Le sport et l’activité physique en général sont une source de bienfaits inestimables pour tous, et notamment pour les enfants et les adolescents.
Les dernières campagnes d’information nous l’ont bien dit, bouger est indispensable à un mode de vie sain. Et au-delà de la notion d’hygiène de vie, l’activité physique permet également à l’enfant de s’épanouir au mieux. Au solitaire, qui resterait replié chez lui, le sport offre des copains, lui permet de développer l’esprit de groupe et l’entraide. À celui que l’école fatigue, il offre détente et énergie renouvelée. L’activité physique aide à vider les tensions internes et à faire face au stress. À un âge où le corps se bâtit, l’activité physique crée des réflexes, entretient la souplesse, muscle harmonieusement, développe agilité et endurance, force physique et force de caractère. Il permet de se lancer des défis, de tester puis de repousser ses limites. Dans le cadre de règles et de compétitions, le sport apprend à supporter sereinement réussites et défaites. Enfin, point non négligeable à l’approche de l’adolescence, lorsque le jeune commence à poser un regard critique sur les changements corporels, le sport le rend plus beau et lui permet, parce qu’il a fait alliance d’effort et de plaisir avec son corps, de mieux supporter la venue de la puberté. Tout cela, enfants et parents le savent d’instinct. Entre 6 et 14 ans, les trois-quarts des enfants ont une pratique sportive en dehors des heures scolaires, voire deux, et plus de la moitié d’entre eux adhère à un club. Si les filles se tournent plus volontiers vers la danse, l’équitation, la gymnastique et le basket-ball, les garçons investissent plus massivement le football, le rugby et les sports de combat. À égalité, ils aiment la natation, l’athlétisme ou les sports de glace*. Pourtant, il ne faut pas oublier de noter aussi que :
• Au fil des années, notamment à l’adolescence, la pratique sportive des enfants diminue. • Les filles pratiquent plutôt moins que les garçons et abandonnent plus facilement. • La pratique sportive hors scolarité doit se frayer un passage entre le temps des devoirs, de la télévision, des jeux vidéos, des autres loisirs… ce qui lui laisse parfois peu d’espace pour se déployer.
Alors comment encourager les enfants réticents à bouger ? Tout dépend de la raison qu’il donne. Le but de cet ouvrage est justement d’aider les parents, convaincus du bien fondé d’une activité physique, à entraîner leur enfant dans une pratique régulière.
* Les pratiques sportives en France, ministère des Sports et Institut National du Sport et de l’Éducation physique, 2000.
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Avec Kellogg’s propose une activité ludique et facile pour faire bouger les enfants ! Aujourd’hui, plus d’un enfant sur 3 âgé de 8 à 12 ans ne pratique aucun sport.* Kellogg’s, dont la mission est de contribuer à une meilleure santé en proposant des produits de grande qualité, s’attache à la promotion des modes de vie sains fondés sur une alimentation équilibrée et une activité physique régulière. Dans ce cadre, Kellogg’s aide les parents à motiver leurs enfants à bouger en créant un jeu spécialement conçu pour eux : Oofball ! Oofball : un bon mélange de sport et de fun Inspiré du football, un des sports préférés des enfants, Oofball favorise l’activité physique : on court, on se fait des passes, on saute... et en plus on s’amuse. Plus question de parler de sport sans fun ! Grâce à Oofball, faire du sport n’est plus une contrainte ! Les règles aussi surprenantes que drôles motivent les enfants à bouger en alliant plaisir et dépense physique. Oofball : une activité accessible à tous Les règles du Oofball ont été spécialement conçues pour que tout le monde puisse y jouer : petits, grands, garçons, filles, amateurs de sport ou non... Chacun, quelles que soient ses capacités physiques ou ses connaissances techniques, pourra s’adonner au Oofball ! Une partie de Oofball, c’est simple ! Oofball se joue à tout moment et partout : à la maison, dans la cour de récré, comme dans un parc ou sur un terrain de jeu...
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Grégory Coupet : un vrai talent pour motiver les enfants à pratiquer une activité physique. Kellogg’s a choisi de s’allier de nouveau à Grégory Coupet, gardien de but de l’Olympique Lyonnais et 5e sportif préféré des enfants (7-14 ans)**, pour inciter ces derniers à pratiquer une activité physique. De plus, Grégory incarne les valeurs très positives du sport (fair-play, persévérance, compétition, dépassement de soi...). Son image complice et accessible permet aux enfants de s’identifier à ce sportif de très haut niveau : une raison de plus pour les motiver à pratiquer une activité physique. Oofball : déjà un succès ! Grâce à Oofball et Grégory Coupet, Kellogg’s a déjà fait bouger plus de 400 000 *** enfants en 2006 ! Plébiscité par les enfants, Oofball est devenu un vrai phénomène également auprès des mamans : certaines ont même recherché et échangé des Oofball sur des forums et sites internet. En mai 2008, Kellogg’s relance Oofball pour faire bouger encore plus d’enfants.
*Source conso Junior 2006 | **Ipsos Fev 06 | *** TNS Worldpanel, foyers avec enfants de 6-10 ans acheteurs des produits Oofball sur la période P5-P6-P7 2006 ; Carré Latin, post-test Oofball quantitatif en fin de screening de concepts, garçons et filles de 6-10 ans, septembre 2006
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Avec Kellogg’s propose une activité ludique et facile pour faire bouger les enfants ! Aujourd’hui, plus d’un enfant sur 3 âgé de 8 à 12 ans ne pratique aucun sport.* Kellogg’s, dont la mission est de contribuer à une meilleure santé en proposant des produits de grande qualité, s’attache à la promotion des modes de vie sains fondés sur une alimentation équilibrée et une activité physique régulière. Dans ce cadre, Kellogg’s aide les parents à motiver leurs enfants à bouger en créant un jeu spécialement conçu pour eux : Oofball ! Oofball : un bon mélange de sport et de fun Inspiré du football, un des sports préférés des enfants, Oofball favorise l’activité physique : on court, on se fait des passes, on saute... et en plus on s’amuse. Plus question de parler de sport sans fun ! Grâce à Oofball, faire du sport n’est plus une contrainte ! Les règles aussi surprenantes que drôles motivent les enfants à bouger en alliant plaisir et dépense physique. Oofball : une activité accessible à tous Les règles du Oofball ont été spécialement conçues pour que tout le monde puisse y jouer : petits, grands, garçons, filles, amateurs de sport ou non... Chacun, quelles que soient ses capacités physiques ou ses connaissances techniques, pourra s’adonner au Oofball ! Une partie de Oofball, c’est simple ! Oofball se joue à tout moment et partout : à la maison, dans la cour de récré, comme dans un parc ou sur un terrain de jeu...
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Grégory Coupet : un vrai talent pour motiver les enfants à pratiquer une activité physique. Kellogg’s a choisi de s’allier de nouveau à Grégory Coupet, gardien de but de l’Olympique Lyonnais et 5e sportif préféré des enfants (7-14 ans)**, pour inciter ces derniers à pratiquer une activité physique. De plus, Grégory incarne les valeurs très positives du sport (fair-play, persévérance, compétition, dépassement de soi...). Son image complice et accessible permet aux enfants de s’identifier à ce sportif de très haut niveau : une raison de plus pour les motiver à pratiquer une activité physique. Oofball : déjà un succès ! Grâce à Oofball et Grégory Coupet, Kellogg’s a déjà fait bouger plus de 400 000 *** enfants en 2006 ! Plébiscité par les enfants, Oofball est devenu un vrai phénomène également auprès des mamans : certaines ont même recherché et échangé des Oofball sur des forums et sites internet. En mai 2008, Kellogg’s relance Oofball pour faire bouger encore plus d’enfants.
*Source conso Junior 2006 | **Ipsos Fev 06 | *** TNS Worldpanel, foyers avec enfants de 6-10 ans acheteurs des produits Oofball sur la période P5-P6-P7 2006 ; Carré Latin, post-test Oofball quantitatif en fin de screening de concepts, garçons et filles de 6-10 ans, septembre 2006
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• En 2006, vous avez été le porte parole de Oofball et vous renouvelez l’expérience aujourd’hui. Pouvez-vous nous raconter ce qui vous plait dans Oofball ? Quels sont les plus du Oofball pour les enfants ? C’est un jeu génial, les enfants se dépensent et s’éclatent. En plus, comme dans les sports collectifs, ils apprennent aussi à jouer en équipe, à respecter des règles... Le fait que la balle soit petite permet de développer ses réflexes visuels. Et comme elle est légère et en tissu, on ne risque pas de se faire mal ou de casser une vitre ! En plus, Oofball est accessible à tous : pour gagner, pas besoin d’être fort en sport, il faut être vif et malin ! Mais j’apprécie Oofball avant tout parce qu’il est inspiré du foot : ma passion ! Et on y joue à la main et au pied, comme un gardien de but de foot !
• Avez-vous une astuce à proposer aux mamans qui vous lisent pour encourager leurs enfants à pratiquer un sport ? Pourquoi ne pas pratiquer un sport avec ses enfants ? Faire une activité physique en famille est très sympa. Pour que mes enfants fassent du sport, je fais également en sorte de les inscrire dans les mêmes clubs de sport que leurs copains. C’est toujours plus agréable, plus motivant et plus fun de faire du sport avec ses amis ! • Qu’est-ce que l’activité physique vous apporte ? Tout simplement du bien-être aussi bien dans mon corps que dans mon esprit.
* TNS Worldpanel, foyers avec enfants de 6-10 ans acheteurs des produits Oofball sur la période P5-P6-P7 2006 ; Carré Latin, post-test Oofball quantitatif en fin de screening de concepts, garçons et filles de 6-10 ans, septembre 2006
© Stéphane izard
• 400 000 enfants* ont eu entre les mains les balles Oofball, comment expliquez-vous cet engouement ? Dès le début en 2006, j’y ai cru car c’est un jeu complètement nouveau et super fun, tout ce qu’il faut pour plaire aux enfants ! Les règles changent à chaque but et fait très important : tout le monde peut y jouer, petit, grand, fille, garçon... En plus, on peut faire le malin en classe en ayant appris à reconnaître sur les balles les différents drapeaux des nations !
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• En 2006, vous avez été le porte parole de Oofball et vous renouvelez l’expérience aujourd’hui. Pouvez-vous nous raconter ce qui vous plait dans Oofball ? Quels sont les plus du Oofball pour les enfants ? C’est un jeu génial, les enfants se dépensent et s’éclatent. En plus, comme dans les sports collectifs, ils apprennent aussi à jouer en équipe, à respecter des règles... Le fait que la balle soit petite permet de développer ses réflexes visuels. Et comme elle est légère et en tissu, on ne risque pas de se faire mal ou de casser une vitre ! En plus, Oofball est accessible à tous : pour gagner, pas besoin d’être fort en sport, il faut être vif et malin ! Mais j’apprécie Oofball avant tout parce qu’il est inspiré du foot : ma passion ! Et on y joue à la main et au pied, comme un gardien de but de foot !
• Avez-vous une astuce à proposer aux mamans qui vous lisent pour encourager leurs enfants à pratiquer un sport ? Pourquoi ne pas pratiquer un sport avec ses enfants ? Faire une activité physique en famille est très sympa. Pour que mes enfants fassent du sport, je fais également en sorte de les inscrire dans les mêmes clubs de sport que leurs copains. C’est toujours plus agréable, plus motivant et plus fun de faire du sport avec ses amis ! • Qu’est-ce que l’activité physique vous apporte ? Tout simplement du bien-être aussi bien dans mon corps que dans mon esprit.
* TNS Worldpanel, foyers avec enfants de 6-10 ans acheteurs des produits Oofball sur la période P5-P6-P7 2006 ; Carré Latin, post-test Oofball quantitatif en fin de screening de concepts, garçons et filles de 6-10 ans, septembre 2006
© Stéphane izard
• 400 000 enfants* ont eu entre les mains les balles Oofball, comment expliquez-vous cet engouement ? Dès le début en 2006, j’y ai cru car c’est un jeu complètement nouveau et super fun, tout ce qu’il faut pour plaire aux enfants ! Les règles changent à chaque but et fait très important : tout le monde peut y jouer, petit, grand, fille, garçon... En plus, on peut faire le malin en classe en ayant appris à reconnaître sur les balles les différents drapeaux des nations !
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se joue avec des petites balles aux couleurs de 9 pays européens engagés dans l’Euro 2008 et un Oofball collector.
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Votre enfant a trop de travail scolaire
La pratique sportive des enfants diminue avec les années. Lorsqu’on demande aux garçons et aux filles, dans les années « collège », pourquoi ils ne font pas de sport, ils disent en premier lieu : « Je n’ai pas le temps, j’ai trop de devoirs ». Il est vrai que les enfants français ont souvent, une fois leur journée de cours terminée, encore bien des tâches scolaires à faire à la maison. Mais cette raison est souvent celle donnée aux parents, car c’est celle qu’ils peuvent entendre...
Des bases connues, Comme au football, il faut faire des passes et marquer.
Pour un jeu accessible à tous, Les enfants peuvent jouer comme ils le souhaitent : au pied ou à la main. Pour jouer au Oofball, pas besoin d’être grand, fort et très sportif. Oofball est vraiment accessible à tous, quels que soient l’âge et les capacités physiques.
Complètement « délirant », Sur chacune des 10 balles de Oofball est inscrite une règle complètement « délirante ». Il faut la respecter sinon la balle va à l’adversaire. Quelques exemples : • Rugis avant de passer, • Passe en arrière, • Tourne sur toi-même avant de passer la balle Et pour les chanceux, il existe un Oofball collector super rare qui permet de marquer 3 points ! Et 6 autres règles toutes aussi drôles.
et qui change tout le temps. À chaque but, on change de Oofball et donc de règle. Le match est relancé ! Tout le monde a sa chance. Avec Oofball, c’est impossible de savoir qui va gagner !
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• Essayez de savoir si cette raison est bien la bonne. Elle est convaincante : quel parent arracherait son enfant à ses devoirs pour aller jouer au ballon avec ses copains ? Il se peut que la vraie raison soit autre : il a peu de temps libre et préfère le consacrer à autre chose. • Simplifiez la pratique sportive de votre enfant. Dès le début de l’année, inscrivez-le de préférence dans un club tout près de la maison ou au collège lui-même, ou encouragez-le à jouer régulièrement en plein air. • Expliquez à votre enfant que le bien-être de la personne demande un équilibre entre effort mental et effort physique. Bouger détend et permet finalement de mieux travailler. • Choisissez un sport qui soit d’abord un plaisir et un loisir. L’enfant pris par un gros travail scolaire a rarement envie de nouvelles obligations et de compétitions tôt le dimanche... • C’est bouger qui est important, pas forcément de faire un sport au sens strict. Aller courir dans
le parc à côté, sauter à la corde, faire du skate sur l’esplanade avec ses copains, danser une heure sur un air de salsa, aller faire une ballade en vélo... Cela marche aussi bien ! • Votre enfant a peut-être besoin que vous vous investissiez davantage dans le suivi du sport choisi. C’est le moment de l’accompagner à ses entraînements, de le soutenir et de montrer votre intérêt. • Si vous ne valorisez que la réussite scolaire, pas étonnant que le sport soit laissé de côté. Montrez que votre fierté est aussi importante s’il améliore son temps au mille mètres que s’il ramène un 15 en math...
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se joue avec des petites balles aux couleurs de 9 pays européens engagés dans l’Euro 2008 et un Oofball collector.
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Votre enfant a trop de travail scolaire
La pratique sportive des enfants diminue avec les années. Lorsqu’on demande aux garçons et aux filles, dans les années « collège », pourquoi ils ne font pas de sport, ils disent en premier lieu : « Je n’ai pas le temps, j’ai trop de devoirs ». Il est vrai que les enfants français ont souvent, une fois leur journée de cours terminée, encore bien des tâches scolaires à faire à la maison. Mais cette raison est souvent celle donnée aux parents, car c’est celle qu’ils peuvent entendre...
Des bases connues, Comme au football, il faut faire des passes et marquer.
Pour un jeu accessible à tous, Les enfants peuvent jouer comme ils le souhaitent : au pied ou à la main. Pour jouer au Oofball, pas besoin d’être grand, fort et très sportif. Oofball est vraiment accessible à tous, quels que soient l’âge et les capacités physiques.
Complètement « délirant », Sur chacune des 10 balles de Oofball est inscrite une règle complètement « délirante ». Il faut la respecter sinon la balle va à l’adversaire. Quelques exemples : • Rugis avant de passer, • Passe en arrière, • Tourne sur toi-même avant de passer la balle Et pour les chanceux, il existe un Oofball collector super rare qui permet de marquer 3 points ! Et 6 autres règles toutes aussi drôles.
et qui change tout le temps. À chaque but, on change de Oofball et donc de règle. Le match est relancé ! Tout le monde a sa chance. Avec Oofball, c’est impossible de savoir qui va gagner !
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• Essayez de savoir si cette raison est bien la bonne. Elle est convaincante : quel parent arracherait son enfant à ses devoirs pour aller jouer au ballon avec ses copains ? Il se peut que la vraie raison soit autre : il a peu de temps libre et préfère le consacrer à autre chose. • Simplifiez la pratique sportive de votre enfant. Dès le début de l’année, inscrivez-le de préférence dans un club tout près de la maison ou au collège lui-même, ou encouragez-le à jouer régulièrement en plein air. • Expliquez à votre enfant que le bien-être de la personne demande un équilibre entre effort mental et effort physique. Bouger détend et permet finalement de mieux travailler. • Choisissez un sport qui soit d’abord un plaisir et un loisir. L’enfant pris par un gros travail scolaire a rarement envie de nouvelles obligations et de compétitions tôt le dimanche... • C’est bouger qui est important, pas forcément de faire un sport au sens strict. Aller courir dans
le parc à côté, sauter à la corde, faire du skate sur l’esplanade avec ses copains, danser une heure sur un air de salsa, aller faire une ballade en vélo... Cela marche aussi bien ! • Votre enfant a peut-être besoin que vous vous investissiez davantage dans le suivi du sport choisi. C’est le moment de l’accompagner à ses entraînements, de le soutenir et de montrer votre intérêt. • Si vous ne valorisez que la réussite scolaire, pas étonnant que le sport soit laissé de côté. Montrez que votre fierté est aussi importante s’il améliore son temps au mille mètres que s’il ramène un 15 en math...
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Votre enfant commence des sports, mais ne persiste jamais
S’entraîner pour progresser demande des efforts suivis et peut se révéler frustrant. Mais votre enfant, lui, se lasse vite. Enthousiaste pour un nouveau sport à chaque mois de septembre, il s’en détourne et veut abandonner quelques temps plus tard. Les moments de pratique virent au conflit. Vous ne savez plus si vous devez insister ou lâcher prise.
• D’abord, on discute : il s’agit de comprendre ce qui se passe. Excès de fatigue ? L’hiver venant, le stress et la lassitude peuvent remplacer la joie de pratiquer. Problème avec l’enseignant ? Si l’enfant l’aime, le trouve chaleureux et enthousiaste, il aura plus tendance à s’engager durablement que s’il est face à un enseignant avec qui « ça ne passe pas ». C’est le sport qui lui déplaît ? Finalement, il préfère le tennis de table au volley ? Souvent quelques cours à l’essai avant de s’engager permettent d’éviter ce problème en cours d’année.
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• Ensuite on encourage et on temporise. S’il s’agit de fatigue, on peut, pendant un mois, ralentir ou suspendre l’activité. L’enfant a besoin d’un temps quotidien pour se détendre, rêver, s’ennuyer, bricoler... Si l’équilibre n’est pas respecté entre le temps « organisé », d’apprentissage, et le temps libre, l’enfant aura du mal à tenir le rythme. • On lui demande un effort. Une fois engagé, on n’abandonne pas sur un coup de tête à la première difficulté. Soutenez votre enfant et rappelez-lui l’engagement pris. Aidez-le à avoir de la suite dans les idées, à tenir un projet. Dans une société qui met en avant la réussite facile et rapide, il n’est pas commode de faire admettre aux enfants qu’on ne devient pas ceinture noire en une saison... • Enfin, on prend une décision. Apprendre ne se fait pas au prix de larmes et de conflits permanents. Tout est question d’appréciation. Si le sport n’apporte plus de plaisir, a-t-il encore sa raison d’être ?
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Votre enfant ne quitte pas son écran
Les écrans, qu’ils soient de télévision, d’ordinateur ou de console de jeux, occupent de plus en plus les enfants. L’enfant qui est devant son émission favorite n’a aucune envie de l’abandonner pour partir à la piscine. Celui qui joue en réseau avec ses copains ou qui bavarde par Internet interposé est pris dans un lien qu’il ne veut pas rompre.
• La télévision, c’est formidable, mais en quantité contrôlée. À vous, parents, de sélectionner les émissions que votre enfant peut regarder et de décider combien de temps il peut y passer. Posez des règles claires, puis éteignez le poste quand le temps est écoulé. Appliquez ces mêmes règles aux jeux vidéos ou à l’ordinateur. • Vous pouvez considérer que le temps passé devant un écran vient après le reste (devoirs scolaires, pratique sportive, entraînement musical, etc.) et non avant : on s’y met lorsqu’on a fini. Vous pouvez aussi instituer la télévision et les jeux sur écran comme une récompense, plutôt que comme un dû. • Si votre enfant est passionné de jeux vidéo, achetez-lui des jeux de simulation sportive. Le but est de l’inciter ensuite à passer à l’acte...
• Si votre enfant est un passionné de télévision, il regarde certainement les exploits de certains sportifs et les retransmissions événementielles. Jouez sur son admiration. N’aurait-il pas envie de marcher sur les traces de Jo-Wilfried Tsonga ou de Laure Manaudou ? • Profitez également du temps qu’il passe devant la télévision pour lui montrer des films dont les héros sont des sportifs, des émissions valorisant l’activité, l’effort et le dépassement de soi : ainsi naissent les grandes vocations...
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