La confiance

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Frédérique Pool Communication

Florence

Pool Communication

Sommaire Dossier :

La confiance ‘

La confiance, c’est quoi ? C’est croire en l’autre. Un apriori Guide. C’est responsabiliser chacun à son niveau. Elle accorde un droit à la parole et offre le droit à l’erreur. Elle donne la liberté de choisir. La confiance n’est pas à sens unique. Elle nécessite un temps d’évaluation pour évoluer. C’est un engagement de tous chez les GCB !

2. Faire confiance 3. Et toi ? Test 4, 5. Et eux ? 6. Et les animés ? 7. La jouer ! 8. Les yeux fermés

LA CONFIANCE, C’EST TRES GCB ! Voilà ce qu’en dit notre projet pédagogique : «Le Mouvement a confiance à priori dans l’enfant et le jeune». C’est un préjugé favorable qui montre que nous croyons que chacun est capable de construire son identité et de développer sa personnalité au travers des responsabilités que nous lui confions. Nous ne le voyons pas comme une sorte de pâte à modeler, mais comme une personne capable de prendre son développement en main. Faire confiance, c’est... La confiance est quelque chose de sacré ! Quand on la donne à quelqu’un, on attend la même chose en retour. Elle ne peut pas être à sens unique. Elle implique aussi de croire en l’autre, en ses possibilités, ses capacités, ses compétences… Le Mouvement te prend comme tu es. Il ne cherche pas à te changer, il veut que tu trouves ta place en son sein. Il pense que toute personne apporte sa valeur et sa richesse aux autres.

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faire confiance, c’est…

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aire confiance, c’est considérer l’autre comme un être valable, qui peut :

S’exprimer :

Le Mouvement te donne la possibilité de t’exprimer. Tu es dans un Mouvement où chaque jeune a droit à la parole. C’est grâce aux avis, aux suggestions que le Mouvement se remet en question et reste jeune et dynamique.

Comprendre et apprendre :

Le Mouvement sait qu’il n’est pas facile d’animer et d’assumer toujours ses responsabilités. Tu as droit à l’erreur. L’important c’est que, jour après jour, tu comprennes tes erreurs et que ça devienne une source d’expérience que tu pourras faire partager aux autres.

Choisir et préparer :

Quand tu es devenu animateur, tu t’es engagé à réaliser des activités dans l’esprit du Mouvement. Mais il te laisse prendre des initiatives, tu n’es pas restreint à faire telle ou telle activité imposée par le Mouvement. Tu es libre de choisir. Cependant, le Mouvement veut que tu prépares tes activités soigneusement en fonction des tranches d’âge et en tenant compte de la sécurité.

Prendre des responsabilités :

Le Mouvement te fait confiance. Pour avoir confiance en quelqu’un, il faut être sûr qu’il prendra ses responsabilités. Chez les GCB, à chaque tranche d’âge, on apprend à se responsabiliser. On reçoit des responsabilités adaptées.

Progresser :

Cela exige de prendre un temps de réflexion pour évaluer ton animation. As-tu évolué dans ton animation ? Fixes-tu des objectifs à réaliser avec ton groupe ? Participes-tu à des formations ? Nous t’invitons à te poser régulièrement ces questions afin de mieux apprécier ta progression.

S’engager : Décider de devenir animateur GCB implique un énorme engagement : être présent pour les animés, les parents, le staff d’Unité, les autres staffs… et beaucoup d’autres choses !

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Du petit Nuton à l’animateur : tout le monde s’engage ! Quand on est Nuton, on s’engage à être «l’AMI DE TOUS» et, ensuite, chez les Lutins à faire «DE SON MIEUX». Quand on devient Aventure, on s’engage à être «TOUJOURS PRÊT(E)» et, chez les Horizons, à «ENTREPRENDRE» en tant que maillon actif de la Chaine». Enfin, chez les Routiers, on s’engage à «TOUJOURS SERVIR».


As-tu confiance en toi ? Test

Toujours Souvent Rarement Jamais

Avoir confiance en soi permet de s’engager dans des relations équilibrées. Ce test ne prétend pas établir un portrait précis de ta personnalité. C’est plutôt une invitation à réfléchir à la confiance que tu t’accordes. Il te montre aussi quelques pistes pour gagner de la confiance en toi. Coche les cases qui te correspondent le mieux et vois comment tu pourrais faire évoluer ton évaluation vers la colonne de gauche. Quand j’organise une activité, je me dis qu’elle va « marcher ». Je sais évaluer une activité qui n’a pas réussi sans me dévaloriser. Je ne passe pas mon temps à me comparer aux autres. Je sais que c’est par expérience que je peux apprendre et évoluer. Si d’autres membres de mon staff devaient être absents, je sais que je pourrais compter sur moi-même et me débrouiller en adaptant la situation. Je vais à la rencontre des parents pour discuter avec eux. Je sais faire des choix qui me conviennent sans toujours faire comme les autres. Je me sens responsable de moi-même. Je connais mes capacités. J’ose dire non ou exprimer mes limites. Je reste fidèle à moi-même et à mes valeurs, même lorsque je ne suis pas d’accord avec les autres de mon staff. Je prends la parole en Conseil d’Unité.

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i tu as des « jamais » ou des « rarement », essaie de comprendre pourquoi. Demande-toi ce qui pourrait t’aider à passer à « souvent ». Que voudrais-tu mettre en place pour évoluer ? Si tu as principalement répondu « toujours », n’oublie pas non plus de laisser aux plus timides l’occasion d’évoluer en partageant les responsabilités et en écoutant leurs avis. Être confiant en soi, ce n’est pas être arrogant !

Je ne cherche pas à éviter les temps d’évaluation. Je peux me fier à des activités que j’ai déjà réalisées pour en créer de nouvelles. Mes valeurs personnelles me guident pour préparer des totémisations respectueuses. Je donne un sens à mon engagement Guide et aux actes que je pose dans ce contexte-là.

Crois en toi ! Se faire confiance implique que tu te connaisses et que tu ne te dévalorises pas. Tu as de nombreuses qualités, c’est sûr ! Si tu n’y crois pas, prends le temps de noter sur un papier au moins 5 des qualités et compétences que tu offres au groupe. Ça va sûrement t’aider à recharger tes batteries.

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Ils ont confiance en toi

La confiance des enfants Être un modèle: quelle responsabilité ! En tant qu’animateur, tu représentes un modèle pour les plus jeunes. Ils font attention à ce que tu dis, à ce que tu fais. Il est très important que tu adaptes tes comportements, et pas seulement pour les parents et pour ton CU, mais pour tes animés avant tout !

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Ne trahis jamais la confiance de tes animés !

Créer une relation de confiance avec les parents

Comme personne de référence pour des plus jeunes, tu as la responsabilité d’entretenir leur confiance. La mettre à l’épreuve peut déstabiliser durablement un animé. Garde ce souci à l’esprit : • Évite de répandre un secret qui t’est confié de façon inadéquate. Un secret qui te semble anodin revêt peut-être une grande importance pour celui qui te l’a transmis. Dans les cas d’un secret que tu trouverais « grave », tu ne dois pas le porter seul. Ton CU, les cadres de ta Région, la cellule de crise ou le Carrick peuvent te conseiller sur les suivis à mettre en place pour aider le jeune à sortir de son problème. • Répandre une fausse rumeur ou voir jusqu’où un animé peut « gober » ce que tu lui racontes, sont des jeux très malsains entre un jeune et une personne qui est une référence pour elle. Évite ce type de « jeux » à tout prix et interviens si tu constates qu’un autre animateur s’en amuse. • Être une personne de confiance, c’est aussi être celui qui empêchera les moqueries et les humiliations entre les animés et évidemment entre les animateurs et les animés. Aie le souci de rayer définitivement les jeux de pigeon, totémisations accablantes et jeux de nuits terrorisants des activités de ton Unité.

1. Rends-toi disponible pour un échange intéressant avec eux que ce soit lorsque tu les rencontres dans la rue ou lors d’une réunion. 2. Va volontairement vers eux. 3. Essaye d’avoir toujours quelque chose à dire, à raconter sur chaque jeune. Pas seulement sur ce qui ne va pas, mais parle des bons moments passés avec chacun, de ses découvertes… 4. Au début d’année et avant le camp, organise une réunion avec les parents et présentes-y ton groupe, ce qu’on y fait, tes ambitions éducatives… 5. Lors d’une réunion pour les parents, donne-leur aussi la parole et réponds le plus clairement possible à leurs questions. Termine la réunion par un verre de l’amitié, un temps informel ouvre la voie au dialogue. 6. Sois toi-même et prends le temps de t’intéresser à ce que les parents souhaitent te dire. Accepte leurs remarques. 7. Lors d’une fête d’Unité ou d’une visite des parents, ne sors pas de ton rôle d’animateur : garde un œil sur les enfants à tout moment. N’oublie pas que tu es celui qui reçoit et pas un invité qui ne pense qu’à s’amuser. Donne une bonne image de toi, ce n’est pas à ce moment-là qu’il faut te lâcher ! 8. Enfin, la confiance repose surtout sur la qualité de l’animation que tu proposes. Les beaux discours et les belles intentions ne remplacent pas une animation variée et bien organisée. La motivation des enfants à venir aux réunions influence la confiance des parents.

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Ton CU, garant que le Mouvement peut te faire confiance En t’accueillant dans une Unité, le Mouvement te reconnait capable d’être responsable de plus jeunes que toi. Les statuts GCB prévoient aussi que tu puisses donner ton avis et même voter les décisions de l’Unité, (par exemple, l’accueil d’un enfant handicapé) au Conseil d’Unité. Dans ce Conseil, c’est avec l’avis de chaque membre du staff et la confiance que le CU accorde à chacun que vous construirez votre projet. Ton CU te rencontre sur le terrain. Il te connait et te fait confiance, lui aussi, dans différents domaines comme la gestion de ton compte de groupe. En signant ton permis de camp, il atteste aussi qu’il te fait confiance et te soutient.

Animer en staff, c’est partager la confiance

Pour trouver sa place dans son staff, il est important de se faire confiance, et d’y aller ! Quand on s’engage comme animateur, on a parfois des moments de doute et on se demande si on est à la hauteur. Il faut pouvoir te dire : « Allez, j’essaie, je me lance et puis on verra… ». Si tu te fais confiance, tu y arriveras : c’est un fait certain. Mais il est important que tu te sentes bien dans ton groupe, dans ton staff, dans ton Unité. N’hésite pas à en parler aux autres pour qu’ils puissent t’aider. Partager ses questionnements aide à renforcer la solidarité dans un groupe.

La confiance en soi influence le climat dans ton staff • Si tu montres trop de confiance en toi et que tu te places en leader pour toutes les activités, les autres membres de ton staff auront tendance à rester en retrait, à se taire et à suivre. Ils n’évolueront donc pas beaucoup. Ils n’auront alors pas envie de prendre eux-mêmes des responsabilités. Et chacun restera confiné à sa place. • Si tu te montres trop hésitant à prendre des responsabilités, les leaders auront l’impression que ce sont toujours les mêmes qui se démènent. Ils n’oseront donc jamais te faire confiance si tu ne leur montres pas que tu en es digne.

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Tu fais confiance a tes animés ‘

En leur donnant des responsabilités, tu les aides a grandir.

• Tu aides les NUTONS à se sentir responsables d’eux-mêmes, petit à petit, et à participer aux activités de responsabilité collective comme mettre et débarrasser la table. • Tu permets aux grands LUTINS de se sentir responsables des plus jeunes en les nommant sizeniers ou seconds. • Tu encourages les CP et les SP à mener leurs propres activités de patrouille. • Tu stimules les maillons de ta Chaine HORIZON à mettre en place des projets de qualité et à en faire une expérience de vie épanouissante.

S’exprimer pour grandir

Pour évoluer, nous avons tous besoin de prendre du recul lors de moments d’expression. Chez les Guides, on progresse pas à pas en évaluant nos acquis et nos difficultés. On se découvre en évaluant nos capacités et nos talents. Prévois des animations d’expression (conseil, impro, dessin…) pour aider chaque animé à faire ce chemin !

Faire confiance ? Pas facile !

Faire confiance, c’est lâcher prise et laisser évoluer une idée hors de soi, chez les autres. C’est parfois laisser l’autre prendre les rennes d’un projet. C’est risquer que les autres aient des meilleures idées que soi. C’est risquer un résultat différent de celui qu’on avait déjà en tête. C’est savoir donner des responsabilités adaptées et mesurées. C’est accepter de ne pas être tout le temps indispensable. C’est une relation qui se construit au fil des expériences. C’est un processus formatif autant pour celui qui la donne que celui qui la reçoit.

FAIRE CONFIANCE ET ÉDUQUER Si tu laissais un enfant marcher sur la route sans lui demander de monter sur le trottoir, serais-tu un animateur digne de confiance ? Non, évidemment. Si tu n’expliquais pas les règles d’un jeu et que tu ne mettais pas tout en place pour les faire respecter, les enfants joueraient-ils au jeu ? Non plus. Faire confiance à priori ne signifie pas laisser faire n’importe quoi. Éduquer, c’est aussi donner des règles, un cadre, et les faire respecter. La confiance à priori est un pilier de l’éducation Guide, mais elle ne doit pas en rester là. La confiance se gagne au jour le jour. Elle se confirme et se renforce quand celui qui la reçoit prouve qu’il est capable d’assumer ses responsabilités. C’est important pour les autres, mais ça l’est aussi pour lui. C’est par la sensation d’être apprécié comme une personne fiable que nous nous forgeons une image positive de nous-mêmes pour avancer dans la vie avec bonheur. Être digne de confiance, c’est adopter un comportement individuel qui tient compte des apports et des contraintes de la vie collective. C’est respecter les règles de la vie commune (de l’autre, du matériel, de la politesse…) et appliquer quelques principes de vie collective comme l’écoute, l’entraide et l’initiative dans son comportement.

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Jouer la confiance

Être fiable, c’est se comporter en tenant compte de l’autre. Le jeu du miroir

Les participants se placent deux par deux, en se faisant face. Sur une musique lente, ils rapprochent leurs paumes, sans que les mains se touchent, comme si un miroir les séparait. Un des participants commence lentement, au rythme de la musique, un mouvement des mains. L’autre imite ce mouvement, de façon à ce que leurs déplacements soient synchronisés. C’est ensuite au tour de l’autre participant de diriger la danse des mains.

Variante Chaque couple de participants reçoit deux rouleaux en carton de papier WC. On refait le même jeu mais au lieu de ne pas se toucher, les participants doivent tenir un rouleau dans la paume de chaque main ouverte. Le premier tube tient entre la main droite du participant A et la gauche du participant B. Le second entre la main droite du participant B et la gauche du participant A. L’un des participants débute un mouvement, suivi par l’autre, en restant attentif à ne pas laisser tomber les rouleaux.

Pistes de réflexion à poser après l’activité : • A-t-il été facile de suivre le rythme du partenaire ? Pourquoi ? • Comment vous êtes-vous sentis durant cette activité ? • Quelles ressemblances ou différences y a-t-il entre cette danse et une conversation entre deux personnes ?

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Faire confiance, les yeux fermés Si tu repères un enfant de ton groupe qui est déstabilisé quand il doit se déplacer les yeux fermés, surtout ne le force pas à le faire. • La promenade des aveugles. On se promène en silence par deux et une des deux personnes ferme les yeux. L’autre l’accompagne d’abord en le prenant par le bras, puis en mettant juste des doigts sur l’épaule, puis un doigt, puis en la dirigeant par un son... C’est probablement l’étape qui nécessite le plus de confiance, parce qu’il n’y a aucun contact physique qui peut “rattraper”. On peut enchainer en proposant de courir les yeux fermés. Chaque personne court à son tour, les yeux fermés, avec deux ou trois personnes qui la réceptionnent au fond de la pièce. • La chaine des aveugles. Une dizaine de participants forment une chaine : chacun pose ses deux mains sur les épaules de celui qui le précède. Tous les enfants ferment les yeux. Seul le premier les garde ouverts et guide tout le convoi à travers la pièce et même dehors. Éviter les escaliers ! • Le jeu des portes. Une personne est désignée pour mettre un bandeau autour de ses yeux. Cet «aveugle» se placera à un endroit donné. Ensuite, les autres participants se relaieront à tour de rôle, 2 par 2, pour former des portes de passage. L’enfant aveugle devra seulement se guider au son émis par les 2 «portiers» pour passer les différentes portes.

• Le tapis roulant : Après avoir enlevé chaussures, bijoux, montres et foulards, les joueurs se couchent par terre côte à côte sur le dos, la moitié d’entre eux dans un sens, l’autre moitié dans l’autre sens. Ils se mettent en décalé, tête contre tête. Les plus faibles (plus petits) doivent être répartis dans la chaine, en alternance avec les plus costauds. Les joueurs couchés tendent les bras. Le joueur se trouvant à une extrémité se lève. L’animateur couche le joueur sur les mains tendues. Le joueur doit rester bien droit et bien raide. Les joueurs couchés le font alors avancer de mains en mains. Quand il arrive au bout du parcours, il devient le dernier de la chaine.

Je peux compter sur toi • Les pantins : Un groupe de participants est allongé au sol et pas trop éparpillé. Les autres doivent se déplacer entre eux sans les toucher. • La bougie : Les participants se placent en cercles par groupes de 6 à 10, épaules contre épaules. Un joueur se place au centre, pieds joints, bras croisés sur le ventre, yeux fermés. Il se laisse doucement tomber en arrière, en restant le plus raide possible et les autres le font basculer lentement dans tous les sens, sans s’amuser à le faire tomber, évidemment. • La chenille : Les enfants se déplacent à quatre pattes les uns derrières les autres en se tenant les chevilles.

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En résumé La confiance est un élément essentiel de notre pédagogie. Tous tes partenaires te font une grande confiance : enfants, parents, CU,cadres, EF, autres animateurs de ton staff... Fais-toi d’abord confiance, prends des responsabilités, assume-les avec coeur, évalue ton action et progresse pour devenir un CRACS !


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