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Université de Tel Aviv

DES CHERCHEURS DE L’UNIVERSITÉ DE TEL-AVIV ONT IDENTIFIÉ 25 GÈNES RESPONSABLES DE LA SURDITÉ, JUSQUE-LÀ INCONNUS DANS LA POPULATION JUIVE EN ISRAËL

PAR SIVAN COHEN-WIESENFELD SOURCE WWW.AMI-UNIVERSITE-TELAVIV.COM

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Pour la première fois au monde: un nouveau gène causant la surdité trouvé chez une famille israélienne

Jusqu'à présent, on ne connaissait que 7 gènes impliqués dans la perte auditive parmi la population juive en Israël. Grâce à la nouvelle étude, le nombre de gènes impliqués dans la déficience auditive est passé à 32, avec des implications thérapeutiques immédiates pour le conseil génétique, le traitement et la réadaptation des malentendants.

Un gène, appelé

ATOH1, s'est avéré pour la première fois au monde être impliqué dans la surdité. Les membres de la famille examinée en Israël sont les premières personnes au monde chez qui on a découvert une mutation de ce gène responsable de la perte auditive.

On ne connaissait jusqu'à présent que sept gènes impliqués dans la perte auditive au sein de la population juive en Israël. Aujourd'hui, grâce à une nouvelle étude dirigée par le Dr.

Zippi Brownstein

et le

Prof. Keren

Avraham de la Faculté de médecine Sackler de l'Université de Tel-Aviv, en collaboration avec des chercheurs et des médecins de plusieurs centres médicaux à travers le pays, aux ÉtatsUnis et sur les territoires de l'Autorité palestinienne, le nombre de gènes

Dr. Zippi Brownstein Crédit photo: Université de Tel-Aviv

impliqués dans la déficience auditive est passé à 32, avec des implications thérapeutiques immédiates pour le conseil génétique, le traitement et la rééducation des malentendants. De plus, les chercheurs de l'Université de Tel-Aviv ont identifié pour la fois dans une famille israélienne la mutation d'un gène qui n'était auparavant pas connu dans le monde comme étant impliqué dans la déficience auditive. L'étude pionnière a été publiée récemment dans la revue Clinical Genetics.

Plus de 150 gènes sont connus de la science pour être impliqués dans la perte auditive, mais les mutations de ces gènes sont réparties très différemment parmi les populations du monde, de même qu'au sein des diverses ethnies qui composent le peuple juif. Parmi la population juive d'Israël, sept de ces 150 gènes ont été reconnus comme responsables de divers

Prof. Keren Avraham Crédit photo: Université de Tel-Aviv

déficiences. A présent, au cours d'une étude qui a inclus 88 familles juives israéliennes souffrant de déficience auditive, l'équipe de recherche de l'Université de Tel-Aviv a pu identifier 25 gènes supplémentaires. La découverte est d'une importance cruciale pour le traitement des malentendants en Israël.

24 de ces 25 gènes supplémentaires sont des gènes de surdité connus dans le monde, mais la plupart des mutations trouvées par les chercheurs sont Nouvelles, et spécifiques à la population juive en general, et pour une partie d'entre elles, à certaines ethnies en particulier. Le gène additionnel, appelé ATOH1, a été pour la première fois au reconnu comme étant impliqué dans la surdité. Les membres de la famille examinée en Israël sont les premiers humains au monde chez qui on a découvert une mutation de ce gène responsable de la perte auditive.

« Nous savons qu'il s'agit d'un gène important pour l'oreille », explique le Prof. Avraham, « car sans lui, les cellules ciliées, grâce auxquelles nous entendons, ne pourraient pas se former. En fait, ce gène est également responsable de la production des cellules cérébrales, et donc en son absence, l'enfant meurt dans l'utérus avant la naissance. Jusqu'à aujourd'hui, on connaissait une mutation à la fin de ce gène, qui provoque une perte auditive, mais uniquement chez la souris. Nous avons trouvé une mutation similaire chez les membres d'une famille nombreuse en Israël, les premiers humains au monde présentant une mutation du gène ATOH1. Je pense que grâce à cette étude, on découvrira d'autres familles, en Israël et dans le monde, avec des mutations de ce gène, et de nouvelles options de traitement seront développées pour les personnes souffrant de perte auImage de l'oreille interne au moyen d'un microscope confocal.

ditive en raison d'une mutation congénitale, y compris la thérapie génique ».

Le Prof. Avraham ajoute: « Nous avons mené une vaste enquête auprès de la population juive d'Israël souffrant de troubles auditifs à des degrés divers. À cette fin, nous avons utilisé une technologie avancée de séquençage génétique profond et construit un test génétique appelé HEar-Seq, qui permet de scanner les mutations des 150 gènes connus pour être impliqués dans la perte auditive, et de plusieurs dizaines d'autres gènes qui ont un rôle dans le système auditif et ont donc présentent le potentiel d'être impliqués dans la surdité. Un tel examen permet de comprendre la répartition des gènes et des mutations à l'origine de détion juive en Israël, et dans les diverses communautés ethniques en particulier. À l'aide du test, nous avons recherché des mutations de gènes pertinents dans 88 familles de Juifs iraéliens souffrant de diverses pertes d'audition, allant de la surdité congénitale à la perte auditive chez les personnes âgées, et identifié des mutations qui n'étaient pas auparavant connues au sein de la population juive, dans 25 autres gènes. Il s'agit d'une découverte importante avec des implications thérapeutiques immédiates, y compris le conseil génétique, la prévention de cas supplémentaires dans la famille à l'aide d'un diagnostic prénatal ou d'une fécondation in vitro, et dans de nombreux cas également un traitement et une rééducation adaptés au gène spécifique de la famille. Les résultats de l'étude permettent aux médecins en Israël de fournir un traitement personnalisé aux patients souffrant de perte auditive due à des mutations génétiques ».

ficiences auditives dans toute la populaCrédit photo: Prof. Keren Avraham et Shachar Taiber.

Image de l’oreille interne au moyen d’un microscope confocal. Crédit photo: Prof. Keren Avraham et Prathamesh Nadar-Ponniah.

APRÈS LA PANDÉMIE, LA TECHNOLOGIE ISRAÉLIENNE SERA LEADER DANS LE MONDE

La technologie israélienne peut aider le monde à trouver son nouvel équilibre numérique dans la réalité post-Covid, selon un document de position de la Start-Up Nation Central à but non lucratif basée à Tel Aviv .

PAR COOLAMNEWS

Israël, leader technologique mondial post pandémie ? Le rapport indique que « l’expertise de longue date d’Israël en matière de logiciels, de données, de capteurs et de cybersécurité constitue un excellent point de départ » pour remodeler l’avenir du travail, des soins de santé, des voyages, de l’éducation, du logement et de la fabrication.

L’écosystème technologique d’Israël est bien placé pour aider à établir la « nouvelle normalité » et conduire son évolution. La capacité de son écosystème à s’adapter rapidement est évidente à la fois dans la génération de centaines de nouvelles startups technologiques innovantes chaque année et dans le pivotement rapide des entreprises existantes, le tout avec un œil sur les nouveaux défis du marché.

Le document cite les forces existantes d’Israël dans les domaines de l’intelligence artificielle (IA), de la réalité augmentée (RA), des technologies autonomes, du big data et de l’Internet des objets (IoT), et prédit que cinq de ses principaux secteurs – cybersécurité , santé numérique , fintech , industrie 4.0 et agro / food-tech – « sont très bien placés pour voir une augmentation de la demande dans la nouvelle ère numérique ».

Un rôle de leader technologique

Les analystes voient la crise des coronavirus comme une opportunité pour les startups israéliennes de réduire la dépendance aux capitaux étrangers, de connecter les entreprises israéliennes traditionnelles aux technologies de pointe et d’employer des populations sous-représentées – Arabes, juifs ultra-orthodoxes et personnes handicapées – dans le secteur technologique. Ils suggèrent également que les startups israéliennes devraient commencer à mettre en place des sites bêta ou des pilotes localement avant de se développer à l’étranger.

« À l’aube de la nouvelle ère numérique post-pandémique, Israël peut transcender son statut de ‘Start-Up Nation’ et devenir le pays leader en fournissant à ses citoyens – et finalement au monde – des solutions numériques de pointe dans les domaines de la santé, de l’éducation, et le bien-être », déclarent les auteurs.

DOR HADASH SOCIÉTÉ

Une nouvelle génération d’Alya pour tous à Nof HaGalil

Chaque année, des Juifs d’environ 80 pays font leur Alya en Israël. Au cours de la dernière décennie, l’Etat d’Israël a accueilli des Juifs de 146 pays différents. la France arrive en 3ème position avec 39 571 Olim. Ils s’installent dans tout le pays, le plus souvent dans les grandes villes. Les juifs de France et d’Europe se trouvent dans une situation complexe aujourd’hui. Après l’Alya Boeing, l’Alya fiscale nous entendons parler d’Alya passeport. Pourquoi ne pas faire le choix de venir vous installer en Israël sans avoir au fond de vous le souhait de retourner de la où vous venez ? La « Terre promise » vous y croyez au fond ? Le Global Center de l’agence juive n’a jamais été autant débordé que ces dernières semaines par les demandes de dossiers de personnes qui s’apprêtent à monter en Israël, des milliers de Juifs de France. Enfin, le destin est en marche ! Cependant et contrairement à ce que l’on entend ou pourrait penser, si tant de Juifs de France décident de monter en Israël, c’est par amour d’Israël, c’est pour faire leur Alya, comme des milliers d’autres avant eux, des millions d’autres. Du monde entier les Juifs rentrent chez eux,

PAR PATRICIA HASSOUN

enfin, fatigués, mais contents. Inquiets, mais confiants, pleins de cette Emouna, cette foi tranquille et forte qui animait nos ancêtres.

Il est acquis qu’ils ne viennent pas de gaité de cœur car ils laissent derrière eux beaucoup de choses qu’ils aiment, des enfants, un quartier, une maison, des amis, des habitudes. Oui, Israël c’est l’inconnu et c’est si petit sur une carte ! Vous ne parlez pas un mot d’hébreu ? vous ferez comme les autres, vous apprendrez ! Le gouvernement israélien a, mis en place depuis plusieurs décennies des programmes spéciaux destinés aux nouveaux immigrants, des formules d’alya de groupe qui vous mettent en confiance et vous rassurent avant même votre venue en Erets et qui vous accompagnent dès votre arrivée jusqu’à ce que vous preniez votre envol, devenus après une année d’encadrement et de soutien, de vrais israëliens ! La contribution des Olim à l’Etat et à la société est inestimable, Dor Hadash et Nof Hagalil l’ont compris. La ville de Nof HaGalil et l’association Dor Hadash ont mis en commun leurs meilleurs atouts pour offrir aux futurs olim un programme d’Alya de Groupe d’exception. Conscients de l’inquiétude et des réticences des juifs de France à monter en Israël, ses deux partenaires ont uni leurs forces pour proposer un programme complet d’une année, réservé aux célibataires avec ou sans enfants et aux familles, de 30 à 55 ans, dans une ville qui favorisera leur confiance

et leur intégration sur les points suivants : • un logement à loyer modéré • une éducation de qualité et subventionnée • un oulpan accompagné de bénévolat pour pratiquer la langue et apprendre les codes de la vie Israélienne • une formation professionnelle en entreprise ou établissements universitaires ou professionnels • un contrat d’alternance rémunéré en entreprise avec proposition d’embauche à la clé • 2 départs dans l’année : janvier et juillet/Aout

Contactez nous pour un premier rendez-vous :

+972 52-2263776 +33 1 86 98 19 43 +972 52-3024325

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SWITCH LIFE COMMENT M'A PERMIS de me ISRAËL RÉINVENTER

haque numéro, je vous raconte l’histoire d’une personne dont le chemin de vie a été fortement influencé par CIsraël. Ce mois-ci, j’ai voulu raconter le parcours de

Daphné

Seroussi. D’aussi loin qu’elle se souvienne, Daphné a toujours voulu se sentir utile et imprimer sa trace dans la société. Arrivée en Israël il y a 12 ans depuis

Londres, elle était ce qu’on appelle une « analyste financière ». De cette vie-là, Daphné se souvient d’une vie en tunnel, avec des journées assez stressantes passées en haut d’une tour. Elle se souvient aussi d’un ciel qui était noir le matin tôt ou au sortir du travail et se rappelle avoir rêvé d’une vie gorgée de lumières et dans laquelle on s’épanouisse plus sur le plan personnel.

Guidée par le sionisme enthousiaste de son mari Joseph, Daphné choisit une vie plus proche de la nature en s’installant à Raanana après avoir gouté aux joies de Tel Aviv et à la quiétude de Zichron Yaakov. Au fil des années, la spiritualité ambiante, la proximité avec ses quatre enfants, les discussions avec les mères

Israéliennes, tout cela réveilla en elle son désir d’enfant, celui de se rendre utile.

Une formation en psychologie positive à l’école IDC à Herzliya, puis un stage de

« premiers secours émotionnels » avec

Cathy Laoui

ou même des cours sur l’éducation positive ont tous été de véritables marqueurs vers un chemin qu’elle

PAR NATHALIE OHANA

empruntait sans en être véritablement consciente. A la suite du programme pilote de Haim Rabim* (qui s’appelait Switch Collective), Daphné se met à poser des mots. Elle comprend qu’elle aime son métier d’analyste financier mais qu’elle aimerait le mettre au service des indépendants. La Banque d’affaires du centre de Londres est de plus en plus loin d’elle et avec le recul, elle lui paraît complètement désincarnée. De caractère réservé, Daphné aime écouter, s’impliquer dans les choix financiers de ses clients et surtout, elle se nourrit de ces échanges intimes. La question qui l’anime alors est bien celle-ci « comment réhumaniser la finance ? ».

Pendant le premier confinement en Israël, lors d’une soirée avec ses deux amies proches, Yaelle et Yael, Daphné font le triste constat que la technologie permet de faciliter les services dans de nombreux secteurs mais pas dans le domaine associatif. Aujourd’hui, et a fortiori en Israël, on peut prendre un taxi, réserver un restaurant, des vacances en quelques clics, mais concernant l’entraide ou la possibilité de faire des donations en ligne, qu’en est-il ? A cela s’ajoutait une prise de conscience partagée par toutes les trois, à savoir que donner, faisait en premier lieu du bien à la personne qui donnait ! L’idée de Give A Smile était née. En encourageant les gens à donner, en soutenant les échanges, le non-marchand, on allait faire du bien au monde. Trois mois après cette discussion sur un coin de table, Daphné, Yaelle et Yael se lancent dans une véritable aventure pour mettre sur pied cette association à but non lucratif. Il faut écrire le concept, trouver un programmeur, définir les paramètres du site, et à chaque fois, les trois vibrent à l’unisson. Depuis le mois de septembre, le site www.giveasmile.me est actif. En un clic, on peut donner un objet, transmettre une compétence, un savoir-faire et on reçoit immédiatement des réponses de personnes intéressées. Depuis l’aventure Give A Smile, Daphné s’est réconciliée avec la finance car elle sait que chaque jour, elle est « la raison du sourire de quelqu’un aujourd’hui ! ». Et ça, ça change tout !

www.giveasmile.me

*Haim Rabim - 7 semaines de travail online – coaching individuel et collectif pour trouver sa voie en Israël - 2500 Shekels -

SWITCH LIFE COMMENT M'A PERMIS de me ISRAËL RÉINVENTER

haque numéro, je vous raconte l’histoire d’une personne pour laquelle Israël C a été un catalyseur. Ce mois-ci,

PAR NATHALIE OHANA

je vous raconte la jolie histoire d’Anne Gotschaux. Depuis petite, Anne est attirée par le monde de la gemmologie. Après ses études à Paris, et quelques postes pour des grandes marques, Anne se lance et réalise un rêve : créer sa marque, à elle, de bijoux. Son

Anne à gauche, Judith à droite

idée est simple mais astucieuse, offrir un bijou chic personnalisable en changeant soi-même son cordon de couleur.

Seulement voilà, la vie à Paris la mine peu à peu et Anne se sent de plus en plus à côté d’elle-même. Elle a envie de prendre le large, de s’évader, d’aller voir le monde alors elle ouvre ses horizons. Et une idée, insolite au départ, commence à toquer à sa porte. Et si je quittais tout ? Parallèlement à ça, des sensations émanant de ses derniers voyages en Israël se rappellent à elle. Ce sentiment d’être au bon endroit et surtout de n’avoir aucun effort à faire pour se sentir elle-même. Déjà, depuis Paris, elle avait nommé sa marque de bijoux « Shenkin », comme pour rapporter un peu d’Israël à Paris. Les bijoux commençaient à se vendre dans plusieurs magasins à Paris, mais Anne stoppa tout net, et fit ses bagages en emportant avec elle le dernier stock de bijoux qui lui restait. Anne se lançait un véritable défi, celui de recommencer seule et de zéro une vie toute neuve qu’elle voulait plus adapter à ses valeurs. Arrivée en janvier 2019 pour tester la vie tel avivienne, elle fit officiellement son alya en août 2019. L’oulpan lui permit de brasser tant de rencontres. Chaque jour, des discussions riches entre immigrés venus de partout, chacun essayant de contribuer au pays du mieux qui le puisse. Israël n’était pas un pays facile mais il offrait un merveilleux terrain de jeu pour y créer la vie qu’on se voulait. Alors Anne, cette fois-ci, se mit à se poser des questions de fond. En Mars 2020, le confinement tombe. Enfermée entre ses quatre murs dans son appartement de Tel Aviv, elle gamberge et puis s’inscrit au programme de développement personnel « Haim Rabim* » dont elle a entendu parler. « Haim Rabim », cela veut dire « Avoir plusieurs vies », cela tombe bien, c’est ce qu’elle est venue chercher ici. A la fin du programme, ses envies se précisent mais surtout, elle n’a plus peur. Elle ressort de ses tiroirs ses bijoux parisiens et veut leur redonner une nouvelle vie, une destinée israélienne. Grâce à la rencontre presque par hasard avec une amie de longue date, Judith Beer Gabel - qui deviendra son associée -, Anne retrouve l’envie de relancer sa marque. A deux, elles se sentent pousser des ailes dans le dos. C’est en marchant sur la fameuse rue Shenkin de Tel Aviv au sortir du confinement qu’Anne et Judith ont un coup de cœur. Un coiffeur cède son pas-de-porte. Judith et Anne ne réfléchissent pas trop, d’un regard elles décident sur le champ de transformer cet espace en un rien de temps. En moins d’une semaine, elles auront signé le bail, décoré l’espace et put ouvrir la première boutique de leur marque « Klic by Shenkin ». « Ce n’est pas tous les jours facile, mais je sais pour quoi je me lève le matin » confie-t-elle. Aujourd’hui la marque a étendu son offre, en plus des bracelets iconiques, la gamme comprend des boucles d’oreilles, des colliers et ne compte pas s’arrêter là. « Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie. » dit Confucius. Judith et Anne sont dans leur boutique tous les jours depuis le mois de juillet et « Klic by Shenkin » n’a jamais aussi bien porté son nom.

Klic by Shenkin 17 Sheinkin, Tel Aviv www.klic-by-shenkin.com Renseignements: @klic_by_shenkin

*Haim Rabim - 7 semaines de travail online – coaching individuel et collectif pour trouver sa voie en Israël - 2500 Shekels -

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