programme avril–juillet 2014
· HORAIRES
· ADRESSE
ACCUEIL ET EXPOSITIONS
92, rue Bonaparte 75006 Paris GPS : N 48.849125 E 2.332606 Metro : Saint -Sulpice ; Mabillon Bus :
mardi – samedi : 9h - 19h30 fermés le 1er mai Téléphone : +33 1 43 26 06 44 accueil@instituthongrois.fr MÉDIATHÈQUE mardi – vendredi :
· AVERTISSEMENT
10h-13h et 15h - 19h
Nous nous réservons le droit de modifier la
fermés le 1er mai
programmation. Nous publierons ces modifications sur
Téléphone : +33 1 43 26 14 86
notre page web (instituthongrois.fr) et sur notre page
mediatheque@instituthongrois.fr
Facebook : www.facebook.com/ihongrois
· ÉQUIPE
La capacité d’accueil de notre institut étant limitée, nous
Directeur et conseiller culturel
nécessaire.
nous réservons le droit de refuser l’accès aux salles si
Balázs ABLONCZY info@instituthongrois.fr
Le placement est libre, à l’exception de certains événements pour lesquels une réservation est souhaitée
Chargée de programmation artistique
ou obligatoire. Dans ce cas, les places réservées mais
Judit BARANYAI
non réclamées seront redistribuées 10 minutes avant le
j.baranyai@instituthongrois.fr
spectacle.
Responsable du pôle sciences
· CRÉDITS
et enseignement Franciska DEDE f.dede@instituthongrois.fr
Relecture : Anne Veevaert Impression : Les Grandes Imprimeries
Responsable financière
Imprimé en 1000 ex.
Nóra BESSENYEI
Couverture : György Kemény : Autoportrait d'enfance, 1968
n.bessenyei@instituthongrois.fr Assistante de direction Judit FONTANAROSA info@instituthongrois.fr Responsable de la bibliothèque Gábor ORBÁN g.orban@instituthongrois.fr Chargé de projets visuels József KERESZTES-NAGY j.keresztes@instituthongrois.fr Chargé de mission (informatique) János HŐGYÉSZI j.hogyeszi@instituthongrois.fr Accueil Dóra BÖRCSÖK, Júlia SÁNDOR Flóra Lili DONÁTI accueil@instituthongrois.fr
· PARTENAIRES
COURS DE LANGUE L’Institut hongrois propose toute l’année des cours particuliers à plusieurs niveaux. Tarif : 300€ pour 10 cours de 60 minutes, les horaires étant à définir avec les professeurs. Inscription et renseignement : f.dede@instituthongrois.fr
ECL – EXAMEN DE LANGUE HONGROISE En tant que centre d’examen, l’Institut hongrois offre chaque année la possibilité de s’inscrire aux sessions de langue hongroise aux différents niveaux définis par l’ECL (European Consortium for the Certificate of Attainment in Modern Languages). Dates des examens pour le semestre de printemps 2014 : niveaux A2, B1 et C1 le 13 juin et niveau B2 le 14 juin. L’examen comprend, à chaque niveau, un oral et un écrit, chacun constitué de deux parties : écoute-compréhension et conversation pour l’oral, lecture et composition pour l’écrit. Nous invitons les candidats à s’entraîner par des tests d’examen accessibles sur le site internet de l’ECL. Le prix de la participation à l’examen complet est de 80€, l’inscription pour l’oral ou l’écrit seul coûte 48€. Renseignements : www.ecl.hu Inscription jusqu’au jeudi 15 mai : f.dede@instituthongrois.fr
Avril La Shoah et les arts : histoires hongroises | exposition | Institut hongrois
10 avril - 24 mai – p.4 Martin Fejér : Murs de ghetto de Budapest | exposition | Institut hongrois
10 avril - 24 mai – p.6 Leçon de cinéma avec István Szabó | cinéma | cinéma l’Entrepôt
12 avril à 17h40 – p.20 Atelier de danse folklorique avec l’orchestre Merkati | danse | Institut hongrois
18 avril à 17h30 et à 19h – p.13
Mai Soirée dédiée à la mémoire de Rose Meller et Georges Baal | littérature | Institut hongrois
7 mai à 19h – p.16 Concert de Veronika Harcsa et Bálint Gyémánt | musique | Institut hongrois
10 mai à 20h – p.8 Concert du groupe Quimby | musique | Institut hongrois
14 mai à 20h – p.9 Deux générations d’écrivains sur les traces de la Shoah | littérature | Mémorial de la Shoah
15 mai à 19h – p.16 Berceuse | enfants | Institut hongrois
17 mai à 10h30 et à 11h15 – p.19 La Révolte de Job d’Imre Gyöngyössy et Barna Kabay | cinéma | Institut hongrois
17 mai à 20h et à 23h – p.21 La Shoah et les arts : histoires hongroises | visite guidée | Institut hongrois
17 mai à 20h et à 23h – p.4 Un roi de Hongrie à Paris - Chaire tournante | conférence | Institut hongrois
20 mai à 19h30 – p.14 Saisons | théâtre pour enfants | Institut hongrois
21 mai à 16h – p.19 La fin de l’Autriche-Hongrie : une victoire des nationalités ? | colloque 22 mai à 17h – p.14 | Institut hongrois 23 mai à 9h30 – p.14 | Maison de la Recherche Concert d’Ákos | musique | Institut hongrois
23 mai à 20h – p.10 Nuit de la littérature | littérature | Chapitre 20
24 mai de 17h à minuit – p.18
Cycle « Paroles de créateurs » | littérature | Salons d’honneur de l’INALCO
26 mai de 18h – p.18 Rencontre avec Krisztina Tóth chez Tschann | littérature | Librairie Tschann
27 mai de 19h30 – p.18
Juin Être musicien après la Shoah : composer, témoigner ... | musique | Institut hongrois
3 juin à 19h – p.11 Concert de Katalin Szvorák | musique | Institut hongrois 4 juin à 19h – p.13 Les mouvements d’avant-garde dans les années 1920 | exposition | Institut hongrois
5 juin - 12 juillet – p.7 Exils et transferts culturels dans l’Europe moderne | colloque | Institut hongrois
6-7 juin de 9h à 19hh – p.15 Un Grand œuvre caché | littérature | Institut hongrois
11 juin à 19h – p.17 Marché de la Poésie - Rencontre avec Tibor Papp | littérature | Place Saint-Sulpice
12 juin à 17h – p.17 Littérature sur ordinateur - Rencontre avec Tibor Papp | littérature | Institut hongrois
12 juin à 19h – p.17 Récital de piano avec Julien Brocal | musique | Institut hongrois
13 juin à 20h – p.11 Concert de l’orchestre Anima Musicae | musique | Institut hongrois
18 juin à 20h – p.12 Concert de Trio Bujdosó | musique | devant l'Institut hongrois
21 juin à 18h – p.12
Juillet Stream of Love d'Ágnes Sós | cinéma | Institut hongrois
4 juillet à 20h – p.21 Land of Storms d’Ádám Császi | cinéma | Institut hongrois
10 juillet à 20h – p.21
http://ihongrois.fr/fr/programmes
Anna Margit : Des millions pour un, 1977
EXPOSITION
LA SHOAH ET LES ARTS : HISTOIRES HONGROISES (1945–1989)
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10 avril - 24 mai Institut hongrois Entrée libre vernissage : 10 avril à 19h visite guidée : 10 avril à 20h 17 mai à 20h et à 23h
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L’exposition explore la mémoire de l’Holocauste et du génocide des tsiganes, le Porajmos, dans l’art hongrois entre 1945 et 1989, une époque où le premier mot n’était pas encore communément utilisé en Hongrie et où le second n’existait même pas. Les œuvres exposées sont ultérieures à l’Holocauste, elles ne le documentent pas mais portent un regard critique sur ces événements tragiques. Les premières œuvres (1945-1948) respirent l’air relativement libre de l’après-guerre et portent souvent les traces récentes laissées par l’expérience personnelle de l’Holocauste. La majorité des œuvres exposées a été créée après la prise du pouvoir communiste en 1948, dans une période où la politique officielle de la mémoire mettait l’accent sur la « lutte contre le fascisme » et ses « héros » et « martyrs » négligeant volontairement les origines juives ou tsiganes des victimes. Jusqu’au changement de régime en 1989, de nombreux monuments et plaques commémoratives portaient l’empreinte de cette politique de la mémoire en Hongrie. Sans cet éclairage historique, il est difficile de comprendre et d’apprécier les œuvres de l’exposition. Celles-ci démentent le mythe du silence sur l’Holocauste et surtout viennent corriger l’image généralement répandue sur cette époque : elles mettent en évidence la différence fondamentale qui
György Kemény : Autoportrait d'enfance, 1968
sépare la politique officielle de la mémoire et le discours publique, la mémoire personnelle et la mémoire artistique. La sélection réserve une place de choix aux œuvres critiques qui ont osé rompre le silence, ouvrant ainsi le chemin vers un discours artistique sur l’Holocauste. Les artistes ont traité ce thème en fonction de leur intérêt, de leurs expériences, de leurs histoires personnelles mais la portée de leurs œuvres était limitée, surtout comparée à celle des monuments que produisait la politique officielle de la mémoire. Outre ces œuvres d’art, l’exposition propose également des films et des romans considérés comme des œuvres charnières de la mémoire de l’Holocauste. Issues des collections publiques et particulières, ces œuvres, pour la plupart rarement exposées, ont été réunies ici pour la première fois dans le but d’évoquer la mémoire de l’Holocauste entre 1945-1948. Artistes-exposants : Margit Anna, András Böröcz, Endre Bálint, Rezső Berczeller Rudolf, György Kemény, János Major, Miklós Erdély, György Román, Endre Rozsda et Zsuzsa Szenes. Films de Zoltán Fábri, Gyula Gazdag et József Lojkó Lakatos. Commissaire de l’exposition : Daniel Véri, historien de l’art
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Photo : Martin Fejér
MARTIN FEJÉR : MURS DE GHETTO DE BUDAPEST
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10 avril - 24 mai Institut hongrois Entrée libre vernissage : 10 avril à 19h La série de photos poétiques de Martin Fejér immortalise les vestiges du mur du ghetto de Budapest, ces « souvenirs visuels » de la tragédie. Par un décret du ministre de l’Intérieur promulgué en novembre 1944, les juifs de Budapest avaient été assignés à résidence et avaient dû se masser dans un périmètre délimité par les rues Dohány, Nagyatádi Szabó (aujourd’hui Kertész), Király et le boulevard Károly. Le ghetto était entouré de murs qui traversaient les pâtés de maison. Renforcé de crochets en fer et de rangées de fils de fer barbelés, ce rempart était souvent constitué des anciens murs de briques et de pierre qui clôturaient les terrains au 19e siècle. Les photos de Martin Fejér mettent en relief les traces de ce mur de l’exclusion pour adresser une forme d’avertissement à la postérité. Martin Fejér (1965) Né de parents lituanien et hongrois, ayant grandi en Suède et Allemagne de l’Ouest, il s’intéresse très tôt aux pays de l’Europe centrale et orientale et à leurs cultures. Correspondant budapestois de l’Agance photographique « image.de » siégeant à Berlin entre 1997-2008, il construit dès 2003 un réseau photographique de l’Europe centrale et orientale nommé « ostphoto ». Il établit une relation professionnelle directe avec les journaux et hebdomadaires importants allemands et de l’Europe de l’Ouest. Après la fusion avec le « collectif-est » de Paris, il devient l’un des fondateurs et directeur de l« EST&OST », nouvelle agence photographique franco-allemande. Il vit à Budapest et à Berlin. Soucieux du destin du Quartier juif de Budapest, en coopération avec l’Association Óvás, il photographie régulièrement ce quartier menacé. Ces photographies ont fait l’objet de plusieurs expositions. Son travail est caractérisé par une vision critique pimentée d’humour.
Couverture de la revue MA, 1924
LES MOUVEMENTS D’AVANT-GARDE DANS LES ANNÉES 1920
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5 juin - 12 juillet Institut hongrois Entrée libre vernissage : 5 juin à 19h Les relations internationales de Lajos Kassák et de la revue MA Considéré comme l’instigateur de l’avant-garde hongroise, Lajos Kassák (1887-1967) est une figure exceptionnelle de la culture hongroise. Poète, écrivain et peintre, il était également rédacteur en chef de plusieurs revues de premier plan. Après le bref épisode de Tett (Action) (1915-1916), interdite en raison de son antimilitarisme, Kassák lance MA (1916-1925), sa revue peut-être la plus connue. Émigré à Vienne en 1920, il réinvente son journal avec l’aide de ses nouveaux collaborateurs, László Moholy-Nagy et Ernő Kállai. À son retour en Hongrie, il dirige Dokumentum (1926-1927), forum trilingue de l’avant-garde internationale qui disparaît rapidement par manque d’intérêt du public. Entre les deux guerres, Kassák se consacre aux problèmes sociaux des ouvriers : sa revue Munka (Travail) et le cercle du même nom qui réunit de jeunes intellectuels ouvriers deviennent des piliers essentiels de la culture ouvrière en Hongrie. L’exposition met en avant la période viennoise de MA, entre 1920 et 1925, pendant laquelle Kassák a joué un rôle actif dans le développement des échanges internationaux entre mouvements d’avant-garde. Le personnage de Kassák nous sert de fil conducteur pour mieux comprendre les liens, les réseaux particulièrement vivants qui s’étaient tissés entre les différentes revues de l’époque. Documents originaux, photos et planches explicatives à l’appui, l’exposition témoigne de l’importance primordiale des revues de l’avant-garde pour la diffusion des nouvelles tendances artistiques dans l’Europe des années 1920. Commissaire de l’exposition : Edit Sasvári, directrice du Musée Kassák de Budapest.
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photo : Balázs Glódi
musique
CONCERT DE VERONIKA HARCSA ET BÁLINT GYÉMÁNT
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10 mai à 20h Institut hongrois Entrée : 5/3€ avec réception La chanteuse Veronika Harcsa et le guitariste Bálint Gyémánt ont étudié ensemble à l’Université de musique Ferenc Liszt de Budapest. La poursuite de leur cursus respectif les a ensuite conduits l’un à Oslo, l’autre à Bruxelles, mais la distance n’a en rien diminué l’intensité de leur collaboration qui a été couronnée à cinq reprises par le prix Fonogram (prix des maisons de disque hongroises) et par cinq albums. A l’Institut hongrois de Paris, ils présenteront leur premier album duo Lifelover publié chez Traumton Records (Berlin) l’année dernière. Veronika Harcsa Diplômée du département de jazz de l’Université de musique Ferenc Liszt (2008), Veronika Harcsa a fondé son propre groupe de jazz en 2005. Leur premier disque, Speak Low (2007), publié par le label japonais Nature Bliss, a été propulsé en tête des ventes chez Tower Records, la plus grande chaine de disquaires nipponne. Le deuxième album (2008), You Don’t Know It’s You, qui inclut des compositions signées par la chanteuse, s’est également retrouvé en tête de liste au Japon et en Hongrie. Il a été récompensé par le Prix Fonogram du meilleur album de jazz en Hongrie (2009). Parallèlement à son quartet, elle travaille avec la formation de musique électronique Bin-Jip depuis 2010. Bálint Gyémánt Né en 1983 à Budapest, le guitariste Bálint Gyémánt est sorti diplômé du département de jazz de l’Académie de musique Ferenc Liszt de Budapest en 2008. En 2007, il a étudié à l’Académie de musique d’Oslo sous la direction de Hakon Storm et Staffan William Olson. Avant de former un duo avec Veronika Harcsa, il avait déjà travaillé avec la chanteuse au sein de son quartet et de la formation Bin-Jip.
CONCERT DU GROUPE QUIMBY
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14 mai à 20h Petit Bain 7, Port de la Gare 75013 Paris
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www.petitbain.org Entrée : 18/15€
L’un des groupes les plus populaires en Hongrie, Quimby a fêté ses vingt ans en 2011. À cette occasion, il a donné un concert devant une salle comble au Palais Omnisports de Budapest (un exploit qu’aucun autre groupe n’avait jamais réussi avant lui). Quimby est un invité régulier des festivals, ses concerts dans les clubs et les théâtres représentent de véritables événements. Ses disques, sa musique et ses textes ne laissent personne indifférent. Au cours de ses vingt années d’existence, le groupe a publié dix albums dont deux (Ékszerelmére, Kilégzés) ont été élus « album de l’année ». Ses disques sont comme de faux jumeaux : les parents sont les mêmes mais les rejetons ne se ressemblent que partiellement. Le groupe s’aventure volontiers aux frontières d’autres disciplines artistiques : ses compositions figurent sur la BO de plusieurs films hongrois et il signe la musique de deux représentations théâtrales (Comme il vous plaira et La Nuit des rois de William Shakespeare). Il se produit régulièrement en compagnie de poètes contemporains tandis que l’aventure théâtrale se prolonge dans ses concerts « Teátrum ». Tibor Kiss, chant, guitare Livius Varga, chant, percussions Szilárd Balanyi, claviers, percussions, chœurs József Kárpáti, trompette, claviers, chœurs Ferenc Mikuli, basse Ferenc Gerdesits, batterie, mandoline
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CONCERT D’ÁKOS
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23 mai à 20h Institut hongrois Entrée : 10€ Ancien chanteur du groupe culte Bonanza Banzai, Ákos a sorti son premier album solo en 1993. Une vingtaine ont suivi, dont la plupart sont devenus des disques d’or ou de platine, vendus au total à près d’un million d’exemplaires. Le chanteur-compositeur, lauréat du prestigieux prix Kossuth, fête ses vingt ans de carrière en solo en interprétant les titres de son premier album individuel Karcolatok. Ákos sera accompagné par Krisztián Szakos, Gábor Lepés (synthétiseurs), Zalán Kékkői (guitare), Sándor Bánfalvi (percussions) et Tibor Samu Fekete (basse).
ÊTRE MUSICIEN APRÈS LA SHOAH : COMPOSER, TÉMOIGNER, S’ENGAGER
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3 juin à 19h Institut hongrois Entrée libre Jean-Sébastien Noël, chercheur à l’Université de Nancy, fin connaisseur des musiques de l’Europe Centrale et Raoul Jehl, professeur de piano, impliqué dans de nombreuses expériences musicales, présenteront un ensemble de pièces qui témoignent de la manière dont les compositeurs ont pu écrire de la musique après le traumatisme de la Shoah. Le concert se déroulera en deux parties dont la première sera intégrée à la conférence. La partie musicale présentera des œuvres de Ligeti, Kurtag, Stefan Litwin, Luigi Nono et Morton Feldman.
RÉCITAL PIANO AVEC JULIEN BROCAL
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13 juin à 20h Institut hongrois Entrée : 22/18€ avec réception Après ses études au Conservatoire National de Région de Marseille auprès d’Eric Berchot, Julien Brocal poursuit sa formation à l’Ecole Normale de Musique Alfred Cortot dans la classe de Rena Shereshevskaya. Il décroche le Diplôme Supérieure de Concertiste à l’unanimité. Durant sa formation, il bénéficie de conseils d’Aldo Ciccolini, Brigitte Engerer, François-René Duchâble, Anne Queffélec, Bruno Rigutto… Il se produit dès son plus jeune âge en France et à l’étranger et participe à plusieurs festivals, dont le Festival Chopin de Bagatelle, Piano Folies au Touquet, ainsi qu’à la Croisière Musicale Reine Elisabeth. En 2012, il est demifinaliste du 9e Concours International Horowitz à Kiev. Depuis janvier 2013, il se perfectionne auprès de Maria João Pires à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth qui l’a invité suite à une master-class à la Fondation Royaumont. En janvier 2014, il a joué en direct sur France Musique dans l’émission Génération jeunes interprètes de Gaëlle Le Gallic. Son premier CD, consacré au Concerto N°1 de Chopin dans une version piano et quintette, enregistré en live salle Cortot, a rencontré un vif succès auprès d’un public mélomane et enthousiaste. Au programme : œuvres de Chopin, Beethoven et Liszt En collaboration avec l’Association ARTHEMES
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CONCERT DE L’ORCHESTRE ANIMA MUSICAE
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18 juin à 20h Institut hongrois Entrée : 3€ avec réception L’orchestre de musique de chambre Anima Musicae a été fondé par le violoniste László G. Horváth, en 2010. Il est composé d’anciens et d’actuels étudiants à l’Université de musique Ferenc Liszt de Budapest. Titulaire d’un premier prix décerné par le festival international de musique de la jeunesse Summa Cum Laude de Vienne, lauréat du prix Junior Prima de Budapest, l’orchestre a participé à de nombreux festivals, parmi les plus prestigieux (festival de printemps de Budapest, festival Kodály de Kecskemét, festival Ars Sacra). Au programme : Dohnányi : Sérénade, 1er, 2ème et 3ème mouvements Bartók : Danses populaires roumaines J. Suk : Sérénade, 1er mouvement Vivaldi : Sinfonia Tchaïkovski : Sérénade pour cordes, 1er mouvement Mozart : Divertimento en mi bémol majeur Bartók : Divertimento, 3ème mouvement
CONCERT DE TRIO BUJDOSÓ
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21 juin à 18h devant l'Institut hongrois Entrée libre Ambiances méditerranéennes, rythmes du Proche-Orient, rumba rêveuse, explosions dramatiques… La musique instrumentale du Trio Bujdosó est difficile à ranger dans un style musical précis. Elle appartient à la fois à l’univers de la musique de film et aux tendances de l’avant-garde new-yorkaise (John Zorn, Marc Ribot). Riches de l’expérience accumulée au cours de leurs collaborations avec les meilleurs groupes alternatifs, de jazz et musique du monde du pays (Kistehén, Egy Kiss Erzsi Zene, Kampec Dolores, Specko Jedno, Pop Ivan), János Bujdosó (guitares, mandoline), Árpád Vajdovich (contrebasse) et Csaba Németh (percussions) ont créé en 2011 un trio qui a immédiatement remporté un succès fulgurant dans les clubs de Budapest.
Commémoration
CONCERT DE KATALIN SZVORÁK
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4 juin à 19h Section consulaire de l’Ambassade de Hongrie
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7, square Vergennes 75015 Paris Entrée libre
Le concert propose un voyage à la croisée des musiques ancienne, religieuse et populaire du bassin des Carpates. Hymnes et psaumes aux motifs traditionnels, mélodies sacrées devenues des chansons profanes, les variations transgressent les genres, elles nous guident au cœur de l’héritage musical hongrois. Lauréate des prix Liszt, Kodály, Bartók et Kossuth, Katalin Szvorák, en 35 ans de carrière, a donné plus de trois mille concerts dans 39 pays et a publié une trentaine de disques.
ATELIER DE DANSE FOLKLORIQUE AVEC L’ORCHESTRE MERKATI 18 avril à 17h30 – 18h30 Atelier pour enfants 18 avril à 19h00 – 23h00 Atelier pour adultes
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Institut hongrois Entrée : 7/5€
Spécialisé dans la musique traditionnelle hongroise, l’orchestre Merkati accorde beaucoup d’importance à la préservation des mélodies anciennes ainsi qu’à l’authenticité de leur interprétation. Ses musiciens parcourent régulièrement des villages hongrois pour collecter des chansons et recevoir les enseignements des musiciens locaux. Les anciens ateliers de danse de Merkati, ont connu un franc succès auprès de notre public. Ils lui offraient une image nuancée de la culture populaire hongroise, débarrassée des stéréotypes. Nous espérons que leur retour fera plaisir aux habitués de longue date et attirera de nouveaux amateurs. En 2011, l’UNESCO a inscrit la méthode Táncház (maison de danse) au patrimoine culturel immatériel de l’Humanité. Chant : Katalin Gyenis, Isabelle Caussanel ; danse : Julia Eredics et György Bohus ; Musiciens : István Adorján, Géza Pénzes, Zoltán Porteleki, András Vavrinecz
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colloque conférence
UN ROI DE HONGRIE À PARIS CHAIRE TOURNANTE
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20 mai à 19h30 Institut hongrois Entrée libre Sigismond de Luxembourg, roi de Hongrie et empereur, était un chef d’État et un diplomate ambitieux de la fin du Moyen Age. Vers le milieu des années 1410, il entreprend un parcours à travers l’Europe, réunit un concile, intervient dans la Guerre de Cent Ans et dans la guerre civile française qui oppose Armagnacs et Bourguignons. Il voyageait avec peu de moyens mais ses projets étaient audacieux. La description de la vision politique et des méthodes novatrices du roi de Hongrie serviront de fondement à l’analyse de la scandaleuse visite diplomatique qu’il a effectuée à Paris en 1416 : le déroulement du voyage royal, les réactions de l’entourage hongrois du roi et les cérémonies a qui ont fait tant de bruit. Intervenante : Veronika Novák, maître de conférences (Université d’ELTE de Budapest) Soirée animée par Boris Bove, maître de conférences (Université Paris 8)
LA FIN DE L’AUTRICHE-HONGRIE : UNE VICTOIRE DES NATIONALITÉS ?
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· · 28, rue Serpente, 75006 Paris
22 mai à 17h Institut hongrois Entrée libre 23 mai à 9h30 Maison de la Recherche
· Entrée libre
Durant la Première Guerre mondiale, la question nationale prend dans l’empire des Habsbourg une dimension nouvelle. Longtemps considérée comme un facteur d’équilibre en Europe, la monarchie des Habsbourg était jusque-là considérée comme un élément nécessaire, dont la préservation allait dans l’intérêt des puissances. Progressivement, les décideurs de l’Entente finissent
photo : fortepan.hu
par envisager un possible démantèlement de la monarchie en plusieurs entités nationales, nouvelles pour certaines. Parallèlement la guerre se prolonge et la situation de l’Empire – économique surtout – s’aggrave, bien que le front tienne toujours. L’effondrement de la monarchie des Habsbourg et son remplacement par des États successeurs a été représenté dans la plupart d’entre eux comme un triomphe des nationalités sur un Empire obsolète, oppresseur et catholique qui ne correspondait plus au Zeitgeist. Or la victoire des nations se révèle bien plus complexe que sa présentation par la propagande (par-delà l’entre-deux-guerres et l’après 1945, tous régimes confondus). Le colloque a pour but de faire le point sur la question nationale à la veille, durant et à la fin de la guerre. Peut-on parler en effet d’une « victoire des nations » et d’une « défaite de l’idée supranationale » ? Les projets fédéralistes qui naissent dans l’entre-deux-guerres ne sont-ils pas révélateurs de la nécessité pour certains de revenir à une communauté de destins ? Les traces de la « victoire » chez certains et de la « défaite » chez d’autres sont encore durables et ont imprégné le discours depuis lors. Les participants réfléchiront également sur cette empreinte, tant dans l’historiographie que dans la mémoire collective. Coordinatrice : Catherine Horel (CNRS) Avec la participation (parmi d’autres) : Franjo Šanjek, Jean-Paul Bled, Armando Pitassio, Ignác Romsics, Ulrike Harmat, Antoine Mares, Tomasz Schramm, Traian Sandu, Edi Miloš, Dubravka Stojanović, Božo Repe, Étienne Boisserie.
EXILS ET TRANSFERTS CULTURELS DANS L’EUROPE MODERNE
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6-7 juin de 9h à 19h Institut hongrois Entrée libre Colloque international organisé par le CIEH-CIEFi de la Sorbonne Nouvelle en collaboration avec le groupe de recherche CODHIL d’ELTE de Budapest, le CERC de la Sorbonne Nouvelle et l’Institut hongrois de Paris. Le colloque se propose d’envisager l’exil dans une perspective particulière, celle de ses rapports avec les transferts culturels où il sera traité comme un ressort important des échanges interet transculturels.
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littérature SOIRÉE DÉDIÉE À LA MÉMOIRE DE ROSE MELLER ET DE GEORGES BAAL
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7 mai à 19h Institut hongrois Entrée libre Mercredi des bouquins : dans le cadre habituel de son rendez-vous littéraire mensuel, l’Institut hongrois dédie sa soirée à la mémoire de Rose Meller (19021960), romancière et auteur dramatique de renom avant et après-guerre et de son fils, Georges Baal (1938-2013) psychanalyste, metteur en scène, acteur, théâtrothérapeute, professeur d’université et directeur de recherche au CNRS. Intervenants : György Tverdota, professeur d’université ; Gérard Nauret, psychologue et ancien comédien ; Marc Roger, comédien. Soirée animée par Zsuzsa Fejér, metteur en scène.
DEUX GÉNÉRATIONS D’ÉCRIVAINS SUR LES TRACES DE LA SHOAH
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15 mai à 19h Mémorial de la Shoah 17, rue Geoffroy-l’Asnier
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75004 Paris www.memorialdelashoah.org Entrée libre sur réservation
Dans le cadre de la commémoration de la déportation des Juifs de Hongrie (1944-2014) Fils et petit-fils de survivants de la Shoah en Hongrie, Gábor Schein vient de publier Lazare ! (traduit du hongrois par Clara Royer, éd. Petra, 2013), inspiré de sa propre histoire familiale. Dans son premier roman, Tous ceux qu’elle aimait (traduit de l’hébreu par Laurence Sendrowicz, éd. Fayard, 2013), Edna Noy, fille unique d’un couple de rescapés hongrois, retrace l’impossible reconstruction des survivants de la Shoah. Suivie d’une lecture La Shoah dans la littérature hongroise – de 1944 à nos jours. Depuis les œuvres écrites en pleine période de persécution (Miklós Radnóti, Éva Heymann), à la veille de la prise du pouvoir par les communistes en 1948 (Ernő Szép, Béla Zsolt), dans les années 1970 (Imre Kertész, Mária Ember), jusqu’aux ouvrages réalisés dans les années 1990-2000 par des auteurs n’ayant pas vécu la Shoah (Edna Noy, Gábor Schein, László Márton), ce parcours présente la façon dont les diverses générations d’écrivains ont appréhendé la Shoah. Lecture par Jean-Quentin Châtelain et Agnès Sourdillon, comédiens. Animée par Clara Royer, maître de conférences en Cultures d’Europe centrale, université Paris 4-Sorbonne. Avec le soutien des services culturels de l’ambassade d’Israël en France.
UN GRAND ŒUVRE CACHÉ
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11 juin à 19h Institut hongrois Entrée libre
photo : Kati Vida
Mercredi des bouquins - Danuta Cichocka : Gustave Miklos. Un Grand œuvre caché. Livres, reliures, graphismes. vol. 1. (Fata Libelli, 2013). Gustave Miklos. Peinture, sculpture et arts décoratifs. Analyses et catalogues raisonnés. Vol. 2 (Fata Libelli, à paraître 2014). Sculpteur de la période Art Déco et grande figure de l’avant-garde artistique, Gustave Miklos excellait dans l’art graphique et a conquis une place incontestable dans l’histoire du livre, ainsi que le démontre cette monographie qui présente, pour la première fois, une biographie complète de l’artiste. Intervenantes : Danuta Cichocka, universitaire, libraire-experte et Christiane Garaud-Patkaï, historienne d’art.
LITTÉRATURE SUR ORDINATEUR RENCONTRE AVEC TIBOR PAPP
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12 juin de 17h à 17h15 Marché de la Poésie - Place Saint-Sulpice 12 juin à 19h Institut hongrois Entrée libre
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Si Tibor Papp vit depuis 50 ans à Paris, c’est en hongrois, sa langue maternelle, qu’il a bâti son œuvre particulièrement riche. Mais parmi ses créations, on trouve aussi de nombreuses poésies visuelles en français, ainsi que des poèmes générés par ordinateur. Sa carrière littéraire a été jalonnée par la publication de 25 ouvrages, parmi lesquels des romans, des recueils de poésie visuelle, des essais, etc., ainsi que par un grand nombre de performances littéraires et d’expositions de poésie visuelle. Il est né à Tokaj en 1936 ; il a survécu à une guerre, à une révolution, à la dictature communiste, pendant laquelle tout épanouissement intellectuel lui était interdit. Après 1956, il se réfugie en Occident. En 1962, à Paris, il est l’un des fondateurs du célèbre magazine littéraire et artistique Magyar Műhely (Atelier hongrois), qui a influencé d’une manière significative la vie littéraire hongroise. Il publie son premier livre en 1964. Il programme en 1985 sa première œuvre littéraire sur ordinateur, dont la présentation a lieu la même année au Centre Georges Pompidou. En 1972, il fonde avec Philippe Dome et Paul Nagy la revue et Maison d’édition d’atelier, en 1989, avec Philippe Bootz et Claude Maillard, le premier magazine entièrement consacré à la littérature programmée sur ordinateur : alire.
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KRISZTINA TÓTH À PARIS
photo : László Emmer
A l’occasion de la parution de son roman intitulé Code-barres en français chez Gallimard (2014), la poétesse, écrivaine et traductrice hongroise participe à trois événements littéraires organisés à Paris.
Nuit de la littérature 24 mai de 17h à minuit Chapitre 20
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8 rue Saint-Paul 75004 Paris Entrée libre
La littérature étrangère est mise à l’honneur durant cette soirée pendant laquelle le public est invité à parcourir différents lieux, à la découverte d’écrivains et de leurs œuvres. L’invitée de l’Institut hongrois, Krisztina Tóth attendra le public accompagnée de Guillaume Métayer (chercheur au CNRS et traducteur littéraire) et de Sissi Duparc (comédienne), pour lui faire découvrir son roman publié récemment en français et lui faire partager son univers fictionnel.
Cycle « Paroles de créateurs » 26 mai à 18h Salons d’honneur de l’INALCO
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2, rue de Lille 75007 Paris Entrée libre
Organisée à l’INALCO, dans le cadre du cycle « Paroles de créateurs », par le CERLOM (Centre d’Étude et de Recherche sur les Littératures et les Oralités du Monde), en partenariat avec l’Institut hongrois de Paris, cette rencontre avec Krisztina Tóth est animée par son traducteur, Guillaume Métayer (chercheur au CNRS et traducteur littéraire), en présence de son éditeur Jean Mattern (écrivain et directeur de la collection « Du monde entier » aux éditions Gallimard).
Rencontre avec Krisztina Tóth chez Tschann 27 mai à 19h30 Librairie Tschann
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125 Boulevard du Montparnasse 75006 Paris
· Entrée libre
Rencontre autour du travail de romancier et de traducteur de Krisztina Tóth qui réunit, outre la romancière, Emmanuel Moses, poète, romancier, traducteur et Guillaume Métayer , chercheur au CNRS et traducteur littéraire.
enfants BERCEUSE
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17 mai à 10h30 et à 11h15 Institut hongrois Entrée : 7/10€/ famille (2 adultes + 2-3 enfants) Programme en langue hongroise
La matinée de musique et de chant fondée sur la méthode Kodály s’adresse à des enfants d’âge divers. L’atelier au cours duquel les bébés de quelques mois accompagnés de leurs parents pourront chanter et jouer ensemble sera suivi d’un atelier destiné aux plus âgés (école maternelle) qui proposera des jeux musicaux avec des marionnettes et des instruments de musique adaptés aux enfants. Animatrices : Tímea Hazay et Annamária Hazay
SAISONS – THÉÂTRE POUR ENFANTS
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21 mai à 16h Institut hongrois Entrée : 2€/enfant ; 4€/adulte Au cours de ce spectacle (où les plantes parlent, les grenouillent récitent des poèmes et les enfants peuvent rencontrer le bonhomme de neige), les marionnettes prennent vie sous les yeux du public, grâce à la métamorphose d’objets familiers aux enfants, et sont accompagnées de chants et de comptines qu’ils connaissent bien. Le spectacle de 25 minutes est suivi d’un atelier d’expression dramatique au cours duquel les comédiennes continueront à jouer avec les enfants et les inviteront à participer au spectacle. Comédiennes : Vera Lőrincz, Eszter Sákovics et Zsófia Telepó Metteur en scène : György Honti
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cinéma LEÇON DE CINÉMA AVEC ISTVÁN SZABÓ
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12 avril à 17h40 Cinéma l’Entrepôt Entrée : 8/6,5€ Le Festival l’Europe autour de l’Europe a l’honneur de vous inviter à une rencontre avec le grand cinéaste hongrois István Szabó à Paris, dans le cadre d’une leçon de Cinéma, suivie de la projection de son film Méphisto (oscar du meilleur film en langue étrangère en 1982, prix du meilleur scénario et prix de la critique du festival de Cannes). 20h Mephisto d’István Szabó Fiction / 1981 / 144’ / Hongrie - Allemagne / VOST français Dans les années 30 en Allemagne, Hendrik Hoefgen, un acteur ambitieux, uniquement préoccupée par sa carrière artistique, se soucie peu de l’ascension des Nazis. Avec Clavis Films
LA RÉVOLTE DE JOB D’IMRE GYÖNGYÖSSY ET BARNA KABAY
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17 mai à 20h et 23h Institut hongrois Entrée libre 1983 (Jób lázadása), 105 minutes, VOST français 1943. Un petit village hongrois. Jób et Róza, un couple de juifs âgés, décident d’adopter un enfant catholique, Lackó. Ils lui font découvrir les sagesses de leur religion, l’univers des rabbins prodiges, les mystères de la nature. L’apprentissage prend brusquement fin quand les parents adoptifs sont déportés. Le film nommé aux Oscars rend hommage à la culture de la communauté juive de paysans hongrois, disparue à jamais.
STREAM OF LOVE D'ÁGNES SÓS
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4 juillet à 23h Institut hongrois Entrée libre 2013 (Szerelempatak), documentaire, 70’, VOST anglais Le documentaire réalisé par Ágnes Sós est une œuvre drôle, surprenante et fascinante sur l’amour, la sexualité, les souvenirs. Il emmène le spectateur dans un petit village de la Transylvanie, où on lui raconte les histoires d’amour que le vieux Feri, âgé de plus de 80 ans, a vécues avec les femmes du village. Au cours de ce film profondément sensible, parfois coquin, au langage quelques fois même très libre, les participants qui ont tous atteint un âge vénérable dévoilent devant la caméra leurs rêves et pensées les plus intimes.
LAND OF STORMS D’ÁDÁM CSÁSZI
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11 juillet à 23h Institut hongrois Entrée libre 2014 (Viharsarok), 105 minutes, VOST anglais Film non recommandé aux spectateurs de moins de seize ans. Partir pour se retrouver soi-même est un voyage qui peut entraîner dans des contrées inconnues, embrumées, loin de ses certitudes. Land of Storms est un drame de l’adolescence, une histoire bouleversante sur des jeunes qui se cherchent. Compagnons de chambre et amis inséparables, Szabolcs et Bernard jouent dans la même équipe de foot en Allemagne. À la suite d’un match perdu et d’une dispute violente, Szabolcs commence à se poser des questions sur sa vie et décide de rentrer dans son pays. En Hongrie, il fait rapidement connaissance d’Áron, les deux garçons deviennent de plus en plus proches quand Bernard réapparaît à l’improviste… Le film a été présenté dans le cadre du programme Panorama de la Berlinale de 2014.
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