’ensemble des canaux de vente, en facilitant les interactions entre le monde physique et le monde virtuel. Les entreprises travaillant dans le retail, le manufacturing ou les tÊlÊcommunications
Offensif parce qu’il permet d’obtenir une vision unique du client et de jongler avec ses habitudes de consommation, son profil, ses attentes et ses besoins. L’Êtude de ces donnÊes facilite l’Êmergence de dÊmarches innovantes comme les expÊriences d’achat personnalisÊes ou le geofencing à la française, qui permet
Se mesurer aux gÊants du marchÊ Pour faire face à la dÊferlante du commerce digital, les acteurs traditionnels doivent rÊagir vite et bien, dans les deux annÊes à venir, au risque de connaÎtre certaines difficultÊs. En ce sens, l’omnicommerce prÊsente un positionnement vÊritablement offensif vis-à -vis des gÊants du web comme Amazon ou Ebay.
Aujourd’hui, l’e-commerce, le merchandising, l’order management, le supply management, la gestion des catalogues sont contenus dans des solutions complètes, capables d’adresser l’intÊgralitÊ d’un SI commerce. Outre l’opportunitÊ (voire l’absolue nÊcessitÊ) de s’ouvrir au commerce multicanal, c’est tout l’intÊrêt extrêmement structurant d’une telle solution qui transparaÎt dans cette dÊmarche. Bien conseillÊe sur ces questions, l’entreprise peut se recentrer sur sa stratÊgie mÊtier en disposant de nouvelles cordes à son arc
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Le nombre d’e-acheteurs a augmentÊ de 5 %, passant à 32,6 millions.
+5
%
Le chiffre d’affaires global des ventes en ligne a progressÊ de 12 %, pour atteindre 12,1 Md₏.
12,1
Mâ‚Ź
CROISSANCE DU SECTEUR RETAIL IT SERVICES EN Mâ‚Ź 1 924
1 927
1 969
2 032
2 104
763
948
669
854
577 2011
2012
2013
2014
2015
Retail Total servicesIT Retail Total servicesIT e-commerce DonnÊes FEVAD e-commerce français en 2013
Les portails d’e-services, l’autre gisement de croissance de la digitalisation Après l’omnicommerce, les portails d’e-services sont certainement le second plus gros marchĂŠ de la digitalisation des entreprises. Car ils rĂŠpondent en effet Ă un besoin crucial d’Êconomie, d’amĂŠlioration des relations et d’efďŹ cacitĂŠ de service. Ă€ ce titre, les solutions de Self-care pour les entreprises de tĂŠlĂŠcommunication, de Homebanking dans le secteur
de la ďŹ nance et les portails e-citoyens pour les administrations connaissent un vĂŠritable boom de dĂŠveloppement. Outre leur indĂŠniable potentiel d’Êconomies, les portails d’e-services reprĂŠsentent par ailleurs un vĂŠritable vecteur d’innovation pour l’organisme qui souhaite intĂŠgrer plus de synergies et de transversalitĂŠ Ă ses activitĂŠs, et d’interactions avec ses usagers
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Interview
3 questions Ă Olivier Ravel
Entretien /3&F "3&^%+!T 3 0 +"/1 / "T0/T(“+&&% 3 +%&T/ T0/T(3T'%2+(+ _T 0 T "% $/T .+T &.%"'3 +# /
Le Groupe Gfi Informatique a conclu un partenariat avec le constructeur Nokia. Quels Êtaient vos objectifs ? Un bon partenariat naÎt de l’existence d’une rÊelle complÊmentaritÊ entre deux acteurs, avant même de rÊpondre à des besoins. C’est exactement ce que l’on constate dans notre partenariat avec Nokia. Des terminaux de qualitÊs rencontrent une offre de services mature et complète. C’est cette plus-value immÊdiate qui nous a permis de proposer rapidement un premier produit, à destination des grandes entreprises et des administrations : le Company Hub. De quoi s’agit-il ? Pour faire simple, le Company Hub est un portail de services capable de relier le personnel de l’entreprise à l’ensemble du SI à travers un unique point d’accès. BasÊ sur les technologies Microsoft, le Company Hub offre à l’ensemble du personnel les applications mÊtiers et transverses spÊcifiques, l’accès aux ressources du SI et une contextualisation innovante très poussÊe, entre autres choses.
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La commercialisation a-t-elle commencĂŠ ? Nous en sommes aux dĂŠbuts de la commercialisation et le dĂŠmarrage est très prometteur. Nos solutions font passer l’entreprise Ă un nouvel ĂŠchelon dans l’accès et le partage de l’information. Je parlerais d’une “mobilitĂŠ 3.0â€?, capable d’assurer ĂŠgalement la nĂŠcessaire verticalisation des services. Nous allons donc bien au-delĂ des strictes fonctionnalitĂŠs offertes par le Company Hub, et ce de manière dĂŠdiĂŠe pour chacun de nos clients. Et ce n’est qu’un dĂŠbut ! C’est-Ă -dire ? Derrière ce partenariat et le dĂŠveloppement des solutions inhĂŠrentes, il s’agit, pour Gfi Informatique, d’une vĂŠritable stratĂŠgie mobile globale. Et le Company Hub reprĂŠsente l’un des piliers de cette stratĂŠgie produits. Tous les secteurs du Groupe sont concernĂŠs, qu’il s’agisse par exemple de notre branche Édition ou de la branche Applications Services. Le Company Hub pourra prochainement intĂŠgrer des solutions comme Sharepoint ou des gestionnaires de relation clients. Dès lors, d’un portail de services 3.0, nous proposerons une plateforme d’intĂŠgration mobile complète
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1 k Que reprĂŠsente le marchĂŠ de l’omnicommerce et des e-services pour GďŹ Informatique ? De manière très concrète, au sein de l’entreprise digitale, ce sont les activitĂŠs qui afďŹ chent la plus forte croissance et les plus fortes perspectives de croissance de chiffre d’affaires pour GďŹ Informatique. L’omnicommerce Ă lui seul reprĂŠsente entre un tiers et près de la moitiĂŠ des opĂŠrations engagĂŠes dans le digital. Par ailleurs, l’omnicommerce, que l’on sait structurant pour nos clients, l’est ĂŠgalement pour nous puisque nous intervenons sur la totalitĂŠ du système d’information front de nos clients. 2 k Quelles solutions proposez-vous ? Plusieurs, ĂŠvidemment, puisque nous garantissons la solution la plus adaptĂŠe aux besoins. En matière d’omnicommerce, nous avons notamment concentrĂŠ nos efforts industriels et commerciaux sur la solution hybris. Un bon choix si l’on en croit les classements Gartner & Forrester, qui placent cette solution en première et seconde position en fonction des domaines. Nous en sommes intĂŠgrateur Platinum et n° 1 en France, en seulement deux ans. Aujourd’hui, au demeurant, nous ĂŠtudions d’autres solutions, aďŹ n de complĂŠter notre offre, que nous prĂŠsenterons bientĂ´t. Pour les e-services, nous proposons les offres middleware d’Oracle, dont nous sommes ĂŠgalement intĂŠgrateur Platinum, une des rares gammes de solutions capables d’offrir un vertical complet Ă nos clients. EnďŹ n, nous nous appuyons ĂŠgalement sur les solutions Microsoft : Sharepoint pour le collaboratif et Dynamics AX, sur lequel s’appuie notre offre SSP. 3 k Et en matière d’hĂŠbergement de toutes ces solutions ? Nous avons conclu un partenariat avec Orange Business Services. Ă€ ce titre, nous bĂŠnĂŠďŹ cions d’un haut niveau de compatibilitĂŠ des infrastructures d’hĂŠbergement, tant en termes de sĂŠcuritĂŠ, de disponibilitĂŠ que de capacitĂŠ d’extension. Mais surtout, nous sommes en mesure de proposer des hĂŠbergements locaux, en rĂŠponse aux contraintes (rĂŠglementaires notamment) rencontrĂŠes selon les zones gĂŠographiques, ce qui permet en outre de mieux gĂŠrer la performance
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Dossier
L’innovation au cœur du secteur public
Gfi SSP* : rĂŠpondre aux enjeux du secteur public +T(/!T ĂœT/&T/& "/$"+!/T!%& T 0“ !3-/T1% "3& ˜T1“/! T'%+&!T (/T13!T03&!T(/T!/1 / "T$ 2(+1>T Ăœ3"T(/T$3!!_˜T "%$T%"+/& _!T 2 !+&/!!˜T "%$T(% "0!TdT +& _-"/"T/ TdT$3"3'_ "/"˜T(/!T $"%-+1+/(!T0/T-/! +%&T+& _-"_/T &“3 3+/& T$3!T /((/'/& T !_0 + T(/!T1%((/1 + + _!T/ T(/!T _ 32(+!!/'/& !T$ 2(+1!>T T "3 /"!T0 T!%(+0/T$3" /&3"+3 T # /T .+T &.%"'3 +# /T3T1%&1( T 3 /1T +1"%!%. ˜T1/T /'$!T/! T 0_!%"'3+!T"_ %( ˜T3 /1T(“3""+ _/T 0/T(3T&% /((/T%.."/T .+T Ăœ> Entretien avec Laurent Leenhardt, Directeur de la branche Software GďŹ Informatique, partenaire historique des collectivitĂŠs territoriales L’Êdition et le service. Depuis 30 ans, Gfi Informatique a retenu ce double positionnement, qui fait aujourd’hui sa force. Avec plus de 65 % du chiffre d’affaires tournĂŠ vers les collectivitĂŠs territoriales, les ĂŠtablissements publics et le secteur hospitalier, la branche Software du Groupe Gfi Informatique connaĂŽt parfaitement les attentes du secteur public en matière de solutions logicielles innovantes. Depuis plus de 30 ans, le Groupe dĂŠveloppe en effet des applications rĂŠpondant Ă l’ensemble des besoins des collectivitĂŠs locales, des ĂŠtablissements publics et du domaine de la santĂŠ. Systèmes ďŹ nanciers, RH, santĂŠ et social, gestion du patrimoine, systèmes d’informations gĂŠographiques, dĂŠmatĂŠrialisation, gestion du temps, portails citoyens, CRM sont quelques solutions optimales et aujourd’hui parfaitement intĂŠgrĂŠes aux SI des clients publics du Groupe. Un ERP vertical, dĂŠdiĂŠ au secteur public La nĂŠcessitĂŠ prĂŠgnante des collectivitĂŠs d’aller vers toujours plus d’intĂŠgration, d’optimiser les ĂŠchanges de donnĂŠes et
d’introduire plus de souplesse et d’efďŹ cacitĂŠ dans leurs processus a conduit le Groupe GďŹ Informatique Ă ĂŠtudier la solution d’un progiciel de gestion intĂŠgrĂŠe, qui soit vraiment adaptĂŠe aux collectivitĂŠs.
“ DĂŠvelopper un outil vertical capable de prendre en compte les spĂŠcificitĂŠs du secteur public â€? Aucun PGI sur le marchĂŠ ne rĂŠpondait de façon optimale aux enjeux rĂŠglementaires propres aux collectivitĂŠs territoriales ou aux ĂŠtablissements publics et de santĂŠ, notamment en ce qui concerne les nombreuses instructions budgĂŠtaires et comptables (M4, 9, 14, 21, 22, 51, 52‌). Il s’agissait dès lors, pour GďŹ Informatique, Ă partir d’une technologie existante, de
dĂŠvelopper un outil vertical capable de prendre en compte les spĂŠciďŹ citĂŠs du secteur public. C’est naturellement avec le partenaire historique Microsoft et son ERP Dynamics AX, que le Groupe GďŹ Informatique a dĂŠveloppĂŠ cette nouvelle solution : GďŹ SSP (Solutions Secteur Public). Un ÂŤ mariage Âť qui fait sens N° 1 sur le marchĂŠ des collectivitĂŠs territoriales et du secteur public en gĂŠnĂŠral, GďŹ Informatique conduit ainsi Microsoft vers une opportunitĂŠ de marchĂŠ dans lequel la multinationale a de nombreuses cartes Ă jouer avec un ERP Ă l’origine conçu pour le mid market. L’outil correspond aux besoins des collectivitĂŠs, en ĂŠtant accessible Ă la fois en termes de coĂťt, de dĂŠploiement et de montĂŠe en puissance des utilisateurs. Et grâce aux dĂŠveloppements spĂŠciďŹ quement
opĂŠrĂŠs par les ĂŠquipes GďŹ Informatique, GďŹ SSP rĂŠpond nativement aux besoins extrĂŞmement variĂŠs des collectivitĂŠs et des ĂŠtablissements publics, tout en conservant la puissance d’un ERP. L’expertise GďŹ Informatique au quotidien GďŹ Informatique a pour ambition d’être le premier ĂŠditeur en France d’un ERP rĂŠpondant parfaitement aux enjeux des collectivitĂŠs, le plus proche de leurs besoins d’un point de vue rĂŠglementaire et de gestion. Avec une offre inĂŠgalĂŠe, GďŹ Informatique est capable de proposer une solution parfaitement verticalisĂŠe et forte d’un catalogue de 50 applicatifs dĂŠdiĂŠs. Une offre optimisĂŠe qui a notamment sĂŠduit l’hĂ´pital Foch de Suresnes
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*GďŹ SSP : GďŹ Solutions Secteur Public
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HĂ´pital Foch de Suresnes : un SI en avance p %( +%&T0/T(3T1%'$ 32+(+ _˜T.31 "3 +%&TdT(“31 /™T—T(“,G$+ 3(T %1,T0/T "/!&/!TÂĄ=6 T$"/&0T 0/T(“3 3&1/T/ T'%0/"&+!/T0]!TdT$"_!/& T!%&T! ! ]'/T0“+&.%"'3 +%&T3 /1T(/T "% $/T .+T &.%"'3 +# /T/ T!%&T$"%-+1+/(T0/T-/! +%&T+& _-"_/T .+T Ăœ> donnĂŠes pour ses autoritĂŠs de tutelle. D’autre part, l’hĂ´pital Foch est site pilote pour la mise en place du futur système de facturation individuelle des ĂŠtablissements de santĂŠ (FIDES) qui a pour objectif le renforcement de la maĂŽtrise des dĂŠpenses de santĂŠ au niveau national.
Un site  multipilote  Premier hôpital ESPIC (Établissement de santÊ privÊ d’intÊrêt collectif) d’Île-de-France, l’hôpital Foch de Suresnes place depuis longtemps son système d’information au cœur de ses activitÊs de soins. Il compte souvent parmi les pionniers en matière d’innovation et de modernisation des outils informatiques nÊcessaires à l’activitÊ des hôpitaux. C’est à ce titre que la DSI a engagÊ, dès 2012, une consultation pour rÊpondre à deux enjeux importants pour l’hôpital. D’une part, l’Êtablissement applique volontairement la rÊglementation publique comptable et budgÊtaire M21, en lieu et place du plan comptable gÊnÊral propre aux ESPIC. Ce choix permet de faciliter l’Êchange et le recueil des
Au-delĂ des strictes fonctionnalitĂŠs mĂŠtier, l’hĂ´pital a posĂŠ comme prĂŠrequis Ă son cahier des charges la capacitĂŠ de l’outil Ă s’adapter Ă ses ĂŠvolutions organisationnelles mais ĂŠgalement de bĂŠnĂŠďŹ cier d’une ergonomie “orientĂŠe utilisateursâ€?, simpliďŹ ant la prise en main par le personnel tant administratif que soignant.
De plus, l’ERP permet avec souplesse d’intĂŠgrer l’ensemble des autres applications du SI et de pouvoir s’interfacer avec les sites des bases de donnĂŠes de nomenclatures mĂŠdicamenteuses du marchĂŠ (ThĂŠriaque, Vidal‌) et les robots de stockage pour les mĂŠdicaments sensibles (Copilote). ProblĂŠmatiques fonctionnelles : une rĂŠponse agile Dès octobre 2012, les prestations d’intĂŠgration ont dĂŠbutĂŠ selon une mĂŠthodologie de type agile pour le dĂŠploiement de la solution. Les phases de prototypage ont succĂŠdĂŠ aux phases de conception aďŹ n d’afďŹ ner les conceptions dĂŠtaillĂŠes. Ici l’aspect fonctionnel de la dĂŠmarche prend tout son sens. Le Groupe GďŹ Informatique a dès le dĂŠpart travaillĂŠ avec le personnel de l’hĂ´pital, mĂŠtier par mĂŠtier. Ainsi les services budget, comptabilitĂŠ, achats-marchĂŠs publics, stock, business intelligence, reporting‌ ont fait l’objet d’ateliers, composĂŠs d’utilisateurs rĂŠfĂŠrents, capables Ă la fois d’exprimer les besoins fonctionnels et de faire les choix d’orientation des diffĂŠrents process
“ Une capacitĂŠ de l’outil Ă s’adapter Ă ses ĂŠvolutions organisationnelles â€?
L’ouverture et la souplesse de GďŹ SSP La solution GďŹ SSP est verticalisĂŠe selon deux axes : le premier intègre les rĂŠglementations ďŹ nancières du secteur public et le deuxième, les fonctions ĂŠconomiques et ďŹ nancières du secteur hospitalier. De fait, L’ERP ainsi verticalisĂŠ permet de traiter les besoins de gestion ďŹ nancière et d’assurer le contrĂ´le du circuit d’approvisionnement, de stockage et de logistique des mĂŠdicaments de l’hĂ´pital.
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Gfi Public CRM Suite à une demande forte de nos clients pour disposer d’une solution CRM, attente confirmÊe par le Gartner Group* qui indique que d’ici 2017 les projets CRM seront plus importants que ceux des ERP, la branche Software de Gfi Informatique a pris la dÊcision d’Êlargir son catalogue produit en lançant son offre Gfi Public CRM destinÊe au secteur public. *
http://www.forbes.com/sites/louiscolumbus/2013/06/18/gartner-predicts-crm-will-be-a-36b-market-by-2017/
Cette offre permet aux organismes publics d’optimiser le traitement de toutes les requêtes des tiers avec lesquels ils interagissent, quel que soit le canal utilisÊ (guichet, mail, courrier, web, mobile, ...). k Pour le citoyen, usager ou partenaire, c’est le moyen de communiquer avec l’administration publique dans la plus parfaite transparence en disposant en temps rÊel de toutes les informations d’avancement de ses demandes. k Pour l’organisme public, c’est la possibilitÊ de repenser la qualitÊ de service offerte (guichet unique, communication multicanale‌) tout en rÊduisant les coÝts de traitement des requêtes en poussant au
maximum la chaÎne de dÊmatÊrialisation. VÊritable facteur d’innovation, l’offre Gfi Informatique est la seule du marchÊ à proposer une solution de dÊmatÊrialisation multicanale entièrement paramÊtrable. Elle est composÊe de diffÊrentes briques logicielles dont la colonne vertÊbrale est l’outil Microsoft Dynamics CRMŽ qui porte les diffÊrents rÊfÊrentiels mÊtiers, la vision 360°, les processus de traitement et le reporting. Les autres ÊlÊments permettent d’assoir une chaine de dÊmatÊrialisation complète via la mise en œuvre de formulaires web, d’applications mobiles et d’espaces de stockage des pièces justificatives.
Gfi Public CRM permet à notre branche Software d’Êtoffer ses solutions logicielles et de couvrir l’ensemble des besoins d’une collectivitÊ ou d’un Êtablissement public en apportant des rÊponses innovantes en matière de relation multicanale et de pilotage de l’action publique
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Dossier
L’innovation au cĹ“ur du secteur public des contraintes qui leur sont propres. Et notamment, Ă l’image de nombreuses petites entreprises, un personnel technique en nombre insufďŹ sant, des moyens limitĂŠs aďŹ n d’assurer la maintenance d’une infrastructure toujours plus lourde, et la recherche d’un modèle ďŹ nancier plus souple. Plus globalement, l’ensemble des collectivitĂŠs, de par leur appartenance Ă l’administration publique, est soumis Ă des règles rigoureuses en termes de sĂŠcuritĂŠ et de sauvegarde des donnĂŠes et Ă une certaine transversalitĂŠ de l’information. La plupart des services mutualisĂŠs nĂŠcessitent en effet des solutions transversales, susceptibles d’être utilisĂŠes par du personnel en mobilitĂŠ, distant ou ne relevant pas du mĂŞme employeur. EnďŹ n, cadres et ĂŠlus locaux sont amenĂŠs Ă se dĂŠplacer toujours plus et doivent pouvoir accĂŠder Ă l’information oĂš qu’ils se trouvent, et apposer leurs signatures sans d’incessants allers-retours au siège.
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SaaS et collectivitĂŠs : une alliance gagnante SaaS : les services avant tout ASP, ÂŤ on demand Âť et plus rĂŠcemment Cloud et SaaS : les modes de consommation du système d’information ĂŠvoluent constamment, autant que la dĂŠďŹ nition de chacun de ces concepts. Pas facile, dès lors, de s’y retrouver. En matière de SaaS par exemple, la notion peut couvrir une externalisation complète du logiciel (infrastructure, plate-forme et application), ou une consommation Ă la demande d’une solution hĂŠbergĂŠe in situ, sur une
infrastructure interne ou elle-mĂŞme externalisĂŠe (en location d’espace dĂŠdiĂŠ ou dans un Cloud). ÂŤ Contrairement Ă ce qu’il est parfois admis, la diffĂŠrence entre le mode traditionnel et le mode SaaS ne tient pas Ă l’hĂŠbergement, mais Ă l’association avec les services qui se rattachent Ă l’application, explique Guillaume de Bruc, Directeur des OpĂŠrations de la branche Software de GďŹ Informatique. Ainsi, les clients n’achètent plus une licence
d’un cĂ´tĂŠ et un bouquet de prestations (infogĂŠrance) de l’autre. Mais bĂŠnĂŠďŹ cient, en SaaS, d’un pack complet avec applications et services Ă la demande, payables en fonction de l’utilisation qu’ils en font Âť. Des contraintes spĂŠciďŹ ques aux collectivitĂŠs Quel que soit le mode de consommation, interne ou externe, retenu, les petites et moyennes collectivitĂŠs doivent jongler, dans la gestion de leur système, avec
Une progression accompagnĂŠe Avec de telles contraintes spĂŠciďŹ ques, il est difďŹ cile voire impossible pour une collectivitĂŠ de se passer de solutions applicatives dĂŠdiĂŠes, et aussi de passer Ă cĂ´tĂŠ des nouveaux modes de consommation de l’informatique, notamment du SaaS. Elle doit pouvoir, comme n’importe quelle entreprise privĂŠe, arbitrer lorsque c’est nĂŠcessaire entre investissements (achats matĂŠriels ou logiciels avec amortissement) et charges de fonctionnement directement liĂŠes Ă ses usages.
“ Impossible pour une collectivitĂŠ de se passer de solutions applicatives dĂŠdiĂŠes â€? Les besoins existent, c’est indĂŠniable. Et vont mĂŞme au-delĂ des applicatifs mĂŠtiers : business intelligence, reporting, aide au pilotage, dĂŠmatĂŠrialisation, etc. Les besoins d’efďŹ cacitĂŠ des institutions publiques, et donc d’Êvolutions de leurs systèmes d’information, n’ont jamais ĂŠtĂŠ si prĂŠgnants. Pas question pour autant d’opĂŠrer un ÂŤ big bang Âť. ÂŤ Les changements doivent ĂŞtre progressifs et accompagnĂŠs, ajoute Anne Bruchon, Directrice OpĂŠrationnelle du partenariat GďŹ Informatique Orange : du cĂ´tĂŠ de la DSI comme des utilisateurs mĂŠtiers. Et une première expĂŠrience SaaS rĂŠussie pourra dès lors conduire les collectivitĂŠs Ă s’interroger sur la pertinence de ce modèle lors de l’acquisition ou du renouvellement de leurs solutions mĂŠtiers Âť
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Une offre SaaS dédiée au secteur public Gfi Informatique, leader sur les offres métiers dédiées aux collectivités avec plus de 50 solutions, et Orange, acteur majeur sur les solutions réseaux et infrastructure Cloud, ont combiné leur expertise pour proposer aux collectivités des offres de service intégrant la maintenance et l’hébergement, avec un mode de paiement récurrent sans investissement initial. Les trois premières offres bénéficiant de ce nouveau modèle SaaS sont au cœur du métier d’une collectivité et permettent de couvrir dès à présent les usages de mobilité : k une offre de gestion autour de la finance et de la paie, k une offre de bout en bout sur la chaîne de dématérialisation du parapheur électronique à l’archivage légal, k une offre de téléservices fédérés au sein d’un portail citoyen. Sur ces offres, Gfi Informatique s’engage auprès des clients à délivrer une solution de bout en bout hébergée sur les plates-formes Cloud d’Orange.
Quels bénéfices pour les collectivités ? Sous l’angle de l’hébergement, les datacenters d’Orange localisés en France répondent aux contraintes réglementaires françaises de conserver les données sur le territoire national. Sous l’angle du catalogue applicatif, Gfi Informatique propose un modèle économique en SaaS pour les applications métiers traditionnelles, et développe nativement en SaaS de nouvelles solutions (gestion du temps, portails citoyens, procédure de dématérialisation, gestion des transports scolaires...), avec la souplesse de gestion que l’on peut en attendre. Sous l’angle des réinvestissements, ces nouvelles solutions Gfi Informatique offrent une alternative
3 questions à +&1/& T % 3+ T Ü"_!+0/& F 0+"/1 / "T-_&_"3(T .+T &.%"'3 +# / 1 k Votre société est en pleine croissance alors que le marché reste difficile. Comment expliquer cette dynamique positive ? Nous récoltons les fruits de notre plan stratégique 2009 qui visait, après s’être recentré, à revenir à la croissance organique. Nous avons retrouvé une vraie dynamique qui nous permet de surperformer par rapport à un marché qui reste relativement morose et difficile. Proximité, Industrialisation et Innovation
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particulièrement économique face à la mise en œuvre d’un projet traditionnel tout en garantissant une conformité aux usages métiers. Enfin, le client entre très rapidement en phase opérationnelle, lui permettant de ne pas dépendre d’un tiers et de rester maître des fonctionnalités guidant son métier au quotidien
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sont nos principaux leviers de croissance. Aujourd’hui Gfi Informatique est devenu avec 10 000 collaborateurs et un chiffre pro forma de 750 millions d’euros, une des toutes premières ESN (Entreprise de Services du Numérique) en France. Notre ambition est de réaliser un chiffre d’affaires de 1 milliard d’euros d’ici deux ans. Cette croissance permettra au Groupe d’atteindre la taille critique nécessaire pour jouer un rôle majeur en France. Tout en restant bien entendu ouvert aux opportunités à l’international qui constituera l’étape suivante de notre développement. 2 k Vous réalisez régulièrement des acquisitions. Quels objectifs poursuivez-vous au travers de ces opérations ? Effectivement nous venons d’intégrer avec succès deux acquisitions structurantes : Thales Business Solutions, une des filiales de Thales Services et Cognitis, spécialiste du secteur bancaire et de l’assurance. L’acquisition récente de la société Addstones Consulting nous permet désormais d’occuper une place de leader sur le marché de la Banque de Financement et d’Investissement. Toutes ces opérations de croissance externe représentent une étape importante dans le développement de Gfi Informatique en France. Elles renforcent une croissance organique soutenue et accélèrent notre positionnement
de leader régional. Elles s’inscrivent dans la continuité de la stratégie que nous développons depuis plusieurs années, à savoir proposer à nos clients des solutions ou des services à forte valeur ajoutée et des solutions industrielles, avec toujours plus de proximité. 3 k Vous développez un partenariat stratégique avec Orange Business Services. Pouvez-vous nous en parler ? Nous avons signé un partenariat sur le long terme avec Orange Business Services pour accompagner les entreprises dans leur démarche d’outsourcing. Nos récents succès le prouvent. Cette alliance est pertinente puisqu’elle offre aux entreprises une solution globale unique sur le marché, managée de bout en bout et intégrant, sur demande, la gestion des applications, des plates-formes IT et du réseau. Nous sommes actuellement dans la seconde étape de ce partenariat qui vise à proposer à nos clients des solutions métiers en mode SaaS. Nos premières offres au catalogue s’adressent aux collectivités locales et territoriales. Cette alliance s’inscrit parfaitement dans la stratégie de croissance forte du Groupe Gfi Informatique
News est le magazine de Gfi Informatique publié par la Direction de la Communication // Novembre 2013 Gfi Informatique - La Porte du Parc - 145 boulevard Victor Hugo - 93400 Saint-Ouen Directeur de la publication : Vincent Rouaix // Rédacteur en chef : Sabine de Leissègues Conception-Rédaction-Réalisation : Keima / Portis-ed / Agence le 6 Crédit photo : Gfi Informatique, G. Bailey / Fotolia, H. Thouroude, Thinkstock // Document imprimé sur papier offset blanc standard
News // SEMESTRIEL ÉDITION N°2 // Novembre 2013T·T;
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