Mithra à Cabanis

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il est capable de couvrir tous les jours cinquante génisses qui donnent naissance dès le lendemain à plusieurs veaux, de protéger du soleil ou du froid par sa masse plus de cinquante guerriers, mais il est aussi doué pour l’art du chant puisqu’il mugit, tous les soirs, d’une voix mélodieuse. Michèle Mira Pons, La Mythologie Celte, Acte Sud junior, p. 28, J-290-M


Cent fois, il crut que le monstre remporterait le combat, mais il finit par réussir à le transpercer avec son épée. Josette Gontier, Mythes et légendes du monde entier, Gautier Languerau, p. 15-16, J-290-M


Ensuite, tenez-moi par la queue ! Je vous conduirai auprès de votre épouse, au ciel. Josette Gontier, Mythes et légendes du monde entier, Gautier Languerau, p. 61, J-290-M


le dieu du ciel possĂŠdait des milliers de vaches, toutes identiques Ă la sienne. Josette Gontier, Mythes et lĂŠgendes du monde entier, Gautier Languerau, p. 70, J-290-M


Il trouva bien son taureau noir qui paissait seul, à l’écart du troupeau, et les quatre chiens qui, d’ordinaire, surveillaient les bêtes, mais les vaches n’étaient plus là. Michel Laporte, Le grand monde de la mythologie, Flamarrion, p. 130, J-290-L


il se tenait dans le secteur des femmes, vêtu d’habits fÊminins. Michel Laporte, Le grand monde de la mythologie, Flamarrion, p. 194, J-290-L


Il fallait le voir arpenter la plaine, tête haute, pareil à un jeune buffle ! Michel Laporte, Le grand monde de la mythologie, Flamarrion, p. 211, J-290-L


Des flots de bave coulent de son mufle. Michel Laporte, Le grand monde de la mythologie, Flamarrion, p. 217, J-290-L


Et le taureau cÊleste tombe mort dans la poussière. Michel Laporte, Le grand monde de la mythologie, Flamarrion, p. 217, J-290-L


Il fit l’acquisition d’un superbe taureau et l’offrit en sacrifice au maître de la mer. Michel Laporte, Le grand monde de la mythologie, Flamarrion, p. 224, J-290-L


Au milieu du troupeau se tenait un jeune taureau blanc comme marbre et joli à croquer avec ses petites cornes qui n’étaient encore que des promesses de cornes et sa tâche noire sur le front. Michel Laporte, Le grand monde de la mythologie, Flamarrion, p. 241, J-290-L


le taureau était si beau qu’il décida de le garder et d’en immoler un autre à sa place. Michel Laporte, Le grand monde de la mythologie, Flamarrion, p. 242, J-290-L


La jeune reine vit le taureau qui ĂŠtait sorti des eaux et en devint follement, mais follement, amoureuse. Michel Laporte, Le grand monde de la mythologie, Flamarrion, p. 242, J-290-L


Le taureau prit cette espèce de pantin pour une vache ordinaire et s’accoupla avec elle. Michel Laporte, Le grand monde de la mythologie, Flamarrion, p. 243, J-290-L


La génisse est semblable à une mûre dans son processus de maturation : elle rougit puis devient noire ! Michel Laporte, Le grand monde de la mythologie, Flamarrion, p. 243, J-290-L


Sa tête seule armée de cornes le faisait ressembler à un taureau ; le reste de son corps rappelait à peu près la structure de cet animal, quoi qu’il marchât, contrairement à la nature, sur ses jambes de derrière. Nathaniel Hawthorne, Le minotaure, Médium, p. 67, J-290-Min


« C’est la vache qui est, dit-on, l’immortalité, et c’est la vache qu’on révère tant qu’elle est la mort ; la vache c’est tout ce qui est, dieux et hommes, Asuras, Mânes et prophètes. (…) C’est la vache qui fait vivre les dieux la vache qui fait vivre les hommes la vache, c’est tout ce qui est, tout ce qui contemple le soleil. » La vache stérile in Le véda, Auteur, Sacrés animaux, Seuil Jeunesse, J-290-L


Il s’agit d’une scène rituelle mettant en scène le taureau et consistant, pour l’homme, à triompher, par son intelligence et son adresse, de la force bestiale. Georges Hacquard, Les grandes mythologies, Hachette, p. 17, J-290-H


il exige l’immolation du taureau, considéré comme puissance source de vie. Georges Hacquard, Les grandes mythologies, Hachette, p. 45, J-290-H


Qui mieux qu’une vache, en effet, bonne laitière et bonne mère, peut mettre au monde et nourrir le soleil, Viviane Koenig, Dictionnaire de la mythologie égyptienne, Livre de poche, p. 119, J-290-K


Entièrement cachée sous une housse de pourpre, seule la tête de la vache apparaît. Entre ses cornes, un disque solaire en or pur « étincelle ». Viviane Koenig, Dictionnaire de la mythologie égyptienne, Livre de poche, p. 120, J-290-K


Vingt-neuf marques doivent apparaître : un triangle sur le front, une tâche en forme de croissant sur le flanc, sur le cou… Viviane Koenig, Dictionnaire de la mythologie égyptienne, Livre de poche, p. 54, J-290-K


Elle se précipite pour punir les derniers comploteurs mais, curieuse, elle goûte ce breuvage et en boit tant qu’elle sombre dans l’ivresse. Vivian Koenig, Les plus beaux mythes d’Égypte et d’Afrique noire, De la Martinière jeunesse, p.67, J-290-P


il naît du ventre de la vache céleste, Jacques Lacarrière, Au cœur des mythologies, Oxus, p. 54, 292-L


il est nommé « l’œil du ciel » Jacques Lacarrière, Au cœur des mythologies, Oxus, p. 55, 292-L


lorsque les rayons de l’aurore ont touché les montagnes fortunées, Jacques Lacarrière, Au cœur des mythologies, Oxus, p. 295, 292-L


une secte initiatique fréquentée par des vaincus et par des étrangers, inspirée qui plus est par la barbare théologie Gérard Freyburger, Marie-Laure Freyburger, Jean-Christian Tautil, Sectes religieuses en Grèce et à Rome dans l’antiquité païenne, Les belles lettres, p. 285, 292-F


Tout sera fécondé par le sang de la bête ; les plantes pousseront, jailliront les eaux bienfaisantes ; Gérard Freyburger, Marie-Laure Freyburger, Jean-Christian Tautil, Sectes religieuses en Grèce et à Rome dans l’antiquité païenne, Les belles lettres, p. 287, 292-F


il poursuit la fraude et le mensonge. Gérard Freyburger, Marie-Laure Freyburger, Jean-Christian Tautil, Sectes religieuses en Grèce et à Rome dans l’antiquité païenne, Les belles lettres, p. 287, 292-F


Les initiés bénéficieraient de l’immortalité grâce au sacrifice d’un taureau Le petit Larousse des mythologies du monde, Larousse, p. 636, 291-P


taurobole purificateur Le petit Larousse des mythologies du monde, Larousse, p.637, 291-P


« pacte », « contrat », « alliance ». Vesta Sarkhosh Curtis, Mythes perses, Seuil, p. 24, 291-C


il ĂŠtait associĂŠ au feu et au soleil, Vesta Sarkhosh Curtis, Mythes perses, Seuil, p. 25, 291-C


Il protège le juste et punit l’injuste. Vesta Sarkhosh Curtis, Mythes perses, Seuil, p. 25, 291-C


combattre le mal. Vesta Sarkhosh Curtis, Mythes perses, Seuil, p. 26, 291-C


la séparation du Ciel et de la Terre s’effectue […] par la castration du Ciel durant le coït Georges Devereux, Femme et mythe, Flammarion, p. 141, 292-D


Et, cependant, elle possède aussi des traits fÊminins. Georges Devereux, Femme et mythe, Flammarion, p. 147, 292-D


Dans ce monde humain où l’autorité est toujours mauvaise et la révolte toujours folle, quelle possibilité va-t-il rester à l’homme juste ? Jean-François Marquet, Philosophies du secret, Les éditions du Cerf, p. 53, 261-M


En restant sur le plan du langage, nous pouvons maintenant dire que la tâche de l’histoire occidentale est de transformer en signifiés universels les signifiants majeurs de l’Orient, où s’énonce depuis toujours la parole fondatrice et initiatrice. Jean-François Marquet, Philosophies du secret, Les éditions du Cerf, p. 307, 261-M


Dans tous les cas, le taureau est en position de dominé. Alain Testart, La Déesse et le Grain, éditions errance, p. 71, 291-T


Les taureaux ne sont pas plus des dieux que les félins qui flanquent les déesses-mères : ils sont domptés, domestiqués, réduits à l’état de serviteurs fidèles, le contraire même des dieux. Alain Testart, La Déesse et le Grain, éditions errance, p. 71, 291-T


on est successivement « Corbeau », puis « Fiancé », « Soldat », « Lion », « Courrier du Soleil », enfin « Père ». Rachel Tanner, L’empreinte des Dieux, Oriflam, p. 7, F-Tann


Son torse, ses épaules, son cou : un vrai taureau ! Il avait des bourrelets de graisse sur le ventre mais on les devinait à peine, noyés dans la masse musculaire. Rachel Tanner, L’empreinte des Dieux, Oriflam, p. 30, F-Tann


Elle portait une simple robe de coton pourpre galonnée de fils d’or qui révélait les courbes gracieuses de son anatomie. Rachel Tanner, L’empreinte des Dieux, Oriflam, p. 199, F-Tann


Chaque année, au solstice d’été, sept garçons et sept filles exécutaient la danse sacrée en bondissant sur les cornes du taureau divin. Rachel Tanner, L’empreinte des Dieux, Oriflam, p. 299, F-Tann


Mithra rajusta son tchador et pressa son sac sous le bras. Sorour Kasmaï, Le cimetière de verre, Acte Sud, p. 78, Mo-Kasm


Mithra perdait son sangfroid… Sorour Kasmaï, Le cimetière de verre, Acte Sud, p. 140, Mo-Kasm


La nuit tombée, Mithra souleva un coin du rideau. Sorour Kasmaï, Le cimetière de verre, Acte Sud, p. 140, Mo-Kasm


Mithra observait la scène en silence. Sorour Kasmaï, Le cimetière de verre, Acte Sud, p. 179, Mo-Kasm


De l’autre côté de la rue, du haut d’un autre engin, un marteau métallique géant atterrissait sur la croupe de la terre, frappait le fond d’un coup ferme et s’en extirpait rapidement. Comme si, dans ce va-etvient absurde et mécanique, le grand marteau avait repéré le point de gravité du monde et sa propre raison d’être. Sorour Kasmaï, Le cimetière de verre, Acte Sud, p. 237, Mo-Kasm


on ne sacrifie jamais que des êtres dépendants à des entités surnaturelles dont on croit dépendre. Alain Testart, La Déesse et le Grain, éditions errance, p. 104, 291-T


dire que la figure du taureau est symbole de force virile, c’est encore très peu dire. Alain Testart, La Déesse et le Grain, éditions errance, p. 64, 291-T


En 250, l’histoire de Toulouse est marquée par le martyre de Saturnin, le futur Saint Sernin. L’empereur Dèce ordonne des persécutions exemplaires contre les chrétiens. L’évêque de la petite et frileuse communauté chrétienne qui s’est implantée à Toulouse passe aux abords du Capitole, place Esquirol, alors qu’on s’apprête à y sacrifier un taureau selon les rites de Mithra. Comme il refuse de s’incliner devant la divinité, le peuple déchaîné réclame sa mort. On attache donc Saturnin au jarret du taureau qui remonte le cardo, rue Saint-Rome, avec des bonds furieux, franchit la porterie et traîne le corps du malheureux « jusqu’au lieu où la corde se rompit ». L’endroit où les bouviers auraient abattu le taureau le taureau fut baptisé « Matabiau » (« tue bœuf »). Anne Le Stang, Histoire de Toulouse illustrée, Le Pérégrinateur éditeur, p. 18, 944-02-L


deux pauvres femmes, trouvant dans leur foi la force de surmonter les faiblesses de leur sexe et se montrant à elles seules plus courageuses que tous les hommes Anne Le Stang, Histoire de Toulouse illustrée, Le Pérégrinateur éditeur, p. 18, 944-02-L


Le Soleil répondit : « Je veux leur sang, leurs enfants et leur royaume. » La légende des Soleils. Mythes aztèques des origines, traduit par Jean Rose, Anacharsis, p. 46, 291-L


Serait-il possible que vous veniez de détruire notre grotte, ce qui était notre grotte et notre demeure ? Nous nous contenterons de nous assoir à l’entrée de la grotte. La légende des Soleils. Mythes aztèques des origines, traduit par Jean Rose, Anacharsis, p. 46, 291-L


Quant à Mithra, il est peut-être le plus grand trompe-l’œil du Panthéon avestique. Jean Kellens, La quatrième naissance de Zarathustra, Seuil, p. 138, 291-L


(une masse de fer, resplendissante comme de l’or et pourvue de pointes acérées) Sous la direction d’Yves Bonnefoy, Dictionnaire des mythologies, Flammarion, p. 1349, 291-D


Mithra est celui qui paralyse l’armée des méchants Sous la direction d’Yves Bonnefoy, Dictionnaire des mythologies, Flammarion, p. 1349, 291-D


Un serpent s’est montré, a goûté les mets, puis est rentré dans le tombeau. Georges Dumézil, La religion romaine archaïque, Payot, p. 60, 292-D


Les autres « hésitations sur le sexe » qu’on cite n’en sont pas. Georges Dumézil, La religion romaine archaïque, Payot, p. 60, 292-D


Une vache prodigieusement belle et grande étant née chez un Sabin Georges Dumézil, La religion romaine archaïque, Payot, p. 413, 292-D


Fils de personne, Mithra s’est créé lui-même, il est sorti d’un rocher, coiffé d’un bonnet phrygien, tenant une torche et un couteau. Il a ensuite cueilli sur les arbres de quoi se vêtir et se nourrir, des bergers sont venus lui apporter leurs offrandes. Il dompte un taureau sauvage qu’il emmène dans la grotte où il habite, mais le soleil lui envoie un corbeau pour lui ordonner de tuer l’animal. À contrecœur, Mithra s’exécute et l’égorge […] Le sang et le sperme du taureau arrosent la terre, et font naître toutes les plantes et tous les animaux, malgré l’opposition du serpent, du scorpion et du chien envoyés par le dieu du mal, Ahriman, pour boire le sang et manger les testicules. Sous la direction de Annie Collognat, Dictionnaire de la mythologie gréco-romaine, Omnibus, p. 614, 292-D


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