EMBALLAGES MAGAZINE 929

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#929 novembre 2010

En Images

DS Smith Kaysersberg muscle son PAV

Analyse

Poche de sauce Soja Yamasa

Emballage 2010

Les animations Avant-première de H à Z

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conservation

Emballages Magazine - Novembre 2010 - 17 euros

à la recherche du naturel

Au-delà de l’indispensable qualité sanitaire, les technologies de conditionnement permettent de préserver la naturalité des ingrédients grâce aux progrès des technologies de traitement.

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la rédaction

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salue l’initiative de Fidel Fillaud.

Le fabricant de cuves en inox et distributeur d’emballages implanté à Vertou (Loire-Atlantique) apporte son soutien à l’association Le Rire Médecin.

Fidel Fillaud a ainsi financé quelque 1 400 visites de duos de clowns dans les hôpitaux. De quoi redonner le goût du rire aux enfants…

prend ses précautions pour l’hiver. Ça tombe bien ! Artiga propose des écharpes conditionnées dans une boîte de… conserve. Existe en deux coloris : Borce Mandarine et Dax Anthracite. À utiliser en cas de grand coup de froid. Original.

a découvert dans le commerce le nouveau design des boîtes de 33 cl de Perrier. À l’instar d’autres marques, Perrier fait apparaître désormais la silhouette de sa bouteille iconique, vierge de tout décor, assortie d’une pastille fraîcheur, un espace traité avec une encre thermoréactive par Ball Packaging. Ce changement ne doit pas être considéré comme essentiel puisque la marque d’eau gazeuse de Nestlé Waters n’a pas communiqué dessus, se contentant d’annoncer la présence d’un « signe de fraîcheur intérieure » sur les films de fardelage des packs de six canettes.

Félicite

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l’australien Smart Lid pour son couvercle à gobelets, lauréat du prix de l’innovation 2010 du Wall Street Journal. Le plastique dans lequel il est composé contient un pigment thermochromique qui vire du rouge au marron pour avertir le consommateur qu’il peut déguster sa boisson chaude sans se brûler la langue.

S’est lancée dans l’étude du Furoshiki, l’art japonais consistant à plier un carré de soie pour transporter un produit.

Diverses publications et plusieurs vidéos (http://www.youtube.com/ watch?v=Bn6zdyCAwJs&feature= player_embedded.) rendent compte du degré de sophistication de cette technique d’emballage.

novembre 2010 • Emballages magazine

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éditorial

200 ans de conserve Conserver les aliments est une priorité !

Dans le cadre de son intervention lors des Journées de l’Emballage (JDE) de Reims, Charles Tissandie, Chef du département Génie du conditionnement et de l’emballage (GCE) de l’Institut universitaire de technologie (IUT) « A » de Toulouse II, a montré la relation directe entre l’absence il faut respecter l’intégrité d’emballage et les des produits et limiter pertes importantes de produits alimenle recours aux conservateurs. taires. Un véritable fléau dans les pays en voie de développement… Deux ingénieurs français (lire page 24) ont tenté, dans les années 70, d’apporter une solution avec les Capatainers. #929

novembre 2010

salon

Vinitech prend une nouVelle dimension

Produit

un champagne bien frappé

technologie

heuft Vérifie les bouteilles remplies

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photo dr

emballages magazine - cahier boissons - novembre 2010

cahier boissons

boissons

du marketing au déVeloppement durable Emballages Magazine vous propose, à l’occasion du salon Vinitech Sifel qui se tient à Bordeaux du 30 novembre au 2 décembre, un zoom dans l’univers des boissons à travers ce cahier Boisson.

everest.lu u

Ce numéro d’Emballages Magazine est largement consacré à cette fonction fondamentale de l’emballage. Une fonction parasitée par les inquiétudes relatives à la sécurité sanitaire (lire page

28). Et un peu oubliée quand tous les produits sont disponibles en abondance dans les rayons des grandes surfaces.

Il faut dire que le procédé conçu par Nicolas Appert en 1795 et breveté en 1810 fête, cette année, ses 200 ans…

Du sous-vide au froid en passant par la pasteurisation, l’airless ou les hautes pressions, les procédés de conservation sont aujourd’hui nombreux. Valable dans l’alimentaire comme dans la beauté ou la santé, la tendance est claire : il faut respecter l’intégrité des produits et limiter le recours aux conservateurs. La maîtrise de l’oxygène dans le vin s’inscrit dans cette logique.

Très répandu dans les boissons plates, le conditionnement aseptique se développe ainsi dans les boissons gazeuses.

Un véritable exploit technique ! à noter d’ailleurs que ce numéro comporte un cahier Boissons réalisé à l’occasion du salon bordelais Vinitech Sifel du 30 novembre au 2 décembre. Qui se déroule toutefois après Emballage 2010 à Paris du 22 au 25 novembre : toute l’équipe d’Emballages Magazine vous souhaite un salon enrichissant et fructueux. Les avant-premières des numéros d’octobre et novembre sont réunies dans le Guide du visiteur. Et en ligne sur emballagesmagazine.com.

Henri Saporta

des pictogrammes pour IDENTIFIER les marchés

Alimentaire

Boissons

Hygiène-Beauté

Pharmacie

Luxe

Non alimentaire Tous secteurs

Industrie

Automobile

Textile

Jardin

novembre 2010 • Emballages magazine

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sommaire

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DS Smith Kaysersberg a rassemblé des PAV dans son Impact & Innovation Centre.

12 EN IMAGES DS Smith Kaysersberg muscle son PAV

14 sur le site

conservation

photo Emballages Magazine/google

photo dr

P.59 à la recherche du naturel Au-delà de l’indispensable qualité sanitaire,les technologies de conditionnement permettent de préserver la naturalité des ingrédients grâce aux progrès des technologies de traitement.

Des bouteilles soufflées en PEhd

24 histoire

42 asie

25 Anniversaire

Quand la Chine s’emballera...

26 tendance

Les dosettes de café

Rexam fête les 50 ans du Tréport Les bioplastiques affinent leurs discours

28 tendance

L’emballage alimentaire dans l’ère du soupçon

30 alimentation Bouteille soft touch

44 en rayon 46 réglementation Innovation technologique et risque juridique

48 le brief

Concilier naturalité et offre industrialisée

32 hygiène-beauté

50 point de vue

34 design

52 carnet

36 machine

54 baromètre

Muguet intemporel

Caracas, 20 ans de création à Villeurbanne Superfos co-injecte le plastique pour incorporer le recyclé

38 analyse

Poche de sauce soja Yamasa

40 sémiotique Désirs de noir

photo schubert

Les Capatainers pour pallier la faim dans le monde

Evitons de multiplier les analyses !

Jan Le Moux, un spécialiste de la REP Indices de production Prix des matières premières

56 agenda Pharmapack

130 zoom

Une boisson lactée nomade à secouer

79 visiter

Avant-première Emballage 2010

107 MACHINES

Regroupement de lots en multipack

119 Emballages Films et complexes

Ce numéro comporte un encart 16 pages pour Geppia, un encart 4 pages pour Linx et un encart collé pour HLP.

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magazine

Antony Parc II - 10, place du Général de Gaulle - 92160 Antony • Tél. : 01 77 92 92 92 • Site Internet : www.emballagesmagazine.com • Groupe Industrie Services Info : Président : Christophe Czajka • Directeur général adjoint pôle magazines spécialisés et salons professionnels : Gilles de Guillebon, 01 77 92 94 04 (gdeguillebon@etai.fr) • RÉDACTION fax : 01 77 92 98 24• Directeur de la rédaction / Rédacteur en chef : Henri Saporta, 01 77 92 95 88 (hsaporta@gisi.fr) • Rédacteurs en chef adjoints : Arnaud Jadoul, 01 77 92 95 90 (ajadoul@gisi.fr) et Tiziano Polito, 01 77 92 95 89 (tpolito@gisi.fr) • Rédactrice : Mirabelle Belloir, 01 77 92 95 91 (mbelloir@gisi.fr) • Avec la participation de : Gauthier Devie • RÉALISATION Maquette : Laura Mignot, 01 77 92 93 40 • Secrétaire de rédaction : Nicole Lachkar, 01 77 92 95 92 (nlachkar@gisi.fr) • PUBLICITÉ Fax : 01 77 92 98 26 • Directrice : Céline Viggiani, 01 77 92 96 58 (cviggiani@gisi.fr) • Chef de publicité : Laurent Anastay, 01 77 92 96 57 (lanastay@etai.fr) • Sud-Est : Eric Bechetoille, 04 72 00 04 14 (become@wanadoo.fr) • CONFÉRENCES ET ÉVÈNEMENTS • Directrice conférences et formations : Anne-Carole Barbarin, 01 77 92 92 90 • Chef de projets : Agnès Kaplan, 01 77 92 92 95 (akaplan@gisi.fr) • ADMINISTRATION-FABRICATION-GESTION Directeur administratif et financier : Stéphane Deplus, 01 77 92 94 02 • Responsable de la fabrication : Thierry Michel, 01 77 92 96 30 • Responsable juridique : Mireille Monnier, 01 77 92 97 44 • Directeur des ressources humaines : Frédéric Sibille, 01 77 92 94 44 • ANNONCES CLASSÉES - emploi pro Fax : 01 43 80 46 30 • Directeur commercial : Pierre-Georges Lenthieul, 01 77 92 93 92 • Chef de publicité : Michel Stein, 01 77 92 93 91 • Assistante : Catherine Benezit, 01 77 92 94 12 • DIFFUSION-ABONNEMENTS-éDITIONS • Directrice de la diffusion et de la promotion : Bénédicte Hartog, 01 77 92 94 06 • Directrice des abonnements : Patricia Rosso, 01 77 92 97 88 • Directrice des éditions : Annie Zarati, 01 77 92 97 74 • Directrice de la promotion : Marie-Sophie Leprince, 01 77 92 98 08 • Responsable de la promotion : Christine Guitari, 01 77 92 98 10 • Service clients : 01 77 92 97 94 ou 01 77 92 97 91.

Tarifs abonnements France (TVA 2,1 % incluse) 1 an : 9 numéros du magazine mensuel + 220 E-newsletters quotidiennes + 4 suppléments + accès web : 149 € TTC • Abonnement 1 an + « Guide de l’Emballage » : 217 € TTC • Etudiants : 59 € TTC sur justificatif • Demandeurs d’emploi : 89 € TTC sur justificatif • Etranger : nous consulter • Règlement à l’ordre d’Emballages Magazine • Pour la CEE préciser le numéro de TVA intracommunautaire • Librairie (ventes des numéros déjà parus et des Annuaires) : 01 77 92 97 75 • Annuaires (TVA 5,5 % incluse) • « Le Guide de l’Emballage » : 142 € TTC. Dépôt légal : à parution Commission paritaire : N° 0313 T 80468 ISSN 00136573 • Imprimé en France par : Centre Impression -11, rue Marthe Dutheil - 87220 Feytiat • Emballages Magazine est édité par GISI Communications (Principal actionnaire : Aprovia gun), SA au capital de 18 894 076,52 euros • Siège social : Antony Parc II - 10, place du Général de Gaulle - 92160 Antony • 309.395.820 RCS Paris • Directeur de la publication : Christophe Czajka.

Produits nouveaux : sauf stipulations contraires, tout document, reproduction, cliché ou photo, confié au Groupe Industrie Services Info, devra être libre de toute contrainte (y compris financière, redevance, droits…) pour lui permettre l’édition sur tout support y compris électronique.

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Stratégie

DS Smith Kaysersberg muscle son PAV Le cartonnier a développé son Impact & Innovation Centre pour partager les bonnes pratiques en matière de prêt-à-vendre.

Impact & Innovation Centre Pendant plusieurs mois, DS Smith Kaysersberg a collecté dans les grandes surfaces des centaines de prêt-à-vendre (PAV) pour constituer son Impact & Innovation Centre situé sur le site de Saint-Justen-Chaussée (Oise). Comme le démontre la récente acquisition du français Otor, le britannique DS Smith compte accélérer son développement dans l’emballage pour la grande distribution, sous l’impulsion de son nouveau patron qu’est Miles Roberts.

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Fabricant d’emballages en carton ondulé, DS Smith Kaysersberg (DS Smith) avait annoncé en 2008 son intention de se développer dans les produits de grande consommation (PGC), le prêt-à-vendre (PAV) et la publicité sur le lieu de vente (PLV). Une stratégie qui passe par le développement de l’outil industriel mais aussi de l’outil marketing.

Sur son site de Saint-Just-en-Chaussée (Oise), le cartonnier a ainsi rassemblé un nombre considérable de PAV pour les mettre en scène dans son Impact & Innovation Centre. Patiemment collectés dans les grandes surfaces, ces PAV ont pour objectif de donner instantanément un état de l’art ainsi qu’une mise en scène de la progression des mauvaises vers les bonnes pratiques en matière de mise

en rayon, d’impression, d’ergonomie ou encore de systèmes d’ouverture. DS Smith Kaysersberg ouvre ce centre au marketing des marques qui souhaitent développer des PAV conformes aux prescriptions des distributeurs. DS Smith Kaysersberg a d’ailleurs signé un partenariat avec Carrefour qui est très engagé dans le PAV ; le fabricant est ainsi devenu « Expert PAV » pour les marques de distributeur (MDD) de l’enseigne. « Notre Impact & Innovation Centre permet d’évaluer rapidement les possibilités de création ou d’évolution d’un PAV en fonction du segment de marché », explique Marc Chiron, directeur marketing. Cette organisation, qui a déjà « porté ses fruits sur le plan commercial », permet de concilier les contraintes des marques, des distributeurs et du carton-

nier dans « un esprit gagnant gagnant gagnant ». Sur le plan industriel, une enveloppe de l’ordre de dix millions d’euros a permis de doper l’outil industriel avec de nouvelles Mastercut et Masterflex de Bobst afin de faire monter la qualité et la réactivité de la découpe et de l’impression en flexographie post print sept couleurs.

La mise au point d’une nouvelle cannelure dite R pour Retail s’inscrit dans cette démarche de montée en gamme. Située entre la cannelure B et E, la cannelure R fait 2,1 millimètres d’épaisseur contre 3 pour la B et assure un meilleur rendu d’impression en gommant l’effet gondolé lié à la cannelure. Le bilan carbone est, au passage, amélioré en raison de la réduction à la source de la quantité de carton.

Henri Saporta

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1.Une offre de PAV Les emballages prêt-à-vendre (PAV) doivent permettre de faire gagner du temps aux distributeurs dans la mise en rayon des produits. Les PAV offrent des fonctionnalités en termes de décoration, d’identification, d’ouverture ou encore d’ergonomie. Bien que fabriqués à partir de découpes, certains PAV se mécanisent comme des caisses américaines. Le cartonnier propose, par exemple, les Lin Kay et les systèmes d’ouverture Klean Cut et Mastertape.

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3.Une offre de palettes DS Smith Kaysersberg veut installer la palette en carton Kaypal en intercouche dans la préparation de commandes afin de s’intégrer dans la logistique de la grande distribution. La division Reusable Transit Packaging (RTP) offre également des solutions à base de plastique : palettes, plateaux et autres casiers…

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2.Une offre de PLV  Les emballages pour la publicité sur le lieu de vente (PLV) permettent d’affirmer la présence de la marque dans les grandes surfaces ou de créer des têtes de gondole (TG).

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Activité

4.Un outil industriel performant Une enveloppe de l’ordre de dix millions d’euros a permis de doper l’outil industriel avec de nouvelles Mastercut et Masterflex de Bobst afin de faire monter la qualité et la réactivité de la découpe et de l’impression en flexographie post print sept couleurs. La qualité de l’impression est indispensable pour entrer dans les rayons.

DS Smith a d’ailleurs développé la cannelure R d’une épaisseur de 3 millimètres pour optimiser le rendu.

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Filiale du britannique DS Smith, DS Smith Kaysersberg fabrique des emballages en carton ondulé avec un chiffre d’affaires de 521 millions d’euros. L’entreprise est notamment présente en France à Saint-Justen-Chaussée (Oise) et Kunheim (Haut-Rhin).

production Le site de Saint-Just-en-Chaussée emploie 350 personnes pour une production annuelle de 80 000 tonnes et un chiffre d’affaires de73 millions d’euros. Le site de Kunheim emploie 300 personnes pour une production annuelle de 80 000 tonnes et un chiffre d’affaires de 66 millions d’euros.

Marché DS Smith Kaysersberg est un généraliste de l’ondulé en mesure de servir l’industrie, la chimie, l’alimentaire comme la distribution.

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décrypter Toute l’actualité sur www.emballagesmagazine.com

sur le site 20 octobre 2010

LA FINAT ÉVALUE LE NUMÉRIQUE L’étiquette adhésive se dote d’un nouveau comité technique.

LES PAQUETS DE CIGARETTES SE RÉCUPÈRENT PEU Le bilan de l’opération menée par BAT France en région parisienne est mitigé.

NESTLÉ ADOPTE EASY SCOOP La solution d’Impress permet de séparer la cuillère du lait maternisé.

STONYFIELD FARM PASSE AU PLA Le laitier veut réduire l’impact de ses emballages.

CROWN CONSOLIDE SON IMPLANTATION TURQUE Le groupe américain accroît la capacité de son site d’Izmit et va construire une nouvelle unité de canettes.

UNILEVER RETIRE SON SHAMPOOING «CHAMPAGNE» Le géant néerlandais a été condamné par le tribunal de La Haye qui avait été saisi par le Comité interprofessionnel du vin de Champagne.

LES VOLS EN MAGASIN COÛTENT 4,7 MILLIARDS D’EUROS Les distributeurs ont augmenté leurs dépenses en formation, équipements et personnel de sécurité.

L’innovation est de taille. Car elle risque de modifier quelque peu les habitudes des conditionneurs de lait frais, gros utilisateurs de bouteilles en polyéthylène haute densité (PEhd). à l’occasion du prochain K, le salon dédié à l’univers de la plasturgie, qui aura lieu à Düsseldorf (Allemagne) du 27 octobre au 3 novembre prochain, Total Petrochemical lance PEHD SB 1461, un grade de polyéthylène haute densité destiné à être d’abord injecté, pour obtenir des préformes, puis transformé en bouteilles à l’intérieur d’une machine de soufflage. Il s’agit d’une première.

NOMACORC ET COFCO PARTENAIRES

CLARANOR S’AGRANDIT Le spécialiste de la décontamination par lumière pulsée s’installe à Avignon.

Les deux entreprises vont contrôler l’oxygène dans les vins chinois.

éCOLUTION PRIMÉ SUR LUXE PACK

Total Petrochemical lance PEHD SB 1461 lors du salon allemand K.

22 octobre 2010

22 octobre 2010

25 octobre 2010

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UNE LETTRE OUVERTE D’AMORCE ET DU CNR Les deux associations en appellent à l’arbitrage de Jean-Louis Borloo.

Total Petrochemicals lance une résine destinée à être transformée par injection-étirage-soufflage.

19 octobre 20

PFIZER INVESTIT EN BELGIQUE Le groupe pharmaceutique augmente sa capacité de fabrication et de conditionnement de médicaments stériles.

22 octobre 2010

L’airless de Promens a remporté le prix Luxe Pack in Green 2010.

22 octobre 2010

UN DISTRIBUTEUR EUROPÉEN POUR PLANTIC Le producteur de bioplastiques élargit le champ de son accord avec Klöckner Pentaplast

UNI PACKAGING S’ÉQUIPE EN PRÉDÉCOUPE LASER L’entreprise peut réaliser des emballages aux fonctionnalités sophistiquées. photos dr

Emballages Magazine vous propose une synthèse de l’actualité des dernières semaines en ligne sur emballagesmagazine.com

DES BOUTEILLES SOUFFLÉES EN PEHD

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et aussi...

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sur le site 29 octobre 2010

BRASKEM LANCE LA PRODUCTION DE PP VÉGÉTAL Le brésilien va démarrer la construction d’une usine qui sera opérationnelle en 2013.

Après le polyéthylène (PE) « verde », le polypropylène (PP) « verde » va bientôt être produit à grande échelle. C’est en tout cas ce que promet Braskem. Le fabricant de plastiques brésilien, qui produit déjà du PE à partir d’éthanol issu de canne à sucre, annonce la construction d’une usine dédiée à la production d’un autre plastique, le PP, toujours à partir d’éthanol. L’usine, qui va requérir un investissement de 100 millions de dollars, sera opérationnelle dans la seconde

moitié de 2013. Emballages Magazine avait annoncé, en 2008, le lancement d’un pilote pour produire du PP à partir d’éthanol.

Cette fois, Braskem passe à l’étape supérieure. Son usine, aura une capacité de production annuelle de 30 000 tonnes. Le PP d’origine végétale aura les mêmes caractéristiques que la résine issue du pétrole autant sur le plan technique et fonctionnel que pour ce qui relève de son aptitude à être transformée. Le plastique proposé par Braskem n’est ni biodégradable ni com-

postable. Il est en revanche totalement issu de ressources renouvelables. Surtout, ce plastique permet de séquestrer 2,3 tonnes de dioxyde de carbone (CO2) par tonne produite. Le PP est le deuxième thermoplastique utilisé dans le monde après le PE. Son emploi est courant dans l’industrie de l’emballage, notamment dans la fabrication de corps creux. Braskem travaille sur de nouveaux procédés de fabrication du PP en association avec Novozymes, un spécialiste des biotechnologies, et des laboratoires de recherche brésiliens comme Unicamp et LNBio.

Parmi les principaux fabricants de matières plastiques du continent américain, Braskem possède 31 usines situées aux États-Unis et au Brésil. L’entreprise, qui revendique une production annuelle de 15 millions de tonnes de thermoplastiques produit également du PE d’origine végétale dans son usine de Triunfo, au Brésil. L’unité, qui devait entrer en production en octobre, en retard d’un an sur le calendrier initialement prévu, possède une capacité de 200 000 tonnes annuelles. Braskem pourrait démarrer une deuxième unité de production de PE quand, comme l’a déclaré à Reuters Leonora Novaes, directrice commerciale de l’entreprise pour les polyéthylènes d’origine végétale, « les transformateurs démontreront un intérêt suffisant pour cette matière ». Cette deuxième usine pourrait être localisée dans le centre du Brésil, à proximité des champs de canne à sucre. Plusieurs industriels ont déclaré leur intérêt : Toyota, qui s’est déjà assuré le quart de la production de l’usine de Triunfo, soit 50 000 tonnes annuelles, mais aussi Tetra Pak (Tetra Laval) qui a signé un accord pour incorporer la résine d’origine végétale dans les bouchons de ses briques aseptiques en carton et, enfin, P&G qui envisage d’utiliser la matière pour fabriquer des flacons de shampoing.

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sur le site 21 octobre 2010

Sleever International décore à l’horizontale

Séduire, c’est savoir se renouveler ! Changer dans la continuité.

Se métamorphoser sans perdre son identité. Les marques développent, en conséquence, des politiques de séries limitées et de collectors afin de faire vivre leurs produits dans le temps et coller aux rendezvous du calendrier. Fête des mères, Noël, anniversaires… C’est dans ce contexte que Cacharel a lancé ses Jellies. Présentés comme des sucres d’orge, les Jellies jouent sur la gamme de la gourmandise sous la forme de petits tubes de 20 ml qui se déclinent en six tonalités : Rose tendresse pour Anaïs Anaïs qui mêle jacinthe, jasmin et santal ; Caramel doux pour Noa, association de cassis, pivoine et encens ; Rouge passion pour Amor Amor, aux senteurs d’agrumes, muguet et vanille ; Violet profond pour Amor Amor Tentation, aux évocations de mandarine, fleur de Tiaré et cèdre ; Corail incandescent pour Scarlett, mélange de poire, miel et muscs blancs.

Industrialiser la fabrication de gammes aux décors différents, en limiter les impacts financiers du fait des fractionnements des séries peut cependant relever du casse-tête. Un casse-tête auquel Sleever International s’est attaqué il y a quelques années : le spécialiste du sleeve a, depuis, développé une toute nouvelle technologie de pose. Développée par Sleever Machines Logicpack à partir d’une société acquise en Allemagne, cette solution — qui a nécessité trois années de recherche et développement (R & D) avant de pouvoir être commercialisée — se caractérise par le fait que les sleeves sont posés horizontalement et non pas verticalement. « Nous pouvons désormais traiter tous les petits — voire tous petits — objets instables comme les tubes de rouge à lèvres, les mascaras ou encore les petits flacons, de vernis par exemple», détaille Eric Fresnel, le patron de Sleever International. Une vraie révolu-

photos dr

Lors d’Emballage 2010, le spécialiste du sleeve dévoile sa nouvelle technologie dédiée aux petits objets instables.

Lors du salon Emballage 2010, Sleever International va dévoiler sa nouvelle technologie de pose de sleeve à l’horizontale. Une démonstration en temps réel va associer le développement conçu pour les Jellies de Cacharel et l’effet 3D des briquets Cricket.

tion et un nouveau métier pour une entreprise plutôt tournée vers les bouteilles, flacons, boîtes et autres pots.

Objets instables De conception entièrement modulaire, la machine permet de poser des sleeves rétractables sur le corps principal de l’emballage mais également des stickers et des éléments complémentaires qui peuvent être réalisés à partir d’une imprimante numérique ou de marquagecodage. L’impression se fait avec la

technologie dite Heliofllex qui associe différents procédés dont l’héliogravure, la flexographie et la sérigraphie pour un total possible de quatorze couleurs.

Conçue autour de robots pick and place, la machine, entièrement automatisée avec des servomoteurs, est pilotée par un ordinateur qui permet aussi de gérer les messages à imprimer. La cadence est de l’ordre de 120 coups par minute tandis que les changements de format s’effectuent en 30 minutes environ. Les servomoteurs assurent un repérage très précis des éléments de décor. La machine peut être exploitée soit par Decosleeve, la filiale « full service » de Sleever qui assure la gestion de projets du brief marketing à la logistique en passant par le conditionnement, soit par les marques elles-mêmes, soit par des prestataires de service. Au moins trois machines ont déjà été vendues. Enfin, pour assurer l’ouverture facile et sans risque de coupure des produits, Sleever International a développé un nouveau film à base de polyéthylène téréphtalate cristal (CPET) baptisé SI-CPET-KG/050. Fort d’un rétreint de 80 %, ce film épouse, en outre, les formes les plus complexes.

Après une première sortie officielle lors du salon américain Pack Expo qui se tient du 31 octobre au 3 novembre à Chicago (Illinois), la machine est exposée lors du salon Emballage 2010 en novembre à Paris. Dans le cadre de démonstrations en temps réel, Sleever International va mettre en avant la souplesse et la polyvalence de son équipement. Et la qualité des décors… Au-delà des films imprimés avec Helioflex, Sleever va également exploiter sa technologie dite Skinsleever vernis tactile qui permet de donner un effet de relief en trois dimensions (3D) au décor. La première application ? Les briquets Cricket (Swedish Match) arborent cinq séries de huit visuels réalisés par Alpha Centauri Design.

Henri Saporta

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sur le site 19 octobre 2010

La plasturgie sort la tête de l’eau Les tensions sur les approvisionnements pèsent sur les marges.

Après avoir imaginé un monde sans emballage, Elipso poursuit sa politique de marketing viral sur internet. Un clip met l’accent sur l’utilité de l’emballage avec le parcours d’un sachet de salade tandis qu’un autre illustre les progrès de l’allègement en s’inspirant de Forrest Gump.

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L’emballage en plastique sort la tête de l’eau ! C’est ce qui ressort du bilan dressé par Astères pour le compte de « L’emballage plastique et souple » (Elipso) pour le premier semestre 2010.

L’organisation professionnelle regroupe 130 adhérents qui représentent entre 75 et 90 % du chiffre d’affaires du marché de l’emballage plastique et souple. Au 1er semestre 2010, la filière « en pleine dynamique durable » a enregistré une croissance en volume de 6 % contre une baisse de 10 % en 2009 et en valeur de 11 %. Le taux d’investissement s’est maintenu à 4 % et les trésoreries sont globalement positives. Les exportations sont en hausse de 14 % et représentent 37 % de l’activité.

Si l’embellie est réelle, les hausses des matières premières pèsent cependant sur les marges. Elipso dénonce des tensions sur les approvisionnements de certaines spécialités comme le polypropylène, les encres ou les films polyesters : « à court terme, la reprise du secteur des emballages plastiques et souples est perturbée par des approvisionnements en matières premières instables ». Dans le prolongement de la Conférence nationale de l’industrie, un Comité stratégique de la filière chimie et matériaux, le premier du genre, doit d’ailleurs se tenir le 19 octobre afin de concilier les points de vue des fournisseurs de matière première et des plasturgistes.

Sans évoquer particulièrement le cas du bisphénol (BPA), Elipso, qui a conçu le Guide de bonnes pratiques d’hygiène pour la fabrication des emballages plastiques et souples en 2000, rappelle que la « sécurité sanitaire » est « une priorité partagée ». D’affirmer : parmi les garanties recherchées figurent notamment, « la conformité des matériaux utilisés pour les usages en contact alimentaire » et « le respect des bonnes pratiques d’hygiène lors de la fabrication des emballages ».

La filière poursuit, par ailleurs, ses efforts dans la diminution de ses impacts. « 56 %

des adhérents ont intégré la gestion de l’environnement dans leur politique et sont dans une dynamique d’amélioration continue. 73 % des entreprises ayant mis en place un système de management de l’environnement (SME) sont certifiés ISO 14 001, ou sont en cours de certification », précise Elipso. De même, « tous les adhérents trient leurs déchets industriels, qu’il s’agisse de déchets industriels banals (DIB), orientés vers la fin de vie la plus adaptée, ou des déchets industriels spécifiques (DIS). »

Recyclage Réduction à la source, allègement, recours au recyclé et aux matériaux biosourcés sont des axe prioritaires. Quelque 18 % du panel des fabricants d’emballage utilisent des polymères biosourcés, selon l’organisation professionnelle. Sur le plan du recyclage, le constat se veut sobre : en 2008, selon l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe), « 460 540 tonnes d’emballages plastiques ont été recyclées, soit un taux de recyclage de 22,5 %. L’emballage plastique a ainsi atteint le taux fixé par la

directive européenne sur les emballages et déchets d’emballages (94/62/CE) ». La France s’est toutefois engagée dans un objectif de 75 % d’emballages recyclés en 2012 avec une expérimentation des consignes de tri à l’ensemble des plastiques et non plus des seuls corps creux. à noter qu’Elipso est membre de l’opération Vacances Propres depuis mai 2010.

La profession poursuit enfin son marketing viral en diffusant deux nouveaux clips sur internet. Après avoir imaginé un monde sans emballage, Elipso met, d’une part, l’accent sur l’utilité de l’emballage avec un clip qui retrace le parcours d’un sachet de salade et, d’autre part, sur les progrès de l’allègement en s’inspirant de Forrest Gump.

La filière a totalisé, en 2009, un chiffre d’affaire de 6,4 milliards d’euros réalisé par 320 entreprises avec 38 000 salariés.

Les professionnels anticipent une progression de leur chiffre d’affaires sur l’année, de l’ordre de 10 %. Mieux encore, cette progression devrait se poursuivre en 2011 selon 60 % des entreprises.

Malgré une faible visibilité.

Henri Saporta

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sur le site 7 octobre 2010

PROCTER & GAMBLE S’ENGAGE DURABLEMENT

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L’américain ne veut utiliser que des ressources renouvelables ou des matériaux recyclés pour la fabrication des emballages.

Géant américain des produits de grande consommation dirigé par Bob McDonald, Procter & Gamble (P&G) a dévoilé, fin septembre, ses nouveaux axes de progrès dans le développement durable pour les dix prochaines années.

Quatre pistes prin-

EMBALLAGE-MAG_11-2010.qxd:EMB

cipales sont identifiées : alimenter à 100 % les sites de production à partir d’énergie renouvelable ; utiliser 100 % de ressources renouvelables ou de matériaux recyclés pour la fabrication des emballages ; ne plus mettre aucun déchet en décharge ; concevoir des produits qui séduisent le consommateur en préservant au maximum les ressources. Pour mettre en œuvre « cette vision du développement durable »,

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Procter & Gamble va définir dix objectifs opérationnels et présenter un bilan annuel de leur mise en œuvre. Procter & Gamble précise que seule une collaboration étroite avec les partenaires et fournisseurs permettra d’aboutir.

La marque Pantene a ainsi annoncé récemment exploiter le polyéthylène vert du brésilien Braskem pour fabriquer ses emballages.

Henri Saporta

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Histoire

LES CAPATAINERS POUR PALLIER LA FAIM DANS LE MONDE

Aujourd’hui, dans une trentaine de pays, dont la plupart se situent en Afrique sub-saharienne et en Asie du Sud, la mauvaise nutrition de la population atteint des niveaux préoccupants, voire alarmants. Cela porte à près d’un milliard le nombre de personnes sous-alimentées sur la planète. Nombreuses sont les causes de ce problème : pauvreté, guerres, appauvrissement des terres cultivables, catastrophes naturelles mais aussi systèmes de conservation des récoltes inexistants ou défaillants. La dégradation d’un grand nombre de produits alimentaires, sous l’effet du soleil, de l’oxygène, de l’eau, des moisissures, des bactéries, des insectes ou des rongeurs, engendre, en effet, des pertes annuelles atteignant plusieurs centaines de millions de tonnes dans les pays en voie de développement.

Ce triste constat était exactement le même il y a quelques décennies. Pour tenter d’y remédier, Marcel Boutroy et Jacques Neyret, deux ingénieurs, mettent au point dans les années 70, un procédé de conservation des produits alimentaires périssables destiné aux régions sensibles : les Capatainers. Il s’agit de grandes poches de forme cubique constituées de polyéthylène basse densité (PEbd) additionné d’agents antioxydants et anti-UV. D’une épaisseur d’un millimètre et d’une contenance pou-

photo patent storm

Des poches de très grande contenance permettent le stockage de denrées alimentaires en climat tropical. Lancé dans les années 80, le concept n’a pas pris.

Un brevet déposé en 1976 par Marcel Boutroy et Jacques Neyret décrit notamment le principe de la pompe à vide permettant de remplir les Capatainers.

vant aller de 50 à 1 500 litres, ces sacs sont réalisés par extrusion soufflage. Ils permettent la « capatainérisation » – ensachage sous vide – du blé, de l’orge, du riz et du maïs, du café, du sucre ou de tous types de granulés et de pulvérulents. « Les poches, grâce à leurs soudures hermétiques les rendant totalement étanches, peuvent être stockées à l’air libre pendant de longues périodes », explique Marcel Boutroy. Celuici ajoute qu’« en résistant à toutes sortes

Pourquoi ça n’a pas marché ?

En 1974, Marcel Boutroy et Jacques Neyret ont à prendre pour partenaire un industriel du Nord puis un groupe issu de la grande distribution, qui en 1981, a repris le contrôle total de la société Vacuum Capatainer International (VCI). Ce groupe, à la suite de dissensions internes et de problèmes financiers, stoppe toutes ses activités peu de temps après. VCI est alors contraint à faire de même, bien que des commandes soient sur le point d’être enregistrées et qu’une seconde usine ait été en attente de montage en Indonésie. Début 1986, les associés créent une nouvelle société : Ipton International n’a pas réussi à relancer le projet, faute de financements.

d’agressions extérieures, ces conditionnements garantissent la conservation de la nourriture pendant plusieurs années, sans altération de sa qualité. De plus, ils ont été soumis à des tests de chutes d’une hauteur de cent mètres, avec succès ». Les Capatainers, facilement transportables, peuvent être gerbés sur plusieurs épaisseurs, facilitant ainsi la dissémination et la constitution de stocks stratégiques. La vidange se fait à l’aide d’un objet acéré qui éventre la poche au-dessus d’une trémie.

Des essais sur des fèves de cacao, supervisés et approuvés par l’Institut français du café et du cacao (IFCC), ont été réalisés au Cameroun, en Côte-d’Ivoire ainsi qu’au Sénégal. En 1972, l’Institut français de l’emballage et du conditionnement (Ifec) récompense cette invention par un Oscar de l’emballage. Les deux associés créent Vacuum Capatainer International (VCI) dans la foulée. Une usine de conditionnement, mise en service en Indonésie en 1985, a officiellement été inaugurée par le président de la République de l’époque, Mohammed Suharto. Une machine, développée en collaboration avec l’allemand Krupp Kautex, fabriquait les sacs de différentes capacités. Elle permettait une cadence de travail de vingt poches par heure. L’unité de nettoyage, de séchage et de pré-stockage, placée en amont de l’installation, alimentait le remplissage et de mise sous vide.

Grâce à ces équipements, 500 000 tonnes de riz ont pu au moins être ensachées puis stockées en quelques mois seulement. Suite à différents problèmes, l’usine a fermé en 1993. Même s’il entraînait une modification profonde des habitudes commerciales, ce type de conditionnement reste néanmoins une solution qui pourrait palier les crises alimentaires les plus graves. Ses inventeurs espèrent qu’il sera relancé un jour…

Gauthier Devie

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Anniversaire

Rexam fête les 50 ans du Tréport Le site est une des usines les plus performantes du groupe.

Le site du Tréport de Rexam s’étend sur 25 000 m2 et emploie 600 salariés. « Plusieurs générations de talents ont fait de ce site une des plus belles usines du groupe», a expliqué Mischa RiverosJacobson, directrice générale de la division Personal Care.

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En septembre 2010, Rexam a ouvert les portes de son site du Tréport (Seine-Maritime) à l’occasion de ses 50 ans. La société a accueilli les proches des salariés du site, ses clients et ses fournisseurs. L’usine qui appartient au pôle Plastic Packaging travaille pour deux divisions de ce pôle : Personal Care dédiée à l’hygiène-beauté et Healthcare à la santé. Elle produit des systèmes de distributions et des échantillons. « C’est l’un des sites les plus importants de Rexam Plastic Packaging dans le monde », a expliqué Malcom Harrison, directeur général de ce pôle. « Plusieurs générations de talents ont fait de ce site une des plus belles usines du groupe », a enchéri Mischa RiverosJacobson, directrice générale de la division Personal Care. Aujourd’hui, l’usine emploie quelque 600 salariés. Elle possède plus de 100 presses d’injection de 30 à 300 tonnes, quelque 300 moules de 4 à 96 cavités et 130 machines d’assemblage. Les matières plastiques injectées sont principalement le polypropylène (PP), le polyéthylène (PE) et le polyoxyméthylène (POM). 29 % de l’activité du site est apportée par l’unité de production dédiée à la parfumerie, 16 % par celle des cosmétiques, 26 % par les échantillons et 29 % par l’unité santé.

L’histoire de cette usine commence dans les années 1960 : la verrerie Henri Desjonquères décide de rassembler à Eu, ville voisine du Tréport, en un lieu unique, trois différentes activités d’assemblage manuel

que sont l’emballage sous Cellophane, les pompes destinées au produit d’entretien pour chaussures et les valves et boutons poussoirs. La société Ydev est alors créée : elle remplace l’entité Plasverre créée en 1956. À l’époque, on dénombre une quarantaine de salariés. La fin de cette décennie est marquée par l’arrivée de la première presse automatique à injection plastique.

En 1970, l’actionnariat change : SaintGobain Desjonquères prend le contrôle.

Les filiales du groupe se spécialisent par activité et Ydev dans l’assemblage.

Dans les années 1980, Ydev devient la Société française d’aérosol et de bouchage (Sofab) et constitue le fer de lance de l’activité capsules de Saint-Gobain Desjonquères. L’activité valves, pompes et capsules se développe et déménage

Le Tréport en chiffres • 25 000 m2 de superficie • 9 millions de pièces injectées par jour par les 40 presses de l’unité mini-produits (échantillons) • 500 000 flacons d’échantillons décorés par jour • 1,2 million de pièces injectées par jour par les 30 presses de l’unité cosmétique

• 1 milliard de composants injectés par les 31 presses de l’unité pharmacie en 2009 soit quelque 400 millions de produits finis fabriqués • 130 machines d’assemblage • 600 employés • 4 unités : mini-produits, parfumerie, cosmétique, santé

sur Friville-Escarbotin en 1983. En 1987, le groupe Bic rachète la Sofab en vue de la commercialisation de parfums pour la grande distribution. Les activités de la Sofab s’étendent sur Le Tréport. Deux ans plus tard, la Sofab adapte la technologie de miniaturisation des pompes utilisée pour les parfums Bic à l’échantillon de parfum.

Elle lance le Sofistic’s, le premier flaconpompe 1,2 ml. La décennie 1990 marque le transfert de toute l’activité sur Le Tréport.

Bic vend Sofab à Bowater et la construction d’un bâtiment dédié à l’activité santé est entreprise en 1999.

Rexam Sofab devient Rexam Dispensing Systems en 2002. La décennie voit l’émergence de l’activité santé : en dix ans, le chiffre d’affaires de cette unité a été multiplié par deux. Aujourd’hui, le site produit des échantillons, les moteurs des pompes à parfums SP2,6,7 et 8, des pompes cosmétiques SP3 et ses déclinaisons comme la pompe SP343 ainsi que des pompes SP9 et SP270 pour la pharmacie. L’usine réalise enfin les finitions de pompes produites aux États-Unis, comme la XD11, pour des clients européens. L’unité santé fabrique aussi des valves continues et doseuses et divers embouts. L’usine livre une centaine de pays à travers le monde. Ce sont quelque 2 000 références de produits finis qui sont expédiées chaque année.

Mirabelle Belloir

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tendance

Les bioplastiques affinent leurs discours La compostabilité ne fait plus recette. Les plastiques d’origine végétale axent leur communication sur l’origine renouvelable et l’empreinte carbone.

Dix années se sont écoulées depuis l’arrivée des premiers plastiques bio-sourcés sur le marché de l’emballage en tant qu’alternative aux plastiques issus de la pétrochimie. Parmi les résines émergeantes, l’acide polylactique (PLA), un plastique issu de l’amidon de maïs, s’est vite distingué pour sa polyvalence en termes de possibilités de transformation et la variété des applications. Sur un plan commercial, le discours de NatureWorks, principal producteur mondial, tenait alors en deux points : l’origine végétale, mais aussi et surtout la compostabilité de son matériau. En effet, à la différence des plastiques traditionnels, le PLA possède la particularité de se transformer dans ses éléments constitutifs (dioxyde de carbone, eau et sels minéraux), au bout d’une courte période (en général trois mois), en milieu spécifique. Son emploi à large échelle représentait donc une solution à l’épineuse question de l’élimination des déchets d’emballages, mais aussi aux problèmes – très médiatisés d’ailleurs – de pollutions des sols et des océans. Le message était sensiblement le même du côté de l’italien Novamont,

à l’origine du Mater-Bi, un plastique issu de l’amidon, et de l’américain EarthShell, fabricant du matériau éponyme, composé d’un mélange d’amidon de pomme de terre, de calcaire et de fibres papetières recyclées.

Quant à l’australien Plantic, il proposait des barquettes, elles aussi issues de l’amidon, qui après avoir servi, se dissolvaient, comme par magie, sous l’eau du robinet.

De leur côté, les fabricants d’additifs offraient des solutions pour favoriser la dégradation des plastiques traditionnels par « oxo-dégradation » en milieu naturel.

Réalité industrielle Cette course à la biodégrabilité des plastiques semblait logique, dans un contexte de forte croissance, où l’actualité environnementale se focalisait essentiellement sur les problématiques de surconsommation et d’élimination des déchets. La donne a changé depuis.

Au milieu de la décennie 2000-2010, les bioplastiques – et le PLA en particulier – ont commencé à devenir une réalité industrielle comme le témoignent les dizaines d’applications (barquettes, bouteilles, étiquettes, sacherie) dans des domaines variés (alimentaire, mais aussi cosmétique et boissons) aux quatre coins du monde. Certes,

la résine n’était pas miraculeuse. Sa perméabilité au gaz et sa faible résistance à la chaleur – la température de transition vitreuse du PLA est de 60°C –, ne lui permettaient pas de suppléer aux propriétés barrière de certains films utilisés dans le conditionnement des viandes ou de résister à un passage au four à micro-ondes.

Mais son emploi n’a cessé de progresser, notamment dans la filière de l’agriculture biologique, pour qui il était essentiel de se doter d’un emballage qui soit, aussi, le plus « bio » possible. Mont-Blanc Primeurs en France, Sainsbury’s en Grande-Bretagne, et, plus récemment, l’italien Filogea, comptent parmi ces producteurs de produits bio qui se sont tournés vers les bioplastiques.

Dans le même temps, peut-être victime de son succès, le PLA a commencé à essuyer les premières critiques, en provenance de la grande distribution et des associations environnementales. Au-delà de la consommation d’eau et de l’emploi de pesticides, elles se résument dans le manque de transparence sur la filière d’approvisionnement du maïs, notamment sur sa nature transgénique et la question dite « éthique », liée au fait que cette céréale est, avant tout, destinée à l’alimentation. Cette analyse, qui concerne le PLA et bien d’autres bio-

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Les producteurs bio sont fans d’emballages bio Les fabricants de produits issus de l’agriculture biologique apprécient les emballages compostables d’origine végétale. Parmi les entreprises qui, dernièrement, ont décidé de « switcher », deux producteurs italiens : Polenghi, qui a opté pour une bouteille en PLA (NatureWorks) pour son jus de citron ; Filogea, qui a choisi un film en Mater-Bi (Novamont) pour ses salades.

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matière première dont l’industrie a besoin.

L’argument devient d’autant plus important que les cours des plastiques commencent à flamber à partir de 2008, du fait de la concentration de l’offre et des hausses du pétrole, rendant les bioplastiques plus compétitifs qu’ils ne l’étaient auparavant. à cette période, le rapport de prix entre un 1 kg de polyéthylène téréphtalate (PET) et 1 kg PLA est de l’ordre de l’ordre de 1 à 1,5-2 alors qu’il était plutôt de 1 à 4 en 2000. De plus, force est de constater que, sur le plan de la valorisation, les politiques liées au développement des filières de compostage des déchets d’emballages peinent à aboutir, en particulier en France, propulsant cette perspective au rang de « vœu pieux » plutôt que de sérieuse alternative au recyclage ou à l’incinération avec récupération d’énergie.

Filières de valorisation Ce contexte a favorisé le développement de plastiques qui, comme le PE Verde du brésilien Braskem ou le monoéthylène glycol (MEG) de l’indien India Glycols sont issus de ressources renouvelables – en l’occurrence la canne à sucre – mais ne sont ni biodégradables ni compostables. Toute la communication de cette entreprise, qui ne cesse d’ailleurs de susciter un grand intérêt de la part des grands donneurs d’ordre (Coca-Cola, Tetra Pak, Procter & Gamble entre autres), et qui possède un carnet de commandes garni pour les trois prochaines années, se fonde sur le fait que son plastique est identique à un polymère issu du pétrole à la seule – grande – différence qu’il est fabriqué à partir d’une plante. Bien qu’il ne soit pas biodégradable, le PE Verde est par contre recyclable. Il pourrait donc

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Zéro émission carbone pour Natureflex Innovia Films a obtenu la certification CarbonNeutral pour l’ensemble de sa gamme de films compostables NatureFlex à base de cellulose. Afin d’obtenir cette certification, l’entreprise britannique a d’abord procédé à une comptabilisation des émissions de carbone dégagées lors de la production de ses matériaux, puis les a compensées en soutenant un projet de neutralisation d’émission de CO2, en l’occurrence un centre de digestion anaérobie aux Pays-Bas.

Un emballage hydrosoluble Parmi les bioplastiques les plus anciens, le Plantic de la société éponyme australienne, est un matériau issu de l’amidon qui se dissout au contact de l’eau.

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plastiques — et ils sont nombreux — issus de ressources agricoles vivrières telles que le blé, la pomme de terre, la canne à sucre, la betterave, a conduit à renforcer les programmes de recherche sur les ressources non vivrières. Les résultats n’ont pas tardé. Régulièrement, un peu partout dans le monde, des laboratoires annoncent des polymères obtenus à partir de plants de tabac, d’herbes folles et autres déchets verts. Les chimistes, quant à eux, investissent massivement dans des procédés qui visent à obtenir, par fermentation, carburants, compléments alimentaires, mais aussi encres et polymères à partir des sucres qui sont contenus dans les végétaux. Les déchets agricoles, mais aussi les algues, sont considérés comme d’immenses réservoirs de matières premières.

Gageons que la deuxième génération de bioplastiques, sera, pour l’essentiel, fabriquée à partir de ressources non vivrières.

Sans oublier qu’il existe déjà des plastiques qui, comme le NatureFlex du britannique Innovia Films, sont issus de plantes non comestibles comme l’eucalyptus.

Quoi qu’il en soit, la deuxième moitié de la décennie 2000-2010, marquée par la hausse du prix du pétrole et l’avènement des problématiques « climatiques » liées aux émissions de gaz à effet de serre, marque un nouvelle étape dans la stratégie de communication des fabricants de bioplastiques.

Le caractère renouvelable de la matière prend, en effet, le pas sur la biodégradabilité. Le raisonnement est simple : alors que d’un côté, les ressources fossiles comme le pétrole, sont destinées à s’épuiser, de l’autre, les ressources végétales pourront, elles, continuer de fournir à volonté la

emprunter les mêmes filières de valorisation que les autres plastiques et réapparaitre à nouveau sur le marché sous forme de matériau secondaire. Issu de végétaux, recyclable et effectivement recyclé : le plastique – encore honni par certains pour son image de matériau « pollueur » – acquiert ainsi une nouvelle image de marque, à l’instar de celle que le papier-carton revendique depuis des années : naturel, renouvelable, issu de forêts gérées durablement.

Qu’à cela ne tienne, aujourd’hui, à l’orée du deuxième millénaire, les producteurs de bioplastiques ont trouvé un nouveau sujet de communication. Et il n’est pas des moindres considérant les problématiques, brûlantes d’actualité, liées au réchauffement climatique : l’empreinte carbone. En effet, la plupart des plastiques d’origine végétale impliquent, de par leurs propriétés intrinsèques et les procédés de transformation qu’ils nécessitent, moins d’émissions de gaz à effet de serre (GES) que les plastiques d’origine fossile. Les producteurs ont tout de suite compris l’intérêt que la quantification de ces gains pouvait leur apporter. Elle leur permet de se comparer aux plastiques traditionnels, dans le but de remporter des marchés, en fournissant aux donneurs d’ordre des éléments d’appréciation très tangibles : tonnes de CO2 en moins, énergie économisée ; elle constitue une information de base, pour les producteurs d’emballages, en prévision d’une généralisation de l’étiquetage environnemental. Le bilan carbone devient ainsi un élément différenciateur parmi d’autres dans le choix d’une solution de conditionnement, au même titre que le prix, ses caractéristiques barrière ou sa machinabilité.

Tiziano Polito

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Tendance

L’emballage alimentaire dans l’ère du soupçon Du bisphénol A (BPA) aux huiles minérales en passant par l’aluminium, les alertes se succèdent à l’heure du principe de précaution. çon. Amines aromatiques primaires (PAA), phtalates : les alertes se succèdent régulièrement et peu de matériaux échappent aux suspicions. Régulièrement mis en cause pour son caractère neurotoxique et son lien possible avec la maladie d’Alzheimer, l’aluminium est brutalement revenu sur le devant de la scène au mois d’octobre avec le livre « Quand l’aluminium nous empoisonne… Enquête sur un scandale sanitaire » de Virginie Belle.

Curieux télescopages Cité dans le quotidien Le Monde, Guy Berthon, ex-directeur de recherche au laboratoire de chimie du Centre national de la recherche scientifique (CNRS), recommande de ne pas utiliser les capsules de café en aluminium, les barquettes alimentaires et autres boissons en canettes : l’aluminium « ne sert à rien dans l’organisme humain. Pire, à fortes doses ou à doses régulières, il est toxique », affirme le chercheur. L’Association française de l’alumi-

nium (Afa) a dénoncé, pour sa part, « un livre à thèse, construit autour de la question des vaccins, et non d’une enquête menée à charge et à décharge, distinguant chacune des utilisations incriminées ».

L’exemple de l’aluminium souligne toutefois les curieux télescopages qui peuvent se produire entre les recommandations des uns et des autres. Les défenseurs de l’environnement veulent ainsi supprimer l’eau en bouteille au motif que, en France, l’eau du robinet n’est pas chère et de bonne qualité ; cette dernière assertion est totalement remise en cause par Guy Berthon qui dénonce les teneurs trop élevées en sels d’aluminium utilisés pour clarifier l’eau potable. Boire un simple verre d’eau devient un choix décisif…

Dans la filière du papier et du carton, les huiles minérales dites Mineral Oil Hydrocarbons (MOH), Mineral Oil Saturated Hydrocarbons (MOSH) et Mineral Oil Aromatic Hydrocarbons (MOAH) sèment actuellement le trouble en Suisse et en Allemagne.

PAS DE DEHA CHEZ GLOBAL PLASTICS Spécialisé dans les films étirables, rétractables et d’operculage, alimentaires ou non, l’entreprise normande Global Plastics International bannit progressivement, depuis 2008, le di(2-éthylhexyl) adipate (DEHA) de sa production de films étirables alimentaires en polychlorure de vinyle (PVC).

Cette année, c’est sa gamme dite « Catering » (recharges, « cutterboxes », prédécoupés…), agréée cuisson micro-ondes pour un maximum de 140°C pendant une heure, qui n’est plus fabriquée avec ce plastifiant. « L’utilisation du DEHA étant source de multiples interrogations, l’Union européenne a préféré légiférer sur une limite de migration à 18mg/kg, explique la société de Fécamp (Seine-Maritime). C’est pour cette raison que nous avons souhaité appliquer le principe de précaution. »

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Le saviez-vous ? Quand on passe à table, on ne dit plus « Bon appétit ! » mais « Bonne chance ! »… La boutade est du penseur Pierre Rabhi qui intervient dans le film « Solutions locales pour un désordre global » de Coline Serreau. Les auditeurs de l’émission Service Public de France Inter du 6 octobre dernier consacrée aux nouvelles peurs alimentaires ont dû se dire la même chose : autour d’Isabelle Giordano, André Aschieri, ancien vice-président de l’ex-Agence française de sécurité sanitaire de l’environnement et du travail (Afsset) et auteur de « Mon combat contre les empoisonneurs » aux éditions La Découverte, André Cicolella, président du Réseau Environnement Santé (RES), et Gérard Bapt, député PS, médecin, membre de la commission des finances, spécialiste du budget santé, ont longuement disserté sur les carences des autorités sanitaires en s’appuyant, par exemple, sur le cas du bisphénol A (BPA) dont le RES demande l’interdiction totale dans tous les contenants alimentaires. Dénoncé comme étant un perturbateur endocrinien, le BPA est notamment présent dans certains plastiques comme le polycarbonate ou les vernis intérieurs des emballages métalliques.

Quelques jours auparavant, l’Agence européenne pour la sécurité des aliments (EFSA) venait de confirmer ses positions de 2006 et 2008 selon lesquelles le BPA ne présente pas de risques pour la santé. En commentant cette « décision ubuesque », le RES a estimé que l’EFSA « est aujourd’hui plus un lieu de lobbying qu’une agence en charge de la protection de la santé des Européens ». La France maintient toutefois son interdiction des biberons contenant du BPA au motif que les bébés sont plus fragiles que les adultes.

Le cas du BPA, objet de controverses depuis des années, montre à quel point l’emballage est entré dans l’ère du soup-

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Voilà qui a un petit goût d’isopropylthioxanthone (ITX) ! Mises en cause pour leur caractère cancérigène, ces huiles proviennent des encres utilisées pour l’impression des journaux — qui se retrouvent dans le circuit de recyclage des papiers et des cartons — et l’impression des emballages euxmêmes. Si les industriels se préparent à généraliser les encres à bas taux de migration, ils ne manquent pas de souligner que les doses en cause sont sans commune mesure avec, par exemple, une cuisson de viande au barbecue déconseillée par les toxicologues.

Les doses sont, en effet, au cœur des débats : les moyens d’investigation permettent désormais de trouver des substances à l’échelle de parties par million (PPM) voire de parties par milliard (PPB) dans les matériaux et les aliments. Comme migrations globales et spécifiques se jouent dans l’infiniment petit, la formule « Rien n’est poison,

tout est poison : seule la dose fait le poison » de Paracelse (1493-1541) prend toute son actualité. Les scientifiques ne tranchent pas tandis que le fameux principe d’inertie de l’emballage ne serait plus qu’un vœu pieux.

Suffisamment inertes Le règlement de référence 1935/2004 du Parlement européen et du conseil du 27 octobre 2004 concernant « les matériaux et objets destinés à entrer en contact avec des denrées alimentaires » pose pour principe de base que « tous les matériaux et objets destinés à entrer en contact, directement ou indirectement, avec des denrées alimentaires doivent être suffisamment inertes pour ne pas céder à ces denrées des constituants en une quantité susceptible de présenter un danger pour la santé humaine, d’entraîner une modification inacceptable de la composition des aliments ou d’altérer leurs caractères organoleptiques. »

La notion de « suffisamment inertes » ouvre des perspectives dans la notion de seuils…

Pris dans les débats constants, à l’heure du principe précaution, sur les dangers du sel, du sucre, du lait, des matières grasses ou encore les ravages du tabac et de l’alcool, les risques des pesticides et des organismes génétiquement modifiés (OGM), le développement des cancers, les promesses des nanotechnologies, les bienfaits des régimes alimentaires de toutes sortes ou des vertus du « bio » mais aussi l’obésité ou l’anorexie alors même que l’espérance de vie n’a jamais été aussi grande, l’emballage n’arrive pas à faire valoir que les carences mais aussi les intoxications alimentaires mortelles et autres toxi-infections alimentaires collectives (TIAC) sont devenues rarissimes dans les pays développés grâce aux progrès des techniques de conservation. Il y a comme un paradoxe...

Henri Saporta

RETROUVEZ-NOUS AU

SALON DE L’EMBALLAGE

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Sur les rayons jusqu’à 24 mois Dans nos laboratoires, de multiples expériences ont montré que SuperLock permettait de doubler, voire tripler, la durée de conservation de certains produits par rapport à un conditionnement dans un emballage plastique standard.

SuperLock : pour une communication maximale Grâce à la parfaite maîtrise de la technique de la décoration IML, toutes les surfaces de l’emballage sont disponibles pour pouvoir communiquer.Pour tous ces avantages et bien d’autres, SuperLock vient de recevoir à la fois le TROPHÉE DE L’INNOVATION CFIA 2010 et un SILVER STARPACK AWARD.

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• • • • UNE RÉELLE ALTERNATIVE

Superfos est le premier fabricant européen d’emballages en plastique moulé par injection.

Nous fournissons des emballages de qualité supérieure aux industries agroalimentaire, non alimentaire et des soins de santé. Sise au Danemark, la société Superfos emploie 1 400 personnes sur neuf sites de production répartis en Europe.

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alimentation

Comme le vin Lafitte célèbre ses 90 ans. Pour l’occasion, la société propose un foie de gras de canard entier des Landes millésimé 2010.

Comme un grand vin, le produit, élaboré à partir de canards traditionnels dits « à souche lourde » et gavés au maïs grain entier, se laisse vieillir et affiner à l’abri de la lumière. Conditionné dans un bocal à l’étiquette légèrement nacrée, proche de celles du monde du vin, il est présenté dans un coffret tiroir, dont le design est l’œuvre de l’agence Mediane. Le fond noir assure une meilleure mise en valeur. La boîte est revêtue d’un papier brillant, verni mat, imprimé par dorure à chaud. Un livret explicatif est glissé à l’intérieur.

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Bouchon à vis

Adepte des bouteilles métalliques, Heineken innove à nouveau avec un modèle muni d’un bouchon à vis, baptisé Twist pour la marque du même nom et Urban Bottle pour Desperados. D’une contenance de 33 centilitres, « pour répondre aux nouveaux modes de consommation du marché », elle allie « l’esthétisme de la bouteille et la praticité de la boîte en aluminium ». Le brasseur met en avant la légèreté du flacon, sa solidité, sa facilité d’ouverture et la refermabilité, ainsi que la modernité du matériau et la bonne conservation de la fraîcheur. Twist est la première application commerciale, par un acteur d’envergure internationale du moins, du concept Fusion du britannique Rexam. Son habillage a été développé en interne. Heineken la remplit dans sa brasserie de Mons-en-Baroeul, dans le Nord.

Bouteille soft touch à base de lactosérum et d’eau de coco additionnée de jus de fruits, d’extraits de plantes, de vitamines et de minéraux, Nesfluid Hydranutrition doit, comme son nom l’indique, réconcilier l’hydratation et la nutrition. Sur ce nouveau segment des boissons bien-être, Nestlé a créé six recettes pour les enfants, les jeunes adultes et les seniors. Avec un conditionnement adapté à toutes ces catégories : une bouteille de 250 millilitres, en polyéthylène téréphtalate (PET), élaborée par Alpla, fermée par un opercule aluminisé et un bouchon noir en polyéthylène (PE), à section carrée et cintrée pour une bonne prise en main et à large ouverture pour une consommation directe au flacon. Elle est habillée d’un manchon à effet « soft touch » imaginé par Raison Pure et imprimé par Fuji Seal. Ces boissons sont produites dans l’usine Nestlé de Biessenhofen en Allemagne.

Trois-en-un Le spécialiste des aides aux desserts et des épices Sainte-Lucie a, en partenariat avec un plasturgiste dont il souhaite taire le nom, développé – et breveté – un moulin trois-en-un. Sur un flacon en verre, il a clipsé un dispositif en polyacétal (POM) fermé par un couvercle et muni d’une languette d’inviolabilité. Il permet évidemment de moudre le poivre et le sel, mais aussi de verser les grains entiers en ôtant un embout dévissable transparent qui se trouve en son centre. Et, de la même façon, il peut être rechargé.

à emporter

Bol refermable Depuis sa nouvelle unité de Lessay (Manche), Créaline enrichit son offre d’une gamme de purées individuelles à réchauffer au micro-ondes. Disponibles au rayon frais, les six recettes originales élaborées se présentent dans des bols de 200 grammes, transparents, en polypropylène (PP), operculés et dotés d’un couvercle refermable, fournis par Europlastiques. L’agence Coconuts en a réalisé le design.

Pour concilier nomadisme et consommation de légumes frais, Czon (IDS) lance trois mélanges dans une barquette individuelle. La portion de 130 grammes se cuit à la vapeur en une minute au micro-ondes. La barquette comprend deux parties, l’une, intérieure, en polypropylène (PP), apte au contact alimentaire, et l’autre en carton, pour faciliter la préhension, qui sont collées et entre lesquelles est intégrée une fourchette, à retirer avant la cuisson. Elle est fermée par un opercule transparent à valve. Le design graphique est signé Armelia (Netco).

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communiqué

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PaPcart innovation, qualité, réactivité

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ociété indépendante créée en 1947 et implantée en Loire-Atlantique, PaPcart s’est imposé comme le spécialiste de la transformation et de la personnalisation du carton. L’entreprise sert divers secteurs d’activité, tels que l’agroalimentaire, les vins & spiritueux - un secteur majeur pour Papcart qui est aujourd’hui leader français des conditionnements Bag-in-box de petites contenances (3 litres) - et la fourniture pour papeterie.

Savoir faire

Fortes de leurs expertises en termes de conception d’emballages, les équipes de Papcart maîtrisent toutes les matières carton et leurs applications : la micro - cannelure, le carton compact ou encore les matériaux complexés (carton / papier, film). Cette particularité leur permet d’élargir l’éventail de produits en y intégrant les contraintes techniques spécifiques à chaque secteur.

Cette compétence multi-activités s’accompagne d’un parc machines complet et à la pointe de la technologie, fruit d’investissements majeurs (20 millions d’euros entre 2006 et 2010). L’usine principale de 51 000m2, implantée à Clisson (44), est divisée en trois unités de production autonomes. Papcart dispose notamment d’une hélio Bobst Champlain unique en France, dédiée au complexage, à l’impression, l’embossage, la coupe au repère et au bobinage. Le site abrite par ailleurs un centre logistique de 10 000m2 qui permet de gérer les commandes en temps réel par codes barres.

Une autre usine, située à Jarnac (16), est dédiée au façonnage du carton - contre-collage, gaufrage, découpe, pose d’accessoires – et à la logistique.

au Service deS clientS

Dans le cadre de son activité Vins & Spiritueux, Papcart a conclu une alliance commerciale avec Chesapeake. Ce partenariat permettra de créer des synergies afin d’élargir les gammes de produits ainsi que les offres de services des deux sociétés.

Le lancement de cette alliance a été marqué par la tenue d’un stand commun lors du dernier salon Pack & Gift, Porte de Versailles.

Pour accompagner le développement de ses clients, Papcart mise sur la réactivité, la qualité, la flexibilité. L’entreprise propose des prestations complètes, de la conception à la logistique. L’intégration d’un bureau d’études ainsi que d’un service Photogravure permet de réaliser des prototypes, d’élaborer des outils de découpe et d’assurer au client un suivi personnalisé avec un interlocuteur unique. L’équipement permet également de proposer des finitions (dorure, gaufrage) en grand format.

Afin d’assurer une production d’emballages respectueuse de l’environnement, l’entreprise a obtenu en 2009 les certifications PEFC (Programme de reconnaissance des certifications forestières) et FSC (Forest Stewardship Council) qui privilégient une gestion durable des forêts. En se montrant soucieux de l’origine de ses matières premières, Papcart confirme ainsi son engagement pour l’approvisionnement de ses cartons.

PAPCART l Zone industrielle le Fief du Parc l B.P. 39217 l 44192 CLISSON CEDEX l Tél : 02 40 54 03 62 - Fax : 02 40 03 99 34 l www.papcart.fr

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hygiène - beauté

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Coquet Avec le lancement de French Touch Absolu, Lancôme réinterprète un modèle emblématique de rouge à lèvres des années 1950. Ce rouge à lèvres fait partie de la collection « French Coquettes » imaginé par Aaron De Mey, directeur artistique maquillage de la marque.

Le design de French Touch Absolu est mis en valeur par son motif gravé en croisillons évoquant les lignes de la Tour Eiffel. Ce packaging est réalisé par Rexam. Le capot en deux pièces est gravé de l’emblème de la rose, la base du logo Lancôme. « La gravure et la sérigraphie devaient être parfaitement indexées, explique Carole Grassi, Category Manager au sein de la Division Rexam Personal Care. Le capot a d’abord été gravé, puis poli selon une méthode permettant de préserver la gravure avant anodisation, tout en obtenant un aspect brillant. Nous avons ensuite procédé à une sérigraphie argent doublée d’une tampographie, pour une parfaite indexation avec les motifs. La pièce interne du capot est en maillechort, alliage de cuivre, de nickel et de zinc, ici sélectionné pour son poids, son impact visuel et sa durabilité. »

Muguet intemporel Un siècle et demi après la naissance de René Lalique, Lalique Parfums lui rend hommage en lançant Fleur de Cristal. Les flacons renfermant ce nouveau parfum s’ornent d’une frette transparente compacte, moulée par injection en Surlyn, au cœur de laquelle de délicates clochettes de muguet semblent suspendues. C’est VPI qui a proposé et développé la tri injection de manière à encapsuler les 19 clochettes entre deux couches de Surlyn. Les clochettes de muguet ont été moulées avec un matériau spécialement mis au point avec le chimiste Dupont afin de garantir la finesse de leur forme et leur intégration complète sans déformation dans la frette. Le flacon en verre a été réalisé par les Verreries Pochet et Du Courval.

La pompe et capot métallique, surmoulé en Surlyn dans lequel est gravé le nom Lalique Parfums, sont fournis par Rexam, l’étui par Cartondruck.

Chic

Lifting

Clarins a confié le design de son dernier rouge à lèvres, Rouge Prodige, à un orfèvre. Jean Grissoni a créé un pack luxueux et sophistiqué. Détail chic : le « C » de Clarins débossé sur une arête du capot. Ce rouge à lèvres est réalisé en aluminium anodisé or par HCP.

Marque de soin, Polaar vient de procéder à la refonte complète de ses gammes : AgeDefy est une ligne de produits anti-âge, Ice Source des soins hydratants et ExtremeCare des soins réparateurs. à cette occasion, la marque a confié à Crystal Concept le renouveau de ses packagings. L’entreprise a revu le design et fourni des flacons arqués réalisés par extrusion-soufflage, en polyéthylène ou en polypropylène selon les références.

Accessoire Burberry, qui vient de lancer sa ligne de maquillage, propose un accessoire de sac contenant un gloss. Baptisé Lip Charm, il est formé de cubes en ABS et aluminium injecté, le tout galvanisé en couleur canon de fusil. Le Lip Charm est fourni par Jackel.

Trois en un Après Rimmel, c’est au tour de Nivea de proposer un mascara à trois effets. Le MaxVolume Twist est muni d’une bague à trois positions qui sert plus ou moins l’essoreur. Ainsi selon la position, la brosse est plus ou moins chargée en produit et dépose une quantité différente de mascara sur les cils. Selon son humeur, l’utilisatrice peut ainsi donner à ces cils un effet différent.

Ce packaging est produit par Geka.

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design

Caracas, 20 ans de création à Villeurbanne L’agence de design est spécialisée sur le secteur de la grande consommation.

Rencontre avec son directeur général, Hervé Guitaut.

Quelles sont les demandes des marques aujourd’hui ?

H. G. : Nos clients nous demandent de plus en plus de réflexion stratégique, de travail en amont. Il est important de bien connaître le positionnement d’un produit pour toucher le consommateur. Il faut ensuite du talent créatif pour transformer ce produit en quelque chose de séduisant ! Les MDD sont aussi désormais en demande de design packaging. Aujourd’hui, elles savent investir dans la création.

Avez-vous souffert de la crise économique ?

H. G. : Dire que nous n’avons pas été affectés serait faux : l’activité a un peu ralenti, nous avons eu des projets qui ont été reportés. Toutefois, nous avons beaucoup moins été touchés que la communication publicitaire. Quelque

Hervé Guitaut a fondé l’agence Caracas.

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Sur quels marchés évolue l’agence ?

Hervé Guitaut : Caracas est spécialisé depuis sa création, il y a une vingtaine d’années, dans la grande consommation. Nous travaillons aussi bien pour des marques nationales que pour des marques de distributeurs (MDD), sur tous les marchés – alimentaire, beauté, bricolage, produits bio, bureautique…

part, nous « sommes » le produit et les entreprises ont continué à mettre sur le marché des nouveautés.

La crise a-t-elle eu des conséquences pour votre profession ?

H. G. : La crise sert désormais de prétexte à la négociation, y compris pour les sociétés qui se portent très bien financièrement parlant ! Je n’ai pas l’impression qu’il y ait de chute dans les lancements de produits. Mais les sociétés

Votre façon de travailler a-t-elle changée ?

H. G. : Oui, cette nouvelle relation avec nos clients nous a nous-mêmes obligés à revoir notre relation avec nos partenaires. Avant, l’agence travaillait avec les photographes qu’elle aimait, sans trop se poser de questions. Maintenant nous leur demandons aussi de faire des efforts sur les coûts. à mon avis, cette tendance n’est pas passagère. à nous désormais de nous adapter à cette nouvelle façon de travailler sans dévaloriser nos créations. photo dr

Caracas reçoit un Pentaward Pour la troisième année consécutive, Caracas a été récompensé lors du concours international de design packaging, les Pentawards. En 2010, le jury a apprécié le travail de l’agence pour Maped sur la collection Tatoo et l’a récompensé d’un Pentaward de Bronze. « Nous travaillons depuis quelques années pour Maped, explique Hervé Guitaut, directeur général de Caracas. Pour la collection Tatoo, nous imaginons de nouveaux visuels tous les ans en adéquation avec l’air du temps. L’objectif est de réaliser un produit de mode accessible. » Cette année, l’agence s’est inspirée de l’univers manga et des badges. « Les lames des ciseaux sont marquées sur les visuels par une technique de sublimation. Le design graphique est aussi imprimé sur les blisters. »

veulent des solutions d’aussi bonne qualité, voire mieux, pour moins cher. La crise a dédouané des entreprises qui avaient encore quelques scrupules à proposer des compétitions non rémunérées. Ce type de compétitions se multiplie : même certaines grandes agences qui avaient affirmé qu’elles ne feraient jamais de compétitions non rémunérées, maintenant en font. C’est difficile car en général il y a au moins trois agences qui répondent à un appel d’offre.

Nous avons donc deux chances sur trois de travailler pour rien.

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Propos recueillis par Mirabelle Belloir

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Emballé comme promis.

Bosch.

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Emballage

22-25 novembre 2010 Paris Nord Villepinte Exhibition Centre Rendez-nous visite sur notre stand F056, hall 5A Nous serions heureux de vous accueillir!

Les systèmes d’emballage Bosch accomplissent la performance convenue. Jour après jour. Année après année. Ces emballages hermétiques protègent vos produits de façon optimale et leurs hautes performances accroissent l’efficience de vos installations. Un personnel expérimenté disposant d’un savoir-faire étendu assurent un service compétent dans le monde entier. Vous trouverez de plus amples informations sur www.boschpackaging.com

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machine

Automobilindustrie

Bauwirtschaft

Chemikalien

Kreativbranche

Landwirtschaft

Superfos co-injecte le plastique pour incorporer le recyclé Grâce à une presse Billion, le fabricant a réussi à produire des seaux contenant 40 % de matière secondaire entre deux couches de matière vierge.

Cavité

Unité d’injection de plastique recyclé

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Du recyclé en sandwich

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La couche de recyclé, visible en noir sur la photo, a été incorporée à l’intérieur de la paroi du seau.

Unité d’injection de plastique vierge

Le plastique est introduit dans le moule à partir de deux unités d’injection indépendantes.

pièces d’aspect, n’était pas encore utilisée dans le secteur de l’emballage, en tout cas pas dans la production de pièces à parois fines, par injection, et à hautes cadences. « Nous sommes parvenus à produire des seaux en polypropylène (PP) de format relativement important, de 15 à 17 litres, contenant de 30 à 40 % de matière recyclée, en l’occurrence un PP issu de la récupération de déchets ménagers », explique Laurent Morel, directeur commercial de la filiale française.

La production de seaux co-injectés a démarré depuis quelques mois dans l’usine que Superfos possède à Cuisery (Saôneet-Loire). Elle est mise en œuvre sur une presse développée par Billion qui compte deux unités d’injection indépendantes, l’une pour la résine vierge, l’autre pour la matière recyclée. Le cycle démarre par l’introduction de la résine vierge dans la cavité ; il se poursuit par l’envoi de la matière recyclée afin de pousser la première sur les parois du moule et la figer ; il se conclut par une dernière injection de matière vierge pour rincer les canaux. « La difficulté consiste à obtenir un front régulier de matière noble sur toute l’épaisseur. Il faut absolument éviter que le recyclé vienne percer la résine vierge »,

Les limites • un domaine d’application qui, pour l’heure, exclut l’alimentaire

confie Stéphane Navoret, Business Development Manager. Si la presse et l’outillage ne présentent pas de différences notables par rapport à une machine standard, Superfos concède que « la tête d’injection a nécessité un développement particulier ». à la différence des seaux fabriqués à 100 % à partir de résine recyclée – également au catalogue du fabricant danois –, les seaux co-injectés sont identiques à ceux fabriqués à partir de résine vierge : mêmes coloris, même brillance, mêmes possibilités d’impression offset. Les services marketing du client peuvent donc habiller leur produit comme ils le souhaitent. De plus, ils ont un argument supplémentaire pour communiquer : l’empreinte carbone de l’emballage, de 10 à 20 % inférieure à celle d’un seau en PP vierge.

Superfos cible avant tout les produits comme les peintures, les colles et les enduits. Pour l’heure, des applications dans le domaine alimentaire ne sont pas envisagées aussi parce que la filière du PP recyclé post consommation est encore mal maîtrisée et que le point d’injection représente une possible source de contamination.

Tiziano Polito

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analyse

POCHE DE SAUCE SOJA YAMASA Cette double poche est une révolution dans les sauces soja au Japon ! Elle devrait intéresser un grand nombre d’autres marchés de produits liquides périssables…

1. CHEZ L’INDUSTRIEL

La sauce soja est le condiment incontournable de la cuisine japonaise. On s’en sert aussi bien en cuisinant qu’en mangeant. Une petite bouteille verseuse est d’ailleurs disponible sur toutes les tables.

Une fois son emballage ouvert, la sauce soja ne peut se conserver que très peu de temps au réfrigérateur. En effet, ses qualités gustatives s’altèrent très rapidement au contact de l’air. C’est la raison pour laquelle, les petits conditionnements en verre de 150 à 200 ml représentent l’essentiel du marché. Yamasa propose

Vers un emballage harmonieux…

Président de P’Référence, Fabrice Peltier analyse un produit qui apporte par la bonne combinaison du travail des designers, du marketing et des industriels, des réponses efficaces sur l’ensemble du cycle de vie : chez l’industriel, de la création à la production ; chez le distributeur, du carton au linéaire ; chez le consommateur ; enfin, lorsqu’il devient déchet. www.p-reference.fr

3. CHEZ L’UTILISATEUR

désormais un conditionnement de 500 ml qui permet de conserver intactes toutes les qualités de sa sauce pendant 70 jours à température ambiante !

Cet exploit est rendu possible grâce à un emballage souple révolutionnaire. Il s’agit d’une poche à fond plat qui referme un sachet beaucoup plus fin contenant la sauce. Son système d’ouverture est étudié pour empêcher l’air d’entrer lorsque l’on vide la sauce. Ainsi, cette double poche est exemplaire : elle assure une parfaite inviolabilité du produit, elle protège son contenu encore plus longtemps, elle offre une qualité de service irréprochable, elle est réalisée avec peu de matériau et elle tient peu de place dans notre poubelle.

Pour ouvrir le premier sachet qui assure l’inviolabilité, il suffit de tirer la languette selon les pointillés, pour le second qui contient la sauce, il convient d’être plus délicat, en pinçant l’ouverture, pour éviter de faire entrer de l’air. Enfin pour verser, il ne faut exercer aucune pression sur la poche. En penchant l’emballage, la sauce coule toute seule et l’air ne rentre pas. En le redressant, le flux s’arrête et l’ouverture se referme toute seule de façon quasiment hermétique.

Une ligne transparente sur la hauteur de la face avant indique la quantité qui reste contenue dans l’emballage.

Le commentaire de Fabrice Peltier Un emballage très fonctionnel.

Le commentaire de Fabrice Peltier

2. CHEZ LE DISTRIBUTEUR

4. À LA POUBELLE

Dans le rayon, nous ne voyons que la poche de Yamasa, tant elle se démarque des autres conditionnements du marché. Sa large surface d’expression permet d’inscrire en grand la marque « Une goutte toujours fraîche », ainsi que d’expliquer clairement et visuellement tous ses atouts et son mode utilisation. En périodes promotionnelles, un support est offert ; celui-ci est très pratique car il permet de mieux manipuler la poche.

Le bilan carbone de cet emballage est sensiblement amélioré par rapport aux autres formules de conditionnement du marché.

De plus, au Japon, il est présenté comme un déchet d’emballage peu volumineux et recyclable…

Le commentaire de Fabrice Peltier Un emballage dont l’impact, la lisibilité et l’attractivité sont optimums.

Le commentaire de Fabrice Peltier Un emballage dont l’impact environnemental est amélioré.

photos : P’RÉFÉRENCE

Une véritable innovation emballage digne du vingt et unième siècle !

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Sémiotique

Désirs de noir

POUR SE DéMARQUER

Signification Comment sortir du lot et attirer l’attention sur soi quand on est une marque peu connue ? Le noir semble être un moyen pour y parvenir. Le noir peut soutenir un concept qui se veut étonnant : un étui souple de la farine est totalement inhabituel dans cette catégorie de produits.

Visibilité Un packaging de farine noir ne peut que ressortir du lot, la catégorie étant bien évidemment dominée par des teintes claires symbolisant la pureté et la légèreté de la farine.

Utilisation Le contraste noir/blanc permet de renforcer l’intensité et l’éclat du blanc.

L’intérêt sémiologique est donc une mise en valeur de la couleur du produit qui est une donnée importante aux yeux du consommateur. En revanche, le noir est peu appétissant et risque de nuire grandement à la représentation des qualités sensorielles et gustatives du produit en question.

POUR LE FUN

Signification Le noir est joué comme une couleur anticonformiste. On la retrouve, à ce titre, dans la tenue de certains adolescents rebelles. Dans le domaine du packaging, le noir se veut fun, décalé et pas sérieux : il habille donc les produits destinés aux adolescents qui communiquent et souhaitent voir les marques communiquer comme eux : sur le mode du délire.

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Dans quels contextes les aliments gagnent-ils à s’exprimer à travers la couleur noire ? Réponses.

le décodage de marina cavassilas Chaque mois, Marina Cavassilas, directrice de la société Semiopolis, dévoile un extrait de sa veille e-signs des codes et stratégies packagings de grande consommation.

Les sens véhiculés par les packagings sont analysés avec la méthode Semio-pack et leur visibilité avec la méthode Ad’ttractive. www.semiopolis.fr

Visibilité Le noir, sauf dans le linéaire des gâteaux ou des tablettes de chocolat, a de grandes chances d’attirer l’attention du « shopper ».

Utilisation Bien que drôle et décalé, le noir induit quasi systématiquement deux idées : une idée de prix élevé et de qualité haut de gamme et une image sensorielle de goût au chocolat. Il est donc « dangereux » d’utiliser le noir pour des gâteaux qui ne sont pas au chocolat car le consommateur aura du mal à imaginer le contraire…

Pour le bio

Signification Depuis peu, quelques packagings Bio se démarquent avec du noir. Cela est particulièrement étonnant dans le cas de marques dont le positionnement est axé sur la vie, l’énergie et le soleil, valeurs traduites par des couleurs vives et chaudes à l’opposé en théorie du noir.

Visibilité Ces packagings ressortiront nettement en linéaire ou seront occultés du fait de leur trop grande étrangeté dans le rayon Bio dominé par le vert, le jaune, le blanc ou le beige.

L’intérêt est de signifier le luxe, le haut de gamme et l’absence de tout additif par simple métaphore.

Attention cependant car dans le domaine des produits d’entretien, le noir associé à l’orangé est le symbole du poison…

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Utilisation

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ASIE

Quand la Chine s’emballera... photo dr

Le géant asiatique offre un fort potentiel de développement avec une pluralité de profils de consommateurs…

Dans la valise DE FLORENCE BERNARDIN

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Information et Inspiration, créée en 2003 par Florence Bernardin, est une agence spécialisée dans la veille marketing en Asie et plus particulièrement au Japon et en Corée, des pays très créatifs.

Cette découverte de packagings, concepts, textures, modes de distribution et communication, enrichit la réflexion. www.info-inspiration.com

L’ouverture économique de la Chine et la transformation de sa société de consommation sont encore récentes. C’est en 2003, avec l’arrivée au pouvoir du président Hu Jintao, que le développement de la consommation intérieure est devenu une priorité du gouvernement. Cependant la Chine présente des chiffres vertigineux : 1 345 millions d’habitants, soit un PIB par habitant de 3 600 dollars, 200 millions de jeunes consommateurs de moins de 30 ans, soit trois fois la population française. En 2009, quand le consommateur occidental restait déprimé, les ventes de détail en Chine bondissaient de 17,5 %… Le marché du luxe y réalise des merveilles, les chaînes de supermarchés sont en expansion : Carrefour, WalMart, Shanghai Hualian, RT-Mart…

Les consommateurs actuels et potentiels sont donc nombreux, mais avec encore peu de repères, puisque c’est un nouveau système qui se met en place. Face à l’offre du marché, on peut remarquer que de nombreux codes packaging font encore références à des valeurs classiques et culturelles chinoises : les couleurs des produits les plus consommés et partagés, comme les alcools de riz, sont pour la plupart développés sur les symboles de la Chine traditionnelle à savoir le rouge, couleur de la passion, de la joie, du bonheur et de la prospérité ou le jaune, couleur du pouvoir longtemps réservée à la cour impériale.

La symbolique des chiffres et de leurs combinaisons est également très importante comme le chiffre « 8 » symbole de la richesse et du bonheur ou encore le « 9 », symbole de longévité. Le groupe pharmaceutique China Resources Sanjiu Medical & Pharmaceutical commercialise ainsi la très populaire marque de médicament 999, un nombre presque garant d’une triple longévité ! Le chiffre « 6 » est également symbole de réussite. Les plaques d’immatriculation ou numéro de portable comportant une séquence de ces chiffres s’achètent à prix d’or… Mais attention au « 4 » dont la prononciation est similaire au mot « mort ».

« Jia Le Fu » La traduction des marques et enseignes en chinois se doit d’associer au plus près la phonétique originale à une signification symbolique à résonance positive des valeurs portées par celles-ci. Carrefour dont la traduction en chinois signifie « Famille, joie et bonheur » se prononce « Jia Le Fu ».

Le calendrier chinois est essaimé de fêtes traditionnelles donnant lieu à des achats de confiserie à partager entre amis et en famille. Une des fêtes les plus populaires, maintenant jour férié, est celle de la fête de la Lune, symbole de la réunion familiale fêtée cette année le 22 septembre. Les nombreux coffrets cadeaux proposant les pâtisseries traditionnelles dégustées ce jour déploient également, tant par leur code couleur que

leur assortiment, tous les symboles du bonheur et de la prospérité.

Cependant pour ces nouveaux consommateurs, d’autres aspects très importants ne doivent pas être négligés : l’aspect statutaire d’un cadeau de prix affiché dans l’emballage extérieur permettant de montrer à tous les types de produit acheté représenté en photo ou imprimé de façon visible sans déballer le produit. La facilité de transport des produits pour des consommateurs qui se déplacent majoritairement en transport en commun ou en vélo. La possibilité de découvrir ou tester les nouveautés par de petits formats, de petits contenants, des mono-doses également économiquement accessibles à tout type de pouvoir d’achat. Enfin les valeurs de réassurance et de reconnaissance portées, entre autre, par le rôle prépondérant des icônes et stars chinoises dont les images sont multipliées sur tous les produits possibles.

En conclusion, si la Chine possède un marché à très fort potentiel de développement, la pluralité des profils de consommateurs à satisfaire est encore très diversifiée. Les codes traditionnels chers aux Chinois ont un sens profond, identifiables par la majorité, et restent des valeurs sûres sur lesquelles aujourd’hui les plus grandes marques locales et internationales capitalisent.

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en rayon

LES DOSETTES DE CAFé

dans le panier de l’indp

Le segment des dosettes de café se diversifie au fil des mois. Le choix devient difficile...

CUBE

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Des capsules rigides thermoformées en polypropylène, dites « intelligentes » grâce à l’ajustement de la pression pour une préparation optimale de la boisson.

Elles sont conditionnées dans un étui cubique aux lignes contemporaines où le blanc domine et le visuel prend une place importante.

Chaque mois, l’INDP analyse les packagings d’un rayon de la grande distribution en fonction des attentes du consommateur en matière de coût, de fonctionnalité, de différenciation et d’écodesign. L’Institut national du design packaging fédère les designers, les responsables marketing ou packaging, les distributeurs et les fabricants d’emballages. www.indp.net

DISTRIBUTEUR

SENSORIEL

éCONOMIQUE

CONVIVIAL

Des capsules rigides développées par une grande marque de café et compatibles avec les machines non moins connues, protégées par une multitude de brevets. De forme identique, celles-ci sont en plastique perforé des deux côtés, et emballées individuellement dans un sachet hermétique. Elles sont vendues dans un étui élégant à base carrée présentant de belles finitions d’impression.

Ces dosettes rigides « T disc » faites d’aluminium, de polyester et de polyéthylène sont présentées dans deux distributeurs conditionnés dans un sachet complexe de regroupement. Au dos du packaging, on découvre les autres cafés de la gamme positionnés sur une échelle d’intensité. La forme de la dosette est reprise pour la création d’un cartouche en facing du distributeur pour promouvoir l’univers de la marque.

Par son packaging, ce café se différencie de ses concurrents avec un univers plus traditionnel et artisanal dû à son « sachet kraft ».

La typographie et les couleurs utilisées y contribuent également, alors que l’emballage – un Doypack – est quant à lui moderne avec système refermable. Un sticker odorant est placé sur le facing de ce café aromatisé proposé en dosettes souples neutres.

Ces dosettes souples estampillées de la marque de la machine ont l’avantage de pouvoir afficher cette dernière, pour un meilleur repérage. Elles sont conditionnées dans un sachet complexe, sur lequel le visuel d’une tasse de café, à la mousse onctueuse, signée de l’initiale de la marque, occupe une large place.

Ce sachet au format familial qui rappelle le côté convivial et chaleureux de la marque, propose une typographie et un code couleur évoquant un côté bistrot. Les teintes utilisées en fonction des types de café permettent un meilleur repérage en rayon. Les dosettes souples en cellulose type « PAD » portent le logo de la marque.

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PREMIUM

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INNOVATION TECHNOLOGIQUE ET RISQUE JURIDIQUE Lors d’une table ronde des Journées de l’Emballage à Reims les 21 et 22 septembre 2010, les participants ont montré les risques de l’innovation.

Par définition protéiforme, l’innovation peut concerner de nouvelles fonctionnalités, par exemple, proposer aux utilisateurs des emballages actifs ou intelligents. Les matériaux et objets actifs permettent de prolonger la durée de conservation voire d’améliorer l’état des denrées alimentaires emballées. Ils sont conçus de façon à incorporer délibérément des constituants qui libèrent ou absorbent des substances dans les denrées alimentaires emballées ou dans l’environnement des denrées alimentaires. Les matériaux et objets intelligents contrôlent l’état des denrées alimentaires emballées ou l’environnement des denrées alimentaires.

Ces matériaux sont donc sensibles : ils possèdent des fonctions qui leur permettent de se comporter comme un capteur (détecter des signaux), un actionneur (effectuer une action sur son environnement) ou parfois comme un processeur (traiter, comparer, stocker des informations). Le matériau va donc adapter sa réponse, signaler une modification apparue dans l’environnement et dans certains

cas, provoquer une action de correction.

Le caractère actif ou intelligent d’un emballage et la nouveauté de ces technologies peuvent perturber plus d’un consommateur. Imaginons la réaction d’une maman qui donne à son bébé un bouchon en plastique pour que celui-ci le morde avec ses premières dents et qui voit bébé prendre un « shoot » d’oxygène parce que le bouchon en question est un absorbeur d’oxygène.

Vis-à-vis de l’utilisateur final, l’innovation ne peut être mise sur le marché que si elle est accompagnée d’une information adaptée.

Le droit normalise la manière dont cette information doit être réalisée : – renseigner l’utilisateur sur le fonctionnement de la technologie : sachez que le bouchon de l’emballage fait l’objet d’une nouvelle technologie qui permet au produit de se conserver plus longtemps ; – conseil donné à l’utilisateur pour qu’il utilise la technologie de manière pertinente : vous devez quand même mettre au réfrigérateur le produit dans son emballage ; – alerte sur les utilisations non souhaitées mais qui doivent être obligatoirement anti-

Innovation volée Mettre sur le marché un produit innovant, c’est être sûr de se faire copier par des fabricants peu scrupuleux. Pour se protéger, les entreprises disposent d’une panoplie de procédures prévues par le code de la propriété intellectuelle ou par la pratique des affaires : • Les dessins et modèles pour protéger le visuel • Le brevet pour protéger l’invention • Le droit d’auteur pour protéger l’originalité • La marque pour associer un terme distinctif à une innovation

• Le secret pour protéger son savoir-faire • La convention de confidentialité pour protéger l’idée On le voit, à chaque besoin le droit apporte une réponse. Mais chacune de ces réponses présente des avantages et des inconvénients. Ainsi, le brevet donne un monopole d’exploitation pendant 20 ans mais coûte cher. Le secret est économique mais si un concurrent arrive à le mettre à jour on ne peut pas bloquer les copies qui ne violent aucun monopole.

Tous ces modes de protection sont traités dans la nouvelle formation « Protection juridique des emballages » au catalogue 2011 d’Emballages Magazine.

Photo E. Le Gouhy

réglementation

le point de sylvain martin Avocat à la cour avocat@sylvain-martin.com

cipées par le fabricant : ne laisser pas vos enfants jouer avec l’emballage.

Innovation et responsabilité financière Si malgré ces informations un accident survient, le droit européen prévoit l’obligation pour le fabricant (ou son distributeur si le fabricant a disparu ou est installé dans un pays lointain) de réparer financièrement les dommages corporels subis par l’utilisateur.

Le fait que la blessure résulte d’une nouvelle technologie, qui n’est donc pas encore bien maîtrisée par les clients et même par le fabricant, ne dégage pas ce dernier automatiquement de sa responsabilité.

En effet, le fabricant est responsable de plein droit à moins qu’il ne prouve : – que le défaut ayant causé le dommage n’existait pas au moment où le produit a été mis en circulation par lui ou que ce défaut est né postérieurement ; – que l’état des connaissances scientifiques et techniques, au moment où il a mis le produit en circulation, n’a pas permis de déceler l’existence du défaut. Dans cette exception, le fabricant doit prouver que le défaut de l’innovation était totalement inconnu de tous les scientifiques de la planète.

Le règlement européen n°1935/2004 du 27 octobre 2004, concernant les matériaux et objets destinés à entrer en contact avec des denrées alimentaire et son règlement d’application n° 450/2009 du 29 mai 2009, concernant les matériaux et objets actifs et intelligents qui valident la commercialisation de ce type de technologie n’assureront l’impunité juridique que si l’accident résulte d’une règle impérative de l’un de ces deux règlements. Or, ceux-ci ne valident pas la technologie innovatrice en elle-même.

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le brief

Selon l’hypothèse Biophilia de Kellert et Wilson, se reconnecter à la nature procure un sentiment de bonheur précieux pour les urbains. actère r le car u e l a v n ee ter, 4 Mettr e de la nature uoi subsis age) de q grande satisir v u a a it (s il re t tu u aces rocure une dans la na

cessité, p oi-même t des esp Prélever s ela n’est pas une néent astucieusemen vec le concept a c g , i même s s urbains aména ents frais. Philips uction alimene faction. L er et élever des alim it à intégrer la prod qui risque de pour cultiv domestique, réfléch isine, un concept ution. ib u de Ferme tement dans sa c entaire et sa distr au plus proche taire direc r l’industrie agroalimdu faire soi-même té en ville, une e boulevers ner cette demande ns en grande majoritique tel que le g a p m o c nous vivo n packaging didac ris Chapman.

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est directrice des études de l’agence Polygone Group. Elle est l’auteur des études de tendances Dezineo pour un regard transversal sur une évolution sociétale, pour nourrir toute réflexion packaging.

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t e étant d ns à la m tication e La sophis r limite. Tout artific ertis, nous assisto transformé posv atteint leu consommateurs a t unique, le moins é est yeux des l’ingrédient souveni. industrialis valeur de ci preuves à l’appu Dire qu’un produit nseillé de mettre sible et ce au greenwashing ! uant guère, il est cosoin apporté à en Attention turel » ne convainq ients naturels et le ommateurs d’en s a « 100% n s qualités d’ingréd possible. Aux con le en scène le plus de naturalité aturalité. n conserver le pourcentage de r ie c ré p p a

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respe es ris La peur d ez les urbains. La e forme de lien tr h u c a e e ré n u itaires anc ranties san geant est s’en protéavec celle-ci. Des gad’approvisionneconscient rantes, des délais avec l’envie des plus rassu courts vont de pair duits plus crus, ment plus ateurs pour des profragiles et potenconsomm sformés mais plus at actuel soulevé moins trandangereux. Le déb pour le droit de is tiellement tants aux états-Un est significatif de ili ru m c s it le la r u d pa nsommer pouvoir co ment. écessitent e g s vivants n pté pour n lu p , s ce cha ru c a its plus llage ad t Des produ un emba ces qualités tou r e rv e s nsomo c pré s le t n en rassura. Le matériau mateurs e d’emballage spécifiqu r Del Montes adopté pa fraîcheur des prolonge larend possible t bananes e rcialisation en e sa comm tomatique. n au distributio

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Point de vue

Les résultats de migration globale permettent-ils d’éviter le contrôle de certaines migrations spécifiques ?

La réponse de Ianesco.

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Accrédité par le Cofrac depuis 1996, Ianesco réalise les essais de migration globale et spécifique pour les objets destinés au contact des aliments depuis plus de cinquante ans. Il est le premier laboratoire en France à être accrédité pour les migrations spécifiques des amines aromatiques primaires des phtalates et des antioxydants pour les matériaux en plastique.

L’utilisation d’un plastique destiné au contact des aliments n’est pas envisageable si les résultats des tests de migration, servant à vérifier son inertie, ne sont pas conformes aux limites fixées par la réglementation. Le but est d’écarter tout danger pour la santé humaine et toute modification inacceptable de la composition de l’aliment. Migration, d’accord, mais peut-on éviter de multiplier les essais ?

Que dit la réglementation ?

La directive 2002/72/CE modifiée, concernant les matériaux en plastique destinés au contact alimentaire, stipule que « le contrôle du respect des limites de migration spécifique n’est pas obligatoire s’il peut être établi que le respect de la migration globale implique que les limites de migrations spécifiques ne sont pas dépassées ». Cette procédure est envisageable dans les cas suivants : la substance concernée n’est pas volatile ; la limite de migration spécifique (LMS) fixée par la directive est au moins supérieure à la tolérance analytique liée à la mesure de migration globale, soit 12 mg/kg pour les simulants aqueux (eau, acide, éthanol) et 20 mg/kg pour l’huile.

Que faut-il envisager en fonction des composés chimiques soumis à restriction ?

• Exemple n°1 : La migration globale d’un pot en plastique est inférieure à 1 mg/kg dans l’acide acétique 3 % et égale à 8 mg/kg dans l’huile d’olive.

La détermination de la migration du butadiène (LMS : < limite de détection (LD) = 0,02 mg/kg) sera nécessaire car ce composé n’est pas quantifié lors de l’essai de migration globale. De surcroît, la sensibilité de la mesure de migration globale ne permet pas de mettre en évidence des migrations de cet ordre.

Le contrôle de la migration du tris (nonylphényl) phosphite (antioxydant) ne sera pas nécessaire car la LMS (30 mg/kg) est supérieure aux valeurs de migration globale mesurées, tolérance analytique comprise.

La migration des amines aromatiques primaires (LMS : < LD = 0,01 mg/kg) sera nécessaire mais elle peut être déterminée uniquement dans l’acide acétique 3 %, qui est le simulant le plus extractif de ces composés.

• Exemple n°2 : La migration globale d’un tuyau en plastique est inférieure à 1 mg/kg dans l’acide acétique 3 % et

photo dr

évitons de multiplier les analyses !

Maryse Favard est la responsable du secteur des matériaux et emballages au sein de l’Institut d’analyses et d’essais en chimie de l’ouest (Ianesco) qui est implanté à Poitiers (Vienne).

égale à 9 mg/kg dans l’éthanol 15 %.

La migration du phtalate de butylbenzyl (BBP) ne sera pas nécessaire (LMS = 30 mg/kg) car les résultats de migration globale indiquent que la LMS sera respectée.

La migration du DEHP sera requise (LMS = 1,5 mg/kg), elle peut néanmoins être menée uniquement dans l’éthanol 15 %, simulant plus sévère que l’acide acétique pour cette molécule.

La migration du 2,4-bis (octylthiométhyl)-6méthylphénol (LMS = 6 mg/kg) sera nécessaire car les valeurs de migration globale prenant en compte la tolérance analytique ne permettent pas d’assurer que cette limite sera respectée.

Rappels Le contrôle de la migration spécifique peut être omis s’il peut être établi que dans le cas d’une migration totale de la substance résiduelle dans le matériau, la limite fixée par la réglementation ne sera pas dépassée.

La migration d’une substance donnée peut être estimée par l’application de modèle de diffusion. Toutefois, la non-conformité du matériau devra obligatoirement être démontrée par une analyse de migration.

En résumé Le contrôle des migrations des matériaux en plastique nécessite un échange important entre le laboratoire et le fabricant de matériaux, afin que les essais soient définis au mieux et puissent assurer le respect des exigences réglementaires, sans une multiplication inutile des analyses.

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Emballages Magazine

CARNET éCO-EMBALLAGES

tuée à l’ambassade de France en Allemagne que ce spécialiste de la biologie et de la biodiversité compare les systèmes de valorisation des emballages avec éco-Emballages en France et Duales System Deutschland (DSD) en Allemagne. Puis Jan Le Moux entre comme consultant en développement durable chez Ernst & Young. Des missions qui le mènent aussi bien auprès des collectivités locales que des entreprises... Après un passage au sein de l’Agence nouvelle des solidarités actives, Jan Le Moux rejoint donc éco-Emballages. Et devient administrateur du Conseil national de l’emballage (CNE).

Diffuser les bonnes pratiques de prévention, tout en valorisant l’utilité des emballages qui permettent d’éviter le gaspillage : telle est désormais la feuille de route de Jan Le Moux.

Nomacorc

Maurizio Ugliano intègre le pôle de recherche dédié à l’oxygène du fabricant de bouchons synthétiques. Il est chargé de recherche en œnologie et supervise les recherches de Nomacorc en partenariat avec l’Institut de recherche vitivinicole australien (AWRI), l’université de Californie-Davis (états-Unis), l’Institut national de la recherche agronomique (Inra), l’Université catholique du Chili et le Centre de recherche de Geisenheim (Allemagne).

Docteur en biotechnologie alimentaire, il a notamment travaillé pour l’AWRI sur la chimie des arômes, la microbiologie et la gestion de l’oxygène.

PKB

Henri Saporta

VIROJANGLOR

Après sept années en qualité de responsable achats et développements de Piper-Heidsieck (groupe Remy Cointreau), Eric Boin, 40 ans, ingénieur Esiec, intègre Virojanglor en tant que directeur général adjoint. Il prendra notamment en charge le développement de la nouvelle activité de fabrication par injection de boîtes et coffrets haut de gamme en plastique, désormais proposée par la société.

Eric Boin a effectué toute sa carrière dans l’agroalimentaire, de 1994 à 1998 chez Lindt & Sprüngli, puis chez Remy Cointreau (pour la marque Cointreau jusqu’en 2003 puis pour Piper-Heidsieck). Spécialisé dans l’emballage promotionnel de luxe et la boîte en métal décorée et basé au Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis), Virojanglor vient de mettre en place un partenariat avec une usine d’injection plastique en Chine. L’entreprise a réalisé un chiffre d’affaires de 10 millions d’euros en 2009.

photo dr

Eric Boin injecte du plastique dans le métal

Seufert Transparente Verpackungen

Alex Bonnineau prend en charge le développement commercial en France de la société allemande, spécialisée dans l’emballage imprimé et façonné en PET et filiale d’Iléos. Il travaillait depuis dix ans au sein d’Alliora (coffrets de luxe), autre société du groupe.

AVERY DENNISON

Michel Schuetz, la planification et la qualité

VPI photo dr

Le nouveau vice-président et responsable des opérations et de la chaîne logistique de l’américain Avery Dennison en Europe est un homme du sérail. Entré dans le groupe d’identification et de solutions d’information en 1994 comme directeur de l’usine de Rodange (Luxembourg), Michel Schuetz a gravi les échelons pour devenir un spécialiste de la planification et de la gestion des aspects techniques et de la fabrication. Il était dernièrement responsable du centre européen de la division « roll materials, graphics and reflective products » et de l’unité d’adhésifs polymères haute performance en Suisse. Ce Luxembourgeois, ingénieur en mécanique diplômé de l’université technique de Kaiserslautern (Allemagne), titulaire d’une ceinture noire Six Sigma, présente donc le profil idoine pour diriger tout à la fois les opérations, le réseau de distribution, la chaîne logistique, la planification, l’ingénierie et la qualité et prendre en charge le processus d’amélioration continue dans ces secteurs.

Cyril Hourmand a pris la direction industrielle du constructeur français de machines de conditionnement de parfums et cosmétiques. Il possède une expérience de 20 ans dans la construction mécanique, dont une partie à l’international. Pascal Renaudin est nommé directeur de PKB Inc. aux étatsUnis. Il était responsable export de PKB France sur les zones Amérique du Nord, Asie, Afrique et Moyen-Orient.

Olivier Gricourt - Projet de 3e année

Amateur de musique classique et de romans policiers, Jan Le Moux, 35 ans, est arrivé chez Eco-Emballages, il y a quelques semaines, pour mettre en place le nouveau département prévention de l’écoorganisme en charge de la valorisation des emballages ménagers. Le Grenelle prévoit un objectif de recyclage de 75 % en 2012 contre 63 % aujourd’hui, un saut considérable qui doit s’accompagner d’une réduction de 100 000 tonnes de matériaux mis sur le marché. Une « mission passionnante » pour cet ingénieur agronome diplômé en 1998 de l’Institut des sciences et industries du vivant et de l’environnement (AgroParisTech) qui affiche une connaissance approfondie du principe de la responsabilité élargie du producteur (REP), « un modèle original ». C’est, en effet, dans le cadre de sa coopération effec-

photo pascal Guittet

Jan Le Moux, un spécialiste de la REP

Patricia Raphel rejoint l’équipe commerciale en qualité de directrice de pôle. Elle dirigeait un pôle commercial chez Reed Business Informations (Stratégies, Directions) après avoir été directrice commerciale chez Next Régie et directrice de publicité de 01 Réseaux chez Tests. Patricia Raphel remplace Céline Viggiani, partie vers de nouveaux horizons.

Dominique Chaslin est nommé directeur industriel et développement du spécialiste des pièces esthétiques injectées. Ancien élève de l’Institut supérieur de plasturgie (Ispa), il a été responsable du développement process beauté monde chez Alcan Packaging et directeur technique d’Europlastiques.

Gilles Vanhelst est nommé responsable grands comptes. Il était directeur des ventes pour l’Europe de Risdon International.

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indices de production

BAROMèTRE Déclin estival

Le mois d’août est un mois atypique pour l’industrie. La production baisse automatiquement du fait des fermetures d’usine pour cause de congés annuels. L’emballage ne fait pas exception. En août dernier, l’indice de production est passé de 99 à 81 points ce qui représente une baisse de 18,3 %. Note positive : en 2009, 2008 et 2007, l’activité s’était réduite de manière encore plus marquée.

En août 2010, la production a baissé un peu partout. Le papiercarton et les plastiques affichent un recul de 22 % et de 25 % respectivement. Le bois, plus touché, se replie de 31 %. Seul le verre sauve la face avec une production en hausse de 1,2 %. Sur un an, l’indice de production augmente de 5,3 %.

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papier-carton

75

115 110 105 100 95 90 85 80 75

DERNIER MOIS

SUR 1 AN

-22%

+4,8%

-18,3%

110

+5,3%

105 100 95

92

90 85

81

80 75 .

2009

115 110

2010

DERNIER MOIS

SUR 1 AN

-24,7%

+1,2%

105

99

100

94

95 90 85

. .

110 2009 2010 105 100 Les sacs dévissent 95 papier-carton fait face à une baisse de l’activité de -22 %.

Le 90 Toutes les composantes de cette industrie souffrent. La plus mauvaise performance nous vient des sacs, en chute de 33 %, 85 alors 80 que les caisses déclinent de 21 %. Sur un an, l’indice progresse de 4,8 %.

75 70

DERNIER MOIS

SUR 1 AN

+1,2%

+13,5%

82

80

78

110

75 . .

110 2009 2010 105 100 Les sacs en PE se dégonflent 95 La production d’emballages en plastique a diminué de près 90 de 25 %. Les sacs et sachets en polyéthylène (PE) régres85 sent de 44 % alors que les bonbonnes, bouteilles et flacons 80 marquent une baisse de 30 %. Malgré tout, sur un an, l’in75 dice croît de 1,2 %.

70 65 DERNIER MOIS SUR 1 AN

-30,9%

110

105

105

100

100

95

95

+3,1%

91

90

90

85

84 82

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80 75

75

70

70

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65 .

.

2009

2009

2010

2010

Les bouteilles en hausse

Les caisses en chute libre

En contre-tendance par rapport au reste de l’industrie de l’emballage, la filière verre progresse de 1,2 %. On doit cette hausse aux bouteilles, qui marquent un bond de 7,5 %. Les pots et bocaux et le flaconnage perdent respectivement 9 % et 7%. Sur un an, l’indice augmente de 13,5 %.

La baisse est sévère du côté de l’emballage en bois. à l’exception de l’emballage léger, qui ne recule que de 3 %, toutes les composantes de cette industrie regressent lourdement, notamment les caisses qui chutent de 55 %. Sur un an, l’indice diminue de 3 %.

bois

verre

SUR 1 AN

DERNIER MOIS

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plastiques

filière

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Cette page a été réalisée en collaboration avec l’INSEE

Données brutes

Tendances

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BAROMèTRE

prix des matières premières

papiers et cartons récupérés

Les ondulés en flèche Emballages Magazine publie le relevé des prix des papiers et cartons récupérés (PCR) constatés sur le marché français pour les sortes basses. Des prix représentés par des moyennes sur le graphique. En réalité, en septembre dernier, le cours de la sorte 1.02, qui représente les papiers et cartons mêlés d’origine triés, a évolué entre 76,56 et 77,33 euros la tonne, celui de la sorte 1.04 (emballages commerciaux) entre 90,68 et 97,16 euros la tonne alors que le prix de la sorte 1.05 (ondulés récupérés) a fluctué entre 101,23 et 108,70 euros la tonne. La tendance à la hausse semble se confirmer. Si les cours des papiers et cartons mêlés et des emballages commerciaux sont restés stables, les ondulés récupérés affichent une progression de l’ordre de 4%. Petit rappel : en un an, les prix des PCR ont pratiquement doublé !

VALEURS MOYENNES MENSUELLES, EN EUROS PAR TONNE 1.02 (papiers et cartons mêlés)

matières plastiques

1.05 (ondulés récupérés)

120

104,96 1.05 100

80

93,92

1.04

76,74

1.02

100 80

60

60

40

40

20

20

0

0 2008

2010

2009

SOURCE : REVIPAP

ça baisse encore En septembre, les prix des plastiques sont encore une fois orientés à la baisse.

Les polyéthylènes haute densité (PEhd) semblent particulièrement touchés.

Il faudra ainsi dépenser 1 centime de moins pour se procurer 1 kg de polyéthylène haute densité (PEhd), dans ses variétés Soufflage ou Injection, et 3 centimes de moins pour 1 kg de PEhd Film. Les polypropylènes (PP) perdent quant à eux 2 centimes par kg. Les variétés Homo Injection et Copolymère s’échangeaient respectivement à 1,34 et 1,39 euro le kg. Le polychlorure de vinyle (PVC) est lui aussi en légère baisse, à 1,05 euro le kg, soit 1 centime de moins que par rapport au mois d’août. Pas de changements en revanche du côté du polyéthylène téréphtalate (PET) et du polyéthylène basse densité (PEbd). La seule hausse nous vient finalement du polystyrène (PS). Cette résine, très utilisée dans la fabrication de corps creux, progresse de 2%.

1.04 (emballages commerciaux)

120

Polystyrène Cristal (PS)

Polypropylène (PP) copolymère injection

Polypropylène (PP) homopolymère injection

Polyéthylène téréphtalate (PET)

Polychlorure de vinyle (PVC)

1,7 1,4 1,1

1,625 1,484 1,395 1,345

PET

1,049

PVC

PS PP cop.

PP homo.

1,7 1,4 1,1 0,8

0,8

0,5

0,5

2008

2009

2010 SOURCE : REVIPAP

Polyéthylène basse densité (PEbd)

Polyéthylène haute densité (PEhd) soufflage Polyéthylène haute densité (PEhd) injection

Polyéthylène haute densité (PEhd) film

1,7

1,7 1,4

1,358 1,178 1,153 1,079

1,1

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PEbd PEhd inj.

PEhd souf.

0,8

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2010 SOURCE : REVIPAP

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PEhd film

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23-25 novembre paris (france) les places d’or

AGENDA

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23 et 24 février 2011 Paris Une date a noté sur ses tablettes ! La dixième édition du salon Pharmapack (Canon Communications) se tient les 23 et 24 février 2011, à la Grande Halle de la Villette à Paris (France).

Dans le prolongement du succès de 2010, le congrès-exposition européen dédié aux technologies packaging pour les médicaments et dispositifs médicaux doit accueillir plus de 2 600 visiteurs et 230 exposants. Près de 90 % des exposants ont déjà réservé leur stand pour 2011. De ce fait, l’espace exposition rassemblera plus de 230 sociétés leader dans le design, la fabrication et la fourniture de packaging pharmaceutiques et de systèmes de délivrances. à noter que la seconde édition de BIOMEDevice Europe se déroule conjointement avec Pharmapack. Premier événement européen dédié au développement des nouvelles générations de produits de santé, BIOMEDevice Europe rassemble les principaux fournisseurs de l’industrie des dispositifs médicaux, concepteurs et fabricants de drug delivery device (DDD). Les Pharmapack Awards récompensent enfin les médicaments, dispositifs médicaux, produits de santé et médicaments vétérinaires mis sur le marché français entre novembre 2009 et décembre 2010. La date limite de réception des dossiers de candidature est fixée au 15 décembre 2010.

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1er-4 DECEMBRE JAKARTA (INDONÉSIE) PROPAK INDONESIA

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Rens. : Comexposium Tél : 01-76-77-16-07 Fax : 01-53-30-95-21 Email : visitemballage@ comexposium.com www.emballageweb.com

24-25 NOVEMBRE PARIS (FRANCE) traçabilité Une exposition segmentée en 3 salons : Traçabilité – Solutions RFID – Progilog Rens. : Comexposium Tél : 01 76 77 12 69 www.salon-tracabilite.com

DECEMBRE

Exposition internationale de la transformation des produits alimentaires et de la technologie du conditionnement.

Rens. : Promessa Tél : 01-34-57-11-44 Fax : 01-34-57-11-40 Email : promessa@ promessa.com www.pamerindo.com

JaNVIER 2011 photo dr

20-23 janvier BRATISLAVA (SLOVAQUIE) GASTROPACK

22 NOVEMBRE PARIS (FRANCE) OSCAR DE L’EMBALLAGE

Général de Gaulle 92160 Antony Tél : 01-77-92-92-92 LSA Tél : 01-77-92-92-92 www.oscardelemballage.com

Rendez-vous des professionnels de l’emballage et du conditionnement.

Remise du prix de l’emballage.

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Salon international du process et du conditionnement alimentaire.

Rens. : Comexposium Immeuble Le Wilson 70 avenue du Général de Gaulle 92058 Paris la Défense Tél : 01-76-77-11-11 Fax : 01-76-77-12-12 Email : infos@exposium.fr Rens. : Turret Middle East Tél : 00-971-2-444-6011 Fax : 00-971-2-444-3987 Email : info@turretme.com www.ipa-me.com

Salon international de l’emballage, matériel et équipements.

Rens. : Incheba A.S. Viedenska Cesta 3-7 85101 Bratislava 5 Tél : 00-421-7-6727-1111 Fax : 00-421-7-6727-2055

25-28 janvier MOSCOU (RUSSIE) UPAKOVKA / UPAK ITALIA

Salon international de l’emballage.

Rens. : Promessa 3, rue de la Louvière 78120 Rambouillet Tél : 01-34-57-11-44 Fax : 01-34-57-11-40 Email : promessa@ promessa.com www.upakovka-upakitalia.de

FEVRIER

08-09 février PARIS (FRANCE) PCD - Parfums Cosmétiques-Design Salon et congrès de l’emballage des produits cosmétiques.

Rens. : Oriex 25, rue André-Joineau 93310 Le Pré-SaintGervais Tél : 01-48-91-89-89 Fax : 01-48-43-49-94 www.pcd-congress.com

23-24 février PARIS (FRANCE) PHARMAPACK Rens. : Canon Communications France 27 avenue de l’Opéra 75001 Paris Tél : 01-70-38-52-53 Email : pharmapack@ cancom.com www.pharmapack.fr

MARS

08-09 mars PARIS (FRANCE) AEROSOL FORUM Forum innovations des experts packagings aérosols.

Rens. : Oriex 25, rue André-Joineau 93310 Le Pré-SaintGervais Tél : 01-48-91-89-89 Fax : 01-48-43-49-94 www.aerosol-forum.com

15-17 mars RENNES (FRANCE) CFIA Carrefour des fournisseurs de l’industrie agroalimentaire.

Rens. : GL events Exhibitons 47305 - Villeneuve-sur-Lot Tél : 05-53-36-78-79 Fax : 05-53-36-78-79 Email : cfia@gl-events.com www.cfiaexpo.com

MAI

10-14 mai Essen (Allemagne) Metpack

Salon international pour l’empaquetage en métal.

Rens. : Messe Essen GmbH Norbertstrasse D-45131 Essen Tél : 00-49-201-7244-0 Fax : 00-49-201-7244-248 Email : info@messe-essen.de www.metpack.de

10-12 Mai Toronto (Canada) PACKEX Toronto

Salon de l’emballage, du process alimentaire, de la manutention et de la logistique du Canada.

Rens. : Comexposium Immeuble Le Wilson 70 avenue du Général de Gaulle 92058 Paris-la Défense Tél : 01-76-77-11-11 Fax : 01-76-77-12-12 Email : infos@exposium.fr Rens. : Packaging Association of Canada 2255 Sheppard Avenue East Suite E330 M2J 4Y1 Toronto Tél : 00-1-416-490-7860 Email : info@pacexinternational.com www.packextoronto.com

12-18 mai Düsseldorf (Allemagne) Interpack 2011

Salon international des machines à emballer et matériaux d’emballage.

Rens. : Promessa 3, rue de la Louvière 78120 Rambouillet Tél : 01-34-57-11-44 Fax : 01-34-57-11-40 Email : promessa@ promessa.com www.interpack.com

septembre 26-27 septembre Paris (France) Nutripack

Nutripack est une plateforme européenne et internationale d’échanges où se rencontrent les principales entreprises agroalimentaires et de la distribution européennes.

Rens. : Oriex 25, rue André-Joineau 93310 Le Pré-SaintGervais Tél : 01-48-91-89-89 Fax : 01-48-43-49-94 www.nutripack-congress.com

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sommaire

photo emballages magazine/google

Conservation De la sécurité à la naturalité p.60

conservation à la recherche du naturel ■ Au-delà de l’indispensable qualité sanitaire,

les technologies de conditionnement permettent de préserver la naturalité des ingrédients grâce aux progrès des technologies de traitement et aux performances des matériaux.

Histoire La conserve fête ses 200 ans

p.62

Technologies Les solutions alternatives peinent à s’imposer

p.64

conditionnement Le sous-vide cherche un second souffle

p.66

conditionnement L’airless se démocratise

p.68

Embouteillage Nomacorc traque l’oxygène dans le vin

p.70

Hygiène Serac met l’alimentaire aux normes de la pharmacie p.72

■ Appertisation, pasteurisation, atmosphère

modifiée, airless, froid, aseptique ou encore sous-vide font partie des solutions éprouvées.

Procédé Refresco élimine les conservateurs des sodas p.74

■ Les méthodes alternatives comme les hautes pressions ont cependant du mal à émerger.

Logistique Sodepac piège l’humidité

p.76

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Conservation

De la sécurité à la naturalité La technologie permet désormais d’allonger les durées de conservation tout en limitant le recours aux conservateurs. que la date limite d’utilisation optimale (DLUO), une date relative sur le plan organoleptique : le consommateur peut s’y perdre. Certains produits peuvent tenir quelques semaines quand d’autres sont bons plusieurs années. Sans parler de la conservation après ouverture !

Progrès rapides Alors que la maîtrise des techniques de conservation a permis de faire reculer les intoxications alimentaires en une trentaine d’années, la priorité est aujourd’hui de privilégier le retour au naturel. L’essor de l’agriculture biologique et de la « cosmétique naturelle » s’inscrit dans cette dynamique. Or, bien que l’emballage soit entré dans l’ère du soupçon (lire page 28), les technologies de conditionnement permettent de préserver les qualités intrinsèques des produits en

limitant ou en supprimant le recours aux conservateurs. L’aseptique ou le sousvide mais aussi l’airless entrent dans cette logique. La technologie permet désormais de limiter la transformation des produits et de conserver des produits frais ou semi-frais. Il existe enfin sur le marché de nombreuses solutions alternatives comme les hautes pressions et le chauffage ohmique mais elles ne remportent pas un grand succès.

Les développements autour des emballages dits actifs ou intelligents sont, en revanche, plus incertains. Notamment en France… Les recherches de Nomacorc sur l’oxygène dans le vin montre toutefois qu’un bouchon en plastique peut contribuer à la maturation d’un vin grâce à sa structure cellulaire qui laisse passer plus ou moins d’oxygène.

Henri Saporta

La solution du froid pho to dr

Conserver les aliments est une préoccupation constante depuis la plus haute Antiquité. Les premières techniques de conservation étaient des méthodes simples comme le séchage, les salaisons, le fumage ou encore l’huile, l’alcool, les milieux acides, la fermentation ou le sucre.

Empirique au début, le principe général consiste à retarder l’oxydation des graisses et empêcher le développement des bactéries, champignons et autres micro-organismes. Il fallait alors assurer la « soudure » et éviter famines et disettes… Cette préoccupation est toujours une réalité dans les pays en voie de développement… Dans les années 70, deux ingénieurs français ont d’ailleurs tenté de résoudre ce problème en mettant au point les Capatainers (lire page 24). Sans succès…

Les pays qui ont vécu la révolution industrielle ont, pour leur part, bénéficié de progrès rapides. L’invention de Nicolas Appert — qui fait l’objet d’un brevet en 1810, il y a tout juste deux cents ans — marque, à ce titre, un véritable tournant. Avec le traitement thermique, la conservation des aliments entre dans l’ère industrielle. Les innovations vont alors se succéder à un rythme soutenu et se répandent dans la pharmacie et l’hygiène mais aussi dans les produits techniques et l’industrie. Les consommateurs bénéficient depuis d’un allongement considérable des durées de conservation. Aujourd’hui, la date limite de consommation (DLC) indique une date « impérative » sur le plan sanitaire tandis

Froid ou température ambiante ? La conservation se partage entre ses deux grandes solutions. Le traitement par le froid permet de ralentir, voire arrêter, la prolifération et l’action de micro-organismes : la réfrigération correspond à l’abaissement de la température (entre 4 et 8 °C), diminue l’action des bactéries et des enzymes et permet une conservation de quatre à dix jours ; la congélation consiste à abaisser la température de l’aliment et à la maintenir en dessous de la température de fusion de la glace (0 °C) et permet de consommer les aliments plusieurs années après le début de leur congélation ; la surgélation est une technique de refroidissement brutal puis de congélation. Domaine de prédilection du polystyrène expansé (PSE) et d’entreprises comme Knauf et Sofrigam, la chaîne du froid et de « la température dirigée » consistent à maintenir un produit à une température choisie jusqu’à sa consommation. Emball’Infor propose des emballages isothermes fabriqués par injection sous pression de mousse de polyuréthane à haut coefficient d’isolation. Ce procédé évite les ruptures de la chaîne du froid provoquées par les ponts thermiques. Sofrigam a, de son côté, conçu une garantie de résultat pour la pharmacie.

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Retrouvez-nous au Salon de l’Emballage Hall 6 Stand G082

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Histoire

La conserve fête ses 200 ans Si le brevet de Peter Durand date de 1810, tout commence avec Nicolas Appert en 1795.

Qualifié de « bienfaiteur de l’humanité » par les Anglais, Nicolas Appert conçoit le procédé de conservation des aliments qui porte désormais son nom en 1795. Il publie « L’art de conserver pendant plusieurs années toutes les substances animales et végétales » en 1810. Et c’est en 1810 que le britannique Peter Durand obtient le brevet n° 3372. Cette nouvelle industrie va bouleverser la façon de conserver les aliments et ouvrir la voie à des révolutions comme le traitement à ultra haute température (UHT) du lait.

les bénéfices de cette invention. Nicolas Appert utilise alors des pots en verre. La France offre le choix à son inventeur : prendre un brevet ou offrir

Les six dates à retenir de Philippe Gimenez Philippe Gimenez est directeur de la recherche et développement (R&D) d’Impress.

Révolution : Après 1810, le XIXème siècle marque l’entrée de la conserve dans la révolution industrielle.

Ouverture : Pechiney crée dans les années 60 le premier couvercle à ouverture facile : c’est le Full Aperture Easy Open End.

Aérosol : 1922 est une date importante : elle marque l’invention de l’aérosol.

Boisson : 1963 marque la création de la première boîte boisson en aluminium.

Soudure : Autre année clé : 1970 marque la création de la première boite soudée 3 pièces.

Easy Peel : le premier easy peel stérilisable, un oppercule souple, a été créé par Impress en 1996.

Documents google

1810-2010 : pour les Britanniques, la boîte de conserve en fer blanc a 200 ans dans la mesure où le brevet n° 3372 fut accordé le 25 août 1810 au commerçant Peter Durand – appelé aussi Pierre Durand – par le roi George II. Mais tout commence, en réalité, avec le Français Nicolas Appert (1749-1841) que les Britanniques qualifieront d’ailleurs de « bienfaiteur de l’humanité ». Ce natif de Châlons-en-Champagne (Marne) cherche, en effet, à améliorer la conservation des aliments en développant un procédé de stérilisation à une température supérieure à 100 degrés d’aliments contenus dans un récipient hermétique.

La marine, ravagée par le scorbut et les carences, offre un formidable terrain d’expérimentation. Alors traités par salage, fumage, avec de l’alcool ou du vinaigre ou encore de la graisse ou du sucre, les aliments se conservent mal. Conçu en 1795, le procédé d’appertisation est mis en application dans la première fabrique de conserves au monde que crée Nicolas Appert en 1802 à Massy (Essonne) près de Paris. L’usine fonctionnera jusqu’en 1933. Le procédé permet de conserver des aliments plusieurs années sans altération et en préservant les principaux nutriments ; c’est en 1865 que Louis Pasteur démontre

sa découverte à tous et recevoir un prix du gouvernement. Appert opte pour la seconde solution et publie en juin 1810 « L’art de conserver pendant plusieurs années toutes les substances animales et végétales ». La première boîte de sardines connue date de 1810 : elle porte le nom de Joseph-Pierre Colin. L’industrie française de la conserve prend son essor dans l’Ouest de la France.

Brevet Peter Durand, lui, vend son brevet pour 1 000 livres à deux associés : Bryan Donkin et John Hall construisent la première usine de conserve anglaise en 1811 à Bermondsey, dans le sud de Londres.

La Marine anglaise est le premier client ;

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Les alternatives à la boîte ne percent pas

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Le sachet souple en 1997, la brique en carton en 2002, la barquette en plastique rigide à la même époque : ces conditionnements devaient concurrencer la boîte métallique, à l’image un peu vieillotte. Aujourd’hui, en France, il n’en est rien. La boîte s’est même rénovée, en étant sérigraphiée chez D’Aucy ou en adoptant un format rectangulaire spécifique chez Cassegrain. Malgré ses avantages, légèreté,

la santé des marins s’améliore. En Amérique du Nord, Thomas Kensett et Ezra Daggett utilisent tout d’abord des contenants en verre puis adoptent le métal. Le premier ouvre-boîte sort en 1855 ; la première ouverture « facile » avec une clé qui permet d’enrouler le couvercle apparaît en 1894 ; la première ouverture facile à anneau est commercialisée dans les années 1970.

L’aluminium s’est développé à partir de 1930. L’emballage métallique représente aujourd’hui quelque 400 milliards de boîtes par an pour les aliments et les boissons. Les emballages en acier sont enfin des champions du recyclage.

La conserve est depuis mangée à toutes les sauces. Dans les années 60,

moindre durée de stérilisation, le sachet souple, quelle que soit sa variante, reste cantonné à des niches et à la restauration hors foyer. Les « conserves pratiques » de Carrefour, barquettes thermoformées en polypropylène, transparentes, sécables et micro-ondables, n’ont jamais décollé et ont été arrêtées en 2007. « Le concept était très novateur et notre communication peut-être pas assez claire, explique Chantal Sandoz, directrice du packaging de groupe de distribution. Il est difficile pour une marque de distributeur (MDD) d’avoir des initiatives qui changent l’usage sans avoir une forte information auprès des consommateurs. » Légère également, simple à ouvrir, facile à transporter et à stocker, « très compétitive et avec un bilan environnemental sans égal », souligne Richard Gandossi, directeur commercial de Tetra Pak France, la prometteuse brique Tetra Recart de Tetra Pak se heurte « à un marché ultra conservateur ».

Pourtant, en Italie, cet emballage s’est imposé et devance le bocal en verre désormais. « Plus de 26 lignes sont installées dans le monde, dont cinq cette année », ajoute-t-il. Selon nos informations, Bonduelle, pionnier en France avec sa gamme Carré Cuisiné, devrait en stopper la production très bientôt. Pourquoi ? Le légumier ne nous a pas répondu. Et ce n’est pas la Combisafe de SIG Combibloc qui va rivaliser : lancée en 2006, elle en est encore au stade du prototype chez deux clients seulement en Europe. Tetra Pak annonce cependant des lancements en France début 2011, le conditionnement étant sous-traité… en Italie notamment.

Arnaud Jadoul

Andy Wahrol a mis les boîtes « Campbell Soup » au musée. Dans le roman Terreur, l’auteur américain Dan Simmons raconte comment l’expédition de Sir Franklin, une expédition maritime britannique destinée à l’exploration de l’Arctique qui quitta l’Angleterre en 1845 sur le HMS Erebus et le HMS Terror, est victime de conserves avariées.

Miam Box En 2010, l’Union interprofessionnelle pour la promotion des industries de la conserve appertisée (Uppia) propulse la « Miam Box » comme une star des écrans.

Après la première vague de télévision en janvier-février dernier qui a touché plus de 24,9 millions de contacts, l’Uppia a

réalisé un post-test (source : TNS Sofrès) qui fait état de « résultats très largement positifs » avec une « bonne mémorisation de la signature et une perception positive du ton et de la création du film ». Ce qui explique que la Miam Box soit revenue à la télévision du 7 octobre au 6 novembre et se soit attaquée au cinéma du 13 octobre au 2 novembre pour toucher quelque 2,5 millions de spectateurs. Et ne cesse de rappeler que, si les propriétés organoleptiques sont modifiées par le traitement thermique, la qualité nutritive des aliments est excellente. Dans la collection Idpack aux Éditions Pyramyd, « La boîte, solution d’avenir » retrace l’histoire de ce conditionnement révolutionnaire.

Henri Saporta

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Technologies

Les solutions alternatives peinent à s’imposer Coûts, difficultés de mise en œuvre, réglementation et méconnaissance freinent le développement de technologies pourtant très prometteuses.

Lyophilisation, hautes pressions, microfiltration, chauffage ohmique, ionisation, chauffage par micro-ondes mais aussi champs magnétiques pulsés, lumière pulsée, ultrasons : ces technologies de conservation présentent des avantages indéniables mais aussi très peu d’applications si on les compare aux procédés classiques que sont la pasteurisation et la stérilisation. Cette situation paradoxale s’explique autant pour des raisons industrielles et règlementaires, qu’économiques.

La lyophilisation, par exemple, qui est une technique classique de conservation par séparation d’eau – le but étant d’éliminer le milieu où les bactéries résident et se développent –, permet de préserver les caractéristiques organoleptiques du produit, son aspect initial et de réduire considérablement son poids. Mais elle implique l’emploi d’équipements qui, comme les tunnels de surgélation ou les lyophilisateurs, sont difficiles à mettre en œuvre et comportent des coûts énergétiques importants, d’où un prix de revient prohibitif qui cantonne les applications aux soupes haut de gamme, au café soluble et aux plats pour les alpinistes et les astronautes. « Un légume lyophilisé

est bien meilleur qu’un légume déshydraté mais il est aussi deux fois plus cher », note Laurent Ghesquière, directeur de production de l’usine de soupes Knorr (Bestfoods Unilever) de Duppigheim (Bas-Rhin).

Les coûts liés à l’achat et à l’entretien des membranes sont également à l’origine du faible degré de diffusion des techniques de microfiltration, alors que les bénéfices – ne serait-ce qu’en termes de goût – sont indiscutables pour cette technologie d’extraction « à froid » dont l’emploi reste confiné au lait et au fromage. Parfois c’est la méconnaissance du procédé qui fait peur à l’industriel ou au consommateur. Premier cas de figure, le chauffage ohmique, consistant à éliminer les bactéries par effet Joule, en faisant passer un courant à l’intérieur du produit : « La technologie est connue depuis 25 ans, mais certains industriels rechignent encore à se lancer. Ils estiment que les tests sont longs et compliqués », raconte Alain Besnardeau, gérant de Ouest Process Alimentaire (Opal), spécialisé dans la fabrication d’équipements.

écueils Deuxième cas de figure : la ionisation, qui implique un traitement du produit par rayonnement gamma : « nous ne réalisons que 2 % de notre activité dans l’alimentaire mais ce ratio n’augmentera pas à cause d’une mauvaise presse », explique Gilles Daneyrolle, directeur des ventes de Ionisos, spécialisé dans le traitement par rayonnements. Les applications ? Elles se limitent,

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Des membranes plus performantes Produit par la Laiterie de Villefranche-sur-Saône (Candia), le lait Marguerite est micro-filtré avec des membranes en céramique possédant des pores de 1,4 micromètre de diamètre. Afin d’améliorer l’extraction des micro-organismes, les fournisseurs sont parvenus à réduire l’écart-type du diamètre des pores.

dans le premier cas, aux préparations à base de fruits et de légumes et au fromage fondu alors que dans le deuxième, c’est la réglementation, qui liste, dans l’arrêté du 20 août 2002, les produits susceptibles de recevoir un traitement ionisant : une dizaine de denrées en tout parmi lesquelles les cuisses de grenouilles congelées, les abats de volaille et les épices. Qui plus est, les producteurs sont obligés d’apposer sur les emballages un logo spécifique.

Pourtant, ces deux procédés ne manquent pas d’avantages : respect du produit, rapidité du process et facilité d’entretien des installations (pas d’effet « parois ») pour le chauffage ohmique ; efficacité du traitement bactériologique, facilité de mise en œuvre et coûts pour la ionisation. Souvent psychologiques, parfois réglementaires, ces écueils ont conduit les fabricants à diversifier leurs marchés. Opal pense ainsi avoir trouvé un créneau intéressant dans le secteur cosmétique, pour permettre aux fabricants de crèmes de soin de réduire l’emploi de conservateurs dans leurs produits. « Nous sommes en train de réaliser des tests pour le compte de deux industriels français », explique Alain Besnardeau.

Quant à Ionisos, il opère avec succès dans le domaine de la stérilisation d’emballages vides, sur des projets d’ailleurs très innovants comme celui du nouvel airless utilisé par une grande marque cosmétique.

Encore peu développé, le chauffage micro-ondes présente lui aussi un potentiel intéressant. « à la différence des autres traitements thermiques, nos machines permettent de chauffer le produit à cœur. On obtient les mêmes résultats que la pasteurisation mais sans les inconvénients », explique Patrick Mahé, directeur général de Synerwave. Cette entreprise, récemment rachetée par Arcil (Danone), espère trouver de nouveaux débouchés auprès de son

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nouvel actionnaire, dans le cadre de la fourniture de lignes complètes. Elle a également identifié dans la pasteurisation de sachets de type Doypack un levier de croissance.

La pascalisation représente un cas à part.

Car cette technique, qui consiste à éliminer les microbes en modifiant leurs membranes cellulaires suite à l’action d’une pression de plusieurs milliers de bars a vraiment tout pour plaire : aucun apport thermique direct, préservation du goût, des vitamines, de l’aspect. Les applications, pourtant, se limitent à des jus de fruits en France, à de la

crème d’avocat aux états-Unis, du jambon en Espagne et à des confitures au Japon.

En cause, un procédé extrêmement difficile à mettre en œuvre et une offre technique inexistante. « Faute d’équipementiers, nous sommes obligés de tout faire nous-mêmes.

Il nous faut intervenir sur les machines presque chaque jour : c’est comme l’automobile en 1900 », résume Franck Bacot, responsable de la société Ulti (Eckes Granini), quasiment seul intervenant français sur ce créneau. Rien ne porte à croire que ce cadre puisse évoluer. Le règlement

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(CE) 258/97 du Parlement européen et du Conseil du 27 janvier 1997, communément appelé Novel Food, restreint l’usage des hautes pressions aux produits traités avant cette date. Toute extension fait automatiquement rentrer le produit dans le cadre de la règlementation sur les « nouveaux » aliments impliquant une procédure d’évaluation visant à démontrer l’innocuité pour la santé et l’environnement. Une procédure longue et compliquée. Qui représente un frein pour les industriels.

Tiziano Polito

La physique au service de l’industrie alimentaire Chaleur, froid, conservateurs, fermentation : les procédés de conservation évoluent peu.

Pourtant la physique regorge de solutions permettant de traiter les produits de manière plus douce, parfois plus efficacement, en préservant leurs propriétés gustatives et nutritives.

La lyophilisation • Principe : congélation du produit suivie de mise sous vide visant à extraire l’eau par sublimation.

• Applications : légumes, soupes, café soluble.

• Avantages : préservation des qualités organoleptiques du produit, aspect, réduction du poids.

• Inconvénients : difficulté de mise en œuvre, coût.

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le Chauffage ohmique • Principe : passage d’un courant dans le produit.

• Applications : produits liquides ou pompables alimentaires (sauces et composants de plats cuisinés, coulis de fruits, fromage liquide, crèmes dessert) ; produits de soin.

• Avantages : chauffage homogène, rapidité, préservation des qualités gustatives et de l’aspect du produit.

• Inconvénients : méconnaissance du procédé, tests longs et coûteux.

Schéma d’un tube avec électrodes développé par la société OPAL pour le chauffage ohmique d’aliments pompables.

l’Ionisation

Une source de rayons gamma employée pour stériliser les produits (Ionisos).

• Principe : exposition du produit au rayonnement ionisant électromagnétique.

• Applications : produits alimentaires (épices, cuisses de grenouilles congelées, abats), dispositifs médicaux, emballages.

• Avantages : pas d’élévation de température du produit, efficacité dans l’élimination des pathogènes, coût.

• Inconvénients : étiquetage dissuasif, méconnaissance du procédé. les Hautes pressions • Principe : confinement du produit, emballé, à l’intérieur d’une enceinte puis application d’une pression de 1 000 à 5 000 bars pour réduire l’activité des microorganismes.

• Applications : jus de fruit, jambon, gelées de fruits.

• Avantages : préservation des qualités organoleptiques et des vitamines.

• Inconvénients : difficulté de mise en œuvre, coût.

La microfiltration • Principe : passage du produit au travers d’une membrane dont les pores sont capables de retenir les microorganismes.

• Applications : lait, fromage.

• Avantages : préservation des qualités gustatives, durée de conservation plus longue que les produits pasteurisés, préservation des vitamines.

• Inconvénients : coûts. le Chauffage par micro-ondes • Principe : exposition du produit aux ondes électromagnétiques.

• Applications : fruits et légumes, préparations alimentaires, farines, fromages, produits de la mer.

• Avantages : chauffage à cœur, rapidité, préservation des qualités gustatives et de l’aspect du produit.

• Inconvénients : difficulté de mise en œuvre, méconnaissance du procédé.

Un équipement pour le chauffage aux micro-ondes de la société Synerwave.

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Conditionnement

le sous-vide cherche un second souffle Technologie mâture, le conditionnement sous vide s’améliore sans cesse en termes de matériaux et de solutions pour vaincre les résistances du marketing. éliminer un maximum d’air et ralentir le développement de bactéries aérobies en privant d’oxygène l’aliment emballé, en empêchant l’évaporation de l’eau et en protégeant des contaminations externes, pour améliorer sa conservation : tel est le principe de base du conditionnement sous vide. Un procédé moins durable que la congélation ou l’appertisation, mais qui ne modifie ni la structure cellulaire de l’aliment ni sa texture. D’où son application progressive aux arachides décortiquées et au café torréfié et moulu d’abord, à la viande, à la volaille, à la charcuterie, aux fruits de mer, aux légumes, au fromage et aux plats cuisinés ensuite. Une expansion favorisée par l’essor des rayons libre service dans la distribution depuis une cinquantaine d’années. Mais qu’en est-il aujourd’hui ? « La demande reste assez stable sur le sous-vide traditionnel », répond Frédéric Villard, directeur des ventes de Krehalon France. Annie Perrin, chef d’unité embal-

La pénétration du conditionnement sous vide dans l’alimentaire dépend aussi de la détermination des distributeurs : ainsi, le français Cora propose ce seul procédé pour la viande pré-emballée… en Hongrie.

lage au Centre technique de la conservation des produits agricoles (CTCPA), dresse un constat identique au vu des sollicitations des industriels.

Pourtant, la technologie

Présenté lors du dernier Iffa, le salon international de la viande, qui s’est tenu à Francfort (Allemagne) en mai dernier, le TenderPac de Sealpac est un emballage thermoformé à base de film souple pour viande rouge. Développé avec un boucher industriel autrichien, il est constitué de deux compartiments, l’un pour la pièce carnée, l’autre pour un buvard. Il impose donc une présentation suspendue de la barquette en rayon. Un concept relativement répandu dans les pays germaniques. Les exsudats coulent par gravité, à travers une soudure poreuse, dans le second compartiment, dissimulé par une impression, une étiquette ou un fourreau en carton. La viande garde ainsi sa couleur et un aspect attractif. En outre, « la composition du film favorise le processus de maturation », assure Luc Coppens, directeur commercial de Sealpac France.

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Sealpac suspend la viande

présente des avantages incontestables.

La durée de conservation en premier lieu : pour la viande, elle peut atteindre 21 jours, contre une dizaine dans un emballage sous atmosphère modifiée (MAP). « De surcroît, elle favorise la maturation », note Christophe Gottar, directeur marketing et vente de détail de Cryovac EMEA. L’absence d’air ou de gaz permet aussi de transporter et de mettre en rayon davantage d’unités de vente. Ce qui génère un intérêt économique : en intégrant le matériau, la main-d’œuvre et l’amortissement, pour une unité de 400 grammes, Cryovac chiffre à 20 % la différence entre son procédé Darfresh et une barquette operculée en polystyrène.

Mais « le marketing favorise souvent le conditionnement sous atmosphère modifiée », observe Annie Perrin. De fait, le sous-vide est desservi par plusieurs handicaps : une présentation moins attrayante due au contact du film avec l’aliment et à la présence éven-

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Des solutions pour la maison

tuelle d’exsudats, « un effet plastique qui peut déconcerter dans certains pays et l’impression que le produit n’est pas protégé, tant le film est fin », relève Christophe Gottar. D’ailleurs, si la technologie s’est imposée dans la restauration, c’est parce que « le consommateur final ne voit pas les produits », affirme Bruno Fontanell, directeur commercial de Multivac France.

Priorité à la productivité Les industriels du secteur travaillent donc plutôt sur les aspects techniques du procédé. « La priorité est clairement donnée à la productivité, explique Frédéric Villard : les cadences des machines augmentent, les films en polyester permettent de souder sur les plis ou, pour les sacs, de les superposer dans la cloche à vide. » Les pompes à vide deviennent aussi plus performantes. « C’est la principale source de progrès », relève Annie Perrin. Chez Multivac, « grâce à des outillages conçus pour éliminer les pertes de charge et aux pompes sèches Cobra, nos machines hautes cadences affichent le plus bas taux d’oxygène résiduel sur le marché », remarque Bruno Fontanell. Il mentionne aussi des développements plus généraux tels la nettoyabilité et

des aliments ainsi emballés. La gamme comprend aussi des sacs et des boîtes de conservation. Les consommateurs français maîtrisent bien la préparation des conserves et la congélation, pourquoi ne se mettraient-ils pas à la préservation sous vide ?

l’accessiblité des matériels, leur compacité, la réduction des consommations d’énergie – jusqu’à 30 % – et d’eau, l’utilisation de plus en plus limitée de l’air comprimé. Chez Sealpac, l’accent est mis sur la rationalisation des équipements, afin de pouvoir produire différentes solutions sur une même ligne. évidemment, les films évoluent également. Pour optimiser l’effet seconde peau et sous la pression économique et environnementale, ils s’affinent. Les réductions d’épaisseur sont parfois spectaculaires : certains multicouches chez Krehalon ou Cryovac avoisinent les 100 micromètres, contre 170 pour la génération précédente. Pour améliorer la résistance mécanique nécessaire, de nouveaux composants sont utilisés, l’éthylène acétate de vinyle (EVA) par exemple. Multivac, de son côté, a mis au point la technique de formage « blast form » qui, « par une montée en pression très rapide de l’outillage, permet d’obtenir une répartition optimale du film sur le fond, les côtés et les coins de la barquette, sans affecter la qualité recherchée », explique Bruno Fontanell.

De nouvelles solutions d’emballage sont aussi susceptibles de relancer le sous-vide. Après le Trayskin, destiné à la viande, qui associe le processus

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Timide en France, le marché de l’emballage sous vide chez le particulier est beaucoup plus florissant en Amérique du Nord. En février dernier, Albal (Cofresco) a tenté de développer ce mode de conservation dans l’Hexagone en proposant les sacs de congélation Ziploc : ils sont munis d’une valve et fournis avec une pompe manuelle.

L’américain FoodSaver, marque du groupe Jarden, et numéro 1 de la spécialité aux Etats-Unis, espère lui aussi le dynamiser, mais avec une offre adaptée aussi bien à la réfrigération qu’à la congélation. Il lance trois appareils, dans une fourchette de prix de 99 à 179 euros, supposés accessibles à tous. Le premier est un produit compact. Un peu plus élaboré, le deuxième dispose de deux niveaux de soudure, pour aliments secs ou humides. Le plus complet permet notamment de choisir la vitesse d’aspiration, afin de garantir l’intégrité

« skin » et la découpe « inside-cut », Sealpac lance le ShrinkStyle, une alternative économique au sac rétractable, constituée de deux films rétractables qui épousent les contours du produit (rôti, volaille entière, pizza, fromage…) comme une deuxième peau. Pour sa part, Cryovac propose le système Simple Steps pour les plats pré-cuits.

Il permet le réchauffage directement au micro-ondes, sans percer le film supérieur. C’est à partir de cette solution que Charal a élaboré le procédé Microgrill pour ses « pièces de bœuf ».

Par ailleurs, le marché des plats préparés, en constante expansion, présente un fort potentiel pour ce mode de conditionnement. En Europe, selon une étude Cryovac / Rabobank, il a progressé de 5,2 % par an depuis 1998 pour atteindre 22 milliards d’euros, et il devrait encore croître de 1 à 7 %, selon les régions, d’ici 2015.

Mais le meilleur moyen de diffuser cette technologie reste encore, pour Christophe Gottar, d’en « expliquer les atouts, d’investir en communication, et de convaincre les distributeurs : là où les enseignes ont cru au concept, en Suisse ou au Canada par exemple, et l’ont imposé dans les rayons, les consommateurs l’ont accepté ».

Arnaud Jadoul

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Conditionnement

L’airless se démocratise Cette technologie assure un haut niveau d’hygiène et une excellente conservation. pas une dose aussi précise qu’une pompe classique d’environ 1,5 ml. Toutefois, le consommateur peut-il réellement faire la différence entre une dose de crème de 1,5 ml et une de 1,3 ml ? Rien n’est moins sûr. Promens a développé différentes contenances pour écolution de 50 à 500 ml. Cet airless à poche tout plastique est à destination des marques de grande consommation. En effet, ces dernières années, ces marques ont mis sur le marché des soins conditionnés dans des airless. Par exemple, Nivea, qui avait déjà adopté le Magic SL de RPC pour une ligne de soins pour Homme, vient de lancer un autre soin baptisé DNAge Lift conditionné dans Twist Up, le dernier airless de RPC doté d’un bec doseur rétractable.

Pour son soin Age Fitness Elastic, Biotherm a, pour sa part, choisi l’airless Twin Chamber de Yonwoo, distribué par Quadpack en France. Les fabricants de conditionnements airless s’intéressent donc de plus en plus à ce marché. C’est le cas d’Aptar Beauty + Home (ex-Airlessystems) : avant, le fabricant travaillait exclusivement pour

le secteur du luxe mais depuis deux ans, il propose une gamme airless pour la grande consommation : Eden. Ce secteur adopte l’airless car les formulations des produits contiennent de moins en moins de conservateurs, même celles des cosmétiques vendus en hyper et supermarchés. Les marques de ce marché lancent aussi des gammes bio : dernière en date, Garnier. Et pour ces formulations fragiles, l’airless est tout à fait adopté. La preuve : les marques de produits bio sont de plus en plus nombreuses à choisir ce type d’emballage, des très connues comme Melvita aux émergentes comme 66°30 ou Absolution.

Progrès techniques En plus, grande consommation peut rimer avec sophistication : ces airless disposent des dernières technologies améliorant le confort d’utilisation. Par exemple, Brio de Lablabo et écolution de Promens sont munis de systèmes de verrouillage empêchant un actionnement non volontaire. Prodigio de Rexam est, lui, équipé

Les nouveaux airless photos dr

Selon l’Airless Pack Association (APA), le conditionnement airless serait la catégorie d’emballage primaire dont la croissance est la plus importante dans l’industrie cosmétique (15 à 20 % depuis trois ans contre 2 à 3 % pour le tube). L’APA estime que quelque 500 millions d’unités seront mises sur le marché européen en 2010. Belle réussite pour une technologie âgée d’un quart de siècle. Comme son nom l’indique, l’airless – « sans air » en français – est un emballage qui protège les formulations de l’air et des contaminations. Les systèmes classiques sont composés d’une pompe sans retour d’air qui distribue le produit contenu dans une poche ou dans un flacon muni d’un piston. Au fur et à mesure que le produit est utilisé, le piston remonte dans le flacon ou la poche se rétracte. Cette technologie assure un haut niveau d’hygiène. « Le conditionnement airless est apparu dans le milieu des années 1980, explique Lucyna Silberstein, Pdg de Megaplast et présidente de l’APA. La première génération comportait de nombreux composants, était limitée en termes de design et leur prix était assez élevé. La seconde génération est composée de systèmes plus simples en nombre de composants mais plus sophistiqués en termes de décors et de formes.

Les diverses solutions et la concurrence ont fait baisser les prix. » Effectivement, ces dernières années, les fabricants ont travaillé pour simplifier leurs pompes et, par la même occasion, les alléger.

Ainsi, la dernière gamme airless Brio de Lablabo dispose d’une pompe composée de 20 % de matière plastique en moins par rapport à un ancien modèle du fabricant. Promens vient de pousser la simplification au maximum en lançant écolution muni d’un système de distribution formé de quatre pièces seulement, alors que les pompes classiques en possèdent en général plus d’une dizaine (lire Emballages Magazine n° 928). Certes, écolution ne délivre

Coïncidence, les deux systèmes originaux « airless » récemment développés sont des tubes. D.E.F.I., pour dispositif exclusif formule intacte, est un conditionnement stérile qui évite toute entrée d’air, sans volume mort dans la tête de distribution. Le service développement packaging des Laboratoires Pierre Fabre a travaillé sur ce projet en collaboration avec Promens pendant huit ans pour mettre au point le système de distribution. Le premier produit à bénéficier de cette innovation est une crème de la marque Avène.

Le Tubairless de Pumpart est un airless à poche qui se remplit comme un flacon et non comme un tube. Le Tubairless n’est pas actionné par une pompe mais par un évent.

En pressant le tube, la poche intérieure se contracte, et en relâchant la pression, l’air entre par l’évent dans le tube, comble l’espace laissé par la poche et permet au tube de reprendre a forme initiale.

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Cinq développements récents Tri Breveté par l’italien Lumson, le Techno Airless Glass (Tag) System est un airless qui repose sur l’introduction d’une poche en plastique étanche dans un contenant en verre.

Selon le principe du bagon-valve (Bov), la poche est fixée sur le pas de vis en aluminium du système de diffusion et, par conséquent, n’est pas solidaire du flacon en verre. Le consommateur peut donc trier le flacon en verre pour qu’il puisse être recycler.

Métal Brio est un airless à poche utilisant la technologie Easyfoil développée par Lablabo. Brio contient une poche dans laquelle toute colle a disparu sur la partie interne : les différentes couches sont coextrudées.

La finesse des films permet à la poche de mieux se rétracter, procurant ainsi une restitution plus élevée. Le système est aussi équipé d’une fermeture automatique du nez du poussoir et d’un verrouillage de la pompe.

Gestuelle Sur Luxe Pack Monaco 2010, Louvrette mettait en avant un pot airless muni d’une pompe. Il s’agit d’un système muni d’une poche en Surlyn fournie par Gaplast et d’une pompe produite par Megaplast.

Le pot à paroi épaisse, disponible en plussieurs matériaux, donne un aspect luxueux au produit.

La pompe apporte une nouvelle gestuelle au pot, plus hygiénique.

Application Aptar Beauty + Home proposait Caresse pendant Luxe Pack Monaco 2010.

Il s’agit d’un airless piston dont l’applicateur est conçu dans un matériau « soft ». Ce dernier apporte une très grande flexibilité et une douceur à l’application. Caresse est à destination des produits anti-rides, des soins pour les lèvres ou des soins pour les ongles.

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Recyclage Sélectionné par le comité Pack Experts d’Emballage 2010, écolution de Promens a reçu le prix Luxe Pack in Green 2010.

Le système est un airless à poche tout plastique muni d’un système de distribution composé de seulement quatre pièces.

Le flacon externe est formé de deux couches de PP ; la poche intérieure est constituée d’une barrière à base d’Evoh, de colle et de PEbd. écolution est entièrement recyclable.

d’un obturateur, baptisé CleanPoint, qui évite à la crème de sécher dans la tête du flacon. Adagio de MWV est muni d’un système de blocage et d’un effet d’aspiration inverse, qui empêche l’accumulation de résidu dans le bec verseur en « réaspirant » dans le flacon tout produit inutilisé après chaque usage.

Les fabricants développent également des emballages éco-conçus. En effet, avoir un conditionnement éco-conçu est dans la philosophie des marques qui se veulent plus respectueuses de l’environnement. Les fabricants l’ont bien compris.

Lumson propose le Tag System, un airless à poche protégé par un flacon en verre.

Le Tag System se démonte : la consommatrice peut séparer le flacon en verre du reste et ainsi permettre sa collecte. Eden d’Aptar Beauty + Home et Ecolution de Promens ont tous deux obtenu un avis technique favorable du Comité technique de recylage des emballages plastiques

(Cotrep), ce qui apporte une crédibilité et une reconnaissance de leur recyclabilité.

Les conditionnements airless présentent donc de nombreux atouts que l’APA a décidé de faire connaître au grand public.

Cette association regroupe les sociétés Lablabo, Lumson, Megaplast, Rexam et Quadpack qui distribue les airless Yonwoo. Après avoir mis en ligne un site Internet, l’APA travaille sur une certification afin de permettre aux entreprises et même aux consommateurs finaux de reconnaître un « vrai » conditionnement airless.

Un laboratoire indépendant effectuera des tests et vérifiera ainsi que les conditionnements remplissent leurs fonctions classiques comme l’étanchéité constante dans le temps, la protection des agents externes et des chocs, la restitution du produit ou encore la précision de la dose.

Une fois les tests réussis, les entreprises membres de l’APA pourront apposer le logo « Airless certified by APA » sur leurs

packagings. Restent à convaincre les marques de l’apposer à leur tour sur leurs produits. « L’airless est un vrai atout, un gage de qualité et de protection des formules, explique Lucyna Silberstein. Nous voulons que le consommateur le comprenne. Par exemple, Intel ou Lycra sont des logos que le consommateur perçoit comme gage de qualité. Nous voudrions qu’il reconnaisse de la même façon le logo de l’APA. » C’est donc un projet ambitieux auquel s’attelle l’APA. Les membres de l’association aimeraient que d’autres sociétés les rejoignent. « Plus nous serons nombreux, plus nous aurons de poids. » Pour cela, il faudra peut-être que l’APA revoit sa définition de l’airless. En effet, celle-ci, très précise, exclut les nouveaux systèmes airless comme D.E.F.I. de Pierre Fabre et Promens ou Tubairless de Pumpart car ces deux systèmes ne sont pas actionnés par des pompes traditionnelles.

Mirabelle Belloir

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Embouteillage

Nomacorc traque l’oxygène dans le vin Le fabricant de bouchons synthétiques propose une solution pour déterminer la meilleure date d’ouverture d’une bouteille.

Réduction ou oxydation ? Audelà du vignoble, du cépage, de la magie et du mythe, la qualité d’un vin dépend aussi de ces deux paramètres très prosaïques directement liés à la quantité d’oxygène avec laquelle le vin est en contact, des vendanges à l’ouverture de la bouteille. Un vin qui souffre de réduction ne va pas développer tout son bouquet tandis qu’un vin oxydé peut devenir imbuvable. « Ces deux facteurs sont naturellement connus de tous les professionnels mais de façon plus empirique que scientifique », résume Stéphane Vidal, responsable de la recherche œnologique de Nomacorc, un fabricant américain de bouchons synthétiques établi en Belgique à Thimister-Clermont, à quelques kilomètres de… Liège. Les plaisanteries sont autorisées !

Basé sur l’oxoluminescence, NomaSense permet de mesurer de manière précise et non destructive l’oxygène total consommé (TCO), soit l’oxygène dissous dans le vin et présent dans l’espace de tête. Fort de cette compétence, Nomacorc compte monter en gamme dans les vins rouges : c’est le sens du lancement de la nouvelle gamme Select Series. Une gamme qui joue à la fois sur une décoration plus sophistiquée se rapprochant du liège et un aspect plus naturel grâce à une découpe des bouts irrégulière.

Le millésime pourra notamment être porté sur les deux bouts du bouchon. Le lancement est effectué en novembre pour une comercialisation en 2011.

Si les chiffres sont difficiles à établir, il semblerait que 6 à 15 % des bouteilles de vin souffrent d’un problème sérieux de réduction ou d’oxydation. Un pourcentage non négligeable de ces bouteilles est donc impropre à la consommation par défaut de conservation. Le consommateur, lui, tranche rapidement : bon ou pas bon. Le monde du vin ayant tendance à confondre goût du mystère et prise de risques, la filière est confrontée à des problèmes de qualité que très peu de secteurs d’activité peuvent se permettre. Les fabricants de bouchons en liège ont mis des années avant de s’attaquer sérieusement au fameux goût de bouchon lié à la présence de trichloroanisole (TCA). Le temps que les solutions alternatives comme les capsules à vis et le plastique s’installent…

Et c’est bien une approche scientifique de la gestion de l’oxygène dans le vin que

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Approche scientifique

veut maintenant développer Nomacorc.

Une approche qui pourrait bien être révolutionnaire dans un secteur hanté par la toute puissance du savoir-faire de l’homme : « nous voulons proposer des solutions industrielles pour mieux respecter la tradition », affirme Stéphane Vidal. Tout commence avec le bouchon : Nomacorc fabrique ses bouchons par un procédé de co-extrusion du polyéthylène qui permet de contrôler la densité des cellules. Le choix de la densité permet ensuite de déterminer avec certitude le taux de transfert

d’oxygène (OTR) dans la bouteille à travers le bouchon.

Au début de l’année 2009, une étude menée par le laboratoire « Sciences pour l’œnologie » de l’Institut national de recherche agronomique (Inra) de Montpellier (Hérault) démontre que les taux de transfert d’oxygène liés à la perméabilité des bouchons peuvent influencer considérablement l’évolution du vin au fil du temps et qu’ils peuvent même prendre le pas sur l’influence des autres types d’exposition à l’oxygène durant la vinification. Si le liège laisse passer l’oxy-

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Réflexion collective En janvier 2010, Nomarcorc annonce la création de l’activité NomaSense, qui est placée sous la direction de Dr. Olav Aagaard, directeur mondial de l’équipe de gestion de l’oxygène chez Nomacorc.

Basé sur l’oxoluminescence qui permet de mesurer de manière précise et non destructive l’oxygène total consommé (TCO), soit l’oxygène dissous dans le vin et présent dans l’espace de tête, NomaSense se décline aujourd’hui en deux versions : vendu quelque 13 000 euros, NomaSense 02 Trace est une version complète dédiée à la gestion de l’ensemble du processus de vinification tandis que NomaSense 02 Prime, vendu quelque 8 000 euros, est une version allégée dédiée au contrôle de l’oxygène lors de la mise en bouteille. La démarche s’inscrit aujourd’hui dans une réflexion collective avec la création de O2inWines (02W) : l’association, qui compte désormais dix-huit membres, a tenu son premier colloque scientifique en mai dernier lors de la London Wine Fair.

NomaSense est « un outil de travail pour prendre des décisions », résume Stéphane Vidal. En mesure d’auditer les outils de production de ses clients, Nomacorc s’engage désormais dans une démarche d’accompagnement du vigneron afin que le processus de vini-

Le vin blanc n’aimerait pas le PET et les caisses-outres De nombreuses informations contradictoires circulent sur les emballages alternatifs qui peuvent convenir aux vins, qu’ils soient blancs ou rouges. L’Institut des sciences de la vigne et du vin (ISVV) de Bordeaux (Gironde), anciennement dénommé Institut d’œnologie de Bordeaux, a voulu établir une vérité en se basant sur des informations scientifiques et des données chiffrées pour décider de la légitimité d’un emballage, « sa fonction première étant de préserver le goût et les caractéristiques de son contenu », rappelle-t-il. Sous la conduite de l’équipe de Martine Pietton-Peuchot, vice-doyenne de la Faculté d’œnologie de Bordeaux, il a donc mené une étude d’envergure sur la conservation du vin dans les conditionnements existant actuellement sur le marché.

Soit des bouteilles en verre, en polyéthylène téréphtalate (PET) monocouche ou en PET multicouche, toutes bouchées avec des capsules à vis, ainsi que les caisses-outres. Cette étude consiste à évaluer l’influence du conditionnement par trois types d’analyses : l’analyse chimique des gaz décisifs dans l’évolution du vin (oxygène, dioxyde de carbone et dioxyde de soufre), l’analyse physique des couleurs et l’analyse sensorielle, effectuée par deux groupes de dégustateurs experts et novices. « Les résultats émanent de vins conservés dans des conditions de laboratoire : les chiffres seraient certainement plus marqués dans un contexte de stockage classique, où les variations de température et le transport peuvent avoir un impact non négligeable sur l’évolution du vin », soulignent les auteurs.

Les conclusions sont impitoyables pour le vin blanc. Dès six mois après le remplissage, il commence à s’oxyder dans les bou-

fication et d’embouteillage respecte sa volonté. D’où le passage d’une notion d’OTR statique à un OTR dynamique. « La maîtrise de l’oxygène permet désormais de définir un profil de transfert sous la forme d’une courbe et proposer une période optimale d’ouverture de la bouteille », affirme Stéphane Vidal.

teilles en PET et dans la caisse-outre. En revanche, il reste stable dans les bouteilles en verre de 75 et 18,7 cl. Les analyses chimiques sont confirmées par les dégustateurs, unanimes quant à son goût de fruit mâché. Pour le vin rouge, les résultats sont plus nuancés : « des prémices apparaissent mais il est encore trop tôt pour tirer des conclusions définitives ; il faut attendre les analyses à 18 mois qui auront lieu en septembre prochain ».

Cependant, les auteurs de l’étude ne livrent pas d’informations sur la nature des bouteilles testées notamment. Du coup, Artenius PET Packaging Europe (APPE), qui fournira quelque 8 millions de bouteilles en PET cette année, leur oppose la décision de l’enseigne britannique Marks & Spencer : celle-ci a adopté le PET pour ses petits formats après une évaluation sur deux ans de la production du français Paul Sapin, qui utilise des bouteilles multicouches avec barrière à l’oxygène Bind-Ox d’APPE. Arnaud Jadoul

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gène, le caractère naturel de la matière première ne permet pas de caractériser le transfert d’un bouchon à l’autre.

Fort de cet avantage concurrentiel, Nomacorc se développe rapidement sur des segments de marché comme les rosés et les blancs. Depuis sa création il y a dix ans, le fabricant a vendu plus de dix milliards de bouchons. Mais le bouchonnier s’aperçoit que le monde du vin ne maîtrise pas du tout la question de l’oxygène. Question : à quoi sert de maîtriser l’OTR si la quantité initiale d’oxygène contenu dans le vin n’est pas connue ? D’où l’idée de proposer un outil de gestion globale de l’oxygène dans le vin, de la vendange à l’ouverture en passant par le pressurage et l’embouteillage. Précédé par une première expérience marquée par le succès de PreSens, médaille d’or du palmarès de l’innovation 2009 au Sitevi, le projet NomaSense est né.

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Indépendamment des batailles d’experts, le vin conditionné en bouteilles en PET progresse.

Ainsi, la Cave de Lugny a rajeuni son offre.

L’occasion de rappeler que le vin n’affiche ni date limite de consommation (DLC) ni date limite d’utilisation optimale (DLUO). Ni d’ailleurs ses ingrédients… Or, la maîtrise de l’oxygène peut, par exemple, permettre de diminuer les sulfites.

Henri Saporta

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Hygiène

Serac met l’alimentaire aux normes de la pharmacie Le constructeur a développé une gamme de machines faisant la part belle à l’hygiène et à la nettoyabilité pour conditionner en aseptique les produits les plus difficiles.

Cheval ailé de la mythologie grecque, Pégase était capable de faire jaillir Hippocrène, la source de l’inspiration, d’un coup de sabot. Et d’inspiration Serac en a eu besoin pour aménager la SAS4, sa dernière génération de remplisseuses aseptiques, afin de la rendre la plus hygiénique possible. C’est d’ailleurs peut-être pour cette raison que le constructeur sarthois a choisi le nom de Pégase pour baptiser son projet. « Avec cette machine, on s’approche des normes d’hygiène employées dans le secteur pharmaceutique », explique Dominique Ledru, directeur de la communication de l’entreprise. La remplisseuse, qui peut traiter jusqu’à 13 000 bouteilles de polyéthylène haute densité (PEhd) de 250 cl par heure, a été développée pour un fabricant français de lait infantile de premier âge, un produit qui, de par ses caractéristiques intrinsèques et la clientèle à laquelle il s’adresse, exige un degré de sécurité élevé, plus proche de la pharmacie que de l’industrie des boissons. Il s’agissait aussi, pour Serac, de poser de nouveaux jalons en matière de remplissage aseptique, sa spécialité, en vue de se conformer aux exigences du marché américain, très sourcilleux en matière d’hygiène. Convaincu que les autorités locales, notamment la Food and Drug Administration (FDA), qui fait office en matière de sécurité alimentaire, lui donneront leur satisfecit le moment venu, l’entreprise n’a pas hésité à labelliser sa machine FDA Ready. « Toutes les protections ont été doublées, des filtres à air, aux joints tournants, en passant par le Rabs, notre concept d’isolateur, qui constitue à lui seul une double barrière, afin de répondre aux exigences des autorités américaines et de tous

ceux qui s’y réfèrent », commente Eric Chanteux, responsable technique.

Les aménagements d’ordre hygiénique sont nombreux dans la SAS4 FDA Ready.

Ils peuvent se résumer à des améliorations en termes de design et à des perfectionnements en termes de fonctions exercées par la machine, l’un n’allant pas sans l’autre le plus souvent. à vrai dire, Serac revendique une solide expérience en matière de conception hygiénique. Le constructeur, qui a vendu sa première remplisseuse aseptique en 1977 pour de la crème fouettée, possède, dans le monde, un parc de 77 machines en fonctionnement dont 32 lignes pour du lait UHT. Les plans inclinés, l’élimination des zones de rétention, la séparation entre les espaces stériles et les parties mécaniques sont donc des principes connus et appliqués par l’entreprise. Il n’empêche qu’il est toujours possible de faire mieux.

Les roues de transfert des bouteilles ont été ainsi redessinées afin de faciliter les écoulements des produits de lavage, selon le principe du « wash-down ». Il en va de même pour les pesons et les têtes de la thermoscelleuse : avec leur forme bombée, l’absence d’aspérités et aucun pas de vis apparent, ces pièces ne possèdent plus aucune zone de rétention.

Barrières Un autre chantier aura consisté à renforcer les barrières entre la zone stérile, où sont traitées et remplies les bouteilles, et l’extérieur. Pour ce faire, Serac a eu recours au Restricted Access Barrier System (RABS). Son système, breveté, repousse les poussières vers l’extérieur grâce à un flux unidirectionnel créant une surpression positive dans la zone de travail. Le constructeur est aussi intervenu sur certains points critiques,

comme les axes des organes tournants.

Les pièces concernées, comme le carrousel de remplissage, sont désormais dotées, au niveau de l’embase, de joints tournants immergés dans un bain de solution désinfectante barrant l’accès à toute forme de microbes et bactéries.

Quant aux fonctions de la machine, elles ont été revues et optimisées. Les bouteilles, par exemple, une fois « décarottées », sont nettoyées à la vapeur de peroxyde d’hydrogène (H2O2), juste avant remplissage. Le désinfectant est activé avec de l’air chaud, à 140°C. Le process est géré par ordinateur, la nouveauté étant représentée par la présence d’une sonde, brevetée, qui permet de quantifier le dosage de H2O2 dans chaque bouteille. « La traçabilité de la décontamination est totale », commente Fabienne Chériaux, responsable marketing. Pour éliminer l’oxygène présent dans l’espace de tête, facteur de vieillissement du produit, Serac a prévu un balayage à l’azote, juste avant le remplissage. D’importants aménagements ont été réalisés au niveau du nettoyage en place (CIP). Les délais de sanitation des circuits ont été portés à 55 minutes. Ils étaient de 1 h 12 auparavant. Rappelons que cette opération, qui comporte l’arrêt de la production, est réalisée toutes les 72 heures. Le nettoyage des parties extérieures de la machine, désormais réalisé avec le même produit que celui servant à nettoyer la tuyauterie, ne nécessite plus de canon à mousse. Il en ressort une grosse économie sur l’eau de rinçage.

Quant à la soude, elle est recyclée. « Avec 500 litres de solution, on nettoie la machine », note Dominique Ledru.

Enfin, Serac s’est lancé dans la production de composants qu’il était habitué

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process et design au service de l’aseptique Développée pour remplir des bouteilles de lait infantile de premier âge, un produit ultra-sensible, la SAS4 FDA Ready de Serac fournit une représentation assez fidèle des progrès réalisés en matière de conditionnement aseptique.

Pour maximiser l’hygiène, le constructeur a travaillé autant sur le process que sur le design de certaines pièces. c Peson Changements apportés : pièce maîtresse du dispositif de dosage pondéral, le peson a été redessiné ; les formes arrondies ont été privilégiées ; les pas de vis apparents ont été éliminés.

Avantages : meilleure hygiène ; le nettoyage et le rinçage sont facilités.

Traitement bouteilles Procédé: les bouteilles sont stérilisées avec un mélange gazeux de peroxyde d’hydrogène (H2O2) activé avec de l’air chaud.

Avantages : traçabilité des paramètres de décontamination ; réduction des consommations de produits ; pas de risques de pollution du contenant, maintenance réduite.

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Traitement opercules Procédé : une fois découpés de la feuille en aluminium, les opercules sont stérilisés au H2O2 dans une chambre située sur la trémie d’alimentation.

Avantages : économie sur les consommables (l’aluminium n’a pas besoin d’être préalablement traité) ; traçabilité des paramètres de décontamination.

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innovation design innovation process

c Pince multi-goulots Changements apportés : la pièce, qui sert à transporter les bouteilles par le col, a été redessinée afin de pouvoir opérer sur une large gamme de diamètres de goulot, de 25 à 45 mm.

Avantages : il n’est plus nécessaire de s’introduire dans la zone stérile de la machine pour changer les outillages en cas de modification de format de bouteille.

à acheter chez des spécialistes. « Nous avons mis la barre tellement haut en matière d’hygiène que nous n’avons rien trouvé sur le marché pouvant nous satisfaire. Du coup, nous avons internalisé ».

Rabs Procédé : conçu comme un isolateur, le Restricted Access Barrier System (RABS) fournit une protection dynamique de la zone de travail grâce à la surpression créée par le flux unidirectionnel.

Avantages : les corps étrangers tels que les poussières sont maintenus à l’extérieur ; la maintenance est facilitée.

La thermoscelleuse d’opercules, par exemple, a été développée au siège de la Ferté-Bernard, tout comme les retourneuses de bouteilles. Et Dominique Ledru de conclure : « Il s’agit de la

c thermoscelleuse Changements apportés : la structure est en porte-à-faux ; la partie supérieure de la tête est bombée ; le câblage confiné à l’intérieur.

Avantages : meilleure hygiène ; absence de zones de rétention ; nettoyage facilité.

première machine développée et fabriquée par Serac de A à Z. En regard des objectifs que nous nous sommes fixés, c’est une belle satisfaction ».

Tiziano Polito

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procédé

Refresco élimine les conservateurs des sodas Le spécialiste du conditionnement des BRSA est parvenu à supprimer des additifs tels que les benzoates et les sorbates grâce au remplissage aseptique. « Une révolution ! » : Vincent Delozière, directeur général de Refresco France ne manque pas d’enthousiasme pour définir la technologie dont son usine de Saint-Alban-les-Eaux (Loire) peut maintenant se prévaloir. La nouveauté est de taille, car il s’agit ni plus ni moins que de bannir les conservateurs des boissons gazeuses. Des conservateurs comme les benzoates et les sorbates, dont l’estomac du consommateur ferait bien l’économie... Pour y parvenir, le conditionneur d’origine néerlandaise remplit en mode aseptique (voir à ce sujet l’article publié sur emballagesmagazine.com le 18 mars 2010). Or, cette technologie, d’ordinaire, pose problème pour les boissons gazeuses en raison des phénomènes de moussage pouvant être à l’origine de problèmes de contamination des becs de la

remplisseuse. « Nous avons réussi à éliminer tous les risques en intervenant à la fois sur le process et l’organisation », explique Vincent Delozière. La remplisseuse a été modifiée. Elle intègre désormais des becs anti-mousse. Mais à elle seule, cette solution n’aurait pas suffi. Pour garantir une asepsie parfaite, Refresco a mis au point un protocole de nettoyage très strict. Toutes les 48 heures, la machine est arrêtée et nettoyée de fond en comble. « Le savoir-faire de notre personnel dans le remplissage aseptique a été déterminant », observe Des étiquettes éloquentes Refresco est très présent sur le marché des marques de distributeurs, avec des boissons produites pour le compte de Carrefour, E. Leclerc, Leader Price. Ses clients n’hésitent pas à mettre en avant l’absence de conservateurs sur les étiquettes.

La plupart des boissons gazeuses contiennent des conservateurs dont le rôle consiste à inhiber l’action des microorganismes et à freiner l’action des gaz oxydants. Le benzoate de sodium (E211) et l’acide benzoïque (E210), l’acide sorbique (E200) et son sel, le sorbate de potassium (E202), le gaz carbonique (E290) comptent parmi les produits les plus utilisés.

Les citrates (E330-E333) sont connus pour leur action anti-oxydante et antiacidité tout comme les phosphates (E338-E341). Bien que ces produits soient autorisés, certains d’entre eux comme le benzoate de sodium et le sorbate de potassium pourraient avoir des effets nocifs sur la santé.

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Des boissons bien protégées

Vincent Delozière. Opérationnelle depuis le début de l’année, la ligne remplit plusieurs types de boissons gazeuses vendues sous marque distributeur parmi lesquelles Frutsi (Leader Price), Jean’s (Marque Repère pour E.Leclerc) ainsi qu’un thé gazeux de la marque Liptonic (Pepsi Co. Lipton Int.).

étiquette Dernier en date, le lancement d’un cola pour Carrefour — Cola Vintage — a démarré en juillet. « Nous sommes très sollicités. Nos clients trouvent un réel avantage à pouvoir indiquer sur leurs étiquettes que leurs produits ne contiennent pas de conservateurs », note Vincent Delozière.

Autre atout, et il n’est pas des moindres : le remplissage aseptique permet de limiter la quantité de gaz carbonique dans la boisson. En effet, si le dioxyde de carbone sert à rendre la boisson pétillante, il sert aussi à la conserver.

Or, le procédé aseptique, rend cette action moins nécessaire. L’entreprise est tellement convaincue par les avantages du remplissage aseptique qu’elle va doter son usine de Saint-Alban-les-Eaux d’une nouvelle ligne, mais cette fois pour des liquides plats. D’une valeur de 15 millions d’euros, l’installation, fournie par Sidel, comporte un système de décontamination à la vapeur sèche CapDis pour le bouchon et PreDis pour la préforme.

Elle se rajoute à une ligne similaire, de dix millions d’euros, toujours pour liquides plats, dans laquelle le conditionneur à façon avait investi, en décembre 2009, dans son usine de Nuits-Saint-Georges (Côte-d’Or).

Tiziano Polito

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Logistique

SODEPAC PIèGE L’HUMIDITé Méconnus, les absorbeurs d’humidité représentent une solution pour protéger et conserver les marchandises lors de leur transport. Par voie maritime notamment.

Sel anhydre La société a remédié au problème en utilisant du chlorure de calcium, un sel anhydre instable. Par son caractère hygroscopique, celui-ci réagit avec les molécules d’eau en les absorbant et se transforme en saumure, recueillie dans un bac. Depuis sa création en 1979 par Jean Vasseur, la société a conquis le marché grand public européen avec ses gammes d’absorbeurs d’humidité vendues sous marques propres ou sous la marque Seko. Ces produits étaient d’abord destinés à réguler le taux d’humidité intérieur des habitations. Des applications ont ensuite été développées pour les embal-

lages. Dans ce domaine, la société propose, par exemple, O’Sec, un mélange de poudres déshydratantes qui évite la formation de liquide dans les contenants.

Températures à l’occasion de son arrivée dans la société il y a sept ans, le directeur général délégué de Sodepac, Pascal Lenglet, lance un plan « pour investir dans la durée ». Axé sur l’export, ce dernier vise les applications industrielles, particulièrement celles concernant le transport maritime de denrées alimentaires comme le cacao, la farine ou encore les eaux minérales. D’après Pascal Lenglet, « le taux d’humidité relative idéal pour la majorité des produits et des matériaux se situe entre 40 et 60 %. Or, au cours d’un long voyage, les différences de températures entre le jour et la nuit provoquent d’importantes variations de l’hygrométrie dans les conteneurs, dégradant ainsi le fret irrémédiablement. Il devient alors indispensable de maîtriser ce paramètre ».

Les fabricants asiatiques proposent des capteurs d’humidité à base de silicagel, un gel de silice. Ce polymère, qui ne peut être utilisé qu’une seule fois, devient ensuite un déchet difficile à éliminer. Pour contourner le problème, Sodepac a développé un procédé à partir d’argile déshydratée activée.

Proposé sous forme de billes, ce déshydratant assèche totalement le milieu et assure ainsi la protection des marchandises. Il est

Un brevet en appelle un autre Tout a commencé en 1973 quand Jean Vasseur, ancien chimiste du sucrier Béghin-Say, s’inspire d’un dispositif de conservation industrielle du sucre et invente le déshydratant.

Ce que l’on appelait à l’époque une « boule rouge » – du chlorure de calcium dans une chaussette – devient le premier absorbeur d’humidité : l’invention est brevetée. En 1978, Jean Vasseur est récompensé pour sa création au concours Lépine. Il crée Sodepac un an plus tard. L’invention sera perfectionnée à plusieurs reprises, au rythme des dépôts de brevets de la société…

90 % des produits de Sodepac sont fabriqués à Lille (Nord) et 10 %, dans les filiales thaïlandaise et indonésienne.

aussi totalement naturel.

Cette alternative écologique aux produits asiatiques s’avère être un levier pour Sodepac. à fort potentiel, le marché lié à l’export représente en effet 25 % de son activité, l’objectif étant de dépasser les 50 % dans trois ou quatre ans. L’entreprise s’apprête d’ailleurs à franchir la barre des 10 millions d’euros de chiffre d’affaires et investit, à hauteur d’un million d’euros, dans la construction d’un bâtiment de 1 200 m² sur dix mètres de haut et dans une nouvelle ligne de production pour un absorbeur d’humidité grand public. La demande sera-t-elle au rendez-vous ? Sodepac a bien conscience que « les déshydratants sont encore largement méconnus ». Nombre d’exportateurs s’attaquent seulement, en effet, aux conséquences de l’humidité, en utilisant des antilarves ou des anti-mousses.

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Apparition de tâches de corrosion, développement de moisissures et de levures, ou encore décollement d’étiquettes et affaissement des cartons : les conséquences de l’humidité sur certains produits sont ennuyeuses, voir dramatiques. Elles peuvent rapidement se chiffrer à plusieurs centaines de milliers d’euros. En traversant les océans de l’Asie à l’Europe, les marchandises stockées dans les containers sont soumises à un taux d’humidité important pendant un temps prolongé, plusieurs mois en général. Les industriels ont donc recours à des absorbeurs d’humidité pour protéger et conserver les cargaisons lors de leur acheminement. Le français Sodepac a été le premier à trouver une solution.

Gauthier Devie

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Produits PharmaceutiQues sensibles et chaîne du froid :

les Pharmaciens jouent un rôle clé auPrès des Patients, nous leur aPPortons une solution Chaque jour, de nombreux patients se voient prescrire des traitements sensibles aux variations de température : vaccins, anti-allergènes, insuline, hormones, …

Q

ue ce soient les Laboratoires, les grossistes ou les répartiteurs, tous sont au fait de la nécessité de maintenir ces produits à forte valeur sous température dirigée. Ils mettent en place des procédures logistiques sécurisées.

Mais qu’en est il en milieu hospitalier, clinique, officine voire même chez le patient ?

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salon

Vinitech prend une nouvelle dimension

Produit

Un champagne bien frappé

technologie

Heuft vérifie les bouteilles remplies

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Emballages Magazine - Cahier boissons - Novembre 2010

cahier boissons

boissons

Du marketing au développement durable Emballages Magazine vous propose, à l’occasion du salon Vinitech Sifel qui se tient à Bordeaux du 30 novembre au 2 décembre, un zoom dans l’univers des boissons à travers ce cahier Boissons.

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éditorial

Un zoom dans les boissons à l’occasion du salon Vinitech Sifel qui se tient à Bordeaux du 30 novembre au 2 décembre, Emballages Magazine vous proà la recherche du naturel pose un zoom dans l’univers des boissons à travers ce cahier Boissons mais aussi dans le numéro de novembre.

L’actualité du secteur est traitée sur emballagesmagazine.com d’où proviennent les informations qui suivent. le secteur des boissons a pris Filière majeure de l’embalà bras le corps l’enjeu lage et du conditionnement en termes de performances du développement durable. de matériaux, de cadences et de systèmes de contrôle, le secteur des boissons a pris à bras le corps l’enjeu du développement durable.

La fédération européenne du verre d’emballage (FEVE) anime le réseau Friends of Glass pour faire valoir la noblesse du #929

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en images

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analyse

Poche de Sauce Soja yamaSa

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leS animationS aVant-Première de h à Z

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conservation

Au-delà de l’indispensable qualité sanitaire, les technologies de conditionnement permettent de préserver la naturalité des ingrédients grâce aux progrès des technologies de traitement.

verre. Verallia, O-I ou encore Vidrala : les verriers ne cessent d’alléger leurs bouteilles et de diminuer les impacts de leur process tant sur la consommation d’énergie que la logistique. Les procédés d’embouteillage comme l’aseptique permettent, dans le même temps, de respecter l’intégrité des produits. Les premières applications arrivent même dans le gazeux. De son côté, une entreprise comme Nomacorc, un fabricant de bouchons en plastique, a fait de la maîtrise de l’oxygène dans l’embouteillage du vin son cheval de bataille avec le programme NomaSense. Le liège, pour sa part, ne cesse de vanter son origine naturelle.

Le secteur des boissons est également très actif en matière de marketing.

Les décorations osées et les coffrets décalés se multiplient dans un univers resté longtemps traditionnel. La filière se préoccupe naturellement de la contrefaçon : Advanced Track & Trace (ATT) a ainsi obtenu un Trophée de Bronze lors des Trophées de l’Innovation Vinitech Sifel 2010 pour son Seal Vector.

Henri Saporta

des pictogrammes pour IDENTIFIER les marchés

Alimentaire

Boissons

Hygiène-Beauté

Pharmacie

Luxe

Non alimentaire Tous secteurs

Industrie

Automobile

Textile

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photo laura mignot

sommaire

VI

cahier boissons Du marketing au développement durable ■ Emballages Magazine vous propose, à l’occasion du salon Vinitech Sifel qui

se tient à Bordeaux du 30 novembre au 2 décembre, un zoom dans l’univers des boissons à travers ce cahier Boissons.

■ Très actif en matière de marketing, ce secteur a pris à bras le corps l’enjeu du développement durable.

■ Le numéro de novembre comporte également des articles sur le bouchage du vin (page 70), l’aseptique (page 72) et les boissons gazeuses (page 74).

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boissons Toute l’actualité sur www.emballagesmagazine.com

salon

Vinitech prend une nouvelle dimension Les équipements et services pour les filières viti-vinicoles et des fruits et légumes font désormais salon commun.

D’un côté, une manifestation reconnue, au positionnement ouvert, se tenant au cœur d’un vignoble de renommée mondiale. De l’autre, un salon souhaitant se développer et accroître son attractivité, dont les visiteurs sont de plus en plus des « polyculteurs », confrontés à des enjeux et des besoins communs. Le salon des techniques de la filière fruits et légumes (Sifel), qui se tenait auparavant à Agen (Lot-et-Garonne), a donc décidé de rejoindre Vinitech, le salon des équipements et services pour la vigne, les vins et les spiritueux. Du 30 novembre au 2 décembre 2010 se tient donc au Parc des expositions de Bordeaux-Lac (Gironde) ce premier rendez-vous commun, pour lequel un millier d’exposants en provenance d’une vingtaine de pays et près de 50 000 visiteurs sont attendus.

Les deux manifestations mutualisent ainsi leurs moyens pour permettre de découvrir chacune des deux filières viti-vinicoles et des fruits et légumes en détail, mais aussi les synergies et passerelles entre viticul-

ture et arboriculture notamment. « Cette édition permet aux exposants d’avoir un tronc commun sur différents thèmes tels que le travail du sol, l’irrigation, l’utilisation des produits phytosanitaires, les amendements organiques, la mécanisation, le matériel, les innovations… », souligne Yves Bertrand, président du Sifel.

Trois pôles Concrètement, un espace de 60 000 m², dans les halls 1 et 3, couvre toutes les étapes d’élaboration et de commercialisation des vins et spiritueux. Un pôle de 12 000 m² dédié aux matériels pour les fruits et légumes est installé dans le hall 2.

Une troisième zone d’exposition « vigne, verger et maraîchage » rassemble les matériels agricoles communs aux deux filières.

Trois espaces « Innovations, Perspectives et Nouveautés » répartis dans le salon présentent l’ensemble des nouveautés et des innovations et donnent l’occasion de découvrir les produits récompensés aux Trophées Vinitech & Sifel. à noter que les

lauréats, connus depuis le 9 septembre, participent au prix du public : les innovations retenues sont exposées depuis octobre sur le site web du salon et soumises au vote des visiteurs professionnels.

Opération lancée par Vinitech en 2006, le « forum des idées » est développé. Il s’articule autour de conférences ou congrès, d’ateliers thématiques traitant de sujets techniques d’actualité et d’un forum des expériences. Figurent au programme, en particulier, les thèmes de la maîtrise de la qualité du vin de l’élevage de la barrique aux copeaux, des techniques de l’information et de la communication au service de l’étiquetage et du marché de la caisse-outre. Ce dernier sujet est l’occasion de présenter une étude de France AgriMer, réalisée d’avril à septembre 2010, qui doit aider à « comprendre les facteurs clés responsables du succès actuel du Bag-in-Box, les forces et faiblesses de cette innovation, ses aspects techniques et économiques ».

Arnaud Jadoul

Prime à l’analyse pour les trophées de l’innovation

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La Tonnellerie Radoux (groupe Oeneo) reçoit un trophée d’or pour son système Oakscan d’analyse rapide des tanins des douelles de barriques. Mis au point avec Ondalys, l’Institut national de la recherche agronomique (Inra), l’Institut de recherche pour l’ingénierie de l’agriculture et de l’environnement (Cemagref) et le Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad), cet outil, basé sur la spectrométrie proche infrarouge, doit permettre de fiabiliser l’homogénéité des fûts.

« Il s’agit d’une avancée remarquable compte tenu de la variabilité des douelles dans leur teneur en tanins. Cette découverte ouvre de nouvelles perspectives pour d’autres constituants du bois », commente Jean-Luc Berger, conseiller technologique Vinitech-Sifel.

Les autres produits primés répondent, eux, à différentes préoccupations, environnement, traçabilité, praticité, hygiène… Sud Ouest Emballage obtient un trophée d’argent pour sa capsule Elite de surbouchage, en complexe aluminium, imprimée avec des encres UV. Un trophée de bronze est décerné à Advanced Track & Trace pour le Seal Vector, code à barres 2D sécurisé qui assure une protection contre la copie et la contrefaçon. One Glass Wine (1/4 Vin), Peter Moog & Cie et Soufflet Vigne, quant à eux, sont cités. One Glass Wine a conçu une ligne de conditionnement U4-ACN de verres prêts à boire, le suisse Peter Moog propose un nettoyeur de fûts à entraînement hydraulique à eau et Soufflet Vigne a mis au point Class 6, un carton pour 6 bouteilles à plat, à rabats intégrés.

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environnement

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boissons

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Produit

MOËT & CHANDON CHOISIT DES CRAVATES FASSON La maison de champagne opte pour des collerettes en polyéthylène blanc collées avec un acrylique à base solvant Une résistance élevée à l’arrachement, des surfaces courbes au niveau du goulot, des propriétés adhésives lui permettant de coller sur le complexe aluminium de la coiffe et, en même temps, sur le verre de la bouteille sans former de plis : les contraintes techniques liées au développement d’une collerette sont nombreuses dans le domaine du champagne. En plus, chez Moët & Chandon, avec ses deux pointes noires

orientées vers le bas, la collerette représente un élément distinctif de la marque.

On lui donne le nom de « cravate » et on lui accorde une importance toute particulière.

La maison de champagne annonce avoir choisi Fasson, la marque d’étiquettes de Avery Dennison, pour lui fournir ses « cravates ». Afin de répondre aux impératifs de son client, l’américain a développé une solution « combinant les avantages d’un

frontal résistant et d’un adhésif de haute performance ». Avery Dennison utilise un film blanc en polyéthylène de 150 microns avec « top-coat » et un adhésif acrylique à base solvant placé sur un dorsal siliconé.

Facile à imprimer, ce support est aussi facile à mettre en oeuvre : même à grande vitesse, le positionnement de la collerette sur la bouteille demeure précis.

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Un champagne spécialement élaboré pour être servi sur glace ! Moët et Chandon lance le Moët Ice Imperial, un demi-sec dosé à 45 grammes de sucre par litre pour que le bouquet du vin résiste à la glace. Il se consomme dans un verre à pied largement ouvert pour accueillir deux tiers de champagne et un tiers de glaçons, et surtout pas de la glace pilée. Le packaging est au diapason : tout de blanc vêtu, comme si la bouteille était recouverte de givre. Avec un effet de bulles dorées qui semblent remonter du fond de la bouteille.

D’après nos informations, ce résultat est obtenu grâce à un manchon rétractable cristal, très technique, fabriqué et posé par Sleever

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Moët et Chandon lance un vin à déguster sur glace.

International. L’étiquette est également blanche et dorée.

En France, ce champagne ne sera disponible qu’à Saint-Tropez.

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TROIS VINS DANS UNE SEULE CAISSE

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Avec la Box, Wine Excetera propose le choix sans être freiné par l’ouverture.

Anthony Molinari, créateur de Wine Excetera à Rogna, dans le Jura, propose depuis peu la Box. Reprenant le principe des caisses-outres et du conditionnement sous vide du vin et s’inspirant de certains systèmes de café en dosettes individuelles, l’entrepreneur a conçu trois caisses en une. Il

peut ainsi offrir trois vins différents, par exemple, du vin blanc, du vin rouge et du rosé, à choisir dans une douzaine de références, sans être freiné par l’ouverture des bouteilles et l’obligation de consommer rapidement l’alcool. Chaque poche contient un litre (et bientôt 1,5 litre pour les restaurateurs). Chacune peut être placée de manière indépendante.

Le blanc et le rosé peuvent ainsi être maintenus au frais avant la dégustation. Après ouverture, le vin se conserve 60 jours. Par ailleurs, la Box, produite par LGR Emballages, affiche un décor moderne et évolutif suivant la saison. Astucieuse et conviviale, la Box

by Wine Excetera a fait l’objet d’un dépôt de brevet.

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ÉCRIN ISOTHERME Pour VEUVE CLICQUOT La maison de champagne s’inspire des « frigos » des années 1950.

Développé pour la bouteille de champagne de 75 cl « brut carte jaune », le nouveau coffret isotherme de Veuve Clicquot rappelle les réfrigérateurs des années 1950. Baptisé Fridge, il permet de garder le champagne au frais pendant deux heures. Il a été créé par QSLD et produit par Dapy. La base et le couvercle sont injectés en acrylonitrile butadiène styrène (ABS) teinté jaune Clicquot dans la masse. Sur deux

des côtés de la base, le logo « Veuve Clicquot » et sa comète sont gravés en relief avec marquage à chaud, de couleur argent brillant. L’ouverture et la fermeture sont assurées par deux charnières — relativement fragiles — et un fermoir injectés en polypropylène qui sont rapportés. La bouteille est maintenue à l’intérieur par une cale thermoformée en polystyrène blanc opaque.

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Qualité

LE VERRE EUROPÉEN FAIT SON BILAN

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La Fédération européenne du verre d’emballage rappelle les points forts du verre en matière d’environnement.

Dans le cadre d’une conférence de presse en ligne en présence de Niall Wall, président de la Fédération européenne du verre d’emballage (Feve) depuis quelques semaines, Fabrice Rivet, directeur technique de la Feve, et Kathleen van Brempt, du Parlement européen, la Feve a fait le point sur les avancées du verre d’emballage en matière de développement durable. S’il est

connu que le verre est un matériau dont le recyclage entraîne d’importantes économies d’énergie et qu’il est possible de réutiliser un même emballage 40 fois, la Feve met à disposition une analyse de cycle de vie (ACV) détaillée afin de donner des éléments concrets à ses clients. « L’énergie économisée en recyclant une seule bouteille permet d’alimenter un ordinateur pendant 25 minutes » a, par exemple, mentionné Niall Wall. « L’industrie du verre se trouve dans une solide position de départ » en ce qui concerne le recyclage en boucle, a souligné Kathleen van Brempt. Niall Wall a ensuite précisé que « le verre peut être recyclé à l’infini sans que sa qualité n’en soit affectée » puis souligné : « le recyclage s’oppose au « décyclage » : le matériau, dans ce cas, perd sa qualité et ses propriétés initiales.

Cette technique est incontestablement moins avantageuse que celle qui permet

de préserver indéfiniment la qualité et les propriétés du matériau ».

La Feve a également souligné que le verre est le matériau préféré des consommateurs pour la sécurité qu’il apporte en matière de neutralité et d’absence de risques chimiques.

Friends of Glass Une étude menée par TNS en septembre montre ainsi que 83 % des consommateurs préfèrent le verre au plastique pour la protection des contaminations chimiques.

L’association Friends of Glass lance d’ailleurs au mois d’octobre une campagne de communication sur le thème « Nothing to Hide » sur ce thème. Avec 20 millions de tonnes produites en 2009 dans 159 usines employant 46 000 personnes, le continent européen est le premier producteur d’emballages en verre dans le monde.

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UN MACARON POUR LES BOUCHONS EN LIÈGE La filière veut permettre aux consommateurs d’identifier le mode de bouchage des bouteilles.

Après le lancement d’une campagne publicitaire en juin dernier, les Professionnels du liège, sous l’égide de la Fédération française des syndicats du liège (FFSL) et de l’Association portugaise du liège (Apcor), proposent un macaron pour rendre visible le bouchage liège des bouteilles. Il se veut un signe de reconnaissance et un gage de qualité. La profession part du constat que 89 % des Français préfèrent le bouchon de liège à tout autre mode de bouchage, selon une enquête de perception réalisée par Ipsos en avril, mais que les consommateurs n’ont aucun moyen d’identifier une bouteille bouchée liège. « Il était temps de

valoriser les qualités du bouchage liège : un bouchon inerte, flexible, hautement compressible, fortement résistant aux chocs et capable de prévenir la contami-

nation extérieure », explique l’association professionnelle. Ce macaron doit marquer également l’engagement de la filière dans une politique de respect de l’environnement. Disponible en langues française et anglaise, avec le mode d’emploi et la charte graphique (versions facing, vert, doré ou noir, et contre-étiquette), le macaron est téléchargeable sur les sites planetliege.com et federation-liege. fr. Reste à savoir s’il sera adopté par les producteurs et les négociants, au milieu des nombreuses informations qu’ils ont déjà à mentionner et des médaillons liés à des récompenses.

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LE VERRE CREUX EN REPLI EN 2009 L’activité recule encore. Après une année 2008 déjà difficile.

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design La Fédération des chambres syndicales des industries du verre a publié son rapport annuel. Le verre creux poursuit son recul, amorcé en 2008, pour clôturer l’année 2009 par une chute des volumes de production de 13 %. Selon la Fédération, les phénomènes de déstockage ont eu des conséquences particulièrement rudes, notamment dans le secteur du flaconnage pour la parfumerie et la pharmacie, qui a connu un réel effondrement (-21 % en volume). En 2009, la production de verre creux se situe à 3 378 438 tonnes contre 3 898 121 en 2008 et 4 148 987 en 2007. Le flaconnage et les pots, toujours regroupés dans les statistiques verrières, ont enregistré une production de 437 632 tonnes (554 306 tonnes en 2008). Les bouteilles et les pots, en phase avec une consommation intérieure en recul, pâtissent de

innovation

la baisse des ventes de vin et de bière, devenue structurelle depuis quelques années. La bouteillerie et les pots représentent une production de 2 712 478 tonnes en 2009. Les ventes de bouteilles en 2009 ont représenté plus de 8 milliards de cols. Le secteur a également été affecté par le déstockage et les mauvais résultats à l’export des vins et spiritueux français. La gobeleterie termine l’année en retrait de 30 %. Les bocaux accusent une baisse de 48 %.

Les comptes sont mauvais aussi à l’export. Les exportations des producteurs français ont enregistré une baisse de 21 % en valeur alors que les importations du poste « Emballage en verre » ont augmenté de 5 % en valeur.

Le chiffre d’affaires du verre creux mécanique s’élève quant à lui à 2,346 milliards d’euros en 2009.

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DES BOUTEILLES ALLÉGÉES CHEZ O-I

ZORK SIGNE AVEC TESCO

Le verrier lance des bouteilles de vin de 328,8 et 368,5 grammes.

Le fabricant australien obturera certains vins effervescents du distributeur avec sa solution refermable.

Zork fait ses premiers pas dans les vins effervescents en dehors de l’Australie.

Le fabricant de dispositifs de bouchage alternatifs a signé avec le distributeur britannique Tesco un contrat de fourniture de bouchons SPK. L’enseigne

l’utilisera d’abord sur quatre de ses produits, dont une blanquette de Limoux et un Spumante, mais elle a d’ores et déjà l’intention d’en étendre l’application.

Elle souhaiterait même pouvoir l’utiliser pour du champagne et du cava !

En polyéthylène basse densité, le SPK est censé faciliter l’ouverture, tout en conservant le « pop », et permettre de reboucher la bouteille, la fraîcheur et le pétillement du vin étant maintenus pendant une semaine. Il est composé de quatre éléments : une capsule externe dotée d’une bande d’inviolabilité, un bouton poussoir sur le dessus pour le rebouchage, un film métallique à l’intérieur, barrière à l’oxygène, un collier qui assure le maintien sur le col de la bouteille. Tesco espère surtout séduire sa clientèle féminine avec cette solution.

Basé à Adelaïde, Zork compte deux licenciés, Portola Packaging en Amérique du Nord et Oliver Ogar en Italie.

avec Papcart. Pour le cartonnier français, basé à Gétigné, près de Nantes (Loire-Atlantique) et présent également à Jarnac (Charente), qui fabrique des étuis et coffrets pour, en particulier, la cosmétique, le cognac et le champagne, emploie 175 salariés et réalise un chiffre d’affaires de 25 millions d’euros, le but est de mieux s’implanter sur le marché des vins et spiritueux. L’accord porte sur la distribution de produits, le soutien technique des clients et le développement conjoint de nouvelles solutions.

Leader mondial de l’emballage en verre, l’américain O-I lance une nouvelle gamme de bouteilles de vin allégées dans le cadre de son programme Lean + Green. Une bouteille allégée entraîne une diminution des impacts sur l’environnement tout au long de la chaîne logistique : soit 89 tonnes d’équivalent carbone économisés pour 1 million de bouteilles, selon le verrier. Fabriquée dans l’usine californienne du groupe, la nouvelle bouteille de 75 cl serait ainsi la plus légère en Amérique du nord avec un poids de 328,8 grammes (11,6 onces).

Soit une réduction du poids de 27 % par rapport au modèle standard de 453,6 grammes (16 onces). Le verrier lance également un second modèle de 368,5 grammes (13 onces) pour le marché de la côte Est. Cette bouteille a été retenue par LD Carlson, un fournisseur d’équipements pour l’industrie vinicole. O-I explique que ces bouteilles allégées, disponibles dans les différentes teintes que sont Champagne Green, Flint, Emerald Green et Dead Leaf Green, ne changent en rien la perception de qualité offerte par l’emballage en verre. O-I a annoncé un plan ambitieux de baisse de ses impacts environnementaux pour 2017.

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CHESAPEAKE S’ALLIE À PAPCART Les deux groupes veulent mieux se développer dans les vins et spiritueux. à peine leur alliance conclue, Chesapeake et Papcart ont fait stand commun sur Pack & Gift, le salon des emballages promotionnels, les 2 et 3 juin 2010, à Paris. Les deux groupes viennent en effet de signer un accord commercial. Pour le britannique, spécialisé dans les étiquettes, les étuis pliants et les bouteilles et bidons en plastique, dont les quatre usines françaises travaillent pour la pharmacie et la chimie, il s’agit d’étendre son réseau de distribution dans les emballages de haut de gamme. C’est d’ailleurs sa division « emballage de marque » qui coopérera

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Entreprise

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LES VIGNERONS DE BUZET INVESTISSENT DANS L’EMBOUTEILLAGE

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La cave viticole du Lot-et-Garonne améliore la qualité de ses produits. viennent d’investir 800 000 euros dans une nouvelle chaîne d’embouteillage, fournie par l’italien Bertolaso, « répondant au mieux aux exigences des consommateurs », indiquentPrès de 10 000 bouteilles par heure, sous ils. L’équipement comprend une rinceuse, atmosphère totalement stérile, une lutte tireuse, boucheuse. Parmi les caractériscontre l’oxygène dissous, la polyvalence tiques de cet outil : un rinçage quasi parfait des formats et un système de recyclage des bouteilles, l’évacuation de l’air contenu les flacons par un balayage d’azote, permanent de l’eau de rinçage : Les Vi-3:15 dans 180x131 PDG.ai 1 20/10/2010 PM gnerons de Buzet, dans le Lot-et-Garonne, un remplissage sans turbulence ni création

de mousse, une aspiration des poussières de liège avant bouchage. « C’est donc un vin parfaitement sain, qui est « déposé » dans les bouteilles, un produit qui correspond aux légitimes exigences des consommateurs, une garantie pour la préservation du goût du vin », soulignent-ils. En outre, la chaîne s’adapte à un grand nombre de formats de bouteilles, offre un grand confort de travail à ceux qui l’utilisent, dispose d’une accessibilité totale par les opérateurs. Son châssis en acier inox évite toute stagnation des liquides. Les Vignerons de Buzet commercialisent douze millions de bouteilles chaque année.

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KRONES CROIT DANS LES PETITES CADENCES

Technologie

COGNEX CONTRÔLE LES ÉTIQUETTES À 360°

L’allemand propose Vinetta pour étiqueter entre 4 000 et 8 000 cols par heure.

Le spécialiste de la vision industrielle améliore l’inspection des bouteilles. l’intégralité des étiquettes placées sur le goulot, l’arrière et l’avant des bouteilles, ainsi que l’emplacement, l’ondulation du bord et le logo sur la capsule.

72 000 bouteilles par heure Le système est en mesure d’inspecter jusqu’à 72 000 bouteilles par heure soit la vitesse d’une ligne boissons hautes cadences. Expert ETK détecte également les produits endommagés et la présence du code date. Le systèmes est également en mesure de vérifier que la bonne étiquette a été appliquée sur le bon produit. Les défauts spécifiques sont rapidement détectés, ce qui permet d’identifier immédiatement les sources potentielles d’erreur. Dans le tunnel d’inspection, des lumières LED garantissent un éclairage adapté, qui varie selon les exigences d’exposition de chaque type d’étiquette. Ce système peut également lire les codes à barres 1D et les codes 2D, par exemple les codes Datamatrix.

Les limites de tolérance sont spécifiées par des paramètres définis pour chaque type de bouteille. En acier inoxydable, le système répond aux normes d’hygiène de l’industrie alimentaire. Cognex fabrique des systèmes d’inspection, de guidage et d’identification basés sur la vision industrielle.

étiqueteuse peu encombrante à cinématique rotative, Vinetta est une machine développée pour les producteurs de vin, bière et autres boissons confrontés à des petites cadences de production, comprises entre 4 000 et 8 000 cols par heure. Krones, son concepteur, lance cette machine pour l’étiquetage de produits divers, tels que des bouteilles, des flacons et des bocaux, en verre ou en plastique. Le constructeur allemand estime que le marché des petites et moyennes cadences est susceptible de se développer. Vinetta est capable, selon les configurations, d’appliquer une étiquette principale mais aussi des contre-étiquettes, des bandelettes ou des étiquettes pour bouchon mécanique. Son magasin possède une capacité de 5000 étiquettes. Au plan de la construction, Krones a essayé de faciliter les changements de format et de diminuer les coûts de fonctionnement.

Dans ce sens, il a prévu une pompe à colle avec chauffage intégré pour appliquer toujours la même quantité d’adhésif et réduire sa consommation.

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Quatre caméras disposées à 90° l’une de l’autre, et tournées vers le centre, pour avoir une vue globale du pourtour de la bouteille ; une caméra située sur le haut, pour vérifier la capsule. En partenariat avec Syscona Kontrollsysteme et Weber Systemtechnik, deux sociétés à l’origine du système d’inspection Expert ETK, Cognex propose une nouvelle méthode de contrôle de l’étiquetage sur les bouteilles et, plus en général, pour les corps cylindriques. La technologie, qui intègre le procédé de vision OmniView, constitue une réponse aux problèmes d’intégration des caméras à l’intérieur des étiqueteuses.

En effet, les stations d’étiquetage représentent des endroits hostiles en regard de la chaleur, de l’humidité et de l’emploi de consommables comme la colle. De plus, ces mêmes étiqueteuses ont tendance à devenir plus compactes ce qui complique l’intégration du matériel de vision lorsque celà est nécessaire.

Pour résoudre ce problème, Cognex sort le contrôle de l’étiqueteuse. Les vérifications sont réalisées à l’extérieur, alors que les bouteilles avancent librement le long de la ligne. Concrètement, les bouteilles sont photographiées, une par une, à une vitesse de 50 millisecondes, et sur tous les angles, alors qu’elles défilent en continu. Il n’est pas nécessaire que les bouteilles soient alignées. Expert ETK vérifie la qualité, la présence, la position et

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METTLER TOLEDO INSPECTE LES BOISSONS Le 360 Full-View inspecte jusqu’à 700 bouteilles par minute.

Spécialisé dans le matériel de contrôle et de pesage, Mettler Toledo propose le 360 Full-View pour inspecter des récipients de forme cylindrique, conique, à facettes, qu’ils soient en verre, en plastique, en métal ou en carton rigide. Le système est capable de détecter des défauts d’impression, d’étiquetage, de composition et ce, quelle que soit l’orientation des bouteilles. Il opère à une vitesse maximale de 700 bouteilles par minute. En particulier, le 360 Full-View contrôle le repérage et le décollement des étiquettes. En matière de bouchon, il s’attache à vérifier sa présence, sa hauteur, son intégrité et son orientation. D’origine américaine, Mettler Toledo affiche un chiffre d’affaires de

1,7 milliard de dollars (1,5 milliard d’euros) avec 10 000 salariés et quatre divisions : laboratoire, commerce, industrie et inspection. La division industrie propose des solutions de pesage, de contrôle et de mesure dimensionnelle qui couvrent les différentes étapes des processus de fabrication et de conditionnement. Depuis janvier 2008, la société MTPI SAS (Mettler Toledo Product Inspection), comprenant notamment les marques Garvens et Safeline, spécialisées dans les solutions de pesage dynamique, de détection de contamination métallique et de contrôle par rayons X, est devenue une division à part entière de Mettler Toledo France.

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HEUFT VÉRIFIE LES BOUTEILLES REMPLIES Le spécialiste du contrôle propose une technologie pour les lignes verre.

Le contrôle de la qualité des contenants verriers, visant notamment à identifier d’éventuelles glaçures, fissures et autres imperfections pouvant entrainer le bris total ou partiel de l’emballage est, en général, effectué en amont du remplissage, sur des contenants vides, au moyen de caméras. Heuft propose de réaliser ce contrôle après que l’emballage ait été rempli, de manière à prendre en compte, aussi, les défauts qui peuvent se produire pendant le remplissage, par exemple

lors de l’introduction de la canule dans la bouteille. Sa solution combine une technologie d’éclairage aux diodes électroluminescentes (LED) multicolores, une caméra haute définition et un logiciel de traitement d’images performant. D’après le constructeur allemand, cette technologie représente un nouveau jalon dans le contrôle verrier car elle permet d’éliminer tous les produits qui présentent des risques potentiels pour le consommateur.

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AVANT-PREMIèRE

EMBALLAGE 2010 deuxième partie

■ Emballages Magazine vous propose une avant-première des exposants du salon Emballage 2010. Vous trouverez une deuxième partie de « H à Z » et une page « dernière minute ». L’ensemble sera réuni dans le Guide du visiteur distribué sur le salon.

■ Cette avant-première est disponible également sur emballagesmagazine.com.

■ Toutes les informations pratiques sont sur www.emballageweb.com.

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BERICAP le Développement Durable par le Bouchage

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Allègement dans la performance Consommations de matières premières réduites tant au niveau de la bouteille PET (col) que du bouchon (2 à 3 g par bouteille)

Réduction de l'empreinte carbone

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Nouveau col standard 26/21 pour les huiles alimentaires, les sauces et les vinaigrettes et sa gamme unique de bouchons verseurs, 1- et 2-pièces, avec capot à vis ou à charnière

DoubleSeal™ 33 ®

Fiabilité sur lignes

par matière, énergie et transports optimisés

même à très grandes cadences

Gamme unique

égales ou supérieures à celles des bouchons traditionnels: étanchéité, inviolabilité, sécurité alimentaire, confort d'ouverture et de refermeture

de bouchons à vis et de bouchons sports pour les nouveaux standards de cols PET allégés pour boissons plates et gazeuses (26/22, 28 PCO 1881, 29/25, 33).

Engagés à offrir des solutions durables pour les marchés agro-alimentaires

DoubleSeal SuperShorty® 28

Performances de bouchage

Economie

Push Pull Next Generation

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la nouvelle gamme de bouchons allégés de BERICAP, véritable antidote aux augmentations des coûts des matières premières et des transports

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Engagés à offrir des solutions durables pour les marchés agro-alimentaires

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EMBALLAGE 2010

Un copieux programme à la carte Placé sous le signe du Pack Smart, le salon parisien de l’emballage propose, durant quatre jours, un programme d’animations et d’expositions ainsi que des zooms sur l’innovation et l’environnement.

Des conférences

Du direct

De l’innovation

avec PackVision

avec Emballage-TV

avec Pack Innovation

Un copieux programme de conférences est prévu tout au long des quatre jours. Du design avec Gérard Caron ou l’Institut national du design packaging (INDP), des analyses de tendance avec UbiFrance, les attentes du «shopper» face au packaging des produits de grande consommation avec SymphonyIRI ou encore l’emballage interactif avec GS1 France, il y en a pour tous les goûts. Sur son espace Forum situé au coeur du hall 5a, le Syndicat des entreprises de technologies de production (Symop) organise, pour sa part, un cycle de conférences techniques sous la forme de témoignage clients-fournisseurs.

Le programme détaillé est en ligne sur www.emballageweb.com

Au coeur du Hall 6 et retransmis dans tout le salon, Emballage TV, c’est quatre jours d’interviews « en direct », de reportages, de tribunes d’experts, pour faire le point sur les initiatives mises en place en matière de développement durable.

Le programme détaillé est en ligne sur www.emballageweb.com

Emballage 2010 propose un focus sur les innovations à ne pas manquer ! Les développements présentés par les exposants qui feront l’emballage de demain sont mis en scène dans un espace dédié du Hall 6.

Parmi les 243 nouveautés déclarées par les exposants, 109 ont été présélectionnées le 27 septembre puis un jury de presse internationale a réalisé une sélection finale en octobre.

De l’environnement

Du recyclage

Des packagings remarquables

avec Emballage in Green

avec Recycling Forever

avec le Strate Collège Designers

Les thématiques abordées dans le cadre d’Emballage in Green donnent la mesure des enjeux liés à la protection de l’environnement pour la nouvelle chaîne de valeur de l’emballage. Les entreprises et professionnels de l’emballage n’ont pas attendu pour se mobiliser et s’engager dans ce domaine. Afin de contribuer aux échanges sur le sujet, le salon propose trois lieux d’informations et de découvertes sur le développement durable.

Sur 150 mètres carrés, un massif forestier constitué de 360 palettes et de quelque 70 sapins fabriqués à partir de carton d’emballage recyclé et de bouteilles en plastique usagées invite à une réflexion sur l’importance du recyclage. Des fauteuils et des sièges réalisés à partir de déchets d’emballages de tous types de matériaux et quatre vitrines dans lesquelles seront présentés des objets, eux aussi réalisés à partir d’emballages en fin de vie illustrent des exemples concrets. Un parcours proposé par la DesignPack Gallery.

Comment qualifier un packaging de « remarquable » ? Selon quels critères ?

C’est à cette entreprise que s’attèlent les étudiants du Strate Collège Designers.

En explorant tous les aspects que le pack peut revêtir, ils proposent un tour du monde des packagings remarquables, issus de leurs recherches internationales et présentent les raisons et critères qui justifient d’élire ces packs au titre de « Packagings Remarquables».

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HTDS

INNOVIA FILMS

L’entreprise présente un testeur de sécurité électrique, le Guardian 6100plus.

Hi-Tech Detection Systems (HTDS) expose un testeur de sécurité électrique répondant aux exigences de la directive basse tension. Guardian 6100plus permet de réaliser un ensemble de tests de sécurité sur des appareils électriques, avant leur mise sur le marché. Avec sa technologie bi-port breveté « Twin Port technology », la continuité des masses avec des courants de tests de 30 mA à 1 A et la rigidité diélectrique AC de 50 à 5 000 et DC de 50 à 6 000 VDC avec un monitoring continu des courants de fuites sont analysées simultanément. Il mesure aussi le courant de fuite de 0,1 µA à 9,999 mA, la continuité du circuit et la résistance d’isolation de 100 KΩ à 50 GΩ.

Guardian 6100plus s’adapte à tous types de banc de mesure avec une connectique adaptée : RS232, GPIB, port imprimante et son logiciel de contrôle, d’acquisition et d’analyse intégré.

Hall 5a Stand A118

IMPRESION DE FLEXIBLES L’imprimeur de films souples expose son savoir-faire.

Spécialisé dans l’impression d’emballage souples pour la pharmacie, la cosmétique, l’alimentaire et les manchons thermorétractables, Impresion de Flexibles montre son savoir-faire sur les différents supports qu’il a l’habitude de traiter : aluminium, polypropylène (PP), papier, polyéthylène (PE), polychlorure de vinyle (PVC).

L’entreprise espagnole revendique une connaissance de l’ensemble du process depuis la gravure des cylindres jusqu’à la livraison des bobines de film chez le client.

Hall 6 Stand E 092

INNOVA PACKAGING SYSTEMS

La société présente une gamme de films en Natureflex.

Les films d’emballage en Natureflex proposés par Innovia Films sont fabriqués à partir de ressources renouvelables (pâte à papier provenant de plantations exploitées) et sont certifiés conformes aux normes de compostage européennes EN 13432 et américaines ASTM D6400. Ces films permettent aux fabricants de produits naturels et biologiques de renforcer les principes de marketing de leurs produits avec l’emballage, en fournissant une pellicule compostable à base naturelle.

L’entreprise présente ses derniers développements en Natureflex. La nouvelle gamme de films offre une bonne étanchéité et une très large plage de scellages. Ces films transparents, blancs et métallisés ont donné d’excellents résultats pour l’emballage de produits alimentaires tels que les fromages, la viande et les aliments secs.

Hall 6 Stand C110

INTERTEK évaluer et tester les emballages.

Fort de son expérience dans diverses industries et le conditionnement, Intertek aide ses clients à évaluer et tester leurs emballages et matériaux selon une large gamme de normes relatives à la sécurité, la réglementation, la qualité ou la performance. L’entreprise expose ce savoir-faire sur son stand.

Hall 6 Stand CD102

ISHIDA

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Une ligne avec trois peseuses associatives chez le leader de la spécialité.

Des produits de manutention sont exposés sur le stand de l’entreprise.

Innova Packaging Systems (IPS) est spécialisé dans le développement et la production de grands objets en matière plastique. Son activité principale réside dans la fabrication de produits de manutention, qui facilitent la manipulation et le transport de fret. IPS présente sa large gamme de palettes en plastique et sa nouvelle gamme de bacs de manutention.

Hall 6 Stand L095

Sur son stand de 238 m2, ISHIDA, le leader mondial du pesage associatif présente une ligne complète de conditionnement comprenant 3 peseuses associatives montées sur plateforme dont 2 à vis, l’une circulaire, l’autre linéaire, et 1 CCW 214 munie de 14 têtes. Le visiteur peut également observer une trieuse pondérale DACS W12, l’operculeuse QX 1100, le détecteur rayons X 4075, 1 étiqueteuse, 1 SealTester, 1 robot Pick and Place et l’IDCS, le logiciel de gestion globale des trieuses pondérales.

En plus, sont en démonstration : une peseuse associative RS 214 avec bennes de 7 litres et une peseuse de la série R, la

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CCW RS à 14 têtes et bennes de 0,8 litre.

Une animation est également prévue : séance de relaxation pour tout visiteur.

Hall 5a Stand B056

Division Conditionnement du Groupe BFR.s

ITALPROJECT Des systèmes d’emballage sur mesure et des solutions fin de ligne sont présentés par la société.

Valorisez vos produits !

Italproject expose une sélection de machines, chacune étant conçue pour traiter différents produits pour différents besoins : formeuse de caisse, encaisseuse, fermeuse de caisse encaisseuse pour boîtes PAV, robot d’encaissage Doypack, palettiseur et navettes AGV « Flexi » (véhicule auto guidée). Italproject propose une démonstration d’une solution pour l’emballage et la palettisation des bouteilles de champagne couplé avec « Flexi » AGV en fonctionnement, sans oublier l’encaisseuse PAV pour flow-pack, Doypack ou étuis.

Hall 5a Stand C002

ITW SHIPPERS ISIKLAR AMBALAJ PAZARLAMA

Avec une capacité annuelle de production de 300 millions de sacs destinés à un millier de clients locaux et internationaux, cet industriel turc propose des sacs imprimés ou non, et constitués d’une à six couches de papiers. Ces sacs sont de différentes formes, avec des fonds hexagonaux, pliés et collés, cousus, ouverts, plats ou à soufflets. Isiklar Ambalaj Pazarlama est également équipé de dispositifs assurant la microperforation des sacs.

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Le fabricant de sacs en papier kraft de grande contenance Isiklar Ambalaj Pazarlama présente son savoir faire.

Un système de gonflage est proposé par l’entreprise.

L’allemand Isimat conçoit et fabrique des machines de sérigraphie multiformes et multicouleurs pour objets en verre.

La gamme comprend une machine de sérigraphie hautes cadences pour tubes en plastique et une machine flexographie hautes cadences pour tubes. Comme ces équipements sont conçus pour une haute fiabilité et les hautes vitesses de production, ils sont idéals pour une production 24h/24 et 7j/7. Soit en production autonome soit intégrée dans une ligne de production.

Fabricant de coussins de calage et filiale du groupe Illinois Tools Works, ITW Shippers présente un nouveau système de gonflage : le Turboflow. Ce procédé permet d’optimiser la fiabilité des calages par coussin d’air en maitrisant totalement la pression de gonflage. La pression est autorégulée : le système permet de gonfler automatiquement, sans manomètre, le coussin à sa pression idéale. L’air du compresseur est cumulé avec l’air ambiant lors du gonflage, grâce à l’effet Ventury crée par le système.

En vue de sa réutilisation, la valve Turboflow permet de dégonfler le coussin, sans avoir à dévisr et revisr des bouchons. L’enveloppe en polypropylène (PP) du coussin est insensible à l’eau, à l’humidité et aux moisissures. Le Turboflow est recyclable et compatible ferroviaire avec certificat AAR et agrément SNCF.

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ISPAK

IXAPACK

Hall 6 Stand J127

ISIMAT De la sérigraphie en continu.

Le fournisseur de films expose son savoir-faire dans la transformation et l’impression.

Ispak est présent à Emballage avec ses solutions pour l’emballage souple.

L’industriel turc propose des films pour le conditionnement alimentaire, mais aussi la pharmacie, les cosmétiques et les cigarettes.

Hall 6 Stand D106

En toute transparence !

Le constructeur est désormais présent sur toute la ligne.

Ixapack, présent sur deux stands, expose sa gamme de machines, toujours plus complète. Le premier stand (Hall 4 stand B078) est consacré au matériel de pesage.

Parmi les matériels exposés, des trieuses pondérales, des combinés avec détecteur de métaux et des machines d’étiquetage.

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Hall 5a Stand D108 et Hall 4 Stand B078

J.ESQUERDA L’espagnol exposera une remplisseuse linéaire.

La société J. Esquerda présente une remplisseuse linéaire automatique pour le conditionnement de produits divers : cosmétiques, parfumerie, alimentaire, pharmacie, chimie. En fonction du produit à conditionner et du format, l’utilisateur installe le système de remplissage le plus approprié, incorporant des becs de remplissage fixes ou submergés pour des produits moussants. Le modèle exposé est équipé de 6 cylindres doseurs qui permettent de régler le dosage pour le conditionnement de flacons de 50 ml allant jusqu’à 1 litre. à la suite de cette machine, le constructeur a installé une boucheuse qui se caractérise, elle aussi, par un degré de souplesse élevé, avec, notamment la possibilité d’appliquer des bouchons à pression, « pilferproof », « flip-top », des pistolets, des compte-gouttes.

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JEAN-MARIE CHENU L’agent indépendant expose différentes machines et des moules pour le chocolat.

Représentant les sociétés allemandes Winkler und Dünnebier Süsswarenmaschinen (WDS), Hans Brunner et Heuft Systemtechnik et la société italienne Ct Pack, Jean-Marie Chenu expose différents produits. Un aligneur à chocolat Mopa AL251 de Ct Pack assure la mise sur une file d’un flux de bonbons de chocolat ou de napolitains pour alimenter une machine d’emballage automatique, plieuse ou enveloppeuse. Ct Pack propose aussi des lignes complètes de conditionnement automatiques pour la chocolaterie, la biscuiterie, la pâtisserie, les crèmes glacées, les plats surgelés et les pet-foods.

L’entreprise dispose d’applications pour le conditionnement des poches souples en pharmacie ou en alimentaire. WDS propose, quant à lui, des lignes complètes et des machines de process pour la fabrication de confiseries. Ces solutions intègrent la dimension emballage. Standards ou sur-mesure, les moules pour la production de chocolats pleins, one-shot ou à corps creux sont fournis par Hans Brunner. Deux nouveautés, dont un moule à chocolat sans bisphénol A et un moule de cuisson pour pâtisseries et viennoi-

series en matériau plastique résistant à 280°C sont présentés. La société Heuft propose, quant à elle, une démonstration d’un système d’inspection individuelle de confiseries enveloppées par rayons X. Ce système inspecte jusqu’à 1 000 produits par minute sur une seule file de produits. Il est intégrable directement en sortie d’une plieuse ou d’une enveloppeuse.

l’automobile, la pharmacie, la grande distribution, la cosmétique, l’électronique, l’agroalimentaire ou encore le bâtiment.

Kaysersberg Plastics présente sa gamme de solutions d’emballages à usage unique ou réutilisables. Ce sont des bacs, des barquettes, des caisses, des conteneurs et des palettes ou encore des aménagements intérieurs, souples ou rigides.

Hall 5a Stand J067

Hall 6 Stand G131

KALIX

KEYSER & MACKAY

Le fabricant Kalix présente sa nouvelle génération de remplisseuses de tubes.

De conception modulaire, la KX 603 travaille à 60 coups par minute et évolue en cas de besoin de manière à atteindre la cadence de 80 coups par minute. Sur la KX 903, les cadences atteignent jusqu’à 90 coups par minute. Dotée d’un plateau 12 postes, cette machine se règle et se paramètre directement sur un pupitre intégré avec enregistrement de chaque programmation en vu de leur réutilisation lors de changements de formats. Ce qui rend ses changements très rapides.

L’entreprise présente des emballages en cartons.

Depuis 1976, Karbest travaille sur la création, le développement et la fabrication des emballages fait sur mesure pour chaque client, en utilisant des matériaux locaux en carton compact ou micro canal. Karbest possède un portefeuille de clients présents dans les domaines de la cosmétique, de la parfumerie, de la gastronomie, du vin, du cognac et des spécialités de packaging automatiques. L’entreprise expose en partenariat avec l’Association espagnole de l’emballage en papier carton (Aspack).

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KAYSERSBERG PLASTICS

L’entreprise expose un système de contrôle de comprimés.

L’UTS-IP65i Kraemer est le nouveau développement de Keyser & Mackay.

Il complète la gamme de testeurs de comprimés automatiques et apporte une solution pour la production de produits à forte toxicité. Entièrement lavable, ce système peut être utilisé en liaison avec une presse à comprimer, autonome ou en ligne avec un logiciel sur PC. Le testeur de comprimés lavable en place mesure la masse, l’épaisseur, le diamètre et la dureté. Il intègre cinq buses de lavage et possède un programme de lavage intégré permettant d’actionner les moteurs durant le cycle de lavage. L’utilisateur doit configurer le programme de lavage avec quatre paramètres pour définir le temps et le nombre de cycles de lavage. La gamme de produits Kraemer est complétée avec d’autres équipements de production et de contrôle pour l’industrie pharmaceutique, distribués par Keyser & Mackay.

Hall 5a Stand J067

KIEFEL Une thermoformeuse polyvalente.

La société expose des solutions d’emballage en plastique.

Kaysersberg Plastics fabrique et transforme des plaques en plastique extrudé et des produits thermoformés, injectés et moulés. L’entreprise maîtrise l’extrusion, le thermoformage et l’injection, pour les petites et grandes séries. Elle conçoit et réalise des solutions d’emballages sur mesure, à usage unique ou réutilisables, répondant aux besoins et aux exigences de nombreux secteurs d’activités comme

à voir en avant première nationale, la dernière née des machines blisters de ce fabricant. à la fois universelle et compacte, la KBS-GS a été conçue pour le conditionnement sous blisters mono matériaux (PVC ou PET) ou sous blisters classiques avec cartes au dos. Elle travaille à des cadences jusqu’à 12 cycles par minute.

D’un prix particulièrement attractif, cette machine assure le thermoformage des coques, la dépose des produits en automatique en option, celle des encarts en carton, l’operculage, le thermoscellage puis la découpe. La commande est supervisée par un PC industriel équipé d’un modem permettant le diagnostic à distance et la télémaintenance.

KORSCH

Hall 5a Stand H012

KARBEST

KOCH PAC-SYSTEME

Hall 5a Sand J127

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sont placés sur un autre stand, Hall 5 stand D106. Le visiteur peut y découvrir les machines de découpe de la filiale Selvex, des machines d’ensachage mais aussi des étuyeuses, des encaisseuses, des robots de manipulation et des systèmes de palettisation. Parmi les nouveautés une operculeuse et une machine pour la mise en fourreau « top load ».

Kiefel présente une thermoformeuse de sa nouvelle gamme Ecoformer. Dénommée KMV 53 E, cette thermoformeuse automatique en ligne dispose d’une surface de formage utile de 514x350 mm. Elle bénéficie d’une assistance de formage par air comprimé pouvant aller jusqu’à 5 bars, permettant la réalisation de pièces techniques. Multi-matériaux, polyvalente et souple d’emploi, c’est une machine idéale pour les petites et moyennes séries.

Hall 5a Stand J157

Une presse à comprimer est exposée sur le stand de l’entreprise.

Korsch expose sa presse à comprimer XL 400FT permettant la production de comprimés monocouche, bi-couche, tri-couche et double noyau. Cette plateforme multifonctions permet à l’utilisateur de positionner différentes colonnes de galets de compression et plusieurs modules de remplissage à différents endroits possibles, sur une table-support préconfigurée. Les sabots de remplissage sont à vitesse variable, le tassement de la première couche se fait à 5 kN tandis que la pré-compression se fait à 20 kN. La force de compression principale est, quant à elle, de 100 kN et les sabots de remplissage rétractables échantillonnent automatiquement chaque couche.

Hall 5a Stand K015

LAETUS Laetus propose un nouveau logiciel, Track & Trace Secure-TTS et une solution de « web-technologie ».

Secure-TTS permet de réaliser, sur une même ligne de conditionnement, des lots sérialisés ou non, partiellement agrégés ou totalement agrégés jusqu’à la palette. Ce nouveau logiciel prend en charge, en temps réel, les données nécessaires au marquage, à la visualisation, au contrôle, éventuellement à l’éjection pour une traçabilité totale du processus de conditionnement de blisters, notices, boîtes, lots, cartons, palettes. Il gère les aléas du conditionnement pour éliminer les défauts susceptibles de survenir lors des phases de sérialisation, d’agrégation et de désagrégation du produit. L’équipementier donnera aussi un aperçu de sonffre en « web technologie ».

Hall 5a Stand J047

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LGR

Le fournisseur d’emballage en carton présente des boîtes et des étuis.

LGR Emballages expose à Villepinte plusieurs nouveautés dans le domaine des étuis pliants en carton compact pour le secteur de la santé et de l’hygiène (« étuinotices », solutions inviolables, calages complexes, marquages de sécurité, braille) et les boîtages micro-cannelure imprimés en offset : calages pour produits de grande consommation, emballages grand format en double/double, caisses offset, PAV. Les deux alliances et partenariats européens de l’entreprise seront également représentés sur le stand : PharmaPact pour la santé, mais surtout EMIcorp pour la micro cannelure, dont l’offre se développe toujours plus.

Hall 6 Stand G075

LIMA ADHESIFS L’entreprise présente une gamme de rubans adhésifs.

Spécialisé dans la transformation de rubans adhésifs, Lima Adhésifs propose différents supports sous différentes formes : contre-collé, découpé en rouleaux, en formes, trancanné en grande longueur – spools – et ceci pour tous types de supports : masking, polyester, mousse, polyimide, aluminium ou encore tissu de verre, que ce soit en simple face adhésive, ou en double face.

Hall 6 Stand B064

corps cintré et sa finition double aspect, sa casquette est cintrée et son corps est dépoli. La forme de la casquette permet une ouverture sans recours à un passage de doigt sur le corps, améliorant ainsi l’esthétisme de la capsule. La surface plane de la casquette permet une utilisation tête en bas sur la fin du produit. La capsule affiche une économie de matière de 16 à 20 % par rapport aux autres capsules sur le marché. Elle est directement adaptable sur le nouveau flacon Ginko d’Acti Pack, fabriquant de pots et de flacons en polyéthylène téréphtalate (PET), qui expose sur le même stand.

Hall 6 Stand E059

LUCEO INSPECTION WORLDWIDE

Le breton propose des systèmes de contrôle par vision.

z-vous Rende tand C055 ll 5a, S

www.multipond.com

Ha

Branche d’activité du groupe Tiama, Luceo présente SliceCheck, une machine de contrôle par vision (caméra, éclairage et traitement d’image associé) de la charcuterie tranchée. Celle-ci inspecte et identifie les tranches de charcuterie non conformes aux attentes de la qualité. ThermoSecure contrôle, quant à lui, la conformité des emballages scellés, des barquettes alimentaires thermoformées ou operculées,

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par minute. Cette solution permet un contrôle de la conformité du scellage, de l’étiquetage et de l’état de l’emballage.

Innovation permanente :

Luceo propose également LabelSecure, qui

• 2007 : ISO 22 000, Système de Management de la Sécurité Alimentaire (HACCP + ISO 9 001).

• 2010 : Agrément Bio pour le conditionnement des produits issus de l’Agriculture Biologique.

vérifie la conformité des étiquetages pour tous types de conditionnements : présence d’étiquette, sa position et son orientation,

LOGISMARKET

mais aussi les mentions légales et détecte

L’entreprise fait découvrir ses services et ses points forts.

Hall 5 Stand E071

Crée en 2001 par le groupe Mecalux, Logismarket est un annuaire industriel dédié aux secteurs de la logistique, du stockage, de l’emballage, du conditionnement, de la manutention, du transport et de l’équipement industriel. Il a pour objectif de mettre en relation les sociétés ayant des besoins spécifiques avec les professionnels du secteur.

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Température Dirigée de 10 à 18° C Sleevage décor et Inviolabilité

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Co-Packing Co-Manufacturing : • Ensachage Vertical sous atmosphère modifiée.

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Logistique et Stockage

Hall 5a Stand L111

LOIRE PLASTIC INDUSTRIE La société présente sa nouvelle capsule Evalys.

La nouvelle capsule Evalys de Loire Plastic Industrie se caractérise par son

La société présente une machine d’impression.

Fournisseur de systèmes d’impression offset sur emballage souple, Malengé Packaging exhibe son nouvel outil :

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Hall 6 Stand D105

MANUVIT

tous types d’emballages. Ses services vont de la fabrication de teintes spéciales à la réalisation de supports techniques sur mesure. Le fabricant expose différentes encres UV pour l’impression du verre et des flacons en plastique. Ces sont des encres de sérigraphie, de tampographie ou encore d’impression numérique.

Hall 6 Stand F147

MARCEAU Le constructeur présente une ligne de tri de palettes.

Le fabricant expose des machines et accessoires dédiés à la petite manutention.

Fabricant mondial de chariots élévateurs à géométrie variable, Manuvit présente quelques solutions pour le gerbage de bobines, de fûts, de bacs ou encore de bouteilles. Les machines sont conçues pour la manutention d’objets allant jusqu’à 600 kg.

Les retourneurs de bobines comme les gerbeurs Lev 600 kg et Lev 300 kg permettent de soulever une bobine et de basculer son axe vertical en position horizontale et inversement. Ils sont à roto-bobines, à pince bobine, avec éperons ou encore équipés de fourches rabattables. Différents accessoires sont adaptables sur ces gerbeurs, comme les pinces à prise extérieure ou à levée verticale ou encore le roto-touret. Le gerbeur de fûts Lev 600 kg permet, quant à lui, de saisir, soulever, déplacer et vider un fût métallique ou en plastique en inclinant son axe vertical jusqu’à 180°. Il peut être à roto-fût automatique ou manuel, à vir-fût et peut accueillir des accessoires tels que le roto-fût palan, la pince à fût FP4 Auto ou à fût LF20 et le roto-vit. Manuvit expose aussi des gerbeurs de bacs, Lev 300 kg ou 600 kg adaptés au déplacement des charges qui ne peuvent être manipulées avec un gerbeur traditionnel. Ils conviennent pour déplacer des bacs sans pied posés au sol. Ce sont des retourneurs ou inclineurs. Des solutions existent aussi pour les bassines. D’autres outils comme un transpalette et un diable dépalettiseur sont également présentés.

Hall 5a Stand J160

MARABU FRANCE La société présente ses encres UV de sérigraphie.

Depuis plus de 50 ans, Marabu France propose des solutions d’impression pour

La société Marceau est spécialisée dans la conception et la construction de systèmes de manutention continue pour charges palettisées. Elle présente une ligne de tri de palettes capable de dépiler, trier et empiler des palettes vides. Automatique ou manuel, le tri peut être réalisé selon différents critères, tels que les dimensions des palettes, le passage de fourches ou encore la présence de plots. Les palettes peuvent être mono ou bi-format et la cadence peut varier de 80 à 400 palettes par heure. Il est possible d’associer des postes de réparation dans la ligne et d’empiler les palettes à réparer.

Hall 5a Stand J100

MARIN Remplissage avec débimètres magnétiques.

Constructeur italien d’équipements pour le conditionnement de produits liquides, Marin G&C propose, avec la MINILIN 4 C S, une remplisseuse linéaire automatique par débitmètres magnétiques pour flacons de 100 à 5000 ml. La machine assure le remplissage de produits liquides fluides, semi-visqueux ou visqueux dès lors qu’ils sont compatibles avec les matériaux utilisés (acier inox) ainsi qu’électriquement conductibles. Il est toutefois possible d’installer des débitmètres « massiques » pour les produits non conductibles. Autre solution : les pistons pneumatiques.

Cheval de bataille de Marin G&C, la remplisseuse rotative semi-automatique R 10/2000 est dédiée au remplissage de liquides fluides et/ou agressifs. Selon le principe des vases communicants, le remplissage se fait par gravité. Pour la fermeture, la machine automatique TAP+SC traite les bouchons à pistolet ou pompe, avec prise, positionnement et vissage final automatique en deuxième position.

Hall 5A Stand G 60

MARKEM – IMAJE La société expose sa gamme de systèmes d’impression.

Constructeur mondial de solutions d’identification et de traçabilité de produits, Markem-Imaje propose une gamme complète de systèmes d’impression. Ces systèmes sont basés sur les technologies jet d’encre, laser et transfert thermique, avec identification Radio Frequency

Identification (RFID). Pour l’emballage primaire, les imprimantes jet d’encre de la série 9000 permettent l’impression de petits caractères. Elles possèdent un système breveté de rinçage automatique. Les codeurs à transfert thermique SmartDate 5 de la gamme 8000 sont destinés à imprimer les films d’emballage souples, les feuilles et les étiquettes. Les codeurs laser SmartLase 110 et 130 de la série 7000 sont, quant à eux, utilisés pour des codages de lot et de date. Pour l’emballage secondaire et le marquage de grands caractères, Markem – Imaje expose ses deux nouveautés. Il s’agit de codeurs à jet d’encre liquide pour le 5200 et à encre solide thermofusible Touch Dry pour le 5800. Ces imprimantes permettent le marquage de cartons ondulés, barquettes et films d’emballage. La série 2000 avec les gammes i2000 et Cimjet, se compose de systèmes automatiques d’impression et de pose d’étiquettes. Elle est reconnue pour son large choix d’applicateurs.

Hall 4 Stand D078

MAROTTE Le fabricant d’emballages en bois expose plusieurs de ses produits.

La société Marotte présente des coffrets, boîtes et caisses réalisés en bois ou en dérivé de bois. Ils sont réalisés à la demande et sont destinés à conditionner toutes sortes de produits comme des vins et spiritueux, du chocolat ou encore de l’outillage. Marotte expose aussi des présentoirs en bois pour Publicité sur lieu de vente (PLV). Le bois est certifié Programme for the Endorsement of Forest Certification (PEFC) et l’entreprise a obtenu la norme ISO 9001. Marotte propose aussi un usinage technique à façon permettant l’obtention des formes en trois dimensions. Celui-ci est réalisé sur un centre d’usinage à cinq axes, travaillant le bois dans toutes les directions de l’espace, une première en France.

Hall 6 Stand J018

MATEQUIP La société présente des machines de thermoscellage.

Matequip expose Trave, une nouvelle thermoscelleuse possédant un nouveau concept de motorisation. Une vis permet d’assurer le mouvement de l’outil et le réglage de la pression de soudure se fait en modulant la puissance du servomoteur brushless. L’alimentation des barquettes se fait en continu pour des produits fluides ou les très grandes cadences. Les barquettes ne sont ainsi pas arrêtées avant leur positionnement sur la partie inférieure de l’operculeuse. Le tapis d’entrée peut se retirer sans l’aide d’outils, facilitant les opérations de nettoyage et de maintenance. Matequip présente également la thermoscelleuse Mondini avec le système

pour atmosphère modifiée, réduisant la consommation de gaz. L’operculage se fait sans consommation d’eau. Par l’échange d’outils, cette machine permet la réalisation de différents types de conditionnements, Mirabella, skin, slicepack, inside cut ou opercules prédécoupées.

Hall 5a Stand F035

MATTHEWS FRANCE

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la rotative Alprinta V signé Müller Martini.

Cette machine « multi-formats » de nouvelle génération est compatible avec les petites et moyennes séries et permet de travailler de nouveaux supports et d’imaginer ainsi de nouveaux packagings.

Le distributeur présente quatre systèmes de marquage industriel.

Spécialisé dans les solutions de marquage, d’identification et de codification, Matthews France propose sur son stand quatre systèmes de marquage industriel à technologie jet d’encre. La série Ci580 est une nouvelle génération d’imprimantes jet d’encre jet dévié Continuous Ink Jet (CIJ), pour codification automatisée en production. La tête d’impression déportée se positionne librement pour un marquage de dessus, de coté ou de dessous. Unique aux systèmes de la série Ci, le procédé SmartFlush assure une mise en marche et un arrêt avec rinçage automatique de l’ensemble du système hydraulique de la tête d’impression. L’indice de fiabilité de temps moyen entre pannes (MTBF) est de 30 000 heures. L’entreprise expose aussi le système jet d’encre industriel THR Process UV, à séchage UV intégré. Outre le marquage de tous types de codes à barres conformes à la réglementation de codage GS1 International, de textes et d’images, ce système permet une codification haute résolution allant de 180 à 360 dpi sur n’importe quel type d’emballage primaire ou secondaire : caisse en carton kraft, ondulé, vernis, packaging ou film plastique. L’encre est instantanément séchée sur le support par le procédé On Board Curing System (OBCS). Le système SX32 est une unité de contrôle universelle qui possède une large sélection de têtes d’impression Minidrop, Mididrop, Maxidrop et standard. Il contrôle plusieurs têtes d’impression qui fonctionnent sur le même module de commande et permet une impression simultanée de deux faces opposées. Basée sur le principe de la goutte à la demande (DOD), l’unité de contrôle SX32 permet l’impression de petits ou grands caractères, en moyenne ou haute résolution. Matthews France propose enfin le système Minitouch avec tech-

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Hall 4 Stand C098

MECAPLASTIC L’entreprise expose différentes machines de conditionnement.

HALL 6 - Allée G - Stand n°106

Appartenant au groupe Proplast, Mecaplastic propose une gamme de machines de thermoformage. Ce sont des lignes de conditionnement pour films souple, semi-rigide ou rigide, avec ou sans atmosphère protectrice (MAP), pour toutes les applications agroalimentaire, industrielle et pharmaceutique.

Cette gamme de thermoformeuses est développée pour s’adapter à tous les produits. Elle accepte les procédés EasyShrink, SkinFresh, Smart cut et Easy cut. Apportant des avantages en termes d’utilisation, le Pack Ergonomie équipe les thermoformeuses FS930 et FS950.

Outre les thermoformeuses FS910 et FS950, Mecaplastic présente la dernière née de la gamme, l’EP9000. Modulaire, cette ligne de conditionnement est adaptée aux standards d’hygiène des lai-

teries du monde entier. Des systèmes de flux laminaire, de décontamination par infrarouge ou par UV, de dépoussiérage ou de filtre absolu pour air de formage peuvent y être intégrés, ainsi que tous types de périphériques : dosage et fin de ligne comme l’encaissage. L’EP9000 est présentée en ligne avec un module d’encaissage Multibox, composé du robot 2A et d’une formeuse d’emballages carton. La société propose également une gamme complète de machines d’operculage. La S3000 DP est présentée au sein d’une ligne complète de conditionnement avec un dépileur, un flexpicker à quatre axes de chargement, un module de vision, un module prix-poids et un module d’encaissage flexipicker à six axes. La gamme de machines d’operculage Mecaplastic est représentée par des machines semi-automatiques et automatiques, S1500 et S2000 MF électrique. La technologie de la S2000 MF électrique permet une réduction de l’énergie consommée. Répondant à tous les types de production, ces machines acceptent les procédés MecaSkin, aluminium ou encore Inside Cut. L’operculage en ligne est aussi mis en avant avec la

présentation des gammes S3000 SP et S6000 DP. Mecaplastic expose sur le stand avec Nutri Pack et Multibox, autres entreprises du groupe Proplast.

Hall 5a Stand C011

METTLER TOLEDO L’entreprise expose trois nouveautés et deux de ses solutions logicielles en informatique industrielle.

L’activité de la division Industrie de Mettler Toledo est basée sur le pesage industriel.

La société présente une nouvelle balance de table compacte BBA226. Elle est dotée d’un terminal clair à grand affichage et d’une interface RS232 pour imprimante ou PC. Son bloc batterie rechargeable offre une autonomie de 35 heures. Elle comporte six touches et l’afficheur est à 7 segments à DEL avec un temps de stabilisation inférieur à une seconde. La plage de pesée va de 3 à 150 kg avec six tailles de plate-forme (carrée et rectangulaire) disponibles. En acier inoxydable, cette balance possède un capteur de pesage en aluminium permettant des applications de nettoyage léger (IP65). Par ailleurs, Mettler Toledo propose une démonstration du nouveau groupe d’étiquetage automatique ILSA50 et de sa nouvelle gamme de balances Pegafood, destinée à remplacer celle de la série 4 pour les applications de pesage de produits agroalimentaire secs.

La société présente également deux de ses solutions logicielles : Freeweigh.net et Formweigh.net. Le premier logiciel est dédié au contrôle statistique de la qualité (SQC) du processus de remplissage dans les entreprises agroalimentaires, cosmétiques et pharmaceutiques. Il permet de contrôler que les quantités de produit soient respectées dans les emballages et de réduire les coûts superflus occasionnés par le surdosage. Le deuxième logiciel est, quant à lui, conçu pour simplifier les mélanges de matières et stabiliser la formulation d’un lot à l’autre. Il optimise l’utilisation des ingrédients, la vitesse du processus et la quantité de travail manuel nécessaire. La division Industrie de Mettler Toledo expose avec la division Product Inspection, spécialisée en pesage dynamique et inspection des produits par détecteurs de métaux ou par rayons X.

Salon de l’Emballage

Hall 5a Stand C118

MG2 La société présente des machines automatiques pour le dosage de produits pharmaceutiques en gélules.

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MG2 présente Planeta, une machine à remplir les gélules, donnant la possibilité de monter simultanément deux groupes de dosage différents pour le remplissage de poudres, de granules, de micro comprimés et de liquides. Cette machine peut produire jusqu’à 50 000 gélules par heure. Laby

est, quant à elle, une machine à remplir les gélules Plug&Play. Avec une cadence de 3 000 unités par heure, elle est appréciée pour les tests cliniques, les petits lots et les productions spéciales. La machine est disponible en deux versions, avec système de dosage poudre par doseurs ou tamping pin. Ces modèles peuvent être équipés de plusieurs groupes de dosage, comme un groupe de dosage poudre Microdose, granules, micro comprimés, comprimés, bas et microdosages à inhaler sans compactage, gélule dans gélule, liquides. MG2 présente aussi AlternA70, une machine à remplir les gélules à mouvements alternés.

Cette solution est idéale pour le dosage des produits dans des gélules de gélatine dure, pour les industries pharmaceutiques et alimentaires. Une autre machine présentée par MG2 est une encaisseuse horizontale, GSL10, apte à former, remplir et fermer des caisses de type américaine ; elle garantit l’ouverture positive et forcée de la caisse. La caisse peut être fermée par ruban adhésif ou par colle à chaud.

GSL10 permet de traiter jusqu’à dix caisses par minute avec l’alimentation du produit positionné à droite ou à gauche du magasin. Elle peut être équipée de groupes en option : lecteurs de codes à barres, imprimantes ink jet, étiqueteuses et dispositifs d’élimination des caisses non conformes.

Hall 5a Stand G020

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nologie jet d’encre très haute résolution graphique (HP). Le THR-Minitouch est une station de marquage compacte pouvant accueillir jusqu’à quatre têtes HP.

MOM Monoblocs de conditionnement.

En tant que concepteur et fabricant d’équipements d’emballage de produits liquides, pâteux, poudres et granulés, MOM met en avant ses monoblocs de conditionnement pour doses jusqu’à 10 kg. De conception multi-formats, ces machines se distinguent par leur souplesse d’utilisation, leur grande versatilité et la simplicité de leur mise en œuvre. Elles trouvent de nombreuses applications très diverses et variées.

Hall 5a Stand G028

MSK Des housseuses améliorées chez MSK. Spécialisé dans le houssage de palettes, MSK présente sa septième génération de housseuses sous film étirable MSK Tensiontech. Le constructeur allemand a soigné l’ergonomie : une tête mobile placée au sol permet à l’opérateur d’effectuer les travaux d’entretien plus facilement, sans avoir à monter sur une

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Hall 5a Stand H099

MULTIBOX Le fabricant présente différentes solutions d’emballage.

Filiale du groupe Proplast, Multibox présente sa gamme renouvelée de formeuses d’emballages en carton ondulé, formeuses grande autonomie et formeuses à cadence élevée. La nouvelle gamme Multibox permet de mettre en volume tous types d’emballages en carton ondulé, comme les emballages prêts à vendre ou à angles renforcés, les plateaux trottoirs, dans tous les secteurs d’activité. L’ergonomie d’utilisation a été revue sur toute la gamme : optimisation des postes et généralisation des pupitres à commandes tactiles. Les solutions de conditionnement et d’encaissage proposées par Multibox sont variées, robot à deux axes d’encaissage et intégration de flexpickers à quatre et six axes de chargement et d’encaissage. Modulaires, ces systèmes sont facilement intégrables sur tous types de lignes de conditionnement.

Le constructeur présente également son pas de Pélerin, permettant de convoyer des produits, unitaires ou regroupés, en lots prêts à l’encaissage. Ces différentes mécanisations sont mises en application sur deux lignes complètes de condi-

Hall 5A Stand B 113

tionnement. Multibox expose avec Nutri Pack et Mecaplastic, autres entreprises du groupe Proplast.

Hall 5a Stand C011

MULTI-FILL

Une doseuse volumétrique est présentée sur le stand de la société.

Multi-Fill expose sa doseuse volumétrique MPF, conçue pour doser des produits difficiles tels que le riz et les pâtes cuites, courtes ou longues, les légumes et fruits coupés ainsi que les salades réfrigérées.

Facilement intégrable sur divers types de convoyeurs, cette machine permet de remplir différents récipients, comme des cartons, boîtes, bocaux, assiettes ou encore des barquettes. Les systèmes de distribution sont fabriqués sur mesure afin de s’adapter à différentes configurations de lignes de production. Ce principe peut également être appliqué à différents types d’ensacheuses verticales pour sachets préformés (Doypack). Les portions sont distribuées à partir d’une tête de remplissage dans plusieurs sachets (2, 3, 4, 6 ou 8 sachets). Des systèmes de distribution autonomes peuvent être utilisés conjointement à des remplisseuses volumétriques, machines de pesage multi-têtes ou autres systèmes de dosage.

Hall 5a Stand D084

MULTIPOND

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plateforme ou une échelle ; les palettes sont traitées en douceur, sans levage ni rotation ; les changements de bobines et de barres de soudure sont effectués rapidement. De plus, la construction compacte de cette nouvelle housseuse nécessite un encombrement réduit et de faibles besoins en énergie (moins de 0,1 kWh / palette). également sur le stand de MSK, l’installation de houssage sous film rétractable automatique MSK Multitech. Là aussi, le constructeur a soigné l’ergonomie pour faciliter les changements de formats et le travail de l’opérateur. La cadence de la housseuse peut atteindre jusqu’à 80 palettes par heure en version compacte et jusqu’à 200 palettes par heure ou 240 produits par heure en version décalée.

L’entreprise expose S5R et SAL, des solutions de pesage.

Filiale de distribution de la société Atoma, Multipond présente S5R, la nouvelle solution de pesage multi-têtes totalement automatisée destinée au comptage de pièces et au pesage de faibles quantités ou poids ciblés, des caractéristiques souvent requises dans les secteurs de plats cuisinés et de la confiserie par exemple.

Ce concept s’appuie sur un système de pesage standard à récipients mémoires dans lequel le récipient mémoire externe est remplacé par un second répartiteur. Les éjections peuvent être évacuées et triées par le second répartiteur via une glissière d’évacuation avant le processus d’emballage, tandis que le système de pesage

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poursuit le processus sans interruption. Le produit préalablement évacué peut ensuite être réintégré dans le processus de pesage manuellement ou automatiquement. L’option S5R est disponible pour des systèmes de pesage avec 12, 16, 20, 24 ou 36 têtes de pesage. Multipond présente aussi SAL, une autre solution de pesage.

Hall 5a Stand C055

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MULTIVAC

L’entreprise présente des machines de thermoformage, d’étiquettage et d’operculage.

Fournisseur de solutions d’emballage, Multivac présente E-concept, un prototype de thermoformeuse R105 entièrement électrique. Permettant des économies d’énergies, ce nouveau concept est silencieux et fonctionne sans alimentation en air comprimé et sans compresseur.

Multivac expose également un ensemble de thermoformage conjuguant LipFORM, Darfresh et Mirabella. La thermoformeuse R275 CD permet de combiner en ligne ces technologies. LipFORM, une exclusivité Multivac, permet la production de barquettes thermoformées à bords retournés tandis que le packaging Darfresh, avec triple film, offre un conditionnement sous vide ou sous atmosphère modifiée.

Une étiqueteuse, MR625 OP, pose les étiquettes en ligne sur le dessus et le dessous des barquettes pendant qu’en sortie de la thermoformeuse, le nouveau système MBS 200 assure le réalignement des produits. L’étiqueteuse MR Xbelt est conçue pour les hautes cadences, jusqu’à 200 barquettes par minute, directement sur thermoformeuse. Les étiquettes adhésives sont déposées de la bobine sur une bande de transfert. Elles sont ensuite appliquées simultanément sur le dessus de chaque barquette d’une même rangée pendant l’avance de la thermoformeuse. Ce système ne nécessite pas d’air comprimé pour retenir les étiquettes avant la pose. Multivac propose aussi une ligne automatique d’operculage pour les produits de type viande hachée-cheveux d’anges. Cette ligne inclut un déplieur de barquettes avec un tapis de synchronisation et une operculeuse T700. Cette dernière est conçue pour un lavage au canon à mousse, à l’intérieur comme à l’extérieur. Elle optimise automatiquement l’alimentation en film, la montée de poste, les mouvements des pinces, le transport et le positionnement des barquettes. En

sortie, une trieuse pondérale intégrant un détecteur de métaux MR contrôle les conditionnements. Une MR335 étiquette les barquettes sur le dessus et dessous et une tête de marquage imprime les mentions variables. Principalement dédiées au marché de l’instrumentation médicale, les dernières avancées en termes de procédés d’operculage sont également présentées sur une operculeuse T200.

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ventouses. Soit, selon l’entreprise, « le plus grand choix au niveau mondial et le plus souvent disponible départ usine ».

L’expertise de Novacom va de l’élaboration de ventouses et membranes de préhension en élastomère à une large gamme de venturis et de têtes de préhension jusqu’aux accessoires pour le vide. Les marchés concernés vont de la plasturgie aux industries alimentaires en passant par les industries pharmaceutiques et cosmétiques ainsi que l’imprimerie.

NORDSON FRANCE

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L’entreprise propose des applicateurs d’adhésif thermofusible et de colle froide.

NUTRI PACK

Nordson France présente des solutions pour les opérations de fermeture de caisses et d’étuis, étanchéité et inviolabilité d’étuis, palettisation, wraparound, collage de sacs, étiquetage, montage et collage de plateaux, enduction ou encore contre-collage. Parmi les équipements et procédés de collage présentés, deux nouveautés. Le pistolet de dépose d’adhésif thermofusible MiniBluell fixe les nouveaux standards dans le domaine des pistolets pneumatiques de dépose d’adhésif thermofusible.

Avec une longévité de plus de 100 millions de cycles et un temps de réaction de 2 ms, il peut être intégré dans les machines d’emballage existantes. Norson France expose aussi l’applicateur d’adhésif thermofusible ProBlue Fulfill qui intègre dans le fondoir un système de remplissage automatique permettant de maintenir un niveau constant de l’adhésif. Alternative au remplissage manuel, l’ajout automatique de petites quantités d’adhésif à intervalles réguliers, en pastilles, granulés ou paillettes, évite au fondoir de fonctionner à vide. Le système clos élimine les risques de pollution de l’adhésif par des poussières de carton pouvant provoquer le bouchage des buses et des collages déféctueux.

Hall 5a Stand K127

L’entreprise expose une gamme de barquettes thermoformées.

Filiale du groupe Proplast, Nutri Pack consacre son activité à l’injection plastique dans le domaine alimentaire.

La société présente une large gamme de barquettes multifonctionnelles thermoformées : en APET, PP et PP/ EVOH/PP. Par ailleurs, Nutri Pack maîtrise la technologie IML d’étiquetage par injection, permettant d’incorporer directement l’étiquette dans le contenant plastique. Nutri Pack expose sur le stand avec Mecaplastic et Multibox, autres entreprises du groupe Proplast.

Hall 5a Stand C011

Avec ses 500 adhérents, Netherlands Packaging Center (NVC) représente la filière emballage et conditionnement aux Pays-Bas. L’association expose sur son « Holland Lounge », les principales nouveautés en provenance de ce pays. Les visiteurs peuvent notamment découvrir les dix produits finalistes de la 25ème édition du « De Gouden Noot », le concours national dédié aux innovations en packaging. Le stand accueillera également quelques spécialistes du secteur, dans la fabrication ou le conditionnement à façon.

Nouvelle génération de trieuses.

Fondé en 1991, le français Novacom produit et commercialise des ventouses, venturis et accessoires pour le vide. La gamme de produits Novacom comprend actuellement plus de 5 000 modèles de

ODIMAP

L’importateur propose des solutions pour les arts graphiques.

Odimap est distributeur et intégrateur exclusif pour la France des équipements Vetaphone et Lundberg Tech. La société, qui opère sur le marché des arts graphiques depuis une quarantaine d’années, présentera sur son stand les produits de ces deux marques. Vetaphone opère dans le domaine du traitement corona, une spécialité dont il revendique la paternité et qui consiste, pour mémoire, à augmenter la tension de surface des films, plaques et objets afin d’améliorer l’adhésion pour faciliter l’impression, l’enduction ou à des fins de complexage. Lundberg fabrique, quant à lui, des machines qui permettent d’aspirer, couper et transporter des rognures, des lisières et des squelettes adhésifs sur les machines d’impression, de découpe ou d’extrusion.

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OMAG

Emballages bataves.

OCS CHECKWEIGHERS

Des ventouses pour le vide.

Hall 5a Stand E011

NVC

Entrée du Hall 6

NOVACOM

interface opérateur intuitive. Les produits dont le poids est défectueux sont éjectés par une soufflette pneumatique.

Spécialisé dans la fabrication de trieuses pondérales haut de gamme pouvant atteindre la cadence de 640 pièces à la minute, l’industriel international OCS Checkweighers a développé une nouvelle génération de machines destinées aux applications standards où les cadences avoisinent les 150 pièces par minute avec des vitesses de convoyage de 90 mètres par minute. Sur ces trieuses commercialisées sous le nom de EC-E pour EC-Essential, l’armoire de commande abrite tous les composants électriques dans un espace très réduit. Fournie avec un pack de synchronisation en standard, cette machine est disponible avec des portées de 1 500, 3 000 et 6 000 g. Elle se pilote via un écran tactile couleur de 8 pouces et à l’aide d’une

Le constructeur développe son savoir-faire dans le « stick pack ».

Basé à Gabicce Mare, en Italie, Omag développe des machines d’ensachage verticales. L’une de ses spécialités est représentée par les machines « stick pack » qui permettent de conditionner un produit pulvérulent à l’intérieur d’un sachet à trois soudures long et étroit. La souplesse dans les changements de formats, les économies de matériaux et l’ergonomie d’utilisation côté opérateur font partie des priorités de l’entreprise qui expose quelques unes de ses réalisations.

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OMME FRANCE L’entreprise présente une étiqueteuse.

Omme France propose une démonstration de la nouvelle technologie Adhesleeve pour ligne de remplissage à haut rendement, sur

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des bouteilles en polyéthylène téréphtalate (PET). Avec cette technologie, l’étiqueteuse Roll-Fed ne nécessite pas l’utilisation de colle chaude. Elle permet aussi de se dispenser du couteau fixe et des contre couteaux rotatifs lors de la découpe de l’étiquette.

L’étiqueteuse Adhesleeve utilise des films d’épaisseurs inférieurs aux films utilisés sur les étiqueteuses Roll-Fed traditionnelles.

couvre la demande en croissance en provenance des secteurs pharmaceutique, cosmétique et alimentaire.

Hall 5 Stand H011

PACKINOV

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La société présente une gamme de machines de conditionnement.

OPEN DATE FRANCE L’entreprise expose une gamme d’imprimantes par transfert thermique.

Open Date France expose une gamme d’imprimantes par transfert thermique, idéale pour tous les types de surfaces d’impression. Compatibles sur la majorité des machines de conditionnement intermittentes ou continues, ces imprimantes permettent le marquage d’une date, d’un code à barres, d’un prix ou encore d’un graphique. Avec une résolution par tête near edge – 12 dots/mm 300 dpi –, elles sont prévues aussi bien pour les moyennes que les hautes cadences de production.

Hall 4 Stand C101

OYSTAR IWK L’allemand Oystar est un des principaux fournisseurs de machines d’emballage au monde.

Au salon, il met en avant la compacité et la flexibilité d’une de ses lignes de remplissage de tubes conçue pour un client de la cosmétique. D’une cadence allant jusqu’à 70 tubes par minute, cette ligne comporte un dispositif d’alimentation, un poste de remplissage et un autre pour la mise en carton. Elle remplit des tubes dont la contenance est comprise entre 1,5 et 500 ml et dont la longueur varie de 40 à 250 mm.

Fabricant de solutions d’emballage, Packinov présente la machine RMD Eco permettant le conditionnement de pots dépilables standards de type yaourts. L’entreprise présente aussi le modèle RMC Eco, équipé d’un convoyeur permettant le conditionnement de pots en verre, non dépilables. La solution RMD Quadrettes permet, quant à elle, le remplissage de pots par deux ou par quatre. La gamme intermédiaire RMD et RMC simple ou double poste est prévue pour des applications dans les secteurs de l’agroalimentaire, de la cosmétique ou encore de la pharmacie. En complément, Packinov propose une gamme d’opercules, standards ou personnalisées.

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Less materiaL, Less waste, Less energy

more performance, more savings, more sustainabiLity*

poiSSoNS

viANdeS FrAîCheS

plAtS prépAréS

SAlAiSoN

volAille

FromAgeS

PACK’R Des remplisseuses-boucheuses sont exposées sur le stand de la société.

Pack’r présente une gamme de machines de conditionnement. Grâce à une réduction des volumes de cuve et des procédés permettant de remplir les emballages jusqu’à la vidange quasi-totale de la tuyauterie et de la cuve, les remplisseuses-boucheuses automatiques réduisent la freinte. Le système de lavage « Clean & Play » est également exposé par Pack’r.

PACTIV-SLIDE RITE

Filiale de Sealed Air, Cryovac® est leader mondial des matériaux et systèmes d’emballage alimentaire. Nous concevons des solutions à forte valeur ajoutée.

A la clé : réduction des coûts, gain de temps, efficacité accrue et protection de l’environnement. Que vos produits soient frais, surgelés, cuisinés, préparés ou fumés, nous vous proposerons une solution d’emballage innovante et sur mesure.

La société présente le système de refermeture Slider pour sachets souples.

www.sealedair-emea.com

Pactiv-Slide Rite présente son système de refermeture Slider – ou zip curseur – pour sachets souples de 300 g à 20 kg. Le Slider trouve des applications variées telles que le « pet food », les surgelés,

* avec nous, réduisez vos déchets et votre consommation de matières premières et d’énergie, pour toujours plus de performance, d’économies et de développement durable.

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Hall 5a Stand E035

PACKFEEDER L’espagnol améliore son système de distribution de flacons en plastique.

Le système breveté Packfeeder de distribution de flacons en plastique développé par la société éponyme a évolué dans sa gamme et ses fonctionnalités. Deux nouveautés sont présentées au salon : le modèle Micra pour flacons de petite taille et la variante Minor qui incorpore la mise en godet et l’orientation. En particulier, la gamme Micra a été conçue pour distribuer des petits flacons à partir de 25 mm de haut et 15 mm de diamètre. Avec une surface occupée de 1,2 m2, cette machine

We offer you... less & more

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PAGLIERANI La société expose de nouvelles lignes Le fabricant italien Paglierani de machines simples et de lignes complètes expose des peseuses électroniques, des ensacheuses pour sacs à bouche ouverte ou pour sacs à valve, des présentateurs automatiques de sacs vides, des lignes de conditionnement pour sachets en plastique ou en papier. à voir également sur son stand des lignes de palettisation traditionnelles ou robotisées pour boîtes, fardeaux et sacs ainsi que des lignes de banderolage et de houssage de charges palettisées.

Hall 5a Stand H116

PALAMY La société présente des films pour l’emballage et le conditionnement.

Filiale du groupe Sofap, Palamy réalise l’extrusion de films pour l’emballage et le conditionnement. L’entreprise développe des formulations spécifiques pour répondre à différents besoins : films pour emballage automatique, films techniques pour complexage. L’impression en flexo est disponible en dix couleurs. Palamy produit également des sacs publicitaires, des sacs préformés pour l’emballage automatique destinés aux industries agroalimentaires – surgelés, panification – et des sacs industriels divers en polyéthylène (PE), polypropylène (PP) ou complexes. Palamy expose avec BRJ, autre filiale du groupe Sofap.

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PAVAN GROUP Le constructeur expose des machines horizontales et verticales.

Le groupe italien Pavan fabrique des installations pour la fabrication et le conditionnement de pâtes sèches et fraîches, snacks et céréales pour le petit déjeuner, plats préparés frais et surgelés. Deux machines sont exposées sur son stand. La Synchromatic 500 est une machine de conditionnement horizontale dont le fonctionnement, continu, dépend de moteurs brushless gérés par automate. Elle atteint une vitesse de 500 paquets par minute. La DZ 600 est une machine verticale. Elle affiche une vitesse maximale de 90 paquets par minute.

Hall 5a Stand C114

PBH FRANCE L’entreprise expose une remplisseuse de capsules d’emballage.

La Rychiger FS 270 proposée par PBH France remplit et scelle des capsules

d’emballage préfabriquées de tous types comme les dosettes de beurre ou de miel. Compacte, elle est aussi nettoyable à l’eau. Le système de transport dit Walking Beam évite que les salissures de produits ne se répandent dans la machine et peut être nettoyé à l’eau.

La technologie de scellage de Rychiger garantit l’étanchéité du joint de scellage, tout en assurant une ouverture facile. En France, Rychiger est représenté par le groupe PBH France.

Hall 5a Stand F020

PGS GROUPE Nouvelles solutions de gestion de parcs de palettes.

Avec plus de 30 sites dont un en Espagne et un autre en Belgique, le fabricant de palettes PGC s’impose comme un des acteurs clés de ce métier. Outre de fabriquer des palettes en bois neuves, il les reconditionne après les avoir collectées et triées. PGS commercialise également des big bags, des palettes métalliques, des caisses palettes et d’autres produits connexes. à l’occasion du salon, il présentera de nouvelles solutions de gestion de parcs de palettes particulièrement innovantes et écologiques. Ses sites travaillent autant pour les entreprises locales que pour le compte de clients de dimension internationale.

Hall 6 Stand G132

PHARMA-ALLIANCE L’entreprise présente des machines de transformation de poudres pharmaceutiques.

Agent exclusif des fabricants Frewitt, Frewitt Profilling, Servolift, Alexanderwerk, Ci Electronics, Driam, Gea Courtoy, Kraemer, Pink et Rota, Pharma-Alliance expose différentes machines de transformation de poudres destinées au marché pharmaceutique. Un mélangeur de poudres, une colonne de levage et une machine à fragmenter, une étuve ou encore une presse à compacter sont autant de systèmes proposés sur le stand de l’entreprise. L’entreprise expose avec Servolift et GEA Courtoy.

Hall 5a Stand J051

PICDI Des mouchards de température sur le salon. à l’occasion du salon, Picdi, présente les derniers nés de sa gamme CAPT’N PIC, une famille de tags d’identification automatique par radiofréquence (RFID) dédiés au contrôle de température. Ces étiquettes permettent de suivre et d’enregistrer les variations de température d’un produit, tout le long des étapes de transport et de stockage. La nouveauté se situe dans la taille des dispositifs, revue à la baisse afin de les placer au plus près des produits et améliorer la discrétion. Les données peu-

vent ensuite être récupérées et traitées à l’aide d’un lecteur RFID standard. Picdi est spécialisé dans les solutions de traçabilité.

Hall 6 Stand E142

PNEUMAX L’entreprise expose des composants pneumatiques pour l’automatisation industrielle.

Fabricant de composants pneumatiques pour l’automatisation industrielle, Pneumax présente ses produits. Ce sont des séries de distributeurs à commande automatique ou manuelle, des électrodistributeurs et distributeurs à commande pneumatique et des vérins, des systèmes de traitement de l’air ou encore des éléments de manipulation et de préhension. Pneumax propose également différents raccords et accessoires.

Hall 5a Stand C064

POLYPACK Un combiné pour le PAV. Polypack expose un combiné conçu pour répondre aux exigences des industries agroalimentaires. Cette machine regroupe plusieurs applications en une et peut suivre une cadence jusqu’à 50 groupages par minute : fardage sous film imprimé ou non ; mise en barquette filmée ou non ; mise en caisse complète wrap-around. Pour y parvenir, le constructeur a fusionné dans une même machine une fardeleuse et une embarqueteuse/encaisseuse. Compatible avec les contraintes du prêt-à-vendre (PAV), l’équipement se veut multiformat au niveau des produits traités et flexible au niveau du type d’emballage souhaité.

Hall 5a Stand E 055

d’imprimantes d’étiquettes couleurs, cet équipement fonctionne hors ligne avec des rouleaux mesurant jusqu’à 305 mm de diamètre. Il intervient en sortie d’impression et dépose des films transparents en polypropylène polyester pour augmenter la résistance des étiquettes. Il assure également le découpage des étiquettes selon tous types de taille et de forme, les sépare de la matrice en faisant des rouleaux prêts à l’utilisation et les ré-enroule en de multiples mandrins de 76 mm de diamètre.

Hall 4 Stand C122

PRINTING INTERNATIONAL NV L’entreprise présente une nouvelle solution d’impression.

Printing International NV présente Kyanite, une nouvelle solution d’impression. Cette machine est entraînée par un servomoteur pour des vitesses de production élevées et une impression haute définition.

Kyanite peut être utilisée comme machine autonome ou peut être intégrée dans des lignes de production. Des options comme un nettoyage tampon, une navette servomoteur ou encore un plateau rotatif sont facilement intégrables. La machine est équipée en Siemens (le PCL, le panneau et les entrainements/moteurs) pour une configuration et un fonctionnement faciles. Manuelle ou automatique, elle est proposée en une ou deux couleurs avec des encriers fermés de 90 mm, 130 mm, 160 mm ou 350 mm.

Hall 6 Stand F151

PRO MESSER

PRESSE COMMUNICATION INTERNATIONAL La maison d’édition expose des numéros de la revue Cartonnages Emballages Modernes.

Presse communication international (PCI) présente sa revue Cartonnages Emballages Modernes (CEM). L’équipe de rédaction du magazine bimestriel, spécialisé dans les emballages à base de cellulose, papier, carton et complexe, expose différents numéros dont une édition spéciale relative au salon Emballage 2010. Traitant de l’actualité commerciale, technique et marketing, cette revue est destinée aux producteurs de carton et papier d’emballage ainsi qu’aux fabricants de cartonnages, transformateurs et utilisateurs d’emballages. Les secteurs d’activité traités sont autant la parfumerie et la cosmétique, que la pharmacie et l’agroalimentaire.

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PRIMERA TECHNOLOGY EUROPE Primera Technology Europe présente le système digital de finition d’étiquettes FX1200e.

Conçu par ce fabricant de presse digital et

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les produits « home care » et alimentaires.

Pactiv-Slide Rite propose une gamme de Slider pour les machines Form Fill and Seal (FFS) ainsi qu’un large éventail de solutions en sacherie préfabriquée.

La société expose des consommables et des systèmes d’optimisation de l’impression.

Distributeur exclusif des marques Swedev et Unilux, Pro Messer présente des consommables et des systèmes d’optimisation de l’impression hélio et flexo. Des filtres à encres en inox, à mèches 50 ou 100 micromètres, qui permettent un filtrage des encres sur machines, présentent un aimant et un système à chaussettes jetables. Des couteaux circulaires industriels, des équipements de coupe en continu et des bancs de coupe peuvent s’adapter sur des machines neuve ou d’occasion. Pro Messer propose également des rouleaux à spirale magnétique qui permettent d’éviter

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les problèmes de mousse dans le bac encreur. L’entreprise distribue aussi des stroboscopes industriels, fixes, portables, à rampes, à lampes ou à LED, ainsi que des équipements pour l’assistance électrostatique.

Hall 6 Stand D137

PROGINOV L’éditeur a développé un ERP pour l’emballage.

Spécialisé dans les logiciels de gestion « métier » pour les PME et PMI, Proginov décline l’un de ses produits pour les professionnels du secteur emballage. Son logiciel Enterprise ressource planning (ERP) intègre les différentes facettes des métiers de ce secteur qui englobe des activités de transformation (achats, matières premières, fabrication, soustraitance, etc.), d’imprimerie (planification, parc machines, conditionnement, livraison, etc.) et de distribution (stock, traçabilité, analyse ABC, colisage, écotaxes, e-commerce, etc.).

Hall 6 Stand G052

PROPACK – PROPAGROUP L’italien propose des solutions aux problèmes d’humidité, de corrosion et de chocs.

Avec son agence commerciale française Propagroup, Propack présente des produits pour la protection des marchandises pendant le transport, le stockage et la manutention. Ce sont des produits contre l’humidité comme des sachets déshydratants, des absorbeurs d’humidité pour les containers, des films étanches soudables ou encore des hygromètres. Les produits anticorrosion VCI sont, quant à eux, prévus pour la protection des métaux, ils existent sous forme de papiers, de films à haute résistance, de diffuseurs et autres.

Propack propose aussi des solutions pour la protection contre les chocs et la manutention comme des coussins de calage, – des slip sheet –, mais aussi des produits pour protéger les câbles ou les bobines d’acier.

Hall 6 Stand H118

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PROTECTIVE PACKAGING

Des nouveaux concepts de films barrières sont présentés sur le stand de l’entreprise.

Fabricant de housses en films barrières et de liners conçus à partir de feuilles d’aluminium laminées, Protective Packaging expose plusieurs nouveaux concepts. Les housses et enveloppes en trois dimensions sont prévues pour la protection anticorrosion des machines et autres produits à base de métal, lors d’un transfert ou d’un stockage de longue durée. Ces housses peuvent être fabriquées sous toutes formes et dimensions afin de répondre aux impératifs de chaque produit. Les housses peuvent également être équipées d’un panneau transparent permettant de voir les produits à travers. Protective Packaging présente également une gamme de solutions d’emballages pour les poudres et granules sous forme de housses en films barrières, de liner pour Big-Bag (FIBC), de saches pour fûts ou de sacs de 25 kg.

Ces produits garantissent une protection à l’humidité, à l’oxygène et aux autres gaz climatiques et biologiques. Réalisés en combinaison avec d’autres matériaux, les liners résistent à des produits sous hautes températures – jusqu’à 120°C – et répondent aux besoins antistatiques et aux contacts alimentaires.

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PS MAKO Le constructeur propose des solutions de clipsage.

PS Mako, concepteur et constructeur de machines de conditionnement, présente sa nouvelle machine à remplir et fermer les sachets, Rianta VA 350. Développée pour fonctionner à des cadences moyennes de 35 paquets par minute, cette machine est plus particulièrement destinée á l’emballage de pain entier et tranché mais peut aussi servir au conditionnement de produits non alimentaires. La solution intègre un dispositif de fermeture par clipsage.

Hall 5a Stand C128

PUBLIGRAPHIC Acteur de la publicité sur le lieu de vente, Publigraphic imprime en sérigraphie des supports en plastique et en carton. à l’occasion du salon, il met en avant un présentoir linéaire 3 en 1 qui intègre à la fois un plateau où poser les produits, une réglette où afficher les messages et un séparateur pour baliser les espaces par marque. Composé de deux parties amovibles, il s’adapte aux quantités mises en rayon. Réalisé en polymère recyclable, il est solide et a une longue durée de vie.

Fortement sensibilisé au développement durable, Publigraphic a obtenu le label Imprim’Vert il y a maintenant cinq ans. Son présentoir a donc été conçu afin de réduire au maximum la production de déchets.

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La société présente une machine à étiqueter nouvelle génération.

Quenard est spécialisé depuis 45 ans dans la fabrication de matériels destinés à l’étiquetage et au conditionnement des produits alimentaires, industriels et cosmétiques. L’entreprise met en démonstration sur son stand une machine à étiqueter nouvelle génération. Sortie au mois d’avril, cette nouvelle solution présente un cheminement papier plus court que celui des machines traditionnelles. Les gains en compacité et en éléments d’enroulage sont notables. Quenard propose aussi une machine permettant de remplir, viser, étiqueter et identifier des flacons avec le même automate.

Hall 5a Stand G126

RENOV PACK Le spécialiste des machines d’emballage d’occasion propose ses services.

L’activité de Renov Pack est centrée sur l’achat, la vente, la location et la rénovation des machines d’emballage d’occasions.

La société présente des exemples de solutions par le biais de photos et d’affiches. Les machines concernées sont d’un grand nombre de marques et vont des appareils de contrôle et de mesures, comme les peseuses ou les trieuses, aux machines de conditionnement primaires et secondaires, comme les ensacheuses, les thermoformeuses, les étuveuses ou encore les soudeuses. Les machines de fin de ligne de production sont également gérées par l’entreprise : formeuses, fermeuses, palettiseurs et encaisseuses. Pour tous les types de conditionnements, ces appareils sont utilisés dans des secteurs variés tels que l’agroalimentaire, la cosmétique ou la pharmacie.

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REYNDERS LABEL PRINTING

L’entreprise présente des manchons rétractables répondant à de nombreuses applications. étiquettes décor, étiquettes fonctionnelles, manchons rétractables, documents promotionnels, publicité sur lieu de vente

(PLV) sont autant de produits que propose Reynders Label Printing. La société expose sur son stand ses dernières réalisations en matière de sleeves rétractables. Sisi, une eau fruitée destinée aux enfants est décorée par un manchon rétractable aux couleurs chatoyantes, qui recouvre totalement la bouteille et en assure l’inviolabilité.

Le sleeve peut être ouvert en suivant les points de découpe et les enfants découvrent, dans le capuchon qui recouvre le col, un petit animal surprise. Le conditionnement haut de gamme Novéo conserve quant à lui, des huiles d’olives, de pépins de raisin et de tournesol et possède un système de distribution de l’huile en spray.

Il est décoré d’une manière brillante, à l’aide d’un manchon rétractable imprimé en numérique. Cette solution est appréciée pour la réalisation de petites séries, de marchés tests ou encore de plus grandes séries. Reynders expose aussi quatre références de thés, conditionnés dans le même boîtage. Elles sont personnalisées par un manchon imprimé en cinq couleurs.

Par ailleurs, un packaging original propose un parfum accompagné d’un porte téléphone. Le décor et l’inviolabilité de la boîte métal sont assurés par un manchon avec patte d’ouverture. Cet emballage est décliné en trois versions et imprimé en six couleurs. Pour finir, l’entreprise propose les rubans On-pack, fins et flexibles.

Ils sont principalement utilisés pour la promotion d’emballages souples. La pose de ces rubans peut facilement s’incorporer sur les lignes de conditionnement. Scellés, ils sont totalement intégrés à l’emballage et le film utilisé peut être imprimé au recto et au verso.

Hall 6 Stand E128

RIPACK Le fabricant présente une gamme de pistolets de rétractation pour films thermorétractables.

Reliés à une source d’alimentation au gaz, ils sont destinés à rétracter des housses plastiques grâce à la chaleur produite par la flamme. Le pistolet Ripack 2200, d’une puissance allant jusqu’à 72 kW, crée une importante zone d’impact. Sa buse pivotante reste froide, en cours et après utilisation. Son allumage est quasiment instantané et un organe de sécurité coupe le débit du gaz en cas de rupture du tuyau. Il existe différentes rallonges qui s’emboîtent sur le Ripack 2200. La version précédente de ce pistolet est le Ripack 2000, avec une puissance pouvant aller jusqu’à 55 kW. Ces pistolets permettent le regroupement sur palette de tous types de marchandises, aux formes diverses. Ces produits sont brevetés en Europe et aux états-Unis. Ripack propose également des machines comme des colonnes de rétraction, des soudeuses grandes largeurs, électrique ou manuelle et des stations de houssage : la Ripacover

501 et la Ripacover 561M. Différents accessoires sont aussi présentés comme des chariots porte-bouteille, des enrouleurs de tuyau ou encore des dévidoirs de film.

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RYTHM - DELTASACS L’entreprise donne du relief aux emballages avec le Multilens.

Dans un contexte où la 3D a le vent en poupe (presse, audiovisuel, multimédia), il est temps pour le packaging de prendre pied dans cet univers où réalité et images virtuelles se mélangent harmonieusement pour créer bien plus qu’une illusion. Le Multilens est un produit qui sait capter l’attention du client par sa brillance, ses effets 3D et sa singularité. Grâce à un procédé unique d’embossage de film, le Multilens crée une illusion de tridimensionnalité, donnant une réelle impression de profondeur. La modularité des effets est multiple : effets de matières et de structures, volume, jeux de lumières et reflets, effets d’optique ; le tout produit « seamless », c’est-à-dire sans aucun raccord visible.

faces – en dix couleurs avec des effets métalliques, mats ou brillants. Les films techniques sont des films adaptés à la déchirure transversale comme le film TMX ou des films à fortes propriétés barrières, à l’humidité, aux UV et aux gaz. Grâce à son très fort taux de rétraction, le film Contour est capable de s’adapter aux nouvelles formes de bouteilles. Des films pelables, stérilisables, antibuée et In-mould-label (IML) pour la conception d’étiquettes par système d’injection sont aussi proposés.

La société expose également une gamme de films gaines et housses. Il s’agit de films de surfardelage anti-collants, de gaines et housses anti-collantes, translucides ou teintées et de films de coiffe et rideaux pour les palettes.

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ROBATECH

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QUENARD

RKW FRANCE Le spécialiste du collage joue la carte des économies d’énergie.

Les trois représentants du groupe présentent des films en polyéthylène et en polypropylène.

Trois filiales représentent le groupe RKW France : RKW Castelletta est spécialisé dans la fabrication de films rétractables imprimés ou neutres, RKW Remy propose des films pour le complexage, la protection de surface et la conception d’étiquettes tandis que RKW Saint Frères Emballage réalise l’extrusion et l’impression de films rétractables, de films emballages automatiques et des gaines rétractables pour le transport de palettes. à travers ses cinq divisions internationnales RKW Prolife, RKW ProTrans, RKW ProTec, RKW ProMotion et RKW ProAgri, le groupe présente ses nouvelles solutions en matière de films en polyéthylène (PE) et en polypropylène (PP). Ce sont des films Multipack, rétractables, pour le regroupement de lots, des films très haute résistance et brillance (THRB) adaptés pour l’emballage des boissons, des films à ouverture facile et d’emballage automatique ou encore des films oxo-dégradables. Ils peuvent contenir de la matière PE recyclée et être imprimés – sur une face et lisible sur deux

Basé en Suisse, Robatech AG produit divers types de matériels de collage servant à assembler et à former les emballages en carton. à l’occasion du salon, l’entreprise présente Diamond, un développement concernant l’applicateur « SX ». Comparé à la plupart des têtes d’applications du marché, Diamond permet d’économiser deux fois moins d’énergie grâce à un dispositif d’isolation particulièrement performant.

Dans de nombreux cas, l’applicateur à colle chaude est un important consommateur d’énergie sur les lignes d’emballage.

Cette isolation offre également de précieux avantages sur le plan opérationnel. En effet, la colle chaude ne refroidit dans aucune partie de son trajet entre le fondoir et la buse d’application, ce qui permet de l’appliquer avec précision. Enfin, la machine est aussi plus performante dans le temps : le constructeur garantit plus de 50 millions de cycles.

Hall 5a Stand L075

ROCKWELL AUTOMATION La société présente un contrôleur d’automatisme programmable.

Les solutions de sécurité proposées par Rockwell Automation sont prévues pour les petites et moyennes applications, grâce aux contrôleurs d’automatisme programmables (PAC) Compact GuardLogix. Les processeurs permettent de commander jusqu’à huit axes sur un réseau de communication Sercos et peuvent incorporer

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Il est temps de passer à la vitesse supérieure

Il est temps de passer à la vitesse supérieure L’Adept Quattro s650 est le robot idéal pour toutes vos applications de packaging et de manipulation de produits à haute cadence.

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ITC Packaging, développement et fabrication complète de solutions de packaging plastique pour l’industrie alimentaire. À l’avant-garde en termes de matériaux, recherche continue des composants de dernière génération. Adaptation intégrale à vos besoins, technologie IML pour une personnalisation complète.

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plusieurs cartes de communication, afin de gérer plusieurs protocoles. Associés au servovariateur Kinetix 6200, ils offrent aux constructeurs de machines l’accès aux fonctions de sécurité intégrées des variateurs qui incluent le contrôle de la vitesse de sécurité, le sens de rotation de sécurité et la désactivation sécurisée du couple.

Hall 5a Stand H128

ROLAND DC MID EUROPE

Rondo propose un emballage avec garantie de première ouverture. Les formes de découpe sur les deux faces latérales au niveau des pattes montrent distinctement et irréversiblement la première ouverture.

Il est conçu pour les produits OTC et cosmétiques, mais également pour emballer des médicaments délivrés sur ordonnance. Les découpes peuvent être mises en volume, remplies et fermées sur les machines existantes. Rondo expose aussi le Pharma DDS (Discret Dose Slider), un emballage avec sécurité enfants. Cet emballage est spécialement approprié pour les études cliniques.

Hall 6 Stand D059

ROUXEL

Une imprimante et un plotter d’impression et de découpe présentés sur le stand de la société.

Roland DG Mid Europe expose la VersaUV LEC-540, qui enrichit la gamme des imprimantes à polymérisation UV qui intègrent les fonctions d’impression et de découpe de Roland et s’adjoint donc à la LEC-330.

Les machines de la série VersaUV ont une laize de 134,6 cm et de 76,2 cm et impriment en quadrichromie CMYK + White.

Les LEC impriment également un vernis transparent pour donner au graphique imprimé des effets particuliers. La série VersaUV fonctionne avec un système de Roll-to-Roll et découpe parfaitement le contour de l’image imprimée. La série LEC peut imprimer en quadrichromie et en blanc simultanément. Elle travaille avec les encres Roland EcoUV à 220cc et elle est équipée du logiciel Roland VersaWorks en français pour la gestion de l’impression dans tous les modes prévus par la combinaison CMYK, blanc et vernis.

Roland DG Mid Europe présente aussi la VersaCAMM VS-300, laize de 73,6 cm, le nouveau plotter d’impression et découpe qui se place aux côtés du modèle VS-640 et qui enrichit la série VersaCAMM VS. Le plotter travaille avec les quatre couleurs, l’encre blanche et métallique et imprime sur divers genres de matériel, de la bâche au papier, à la toile canevas, dans divers secteurs applicatifs.

Hall 6 Stand F141

RONDO

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L’entreprise présente des emballages avec systèmes de sécurité.

Le fabricant de moules d’injection propose une démonstration d’une presse à injecter.

Fabricant français de moules permettant l’injection de pièces plastiques en grande série, Rouxel propose une démonstration d’une presse à injecter. Le moule associé à cette presse fournit des flacons, principalement destinés au secteur de la cosmétique.

Complexe, il ferme automatiquement le bec verseur sur l’embase du récipient.

Hall 6 Stand G151

SACMI BEVERAGE Le fournisseur de solutions de conditionnement pour les boissons expose la gamme CCM. Spécialisé dans les machines pour le conditionnement des boissons avec ses nombreuses divisions que sont Sacmi Filling (remplissage), Sacmi Labelling (étiquetage) et Sacmi Packaging (emballage secondaire), Sacmi Beverage expose à Paris la gamme CCM dédiée à la production de bouchons. Parmi ses caractéristiques : la facilité dans les changements de formats, des coûts de fonctionnement réduits, des temps de cycle plus courts. Le modèle à 24 empreintes peut produire jusqu’à 30 000 pièces par heure et être équipé d’une caméra pour le contrôle de qualité.

Hall 4 Stand B002

SAFET EMBAMET La société présente une gamme d’emballages métalliques.

Géré par le fabricant d’emballages métalliques Massilly, Safet Embamet propose une gamme de conditionnements en métal. Ce sont des seaux pour peinture allant d’1 à 25 litres, ou des bouteilles destinées à contenir des liquides alimentaires comme des sirops. Safet Ebamet expose aussi des emballages rectangulaires d’une contenance de 0,5 à 5 litres, prévus pour conditionner des produits de traitement du bois.

Hall 6 Stand F086

SAGAERT L’entreprise expose des bobines de feuillards de cerclage.

Le fabricant de feuillards de cerclage met en avant différentes bobines. Spécialement conçus pour cercler les palettes durant le transport, ces feuillards en polyester couvrent une large gamme de résistance. De différentes largeurs et couleurs, ils peuvent aussi être marqués. Sagaert présente également des accessoires comme des dévidoirs et des tendeurs.

Hall 6 Stand B017

SAPIC La société présente des machines de remplissage de flacons et d’inspection/mirage.

Agent de distribution, la société Sapic expose une machine de remplissage de flacons en verre à haute cadence en milieu aseptique FVF 506. De la marque Bausch & Ströebel, cette machine est destinée aux industries pharmaceutique, cosmétique et chimique. L’entreprise met aussi en démonstration deux machines d’inspection/mirage semi automatiques Seidenader, V901VSB60 et VPE. Elles permettent un contrôle visuel des particules dans les ampoules, petits flacons, flacons de perfusion, seringues unidoses, capsules et réactifs en tube, de 0,5 à 1000 ml. Sapic propose aussi Lyobeta 35 de la marque Telstar. Il s’agit d’un lyophilisateur de laboratoire de R&D.

Hall 5a Stand H052

SAVIME L’entreprise présente un système d’accumulation dynamique.

Savime présente Buffer, le nouveau système d’accumulation dynamique sans pression de type first in, first out (FIFO).

Il permet de palier aux micros arrêts d’une ligne de production, sans perturber le fonctionnement des machines en amont, optimisant ainsi les flux des produits. Il peut se décliner en différentes longueurs, en fonction des lignes à intégrer et il s’adapte au transport de tous types de produits emballés, fardeaux, pochons, cartons, étuis. Savime expose aussi un élévateur-descendeur à préhension latérale type SEV. L’appareil a pour fonction l’élévation, la descente ou le retournement en continu des produits de 5 à 30 kg, de toutes formes, tailles ou de tous matériaux, comme des bouteilles, bocaux, flacons, sachets ou encore cartons. Le diviseur-regroupeur grande cadence type SDV permet, quant à lui, de diviser ou regrouper en fonctionnement continu des colis, packs, fardeaux filmés ou non, barquettes. Les patins coulissants de l’appareil sont prisonniers d’un barreau boulonné et sont démontables

indépendamment. Un contrôle continu au moment du changement de direction garantit la fiabilité des divisions.

Hall 4 Stand E064

SCELLINOX La société expose différentes machines de conditionnement.

Distributeur du fabricant Imbal Stock, Scellinox présente des machines de conditionnement destinées à tous les secteurs d’activités. Prévues pour des produits solides et liquides, ce sont des ensacheuses horizontale (FlowPack) et verticale. Des machines de mise sous films rétractables sont aussi exposées. Il s’agit de soudeuses en « L », une automatique, une semi-automatique et une en continu pour les hautes cadences. Scellinox propose également une ensacheuse stick.

Hall 5a Stand G157

SCHMALZ

Le fabricant expose des composants et des appareils d’aide à la manutention par le vide.

L’entreprise propose des démonstrations de quelques uns de ses produits, à l’aide de robots animés. Les composants permettant la manipulation par le vide sont des ventouses conçues en différents matériaux. Avec des dimensions variées, elles peuvent être plates, rondes, ovales, ou encore à soufflets. Des ventouses non toxiques en silicone, apte au contact alimentaire, assurent par exemple le remplissage de boîtes de confiseries ou de biscuits. Pour la manipulation d’emballages secondaires de formes stables comme des caisses en carton, des ventouses en Elastodur, matériaux très résistants, ont été spécialement conçues.

Elles sont dotées d’un corps de base renforcé et d’une lèvre d’étanchéité adaptable.

Les ventouses en caoutchouc naturel sont, quant à elles, dédiées aux emballages à formes instables tels que les films, sachets et emballages sous vide. Schmalz propose également différents accessoires comme des générateurs de vide, des éléments de fixation, des filtres et des raccords. Ces composants peuvent s’adapter sur des dispositifs et des robots déjà existants. Les tubes de levage par le vide Jumbo conviennent pour les manipulations manuelles de cartons de suremballage, sacs, caisses et autres charges pouvant peser jusqu’à 300 kg. Un clapet anti-retour de réaction à grande vitesse ainsi qu’une grande surface

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de préhension des ventouses empêchent toute chute de la pièce, même en cas de panne d’énergie. Schmalz présente aussi les systèmes de préhension de surface par le vide SPZ, FXC et SPZ. Ils permettent la manipulation de pièces, la palettisation et dépalettisation de piles entières de produits, la préparation de commandes et le tri automatique. Ces systèmes conviennent pour le maniement de couches intermédiaires de palettes, caisses, cartons ou encore d’emballages par films. Leur système de ventouses est approprié pour des produits ou des couches de produits de différentes grandeurs et surfaces.

Hall 5a Stand E137

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SEA VISION FRANCE

Le fabricant présente des systèmes de vision pour l’industrie pharmaceutique.

Sea Vision France expose trois de ses machines. Harlequin évolution est un outil pour tous les types de produits conditionnés en blister ou en barquette : comprimés, gélules, capsules, seringues, ampoules ou encore flacons. Il est composé d’outils de programmation et de contrôle spécifique avec une nouvelle interface graphique optimisée. Doté d’un processeur multi cœurs, Harlequin évolution peut recevoir jusqu’à quatre caméras pour le contrôle du produit et jusqu’à quatorze pour les contrôles additionnels. Les paramètres de vérification sont géométriques pour la surface, la symétrie, la longueur, la circularité, l’allongement et l’hexagonalité ou la pentagonalité, ou bien colorimétriques avec six valeurs de mesure en R, V, B et trois valeurs de mesures en T, S, I (six pour les produits bicolores). Ce système peut détecter la couleur du produit, des fragments de comprimé dans l’alvéole, un produit hors alvéole ou la présence d’un point noir, de tâches ou de poudre sur le complexe de formage. Une vérification du code à barres uni ou bidimensionnel et des mentions variables sur le film, ainsi qu’un contrôle de la qualité d’impression du film de couverture sont possibles. Par ailleurs, la gamme de systèmes de contrôle multifonctions OCV s’étoffe avec un nouveau produit. Plus compact et plus facile à intégrer sur les machines de conditionnement, cette solution présente des fonctions et des méthodes logicielles, pour des applications allant jusqu’à deux caméras.

Le module Datamatrix permet, quant à lui, de répondre au besoin de la norme CIP13

qui entre en vigueur au 1er janvier 2011.

Il offre des garanties sur le marquage et le contrôle des produits.

Hall 5a Stand H007

SEALPAC FRANCE

La société expose une operculeuse et une thermoformeuse.

Sealpac France présente l’operculeuse A5 avec une application Skin. Sa cadence peut aller jusqu’à 15 cycles par minute en scellage simple et jusqu’à 12 cycles en vide et gaz. La longueur globale d’operculage est de 500 mm. Disponible en simple ou double piste, cette machine permet de multiples applications : TraySkin, VisiOpac, découpe Outside ou Inside Cut. Sa technologie Servomoteur est utilisée pour le transport du film, le convoyage et le transfert des barquettes. Sealpac France expose aussi la thermoformeuse RE 20, conçue pour des applications sous-vide, ShrinkStyle, vide, gaz ou encore MAP.

Hall 5a Stand E075

SEILA, SIEL et SYPAL Les trois syndicats représentatifs de la filière bois présentent le Pacte Emballages Bois.

Le Syndicat de l’emballage industriel et de la logistique (Seila), le Syndicat national des industries de l’emballage léger en bois (Siel) et le Syndicat de l’industrie et des services de la palette (Sypal) présentent leur initiative collective : le Pacte Emballages Bois. Ce pacte a pour vocation le partage d’expériences et la promotion d’actions destinées à faire préférer les emballages en bois : palettes, caisses, emballages légers, aux autres matériaux plus polluants. Cette initiative s’adresse aux entrepreneurs éco-citoyens mais aussi à tous les publics concernés. Il repose sur les principes et les convictions des syndicats professionnels à savoir le développement durable, le respect de l’environnement, la consommation raisonnée et responsable, le faire-savoir et le partage, le progrès ou encore l’innovation. Les adhérents du Pacte Emballages Bois contribuent à la fabrication et à l’utilisation de produits respectueux de l’environnement et à l’essor de cette filière bois. Une présentation du pacte retransmise sur Internet est effectuée sur le plateau de télévision Emballage In Green. De plus, une exposition d’emballages en bois, réalisée par Fabrice Peltier, designer et fondateur de l’agence P’Référence, est organisée pour l’occasion.

RESPECTER LA NATURE Nos briques pour produits alimentaires préservent parfaitement les aliments qu’elles contiennent et respectent l’environnement.

En ce sens choisir un emballage brique, c’est faire le bon geste.

Nos briques sont majoritairement constituées de carton issu du bois, une matière première renouvelable. Le recours à des ressources renouvelables permet de réduire l’utilisation des matières premières fossiles telles que le pétrole. Et puisqu’en grandissant les arbres absorbent du CO2 et rejettent de l’oxygène, les forêts gérées de façon durable contribuent à protéger la planète.

Afin de pérenniser cette ressource, nous travaillons exclusivement avec des fournisseurs de carton certifiés par le Forest Stewardship Council (FSC).

SIG Combibloc S.a.r.l.

1 rue d’Anjou 92604 Asnières Cedex T + 33 1 41 11 42 42 F + 33 1 41 11 42 40 www.sig.biz

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Des films pour l’alimentaire en HACCP. Le turc Sembol Ambalaj évolue dans le domaine de l’impression d’emballages souples en héliogravure et flexographie depuis 1987. L’entreprise a concrétisé, en 2007, la mise en route d’une nouvelle unité d’une superficie totale de 40 000 mètres carrés dont 15 000 couverts, et a ainsi atteint une capacité de 7 500 tonnes par an. Sembol Ambalaj a, par ailleurs, créé en Allemagne la société Interrote qui assure les ventes de l’entreprise pour l’Europe. Sembol Ambalaj maîtrise le collage à froid, le collage à chaud et transforme des films en impression unique et multiple avec la technique de laminage avec ou sans solvant. Dans une optique de sécurité alimentaire, l’entreprise accorde «une importance extrême à l’hygiène». Comme en témoignent le certificat HACCP de système de gestion de sécurité alimentaire, le certificat BRC de sécurité alimentaire propre au secteur d’emballage et d’impression, le certificat de réussite avec le degré Excellent obtenu de l’AIB ou encore le certificat de système de gestion de qualité TS EN ISO 9001:2000.

par un système airless. Le résultat est spectaculaire, la bouteille revêt un effet marbre, bois ou jeans. Le brossage métallique permet, quant à lui, de donner un aspect métal brossé à la bouteille. L’effet « all over » se décline dans les teintes aluminium, or ou cuivre. Partiel ou total, le satinage consiste à immerger le verre dans un bain d’acide qui attaque sa surface et lui confère un aspect dépoli, givré. Pour obtenir un toucher velours, le flocage vient protéger la bouteille avec des fibres synthétiques. La sérigraphie, la gravure et le sablage, les décalcomanies ou encore la pose d’accessoires comme des bijoux sont également proposés. Selective/Line offre un accompagnement personnalisé dans chaque projet, du design au bouchage de la bouteille en proposant des capsules, coiffes et bouchons en liège de haute qualité.

Hall 6 Stand F051

SERVOLIFT

SIGES Créée en 1985, la Société d’investissement de gestion et de services (Siges) est une filiale de la Sodexho. Son activité légale est l’organisation de la vie dans toutes collectivités notamment les établissements pénitentiaires régis par la loi du 22 juin 1987. Celle-ci prévoit les contrats de concession de main d’œuvre, c’est à dire la gestion du travail par des sociétés privées en détention. La Siges gère ainsi huit sites en France. Elle contribue à améliorer les conditions de vie des personnes détenues en proposant différents services comme le travail. Son rôle s’inscrit dans une logique de réinsertion sociale et d’intégration des détenus au monde du travail. La Siges présente des produits d’emballage réalisés de façon manuelle ; il s’agit d’échantillons, de coffrets et de boîtes en cartons.

Hall 6 Stand L113

SIPA BERCHI

Hall 6 Stand D086

L’entreprise présente une gamme d’imprimantes.

Distributeur de systèmes d’étiquetage sur mesure, Sitetic Graphics expose une gamme d’imprimante. La VP485 de Vip Color, une Avery AP 5-4 et une imprimante Tec. Une démonstration d’impressions de différents types d’étiquettes, de tailles variées et sur plusieurs supports, est proposée sur le stand. Des nouvelles technologies sont mises en avant avec une démonstration Radio Frequency IDentification (RFID) complète. Celle-ci sera effectuée grâce à une imprimante permettant de paramétrer les inlays, un lecteur pour scanner et le logiciel pour lire les données.

Sitetic Graphics présente également des produits liés à la surveillance électronique des articles (EAS).

Hall 4 Stand B086

SELECTIVE/LINE (verallia)

SITMA FRANCE La société expose une machine d’emballage multi format.

Des bouteilles originales en verre, décorées par différentes techniques, sont exposées sur le stand de l’entreprise.

La marque haut de gamme de Verallia, Selective/Line présente sa collection de standards. Il s’agit de bouteilles en verre de formes allant de la plus épurée à la plus sophistiquée, de masses et de couleurs variées. Miami, Monaco, Nairobi, Cologne, Sydney, Tokyo et encore Barcelone ou Moonea sont les noms de quelques uns de ces conditionnements destinés aux vins, spiritueux, boissons alcoolisées et aux eaux haut de gamme.

Selective/Line offre plusieurs choix de coloration comme le teinté masse : extrablanc, noir, cannelle ou Tradiver. La coloration feeder aboutit à des couleurs pastelles aux foncées existantes ; cette solution permet aussi l’obtention de teintes personnalisées. Les bouteilles sont décorées par des techniques originales comme la métallisation, pendant laquelle elles deviennent brillantes ou mates en se parant, partiellement ou totalement, d’une mince couche de métal. Le laquage permet une coloration grâce à la projection de peinture liquide ou en poudre (résine et colorant).

Il permet d’obtenir une grande variété d’effets : mat, lisse, brillant, opaque, translucide. Le transfert par immersion est une exclusivité proposée par Selective/Line.

La bouteille est immergée dans un bain sur lequel un film est en suspension, les encres viennent alors adhérer au contenant

SITETIC GRAPHICS

Produits d’emballages réalisés de façon manuelle.

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SEMBOL AMBALAJ

La société expose une installation manuelle de dosage et de pesée.

Ce système est équipé d’une potence de levage avec système de pesée et aspiration des fines, d’un trémie de pesée d’une capacité de 300 litres avec couvercle, d’un chariot pour le transport de la trémie de pesée, d’une potence de levage mobile équipée d’une unité de tamisage et de conteneurs Servolift de 600 et 1 200 litres de capacité. L’entreprise expose avec Pharma-Alliance et GEA Courtoy.

Hall 5a Stand J051

SFP THERMOFORMAGE L’entreprise présente des plateaux de calage et de manutention.

Filiale du groupe Verpack, Société formage plastique (SFP Thermoformage) présente plusieurs produits thermoformés en polystyrène (PS) régénéré. Ces solutions sur mesure sont des plateaux de calage ou de manutention, des blisters et des pièces techniques comme des capots et carters de voiture ou des pièces pour l’aérospatial.

SFP expose avec les autres filiales du groupe Verpack : Cartonnages Guillaume, CLP, Allpack et ECI Plastiform.

Hall 6 Stand G051

Le spécialiste de la fin de ligne améliore la gamme Genius.

La gamme Genius de Sipa Berchi est une solution de palettisation qui, en partant d’une structure centrale standardisée, permet, via l’ajout de différents modules, d’obtenir des solutions personnalisées en fonction de la vitesse, des emballages et des programmes de production désirés par le client. Cette offre comprend des palettiseurs et des dépalettiseurs à palette fixe ou mobile. à l’occasion du salon, l’entreprise italienne présente Fastlayer, un système de préparation des couches robotisé avec orientation et disposition active des colis. Basée sur l’emploi de deux robots anthropomorphes, cette solution constitue une alternative à la préparation traditionnelle des couches.

Elle permet notamment d’atteindre trois objectifs : éviter d’endommager le produit ; réduire les temps de changement de format ; augmenter les performances et l’efficacité de la ligne.

Hall 4 Stand B015

La machine d’emballage SITMA 1002 multi format permet d’utiliser tous types de films, rétractés ou non. Elle réalise des conditionnements garantissant un double facing. La mise au format de la machine est aisée et rapide grâce à l’utilisation de servo moteurs. Le matériel est évolutif et flexible grâce à sa conception modulaire.

De nombreux systèmes d’alimentation automatique peuvent y être raccordés.

Hall 5a Stand K152

SLEEVER INTERNATIONAL Jellies et briquets 3D. Spécialiste du sleeve, le français Sleever International dévoile Les Jellies de Cacharel : une collection gourmande irrésistible ! « Cinq flacons « sucre d’orge » de 20 ml irrésistibles pour cinq fragrances emblématiques « : Rose tendresse pour Anaïs Anaïs (Jacinthe - Jasmin - Santal) ; Caramel doux pour Noa (Cassis - Pivoine Encens) , Rouge passion pour Amor Amor (Agrumes - Muguet - Vanille) ; Violet profond pour Amor Amor Tentation (Mandarine - Fleur de Tiaré - Cèdre) ; Corail incandescent pour Scarlett (Poire - Miel Muscs blancs). Se cache, derrière « ces sucreries », une technologie innovante de décoration à 360° de petits objets développée par Sleever ainsi qu’un nouveau film à base de polyéthylène téréphtalate (PET) baptisé SI-CPET-KG/050. à découvrir sur stand. Sleever Internetional dévoile aussi

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une gamme de briquets Cricket (Swedish Match) décorés avec un effet 3D. L’effet résulte de la combinaison d’une impression en héliogravure suivie d’un passage en flexographie puis d’une finition en sérigraphie jusqu’à quatorze couleurs. Le relief est obtenu par un vernis extérieur spécial qui donne du volume à l’impression.

Hall 6 Stand D043

SOCO SYSTEM

IS43. Grâce à cette machine, la soudure et les soufflets se retrouvent à l’intérieur de la housse. La IS43 est disponible en version mono-format et multi-format de une à trois bobines, toutes les opérations comme la mise en place du film et la maintenance se font au sol. L’étirement de la housse s’exécute à l’aide d’un cadre à ouverture télescopique avec un taux d’étirement proportionnel sur l’ensemble de la housse, ce qui permet l’utilisation d’une même housse pour différentes dimensions de palettes.

La housse stretch assure la compacité et la stabilité des charges instables. Imperméable et anti-poussières, elle protège les produits contre les intempéries et le vol.

La technologie des films stretch apporte la possibilité de réaliser des impressions sur le film. Sofragraf propose également des housseuses par thermo-rétractation ou par housse étirable à froid.

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Hall 5a Stand J076

SOFREC – SOCIETE DES EMBALLAGES MOULéS Le frabricant expose des machines prévues pour les fins de lignes d’emballage et de manutention.

Fabricant d’équipements pour les fins de lignes d’emballage pour caisses carton, barquettes, caisses plastique et palettes, Soco System expose quelques unes de ses solutions. La Soco Pack AHS est une formeuse de caisses automatique avec système de fermeture du fond par hot-melt intégré. La machine s´adapte facilement aux différentes tailles de caisses á l´aide d´une manivelle. La machine peut être intégrée dans une ligne de production existante. Les stockeurs et déstockeurs de palettes de la gamme PalManager sont utilisés pour empiler les palettes ou comme magasins dans lesquels l´opérateur peut prendre une ou plusieurs palettes à la fois. Ces magasins peuvent être réglés pour fonctionner automatiquement. Un robot de palettisation automatique, le PRS-1210, des machines à fermer les rabats et des fermeuses de caisses carton sont aussi présentés.

Housseuse stretch.

Sous la marque Getra Engineering, Sofragraf expose la housseuse stretch

Sonimat propose des produits de scellage des plastiques par ultrasons comme Sonicell C avec soudure en continu et Sonicell CC avec soudure coup par coup. Le scellage est étanche même avec souillure dans la zone de soudure, celle-ci se fait à haute cadence : 80 m/min en continu et 120 coups par minute en coup par coup.

Les procédés s’intègrent sur des machines VFFS et HFFS, pour la soudure de sachets souples, Doypack ou encore flow pack.

STOROPACK

SOLIA

SULZER DLC COATING Solutions pour traiter les surfaces des plastiques.

Filiale du groupe suisse Sulzer, Sulzer DLC Coating utilise la technologie du PACVD pour déposer une couche de carbone de structure amorphe sur quelques microns d’épaisseur. Ce dépôt présente une dureté de 3000 Vickers ou 86HRC, un coefficient de frottement de 0,05 et est une protection 100 % contre les corrosions rencontrées lors de la présence de gaz ou d’humidité.

L’entreprise présente ses solutions dans le domaine de la plasturgie, où son procédé est utilisé pour traiter un grand nombre de pièces pour la cosmétique, le bouchonnage, mais aussi les préformes en PET, les emballages alimentaires ou pour le secteur médical.

Hall 6 Stand B113

SUPERFOS

Le fournisseur allemand cherche à développer les solutions personnalisées.

Spécialisé dans les solutions de protection et le calage, Storopack présente une sélection de ses produits. Sur son stand, le visiteur peut découvrir des emballages en polystyrène et polypropylène expansé, des calages industriels, des emballages navettes, mais aussi des barquettes alimentaires. Storopack cherche à se démarquer en tant que fournisseur de solutions personnalisées.

Hall 5a Stand K056

Le concepteur de lignes de conditionnement présente Tecnovac.

SOFRAGRAF

Des techniques de soudure des plastiques par ultrasons.

Producteur de cellulose moulée, Sofrec développe industriellement le moulage de fibres papetières. La société présente des produits en cellulose moulée. Ce sont des berceaux moulés pour tous types de bouteilles standards, de vins, de champagne et de spiritueux et des intercalaires alvéolés pour les fruits et légumes.

Certaines nouveautés en termes de calage industriel trouvent des applications pour les téléphones mobiles ou les décodeurs numériques. Des berceaux pour bobines et des intercalaires pour bouchons sont également exposés.

Hall 5a Stand K051

réversible, avec preuve d’inviolabilité ou par scellage thermique. Strubl Kg présente également Plug & Pack Pro, une machine d’emballage semi-automatique pour toutes sortes de sacs. Elle possède un dosage externe, un comptoir d’alimentation et des systèmes de pesage et de dosage. Elle permet des applications dans la quincaillerie, l’automobile, l’électronique, la cosmétique ou encore la papeterie.

Hall 5a Stand E134

SONIMAT

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SODIMA

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Moulage de fibres papetières.

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Sodima propose Tecnovac, une machine à double poste équipée de deux porte-bobines interchangeables. Cette machine peut fonctionner avec deux outils identiques ou différents, sélectionnables depuis l’afficheur, de façon à supprimer le temps d’arrêt pour un changement de format.

plats cuisinés, pâtes, risotto, soupes, desserts, glaces, boissons chaudes…Deux couvercles, plat ou bombé, peuvent s’y adapter. Solia présente aussi Sph’air, une verrine transparente de 15 cl. Ce concept, en version mono-portion, est conçu pour une présentation soignée d’entrées et de desserts, en restauration comme en boulangerie-pâtisserie.

STRUBL KG La société présente deux verrines, Mug et la Sph’air.

L’entreprise expose des sachets d’emballage et une machine de remplissage de sacs.

Surprenant par son look « seventies », le Mug de Solia est un contenant destiné au secteur du « snacking ». Il est doté d’une poignée, dans laquelle vient se clipser une fourchette ou une cuillère, ce qui facilite sa prise en main ; on peut l’emporter partout. Il présente également l’avantage de pouvoir être totalement personnalisable – couleur, logo –. Il remplace le traditionnel bol à salade et peut également contenir une multitude d’autres produits :

Strubl Kg met en avant des sachets d’emballage avec systèmes Plug & Pack, en OPP, RPC, PEBD ou PEHD, Coex-film, biofilm, antistatique ou encore coloré.

L’impression haute définition se fait en huit couleurs, au recto et au verso. Ces sachets sont avec prédécoupe, à plusieurs compartiments avec différents profils de soudure, et leur remplissage se fait par le haut ou par le bas. La fermeture peut être par ZIP, ruban adhésif, permanent et

L’entreprise présente SuperLock, un nouvel emballage alimentaire.

Le nouvel emballage SuperLock à parois fines développé par Superfos est un emballage alimentaire qui double, voire triple, la durée de conservation en rayon – jusqu’à 24 mois – . Ceci est possible grâce à des taux de transfert à l’oxygène très bas, obtenus par une nouvelle barrière à l’oxygène. La protection barrière se fait sur toutes les parois. Incassable, le SuperLock est operculé et dispose d’un couvercle à vis (twist-off) avec clic sonore de fermeture, combiné à un joint à membrane. Son impression se fait grâce à la technique d’étiquetage dans le moule (IML). Différents diamètres sont disponibles : 69 mm, 95 mm, 109 mm et 118 mm, avec treize options pour le volume : de 65 à 875 ml. Un large éventail d’aliments peuvent y être conditionnés, comme du fromage, du chou, du yaourt ou encore de la soupe. Il est compatible avec le remplissage à chaud et le

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SVARA MIHB et Valbert Plastiques unissent leurs compétences pour proposer des emballages innovants. « Et si on me proposait des concepts d’emballages en plastique modulables, transformables, pouvant contenir tous types de produits ? Et si les contenants, les bouchons, pouvaient répondre à toutes les exigences de mes clients, de mon marché ? Et si les emballages de demain étaient déjà là ?»

Cette promesse, c’est la marque Svara qui la formule. Svara pour Inventive Materials.

En s’appuyant sur les outils de production des deux plasturgistes d’Oyonnax (Ain) que sont Moulages Industriels du Haut Bugey (MIHB) et Valbert Plastiques, Svara entend concilier «prospective et inventivité» en réunissant les compétences de designers et d’ingénieurs. Svara propose des solutions avec des plastiques et d’autres matériaux.

Implanté à Oyonnax, Svara fait ses premiers pas lors du salon Emballage 2010.

Hall 6 Stand J105

SYSTEC INSTRUMENTS Analyseurs de perméabilité et d’atmosphère d’emballages alimentaires.

En tant qu’expert de l’analyse de l’humidité et de l’oxygène, le fabricant Systec Instrument exposera sa gamme d’analyseurs de perméabilité et d’atmosphère d’emballages alimentaires. Sa gamme couvre toute l’étendue des besoins quels que soient le type de conditionnement et l’espace libre à analyser. Ses analyseurs sont fixes ou portables. Il en existe en version étanche.

Hall 5a Stand GH115

TECHNIBAG Le fabricant expose des remplisseuses de Bag-in-Box. Technibag présente une gamme de remplisseuses de poches souples de type Bag-in-Box. Automatiques ou semi-automatiques, ces machines permettent le conditionnement de toutes sortes de liquides alimentaires comme les vins, alcools, jus de fruits, purées, les eaux ou encore les soupes. La B’Booster permet de remplir à haute cadence des poches de 2 à 20 litres. Les remplisseuses Advance et Premia sont, quant à elles, adaptées pour les moyennes et grandes productions de poches souples de 1 à 30 litres, tandis que la BiB’Up et la Sympaty conviennent aux conditionnements de 2 à 30 litres.

Les étapes comportent l’enlèvement du robinet, le démarrage du cycle automatisé : vide d’air, remplissage et injection d’azote puis l’enfoncement du robinet. Technibag

présente également l’encaisseuse C’Booster. Cette machine effectue l’ouverture et le rabat automatisé des cartons, introduit avec ralentisseur les poches pleines dans le carton puis les tasse. Elle permet de travailler aussi bien avec des cartons à fond collé que non collé.

à travers un panneau à écran tactile via un logiciel convivial. La T230 remplit jusqu’à 150 tubes par minute. Ce qui lui permet de s’intégrer dans une ligne de production de très haut niveau technologique.

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THIMON

TECHNICAL ENGINEERING GROUP

Economies de film et d’énergie au programme du constructeur français.

L’entreprise expose une machine de conditionnement de comprimés et de gélules.

Fabricant d’outils de thermoformage, encartonnage et distribution pour machines de conditionnement sous blister dans le secteur pharmaceutique, Technical Engineering Group expose une machine de conditionnement de comprimés et de gélules. La société propose aussi Distribution NG et NG Feeder, machines permettant le remplissage de blisters y compris les blisters multi-produits.

Créée en 1968 à Aix-les-Bains, Thimon a été l’un des précurseurs des procédés de suremballage sous film plastique en France. Fort de quatre décennies de savoir-faire, l’entreprise a mis l’accent, ces derniers temps, sur les économies d’énergie et de consommable. Elle propose par exemple un procédé de houssage étirable, incorporant une technologie brevetée de soudure froide qui permet jusqu’à 20 % d’économie de film par palette.

Quant à ses procédés de banderolage, ils autorisent des capacités d’étirage du film jusqu’à 350 %. Sur son stand, l’entreprise exposera une banderoleuse 5 faces WRA-PAL Swing qui permet près de 50 % d’économie de film avec une protection de la charge renforcée.

THIMONNIER

Leader européen dans la conception et la fabrication de thermorégulateurs et refroidisseurs avec plus de 10 000 appareils produits chaque année, le suisse Tool-Temp présente une large gamme de nouveaux produits. Comme le tout nouveau thermorégulateur TT-170L qui est un appareil très compact d’une puissance de 3 kW commercialisé à moins de 1 000 euros. Le TT-1000 est, de son côté, un appareil de test et de mesure permettant un contrôle simple et fiable de la température et du débit sur tous types de thermorégulateurs et refroidisseurs. Le refroidisseur TT-14500H est, enfin, un appareil mobile équipé en série de l’affichage digital du débit. D’une puissance de refroidissement de 14 kW, il est également doté d’une chauffe additionnelle de 5 kW. Ces équipements sont présents dans de nombreuses applications destinées à l’emballage telles que la régulation sur des machines d’injection, le soufflage du polyéthylène téréphtalate (PET) ou encore la pose de films sur emballage en carton et le verre.

Tool-Temp est présent en France grâce à sa filiale implantée à Gonesse (Val-d’Oise).

Le fabricant présente une ensacheuse.

TGM TGM, fabricant italien, expose sa remplisseuse de tubes T230.

Destinée au remplissage de tubes coextrudés à 2/3 couleurs, cette machine se pilote sans problème par un seul opérateur grâce à des groupes de dosage actionnés par des servomoteurs assurant un réglage soigneux et précis de toutes les variables.

Toutes les fonctions se gèrent directement

TOOL-TEMP Des thermorégulateurs pour l’emballage.

TECNIMODERN AUTOMATION

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Hall 4 Stand D102

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Hall 5a Stand H015

Filiale du groupe LZF, la société Tecnimodern Automation expose sa nouvelle machine à ensacher ultra compacte. Cette machine permet de fonctionner avec une palette complète de films tels que polyéthylène (PE), films biodégradables ou encore bi-matière médical. Tecnimodern Automation se diversifie dans le secteur de l’emballage à haute cadence avec l’appui de son partenaire italien Tecnopack, qui dispose d’une large gamme de machines, et lignes de conditionnement, des machines semi-automatiques jusqu’aux lignes de conditionnement entièrement automatisées avec convoyeurs, systèmes de mise en phase, manipulateurs et bras robotisés.

1000 «R3» et deux machines à jet d’encre dévié Hitachi. La R3 se distingue par son écran tactile, son menu intuitif, sa gestion par icône mais aussi par son nouveau principe de nettoyage automatique. Dédiée au marquage de textes, codes à barres et Datamatrix sur un carton, elle utilise des encres non toxiques. Déclinée en deux variantes, RX-S et RX-B, la gamme d’imprimantes Hitachi se caractérise par une buse améliorée, facilitant le nettoyage. Un indice de protection IP 55 ou IP 65, autorise une exploitation dans les environnements de travail les plus difficiles.

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passage en autoclave. Fait de plastique uniquement, le SuperLock est recyclable.

Il supporte aussi les micro-ondes, le lavevaisselle et le congélateur.

La société présente des machines de conditionnement.

Thimonnier est fabricant de machines pour l’emballage de produits liquides, visqueux, secs en sachets coussins ou en sachets tenant debout Doypack. Manuels ou automatiques, ces systèmes répondent à tous les besoins en emballages souples dans divers domaines tels que l’agroalimentaire, les lessives et détergents, les cosmétiques et la pharmacie.Thimonnier expose des machines pour le conditionnement en sachets Doypack, des machines aseptiques, ou non, pour le conditionnement de liquides-visqueux en sachets coussins et des machines pour la fabrication et le remplissage de poches de perfusion et de poches à sang.

Hall 5a Stand C068

TIFLEX Le constructeur de matériel de marquage présente ses codeurs.

Spécialisé dans les solutions de marquage, la sérigraphie et l’impression numérique ainsi que la fabrication de plaques d’immatriculation, Tiflex présente plusieurs nouveautés parmi lesquelles une imprimante jet d’encre très haute résolution HRP

Hall 6 Stand G156

TRANSFORMACIONES PLASTICAS ITAL L’espagnol propose des accessoires et des protections en plastique pour l’emballage.

Transformaciones Plásticas ITAL est spécialisé dans la conception, le développement et la fabrication d’accessoires et de protections en plastique pour l’emballage. La société propose une large gamme de références

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pour les poignées, les poignées décoratives, les couvercles pour tubes, les plots de calage pour mandrins, les rivets, les cintres, les séparateurs, les distributeurs de film, les coins, les protections d’angle et les protecteurs. Un catalogue est disponible mais des fabrications sur mesure sont également possibles.

VELFOR-PLAST

Hall 6 Stand J118

TRANSPAK EQUIPMENT Solutions de banderolage chez le constructeur taïwanais.

Basé à Taiwan, Transpak Equipment fabrique des machines de banderolage de charges palettisées. Le constructeur expose sur son stand plusieurs machines parmi lesquelles le modèle TP-702 Mercury qui se distingue par une construction ergonomique et le modèle TP-703H Castor, se caractérisant par une architecture horizontale.

Hall 5a Stand H082

TRIAX L’entreprise expose un magasin à palettes autonome.

Magapal, le magasin à palettes autonome proposé par Triax, permet de stocker et de distribuer des palettes vides par le dessous de la pile au moyen d’un chariot élévateur ou d’un transpalette. Entièrement cartérisé sur trois côtés, le magasin fonctionne à l’énergie hydraulique ou pneumatique.

Selon le modèle, il permet de dégager de une à cinq palettes, automatiquement ou manuellement. Le système peut contenir 15, 20, 25 ou 30 palettes.

Hall 5a Stand J100

UPM

La société propose des conditionnements pour l’agroalimentaire et la pharmacie.

Velfor-Plast expose des conditionnements destinés au secteur de l’agroalimentaire. Ces produits représentent une barquette alimentaire pour foie gras operculable, pasteurisable et compatible à une stérilisation autoclave et un pot design empilable avec couvercle. L’entreprise propose aussi une innovation technique d’impression avant thermoformage : le « PréPrint ». Les conditionnements conçus pour les industries médicale et pharmaceutique sont un blister operculable, des poches pour solutions médicamenteuses ainsi qu’une boîte en plastique « Velbox ». Velfor-Plast présente des solutions de personnalisation pour ces emballages.

Hall 6 Stand H120

VELVET-GLASS INTERNATIONAL Le fournisseur expose des flacons aux formes variées.

Velvet-Glass International propose différentes variantes de bouteilles et flacons en verre aux formes originales. Courbe A est un flacon de 70 cl dont le profil se caractérise par un côté droit et un côté incurvé, pour faciliter la prise en main. Ligne A, en revanche, possède un corps conique avec des épaules plus larges que la base.

Hall 6 Stand FG064

VERRERIE DU SUD photos dr

Le distributeur présente une nouvelle bouteille et des conditionnements en verre.

Alimentarité et environnement à l’honneur chez le fournisseur de papier.

Fabricant de papiers pour l’emballage, UPM met en avant quatre familles de produits : UPM SwanShine, un kraft frictionné une face blanchi offrant une excellente imprimabilité, a été conçu pour faciliter la transformation et réduire les déchets ; UPM Unique et UPM SwanCoat, deux papiers couchés une face, offrent une surface d’impression claire et nette et des performances stables pour différentes applications et plusieurs méthodes d’impression ; UPM SwanWhite, un papier kraft lissé fini machine, est, quant à lui, résistant, pur, lisse et facile à transformer.

Ces quatre références possèdent des certificats d’alimentarité et affichent l’écolabel européen «gestion durable des forêts».

Hall 6 Stand J055

Verrerie du Sud expose sur son stand sa nouvelle bouteille en verre. Disponibles en deux couleurs, les contenances proposées sont 0,25 ; 0,5 ; 0,75 et 1 litre. Cette bouteille, à forme particulière, est destinée à conditionner différents liquides comme les vins ou les alcools, les sirops ou encore les huiles. Deux types de bagues sont proposées, l’une plate et l’autre à vis. L’entreprise présente également d’autres conditionnements en verre, des bouteilles et des pots de différents formats pour les marchés de l’agroalimentaire et cosmétique. Verrerie du Sud propose aussi des éléments de bouchage : capsules, bouchons et verseurs.

Hall 6 Stand F075

VERRETUBEX Le fabricant expose des conditionnements en verre étiré.

Il présente des gammes d’ampoules, de

flacons et de tubes, de piluliers et aussi de capsules, destinés aux industries pharmaceutique et diagnostic. Des applications sont aussi possibles dans l’alimentaire et dans la cosmétique, pour des échantillons de parfums par exemple. Ces conditionnements sont réalisés à partir de cannes de verre. Verretubex expose en partenariat avec l’agence de développement économique en région Centre, Centreco – Centrexport et avec la Cosmetic Valley, pôle de compétitivité français d’industriels de la filière des parfums et des cosmétiques.

Hall 6 Stand D035

cier de chaque opportunité. Il estime et actualise ses chances de succès au fur et à mesure de l’avancement du dossier.

Hall 6 Stand A068

WECKERLE MACHINES (SOGEVA) La révolution des couleurs dans la cosmétique.

Avec la Multi Colour Powder Line, l’allemand Weckerle Machines veut révolutionner le conditionnement des poudres de couleurs dans l’industrie cosmétique.

En effet, la ligne, modulaire et conçue pour une souplesse maximale, permet de maîtriser des combinaisons illimitées de couleurs pour remplir les boîtiers de maquillage. Quant au système de dosage dit « single-shot », il permet une grande précision et évite les mélanges inopportuns.

L’équipement s’adapte à une grande variété de conditionnements et peut assurer un contrôle en ligne automatique.

Hall 5A Stand F012

VIROJANGLOR

WENGLOR FRANCE

Des étuis métalliques innovants.

L’entreprise présente le capteur laser Temps de Transit OY2P avec technologie WinTec.

Spécialiste des étuis métalliques, Virojanglor présente ses nouveautés réalisées depuis deux ans afin de «mettre en valeur toutes ses compétences en matière d’innovation». Les produits présentés ont été réalisés pour les plus grandes marques du secteur des spiritueux et de la parfumerie mais aussi de l’alimentaire comme Pernod Ricard, Diageo, Remy Cointreau, LVMH, L’Oréal, Shiseido, Coty, Nestlé ou encore Kraft Foods…

Hall 6 Stand E048

VOLUME SOFTWARE De nouvelles fonctionnalités pour les industriels de la filière papier-carton. éditeur de logiciels à destination des professionnels de la transformation de papier-carton, Volume Software se présente à Emballage avec deux nouveautés.

Dans Volupack, son produit phare, le module d’atelier, a été entièrement renouvelé. L’opérateur peut désormais accéder aux informations associées au dossier qu’il traite par écran tactile, via une interface conviviale. Il peut ainsi prendre connaissance rapidement du dossier de fabrication, des plans des outils, du cahier des charges du client /produit, de l’enregistrement des rapports qualités et la déclaration des non conformités. ReflexClient, le produit CRM et décisionnel de Volume Software s’enrichit quant à lui du « cube » opportunités de vente. Avec ce module CRM de saisie des opportunités de vente, les commerciaux peuvent qualifier les différentes affaires en cours.

Un scénario permet de connaitre l’état d’avancement de l’opportunité de vente : visite, approche, proposition, signature, etc. Le commercial évalue le volant finan-

Wenglor France présente WinTec, un capteur Temps de Transit. Sa technologie sans interférence est insensible à la brillance et commute avec des réflécteurs et des surfaces réfléchissantes en arrière-plan. Les surfaces noires sont détectées, également en position inclinée. Le capteur reconnait les objets noirs ou brillants avec une plage de travail de 0 à 3 mètres, sans zone morte. Le petit spot laser et la fréquence de commutation de 1 000 Hz permettent une commutation précise. Fonctionnant entre – 40 °C et + 60 °C, il peut être utilisé dans les entrepôts réfrigérés. Le nouveau capteur Temps de Transit OY2P élargit la gamme de capteurs laser Classe 1 de Wenglor. Selon la norme EN 60825-1, ces équipements sont sans risque pour l’œil humain et ne nécessitent pas de signalisation spécifique ou d’information de sécurité ; ils répondent aux spécificités de l’industrie automobile. De plus, la diode laser peut être désactivée via une entrée supplémentaire. L’entreprise présente également sa gamme de capteurs InoxSens.

Hall 5a Stand H144

ZALKIN La société expose une tourelle de vissage sans graissage.

Zalkin propose sa seconde génération de tourelle ultra-propre sans graissage. La machine – y compris sa partie centrale – est tout en inox, sans zones de rétention de produit (pentes, pièces évidées, goulotte et guides en rond). La partie supérieure de la tourelle est ouverte, il n’y a aucun carénage, pour un large traitement CIP par buses de nettoyage intégrées.

Hall 4 Stand D067

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tosa présente, quant à lui, une machine d’ensachage verticale de la gamme type EVRD-50 pour le conditionnement de sachets type DoyPack qui se caractérise par sa souplesse. Il est possible, en effet, par de simples adaptations, de réaliser sur le même matériel des sachets « coussins » classiques, mais aussi des sachets à fond plat et à pli latéral. L’ensacheuse fonctionne grâce à 3 servomoteurs. Sa cadence culmine à 50 sachets par minute.

dernière minute

ALL1 Pack

Des ensacheuses sur le stand de l’importateur.

Représentant en France de plusieurs entreprises étrangères spécialisées dans les machines d’emballage, ALL1 Pack propose, entre autres, sur son stand les matériels des sociétés espagnoles Inever et RoureTectosa. La machine de conditionnement vertical à mouvement intermittent IneverSP est capable de conditionner des sachets tubulaires scellés sur 3 côtés. Elle est dédiée au remplissage de produits cosmétiques et alimentaires. Il s’agit d’un équipement multipistes, adapté aux moyennes et grandes productions.

Pour améliorer sa résistance, le bâti de la machine a été construit à partir d’une structure en acier avec peinture epoxy de deux composants, soudés. RoureTec-

est un spécialiste du collage en repérage ; Cartonnerie Jean se présente comme le leader français dans la fabrication de carton compact à l’enrouleuse ou carton dit Celloderme. Hertus exerce, pour sa part, dans le conseil, la conception et la création de design tandis que Financière Mag est présent dans les activités des sociétés holding.

Hall 6 Stand J059

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AUTOMATED PACKAGING SYSTEMS

ATLANPACK

Le fabricant de machines d’ensachage joue la carte des services.

Les entreprises de l’Arc Atlantique.

Membre du réseau France Emballage, Atlanpack, groupement des entreprises de l’emballage de l’Arc Atlantique, accueille sur son stand plusieurs entreprises.

Bouchages Delage est un spécialiste des bouchons et cachets pour spiritueux ; CEE Robert Schisler est un fabricant de sacs en papier, de gobelets en carton et de papier cadeaux ; Jean Bal est un spécialiste de la production d’emballages et calages thermoformés ; Litho Bru est un imprimeur d’étiquettes sèches à encoller, d’étiquettes adhésives et de packaging de luxe comme les étuis, les coffrets et les tubes ; A2C

Automated Packaging Systems (APS) met l’accent sur les services. Le fournisseur de solutions de conditionnement en sachet plastique présente son savoir faire dans la fabrication de sachets préformés et des machines qui servent à les remplir mais essaie aussi de mettre en avant ses compétences en matière d’assistance technique avant et après-vente. Sur le stand les visiteurs peuvent tester les systèmes « phares » de la société tels que l’AB 180, PS 125, FAS SPrint et AirPouch.

BUSCH Une nouvelle gamme de surpresseurs.

Busch Pompes à vide et Systèmes propose une large gamme d’équipements qui va des pompes à vide aux surpresseurs industriels en passant par les centrales de vide standard et sur-mesure. à l’occasion du salon, Busch présente, avec Tyr, une gamme de surpresseurs à piston rotatif qui fixe de « nouvelles normes sur le marché en matière de puissance, de compacité et de réduction du bruit ». L’entreprise offre, en outre, de nombreux accessoires comme des pompes version Oxygène pour l’emballage alimentaire, des vannes de régulation de vide sans fuite, vacuomètres, filtres, capots d’insonorisation, supervision, etc. Solutions spécifiques pour les atmosphères explosives avec ses systèmes ATEX conformes à la directive 94/9/CE. L’entreprise se présente comme le premier spécialiste mondial de ces spécialités.

Hall 5a Stand A104

CEISA PACKAGING

Hall 5a Stand H151

BASF

Thermoformage à la tête du client

Le chimiste BASF met en avant, lors du salon, trois produits : écovio est une matière plastique biodégradable et en partie bio-sourcée ; Aurora est un « film à effets très spéciaux pour des emballages qui sortent du lot » ; Joncryl FLX est une gamme d’encres à l’eau. BASF est un fournisseur de matières plastiques pour réaliser des emballages rigides, souples ou expansés pour les aliments comme les produits pharmaceutiques ou d’hygiène.

Hall 6 Stand B060

BRODART PACKAGING

Visitez-nous!

Des emballages souples et rigides.

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Hertenstraat 32 B - 3830 Wellen T +32 12 74 15 95 F +32 12 74 47 20 E info@anl-plastics.be

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www.anlplastics.com

20 ANL FRANCE

Imprimeur et transformateur d’emballages souples et semi-rigides fort de bientôt 100 ans d’expérience, Brodart Packaging a développé une gamme complète de techniques d’impression telles que l’offset, l’héliogravure, la flexographie avec des encres à l’eau et encres UV qui garantissent l’innocuité de l’emballage. Présente dans les six grands secteurs d’activité que sont les produits alimentaires, les produits laitiers, le café, les produits chimiques et industriels, l’hygiène et la cosmétique, la pharmacie et le médical, l’entreprise maîtrise des savoir-faire particuliers tels que le gaufrage, la dorure à chaud, la démétalisation et les vernis haut-brillants.

Brodart Packaging livre sous forme de bobines, de feuilles, de sachets tenant debout, des sacs SOS, des manchons, des étiquettes et autres boîtages.

Hall 5a L048

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Des plastiques pour l’emballage.

Des films rétractables imprimés et des manchons étirables sur le stand de la société.

Ceisa Packaging présente Nano’Clear, un film qui permet de baisser les épaisseurs jusqu’à 35 microns, voire 30 microns, tout en conservant les propriétés techniques et optiques de films plus épais. Ceisa Packaging est convaincu de l’avenir du manchon SPS. Ce manchon, offrant jusqu’à 40 % d’étirabilité, peut être appliqué sur de multiples formats de bouteilles. Cette solution d’emballage est 30 à 50 % moins onéreuse que le manchon rétractable, selon l’entreprise.

Sa composition en polyéthylène évite de le chauffer. Il est aussi recyclable.

Hall 6 Stand J043

CONDITIONNEMENT 2000 Entreprise familiale, C2000 est spécialisée dans le thermoformage des plastiques.

Située à Bouloire, dans la Sarthe, Conditionnement 2000 (C2000) est une entreprise familiale créée en 1978 par Robert Garnier. Spécialiste du thermoformage plastique, elle commença son activité par le conditionnement à façon.

Ensuite la société développa ses activités dans la conception et la fabrication de plateaux techniques, de calages et de blisters.

Aujourd’hui, la société possède une solide

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expérience de divers marchés comme la papeterie, l’automobile, la téléphonie, l’électronique et l’alimentaire.

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ELAU PacDrive 3 est annoncé.

Spécialiste de l’automatisation au sein du groupe Schneider Electric, Elau amorce la commercialisation de la prochaine génération de son équipement de servo-variateurs à mouvements synchrones. Successeur du PacDrive M, PacDrive 3 marque l’arrivée de la communication Ethernet sur la base de Sercos III. « Un nouveau concept d’outil qui doit encore réduire les délais de conception », précise le constructeur qui ajoute qu’un « concept de variateurs encore plus flexible et une solution de sécurité intégrée suivront ». PacDrive 3 est livré avec SoMachine Motion qui rassemble les outils pour la conception de mouvements et la conception d’entraînements, la mise au point de programmes, l’application IHM, pour la mise en service, le diagnostic et le traitement des données. Ultérieurement, un outil pour l’automatisation orientée sécurité sera également intégré. L’outil central de SoMachine Motion pour le développement de logiciels est déjà basé sur CoDeSys v3, une plateforme d’avenir car elle offre la possibilité d’une programmation orientée objet.

Hall 5a Stand H170

ESKOARTWORK Le fournisseur de logiciel a développé des solutions pour la flexo numérique.

EskoArtwork est un fournisseur et un intégrateur mondial de solutions innovantes pour le marché de l’emballage mais aussi pour l’impression commerciale, la PLV, la signalétique et l’édition professionnelle. Les nouveaux produits exposés par EskoArtwork au salon de l’emballage, sont d’abord la nouvelle version Suite 10.

Suite 10 est une révision majeure des solutions logicielles d’EskoArtwork dédiées au prépresse et à la conception structurelle en 3D. Suite 10 assure la qualité des produits finis et permet de travailler en totale collaboration. Grâce à Suite 10, le flux de travail est entièrement automatisé et la gestion des couleurs parfaitement maîtrisée. Suite 10 intègre les récentes versions (10) d’ArtPro, PackEdge, DeskPack, ArtiosCAD et Studio. à noter, le nouvel Automation Engine 10 qui ajoute de nouvelles dimensions et des possibilités inédites d’automatisation des tâches répétitives et le nouvel i-cut Suite qui s’adresse spécifiquement aux entreprises équipées d’une imprimante numérique grand format et/ou d’un système de finition numérique, à la recherche d’outils professionnels permettant d’optimiser leur flux de production. i-cut Suite se décline en différents modules, dont i-cut Preflight pour le contrôle en amont et la correction des PDF et i-cut

Layout pour la composition et l’imbrication interactives. Pour une découpe sans forme, le système à commande optique i-cut Vision Pro est essentiel. Les modules logiciels de la suite i-cut permettent de détecter les problèmes potentiels et de les résoudre en début de chaîne, ce qui offre l’assurance d’une fabrication plus fluide et rentable.

En vedette également : les systèmes d’exposition CDI (Cyrel Digital Imagers) et leurs logiciels intégrés. L’an dernier, EskoArtwork a révolutionné le marché avec sa technologie HD Flexo à 4 000 dpi, capable de produire des plaques de qualité quasioffset à l’aide d’un tramage de pointe. Cette année, EskoArtwork continue sa révolution avec l’introduction de HD Flexo version 2.0 permettant de produire des plaques encore plus nettes et précises. La nouvelle version 2.0 offre une plus grande densité de l’encre solide (SID) pour des couleurs plus vives sur les emballages. Ce résultat impressionnant peut être atteint lors de l’impression avec des encres flexo standard et des rouleaux anilox.

Un CDI 4260 expose des clichés flexo pour les marchés de l’emballage souple et en carton.

Hall 6 Stand E141

EUROPLASTIQUES Séraphine en forme d’ogive.

Spécialiste des emballages en plastique réalisés en injection, Europlastiques fabrique notamment des verrines pour les traiteurs. Lors du salon, l’entreprise présente Séraphine, une nouvelle verrine en forme d’ogive. « La cuillère épouse parfaitement la forme de la verrine pour ne plus en perdre un gramme », souligne le transformateur. Ce conditionnement est operculable et pasteurisable.

Hall 6 Stand G106

FAERCH PLAST Le transformateur a créé un distributeur avec couvercle refermable.

Transformateur d’emballages en plastique, le danois Faerch Plast présente notamment un développement réalisé avec son client néerlandais Dutch Nut Group (DNG). Pour des fruits secs tels que les noisettes, cacahuètes, noix de cajou, amandes conditionnés sous atmosphère modifiée, la solution consiste dans une barquette thermoformée dotée d’un couvercle dont une partie (côté pointe), grâce à une rainure sur la partie plate et à une entaille sur le côté, se lève à 90 degrés et se rabat, avec un clic sonore à chaque opération. Ce projet a été développé avec Maag pour le film de scellage et Sealpac pour la machine de thermoformage.

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FP INTERNATIONAL La Green Family se développe.

Spécialiste des solutions de calage, l’américain FP International est connu pour le Flo-Pak, son particulaire de calage en

forme de « 8 » fabriqué en polystyrène expansé (PSE). L’entreprise a ensuite introduit les systèmes à coussin d’air et les films matelassés à base de polyéthylène comme les Cell-O MK II et Cell-O EZ suivis par les systèmes Novus, Mini Pak’R et Pillow Pak. La machine d’emballage Novus, l’un des premiers systèmes dit Packaging Material On Site (PMOS), est exposée. Depuis 2009, FP International promeut la Green Family : le Flo-Pak Green est fabriqué à 100 % à partir de polystyrène recyclé et le Cell-O Green à partir de polyéthylène haute densité (PEhd) recyclé après usage. Le Flo-Pak Green existe aussi en version dégradable.

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FUTURA ROBOTICA La société italienne présente ses machines automatiques de fin de ligne.

Futura Robotica est située à Alseno (Piacenza), entre Milan et Bologne.

Futura Robotica est spécialisée dans la production de machines automatiques « de fin de ligne » au moyen de robots, manipulateurs et Pick & Place. La société travaille aussi bien pour des clients du secteur alimentaire que de la pharmacie ou encore des cosmétiques. Futura Robotica propose aussi bien des machines de conditionnement en caisses américaines, wrap-around ou plateau ainsi que des lignes de palettisation.

Ensacheuse

Etuyeuses Ensacheuses Peseuses Convoyeurs Manipulation Machines spéciales

Hall 5a stand C108

KRONES et KOSME réunis Le constructeur allemand expose avec sa filiale.

Pour la première fois à Paris, Krones expose avec sa filiale Kosme. L’occasion de mieux connaître le savoir-faire de l’entreprise dans les basses et moyennes cadences. Les visiteurs peuvent voir une machine d’étirage-soufflage KSB 4R en quatre éléments qui atteint une cadence de 8 000 récipients par heure. La machine est reliée à une soutireuse par l’intermédiaire d’un bloc de synchronisation qui permet d’éviter l’emploi de convoyeurs à air. Grâce à ses becs, la remplisseuse évite la formation de mousse. La configuration monobloc réduit l’encombrement au sol, les frais d’exploitation, permet d’économiser l’énergie et l’eau, de changer plus rapidement les formats et de réduire la maintenance. Le bloc de synchronisation peut être utilisé aussi bien pour les boissons non alcoolisées et l’eau plate que pour la bière. En parallèle, le constructeur expose une étiqueteuse à colle froide Variomatic dédiée à l’univers du vin et des spiritueux. Dotée d’un maximum de quatre postes d’étiquetage, elle peut étiqueter entre 6 000 et 18 000 récipients par heure.

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Etuyeuse MIL M9

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REGROUPEMENT de LOTS en MULTIPACK

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Conçues de manière à réunir par lots des produits ou des emballages primaires, les machines de regroupement réalisent des suremballages à l’aide de films en plastique thermo-rétractables ou non, de papiers, de découpes à plat en carton ou de caisses et de barquettes déjà préformées. Les lots sont constitués selon les besoins des unités de vente consommateurs (UVC) et, la plupart du temps, présentés tels quels dans les rayons des magasins. Lorsqu’elles conditionnent les produits prêts à vendre, les machines de suremballage se contentent rarement de simplement regrouper les articles. Elles sont alors avant tout conçues pour réaliser des packagings attractifs. Ces équipements de regroupement fonctionnent avec ou sans presseur et conformateur de lots. Selon les modèles, les produits sont regroupés debout ou couchés, et empilés ou non les uns sur les autres sur plusieurs niveaux. Le regroupement et l’empilage s’effectuent avec des vis sans fin, des roues crantées, des doigts mécaniques, des robots de manipulation ou de simples empileurs mécaniques.

Certains équipements de regroupement de lots vont jusqu’à poser des intercalaires entre les différentes couches de produits. Ces machines fonctionnent de manière autonome ou se montent sur les lignes de conditionnement en sortie

photo schubert

Les machines de regroupement de lots de produits sont pour la plupart architecturées autour de fonctions de fardelage ou d’encaissage.

Souvent très flexibles, elles réalisent des emballages d’articles prêts à vendre et se montent en sortie d’équipements de conditionnement primaire.

Robotisation, automatisation, souplesse : avec le concept dit Top Loading Machine (TLM), Gerhard Schubert propose un système de mise en barquette totalement modulaire. De la mise en forme de l’emballage à sa fermeture en passant par le pick and place et le contrôle, différents modules spécialisés sont configurés en fonction des besoins.

d’étuyeuse, d’ensacheuse ou de tout autre type de machine de remplissage.

Toutes les machines de regroupement de lots ici présentées fonctionnent en automatique et offrent plus ou moins de flexibilité avec des facilités de changement de formats toujours plus grandes. Certains modèles admettent même des produits de plusieurs hauteurs et longueurs

sans qu’il soit nécessaire d’effectuer de réglage. Toutes ces machines comportent la plupart du temps un poste de fermeture du suremballage. Cette fermeture se fait à l’aide de soudures thermiques, à impulsion ou de scellages, de pliages, de collage, de dépose de bandes adhésives ou de rétractation de films en plastique.

Geneviève Hermann avec Nicole Lachkar

Pour réaliser ce guide d’achat ■ Emballages Magazine a interrogé par mail 52 fabricants et distributeurs de regroupement de lots en multipack répertoriés dans le Guide de l’emballage.

■ 13 ont répondu.

■ Si vous n’avez pas reçu le questionnaire, vous pouvez contacter Nicole Lachkar, nlachkar@gisi.fr - Tél. : 01 77 92 95 92 ■ Si vous n’êtes pas inscrit dans le Guide de l’emballage, vous pouvez le faire gratuitement auprès de Diane Fayolle, dfayolle@etai.fr - Tél. : 01 77 92 93 49 ■ Référence de la profession, le Guide de l’emballage est disponible sur le site www.guidedelemballage.com

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Fardeleuse avec empileur La SLV range les produits et les empile par couche à l’aide d’un empileur puis transfère chaque lot dans une fardeleuse intégrée.

Elle peut se placer directement derrière une étuyeuse. Compacte, cette machine arrive à traiter des petits étuis. Simple d’utilisation, les changements de formats s’opèrent facilement. La SLV fonctionne avec des laizes de film n’excédant pas les 580 mm. Sa conception a été

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étudiée de manière à réduire sa consommation énergétique.

Constructeur : Autopack Distributeur : Sadem Caractéristiques : Cadence de 150 étuis par minute, soit 10 à 20 packs par minute selon le type d’empilage.

Options : Convoyeurs d’alimentation et de sortie.

Applications : Regroupement d’étuis dans les secteurs de la pharmacie, de la cosmétique et d’autres types d’industries.

Le magazine mensuel et ses suppléments L’accès exclusif au site WEB emballagesmagazine.com

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De conception ergonomique, ses fonctions sont facilement accessibles.

150 packs par minute.

Caractéristique : Cadence de Options : Réglages manuels.

Applications : Conditionnement de plats cuisinés et de produits laitiers.

Autres matériels : Suremballeuse Ariform 602, 603 et 605.

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D’un encombrement réduit, la machine de suremballage BeckSerienpacker S 850 XJ soude sur quatre côtés le film déposé à plat sur la partie supérieure et la partie inférieure des lots de produits.

Cette machine fonctionne sans conformateur.

selon les besoins du client.

Applications : Industries graphiques, papetières, textiles, de la

Constructeur : Beck Packautomaten

plasturgie et de l’agroalimentaire.

Distributeur : HMG Emballage

Autres matériels : Machine

Caractéristiques : Cadence jusqu’à

Serienpacker SX à taquets. Machines

5 000 emballages à l’heure.

horizontales de suremballage avec

Options : Adaptations

conformateur.

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Soudage sur quatre côtés

Regroupement dans cartons ou barquettes L’encaisseuse MultiPack DRT sert à emballer et à regrouper des produits dans des cartons ou des barquettes. Elle convient tout particulièrement en sortie d’ensacheuses horizontales fonctionnant à haute cadence. Elle s’utilise également en entrée d’ensacheuse ou d’étuyeuse. Flexible, cette machine réalise tous types de regroupements sur différents formats. Du fait des accélérations mises en jeux, la MultiPack DRT n’est pas recommandée pour le conditionnement de produits fragiles.

Constructeur : Bradman Lake Group Distributeur : PicPacSystems Solutions Robotiques Caractéristiques : Cadences jusqu’à 600 produits à la minute.

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Options : Postes de chargement multiples pour encaissage-étuyage et encaissage-ensachage.

Applications : Industries agroalimentaires dont celles spécialisées dans les biscuits, l’épicerie et les céréales.

Autres matériels : Ensacheuses horizontales. Formeuses de boîtes.

Fermeuses de boîtes. Étuyeuses.

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Fardeleuse sans soudure Conçue pour le suremballage de produits sous film thermo-rétractable, la VersaFilm comporte un système d’alimentation des produits avec sélection par flux régulés à l’aide de deux séries de doigts qui retiennent les produits puis les relâchent une fois le lot constitué. Son unité de fardelage enrobe ensuite chaque lot par un thermoscellage sans soudure apparente via de l’air chaud envoyé sous le tapis. Le film est alors insufflé et rétracté à l’intérieur d’un tunnel de rétractation. Un ventilateur refroidit le film en sortie de tunnel afin de stabiliser les packs et faciliter leur déplacement sur les convoyeurs de sortie. L’épaisseur des films peut varier de 27 à 80 µm. Cette machine se caractérise par sa modularité. Chaque fonction a

Avec robot Delta

été considérée de manière isolée pour davantage de valeur ajoutée au global.

machine. Cellule assurant le repérage et la détection du film imprimé en simple, double

La suremballeuse AMC 560 fonctionne avec un robot Delta à 4 axes de liberté, ce qui lui donne une très grande flexibilité d’emploi avec la possibilité de traiter un large éventail de formats de packs. L’emballage des packs a été étudié de manière à économiser 15 à 30 % de matière tout en garantissant un bon maintien des produits. L’AMC 560 regroupe les produits par deux, trois, quatre, six, huit, neuf ou douze.

De construction robuste en acier inoxydable, cette machine est peu encombrante. Les changements de formats sont automatisés et s’opèrent très rapidement.

ou tri-pistes.

Constructeur : Cermex

Applications : Industries de

Caractéristiques : Cadence

produits d’hygiène du corps,

Constructeur : AMC2 Industrie Caractéristiques : Vitesse de

jusqu’à 100 cycles par minute.

agroalimentaire, boissons.

8 000 pots à l’heure avec jusqu’à 6

Options : Changement automa-

Autres matériels : Suremballeuse

références différentes de pots.

tique de bobines sans arrêt de la

Wrap-Around en continue.

Options : Impression par jet d’encre.

Applications : Conditionnement

À partir de découpes à plat

Options : Changement de format

de produits laitiers tels que yaourts,

automatique. Version en inox.

faisselles et crèmes desserts.

La machine à mouvement continu Imball Multipak 200 réalise des multipacks à partir de découpes à plats. Les produits sont alimentés sur une ou plusieurs files puis regroupés selon le format désiré à l’aide d’une vis sans fin ou d’une roue crantée servo-motorisée.

Les lots de produits sont ensuite recouverts de la découpe repliée et collée dans sa partie inférieure.

L’Imball Multipak 200 est dotée d’un magasin pouvant contenir

Système de codification. Contrôle

Autres matériels : Suremballeuse

de présence de colle par scanner.

AMC 50 mono format avec 3 000 pots à

Lubrification automatique centralisée.

l’heure. Suremballeuse AC 550 multi-

Diviseur en sortie de machine.

formats avec 120 packs par minute.

Applications : Secteur de l’embouteillage. Industries laitières et de conditionnement en conserves, en coupes et en pots.

Autres matériels : Modèle Mulphotos dr

jusqu’à une hauteur de 1 600 mm de découpes à plat. Le transport de ces dernières s’effectue en positif.

tipack 100 avec cadence jusqu’à 80 Constructeur : Imball

packs par minute. Multipack Junior

Caractéristiques : Cadences

pour les petits formats et les basses

jusqu’à 180 packs par minute

vitesses.

Grandes plages de format Etudiée pour fonctionner avec du papier kraft, la fardeleuse automatique GSA de Bosch comporte trois groupes fonctionnels. Destiné à supporter la bobine d’alimentation du matériau d’emballage, le premier sert également à tirer le papier et à l’encoller. Le second consiste en un dispositif de pliage et de fermeture. Le troisième concerne l’alimentation des emballages individuels et leur regroupement. Le modèle GSA 2100 réalise des lots dont les dimensions varient de 230 x

100 x 110 mm à 400 x 200 x 200 mm. Sur le modèle GSA 3 100, les dimensions de lots vont de 230 x 140 x 110 mm à 400 x 300 x 200 mm. Les changements de formats sont faciles à effectuer.

Constructeur : Bosch Packaging Technology Distributeur : Beaurain Frères Caractéristiques : Cadence jusqu’à 25 fardeaux par minute pour la GSA 2100 et jusqu’à 20 fardeaux par minute pour la GSA 3100.

Applications : Fabrication de multipacks en papier kraft à partir de cartons ou de sachets.

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La machine automatique BAS 202 regroupe par deux, par trois ou par quatre des produits couchés sur convoyeur. Elle dépose une bande adhésive sur le dessus et une autre sur le dessous.

L’ajout d’une bande adhésive sur fond brillant accroche l’œil du consommateur tout en laissant en évidence l’emballage primaire.

L’adhésif peut être neutre, imprimé ou imprimé avec spots.

des lots. Intégration d’imprimantes à jet d’encre. Étiqueteuse.

Applications : Convient tout particulièrement pour la mise en lots de photos dr

Regroupement de produits couchés

sachets de pâtes, de riz, de couscous, de café, de brioches, de pains en tranches ou de produits en étuis.

Autres matériels : Modèles BAO15, BAO25 et BAO30 pour produits empilés. Cefmapak 50/150 pour produits debout.

Constructeur : Cefma Technology Caractéristique : Cadence jusqu’à 60 lots par minute.

Options : Décalage des bandes de dessous. Rabats à l’avant ou à l’arrière

Suremballeuse à haute cadence

Constructeur : Cama

Fonctionnant à l’aide de courroies entraînées par un moteur brushless, la suremballeuse MP92 est équipée de deux magasins qui alimentent alternativement un pas sur deux de manière à atteindre des hautes cadences tout en limitant la vitesse linéaire. En sortie de machine, un répartiteur distribue les packs sur 5 voies à l’aide d’un nez télescopique. Les changements de formats s’effectuent rapidement et facilement. Les fonctions de cette machine sont faciles d’accès et nécessitent très peu d’entretien.

à 300 packs par minute. Dimension

Caractéristiques : Cadence de 200 de la découpe jusqu’à 560 x 270 mm.

Options : Version inox. Protection IP65 lavable à l’eau. Changement de format automatisé. Dispositif Easy-fill.

Applications : Regroupement de plaquettes et de flacons dans le secteur laitier, ainsi que de plaquettes et de pots pour nourrissons.

Autres matériels : Suremballeuse MP 100 avec dépose de bridge et de découpes traversantes. Suremballeuse MP 130 pour packs de 2 ou 3 couches.

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Combiné pour les prêts à vendre Le Combiné Wac est constitué d’une fardeleuse associée à des systèmes de mise en barquette et de mise en caisse Wrap-Around. Il répond aux nouvelles exigences de l’industrie agroalimentaire.

Le fardelage se fait sous film imprimé ou non. De par sa flexibilité, cette machine est tout particulièrement bien adaptée au

conditionnement des produits prêts à vendre.

Constructeur : Polypack Caractéristiques : Cadence jusqu’à 50 groupages à la minute Options : Dépose d’intercalaires en carton. Système de convoyage en amont et en aval.

Applications : Industries de l’agroalimentaire, en particulier les laiteries.

Autres matériels : Combiné VAD a vec fardeleuse à barre de soudure.

Machine à soudure continue

Constructeur : Ulma Packaging

La Multipack SC200 à soudure continue fonctionne ou non avec une barre accompagnante. Elle entoure les produits avec des films POF, PE, PVC, PP ou complexes dont l’épaisseur varie de 7 à 40 µm. Commandé par un PC industriel via un écran tactile, son pilotage est accessible à tous. Elle convient pour des produits dont la hauteur n’excède pas 300 mm.

La soudure fait jusqu’à 850 mm de large. La longueur des produits peut varier sans avoir à effectuer de réglage.

Caractéristiques : Cadence jusqu’à

Distributeur : Minipack France 85 cycles par minute.

Options : Lecture de spot imprimé.

Dosseur pour film à plat imprimé ou non. Soudure thermique, à impulsion ou scellage. Micro et macro perforation.

Système d’ouverture facile. Dispositif pour produits légers ou instables.

Différents types de presseurs. Double enrouleur.

Applications : Opération de suremballages de produits industriels ou alimentaires.

Autres matériels : Sealmatic,

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emballages

films et complexes Les films « simples » et les complexes sont largement utilisés dans l’alimentaire, notamment pour les produits frais, mais ils se rencontrent également en cosmétique et en pharmacie. Ils sont conçus pour répondre aux contraintes de leur « transformation » : l’ensachage, le thermoformage ou encore l’operculage. Selon le produit emballé, les films et complexes doivent également répondre à certaines exigences de conditionnement comme la stérilisation, la pasteurisation, le conditionnement sous atmosphère modifiée. Mais ils doivent aussi résister aux conditions de stockage – température ambiante, surgelé – et à celles d’utilisation comme être micro-ondables ou permettre la cuisson au bain-marie. La barrière à l’oxygène est le plus souvent exigée pour permettre une bonne conservation des produits. De nombreuses solutions existent. Par exemple, le copolymère d’éthylène et d’alcool polyvinylique (Evoh), souvent intégré par coextrusion est une barrière efficace aux gaz et supporte des températures élevées. Toutefois, l’humidité altère ses propriétés. Ce matériau ne convient donc pas à toutes les applications.

Aujourd’hui, les industriels travaillent sur la réduction des épaisseurs. En effet, un complexe peut être formé de 14 couches mais il en comporte en général trois ou quatre car le nombre de couches fait augmenter les prix. L’évolution des matières plastiques permet aux industriels de proposer des films plus fins tout en conservant leurs propriétés physiques.

photo dr PHOTO DR

L’alimentaire est le premier secteur d’utilisation des films et complexes.

Les produits frais sont souvent emballés sous des films.

L’autre axe de recherche des fabricants a été la transparence. En effet, les films opaques présentaient de meilleures qualités barrières or, pour certains produits comme la viande et le poisson frais, le consommateur exige de « voir » ce qu’il achète. En plus, la viande sous vide a tendance à se décolorer. Les industriels ont donc développé des films en tenant compte de ces exigences visuelles. Ainsi, un fabricant a

mis au point un système permettant aux films d’être en contact avec les aliments sans modifier leur aspect. Les conditionnements fabriqués à partir de films ou de complexes sont aussi des supports au marketing. Les diverses techniques d’impression permettent, aujourd’hui, aux marques de réaliser des visuels de qualité qui distingueront leurs produits dans les rayons.

Mirabelle Belloir avec Nicole Lachkar

Pour réaliser ce guide d’achat

itionnement

hine s er vice s • Mac

■ Emballages Magazine a interrogé par mail 102 fabricants de films et complexes répertoriés dans le Guide de l’emballage.

■ 19 ont répondu ■ Si vous n’avez pas reçu le questionnaire, vous pouvez contacter Nicole Lachkar, nlachkar@gisi.fr - Tél. : 01 77 92 95 92

■ Si vous n’êtes pas inscrit dans le Guide de l’emballage, vous pouvez le faire gratuitement auprès de Diane Fayolle, dfayolle@etai.fr - Tél. : 01 77 92 93 49 ■ Référence de la profession, le Guide de l’emballage est disponible sur le site www.guidedelemballage.com

novembre 2010 • Emballages magazine

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films et complexes Sociétés Type de films Composition Epaisseur (micromètre) Type d’impression Caractéristiques, Marchés

Format (bobine, plaque, Fonctionnalité

feuille…) (ouverture facile)

ABL Mono-film plastique PLA 20 à 50 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Dégradabilité

Emballages BOPP micro- 15 à 40 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Perméabilité sélective

perforré (laser) H20, O2

BOPP + ZIP 15 à 40 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Ouverture facile + barrière

barrière adaptation machine très facile

BOPP 15 à 40 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Fenêtre sur film métallisé

démétallisé

BOPP antibuée 15 à 40 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Traitement antibuée dans la

masse

PVC démétallisé 15 à 40 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Twistable twistable

BOPP 15 à 40 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Transparent ou mat

17 à 40 microns

BOPP blanc 15 à 40 microns Hélio 10 / Fléxo 10

BOPP blanc 15 à 40 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Opacité élevée

perlé

BOPP enduits 22 à 40 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Barrière H2O, O2, CO2

PVCD, acrylique BOPP + cold 18 à 40 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Scellage à froid

seal CPP 20 à 35 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Brillance

Films plastiques laminés Complexe + ZIP 30 à 60 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Ouverture facile + barrière

2 couches adaptation machine très

facile

OPP+ CPP 50 à 80 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Film micro-ondable

PET + CPP + 42 à 62 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Cuisson vapeur au

perforation micro-ondable OPA + CPP + 42 à 62 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Cuisson vapeur au

perforation micro-ondable BOPP + BOPP 30 à 60 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Barrière sélective

antibuée micro-

perforé

OPA+PE 45 à 115 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Film barrière pasteurisable

BOPP + BOPP 30 à 60 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Transparent ou mat

BOPP + BOPP 30 à 60 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Film barrière

métallisé

BOPP MET + PE 45 à 115 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Film barrière

PET + PE 42 à 112 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Opercules

(pelable)

PEEL PE + PE Hélio 10 / Fléxo 10 Soudabilité

Papier + CPP Hélio 10 / Fléxo 10 Ouverture facile

Papier + PE Hélio 10 / Fléxo 10 Ouverture facile

Films plastiques laminés PET + Alu + PP 62 à 150 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Film barrière stérilisable

3 couchesTriplex PET + Alu + PE 62 à 150 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Film barrière

BOPP + Alu + 60 à 200 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Film barrière

PE

Papier + Alu + 60 à 200 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Film barrière

PE

BOPP + BOPP 60 à 200 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Film barrière

MET + PE

BOPP + Papier+ 60 à 200 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Ouverture facile

PE Films plastiques laminés PET + Alu + 74 à 200 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Film barrière

4 couches Quadruplex PET + PE

PET + PET 74 à 200 microns Hélio 10 / Fléxo 10 Film barrière

MET + Alu + PE

BOPP + Papier+ Hélio 10 / Fléxo 10 Film barrière

Alu + PE Adhetec Pellicules et films adhésifs PE, PP, mousse 30 à 200 microns Sans impression

de protection de surface

adhésive

Protection temporaire ou définitive de surface.

Amélioration de la qualité et des process de pose.

Excellente solution pour les pièces d’aspect

Toute application Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire

Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire, Hygiène Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire, Hygiène Agroalimentaire, Hygiène Agroalimentaire, Hygiène Agroalimentaire Toute application Agroalimentaire, Hygiène Agroalimentaire, Hygiène Agroalimentaire, Hygiène Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire Toutes industries

Atech Polyoléfine multicouche apte Polyoléfine 13,15,19,25 microns / bobine Rétraction 60 % à 150°C

au contact alimentaire

PET/PE Polyester, Operculage, flowpack

polyéthylène

Polyester d’operculage Polyester Operculage Bolloré

Film rétractable Bolphane Polyoléfines retrait 50% à 120 °C Dossé -13 à 25 microns Soudeuse en L BE Film rétractable Bolphane Polyoléfines retrait 70% à 120 °C Dossé ou à plat - 13 à Toutes filmeuses BY 25 microns Film rétractable Bolphane Polyoléfines retrait 75% à 120 °C Dossé ou à plat -13 à Toutes filmeuses BZN 25 microns Film rétractable Bolphane Polyoléfines retrait 50% à 120 °C Dossé ou à pla -13 à Filmeuses à conformateur BXS 25 microns Film rétractable Bolphane Polyoléfines retrait 75% à 120 °C Dossé ou à plat- 9 et Toutes filmeuses

Tous secteurs Tous secteurs Tous secteurs Copacking Multimédia, papeterie

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films et complexes Sociétés Type de films Composition Epaisseur (micromètre) Type d’impression Caractéristiques, Marchés

Format (bobine, plaque, Fonctionnalité

feuille…) (ouverture facile)

BHE 11 microns

Film rétractable Bolphane Polyoléfines retrait 75% à 120 °C Dossé ou à plat -13 à Toutes filmeuses

BRX 19 microns

Film rétractable Bolphane Polyoléfines retrait 70% à 120 °C Dossé ou à plat - Toutes filmeuses

BYO oxobio- 15 microns

dégradables

Film rétractable Bolphane Polyoléfines retrait 30% à 120 °C Film à plat -14 microns Ensacheuses horizontales

BTS

Film rétractable Bolphane Polyoléfines retrait 70% à 120 °C Film à plat -11 à Ensacheuses horizontales

BCB 15 microns

Film rétractable Bolphane Polyoléfines retrait 75% à 120 °C Dossé ou à plat 13 à Toutes filmeuses

BFF 19 microns

Film rétractable Bolphane Polyoléfines retrait 60% à 120 °C Dossé ou à plat - Toutes filmeuses

BRN 15 microns

BRJ

Tous secteurs Tous secteurs Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire Papeterie, textile

OPP coex

Complexes

Coex neutre Flexo Coex blanc Flexo Coex metal Flexo Coex mat Flexo Coex enduit Flexo PET/OPP Flexo PET/PE (EVOH Flexo EVA pelable …)

PET/CPP Flexo OPP/CPP Flexo OPA/PE Flexo

Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire

CGP-Multisac

OPP + OPP 2XOPP oxo OPP + OPPmet OPP + Ppcast OPP + Pe Pet + PP ou PE OPA + PP ou PE OPP + papier OPP + papier

Multi usage Multi usage Agroalimentaire Produits en poudre Produits en poudre Operculage Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire

Multiflex Multiflex Bio Multiflex Star Multiflex 10 Multiseal Diamoflex/Diamoseal Apoflex Visiokraft Flexipap

Flexo Flexo Flexo Flexo Flexo Flexo Flexo Flexo Flexo

Protection des encres Complexe Oxobio Barrière UV Bonne soudure Bonne soudure Ouverture facile possible Barrière Complexe avec fenètre Complexe papier ss fenetre

Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire

Emballu Steamfast cuisson vapeur PET/PP 12/40 Flexo Ouverture facile

pour sachets 23/40 Héliogravure

ou barquettes PP 23/50 HSPP scellage barquette PET enduit 23 microns ou plus Flexo Ouverture facile

PET Héliogravure Anti buée

MULTIPEEL PET/PP 12/50 Flexo Ouverture facile

Scellage barquette PET Héliogravure Anti buée

Scellage sur barquettes PP

Retopeel PET/retopeel 12/75 Flexo Version surgelés disponible

scellage barquette PP Héliogravure

Propeel PET/propeel 12/50 Flexo Version surgelés disponible

scellage barquette PP Héliogravure

PP EVOH PP PP EVOH PP 12/50 Version surgelés disponible

PET/6804 12/38

PET ou 12/100 ou 15/100 OPA/2301

Agroalimentaire

Epoca

Agroalimentaire, pharmaceutique Agroalimentaire, pharmaceutique Agroalimentaire, pharmaceutique Agroalimentaire, pharmaceutique Agroalimentaire, pharmaceutique Agroalimentaire, pharmaceutique Agroalimentaire, pharmaceutique Agroalimentaire, pharmaceutique Agroalimentaire, pharmaceutique Agroalimentaire, pharmaceutique Agroalimentaire, pharmaceutique Agroalimentaire, pharmaceutique Agroalimentaire, pharmaceutique Agroalimentaire, pharmaceutique Agroalimentaire, pharmaceutique

Coextrudé blow PEHD/PEBDL

Coextrudé blow PEBD/PEMD

Coextrudé blow PE/PA/PE

Coextrudé stenter/blow PP

Complexe OPP/OPP ou

OPP metal

Complexe OPP/CPP

Complexe OPET/PEBDL

Complexe OPA/PEBDL

Complexe OPET-PVDC/

PEBDL

Complexe OPET/PE-PA-PE

Complexe OPET/PP

Complexe OPA/PP

Complexe OPET-PVDC/PP

Complexe OPET/alu/

PEBDL

Complexe OPET/alu/OPA/

PEBDL

20 à 200 microns/30 à Flexo 10 2 000 mm 15 à 150 microns/30 à Flexo 10 1 500 mm 50 à 250 microns/30 à Flexo 10 Pelable total ou repéré 1 200 mm 20 à 120 micons/30 à Flexo 10 Résistant stérilisation 4 000 mm 40 à 50 microns/maxi Flexo 10/hélio 8 1 000 mm 40 à 60 microns/maxi Flexo 10/hélio 8 1 000 mm 40 à 200 microns/maxi Flexo 10/hélio 8 Pasteurisation, barrière 1 000 mm moyenne 40 à 200 microns/maxi Flexo 10/hélio 8 Pasteurisation, barrière 1 000 mm moyenne 40 à 200 microns/maxi Flexo 10/hélio 8 Pasteurisation, barrière 1 000 mm moyenne + 60 à 200 microns/maxi Flexo 10/hélio 8 Pasteurisation, barrière 1 000 mm moyenne + 40 à 200 microns/maxi Flexo 10/hélio 8 Stérilisation, barrière 1 000 mm moyenne 40 à 200 microns/maxi Flexo 10/hélio 8 Stérilisation, barrière 1 000 mm moyenne 40 à 200 microns/maxi Flexo 10/hélio 8 Stérilisation, barrière 1 000 mm moyenne + 60 à 200 microns/maxi Flexo 8/hélio 10 Pasteurisation, barrrière 1 000 mm haute 60 à 200 microns/maxi Flexo 8/hélio 10 Pasteurisation, barrière 1 000 mm haute

Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire

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films et complexes Sociétés Type de films Composition Epaisseur (micromètre) Type d’impression Caractéristiques, Marchés

Format (bobine, plaque, Fonctionnalité

feuille…) (ouverture facile)

Complexe

Complexe

Complexe

Complexe

Complexe

60 à 200 microns/maxi Flexo 8/hélio 10 Stérilisation, barrière 1 000 mm haute 50 à 200 microns/maxi Flexo 8/hélio 10 Pasteurisation, barière 1 000 mm haute 60 à 200 microns/maxi Flexo 8/hélio 10 Pasteurisation, barrière 1 000 mm haute 60 à 200 microns/maxi Flexo 8/hélio 10 Stérilisation, barrière haute 1 000 mm 70 à 200 microns/maxi Flexo 8/hélio 10 Stérilisation, barrière haute 1 000 mm

Agroalimentaire, pharmaceutique Agroalimentaire, pharmaceutique Agroalimentaire, pharmaceutique Agroalimentaire, pharmaceutique Agroalimentaire, pharmaceutique

Exbanor Film étirable automatique PE

Film étirable manuel PE

Film étirable alimentaire PE

Film polypropylène homo

15 à 50 microns Cast coextrusion laize 250 à 1500 mm laize 500 mm en standard neutre couleur opaque ou translucide bobine diamètre maximum 450 mm mandrin 76mm 15 à 50 microns Cast coextrusion laize 100 à 500mm laize 450mm en standard neutre couleur opaque ou translucide carton 6 bobines mandrin 50mm 11microns Cast coextrusion laize 300 et 450mm longueur 300m avec ou sans boîte distributrice neutre carton de 6 bobines 30 à 300 microns Cast coextrusion

Tous secteurs

Flexiplac

A partir de 80 microns en

Agrolimentaire

Complexes stérilisables

OPET/alu/OPA/ PP OPET-alox/ PEBDL OPET/OPET- alox/PEBDL OPET/OPET- alox/OPA/PP OPET-alox/ OPET blanc/PP

Pet/Alu/Cpp

Hélio

Tous secteurs

Agroalimentaire

Tous secteurs

Retrouvez-nous au salon MIDEST Hall 6 - Allée J - Stand 038

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films et complexes Sociétés Type de films Composition Epaisseur (micromètre) Type d’impression Caractéristiques, Marchés

Format (bobine, plaque, Fonctionnalité

feuille…) (ouverture facile)

Pet/Alu/Opa/Cpp doypack preformé

bobines

Duplex/triplex Pet/Pet Met/Pe A partir de 40 microns Flexo/Hélio

Pet/Pe bobines

Pe/Pe

Opp/Pe

Opp/Opp

Pet/alu/Pe Bobine à partir de 80 microns Hélio

Kraft/Pet-Pvc/Pe

Opa/Pe

Opercules/fonds PA/PE A partir de 50 microns Flexo

APET

Monofilm HDPE A partir de 30 microns Sans impression

Fermetures Zip PE/PP 3 mm à 50 mm de large

Agroalimentaire

Agroalimentaire

Agroalimentaire Agroalimentaire

Linpac Packaging

Gamme LINTOP PE HB - Base EVOH, Bobines Flexographie 8 couleurs, Operculage sous Agroalimentaire Films d’operculage haute antibuée ou non, rotogravure 8 couleurs, atmosphère contrôlée pour

barrière au gaz option pelable et impression en sandwich toutes barquettes antibuée ou en direct. (option préformées ou thermo-

over-printing jusqu’à 8 formées à base de PVC,

couleurs en flexo et 2 APET, EPS/EVOH, PPX,

couleurs en rotogravure). PSX soudant PE. Perméabilité < 3cc.

Gamme LINTOP PP HB - Base EVOH, Bobines Flexographie 8 couleurs, Operculage sous Agroalimentaire

Films d’operculage anti-buée option pelable et rotogravure 8 couleurs, atmosphère contrôlée pour

pour soudant PP antibuée impression en sandwich toutes barquettes

ou en direct. (option préformées en PP ou

over-printing jusqu’à 8 PP/EVOH/PP. couleurs en flexo et 2 Perméabilité < 3cc.

couleurs en rotogravure).

Gamme LINTOP STAR HB - Base EVOH Bobines Flexographie 8 couleurs Films d’operculage Agroalimentaire

Films d’operculage antibuée en direct. Impression de rétractable haute barrière,

rétractables haute barrière designs continus. pour barquettes LINfresh ou EPS haute barrière

Gamme LINTOP - Films laminés à Bobines Flexographie 8 couleurs, Operculage sous Agroalimentaire

Films d’operculage moyenne base d’OPA ou rotogravure 8 couleurs, atmosphère contrôlée pour

barrière aux gaz PET. Soudants impression en sandwich toutes barquettes

PE, PP, pelable ou en direct. (option préformées ou thermo- sur PE et PP. over-printing jusqu’à 8 formées à base de PVC,

couleurs en flexo et 2 APET, EPS/EVOH, PPX,

couleurs en rotogravure). PSX , PP etc…

Perméabilité 1 cc à 150 cc

en fonction des produits.

LINTOP ALU HB Film soudant sur Bobines Flexographie 8 couleurs, Film d’operculage sur Agroalimentaire

barquette alumi- rotogravure 8 couleurs, barquettes Aluminium en

nium nu et alumi- impression en sandwich barrière simple ou haute

nium lacqué ou en direct. (option barrière sous gaz.

over-printing jusqu’à 8

couleurs en flexo et 2

couleurs en rotogravure).

Gamme LINFORM HB - Films laminés à Bobines Flexographie 8 couleurs, Emballage flowpack sous Agroalimentaire

Films flowpack barrière base d’OPA ou rotogravure 8 couleurs, atmosphère contrôlée pour

aux gaz PET. Haute impression en sandwich ensacheuses verticale ou barrière. ou en direct. (option horizontale. Perméabilité

over-printing jusqu’à 8 1 cc à 150 cc en fonction

couleurs en flexo et 2 des produits.

couleurs en rotogravure).

Gamme LINTOP/LINTHERM - PA/PE Epaisseurs de 70 à 280 Flexographie 8 couleurs. Thermoformage et Agroalimentaire

Film flexible pour le sous vide microns. Bobines Impression en direct operculage sous vide de

(repérée ou continue). films flexibles. Perméabilité

avant déformation : 8 cc à

35 cc en fonction des

épaisseurs.

Gamme LINTOP/LINTHERM PA/EVOH/PE Epaisseurs de 75 à 225 Flexographie 8 couleurs. Thermoformage et Agroalimentaire

THB - Film flexible pour microns. Bobines Impression en direct operculage sous vide et

l’emballage sous vide. (repérée ou continue). sous atmosphère modifiée

Haute barrière. de films flexibles. Perméabi-

lité avant déformation < 1cc.

Gamme LINVAC HBF - Films coextrudés Epaisseurs 35 et 40 microns.

Emballage manuel en Agroalimentaire

Gaine pour fabrication de à base d’EVOH Bobines sachets sous vide.

sachets rétractables pour Perméabilité < 1cc.

l’emballage sous vide

Gamme LINVAC SACS - PA/PE et Bobines Flexographie 8 couleurs. Emballage manuel en Agroalimentaire

Sachets pour l’emballage PA/EVOH/PE Impression en direct sachets sous vide.

sous vide (repérée ou continue). Perméabilité de < 3 cc à 35 cc.

Gamme LINWRAP Films PVC 10 à 18 microns. Bobines Flexographie 8 couleurs.

Agroalimentaire

PREMIUM - Film étirable étirables Impression en direct

pour produits frais (repérée ou continue).

Gamme LINWRAP OPTILIN - Films étirables 12 à 23 microns. Bobines Flexographie 8 couleurs.

Agroalimentaire

Malenge

Mono films

OPP COEX

25 microns

Offset

Emballage

Agroalimentaire

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films et complexes Sociétés Type de films Composition Epaisseur (micromètre) Type d’impression Caractéristiques, Marchés

Format (bobine, plaque, Fonctionnalité

feuille…) (ouverture facile)

Packaging Mono films

Mono films

Film complexe

Mono papier

Complexe papier

Complexe papier

Complexe papier

Complexe papier

Film complexe

Film complexe

Film complexe

Palamy

PE coex

OPP COEX Offset Emballage MO747 50 microns Offset Support barrière OPP25/OPP25 50 microns Offset Emballage Papier 40 microns Offset Enveloppage Papier/PE 65 microns Offset Emballage Papier/PE/Alu/ 110 microns Offset Support barrière PE Papier/PE/PET 110 microns Offset Support barrière metal/PE Papier/PE/alu/ 110 microns Offset Support barrière surlyn OPPblanc/PET 100 microns Offset Support barrière metal/PE OPPblanc/PET 100 microns Offset Support barrière metal/PE pelable OPP/PEEVOH 80 microns Offset Support barrière PE

Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire

PEBD PEMD PP Metallocene linéaires

Agroalimentaire - industries Agroalimentaire - industries Agroalimentaire - industries Agroalimentaire - industries Agroalimentaire - industries

Agroalimentaire Cosmétique Agroalimentaire Agroalimentaire Agroalimentaire

Flexo Flexo Flexo Flexo Flexo

Pansac Bobines

Films monocouche : LDPE / 13 à 200 microns Sans Large plage de soudure

Transparent LLDPE Tous les Pelables sur :

Blanc MDPE et PE - PP - PET - PVC - PS

LMDPE

Blanc opacité renforcée Ionomères / Déchirable SM et ST

autres couleurs …

Surlyn EVA Hot tack

(4 à 28%)

Métallocènes / Glissant ou non

VLDPE

Complexes alimentaires Complexes non alimentaires Café Pharmacopée VFFS - HFSS Flow pack (vertical et horizontal)

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films et complexes Sociétés Type de films Composition Epaisseur (micromètre) Type d’impression Caractéristiques, Marchés

Format (bobine, plaque, Fonctionnalité

feuille…) (ouverture facile)

Rigidité / Souplesse Lingette (wipes)

Bobines Résistance chimique Operculage (top et bottom)

Films coextrudés 3 couches LDPE / 25 à 300 microns Sans Résistance mécanique Etiquette (manchon)

Transparent LLDPE) Résistance à la perforation Bandeau de regroupage

Blanc MDPE et Résistance température Doypack

LMDPE élevée ou basse

Blanc opacité renforcée HDPE / Elasticité Dosette (avion, presse,...)

autres couleurs …

Métallocènes / Brillant ou Mat Stick pack

VLDPE / Barrières aux gaz Ice lolli

Ionomères / Anti Buée (Anti Fog) sacs Wicket

Surlyn EVA (4 %

à 28 %) Barrière UV Stérilisation

PP Antistatique Pasteurisation

(avec couche Stérilisation Emballage industriel

soudure ou Pasteurisation Coiffe bouteille (vin,

pelable adaptée) soudure ‘’cuir/chair’’ champagne)

Bag in Box

Bobines

Films coextrudés barrière PE/PA/EVOH/ 30 à 200 microns Sans Barrières aux gaz

aux gaz PA/PE

Transparent PE/EVOH/PE épaisseur EVOH Anti Buée (Anti Fog)

Blanc PP/EVOH/PP à partir de 3 microns Barrière UV Sidec Housses PET/Alu/PE A la demande Hélio et flexo barrière vapeur

PET/ PE d’eau <0.05g/m²/24h Sachets et sacs à plats PET/alu/PE A la demande Hélio et flexo Complexe barrière vapeur

PET/PE A la demande Hélio et flexo d’eau <0.05g/m²/24h

Kraft/PE A la demande Hélio et flexo

Gaines PET/Alu/PE A la demande Hélio et flexo Complexe barrière vapeur

PET/PE A la demande Hélio et flexo d’eau <0.05g/m²/24h

Kraft/PE A la demande Hélio et flexo

65 à 200 microns

Films thermosoudables PET/Alu/PE Hélio et flexo Complexe barrière vapeur 65 à 200 microns

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02/11/10 14:13

130

ZOOM

Une boisson lactée nomade à secouer Commercialisé depuis juin 2010 en Suisse

alors la languette prédécoupée et on sort la paille de

remplie en aseptique. Cela octroie au produit un autre

et nommé parmi les innovations du salon

son logement, moulé dans le flacon et protégé par le

avantage : il se conserve jusqu’à quatre mois à tem-

international de l’alimentation (Sial) qui s’est tenu du

manchon. On perce le bouchon avec et on la glisse

pérature ambiante – le froid (+ 4°C) n’étant néces-

17 au 21 octobre à Paris Nord Villepinte, Shakeria

dans l’orifice tout en ajustant sa longueur. Et il n’y a

saire que pour rafraîchir la boisson avant consom-

secoue le marché des boissons lactées. Avec sa bou-

aucune crainte à avoir : même ainsi, l’herméticité du

mation et obtenir une belle mousse ainsi qu’une

teille en forme de shaker, qui explique le slogan de la

bouchon est garantie. Pour boire, inutile de se pres-

vraie sensation de frappé –, « ce qui ouvre grand les

marque « Shake it easy ! », son bouchon à charnière

ser : on peut retirer la paille à tout moment, refermer

portes de l’exportation », souligne son distributeur,

hermétique et sa paille télescopique intégrée, ce milk-

le shaker, agiter à nouveau et consommer ce lait.

Mifroma France. Cinq parfums sont proposés : mac-

shake nomade à base de lait frais étonne.

Conçu par Innoprax, une start-up créée par Erich

chiato, cappucino, chocolat suisse, vanille Bourbon

Le mode d’emploi ? On agite le shaker quelques

Kienle, l’ancien directeur du marketing de l’industriel

et fraise. Shakeria dispose donc de nombreux atouts

secondes. Grâce aux nervures intérieures, cela pro-

laitier Emmi, Shakeria est produit par Bina, une filiale

pour bousculer le segment des yaourts à boire no-

duit jusqu’à 40 % de mousse, visible à travers une

du distributeur helvétique Migros. La bouteille de

tamment, comme il a commencé à le faire en Suisse.

fenêtre transparente en haut du manchon. On ôte

250 millilitres, en polyéthylène téréphtalate (PET), est

Arnaud Jadoul

Paille télescopique, intégrée au flacon avant utilisation (concept breveté) Bouchon à charnière, donc refermable, breveté également.

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Bouteille en forme de shaker avec fenêtre

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